Egarements [complète]
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Re: Egarements [complète]
Après avoir traversé les catskills et permit à Martin de dessaouler. D’ailleurs il se souviendra longtemps de cette cuite, enfin ses chaussures surtout. Les deux hommes s’étaient arrêtés dans une autre station-service pour grignoter un morceau ou deux. Heureusement celle-là n’avait pas de sous-sol et pas de flics à proximité non plus. Mais force de constater qu’ils ne savaient plus vraiment ce qu’ils allaient faire. Ils étaient, seuls, perdus et esseulés. Leur avenir se limitait donc à un long périple, une sorte de road movie du pauvre, sans la route ni le film. Danny suait sang et eau depuis un moment. La chaleur était revenue. Après la nuit dernière où ils avaient dormis serrés l’un contre l’autre à la belle étoile et où les températures étaient proches du zéro, il avait au début apprécié ce beau temps. Mais très vite il maudissait même ce pauvre soleil qui brillait sans arrêt. Alors complètement à bout Danny demanda à Martin ce qu’ils allaient faire.
« - Bon juste une question idiote on fait quoi maintenant ?
- On marche.
- Ben je vois merci.
- À question idiote réponse idiote.
- Non mais sérieusement tu as prévu quoi pour la suite ?
- J’ignore. Je propose que l’on se rende au bureau du coin et qu’on explique le tout.
- Quel passage ? Celui où tu te travelottes pour sortir d’un magasin de fringues ? Celui ou tu nous la joue Rémi Julienne en piquant ta propre bagnole ? Ou encore quand tu cambrioles la piaule d’un tromblon nymphomane pour récupérer un stylo ? Ah non c’est sûr ils vont adorer au bureau. Bon évidemment il faudra attendre qu’ils stoppent leur fou rire. Mais je pense qu’au bout de disons une heure, une heure et demi, on pourra espérer leur tirer deux ou trois mots.
- Oui ben c’est bon j’avais pas prévu tout cet enchaînement d’évènement. À la base c’était une mission simple. Mais si tu avait bien fait les choses.
- Pardon ? Je crois que j’ai les portugaises un peu trop ensablées j’ai mal compris. C’est ma faute maintenant ? Toi tu es pas chier. Tu nous fous dans une merde noire et après monsieur dit que c’est moi le responsable.
- Ne hausse pas le ton, tu sais très bien que l’on est tout les deux dans la même galère.
- Dans laquelle tu nous as mise oui ? Je te rappelle que tu m’a extirpé de mon sommeil pour allez chercher un pauvre stylo ?
- Parlons-en de ton sommeil ! Bravo l’esprit travailleur. Tu reviens après des mois d’absences et la seule chose à laquelle tu penses c’est pioncer au boulot.
- Je te rappelles que j’avais une enquête des affaires internes sur le croupion mon cocos, alors j’ai quelques excuses ?
- Que je t’excuses de faire la sieste au bureau ? Ah elle est bien bonne celle-là ! Non mais pour qui il se prend celui-là ? Moi monsieur je ramasse pas la première pétasse venue pour m’envoyer en l’air.
- Non tu fais mieux tu n’en tires aucune. Je suis déçu de ne pas t’avoir laisser parler de Sam dans ton sommeil car au moins j’aurais vécu tes fantasmes. Dis moi cela fait quoi d’être encore puceau à ton âge ? Tu sais que tu es pas loin de remplacer l’acteur du film à 40 ans toujours puceau ?
- Mais je t’emmerde Taylor. Tu crois quoi qu’avec ton embonpoint tu vas ramasser désormais ? Regardes toi tu t’empates mon gros. Fais gaffe car sinon dans deux ans tes soirées se limiteront à filmx X et branlettes partie avant une bonne soupe à la tomate et dodo. Alors mes histoires de cul tu sais où tu peut te les mettre.
- Et ça y est on devient grossier. Je savais qu’en te cherchant un peu je te trouverais. Ah avec la raie sur le côté et le visage d’un gamin de douze ans il a pas l’air d’y toucher le fils à son papa, mais en réalité il est comme tout les pré-ado. Il adore les blagues pipa-caca, les gros mots et les histoires de cul. Et ben bravo monsieur Fitzgerald vous avez fait un bon fils.
- Et bien moi... moi...
- Et voilà on a plus de réponse. Je le savais tu es à la ramasse Marty.
- Non c’est pas ça regardes derrière toi !
- C’est ça change de sujet !
- Non regardes je te jures et vite.
- Mais qu’est-ce qu’il y a encore ? »
Effectivement en se retournant il vit que leur cris avaient alerté les locaux. Ils étaient arrivés en périphérie d’une petite ville de province où visiblement les étrangers dans leur genre ne plaisaît pas trop. Alors le shérif et toute sa clique avait dû être prévenu. Car déjà un petit groupe se rassemblait de l’autre côté de la rue.
« - Il vaut mieux que l’on s’en aille et vite.
- Oui mais où il n’y a que des champs à proximité. C’est bledland ici. »
Martin regarda en effet autour d’eux et se rendit compte qu’à perte de vue autour d’eux mis à part la petite ville ce n’était que champ de toutes sortes et quelques fermes isolées. Sauf un peu plus loin sur la grande rue de la ville.
« - Là !
- Quoi tu veux que l’on entre là-dedans ?
- Tu vois une autre solution ? On n’a pas le choix.
- Mais à cette heure-ci il n’y a pas encore de spectacle. Il n’est que six heures ?
- Et ben on attendra. Dépêches. »
Ils cavalèrent finalement jusqu’à la place et se réfugièrent. Entre les caravanes et les voitures, ils passèrent bien vite les grilles de sécurité. Quand soudain une masse de près de trois mètres de haut se présenta à eux. Il avait un nez interminable et des oreilles collossales. Ils les regardaient d’une oeil perplexe, ses pieds et ses bras signifaient qu’il pouvait les écraser comme une mouche à tout moment.
« - Danny avance. Tu vas pas me dire que tu as peur d’un éléphant. Et puis il est derrière la grille.
- J’arrive, j’arrive. »
Et puis un peu plus loin, dans d’autres cages, des lions tournaient et retournaient sur eux-mêmes dans un ballet sans fin, ou des singes s’accrochaient aux barreaux mimant ainsi leur passé glorieux. Les deux garçons avaient aperçus avant de s’engrouffrer dans la ménagerie les tenues des hommes du sherrif. Alors ils savaient qu’ils seraient peut-être suivis. La seule échappatoire était en face. À force tout devenait limpide. Ils rentrèrent donc sous le chapiteau du cirque « Gusse ».
Tout était encore calme. Quelques rares artistes commençaient à se préparer pour le numéro de ce soir. Des contortionnistes firent preuve d’une grande souplesse ce qui impressionna Danny et lui redonna le moral et bien plus. Ailleurs c’était Monsieur Loyal qui testait la sono. Martin sur leur chemin aperçut une affiche. La vedette ici visiblement était Gorly le Clown, qui présentait là un grand sourire. D’ailleurs à son sujet pour qu’il puisse se changer tranquillement le cirque avait aménagé directement sa loge à proximité du chapiteau. Pour qu’il entende aussi la joie du public. Heureusement d’ailleurs aussi pour Martin et Danny la porte était ouverte. Car derrière les flics du coin maintenaient leur chasse. Alors sans hésitation ils rentrèrent à l’intérieur. Derrière eux ils fermèrent la porte et regardèrent par la serrure passer leurs poursuivants. Ils soufflèrent un coup d’avoir échapper à cela.
« Salut. Qu’est-ce que vous foutez là ? »
Brusquement ils se retournèrent et apperçurent Gorly, enfin celui qui jouait son rôle à sa table de maquillage. Ils les regardaient fixement avec à la main ses cheveux qu’il brossait. Les deux garçons se demandaient bien ce qu’ils allaient pouvoir faire pour lui échapper. Car évidemment ils n’étaient pas à leur place. Mais Gorly ne leur en laissa pas le temps car il continua à parler tout seul. Visiblement il souhaitait plus parler que discuter.
« - Vous n’êtes pas des fans j’espère ? Non vous êtes trop âgés. Et puis de toute façon je m’en fous. J’en ai plus qu’assez. Ecoutez les hurlez mon nom. Je vais vous avouer un truc je ne rêves désormais plus que d’une chose. D’en buter un. L’écraser avec ma voiture, lui tirer une balle en pleine tête, ou même mieux le décapiter mais en tuer un. Je rêves de serrer son coup entre mes mains. Pas pour lui faire des trucs sexuels, non ça c’est dégeulasse mais pour sentir sa vie s’échapper sous mes doigts. »
Il tira une bouffée de sa cigarette qui était dans le cendrier et repris presque immédiatement.
« - J’en rêve jour et nuit. J’ai cette image logée entre mon lobe gauche et mon lobe droit depuis pas mal de temps et j’arrive pas à m’en défaire. Je vous assure si je le faisais ce serait le pied. Évidemment je risquerais ensuite d’aller en prison. Mais bon on ne fait pas une omelette sans casser des oeufs. Si en prime je pouvais en tuer plusieurs en même temps, alors là ce serait l’apothéose, le summum, le top du top, the best of the best, la jouissance suprème. »
Dans un moment de silence de la conversation on entendit plus distinctement les enfants hurler le nom de Gorly, le clown. Celui-ci écrasa sa cigarette et se leva.
« - Oui c’est bon il arrive Gorly me casser pas les couilles. Bon allez je vous laisse je dois aller bosser, the show must go on comme ont dit. »
Gorly se diriga vers la lumière et entra sous le chapiteau sous les ovations du public. Martin et Danny se sentirent mal à l’aise de cette conversation à sens unique. Mais ils apprécièrent tout de même la quiétude de leur abri.
« - Bon juste une question idiote on fait quoi maintenant ?
- On marche.
- Ben je vois merci.
- À question idiote réponse idiote.
- Non mais sérieusement tu as prévu quoi pour la suite ?
- J’ignore. Je propose que l’on se rende au bureau du coin et qu’on explique le tout.
- Quel passage ? Celui où tu te travelottes pour sortir d’un magasin de fringues ? Celui ou tu nous la joue Rémi Julienne en piquant ta propre bagnole ? Ou encore quand tu cambrioles la piaule d’un tromblon nymphomane pour récupérer un stylo ? Ah non c’est sûr ils vont adorer au bureau. Bon évidemment il faudra attendre qu’ils stoppent leur fou rire. Mais je pense qu’au bout de disons une heure, une heure et demi, on pourra espérer leur tirer deux ou trois mots.
- Oui ben c’est bon j’avais pas prévu tout cet enchaînement d’évènement. À la base c’était une mission simple. Mais si tu avait bien fait les choses.
- Pardon ? Je crois que j’ai les portugaises un peu trop ensablées j’ai mal compris. C’est ma faute maintenant ? Toi tu es pas chier. Tu nous fous dans une merde noire et après monsieur dit que c’est moi le responsable.
- Ne hausse pas le ton, tu sais très bien que l’on est tout les deux dans la même galère.
- Dans laquelle tu nous as mise oui ? Je te rappelle que tu m’a extirpé de mon sommeil pour allez chercher un pauvre stylo ?
- Parlons-en de ton sommeil ! Bravo l’esprit travailleur. Tu reviens après des mois d’absences et la seule chose à laquelle tu penses c’est pioncer au boulot.
- Je te rappelles que j’avais une enquête des affaires internes sur le croupion mon cocos, alors j’ai quelques excuses ?
- Que je t’excuses de faire la sieste au bureau ? Ah elle est bien bonne celle-là ! Non mais pour qui il se prend celui-là ? Moi monsieur je ramasse pas la première pétasse venue pour m’envoyer en l’air.
- Non tu fais mieux tu n’en tires aucune. Je suis déçu de ne pas t’avoir laisser parler de Sam dans ton sommeil car au moins j’aurais vécu tes fantasmes. Dis moi cela fait quoi d’être encore puceau à ton âge ? Tu sais que tu es pas loin de remplacer l’acteur du film à 40 ans toujours puceau ?
- Mais je t’emmerde Taylor. Tu crois quoi qu’avec ton embonpoint tu vas ramasser désormais ? Regardes toi tu t’empates mon gros. Fais gaffe car sinon dans deux ans tes soirées se limiteront à filmx X et branlettes partie avant une bonne soupe à la tomate et dodo. Alors mes histoires de cul tu sais où tu peut te les mettre.
- Et ça y est on devient grossier. Je savais qu’en te cherchant un peu je te trouverais. Ah avec la raie sur le côté et le visage d’un gamin de douze ans il a pas l’air d’y toucher le fils à son papa, mais en réalité il est comme tout les pré-ado. Il adore les blagues pipa-caca, les gros mots et les histoires de cul. Et ben bravo monsieur Fitzgerald vous avez fait un bon fils.
- Et bien moi... moi...
- Et voilà on a plus de réponse. Je le savais tu es à la ramasse Marty.
- Non c’est pas ça regardes derrière toi !
- C’est ça change de sujet !
- Non regardes je te jures et vite.
- Mais qu’est-ce qu’il y a encore ? »
Effectivement en se retournant il vit que leur cris avaient alerté les locaux. Ils étaient arrivés en périphérie d’une petite ville de province où visiblement les étrangers dans leur genre ne plaisaît pas trop. Alors le shérif et toute sa clique avait dû être prévenu. Car déjà un petit groupe se rassemblait de l’autre côté de la rue.
« - Il vaut mieux que l’on s’en aille et vite.
- Oui mais où il n’y a que des champs à proximité. C’est bledland ici. »
Martin regarda en effet autour d’eux et se rendit compte qu’à perte de vue autour d’eux mis à part la petite ville ce n’était que champ de toutes sortes et quelques fermes isolées. Sauf un peu plus loin sur la grande rue de la ville.
« - Là !
- Quoi tu veux que l’on entre là-dedans ?
- Tu vois une autre solution ? On n’a pas le choix.
- Mais à cette heure-ci il n’y a pas encore de spectacle. Il n’est que six heures ?
- Et ben on attendra. Dépêches. »
Ils cavalèrent finalement jusqu’à la place et se réfugièrent. Entre les caravanes et les voitures, ils passèrent bien vite les grilles de sécurité. Quand soudain une masse de près de trois mètres de haut se présenta à eux. Il avait un nez interminable et des oreilles collossales. Ils les regardaient d’une oeil perplexe, ses pieds et ses bras signifaient qu’il pouvait les écraser comme une mouche à tout moment.
« - Danny avance. Tu vas pas me dire que tu as peur d’un éléphant. Et puis il est derrière la grille.
- J’arrive, j’arrive. »
Et puis un peu plus loin, dans d’autres cages, des lions tournaient et retournaient sur eux-mêmes dans un ballet sans fin, ou des singes s’accrochaient aux barreaux mimant ainsi leur passé glorieux. Les deux garçons avaient aperçus avant de s’engrouffrer dans la ménagerie les tenues des hommes du sherrif. Alors ils savaient qu’ils seraient peut-être suivis. La seule échappatoire était en face. À force tout devenait limpide. Ils rentrèrent donc sous le chapiteau du cirque « Gusse ».
Tout était encore calme. Quelques rares artistes commençaient à se préparer pour le numéro de ce soir. Des contortionnistes firent preuve d’une grande souplesse ce qui impressionna Danny et lui redonna le moral et bien plus. Ailleurs c’était Monsieur Loyal qui testait la sono. Martin sur leur chemin aperçut une affiche. La vedette ici visiblement était Gorly le Clown, qui présentait là un grand sourire. D’ailleurs à son sujet pour qu’il puisse se changer tranquillement le cirque avait aménagé directement sa loge à proximité du chapiteau. Pour qu’il entende aussi la joie du public. Heureusement d’ailleurs aussi pour Martin et Danny la porte était ouverte. Car derrière les flics du coin maintenaient leur chasse. Alors sans hésitation ils rentrèrent à l’intérieur. Derrière eux ils fermèrent la porte et regardèrent par la serrure passer leurs poursuivants. Ils soufflèrent un coup d’avoir échapper à cela.
« Salut. Qu’est-ce que vous foutez là ? »
Brusquement ils se retournèrent et apperçurent Gorly, enfin celui qui jouait son rôle à sa table de maquillage. Ils les regardaient fixement avec à la main ses cheveux qu’il brossait. Les deux garçons se demandaient bien ce qu’ils allaient pouvoir faire pour lui échapper. Car évidemment ils n’étaient pas à leur place. Mais Gorly ne leur en laissa pas le temps car il continua à parler tout seul. Visiblement il souhaitait plus parler que discuter.
« - Vous n’êtes pas des fans j’espère ? Non vous êtes trop âgés. Et puis de toute façon je m’en fous. J’en ai plus qu’assez. Ecoutez les hurlez mon nom. Je vais vous avouer un truc je ne rêves désormais plus que d’une chose. D’en buter un. L’écraser avec ma voiture, lui tirer une balle en pleine tête, ou même mieux le décapiter mais en tuer un. Je rêves de serrer son coup entre mes mains. Pas pour lui faire des trucs sexuels, non ça c’est dégeulasse mais pour sentir sa vie s’échapper sous mes doigts. »
Il tira une bouffée de sa cigarette qui était dans le cendrier et repris presque immédiatement.
« - J’en rêve jour et nuit. J’ai cette image logée entre mon lobe gauche et mon lobe droit depuis pas mal de temps et j’arrive pas à m’en défaire. Je vous assure si je le faisais ce serait le pied. Évidemment je risquerais ensuite d’aller en prison. Mais bon on ne fait pas une omelette sans casser des oeufs. Si en prime je pouvais en tuer plusieurs en même temps, alors là ce serait l’apothéose, le summum, le top du top, the best of the best, la jouissance suprème. »
Dans un moment de silence de la conversation on entendit plus distinctement les enfants hurler le nom de Gorly, le clown. Celui-ci écrasa sa cigarette et se leva.
« - Oui c’est bon il arrive Gorly me casser pas les couilles. Bon allez je vous laisse je dois aller bosser, the show must go on comme ont dit. »
Gorly se diriga vers la lumière et entra sous le chapiteau sous les ovations du public. Martin et Danny se sentirent mal à l’aise de cette conversation à sens unique. Mais ils apprécièrent tout de même la quiétude de leur abri.
Re: Egarements [complète]
Non tu fais mieux tu n’en tires aucune. Je suis déçu de ne pas t’avoir laisser parler de Sam dans ton sommeil car au moins j’aurais vécu tes fantasmes. Dis moi cela fait quoi d’être encore puceau à ton âge ? Tu sais que tu es pas loin de remplacer l’acteur du film à 40 ans toujours puceau ?
- Mais je t’emmerde Taylor. Tu crois quoi qu’avec ton embonpoint tu vas ramasser désormais ? Regardes toi tu t’empates mon gros. Fais gaffe car sinon dans deux ans tes soirées se limiteront à filmx X et branlettes partie avant une bonne soupe à la tomate et dodo. Alors mes histoires de cul tu sais où tu peut te les mettre.
la suite !!!!!!
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Egarements [complète]
Comme Théana, c'est toujours un délice de lire ta fic
Encore
Encore
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
Age : 43
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Egarements [complète]
Voici ma suite qui va j'en suis sûr plaire à certaines d'entre vous.
Il siflottait guillerettement un air que lui seul connaissait. Dans l’ascenseur il se permit de lâcher une petite caisse même s’il n’était pas seul, car il n’ignorait qu’il était de ceux fourbes qui agissaient en silence. Tout le monde se regarda ensuite comme s’ils étaient tous des porcs en puissance. Lorsque la porte s’ouvrit Jack descendit à son étage. L’activité du bureau ne cessait jamais. C’était comme une fourmilière en continuelle ébullition. Tout juste s’accordait-elle un pause la nuit. Ces jours-ci Jack s’accordait beaucoup de pauses.
Mais désormais il en avait eu la confirmation c’était bien ses agents qui étaient pourchassés dans le New-Jersey. Le chef de la police local qui avait du confondre l’eau et le gin à cause de la couleur ne voula rien entendre. Désormais il devait agir seul. Alors il alla vers son bureau. Au passage deux ou trois jeunes filles qu’il croisait furent surprises des mains aux fesses qu’il fit. Honteusement surprises bien sûr. Mais à un boss on ne dit rien, même quand il est con. Il arriva dans l’Open Space où les trois filles étaient réunies et lança sans même un préliminaire.
« - Réunion dans deux minutes dans mon bureau, c’est une urgence. »
Bon c’est vrai que le deux minutes et le urgence n’allait pas trop ensemble. Mais avant de le dire dans sa tête ça sonnait bien. Il s’installa donc à son bureau et attendit que ces hommes, enfin ses femmes vienne le rejoindre. Pour attendre il consulta ses messages sur son répondeur. Pour la quatre-vintième fois de la journée et toujours rien. Puis il replaca certains objets rangea deux ou trois dossiers, tourna sur son siège, joua avec son jeu de fléchette, fit un petit mikado avec ses crayons, agraffa près de quarante-deux fois une seule feuille, essaya de lancer son stylo en l’air et le rattraper. Ce qu’il fit très souvent, une fois sur dix. Utilisa sa poubelle comme panier de basket. Et puis quand il se rendit compte que les filles ne viendraient pas, il pensa que peut-être il vallait mieux qu’il aille les voir par lui même.
Elles n’avaient pas du tout bougé de l’Open Space, comme si elles étaient scellées sur place. Tout juste levèrent-elles la tête à son retour. Viviane fut la première à lui parler.
« - Ah c’était vraiment urgent, dit-elle en posant un dossier et en faisant un mouvement signifiant que enfin elle allait rejoindre le bureau de Jack.
- Bah oui. Mais maintenant que je suis là ne bouge pas. C’est au sujet de Danny et Martin. Je crois savoir où ils sont.
- Une affaire de résolue, enfin, je m’inquiétais, on a paumé nos dix derniers disparus nota Elena.
- Et donc. Ils ont quand même un problème. Les flics sont à leur recherche. Et plutôt pour les coffrer. Donc je vais avoir besoin de vous pour les récupérer avant. Il faut savoir où ils sont. Elena ?
- Ah non je peut rien faire moi. J’ai rendez vous avec mon coiffeur et après j’ai une visite préopératoire qui m’attend. Désolé Jack.
- Merde c’est vrai tu es coincée. Sam ?
- Quoi encore, qu’est-ce qu’il y a comment tu me parles, hurla-t-elle en se levant ? Je ne suis pas une faible femme. Tu dois pas me manquer de respect. Ok. Je suis pas ton petit chien-chien. Les femmes sont les égales de l’homme.
- Euh, oui, oui je voulais juste de demander un peu d’aide mais je vois que tu es occupée.
- Ah ok, pardon, je me suis emportée, je suis un peu sur les nerfs en ce moment. Mais on n’est plus ensemble désormais hein ?
- Euh oui je crois, aux dernières nouvelles en tout cas. Bon Viviane.
- Oui Jack répondit-elle en se levant à son tour.
- Il faut prendre nos deux gusses rapidement et leur faire arrêter leurs conneries, dit-il en s’approchant d’elle.
- Oh tu sais Jack c’est pas trop grave ce sont des grands enfants c’est tout, c’est de leur âge. Ils font quelques bétises mais ils ne sont pas méchants. Dès qu’ils auront compris ils reviendront.
- Mais Viviane réveille toi, dit-il en la secouant par les épaules. Ils risquent d’aller en taule. Il faut m’aider à les retrouver. Ne fais pas ta mère avec eux. »
A ce instant il sentit quelque chose s’abbattre sur son crâne. On lui tapait dessus. Cela faisait quand même mal. C’était Sam armé d’une tapette qui s’acharnait sur lui.
« - Lâches là ce n’est pas une faible femme, tu ne dois pas lui manquer de respect tu m’entends. Lâches là tout de suite.
- Oui, oui c’est bon je la lâches. Bon visiblement vu le peu d’entrain je vais me débrouiller tout seul, dit-il en s’éloignant un peu. Maintenant il faut que j’agisse vite. Il faut que je trouve la solution. Bon ben tant pis à situation exceptionnelle je vais utiliser des moyens exceptionnels. Je n’ai pas vraiment le choix. »
Il ouvrit son téléphone et pris une profonde inspiration et composa enfin un numéro de téléphone qu’il connaissait bien, un numéro qui il en était sûr règlerait tout les problèmes. Il était efficace. Elena se tourna vers lui avant de s’en aller pour son rendez-vous, Collagène Magazine sous le bras.
« - Jack tu fais quoi ?
- Ce que j’aurais toujours dû faire. »
Elena lâcha alors toutes ses affaires sous le poids de la révélation. Il osait.
« - Non pas ça.
- Si. J’appelles bien le portable de Danny. Ils sauront bien me dire où ils sont. »
De l’autré côté du téléphone Danny répondit après quelques temps.
« - Oui allo.
- < Danny ? >
- Jack je suis content de t’entendre. Je suis un peu occupé là mais je souhaitais vraiment t’avoir. Il s’est passé des tas de trucs.
- < Tu es où là ? >
- On est de l’autre côté des Catskills. C’est un peu loin mais c’est sympathique. Aouch.
- < Qu’est-ce qui t’arrive ? >
- Rien, rien. T’inquiétes.
- Fouilles le entièrement on sait jamais. Ils pourraient avoir de la drogue sur lui.
- Les mains sur le capot toi.
- < Danny il y a un problème ? >
- Ben c’est à dire que l’on a fait une petite rencontre. Mais... euh... dit Jack tu pourrais venir plutôt car on aurait peut-être, je dis bien peut-être besoin de toi. Un détail à régler hein. Mais tout de même ton aide serait la bienvenue.
- Toi la tête contre la voiture. J’ai dit la tête contre la voiture ! Et écartes les jambes.
- Bon c’est pas tout ça Jack mais je vais devoir te laisser. Je passes sous un tunnel.
- < Mais je vous retrouves où ? >
- Ne t’inquiètes pas tu devrait avoir un coup de fil pour te le dire. Bises. »
Il raccrocha alors de la langue pendant qu’on lui passait les bracelets. Martin était allongé sur le sol et il ne devait qu’à sa volonté de farouche de partir qu’on ne lui pas fait une fouille rectale. Gorly avait mis sa menace à exécution. Ce que les gosses prenait pour un pistolet à eau était en fait un sig Sauer. Une vingtaine y était passé. Les parentes avait pleuré de perdre aussi vite les allocations, puis ils s’étaient resaisient en découvrant un retour de leur vie de célibataire ou de jeune couple. Évidemment les flics avait débarqué. Gorly la célébrité n’avait pas été inquiété. Par contre ces deux assistants qui avaient tentés de passer dans le spectacle déguisés en clown dans une pousette pour Martin et la tenant pour Danny, parurent vite suspect. La course s’arrêtait donc là. Ils grimpèrent tout deux dans la voiture de police. Après un petit choc en entrant pour Danny, avec encore son nez rouge pour Martin. En partant ils apercurent Gorly qui fumait sa clope et qui leur fit un signe. Il avait l’air mieux.
Il siflottait guillerettement un air que lui seul connaissait. Dans l’ascenseur il se permit de lâcher une petite caisse même s’il n’était pas seul, car il n’ignorait qu’il était de ceux fourbes qui agissaient en silence. Tout le monde se regarda ensuite comme s’ils étaient tous des porcs en puissance. Lorsque la porte s’ouvrit Jack descendit à son étage. L’activité du bureau ne cessait jamais. C’était comme une fourmilière en continuelle ébullition. Tout juste s’accordait-elle un pause la nuit. Ces jours-ci Jack s’accordait beaucoup de pauses.
Mais désormais il en avait eu la confirmation c’était bien ses agents qui étaient pourchassés dans le New-Jersey. Le chef de la police local qui avait du confondre l’eau et le gin à cause de la couleur ne voula rien entendre. Désormais il devait agir seul. Alors il alla vers son bureau. Au passage deux ou trois jeunes filles qu’il croisait furent surprises des mains aux fesses qu’il fit. Honteusement surprises bien sûr. Mais à un boss on ne dit rien, même quand il est con. Il arriva dans l’Open Space où les trois filles étaient réunies et lança sans même un préliminaire.
« - Réunion dans deux minutes dans mon bureau, c’est une urgence. »
Bon c’est vrai que le deux minutes et le urgence n’allait pas trop ensemble. Mais avant de le dire dans sa tête ça sonnait bien. Il s’installa donc à son bureau et attendit que ces hommes, enfin ses femmes vienne le rejoindre. Pour attendre il consulta ses messages sur son répondeur. Pour la quatre-vintième fois de la journée et toujours rien. Puis il replaca certains objets rangea deux ou trois dossiers, tourna sur son siège, joua avec son jeu de fléchette, fit un petit mikado avec ses crayons, agraffa près de quarante-deux fois une seule feuille, essaya de lancer son stylo en l’air et le rattraper. Ce qu’il fit très souvent, une fois sur dix. Utilisa sa poubelle comme panier de basket. Et puis quand il se rendit compte que les filles ne viendraient pas, il pensa que peut-être il vallait mieux qu’il aille les voir par lui même.
Elles n’avaient pas du tout bougé de l’Open Space, comme si elles étaient scellées sur place. Tout juste levèrent-elles la tête à son retour. Viviane fut la première à lui parler.
« - Ah c’était vraiment urgent, dit-elle en posant un dossier et en faisant un mouvement signifiant que enfin elle allait rejoindre le bureau de Jack.
- Bah oui. Mais maintenant que je suis là ne bouge pas. C’est au sujet de Danny et Martin. Je crois savoir où ils sont.
- Une affaire de résolue, enfin, je m’inquiétais, on a paumé nos dix derniers disparus nota Elena.
- Et donc. Ils ont quand même un problème. Les flics sont à leur recherche. Et plutôt pour les coffrer. Donc je vais avoir besoin de vous pour les récupérer avant. Il faut savoir où ils sont. Elena ?
- Ah non je peut rien faire moi. J’ai rendez vous avec mon coiffeur et après j’ai une visite préopératoire qui m’attend. Désolé Jack.
- Merde c’est vrai tu es coincée. Sam ?
- Quoi encore, qu’est-ce qu’il y a comment tu me parles, hurla-t-elle en se levant ? Je ne suis pas une faible femme. Tu dois pas me manquer de respect. Ok. Je suis pas ton petit chien-chien. Les femmes sont les égales de l’homme.
- Euh, oui, oui je voulais juste de demander un peu d’aide mais je vois que tu es occupée.
- Ah ok, pardon, je me suis emportée, je suis un peu sur les nerfs en ce moment. Mais on n’est plus ensemble désormais hein ?
- Euh oui je crois, aux dernières nouvelles en tout cas. Bon Viviane.
- Oui Jack répondit-elle en se levant à son tour.
- Il faut prendre nos deux gusses rapidement et leur faire arrêter leurs conneries, dit-il en s’approchant d’elle.
- Oh tu sais Jack c’est pas trop grave ce sont des grands enfants c’est tout, c’est de leur âge. Ils font quelques bétises mais ils ne sont pas méchants. Dès qu’ils auront compris ils reviendront.
- Mais Viviane réveille toi, dit-il en la secouant par les épaules. Ils risquent d’aller en taule. Il faut m’aider à les retrouver. Ne fais pas ta mère avec eux. »
A ce instant il sentit quelque chose s’abbattre sur son crâne. On lui tapait dessus. Cela faisait quand même mal. C’était Sam armé d’une tapette qui s’acharnait sur lui.
« - Lâches là ce n’est pas une faible femme, tu ne dois pas lui manquer de respect tu m’entends. Lâches là tout de suite.
- Oui, oui c’est bon je la lâches. Bon visiblement vu le peu d’entrain je vais me débrouiller tout seul, dit-il en s’éloignant un peu. Maintenant il faut que j’agisse vite. Il faut que je trouve la solution. Bon ben tant pis à situation exceptionnelle je vais utiliser des moyens exceptionnels. Je n’ai pas vraiment le choix. »
Il ouvrit son téléphone et pris une profonde inspiration et composa enfin un numéro de téléphone qu’il connaissait bien, un numéro qui il en était sûr règlerait tout les problèmes. Il était efficace. Elena se tourna vers lui avant de s’en aller pour son rendez-vous, Collagène Magazine sous le bras.
« - Jack tu fais quoi ?
- Ce que j’aurais toujours dû faire. »
Elena lâcha alors toutes ses affaires sous le poids de la révélation. Il osait.
« - Non pas ça.
- Si. J’appelles bien le portable de Danny. Ils sauront bien me dire où ils sont. »
De l’autré côté du téléphone Danny répondit après quelques temps.
« - Oui allo.
- < Danny ? >
- Jack je suis content de t’entendre. Je suis un peu occupé là mais je souhaitais vraiment t’avoir. Il s’est passé des tas de trucs.
- < Tu es où là ? >
- On est de l’autre côté des Catskills. C’est un peu loin mais c’est sympathique. Aouch.
- < Qu’est-ce qui t’arrive ? >
- Rien, rien. T’inquiétes.
- Fouilles le entièrement on sait jamais. Ils pourraient avoir de la drogue sur lui.
- Les mains sur le capot toi.
- < Danny il y a un problème ? >
- Ben c’est à dire que l’on a fait une petite rencontre. Mais... euh... dit Jack tu pourrais venir plutôt car on aurait peut-être, je dis bien peut-être besoin de toi. Un détail à régler hein. Mais tout de même ton aide serait la bienvenue.
- Toi la tête contre la voiture. J’ai dit la tête contre la voiture ! Et écartes les jambes.
- Bon c’est pas tout ça Jack mais je vais devoir te laisser. Je passes sous un tunnel.
- < Mais je vous retrouves où ? >
- Ne t’inquiètes pas tu devrait avoir un coup de fil pour te le dire. Bises. »
Il raccrocha alors de la langue pendant qu’on lui passait les bracelets. Martin était allongé sur le sol et il ne devait qu’à sa volonté de farouche de partir qu’on ne lui pas fait une fouille rectale. Gorly avait mis sa menace à exécution. Ce que les gosses prenait pour un pistolet à eau était en fait un sig Sauer. Une vingtaine y était passé. Les parentes avait pleuré de perdre aussi vite les allocations, puis ils s’étaient resaisient en découvrant un retour de leur vie de célibataire ou de jeune couple. Évidemment les flics avait débarqué. Gorly la célébrité n’avait pas été inquiété. Par contre ces deux assistants qui avaient tentés de passer dans le spectacle déguisés en clown dans une pousette pour Martin et la tenant pour Danny, parurent vite suspect. La course s’arrêtait donc là. Ils grimpèrent tout deux dans la voiture de police. Après un petit choc en entrant pour Danny, avec encore son nez rouge pour Martin. En partant ils apercurent Gorly qui fumait sa clope et qui leur fit un signe. Il avait l’air mieux.
Re: Egarements [complète]
Je crois que j’ai les portugaises un peu trop ensablées
Elena se tourna vers lui avant de s’en aller pour son rendez-vous, Collagène Magazine sous le bras.
Au passage deux ou trois jeunes filles qu’il croisait furent surprises des mains aux fesses qu’il fit. Honteusement surprises bien sûr. Mais à un boss on ne dit rien, même quand il est con.
que des perles!!!
c'est a mourrir de rire!!
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Re: Egarements [complète]
Plus tu avances et plus je ris
Pauvre Jack lançé dans une cage aux lionnes
Alors je propose un rasage complet du crane Quand à sa visite, elle veur se refaire quoi ENCORE, tout est déjà faux
J'adore, j'adore
Pauvre Jack lançé dans une cage aux lionnes
Ah non je peut rien faire moi. J’ai rendez vous avec mon coiffeur et après j’ai une visite préopératoire qui m’attend.
Alors je propose un rasage complet du crane Quand à sa visite, elle veur se refaire quoi ENCORE, tout est déjà faux
J'adore, j'adore
clara- Président des USA
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Re: Egarements [complète]
coucou
je me met a lire les fic de tout mes auteurs préférés
je suis qu a la page trois mais je tiens deja a stipulé que j adore
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pimkie- Directeur Adjoint
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Re: Egarements [complète]
Je vous promet une suite très vite. Demain si possible sinon mardi. Merci de vos commentaires agréables.
Re: Egarements [complète]
je me marre toujours autant et maintenat les voilà maintenant entre les mains de la police...
j'attends avec impatience la venue deJack, car je sens que ç a va barder, les enfants !!
et l'autre gorly qui abat les gosses!!! ben non c'est pas marrant
on se croirait dans un bon louis de Funes avec toutes ces péripéties ...
vraiment vite vite une suite ...
j'attends avec impatience la venue deJack, car je sens que ç a va barder, les enfants !!
et l'autre gorly qui abat les gosses!!! ben non c'est pas marrant
on se croirait dans un bon louis de Funes avec toutes ces péripéties ...
vraiment vite vite une suite ...
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:je me marre toujours autant et maintenat les voilà maintenant entre les mains de la police...
j'attends avec impatience la venue deJack, car je sens que ç a va barder, les enfants !!
et l'autre gorly qui abat les gosses!!! ben non c'est pas marrant
on se croirait dans un bon louis de Funes avec toutes ces péripéties ...
vraiment vite vite une suite ...
Je vais faire mon possible promis. Et moi aussi même la scène avec Gorly m'a fait marré... Si, si mais le dit pas trop fort.
Re: Egarements [complète]
je t'avoue que je rigole tellement àchaque passsage que je ne sais plus lesquels citer !!
bon ben oui fais ce que tu peux pour la suite mais si tu la met aussi vite que le nombre de péripéties qu'ils leur arrivent ben je crois que nous allons trop apprécier !!
bon ben oui fais ce que tu peux pour la suite mais si tu la met aussi vite que le nombre de péripéties qu'ils leur arrivent ben je crois que nous allons trop apprécier !!
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:je t'avoue que je rigole tellement àchaque passsage que je ne sais plus lesquels citer !!
bon ben oui fais ce que tu peux pour la suite mais si tu la met aussi vite que le nombre de péripéties qu'ils leur arrivent ben je crois que nous allons trop apprécier !!
D'autant que je vous ait prévu quelques surprises même si je l'avoue je suis de plus en plus près de la fin.
Re: Egarements [complète]
ah nnon pas déjà !!!
mais tu peux toujours en rajouter de toute façon ...
et puis ça vudrais dire aussi que tu nous réserves une autre fic si je me souviens avec un ennemi de Jack qui ne lui veut pas que du bien!!! si je me souviens !!!
mais bon pour le moment fais durer le plaisir, svp!!!
mais tu peux toujours en rajouter de toute façon ...
et puis ça vudrais dire aussi que tu nous réserves une autre fic si je me souviens avec un ennemi de Jack qui ne lui veut pas que du bien!!! si je me souviens !!!
mais bon pour le moment fais durer le plaisir, svp!!!
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:ah nnon pas déjà !!!
mais tu peux toujours en rajouter de toute façon ...
et puis ça vudrais dire aussi que tu nous réserves une autre fic si je me souviens avec un ennemi de Jack qui ne lui veut pas que du bien!!! si je me souviens !!!
mais bon pour le moment fais durer le plaisir, svp!!!
C'est exactement ça. D'ailleurs il faudra bien qu'un jour je commence à l'écrir celle-là.
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:t'as intérêt !!!
mais bon pour le moment n'oublies pas nos suites !!!
Je ferais les deux... Sinon je sens que tu vas me taper.
Re: Egarements [complète]
te taper moi?
non j'ai mieux je t'intègre dans ma prochaine fic et je te fais passer un interrogatoire très musclé pour savoir où tu as caché ta fic et tes suites !!!!!! na !!
non j'ai mieux je t'intègre dans ma prochaine fic et je te fais passer un interrogatoire très musclé pour savoir où tu as caché ta fic et tes suites !!!!!! na !!
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:te taper moi?
non j'ai mieux je t'intègre dans ma prochaine fic et je te fais passer un interrogatoire très musclé pour savoir où tu as caché ta fic et tes suites !!!!!! na !!
Si tu veut cela ne me gène pas.
Re: Egarements [complète]
nathaloche a écrit:
ben au moins t'as pas peur !!!
Non je suis un garçon courageux...
Re: Egarements [complète]
Non pas encore. Bon allez la voici cette suite.
« - Tu sais que tu es mignon toi ? Ça te dirait de venir avec moi quand on sera tout les deux sortit ? Promis je te ferais pas payer. Je suis même sûr que tu pourrais gagner de l’argent.
- Merci mais... je préfère les hommes.
- C’est vrai mon chou demanda un homme déguisé en femme qui en s’approchant fit ressortir sa pomme d’Adam.
- D’âge mûr. »
À ce moment là le type en face avec son costume trois pièces et ses cinquantes balais commença à lui faire les yeux doux. Danny lui répondit sèchement n’y comptez sûrement pas.
Lui et Martin se trouvait dans une minuscule cellulle d’a peine 9m2 et qui sentait bon l’urine. Ce lieu avait un grand mérite ils n’y craignaient ni la chaleur ni les courants d’air. Martin tirait évidemment une gueule de trois mètres de long. Ils étaient entrés sur la piste du cirque pour sauver des gens dès qu’ils avaient entendus les coups de feu et c’était eux que l’on avait enfermé. Alors être dorénavant entre les alcooliques, les prostituées, les maris violents et les clients friqués des putes c’était pas franchement magnifique pour des agents du FBI. Mais bon Danny se disait qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui même, c’était lui qui avait entraîné tout cela avec son histoire de stylo. Il soupira profondément et regarda la lumière de la nuit à travers l’unique fenêtre pourvue de barreau.
Dans ce bleb paumé gérer un unique commissariats aurait été impossible. Alors l’ensemble des communes du coin s’était rassemblés pour mieux concentrés les ivrognes et les délinquants sexuels des environs. C’était donc la crème de la crème qui était là. Les deux garçons avaient une certaine chance.
Il devait être 3 ou 4 heures du matin et déjà la fatigue gagnait Danny. Ils ignoraient quand il pourrait vraiment se reposer sur un vrai lit. En priorité le sien ou celui qui serait accompagné d’une sympathique créature. Quand soudain la porte des cellules s’ouvrit un officier rentra des clés à la main. Il s’approcha de leur cellule et l’ouvrit.
« - Sortez vous deux dit-il en les désignant, vous êtes libres.
- Et nous alors mon cocos on fait quoi ?
- Vous restez là !
- Oh non alors on veux se tirer de là nous aussi. Allez vas-y fait nous sortir.
- Qu’est-ce qui s’est passé demanda Danny en sortant de la cellule ?
- Quelqu’un a payé votre caution. Allez à la porte je vous rejoins, je dois m’occuper de ça dit-il en poussant d’un gros coup de chaussure le travesti qui s’avançait vers la porte. »
Il sortit sa matraque et frappa un petit coup ce qui calma pas mal de monde. Danny qui se dirigea vers la porte comme on lui avait demandé observa qu’à côté il restait deux cellules vides. Il trouva cela étonnant alors que l’on s’entassait dans la première. Le policier dès qu’il eut fini avec ses prisonniers vint vers eux.
« - Et les deux autres c’est pourquoi demanda Danny en désignant les cellules vides ?
- C’est en cas de besoin.
- Et pourquoi vous ne l’utilisez pas là ?
- Parce qu’il n’y a pas besoin justement. »
Sans poser de question supplémentaire ils entrèrent dans le reste du commissariat. C’était malgré l’heure tardive l’effervescence. Ni Danny ni Martin n’aurait supposé qu’il y avait autant d’activité en pleine nuit dans des postes de police d’endroits pareils.
« - Mais non madame on ne peut pas faire condamné votre mari parce qu’il ne vous fait plus l’amour !
- Et bien c’est bien dommage.
- Je sais j’en parlerais justement à ma femme.
- Et donc vos voisins mettre la musique trop forte ? Vous l’entendez bien ? Ils habitent à deux kilomètres ?
- Non E.T. ne va pas débarquer tu sais ! Si une partie du blé est couché dans ce champ c’est parce que le vieux Matthew l’a fauché et qu’il était tellement bourré à ce moment là qu’il n’a pas pu faire le reste.
- Et moi je te dis que l’on ne se suicide pas de 11 coups de couteaux surtout dans le dos !
- J’ai un problème je bois.
- Oui effectivement c’est un problème.
- Et je tapes ma femme aussi.
- Oui ça aussi c’est un problème.
- Mais ce qu’il y a de bien c’est que je ne peut pas faire deux choses en même temps. Donc c'est pas trop souvent pour elle.
- Non ! Non ! Non ! On ne tue pas le facteur parce qu’il a oublié une lettre ! Ce n’est pas ça le deuxième amendement dans la constitution. À la rigueur un coup dans les genoux pourquoi pas, mais dans le crâne tu avais perdu la tête ?
- Ben pour l’occasion là c’est lui qui l’a perdue. D’ailleurs elle roulait bien la dernière fois que je l’ai vue.
- Entrez là leur dit le policier. Ils vous attends.
- Qui ça demanda Danny ?
- Moi répondit Jack qui était assis de l’autre côté de la table. »
C’était une des salles d’interrogatoire. Mais celui qui allait les interroger ferait bien plus mal que n’importe lequel des policiers réunis en ces lieux. Il leur intima de s’asseoir devant la table alors que lui même c’était levé. Et il est les contempla longuement. Ils avait en prime des gueules de détérés.
« - Bon je nous résume. Vous êtes inculpés de refus d’obtempérer, vol de voiture, faux et usage de faux en vous faisant passé pour quelqu’un d’autres, tentative de viol sur la personne de Shiley Books, cambriolage, délit de fuite, agression de plusieurs personnes diverses et variées, et vous seriez même peut-être impliqué dans une complicité de massacre en règle. Si l’on oublie vos nombreux excès de vitesse lors de la poursuite en voiture, cela en fait huit ou neuf selon les études.
- Oui mais j’ai mis mon clignotant la de la course-poursuite fit Martin qui à ce moment avait repris le volant.
- Je te rappelles que c’était du mauvais côté intervint Danny.
- Sauf que là c'était la tactique.
- Ne m’interrompez pas où je ne t’attendrais pas la fin de cette discussion pour vous descendre. Bon je ne sais pas pourquoi vous avez fait cela. Et je ne veux pas le savoir dit-il en se dirigeant vers Martin qui voulait de nouveau intervenir. Mais je me questionne sur le fait de vous reprendre dans mon équipe. Vous me direz entre la féministe acharné qui m’insulte dès que j’ose lui donnez un ordre, celle qui ne quitte plus son chirurgien qui lui a déjà tout refait, et la mémère qui confond prévenance et laisser faire, ça pourrait pas être pire avec vous deux ? Euh si en fait ça peut être pire. Je ne comprends pas pourquoi vous vous êtes tous ligué pour me gâcher ma journée. Je vous est fait quoi moi... »
Peu à peu alors que Jack parlait le sommeil gagnait Danny qui ne savait plus trop s’il était dans le monde réel ou dans son imaginaire. Car au moment où il leva brusquement la paupière il entendit un.
« - Well be-bop-a-lula she's my baby,
Be-bop-a-lula I don't mean maybe.
Be-bop-a-lula she's my baby
Be-bop-a-lula I don't mean maybe
Be-bop-a-lula she's my baby love,
My baby love, my baby love.»
Et à cet instant. Il vit Jack claquer des doigts et taper le sol en rythme avec sa jambe droite. Il avait sa main sur son ventre et commençait à la descendre tout le long. Sa jambe faisait des mouvements de plus en plus amples et il commença quelques pas de danse. On aurait dit le King mais disons plutôt de la version finale avec quelques kilos en trop. Et pour le final il exécuta un mouvement qui serait aussi peut-être venu de Mickaël Jackson avec un Waouh de toute beauté en tenant son entrejambe.
« - Danny ? Danny tu m’entends lui dit-il ensuite ? »
Mais Danny ne réagit pas, il le regarda avec deux gros yeux comme des soucoupes. Mais quand...
« - Danny cria-t-il !! »
Là il sursauta et remarqua Jack penché vers la table et le regardant fixement.
« - Oui, oui je t’écoutes. Je suis juste un peu fatigué par tout ça.
- Il y a intérêt. Je disais...
- Fais gaffe où il ne t’évitera pas la porchaine fois.
- Est-ce que tu l’a vu ?
- Qui ça ?
- Jack.
- Ben oui bien sûr.
- Mais quand il... non laisse tomber. »
Il se rendit compte que lui seul l’avait vu ainsi et qu’il vallait mieux oublier. Pourtant il commença à se sentir fatigué à nouveau et à s’assoupir. Ce n’était pas du tout la chose à faire mais il n’y pouvait rien. Il avait vraiment mal dormi la nuit d’avant et ils n’avait pas arrêtés tout les deux. Et là soudain. Ce fut Tom Jones qui était devant lui. Tom Jones dansant et chantant devant lui.
« - Sexbomb sexbomb you're my sexbomb. And you can give it to me when I need to be turned on. No, no. Sexbomb sexbomb you're my sexbomb. »
Il rêvait c’était évident et si Jack voyait cela il le tuerait. Il ne le laisserait passer ce coup-ci. C’était fini pour lui.
« - Danny !! »
« - Tu sais que tu es mignon toi ? Ça te dirait de venir avec moi quand on sera tout les deux sortit ? Promis je te ferais pas payer. Je suis même sûr que tu pourrais gagner de l’argent.
- Merci mais... je préfère les hommes.
- C’est vrai mon chou demanda un homme déguisé en femme qui en s’approchant fit ressortir sa pomme d’Adam.
- D’âge mûr. »
À ce moment là le type en face avec son costume trois pièces et ses cinquantes balais commença à lui faire les yeux doux. Danny lui répondit sèchement n’y comptez sûrement pas.
Lui et Martin se trouvait dans une minuscule cellulle d’a peine 9m2 et qui sentait bon l’urine. Ce lieu avait un grand mérite ils n’y craignaient ni la chaleur ni les courants d’air. Martin tirait évidemment une gueule de trois mètres de long. Ils étaient entrés sur la piste du cirque pour sauver des gens dès qu’ils avaient entendus les coups de feu et c’était eux que l’on avait enfermé. Alors être dorénavant entre les alcooliques, les prostituées, les maris violents et les clients friqués des putes c’était pas franchement magnifique pour des agents du FBI. Mais bon Danny se disait qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui même, c’était lui qui avait entraîné tout cela avec son histoire de stylo. Il soupira profondément et regarda la lumière de la nuit à travers l’unique fenêtre pourvue de barreau.
Dans ce bleb paumé gérer un unique commissariats aurait été impossible. Alors l’ensemble des communes du coin s’était rassemblés pour mieux concentrés les ivrognes et les délinquants sexuels des environs. C’était donc la crème de la crème qui était là. Les deux garçons avaient une certaine chance.
Il devait être 3 ou 4 heures du matin et déjà la fatigue gagnait Danny. Ils ignoraient quand il pourrait vraiment se reposer sur un vrai lit. En priorité le sien ou celui qui serait accompagné d’une sympathique créature. Quand soudain la porte des cellules s’ouvrit un officier rentra des clés à la main. Il s’approcha de leur cellule et l’ouvrit.
« - Sortez vous deux dit-il en les désignant, vous êtes libres.
- Et nous alors mon cocos on fait quoi ?
- Vous restez là !
- Oh non alors on veux se tirer de là nous aussi. Allez vas-y fait nous sortir.
- Qu’est-ce qui s’est passé demanda Danny en sortant de la cellule ?
- Quelqu’un a payé votre caution. Allez à la porte je vous rejoins, je dois m’occuper de ça dit-il en poussant d’un gros coup de chaussure le travesti qui s’avançait vers la porte. »
Il sortit sa matraque et frappa un petit coup ce qui calma pas mal de monde. Danny qui se dirigea vers la porte comme on lui avait demandé observa qu’à côté il restait deux cellules vides. Il trouva cela étonnant alors que l’on s’entassait dans la première. Le policier dès qu’il eut fini avec ses prisonniers vint vers eux.
« - Et les deux autres c’est pourquoi demanda Danny en désignant les cellules vides ?
- C’est en cas de besoin.
- Et pourquoi vous ne l’utilisez pas là ?
- Parce qu’il n’y a pas besoin justement. »
Sans poser de question supplémentaire ils entrèrent dans le reste du commissariat. C’était malgré l’heure tardive l’effervescence. Ni Danny ni Martin n’aurait supposé qu’il y avait autant d’activité en pleine nuit dans des postes de police d’endroits pareils.
« - Mais non madame on ne peut pas faire condamné votre mari parce qu’il ne vous fait plus l’amour !
- Et bien c’est bien dommage.
- Je sais j’en parlerais justement à ma femme.
- Et donc vos voisins mettre la musique trop forte ? Vous l’entendez bien ? Ils habitent à deux kilomètres ?
- Non E.T. ne va pas débarquer tu sais ! Si une partie du blé est couché dans ce champ c’est parce que le vieux Matthew l’a fauché et qu’il était tellement bourré à ce moment là qu’il n’a pas pu faire le reste.
- Et moi je te dis que l’on ne se suicide pas de 11 coups de couteaux surtout dans le dos !
- J’ai un problème je bois.
- Oui effectivement c’est un problème.
- Et je tapes ma femme aussi.
- Oui ça aussi c’est un problème.
- Mais ce qu’il y a de bien c’est que je ne peut pas faire deux choses en même temps. Donc c'est pas trop souvent pour elle.
- Non ! Non ! Non ! On ne tue pas le facteur parce qu’il a oublié une lettre ! Ce n’est pas ça le deuxième amendement dans la constitution. À la rigueur un coup dans les genoux pourquoi pas, mais dans le crâne tu avais perdu la tête ?
- Ben pour l’occasion là c’est lui qui l’a perdue. D’ailleurs elle roulait bien la dernière fois que je l’ai vue.
- Entrez là leur dit le policier. Ils vous attends.
- Qui ça demanda Danny ?
- Moi répondit Jack qui était assis de l’autre côté de la table. »
C’était une des salles d’interrogatoire. Mais celui qui allait les interroger ferait bien plus mal que n’importe lequel des policiers réunis en ces lieux. Il leur intima de s’asseoir devant la table alors que lui même c’était levé. Et il est les contempla longuement. Ils avait en prime des gueules de détérés.
« - Bon je nous résume. Vous êtes inculpés de refus d’obtempérer, vol de voiture, faux et usage de faux en vous faisant passé pour quelqu’un d’autres, tentative de viol sur la personne de Shiley Books, cambriolage, délit de fuite, agression de plusieurs personnes diverses et variées, et vous seriez même peut-être impliqué dans une complicité de massacre en règle. Si l’on oublie vos nombreux excès de vitesse lors de la poursuite en voiture, cela en fait huit ou neuf selon les études.
- Oui mais j’ai mis mon clignotant la de la course-poursuite fit Martin qui à ce moment avait repris le volant.
- Je te rappelles que c’était du mauvais côté intervint Danny.
- Sauf que là c'était la tactique.
- Ne m’interrompez pas où je ne t’attendrais pas la fin de cette discussion pour vous descendre. Bon je ne sais pas pourquoi vous avez fait cela. Et je ne veux pas le savoir dit-il en se dirigeant vers Martin qui voulait de nouveau intervenir. Mais je me questionne sur le fait de vous reprendre dans mon équipe. Vous me direz entre la féministe acharné qui m’insulte dès que j’ose lui donnez un ordre, celle qui ne quitte plus son chirurgien qui lui a déjà tout refait, et la mémère qui confond prévenance et laisser faire, ça pourrait pas être pire avec vous deux ? Euh si en fait ça peut être pire. Je ne comprends pas pourquoi vous vous êtes tous ligué pour me gâcher ma journée. Je vous est fait quoi moi... »
Peu à peu alors que Jack parlait le sommeil gagnait Danny qui ne savait plus trop s’il était dans le monde réel ou dans son imaginaire. Car au moment où il leva brusquement la paupière il entendit un.
« - Well be-bop-a-lula she's my baby,
Be-bop-a-lula I don't mean maybe.
Be-bop-a-lula she's my baby
Be-bop-a-lula I don't mean maybe
Be-bop-a-lula she's my baby love,
My baby love, my baby love.»
Et à cet instant. Il vit Jack claquer des doigts et taper le sol en rythme avec sa jambe droite. Il avait sa main sur son ventre et commençait à la descendre tout le long. Sa jambe faisait des mouvements de plus en plus amples et il commença quelques pas de danse. On aurait dit le King mais disons plutôt de la version finale avec quelques kilos en trop. Et pour le final il exécuta un mouvement qui serait aussi peut-être venu de Mickaël Jackson avec un Waouh de toute beauté en tenant son entrejambe.
« - Danny ? Danny tu m’entends lui dit-il ensuite ? »
Mais Danny ne réagit pas, il le regarda avec deux gros yeux comme des soucoupes. Mais quand...
« - Danny cria-t-il !! »
Là il sursauta et remarqua Jack penché vers la table et le regardant fixement.
« - Oui, oui je t’écoutes. Je suis juste un peu fatigué par tout ça.
- Il y a intérêt. Je disais...
- Fais gaffe où il ne t’évitera pas la porchaine fois.
- Est-ce que tu l’a vu ?
- Qui ça ?
- Jack.
- Ben oui bien sûr.
- Mais quand il... non laisse tomber. »
Il se rendit compte que lui seul l’avait vu ainsi et qu’il vallait mieux oublier. Pourtant il commença à se sentir fatigué à nouveau et à s’assoupir. Ce n’était pas du tout la chose à faire mais il n’y pouvait rien. Il avait vraiment mal dormi la nuit d’avant et ils n’avait pas arrêtés tout les deux. Et là soudain. Ce fut Tom Jones qui était devant lui. Tom Jones dansant et chantant devant lui.
« - Sexbomb sexbomb you're my sexbomb. And you can give it to me when I need to be turned on. No, no. Sexbomb sexbomb you're my sexbomb. »
Il rêvait c’était évident et si Jack voyait cela il le tuerait. Il ne le laisserait passer ce coup-ci. C’était fini pour lui.
« - Danny !! »
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