Déboires (centrée sur Martin) [complète]
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Ouais une suite c'est vraiment cro mignon
Euh... la suite stp stp
Euh... la suite stp stp
Winry3- Nouvelle recrue
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Localisation : New York (enfin dans mes rêves)
Date d'inscription : 21/04/2007
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Contente que tu te sois bien ressourcée et merci pour cette suite, c'était vraiment plein de tendresse
Et donc si j'ai bien compris maintenant que tu es en pleine forme, tu vas nous pondre plein de suites
Et donc si j'ai bien compris maintenant que tu es en pleine forme, tu vas nous pondre plein de suites
emimartin- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 493
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Date d'inscription : 20/05/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
clairounett a écrit:(merci de prendre de mes nouvelles (hihi))
Je sens comme de l'ironie dans ta phrase. Comme si tu sous-entendais que j'attendais quelque chose Mais je suis bien contente que tu aies mis une suite . Ils sont trop mimi ces deux Et Martin qui semble reprendre du poil de la bête, c'est bien
Mouchette- Directeur Adjoint
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Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Mouchette a écrit:clairounett a écrit:(merci de prendre de mes nouvelles (hihi))
Je sens comme de l'ironie dans ta phrase. Comme si tu sous-entendais que j'attendais quelque chose Mais je suis bien contente que tu aies mis une suite . Ils sont trop mimi ces deux Et Martin qui semble reprendre du poil de la bête, c'est bien
Nan justement ça m'a fait plaisir....
Par contre aujourd'hui c'est la fête du travail et donc je crois qu'il n'y aura pas de suite.... Nan mais en fait je ne suis pas là...
Mais merci pour les commentaires, que ce soit celles qui me suivent depuis le début ou celles qui viennent d'arriver, ça fait toujours plaisir et ça motive pour continuer..
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Les suites c'est mieux quand on ne les attend pas ... lol ...
Ce soir j'avais des idées destructrices, Martin en fait les frais...
Sur ce.... je vais me coucher.... Bonne lecture.
Dimanche 27 avril. Couloirs de l’Hôpital. 16h19.
Danny pousse Martin dans un fauteuil roulant.
Martin : au fait, je te coupe dans ton histoire mais j’ai peur d’oublier après. Merci de m’emmener faire un tour, ça me fait du bien.
Danny : c’est la première sortie de ta chambre ?
Martin : oui.
Danny : on peut aller au bout du couloir si tu veux, il y’a une grande baie vitrée qui donne sur le parc.
Martin : je veux bien, parce que la vue de ma chambre elle est pas terrible.
Danny : ça manque de belles filles, c’est ça ?
Martin, souriant : nan, j’en ai une déjà, plus que belle d’ailleurs.
Danny : quoi ? Me dis pas que tu ne regardes plus les filles parce que t’es casé.
Martin : j’ai pas dit ça… mais presque.
Danny : tu me rassures.
Martin, le coupant : je regarde, mais ça ne me fait pas plus d’effet que ça. Voilà tout.
Danny : je te reconnais bien là, le garçon bien élevé qui suit les règles et ne fait pas d’écart.
Martin : eh ça va toi… j’aime pas quand tu parles de moi comme ça. Et puis qu’est-ce que tu en sais que j’ai toujours été sage ?
Danny : c’était pas méchant Martin, tu le sais bien. Mais dis-moi, tu m’as caché des choses, racontes-moi tes exploits sexuels.
Martin, rigolant : qui t’a parlé de sexe ?
Danny : t’es grillé Martin !
Martin : laisse tomber Dan tu sauras rien de plus.
Danny, taquin : mince alors, j’aurai aimé avoir des infos sur tes faces cachées.
Martin : tu sais j’en suis pas bien fier de mes faces cachées.
Danny : t’as pas fait de conneries avec des filles quand même.
Martin : non, on m’a appris le respect des filles, et ça j’y tiens. Mais ‘fin voilà quoi tu me comprends.
Danny : ok c’est bon. Mais tu dis que t’es pas fier de tes faces cachées, ça veut dire quoi ?
Martin : ça veut dire que j’ai fait plusieurs conneries quand j’étais jeune, heureusement pour moi je ne me suis jamais fait attraper. Sinon je ne sais pas si j’aurai le parcours que j’ai aujourd’hui.
Danny : mais tes parents sont stricts, non ?
Martin : tu sais, poser beaucoup de limites ce n’est pas forcément bon, moi mes parents m’en ont trop posé quand j’étais gamin, et dès que j’ai pu les franchir, je l’ai fait. La tentation était grande et puis comme ils n’étaient pas souvent là…
Danny : tu ne m’en as jamais parlé.
Martin : je t’ai dit que j’en n’étais pas fier. D’ailleurs j’ai pas envie de m’étaler plus là-dessus.
Danny : d’accord. T’as un autre sujet de discussion à me proposer ?
Martin : je sais pas, si tu me parlais de ta journée ?
Danny, stoppant le fauteuil roulant : d’accord, mais je me pose avant. On est arrivé.
Martin : t’as raison, pose toi.
Danny : alors qu’est-ce que t’en dis ?
Martin : c’est sympa comme tout cette vue, ça change de mes murs blancs.
Danny, s’asseyant dans un fauteuil : tu m’étonnes, depuis plus de deux semaines que t’es là.
Martin : bon allez, c’est à toi de causer.
Danny : bah écoute, on en était rendu où hier ?
Martin : tu es venu le matin, mais t’es parti comme un voleur.
Danny, souriant : c’est vrai. Y’a une gamine de 13 ans qui a disparu de chez elle, elle est rentrée toute seule dans la soirée, après une brève fugue d’après les dires des parents qui nous ont contacté dès qu’elle est rentrée. Ce serait une histoire de mauvaises notes avec punition à la clef qui aurait déclanché tout.
Martin : le principal c’est qu’elle soit rentrée, saine et sauve.
Danny : vu les parents elle a dû se faire remonter les bretelles même s’ils étaient fous de joie quand on les a eu au téléphone.
Martin : ils ont intérêt à y aller doucement les parents, d’ici là qu’elle fugue à nouveau.
Danny : ça ne m’étonnerait pas qu’on ait à nouveau affaire à elle plus tard, ses parents la décrivent comme colérique, gentille mais colérique.
Martin : on sait à quoi s’attendre au moins avec elle. Et sinon ?
Danny : sinon, j’ai dîné avec Mamen au resto hier soir, et ce midi nous étions chez ses parents pour le déjeuner.
Martin : ça s’est bien passé ?
Danny : ça va, je m’entends de mieux en mieux avec son père.
Martin : c’est vrai qu’au début il était méfiant.
Danny : c’est normal je pense, d’un côté je lui ai pris sa fille, on verra quand on sera pères comment ce sera. Mais maintenant ça se passe bien, on a fait une petite ballade tous les quatre après, c’était détendu.
Martin : vous parler de fonder une famille avec Mamen ?
Danny : on va prendre notre temps, mais on est sur la même longueur d’ondes tous les deux à ce niveau là. Mais oui on y pense.
Martin : je suis content pour toi et Mamen.
16h58.
Danny : en reparlant du bureau, tu as appris que ton père avait été remplacé à son poste ?
Martin, d’un air las : ouais.
Danny : ça n’a pas l’air de t’emballer plus que ça.
Martin, détournant le regard : …
Danny : j’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?
Martin : baissant la tête : …
Danny : Martin !
Martin : …
Danny : pourquoi tu réponds pas ?
Martin : deux secondes…
Danny : ouah la tête que t’as toi, à faire dégueuler un rat !
Martin : je suis fatigué.
Danny : ça va ?
Martin : bof. Mais je sais pas, j’ai chaud, j’ai froid.
Danny, rigolant : t’as chaud ou t’as froid ? Parce que ce n’est pas la même chose.
Martin : putain Danny je suis sérieux !
Danny, surpris : c’est bon t’énerves pas, je te ramène dans ta chambre.
Martin, s’énervant : sérieux Danny, je déconne pas, je ne me sens vraiment pas bien. Laisse moi là et va chercher quelqu’un.
Danny, soudain inquiet : c’est vrai que ça n’a pas l’air d’aller.
Martin, tremblant : Danny, bouges ton cul !
Danny, touchant le front de Martin : mais t’es brûlant, et t’es trempé de sueur…
Martin : je sais, ça fait deux minutes que j’essaie de te le dire !
Danny, baissant les yeux : excuse-moi de ne pas m’en être aperçu plus tôt.
Martin : c’est pas grave, je voulais profiter de ce moment avec toi, je me sentais juste fatigué et je ne voulais pas t’inquiéter. Mais s’il te plait vas me chercher quelqu’un maintenant, je sais pas ce qui m'arrive.
Danny, paniqué : ok, ok.
Danny , s’adressant à un homme assis près de lui : dites-moi vous pouvez surveiller mon ami pendant que je vais chercher les soignants ?
Homme : bien sûr, mais dépêchez-vous il n’a pas l’air bien du tout votre ami….
Ce soir j'avais des idées destructrices, Martin en fait les frais...
Sur ce.... je vais me coucher.... Bonne lecture.
Dimanche 27 avril. Couloirs de l’Hôpital. 16h19.
Danny pousse Martin dans un fauteuil roulant.
Martin : au fait, je te coupe dans ton histoire mais j’ai peur d’oublier après. Merci de m’emmener faire un tour, ça me fait du bien.
Danny : c’est la première sortie de ta chambre ?
Martin : oui.
Danny : on peut aller au bout du couloir si tu veux, il y’a une grande baie vitrée qui donne sur le parc.
Martin : je veux bien, parce que la vue de ma chambre elle est pas terrible.
Danny : ça manque de belles filles, c’est ça ?
Martin, souriant : nan, j’en ai une déjà, plus que belle d’ailleurs.
Danny : quoi ? Me dis pas que tu ne regardes plus les filles parce que t’es casé.
Martin : j’ai pas dit ça… mais presque.
Danny : tu me rassures.
Martin, le coupant : je regarde, mais ça ne me fait pas plus d’effet que ça. Voilà tout.
Danny : je te reconnais bien là, le garçon bien élevé qui suit les règles et ne fait pas d’écart.
Martin : eh ça va toi… j’aime pas quand tu parles de moi comme ça. Et puis qu’est-ce que tu en sais que j’ai toujours été sage ?
Danny : c’était pas méchant Martin, tu le sais bien. Mais dis-moi, tu m’as caché des choses, racontes-moi tes exploits sexuels.
Martin, rigolant : qui t’a parlé de sexe ?
Danny : t’es grillé Martin !
Martin : laisse tomber Dan tu sauras rien de plus.
Danny, taquin : mince alors, j’aurai aimé avoir des infos sur tes faces cachées.
Martin : tu sais j’en suis pas bien fier de mes faces cachées.
Danny : t’as pas fait de conneries avec des filles quand même.
Martin : non, on m’a appris le respect des filles, et ça j’y tiens. Mais ‘fin voilà quoi tu me comprends.
Danny : ok c’est bon. Mais tu dis que t’es pas fier de tes faces cachées, ça veut dire quoi ?
Martin : ça veut dire que j’ai fait plusieurs conneries quand j’étais jeune, heureusement pour moi je ne me suis jamais fait attraper. Sinon je ne sais pas si j’aurai le parcours que j’ai aujourd’hui.
Danny : mais tes parents sont stricts, non ?
Martin : tu sais, poser beaucoup de limites ce n’est pas forcément bon, moi mes parents m’en ont trop posé quand j’étais gamin, et dès que j’ai pu les franchir, je l’ai fait. La tentation était grande et puis comme ils n’étaient pas souvent là…
Danny : tu ne m’en as jamais parlé.
Martin : je t’ai dit que j’en n’étais pas fier. D’ailleurs j’ai pas envie de m’étaler plus là-dessus.
Danny : d’accord. T’as un autre sujet de discussion à me proposer ?
Martin : je sais pas, si tu me parlais de ta journée ?
Danny, stoppant le fauteuil roulant : d’accord, mais je me pose avant. On est arrivé.
Martin : t’as raison, pose toi.
Danny : alors qu’est-ce que t’en dis ?
Martin : c’est sympa comme tout cette vue, ça change de mes murs blancs.
Danny, s’asseyant dans un fauteuil : tu m’étonnes, depuis plus de deux semaines que t’es là.
Martin : bon allez, c’est à toi de causer.
Danny : bah écoute, on en était rendu où hier ?
Martin : tu es venu le matin, mais t’es parti comme un voleur.
Danny, souriant : c’est vrai. Y’a une gamine de 13 ans qui a disparu de chez elle, elle est rentrée toute seule dans la soirée, après une brève fugue d’après les dires des parents qui nous ont contacté dès qu’elle est rentrée. Ce serait une histoire de mauvaises notes avec punition à la clef qui aurait déclanché tout.
Martin : le principal c’est qu’elle soit rentrée, saine et sauve.
Danny : vu les parents elle a dû se faire remonter les bretelles même s’ils étaient fous de joie quand on les a eu au téléphone.
Martin : ils ont intérêt à y aller doucement les parents, d’ici là qu’elle fugue à nouveau.
Danny : ça ne m’étonnerait pas qu’on ait à nouveau affaire à elle plus tard, ses parents la décrivent comme colérique, gentille mais colérique.
Martin : on sait à quoi s’attendre au moins avec elle. Et sinon ?
Danny : sinon, j’ai dîné avec Mamen au resto hier soir, et ce midi nous étions chez ses parents pour le déjeuner.
Martin : ça s’est bien passé ?
Danny : ça va, je m’entends de mieux en mieux avec son père.
Martin : c’est vrai qu’au début il était méfiant.
Danny : c’est normal je pense, d’un côté je lui ai pris sa fille, on verra quand on sera pères comment ce sera. Mais maintenant ça se passe bien, on a fait une petite ballade tous les quatre après, c’était détendu.
Martin : vous parler de fonder une famille avec Mamen ?
Danny : on va prendre notre temps, mais on est sur la même longueur d’ondes tous les deux à ce niveau là. Mais oui on y pense.
Martin : je suis content pour toi et Mamen.
16h58.
Danny : en reparlant du bureau, tu as appris que ton père avait été remplacé à son poste ?
Martin, d’un air las : ouais.
Danny : ça n’a pas l’air de t’emballer plus que ça.
Martin, détournant le regard : …
Danny : j’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?
Martin : baissant la tête : …
Danny : Martin !
Martin : …
Danny : pourquoi tu réponds pas ?
Martin : deux secondes…
Danny : ouah la tête que t’as toi, à faire dégueuler un rat !
Martin : je suis fatigué.
Danny : ça va ?
Martin : bof. Mais je sais pas, j’ai chaud, j’ai froid.
Danny, rigolant : t’as chaud ou t’as froid ? Parce que ce n’est pas la même chose.
Martin : putain Danny je suis sérieux !
Danny, surpris : c’est bon t’énerves pas, je te ramène dans ta chambre.
Martin, s’énervant : sérieux Danny, je déconne pas, je ne me sens vraiment pas bien. Laisse moi là et va chercher quelqu’un.
Danny, soudain inquiet : c’est vrai que ça n’a pas l’air d’aller.
Martin, tremblant : Danny, bouges ton cul !
Danny, touchant le front de Martin : mais t’es brûlant, et t’es trempé de sueur…
Martin : je sais, ça fait deux minutes que j’essaie de te le dire !
Danny, baissant les yeux : excuse-moi de ne pas m’en être aperçu plus tôt.
Martin : c’est pas grave, je voulais profiter de ce moment avec toi, je me sentais juste fatigué et je ne voulais pas t’inquiéter. Mais s’il te plait vas me chercher quelqu’un maintenant, je sais pas ce qui m'arrive.
Danny, paniqué : ok, ok.
Danny , s’adressant à un homme assis près de lui : dites-moi vous pouvez surveiller mon ami pendant que je vais chercher les soignants ?
Homme : bien sûr, mais dépêchez-vous il n’a pas l’air bien du tout votre ami….
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Hein, mais t'as fini d'être sadique. A peine mon Marty est presque rétabli que tu lui refous autre chose. Non mais, ça va pas ça .
Mais continue comme ça, j'attends la suite avec impatience (bon, je veux bien patienter un peu vu que là je dois aller en cours). C'est toujours aussi génial
Mais continue comme ça, j'attends la suite avec impatience (bon, je veux bien patienter un peu vu que là je dois aller en cours). C'est toujours aussi génial
Mrs Fitzie- Nouvelle recrue
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Localisation : La tête et le coeur à Disneyland; le reste à Bruxelles
Date d'inscription : 25/04/2007
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
C'est vrai que t'es vraiment sadique mais ça me plait bien vivement la suite
emimartin- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 20/05/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Une suite surprise!!
Mais qu'est-ce que tu nous fais là avec Martin Sadique, je te reconnais bien là. Maintenant, je ne sais pas si je vais pouvoir être patiente pour la suite...
Mais qu'est-ce que tu nous fais là avec Martin Sadique, je te reconnais bien là. Maintenant, je ne sais pas si je vais pouvoir être patiente pour la suite...
Apparemment, le "ressourçage" n'a pas eu de longs effetsCe soir j'avais des idées destructrices, Martin en fait les frais...
Mouchette- Directeur Adjoint
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Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Bon, je viens de relire le début de ta fic, par désespoir de voir enfin la suite. J'ai remarqué que ça fait une (1!) année que chaque fois que je viens sur ce forum, j'espère voir une de tes suites!
Je voudrais pas être un mais t'aurais pas une petite suite Stp??
Je voudrais pas être un mais t'aurais pas une petite suite Stp??
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 42
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Mouchette a écrit:Bon, je viens de relire le début de ta fic, par désespoir de voir enfin la suite. J'ai remarqué que ça fait une (1!) année que chaque fois que je viens sur ce forum, j'espère voir une de tes suites!
Je voudrais pas être un mais t'aurais pas une petite suite Stp??
Ouais je sais ça fait un an que je suis dessus...
Je vais m'atteler à écrire la suite.. promis..
Merci à toutes pour les comentaires ....
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Une suite... désolée d'avance, elle n'est pas longue.... mais je n'ai pas trop le temps en ce moment... je sais que c'est pas facile de se remettre dans une fic quand les suites ne sont pas régulières et fréquentes....
Merci de me lire (depuis si longtemps lol)
Et merci pour vos com' qui font toujours plaisir
HS : Mouchette, trouves-tu l'inspiration pour une nouvelle fic... ???
19h07.
Danny attend dans le couloir de l’hôpital lorsqu’un médecin vient à sa rencontre.
Danny : alors Docteur ?
Dr : écoutez, les premiers résultats ne sont pas très bons…ses symptômes nous font penser à un rejet de la greffe.
Danny : quoi ??? Mais comment ça ? Il allait très bien !!
Dr : nous le savons bien, mais cela peut arriver.
Danny, abattu : pas ça ! Pas Martin ! Pas encore ! Quelle poisse !
Dr : attendez, ne vous affolez pas non plus. Ce sont les symptômes d’un rejet, mais aussi de n’importe qu’elle infection…
Danny, le coupant : une infection, un rejet, vous en avez d’autres des pathologies à me sortir comme ça ?
Dr : laissez-moi le temps d’en placer une.
Danny : désolé, excusez-moi.. mais l’attente est horrible.
Dr : ce n’est rien. Pour en revenir au sujet de votre ami, il se peut qu’il ait attrapé froid, même dans sa chambre. Il est encore très fragilisé et est plus sensible aux virus qui trainent à cause de la greffe.
Danny : d’accord, mais quand est-ce qu’on saura si c’est grave ou pas ?
Dr : dans la soirée je pense, j’ai demandé à ce qu’on m’envoie en urgence les résultats de tous les examens que votre ami a subi. Par contre, les visites sont interdites pour l’instant. On surveille son état, on veut qu’il récupère aussi car ça l’a affaibli, et puis on veut le protéger de toute autre infection virale ou bactérienne jusqu’à ce qu’il aille mieux.
Danny : mais il reste dans sa chambre ?
Dr : oui, on ne va pas l’isoler dans un environnement stérile, en tout cas pour l’instant car il n’y a pas lieu de le faire. Donc vous pourrez toujours le voir à travers la vitre, comme au début de son hospitalisation.
Danny : d’accord. Est-ce que vous pourrez me tenir au courant des résultats de Martin ?
Dr : bien sûr, je le fais dès que je les ai. Mais… il y a un problème ?
Danny : oui enfin… j’ai préféré ne pas annoncer ce qui s’est passé cet après-midi à la compagne de Martin. Je préfère être auprès d’elle quand je lui dirai.
Dr : je comprends, et il faut la préserver. Donc je vous téléphone dès que j’ai des nouvelles.
Danny, tendant sa main : je vous remercie pour tout.
Dr, serrant sa main : je ne fais que mon métier. A plus tard Monsieur Taylor.
Lundi 28 Avril. 11h36. Bureaux du FBI.
Danny parle au téléphone.
Danny : salut vieille branche.
Voix : tiens donc mais qui m’appelle…
Danny : comment ça va Marty ?
Martin : ça va. Comme quelqu’un qui est malade.
Danny : tant mieux alors, le médecin m’avait prévenu hier soir. Mais tu m’as flanqué une sacré trouille vieux ! Ne t’avises jamais de me refaire ça…
Martin : je n’ai pas envie de retenter cette petite expérience non plus, je te rassure… pour le côté frissons on se fera un ciné.
Danny : dès que tu sors de ce truc on s’en fait un, promis. En tout cas ça fait plaisir de t’avoir au téléphone à défaut de te voir.
Martin : et moi donc…
Danny : tu sais quand est-ce qu’on va pouvoir à nouveau venir te voir ?
Martin : après-demain si tout va bien, en prenant tous des précautions m’a dit le médecin tout à l’heure.
Danny, rigolant : des précautions… hinhin…ça peut être intéressant mon petit Marty, qu’en dis-tu ?
Martin, rigolant à son tour : c’est cela.. dans tes rêves de beau gosse Danny boy … arrêtes de me draguer, je pourrais succomber à tes avances.. et puis il me semble qu’on est casés tous les deux… tu changeras pas toi !
Danny : et non. Enfin, verbalement je change pas… pour le reste Mamen est ce que qui m’est arrivé de mieux dans ma vie d’homme. Et je compte bien garder ma perle rare…
Martin : ouah Danny le romantique !
Danny : fous toi de moi…
Martin : je sais que tu es sérieux quand tu dis ça. J’ai juste envie de te titiller un peu comme tu sais si bien le faire avec moi.
Danny : ouais, enfin…
Martin : je suis à bonne école avec toi… un prof pareil ne peut que me faire m’améliorer.
Danny, hilare : le prof va changer ses cours, il ne tient pas à être imiter par son élève. Non mais.
Martin : en fait ça te fait flipper de savoir comment tu es…
Danny : bah un peu en fait. Bon je suis pas tout seul au boulot, ça te dis de parler aux autres ?
Martin : bien sûr.
Danny : je mets le téléphone en mode conférence, vas-y c’est fait, tout le monde t’entends.
Martin : salut tout le monde.
Jack, Vivian, Sam : salut Martin.
Vivian : alors il parait que tu fais des petits suspenses à Danny maintenant ?
Martin : et ouais.
Jack : plus sérieusement ça va comment ?
Martin : ça va.
Vivian : mais déjà, à t’entendre parler, on voit que c’est mieux, je me trompe ?
Martin : non, non, tu as raison.
Jack : si j’ai bien compris, on peut te voir dans deux jours ?
Martin : Ouais. Je vous attends avec impatience.
Sam : t’inquiètes pas on te téléphone de toute façon…
Martin : ça marche, bon courage à vous.
Jack, Vivian, Sam : merci, à toi aussi.
Danny : grosse bise.
Martin : mais oui je t’aime aussi Taylor.
Merci de me lire (depuis si longtemps lol)
Et merci pour vos com' qui font toujours plaisir
HS : Mouchette, trouves-tu l'inspiration pour une nouvelle fic... ???
19h07.
Danny attend dans le couloir de l’hôpital lorsqu’un médecin vient à sa rencontre.
Danny : alors Docteur ?
Dr : écoutez, les premiers résultats ne sont pas très bons…ses symptômes nous font penser à un rejet de la greffe.
Danny : quoi ??? Mais comment ça ? Il allait très bien !!
Dr : nous le savons bien, mais cela peut arriver.
Danny, abattu : pas ça ! Pas Martin ! Pas encore ! Quelle poisse !
Dr : attendez, ne vous affolez pas non plus. Ce sont les symptômes d’un rejet, mais aussi de n’importe qu’elle infection…
Danny, le coupant : une infection, un rejet, vous en avez d’autres des pathologies à me sortir comme ça ?
Dr : laissez-moi le temps d’en placer une.
Danny : désolé, excusez-moi.. mais l’attente est horrible.
Dr : ce n’est rien. Pour en revenir au sujet de votre ami, il se peut qu’il ait attrapé froid, même dans sa chambre. Il est encore très fragilisé et est plus sensible aux virus qui trainent à cause de la greffe.
Danny : d’accord, mais quand est-ce qu’on saura si c’est grave ou pas ?
Dr : dans la soirée je pense, j’ai demandé à ce qu’on m’envoie en urgence les résultats de tous les examens que votre ami a subi. Par contre, les visites sont interdites pour l’instant. On surveille son état, on veut qu’il récupère aussi car ça l’a affaibli, et puis on veut le protéger de toute autre infection virale ou bactérienne jusqu’à ce qu’il aille mieux.
Danny : mais il reste dans sa chambre ?
Dr : oui, on ne va pas l’isoler dans un environnement stérile, en tout cas pour l’instant car il n’y a pas lieu de le faire. Donc vous pourrez toujours le voir à travers la vitre, comme au début de son hospitalisation.
Danny : d’accord. Est-ce que vous pourrez me tenir au courant des résultats de Martin ?
Dr : bien sûr, je le fais dès que je les ai. Mais… il y a un problème ?
Danny : oui enfin… j’ai préféré ne pas annoncer ce qui s’est passé cet après-midi à la compagne de Martin. Je préfère être auprès d’elle quand je lui dirai.
Dr : je comprends, et il faut la préserver. Donc je vous téléphone dès que j’ai des nouvelles.
Danny, tendant sa main : je vous remercie pour tout.
Dr, serrant sa main : je ne fais que mon métier. A plus tard Monsieur Taylor.
Lundi 28 Avril. 11h36. Bureaux du FBI.
Danny parle au téléphone.
Danny : salut vieille branche.
Voix : tiens donc mais qui m’appelle…
Danny : comment ça va Marty ?
Martin : ça va. Comme quelqu’un qui est malade.
Danny : tant mieux alors, le médecin m’avait prévenu hier soir. Mais tu m’as flanqué une sacré trouille vieux ! Ne t’avises jamais de me refaire ça…
Martin : je n’ai pas envie de retenter cette petite expérience non plus, je te rassure… pour le côté frissons on se fera un ciné.
Danny : dès que tu sors de ce truc on s’en fait un, promis. En tout cas ça fait plaisir de t’avoir au téléphone à défaut de te voir.
Martin : et moi donc…
Danny : tu sais quand est-ce qu’on va pouvoir à nouveau venir te voir ?
Martin : après-demain si tout va bien, en prenant tous des précautions m’a dit le médecin tout à l’heure.
Danny, rigolant : des précautions… hinhin…ça peut être intéressant mon petit Marty, qu’en dis-tu ?
Martin, rigolant à son tour : c’est cela.. dans tes rêves de beau gosse Danny boy … arrêtes de me draguer, je pourrais succomber à tes avances.. et puis il me semble qu’on est casés tous les deux… tu changeras pas toi !
Danny : et non. Enfin, verbalement je change pas… pour le reste Mamen est ce que qui m’est arrivé de mieux dans ma vie d’homme. Et je compte bien garder ma perle rare…
Martin : ouah Danny le romantique !
Danny : fous toi de moi…
Martin : je sais que tu es sérieux quand tu dis ça. J’ai juste envie de te titiller un peu comme tu sais si bien le faire avec moi.
Danny : ouais, enfin…
Martin : je suis à bonne école avec toi… un prof pareil ne peut que me faire m’améliorer.
Danny, hilare : le prof va changer ses cours, il ne tient pas à être imiter par son élève. Non mais.
Martin : en fait ça te fait flipper de savoir comment tu es…
Danny : bah un peu en fait. Bon je suis pas tout seul au boulot, ça te dis de parler aux autres ?
Martin : bien sûr.
Danny : je mets le téléphone en mode conférence, vas-y c’est fait, tout le monde t’entends.
Martin : salut tout le monde.
Jack, Vivian, Sam : salut Martin.
Vivian : alors il parait que tu fais des petits suspenses à Danny maintenant ?
Martin : et ouais.
Jack : plus sérieusement ça va comment ?
Martin : ça va.
Vivian : mais déjà, à t’entendre parler, on voit que c’est mieux, je me trompe ?
Martin : non, non, tu as raison.
Jack : si j’ai bien compris, on peut te voir dans deux jours ?
Martin : Ouais. Je vous attends avec impatience.
Sam : t’inquiètes pas on te téléphone de toute façon…
Martin : ça marche, bon courage à vous.
Jack, Vivian, Sam : merci, à toi aussi.
Danny : grosse bise.
Martin : mais oui je t’aime aussi Taylor.
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Une suite, et en plus Martin va bien!! (même si mon côté sadique fait la g..., je préfère ça quand même, parce qu'il en a subi beacoup, notre Marty ).
Je suis TRES contente que tu as trouvé le temps d'écrire un (tout) petit bout, et, bien sûr, j'attends la suite avec impatience!!!!!!!
HS: l'inspiration pour une nouvelle fic est là, j'ai pas mal d'idées mais pas beaucoup de temps (je me tape quand même 4h de voyage pour aller à et revenir de ma place de stage chaque jour...). Mais j'ai quand même déjà écrit 27 pages Word. Ca avance donc gentiment, patience...
Je suis TRES contente que tu as trouvé le temps d'écrire un (tout) petit bout, et, bien sûr, j'attends la suite avec impatience!!!!!!!
HS: l'inspiration pour une nouvelle fic est là, j'ai pas mal d'idées mais pas beaucoup de temps (je me tape quand même 4h de voyage pour aller à et revenir de ma place de stage chaque jour...). Mais j'ai quand même déjà écrit 27 pages Word. Ca avance donc gentiment, patience...
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Mouchette a écrit: Une suite, et en plus Martin va bien!! (même si mon côté sadique fait la g..., je préfère ça quand même, parce qu'il en a subi beacoup, notre Marty ).
Je suis TRES contente que tu as trouvé le temps d'écrire un (tout) petit bout, et, bien sûr, j'attends la suite avec impatience!!!!!!!
HS: l'inspiration pour une nouvelle fic est là, j'ai pas mal d'idées mais pas beaucoup de temps (je me tape quand même 4h de voyage pour aller à et revenir de ma place de stage chaque jour...). Mais j'ai quand même déjà écrit 27 pages Word. Ca avance donc gentiment, patience...
merci pour ton com' Mouchette... et j'attend avec impatience ta fic alors... en fait prends ton temps mais écris-là aussi bien que tu sais le faire..avec ton mode sadique... lol
Voilà une suite...
Vendredi 12 Mai. Appartement de Martin. New York. 15h45.
Carol : bon retour à la maison, allez à toi l’honneur d’ouvrir la porte.
Martin : moi ? Pourquoi ?
Danny : allez Marty on est tous avec toi…
Carol : bon je t’ouvre la porte, tu peux rentrer.
Martin, tétanisé, scrutant l’appartement des yeux : c’est bizarre…. De revenir là-dedans.
Danny : entre Martin, ne reste pas dans l’entrée.
Martin, les yeux se remplissant de larmes : je ne sais pas si je vais réussir à revivre ici…
Carol, lui prenant la main : c’est l’histoire d’une semaine, on n’a pas le choix en attendant de s’installer dans le nouvel appartement qu’on a trouvé avec Danny.
Martin, crispé : je sais mais… non je suis désolé c’est pas possible, je ne peux pas, c’est trop horrible.
Carol : Martin…
Danny : viens, il est nickel ton appart.
Martin, reculant nauséeux : non Danny, ne me forcez pas à rentrer dans ce… dans ce truc.
Carol : d’accord, d’accord. Mais assieds toi au moins dans les escaliers avec Danny sinon tu vas fatiguer. Je vais te chercher une bassine au cas où… et un verre d’eau. Je reviens.
Danny, faisant s’asseoir Martin : ça va mieux ?
Martin, se prenant la tête dans les mains : il va revenir.
Danny : qui ça ?
Martin : le fou.
Danny : tu parles de Casey Finch ?
Martin : oui, je le sais il va revenir ici.
Danny : il est en tôle Martin, et pour un bon bout de temps.
Martin : ça ne change rien.
Danny : il est inoffensif là où il est.
Martin, relevant brusquement la tête : arrêtes Danny, me prend pas pour un con, tu sais très bien comment ça se passe. Même en tôle il a toujours ses relations. J’en ai marre que vous me preniez pour un abruti, je sais que j’ai des problèmes que j’arrive pas à régler, mais pour certaines choses mon cerveau peut encore fonctionner normalement.
Danny : ok, j’ai eu tort de dire ça, désolé. Mais Finch t’a choisi au hasard, n’importe quel membre de l’équipe aurait pu être visé. Tu étais de ceux qui ont procédé à l’interpellation de son frère, mais il l’a dit lui-même, il t’a pris au hasard pour assouvir sa vengeance.
Martin : mais ça n’empêche qu’il sait que je suis vivant, il est au courant des faits qui lui sont reprochés. Il savait tous mes moindres gestes, pourquoi ça changerait ?
Danny : t’es pas tout seul, on est là pour t’aider.
Martin : oui mais pas comme ça…et pas ici… y’a trop de choses qui se sont produites ici que je veux oublier… rien que de voir l’intérieur …
Danny : Martin, on ne sait pas ce qui s’est passé ici, tu ne veux pas en parler. Ni à nous, ni à ton psy…
Martin : et bah justement, il vaut mieux pas savoir des fois. C’est si important que ça de le savoir pour vous tous ?
Danny : je n’ai pas dit ça, mais c’est pour te faire prendre conscience qu’il faut que tu en parles, il suffit d’une personne, mais tu te détruits à garder ça pour toi.
Martin : je ne garde pas ça pour moi.
Danny : tu le dis à qui alors ?
Martin : …
Danny : c’est ça ?? Tu dessines ? Tu dessines ce qui t’es arrivé ? Tu dessines les scènes ? Avec toi et l’autre ordure dessus ?
Martin : et alors, qu’est-ce que ça peut te faire ?
Danny : je sais pas, c’est juste incroyable.
Martin : c’est pas incroyable…c’est comme ça.
Danny : bon on va pas se prendre la tête pour ça.
Martin : non ce serait ringard.
Danny : je vais pas insister, mais tu auras quand même essayé de revenir. C’est ce que tu voulais, non ?
Martin : c’est ce que je voulais, mais je ne pensais pas que ça se passerait de cette façon…je ne croyais pas ça si dur, je pensais être assez costaud pour pouvoir entrer.
Danny : tu ne pouvais pas prévoir à l’avance ta réaction. Le psy t’avait prévenu que ce serait difficile, il fallait essayer et ça tu l’as fait.
Martin : ouais.
(silence)
Martin, s’énervant : putain mais on était bien ici !
Carol, revenant : c’est vrai qu’on était bien ici…mais il va falloir que tu oublies ce qui s’est passé ici. Ce qui était bien et ce qui s’est passé.
Martin : y’a eu tellement de bons moments, et une journée vient tout détruire.
Carol, s’asseyant derrière lui pour lui masser la nuque : y’en aura plein d’autres bons moments dans notre nouvel appartement, et puis, il manquait une chambre dans celui-là…
Martin, retrouvant le sourire : effectivement, vu comme ça…
Carol : va falloir que tu joues les bricoleurs d’ailleurs…
Martin, se retournant vers elle : c’est vrai, mais on la fait de quelle couleur ?
Carol, l’embrassant : ah ça… il faut qu’on attende la prochaine écho… ou alors on garde la surprise, j’aimerai bien d’ailleurs.
Martin : je crois que je préfère la surprise aussi. Et toi Danny, tu voudrais être parrain d’un gars ou d’une fille ?
Danny : moi ? parrain ?
Carol : bien sûr, qui veux-tu que ce soit d’autre ? Bien sûr si tu l’acceptes.
Danny : mais y’a pas à réfléchir, c’est oui ! Moi je vois bien un petit mec…mais alors avec vous comme parents et moi comme conseiller séducteur ce sera le tombeur de ces dames.
Carol : Danny…
Danny : c’est bon je déconne. Mais ça me touche que vous me choisissiez.
Martin : y’avait pas d’autre choix possible, la question ne s’est même pas posée. C’était toi.
Danny : et la marraine ?
Carol : ma sœur. Ca te va ?
Danny : impec.
Carol : je veux pas casser l’ambiance mais va falloir qu’on prenne une décision pour ce soir…
Martin, soudain tendu : tout mais pas ici.
Carol : on peut dormir à l’hôtel, ce n’est qu’une semaine. Par contre ça va être galère avec ton traitement et tes soins…
Danny : tu as encore des soins ?
Martin, renfrogné : ouais, le traitement anti-rejet, les autres médocs, le kiné, les visites du médecin et tout le bordel qui va avec.
Danny : détend-toi vieux frère, ce qu’on peut faire pour l’instant c’est que vous venez dormir à la maison. Y’a une chambre inoccupée dans mon appart, je pense que ça ne dérangera pas Mamen que vous veniez à la maison.
Martin : t’es fou on va pas squatter chez toi, t’as déjà assez fait pour moi. J’ai pas envie d’être à nouveau un boulet.
Danny : tu n’as jamais été un boulet, et si je te le propose, c’est que ça ne me dérange pas et que ça peut vous dépanner une semaine tous les deux. Carol, tu es partante ?
Carol : si ça ne vous dérange pas Mamen et toi, alors oui. Ce sera plus facile je pense. Martin, t’en dis quoi ?
Martin, soupirant : je sais pas. Mais j’en ai marre d’être dépendant de tout le monde.
Danny : de toute façon, je ne te laisse pas le choix, tu viens à la maison cette semaine. Et pour le reste, arrêtes de te soucier, ça finira par redevenir normal et tu retrouveras ta vie d’avant.
Martin : laisse tomber Danny, j’ai besoin de tout le monde pour faire tout, y’a des fois je me dis que j’aurai mieux fallu y rester.
Carol, se mettant face à Martin pour lui prendre le visage entre ses mains : je t’interdis de dire ça. Ca me fait mal de t’entendre parler de cette façon… et puis tu ne t’es pas battu pour rien quand même !
Martin : désolé, je sais pas ce que j’ai, y’a des fois je rigole et deux minutes après je vois tout noir.
Danny : tu es juste d’humeur rapidement changeante, c’est ton traitement qui fait ça… mais comme tu vas diminuer les doses au fil des jours, tu verras tout rentrera dans l’ordre.
Martin : j’espère, en tout cas j’ai pas envie de vous perdre.
Carol : nous non plus Martin, on a failli te perdre mais maintenant tu es de nouveau parmi nous. Alors profite de cette deuxième chance qui t’est donnée.
Danny : et vis ta vie à fond, comme tu le faisais avant. Maintenant tu vas lever tes fesses et venir à la maison.
Martin, prenant la main de Carol en se levant : on y va alors.
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Une suite!! Je suis à chaque fois trop contente quand t'en mets une!! J'ai de nouveau adoré! Martin tout angoissé, j'avais tout mal pour lui J'adore comme tu décris ce qu'il ressent.
Et puis, j'aimerais bien que Martin confie ce qu'il s'est passé dans son appart' à Danny. Ca lui ferait du bien, j'en suis sûre... Et j'adorerais lire ce passage!
HS: concernant ma fic, j'ai doublé le nombre de pages, et j'espère pouvoir bientôt la poster... Ca me fait plaisir de savoir que j'aurai au moins une lectrice assurée
Dis-moi, t'as pas l'intentio de faire que l'autre salaud mette un contrat sur mon p'tit Martin, hein?mais ça n’empêche qu’il sait que je suis vivant, il est au courant des faits qui lui sont reprochés. Il savait tous mes moindres gestes, pourquoi ça changerait ?
J'ai d'abord lu "Maman"! Je me suis dit "Quoi, Danny vit encore chez sa mère!!??!!"je pense que ça ne dérangera pas Mamen que vous veniez à la maison.
Et puis, j'aimerais bien que Martin confie ce qu'il s'est passé dans son appart' à Danny. Ca lui ferait du bien, j'en suis sûre... Et j'adorerais lire ce passage!
HS: concernant ma fic, j'ai doublé le nombre de pages, et j'espère pouvoir bientôt la poster... Ca me fait plaisir de savoir que j'aurai au moins une lectrice assurée
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Je vien de tout lire d'un bloc!!!!!
et j'ai adoré!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La suite!!!!!
C'est super mais franchement côté sadique t'es pas mal non plus!!!!
et j'ai adoré!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La suite!!!!!
C'est super mais franchement côté sadique t'es pas mal non plus!!!!
Sleepy Tinky- Directeur Adjoint
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
the suite...tant attendu tant esperée...
merci de nous l'avoir mise...
en attendant la prochaine... avec toujours autant d'impatience...
merci de nous l'avoir mise...
en attendant la prochaine... avec toujours autant d'impatience...
manon- Stagiaire au FBI
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Merci les filles pour vos commentaires....
Une suite pour vous remercier..
Mercredi 24 mai. Bureaux du FBI. 8h15.
Vivian : bonjour Martin.
Martin : salut Vivian.
Vivian : tu es en retard pour ton retour officiel…
Martin, souriant : oh tu sais, je suis plus à ça près. Vu le temps que j’ai attendu pour revenir, je peux bien me faire plaisir.
Vivian : dis donc tu te dévergondes, tu traînes trop avec Danny toi… si tu commences à faire comme lui à arriver en retard.
Martin : ne t’inquiètes pas, je lui arrive pas à la cheville…En fait, j’ai croisé quelques personnes en chemin qui m’ont demandé des nouvelles.
Vivian : tu me rassures, j’ai vraiment cru que ton séjour chez Danny t’avait changé.
Martin : ça aurait pu…
Vivian : je suis heureuse de te voir revenir parmi nous.
Martin : merci Viv’. Ca fait vraiment du bien de revenir bosser, heureusement que l’aménagement de notre appartement m’a occupé, sinon j’allais devenir fou.
Vivian : en tout cas t’es bien là, et retrouver enfin toute l’équipe réunie, ça me donne la pêche.
Martin, inquiet : Mais j’espère que Jack ne va pas me cantonner au bureau parce que j’ai besoin de bouger.
Vivian : je l’espère aussi, enfin tu verras bien, mais jack voudra sûrement te parler avant de commencer la journée. Voilà Sam, elle a le sourire jusqu’aux oreilles.
Sam : donnant l’accolade à Martin : bon retour chez nous.
Martin : merci Sam. Dis donc, à te voir sourire comme ça, on dirait que tu as passé une bonne nuit. Je me trompe ?
Sam : j’ai passé une très bonne nuit, et je suis également ravie de te revoir au boulot.
Martin : et Hugo va bien je suppose.
Sam : il est en pleine forme. Jack et Danny ne sont pas encore là ?
Vivian : Jack est chez Van Doren, Danny devrait arriver sous peu.
Martin : Jack en a fini avec Van Doren, il arrive.
Sam : je sais pas ce qu’elle lui voulait.
Martin : cherche pas, c’est tout trouvé.
Sam, étonné : qu’est-ce que tu veux dire par : « c’est tout trouvé » ?
Martin : tu vas vite comprendre.
Jack : salut. Martin, je peux te parler deux minutes dans mon bureau ?
Martin, sur le défensive : tu peux.
Jack, entrant dans son bureau : assieds-toi.
Martin, s’exécutant : ok.
Jack : tu reprends ta place comme convenu aujourd’hui.
Martin : sur le terrain aussi où je dois rester au bureau ?
Jack : pour l’instant c’est bureau, mais de toute façon il n’y a pas d’enquête en cours.
Martin : pourquoi le bureau ?
Jack, ignorant la question : tu prends toujours un traitement anti-douleur ?
Martin, agacé : Non.
Jack : tu as toujours des soins ?
Martin : le traitement anti-rejet, les visites régulières chez le médecin et les examens. Pourquoi ?
Jack : parce que tu auras des bilans sanguins à faire toutes les semaines ainsi qu’une visite avec le médecin du service.
Martin, sortant de ses gonds : c’est pas vrai ! Vous vous foutez de moi ? Vous croyez pas que j’en ai suffisamment comme ça ?
Jack, gêné : c’est pas moi qui décide je te signale.
Martin : mais je m’en tape ! Tu sais très bien ce que j’ai vécu.
Jack : Martin s’il te plait calme toi, je suis obligé.
Martin : c’est pour ça que t’étais chez Van Doren ce matin ?
Jack : oui. Elle voulait mettre certaines choses au point, étant donné ce qui s’est passé après la fusillade lors de ton retour.
Martin, s’énervant : ça n’a rien à voir et tu le sais très bien !
Jack : la psy…
Martin, le coupant : Non !
Jack : c’est bon, je pense que j’ai compris.
Martin : désolé de t’avoir coupé la parole mais c'est trop abusé.
Jack : en tout cas, elle est là si tu en as besoin.
Martin : merci, mais je vais me passer d’elle.
Jack : Martin, s’il te plait.
Martin : T’as autre chose à me dire ou je peux rejoindre les autres ?
Jack, soupirant : vas rejoindre les autres.
8h23.
Danny : salut Marty
Martin, le visage fermé : salut.
Danny : qu’est-ce qui t‘arrive vieux ? T’es pas content de revenir ici ?
Martin : si, mais pas dans les conditions que Jack m’impose.
Danny : quelles conditions Martin ?
Martin, détournant la tête : …
Danny : Martin…
Danny, allant voir Sam et Vivian : c’est quoi ces conditions dont Martin me parle ?
Sam, haussant les épaules : je ne sais pas. En tout cas il est ressorti furieux du bureau de Jack.
Vivian : et depuis il ne veut pas parler.
Danny : je vais voir Jack.
Vivian : Danny je ne sais pas si c’est une bonne idée, tu es déjà arrivé bien en retard.
Danny, baissant la voix : et alors ? Il pourra me dire ce qu’il veut Jack, mais moi je ne laisse pas Martin comme ça.
Sam : si tu y vas, j’y vais aussi voir Jack. Si Martin se renferme comme ça, c’est qu’il s’est passé quelque chose.
Danny : et comme il ne veut pas parler…
Vivian : vous avez raison, je viens aussi.
Bureau de Jack. 8h29.
Danny, entrant sans frapper : c’est quoi le délire avec Martin ?
Jack, se réinstallant dans son siège : et bien j’ai le droit au comité de défense de Martin.
Vivian : Jack, je sais pas ce que tu lui as dit et imposé comme conditions, mais vu sa réaction, on s’inquiète.
Sam : sérieusement, regardes le !
Jack : j’ai des yeux, je vois sa réaction…et j’ai des oreilles aussi, je sais ce qu’il en pense.
Danny : alors pourquoi tu fais rien ?
Jack : avant de m’agresser tous, vous croyez que j’ai le choix ?
Sam : oui je pense que tu avais le choix, ça vient de Van Doren, mais je pense que tu pouvais faire quelque chose.
Danny : c’est quoi les conditions pour Martin ?
Jack, soufflant : bureau, contrôle médical et examens sanguins. Il aurait dû avoir aussi une séance par semaine chez la psy pour faire le point, mais j’ai pas pu finir…
Danny : alors je comprend sa réaction, et elle est toute en retenue je trouve… parce que vous vous rendez pas compte de ce que vous lui faites subir.
Vivian : Jack, c’est une greffe de rein qu’il a eu… et il est remis physiquement.
Sam : tu te rends compte un peu Jack ? Tu le prives de terrain et tu lui imposes des examens médicaux alors qu’il en a déjà à la pelle.
Vivian : il doit penser que vous n’avez aucune confiance en lui, et c’est ça vu ce que vous lui demandez.
Jack : et vous croyez que j’ai pas essayé ?
Danny : pas assez en tout cas vu le résultat.
Jack : et vous proposez quoi, vous qui êtes si malins ?
Sam : on va tous chez Van Doren et on s’explique calmement.
Jack : on peut essayer. Je vous garantis rien.
Vivian : on aura au moins essayé, on ne va pas laisser Martin comme ça. Lui qui remonte la pente doucement.
Danny : je ne vais pas y aller, parce que je risque de ne pas rester calme. Mais je vous fais confiance. Et puis, je vais rester avec Martin.
Jack : bon on y va maintenant alors, elle doit être encore dans son bureau.
Une suite pour vous remercier..
Mercredi 24 mai. Bureaux du FBI. 8h15.
Vivian : bonjour Martin.
Martin : salut Vivian.
Vivian : tu es en retard pour ton retour officiel…
Martin, souriant : oh tu sais, je suis plus à ça près. Vu le temps que j’ai attendu pour revenir, je peux bien me faire plaisir.
Vivian : dis donc tu te dévergondes, tu traînes trop avec Danny toi… si tu commences à faire comme lui à arriver en retard.
Martin : ne t’inquiètes pas, je lui arrive pas à la cheville…En fait, j’ai croisé quelques personnes en chemin qui m’ont demandé des nouvelles.
Vivian : tu me rassures, j’ai vraiment cru que ton séjour chez Danny t’avait changé.
Martin : ça aurait pu…
Vivian : je suis heureuse de te voir revenir parmi nous.
Martin : merci Viv’. Ca fait vraiment du bien de revenir bosser, heureusement que l’aménagement de notre appartement m’a occupé, sinon j’allais devenir fou.
Vivian : en tout cas t’es bien là, et retrouver enfin toute l’équipe réunie, ça me donne la pêche.
Martin, inquiet : Mais j’espère que Jack ne va pas me cantonner au bureau parce que j’ai besoin de bouger.
Vivian : je l’espère aussi, enfin tu verras bien, mais jack voudra sûrement te parler avant de commencer la journée. Voilà Sam, elle a le sourire jusqu’aux oreilles.
Sam : donnant l’accolade à Martin : bon retour chez nous.
Martin : merci Sam. Dis donc, à te voir sourire comme ça, on dirait que tu as passé une bonne nuit. Je me trompe ?
Sam : j’ai passé une très bonne nuit, et je suis également ravie de te revoir au boulot.
Martin : et Hugo va bien je suppose.
Sam : il est en pleine forme. Jack et Danny ne sont pas encore là ?
Vivian : Jack est chez Van Doren, Danny devrait arriver sous peu.
Martin : Jack en a fini avec Van Doren, il arrive.
Sam : je sais pas ce qu’elle lui voulait.
Martin : cherche pas, c’est tout trouvé.
Sam, étonné : qu’est-ce que tu veux dire par : « c’est tout trouvé » ?
Martin : tu vas vite comprendre.
Jack : salut. Martin, je peux te parler deux minutes dans mon bureau ?
Martin, sur le défensive : tu peux.
Jack, entrant dans son bureau : assieds-toi.
Martin, s’exécutant : ok.
Jack : tu reprends ta place comme convenu aujourd’hui.
Martin : sur le terrain aussi où je dois rester au bureau ?
Jack : pour l’instant c’est bureau, mais de toute façon il n’y a pas d’enquête en cours.
Martin : pourquoi le bureau ?
Jack, ignorant la question : tu prends toujours un traitement anti-douleur ?
Martin, agacé : Non.
Jack : tu as toujours des soins ?
Martin : le traitement anti-rejet, les visites régulières chez le médecin et les examens. Pourquoi ?
Jack : parce que tu auras des bilans sanguins à faire toutes les semaines ainsi qu’une visite avec le médecin du service.
Martin, sortant de ses gonds : c’est pas vrai ! Vous vous foutez de moi ? Vous croyez pas que j’en ai suffisamment comme ça ?
Jack, gêné : c’est pas moi qui décide je te signale.
Martin : mais je m’en tape ! Tu sais très bien ce que j’ai vécu.
Jack : Martin s’il te plait calme toi, je suis obligé.
Martin : c’est pour ça que t’étais chez Van Doren ce matin ?
Jack : oui. Elle voulait mettre certaines choses au point, étant donné ce qui s’est passé après la fusillade lors de ton retour.
Martin, s’énervant : ça n’a rien à voir et tu le sais très bien !
Jack : la psy…
Martin, le coupant : Non !
Jack : c’est bon, je pense que j’ai compris.
Martin : désolé de t’avoir coupé la parole mais c'est trop abusé.
Jack : en tout cas, elle est là si tu en as besoin.
Martin : merci, mais je vais me passer d’elle.
Jack : Martin, s’il te plait.
Martin : T’as autre chose à me dire ou je peux rejoindre les autres ?
Jack, soupirant : vas rejoindre les autres.
8h23.
Danny : salut Marty
Martin, le visage fermé : salut.
Danny : qu’est-ce qui t‘arrive vieux ? T’es pas content de revenir ici ?
Martin : si, mais pas dans les conditions que Jack m’impose.
Danny : quelles conditions Martin ?
Martin, détournant la tête : …
Danny : Martin…
Danny, allant voir Sam et Vivian : c’est quoi ces conditions dont Martin me parle ?
Sam, haussant les épaules : je ne sais pas. En tout cas il est ressorti furieux du bureau de Jack.
Vivian : et depuis il ne veut pas parler.
Danny : je vais voir Jack.
Vivian : Danny je ne sais pas si c’est une bonne idée, tu es déjà arrivé bien en retard.
Danny, baissant la voix : et alors ? Il pourra me dire ce qu’il veut Jack, mais moi je ne laisse pas Martin comme ça.
Sam : si tu y vas, j’y vais aussi voir Jack. Si Martin se renferme comme ça, c’est qu’il s’est passé quelque chose.
Danny : et comme il ne veut pas parler…
Vivian : vous avez raison, je viens aussi.
Bureau de Jack. 8h29.
Danny, entrant sans frapper : c’est quoi le délire avec Martin ?
Jack, se réinstallant dans son siège : et bien j’ai le droit au comité de défense de Martin.
Vivian : Jack, je sais pas ce que tu lui as dit et imposé comme conditions, mais vu sa réaction, on s’inquiète.
Sam : sérieusement, regardes le !
Jack : j’ai des yeux, je vois sa réaction…et j’ai des oreilles aussi, je sais ce qu’il en pense.
Danny : alors pourquoi tu fais rien ?
Jack : avant de m’agresser tous, vous croyez que j’ai le choix ?
Sam : oui je pense que tu avais le choix, ça vient de Van Doren, mais je pense que tu pouvais faire quelque chose.
Danny : c’est quoi les conditions pour Martin ?
Jack, soufflant : bureau, contrôle médical et examens sanguins. Il aurait dû avoir aussi une séance par semaine chez la psy pour faire le point, mais j’ai pas pu finir…
Danny : alors je comprend sa réaction, et elle est toute en retenue je trouve… parce que vous vous rendez pas compte de ce que vous lui faites subir.
Vivian : Jack, c’est une greffe de rein qu’il a eu… et il est remis physiquement.
Sam : tu te rends compte un peu Jack ? Tu le prives de terrain et tu lui imposes des examens médicaux alors qu’il en a déjà à la pelle.
Vivian : il doit penser que vous n’avez aucune confiance en lui, et c’est ça vu ce que vous lui demandez.
Jack : et vous croyez que j’ai pas essayé ?
Danny : pas assez en tout cas vu le résultat.
Jack : et vous proposez quoi, vous qui êtes si malins ?
Sam : on va tous chez Van Doren et on s’explique calmement.
Jack : on peut essayer. Je vous garantis rien.
Vivian : on aura au moins essayé, on ne va pas laisser Martin comme ça. Lui qui remonte la pente doucement.
Danny : je ne vais pas y aller, parce que je risque de ne pas rester calme. Mais je vous fais confiance. Et puis, je vais rester avec Martin.
Jack : bon on y va maintenant alors, elle doit être encore dans son bureau.
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
je vien de rattraper mon grand retard et j'air ecommencé du début parce que je ne me souvenais plus de l'histoire
je trouve cela GENIAL !!!
La relation adnny Martin est splendide dans tes dernières suites
vraiement j'adooore !!!
vivement la suite !!!
je trouve cela GENIAL !!!
La relation adnny Martin est splendide dans tes dernières suites
vraiement j'adooore !!!
vivement la suite !!!
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Et bien Nathaloche, tu as dû bien t'amuser à tout relire...
C'est vrai que c'est pas facile de s souvenir de l'histoire vu la distance entre deux suites... mes lectrices assidues depuis le début pourront témoigner...
En tout cas, ravie que ça te plaise.....
C'est vrai que c'est pas facile de s souvenir de l'histoire vu la distance entre deux suites... mes lectrices assidues depuis le début pourront témoigner...
En tout cas, ravie que ça te plaise.....
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Je confirme! Surtout concernant la longueur entre 2 suites...clairounett a écrit:C'est vrai que c'est pas facile de s souvenir de l'histoire vu la distance entre deux suites... mes lectrices assidues depuis le début pourront témoigner...
Sinon, clairounette, je t'aime aussi (en tout bien tout honneur )! Ta suite est comme d'habitude superbe!
Et j'espère que le comité de défense de Martin va bien se faire comprendre!
Dis-moi que je me fais des idées...: j'ai l'impression que ça sent la fin Ce n'est qu'une très mauvaise impression, hein?
Bon, trève de bavardages, et envoie la suite!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Superbe j'espère que Van Doren va changer d'avis parce que c'est vrai qu'elle abuse j'espère qu'on devra pas trop attendre la suite
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Merci pour les com' .
Voilà une suite pour vous...
8h46.
Danny : Martin, tu viens prendre un café avec moi ?
Martin, marmonnant : pas envie.
Danny : allez bouge tes fesses de cette chaise, on va causer deux minutes tous les deux.
Martin : causer de quoi ? Et d’abord, ils sont où les autres ?
Danny : chez Van Doren.
Martin : qu’est-ce qu’il font là-bas ?
Danny : ils sont partis plaider ta cause… et moi j’ai décidé de rester avec toi.
Martin : t’as peur que je fasse une connerie tout seul ?
Danny : non. En fait j’avais peur de péter un plomb chez Van Doren après ce qu’elle t’a imposé comme conditions.
Martin, souriant : t’as bien fait de ne pas y aller et puis…
Danny : et puis quoi ?
Martin, regardant Danny dans les yeux : et puis j’ai besoin que tu sois avec moi…
Danny, s’asseyant sur le bureau de Martin : n’empêche c’est fou comment nos relations ont évolué, on est passé de ne pas pouvoir se blairer à ne plus pouvoir se passer l’un de l’autre.
Moi aussi j’ai besoin que tu sois à mes côtés, c’est pour ça que je serai devenu fou si j’étais allé chez Van Doren.
Martin : c’est clair que nos débuts n’étaient pas glorieux.
Danny, se levant : bon c’est pas le tout mais moi j’ai besoin d’un café pour me mettre au boulot… parce que je te raconte pas j’ai pas beaucoup dormi cette nuit. Alors ce café ?
Martin : oui pour le café mais non. Ne me racontes pas tes exploits avec Mamen, j’ai bien compris que vous avez eu une nuit agitée tous les deux. Vous nous avez mis un petit Taylor en route ?
Danny : ça t’intéresse finalement de savoir ?
Martin, rigolant : bah juste ça…
Danny : et bien, on ne l’a pas mis en route si tu veux tout savoir.
Martin : vous en avez déjà parlé d’avoir un enfant tous les deux ? Parce que je vois dans tes yeux que ça ne te déplairait pas. Je me trompe ?
Danny : c’est vrai que j’aimerai bien avoir un enfant, j’y pense depuis quelques temps.
Martin : t’en as parlé avec Mamen ?
Danny : non. Je ne sais pas comment faire venir le sujet. J’ai peur de me prendre un vent. T’imagines si elle ne veut pas en avoir ?
Martin : tu sais ça m’a fait pareil avec Carol, et puis finalement je me suis lancé. J’ai bien fait car elle aussi le voulait secrètement. Alors, lance-toi avec Mamen, je suis sûr qu’elle meurt d’envie d’avoir un enfant avec toi.
Danny : va falloir trouver le courage, mais merci Martin.
Martin : eh, on est potes ou on l’est pas. Par contre va falloir que je me fasse à l’idée que tu vas devenir père un jour.
Danny, donnant une tape à Martin : espèce de …. Tu vas voir bientôt toi si tu vas rigoler avec les biberons et les couches, va falloir assurer dans et en dehors du lit quand le petit ou la petite Fitzgerald sera né parce que Carol va aller voir ailleurs sinon. Ca va pas faire trop pour toi ?
Martin : t’inquiètes Carol n’aura pas envie d’aller voir ailleurs.
9h13. Salle de repos.
Martin : finalement il était bon ce café.
Danny, prenant son téléphone : excuse Martin.
Martin : y’a pas de mal.
Danny : Taylor.
Danny : oui.
Danny : ok
Danny, raccrochant : à tout à l’heure.
Martin, regardant Danny : c’était Jack ?
Danny : oui.
Martin, triturant sa tasse : et qu’est-ce qu’il dit ?
Danny, soupirant : du bon et du moins bon. Je commence par quoi ?
Martin, fixant sa tasse : par ce qui est bon. Mais de toute façon, t’as eu beau paraître indifférent au téléphone, je te connais trop Danny… C’est plus mauvais que bon ce que tu vas me dire.
Danny, le regardant : je suis désolé Martin.
Martin, plongeant son regard dans celui de Danny : tu n’as pas à l’être, vous aurez fait ce que vous avez pu. Et quoi que tu m’annonces, j’apprécie votre démarche. Alors vas-y.
Danny, prenant une grande respiration : tu n’as plus les visites chez le médecin ni les examens à faire. Van Doren veut juste que tu fasses parvenir tes bilans au médecin d’ici.
Martin : je vais lui faire ce plaisir alors.
Danny : par contre elle maintient l’entretien avec la psychologue du service une fois par semaine.
Martin : elle rêve.
Danny : je sais que tu vois déjà un psychiatre, c’est abusé.
Martin, serrant sa tasse : et sinon, je suis toujours consigné au bureau ?
Danny : baissant les yeux : oui.
Martin, envoyant sa tasse se fracasser contre le mur : mais merde ! Qu’est-ce que je lui ai fait pour qu’elle me fasse ça !
Danny, se relevant précipitamment : du calme Martin.
Martin, furieux, prenant une chaise et la balançant à travers la pièce : j’en ai marre !!
Danny, enserrant Martin par derrière : je sais que c’est injuste mais tout casser ne va t’avancer à rien.
Martin, essayant de se libérer de l’étreinte de Danny : lâche moi !
Danny : non tu te calmes et je te lâche après.
Martin, tombant entraînant Danny dans sa chute : et merde !
Danny, allongé sur Martin : bon ben on a gagné, tu te calmes ou pas maintenant ? Parce qu’on n’a pas l’air de deux cons tous les deux dans cette position.
Martin : je m’en tape.
Danny : s’il te plaît Martin ça va pas faire avancer les choses.
Martin : c’est bon tu peux me lâcher.
Danny : sûr ?
Martin : oui.
Danny, se relevant : allez debout Martin.
Jack : entrant dans la salle de repos : Martin, qu’est-ce que tu fais par terre ? Mais qu’est-ce qui s’est passé ici ?
Danny : ben la réaction normale de Martin après que je lui ai donné les nouvelles.
Jack : ok.
Martin, se relevant et remettant ses vêtements en place : désolé Jack. Je vais tout nettoyer.
Jack : ne sois pas désolé, c’est plutôt à moi de l’être pour ne pas avoir pu faire plus pour toi auprès de Van Doren. Tu n’hésites pas à venir vers nous quatre si tu as des soucis Martin, tu peux compter sur nous pour te soutenir.
Martin : merci Jack.
Voilà une suite pour vous...
8h46.
Danny : Martin, tu viens prendre un café avec moi ?
Martin, marmonnant : pas envie.
Danny : allez bouge tes fesses de cette chaise, on va causer deux minutes tous les deux.
Martin : causer de quoi ? Et d’abord, ils sont où les autres ?
Danny : chez Van Doren.
Martin : qu’est-ce qu’il font là-bas ?
Danny : ils sont partis plaider ta cause… et moi j’ai décidé de rester avec toi.
Martin : t’as peur que je fasse une connerie tout seul ?
Danny : non. En fait j’avais peur de péter un plomb chez Van Doren après ce qu’elle t’a imposé comme conditions.
Martin, souriant : t’as bien fait de ne pas y aller et puis…
Danny : et puis quoi ?
Martin, regardant Danny dans les yeux : et puis j’ai besoin que tu sois avec moi…
Danny, s’asseyant sur le bureau de Martin : n’empêche c’est fou comment nos relations ont évolué, on est passé de ne pas pouvoir se blairer à ne plus pouvoir se passer l’un de l’autre.
Moi aussi j’ai besoin que tu sois à mes côtés, c’est pour ça que je serai devenu fou si j’étais allé chez Van Doren.
Martin : c’est clair que nos débuts n’étaient pas glorieux.
Danny, se levant : bon c’est pas le tout mais moi j’ai besoin d’un café pour me mettre au boulot… parce que je te raconte pas j’ai pas beaucoup dormi cette nuit. Alors ce café ?
Martin : oui pour le café mais non. Ne me racontes pas tes exploits avec Mamen, j’ai bien compris que vous avez eu une nuit agitée tous les deux. Vous nous avez mis un petit Taylor en route ?
Danny : ça t’intéresse finalement de savoir ?
Martin, rigolant : bah juste ça…
Danny : et bien, on ne l’a pas mis en route si tu veux tout savoir.
Martin : vous en avez déjà parlé d’avoir un enfant tous les deux ? Parce que je vois dans tes yeux que ça ne te déplairait pas. Je me trompe ?
Danny : c’est vrai que j’aimerai bien avoir un enfant, j’y pense depuis quelques temps.
Martin : t’en as parlé avec Mamen ?
Danny : non. Je ne sais pas comment faire venir le sujet. J’ai peur de me prendre un vent. T’imagines si elle ne veut pas en avoir ?
Martin : tu sais ça m’a fait pareil avec Carol, et puis finalement je me suis lancé. J’ai bien fait car elle aussi le voulait secrètement. Alors, lance-toi avec Mamen, je suis sûr qu’elle meurt d’envie d’avoir un enfant avec toi.
Danny : va falloir trouver le courage, mais merci Martin.
Martin : eh, on est potes ou on l’est pas. Par contre va falloir que je me fasse à l’idée que tu vas devenir père un jour.
Danny, donnant une tape à Martin : espèce de …. Tu vas voir bientôt toi si tu vas rigoler avec les biberons et les couches, va falloir assurer dans et en dehors du lit quand le petit ou la petite Fitzgerald sera né parce que Carol va aller voir ailleurs sinon. Ca va pas faire trop pour toi ?
Martin : t’inquiètes Carol n’aura pas envie d’aller voir ailleurs.
9h13. Salle de repos.
Martin : finalement il était bon ce café.
Danny, prenant son téléphone : excuse Martin.
Martin : y’a pas de mal.
Danny : Taylor.
Danny : oui.
Danny : ok
Danny, raccrochant : à tout à l’heure.
Martin, regardant Danny : c’était Jack ?
Danny : oui.
Martin, triturant sa tasse : et qu’est-ce qu’il dit ?
Danny, soupirant : du bon et du moins bon. Je commence par quoi ?
Martin, fixant sa tasse : par ce qui est bon. Mais de toute façon, t’as eu beau paraître indifférent au téléphone, je te connais trop Danny… C’est plus mauvais que bon ce que tu vas me dire.
Danny, le regardant : je suis désolé Martin.
Martin, plongeant son regard dans celui de Danny : tu n’as pas à l’être, vous aurez fait ce que vous avez pu. Et quoi que tu m’annonces, j’apprécie votre démarche. Alors vas-y.
Danny, prenant une grande respiration : tu n’as plus les visites chez le médecin ni les examens à faire. Van Doren veut juste que tu fasses parvenir tes bilans au médecin d’ici.
Martin : je vais lui faire ce plaisir alors.
Danny : par contre elle maintient l’entretien avec la psychologue du service une fois par semaine.
Martin : elle rêve.
Danny : je sais que tu vois déjà un psychiatre, c’est abusé.
Martin, serrant sa tasse : et sinon, je suis toujours consigné au bureau ?
Danny : baissant les yeux : oui.
Martin, envoyant sa tasse se fracasser contre le mur : mais merde ! Qu’est-ce que je lui ai fait pour qu’elle me fasse ça !
Danny, se relevant précipitamment : du calme Martin.
Martin, furieux, prenant une chaise et la balançant à travers la pièce : j’en ai marre !!
Danny, enserrant Martin par derrière : je sais que c’est injuste mais tout casser ne va t’avancer à rien.
Martin, essayant de se libérer de l’étreinte de Danny : lâche moi !
Danny : non tu te calmes et je te lâche après.
Martin, tombant entraînant Danny dans sa chute : et merde !
Danny, allongé sur Martin : bon ben on a gagné, tu te calmes ou pas maintenant ? Parce qu’on n’a pas l’air de deux cons tous les deux dans cette position.
Martin : je m’en tape.
Danny : s’il te plaît Martin ça va pas faire avancer les choses.
Martin : c’est bon tu peux me lâcher.
Danny : sûr ?
Martin : oui.
Danny, se relevant : allez debout Martin.
Jack : entrant dans la salle de repos : Martin, qu’est-ce que tu fais par terre ? Mais qu’est-ce qui s’est passé ici ?
Danny : ben la réaction normale de Martin après que je lui ai donné les nouvelles.
Jack : ok.
Martin, se relevant et remettant ses vêtements en place : désolé Jack. Je vais tout nettoyer.
Jack : ne sois pas désolé, c’est plutôt à moi de l’être pour ne pas avoir pu faire plus pour toi auprès de Van Doren. Tu n’hésites pas à venir vers nous quatre si tu as des soucis Martin, tu peux compter sur nous pour te soutenir.
Martin : merci Jack.
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Trop trop trop bien! J'ai adoré! Danny et Martin qui se confient Martin qui s'énerve (le lancer de tasse est ) Danny qui doit le calmer et ils tombent tous les 2 par terre Enfin, bref, tout est dans ce passage. Même si van Doren me fait ch... Elle exagère!
Ta suite m'a mise la larme à l'oeil, m'a fait mal au ventre pour mon ( ) Martin, mais elle est...
La suite quand tu veux/peux, mais le plus viiiiiiiiite possible serait le mieux!
Ta suite m'a mise la larme à l'oeil, m'a fait mal au ventre pour mon ( ) Martin, mais elle est...
La suite quand tu veux/peux, mais le plus viiiiiiiiite possible serait le mieux!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Age : 42
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Trop trop trop bien! J'ai adoré! Danny et Martin qui se confient Martin qui s'énerve (le lancer de tasse est ) Danny qui doit le calmer et ils tombent tous les 2 par terre Enfin, bref, tout est dans ce passage. Même si van Doren me fait ch... Elle exagère!
Ta suite m'a mise la larme à l'oeil, m'a fait mal au ventre pour mon ( ) Martin, mais elle est...
La suite quand tu veux/peux, mais le plus viiiiiiiiite possible serait le mieux!
et ben moi tout pareil
vivement la suite !!! c'est super
'adore Martin et Danny ensemble !!
Re: Déboires (centrée sur Martin) [complète]
Merci toutes les deux..... (Mouchette ton com' m'a fait trop tripper... lol)
Voilà une toute mini-suite..mais vraiment toute mini.. faut que je tape tout le reste qui est déjà écrit.. mais l'accès à MON ordi est parfois difficile..
Lundi 29 mai. 9h57. Bureaux du FBI.
Jack : venez tous, on a du boulot.
Danny : c’est pas trop tôt. Je commençais à m’endormir à faire que de la paperasse.
Sam, lançant un clin d’œil à Jack : euh Jack : je ne me sens pas bien, je préférerai rentrer chez moi.
Jack, répondant au clin d’œil de Sam : c’est vrai ma pauvre petite Sam ? Et bien comment on va faire déjà que Vivian est absente ! Va falloir que j’appelle Van Doren, j’ai vraiment besoin d’un agent qualifié pour cette affaire.
Danny, pouffant de rire : je sens qu’elle va aimer le coup de fil…Marty t’as des affaires pour aller sur le terrain ?
Martin : c’est quoi cette histoire ?
Jack, le téléphone à l’oreille : t’inquiètes on gère…
Martin, ne comprenant pas : de quoi ?
Danny : tais-toi et écoute.
Jack : oui Paula c’est Jack Malone. J’ai un problème d’effectif pour mon enquête, je n’ai ni Sam ni Vivian. J’ai besoin de Martin pour aller sur le terrain et d’un autre agent.
Jack : non c’est Martin que je veux, il me faut un agent compétant et il n’y a que lui.
Jack : c’est Martin ou rien Paula. Si tu ne me laisses pas Martin, je file l’enquête à quelqu’un d’autre.
Jack, triomphant : merci Paula. Oui. J’ai bien compris.
Jack, rangeant son téléphone : bon Martin je crois que tu as compris que tu vas pouvoir aller sur le terrain.
Martin, chamboulé : oui.
Sam : bon les gars, je vous laisse, vous nous le retrouvez ce disparu.
Martin, prenant les mains de Sam : je ne sais pas comment te remercier Sam.
Sam, l’embrassant sur la joue : alors ne me remercie pas. Depuis le début c’est prévu avec Jack. C’est tombé juste aujourd’hui où Vivian n’était pas là, mais ça aurait fini de la même façon si elle avait été là. Et puis je vais profiter de ma journée avec Hugo…c’est un pur hasard mais lui non plus ne bosse pas aujourd’hui.
Martin : passe une bonne journée Samantha.
Sam : merci. Montre à Van Doren ce que tu vaux.
Martin, rigolant : j’ai bien l’intention de lui rabattre le caquet à ma façon. Et toi soigne toi bien, et pas d’activité physique, t'as dit que tu te sentais pas bien !
Sam, s’en allant : je vais peut-être écouter tes conseils…enfin peut-être.
Voilà une toute mini-suite..mais vraiment toute mini.. faut que je tape tout le reste qui est déjà écrit.. mais l'accès à MON ordi est parfois difficile..
Lundi 29 mai. 9h57. Bureaux du FBI.
Jack : venez tous, on a du boulot.
Danny : c’est pas trop tôt. Je commençais à m’endormir à faire que de la paperasse.
Sam, lançant un clin d’œil à Jack : euh Jack : je ne me sens pas bien, je préférerai rentrer chez moi.
Jack, répondant au clin d’œil de Sam : c’est vrai ma pauvre petite Sam ? Et bien comment on va faire déjà que Vivian est absente ! Va falloir que j’appelle Van Doren, j’ai vraiment besoin d’un agent qualifié pour cette affaire.
Danny, pouffant de rire : je sens qu’elle va aimer le coup de fil…Marty t’as des affaires pour aller sur le terrain ?
Martin : c’est quoi cette histoire ?
Jack, le téléphone à l’oreille : t’inquiètes on gère…
Martin, ne comprenant pas : de quoi ?
Danny : tais-toi et écoute.
Jack : oui Paula c’est Jack Malone. J’ai un problème d’effectif pour mon enquête, je n’ai ni Sam ni Vivian. J’ai besoin de Martin pour aller sur le terrain et d’un autre agent.
Jack : non c’est Martin que je veux, il me faut un agent compétant et il n’y a que lui.
Jack : c’est Martin ou rien Paula. Si tu ne me laisses pas Martin, je file l’enquête à quelqu’un d’autre.
Jack, triomphant : merci Paula. Oui. J’ai bien compris.
Jack, rangeant son téléphone : bon Martin je crois que tu as compris que tu vas pouvoir aller sur le terrain.
Martin, chamboulé : oui.
Sam : bon les gars, je vous laisse, vous nous le retrouvez ce disparu.
Martin, prenant les mains de Sam : je ne sais pas comment te remercier Sam.
Sam, l’embrassant sur la joue : alors ne me remercie pas. Depuis le début c’est prévu avec Jack. C’est tombé juste aujourd’hui où Vivian n’était pas là, mais ça aurait fini de la même façon si elle avait été là. Et puis je vais profiter de ma journée avec Hugo…c’est un pur hasard mais lui non plus ne bosse pas aujourd’hui.
Martin : passe une bonne journée Samantha.
Sam : merci. Montre à Van Doren ce que tu vaux.
Martin, rigolant : j’ai bien l’intention de lui rabattre le caquet à ma façon. Et toi soigne toi bien, et pas d’activité physique, t'as dit que tu te sentais pas bien !
Sam, s’en allant : je vais peut-être écouter tes conseils…enfin peut-être.
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