La maison du bonheur
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Re: La maison du bonheur
Mama Mia !!!! La première partie fut chaude !!! Très chaude !!!!!!!
Comment Calliope a réussi à toucher son torse sans se rentre compte qu'il avait un micro ??? Il est vrai qu'elle avait d'autres chats à fouetter
Et Martin qui commence à faiblir devant la Mae ... rien de bon la-dedans
Mais vite une SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!
Comment Calliope a réussi à toucher son torse sans se rentre compte qu'il avait un micro ??? Il est vrai qu'elle avait d'autres chats à fouetter
Et Martin qui commence à faiblir devant la Mae ... rien de bon la-dedans
Mais vite une SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!
sandy- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 09/09/2007
Re: La maison du bonheur
sandy a écrit:Mama Mia !!!! La première partie fut chaude !!! Très chaude !!!!!!!
Comment Calliope a réussi à toucher son torse sans se rentre compte qu'il avait un micro ??? Il est vrai qu'elle avait d'autres chats à fouetter
Désolé j'ai fait une boulette bon ben disons qu'à ce moment là il l'avait mis dans son dos. Ca va là ?
Re: La maison du bonheur
oh Hio, j'en suis choquée
mais elle est pas sympa la fille, elle aurait pu le finir au moins
Martin joue avec le feu quand même !!!
la suite !!!
mais elle est pas sympa la fille, elle aurait pu le finir au moins
Martin joue avec le feu quand même !!!
la suite !!!
Théana- Président des USA
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Re: La maison du bonheur
Je n'ai pas encore rattrapé tout mon retard ...
mais j'aime beaucoup
mais j'aime beaucoup
Scully- Président des USA
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Re: La maison du bonheur
quelle suite mis c'est vrai que moi j'ai pensé tout de suite au icro et àcelui qui écoutait certainement alors j'ai pas pu m'empêcher de rire au fur et àmesure de la petite gaterie !!!
alors on part sur du rès chaud et ensuite danny qui lui remet els idées au clair
pour arriver sur du t martin qui commence à être envouté par la miss mae !!! ah non allez marty t'es plus fort que cela !!!
alors on part sur du rès chaud et ensuite danny qui lui remet els idées au clair
pour arriver sur du t martin qui commence à être envouté par la miss mae !!! ah non allez marty t'es plus fort que cela !!!
Re: La maison du bonheur
Hio-Tin-Vho a écrit: Désolé j'ai fait une boulette bon ben disons qu'à ce moment là il l'avait mis dans son dos. Ca va là ?
Pas de pb et sincèrement je l'ai bien vite oublié aussi le micro
sandy- Elève à Quantico
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Re: La maison du bonheur
sandy a écrit:Hio-Tin-Vho a écrit: Désolé j'ai fait une boulette bon ben disons qu'à ce moment là il l'avait mis dans son dos. Ca va là ?
Pas de pb et sincèrement je l'ai bien vite oublié aussi le micro
Mais en fait non je me suis pas trompé. J'avais oublié un élément. Vous verrez plus tard je vous expliquerais tout mais il n'y a aucune erreur. Sinon promis dès lundi je vous envoie une suite. Maintenant que je sais parfaitement où je vais. Je me suis fait un petit synopsis, cela ne devrait pas poser de problèmes...
Re: La maison du bonheur
tant que tu vas vers une fin heureuse moi ça me convient parfaitement !!! et puis il nous faut des répliques encore tordantes entre viking (alex) et dan !!!
Re: La maison du bonheur
nathaloche a écrit:tant que tu vas vers une fin heureuse moi ça me convient parfaitement !!! et puis il nous faut des répliques encore tordantes entre viking (alex) et dan !!!
Ca ça peut venir. Mais la fin heureuse c'est vite dit. Chut ! J'en ai trop dit. En tout cas évidemment je vous réserves plein de surprises, des bonnes comme des moins bonnes...
Re: La maison du bonheur
hio , te fais pas prier , postes nous la suite !!! j'epsère que tu seras resté gentil avec marty et dan !!!
Re: La maison du bonheur
nathaloche a écrit:hio , te fais pas prier , postes nous la suite !!! j'epsère que tu seras resté gentil avec marty et dan !!!
Désolé c'est que pour Lundi. Du rebondissements, des changements et du Danny ça te va ? Enfin pas dans les toutes premières suites tout de même...
Re: La maison du bonheur
Pas de suite avant Lundi
sandy- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 09/09/2007
Re: La maison du bonheur
ça va me laisser le temps de rattraper mon retard
Scully- Président des USA
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Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 05/02/2006
Re: La maison du bonheur
CA Y EST
J'ai tout ratrappé et qu'est ce que tu veux que je te dise: j'adore!!!!!!
C'est tout à fait ta plume, là tu nous embraque dans un monde...un monde...comment dire....particulier, je ne sais pas où tu veux en venir mais une chose est sur c'est supoer bien mené
J'ai lu tout ça comme un livre,
Alors je n'aurais qu'une chose à demandé: la suite, et j'ai vu que ce sera lundi
Vivement lundi et si en plus il y a du Danny...
HS
FIN HS
J'ai tout ratrappé et qu'est ce que tu veux que je te dise: j'adore!!!!!!
C'est tout à fait ta plume, là tu nous embraque dans un monde...un monde...comment dire....particulier, je ne sais pas où tu veux en venir mais une chose est sur c'est supoer bien mené
J'ai lu tout ça comme un livre,
Alors je n'aurais qu'une chose à demandé: la suite, et j'ai vu que ce sera lundi
Vivement lundi et si en plus il y a du Danny...
HS
- Spoiler:
- Sinon j'espère que ça va désolée mais cette semaine était plus que chargée et le temps me manque...la preuve je ne t'ai pas croisé une seule fois
Alors avec du retard aussi, je t'envoie plein de bisous mon trésor:
FIN HS
clara- Président des USA
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Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: La maison du bonheur
Mon ange et à tout le monde. Voici la suite. Alors pas de Danny au programme et je crains pas avant plusieurs suites. Mais quand même du tout bon. J'espère que vous allez aimer. Bon c'est un peu court par rapport à d'habitude mais promis je ferais plus long les fois prochaines.
Voilà, voilou...
Mercredi 19 Juin, Maison de Philippe Carver, Borough Park, Brooklyn
En plein coeur de Brooklyn à proximité de grands parcs de la ville vivait le couple Carver. Lui avocat fiscaliste gagnait très bien sa vie. Il menait grand train et cotoyait les grands de ce monde, il n'était pas rare de le voir dans les soirée mondaines du tout New-York. Elle qu'il avait croisé à la fac de droit c'était tournée vers le journaliste mais la sécurité de l'emploi n'était guère assurée dans ce domaine et rare était les occasions où elle pouvait espérer ramener un peu d'argent au foyer en vendant ses papiers. Les Carver vivaient comme tout les couples modernes, en dehors de chez eux. Mais cela ne les empêchaient pas de prêter beaucoup d'attention à leur chez eux, c'était l'image de marque du mari. Ainsi régulièrement un jardinier passait tondre la pelouse ou tailler la haie tandis que la femme de ménage s'occupait de l'intérieur. Ni monsieur ni madame Carver aurait pensé s'abaisser à ses tâches ingrates.
Alors le jardin avait tout des jardins impersonnels et froids. Il était beau mais parfaitement dans les normes, sans fantaisies, on de disait presque que les plans avaient été tracés à la règle.
Jack s'était dit que la présence de deux femmes auprès du mari ferait meilleur impression. Il allait certainement mettre un sacré souk à Roanoke et il ne fallait surtout pas le pousser à souffler à nouveau sur les braises. Ce fut donc Viviane et Elena qui se rendirent chez lui.
Le quartier n'était pas ce que l'on pouvait appeler un quartier chic mais ici le couple pouvait éviter la comparaison. Ils étaient les riches du coin et cela ça leur plaisait. Elena sonna. Derrière elle entendit « Attendez » porté par une homme à forte voix, puis au bout d'une minute le verrour fut enlevé et il ouvrit.
Un homme afroaméricain d'une trentaine d'années se tenait devant elles. Il avait les lèvres fines et la mâchoire prononcée. Il s'était rasé le crâne et avait dessinné son visage une très légère barbe qui le vieillissait. Visiblement c'était le but. Sans un mot à leur égard il les fit entrer. Il était resté au téléphone et dès qu'elles franchirent le pas de la porte, continua sa conversation dans la cuisine.
Les deux femmes en profitèrent pour faire un petit tour d'horizon de leur environnement. La table de salle à manger était celle art moderne d'un grand designer. Le sofa blanc cassé était posé à côté d'une table basse avec une plaque en marbre noir. D'ailleurs avec le rouge c'était les trois couleurs dominante au rez-de-chaussée. Blanc, noir et rouge. Au mur des tableaux, ou peut-être des posters encadrés pour faire comme de petits artistes contemporains qui débutaient. Elena souria en voyant qu'il n'y avait pas de cheminée. Danny aurait été déçu.
Elles ne se trouvaient pas dans le cliché des nouveaux riches qui étalaient leur argent mais plus dans celui de trentenaires adorant le cinéma bulgare et les yaourts sans sucre et vivant dans un loft pour faire genre. La sobriété à prix d'or.
Quand enfin Philippe Carver revint il éteignit son téléphone devant elles et le posa sur son socle.
- « Veuillez m'excuser ça n'a pas arrêté depuis ce matin. Principalement le journal d'Annette. Ils se réveillent enfin après toutes ses années. Que puis-je pour vous mesdames ? »
La dernière phrase sentait bon la formule de politesse savamment conçu pour activer les choses. Il fallait que ça se passe vite et bien.
- « Nous voudrions parler de votre femme.
- Vous aussi vous décoincer. Comme quoi j'avais raison. Ça va faire quoi ? Deux ans que j'ai déposé un dossier de disparition auprès du FBI. Et qu'est-ce qu'il en été ressorti ? Une enquête rapide, l'audition de deux ou trois personnes et la conclusion finale que ma femme était partie d'elle-même.
- Et bien maintenant nous sommes là.
- Que voulez vous savoir ?
- Tout d'abord pourquoi votre femme est-elle entrée dans ce mouvement ?
- Pour son travail. Elle souhaitait écrire un livre. Elle en avait marre de la rubrique des chats crevés ou des fêtes de quartier. Elle méritait bien mieux. Elle a donc chercher un sujet crédible et intéressant.
- Et pourquoi celui-ci monsieur Carver interrogea Viviane ?
- Pourquoi pas ? Ma femme voulait au départ dénoncer les réseaux terroristes infiltrés sur notre territoire. Mais aucun magazine ne voulait financer une enquête faite par une femme, jeune et noire de surcroît. »
Il pris bien le temps de regarder directement Viviane à ce moment là. Comme pour lui signifier que elle, elle devait comprendre. Viviane elle se demandait surtout où il voulait en venir.
- « Elle a donc rechercher des sujets moins onéreux pour un organe de presse. C'est là qu'elle est tombée sur des informations sur le net issues d'une ancienne adepte protégée par l'anonymat. »
- « Lorsqu'elle a commencé cette enquête je n'étais pas vraiment partisant, trop de danger, trop de stress pour moi. Je me voyais mal rentrer à la maison et me faire annoncer par un policier ou un agent du FBI comme vous qu'elle avait été retrouvée morte. Mais je dois l'admettre ce livre la passionnait, cela la rendait heureuse.
- Depuis combien de temps a-telle commencé cette enquête ?
- Les toutes premières recherches ? trois ans. Et puis c'est vite devenu plus intense. Elle allait régulièrement aux réunions, lisait beaucoup d'ouvrages, rentrait tard le soir ou même pas du tout. À chaque fois qu'elle me croisait elle voulait m'en parler, me raconter tout ce qui se passait. Moi je dois dire qu'à cette époque j'avais beaucoup d'autres soucis. Mais j'écoutais malgré tout.
- Et sa disparition ?
- Il y a deux ans et deux mois. Elle s'est rendue à un stage à Roanoke. Elle devait y rester une semaine. Et puis elle m'a rappelé pour me dire qu'elle resterait plus longtemps. Et une autre fois encore et puis plus rien. Évidemment j'ai appelé la police et vos services, je me suis rendu sur place. Mais personne ne voulait m'écouter. Je savais très bien que ma femme était en danger et que c'était là-bas que les choses se passaient.
- Pourquoi sortir ce livre que maintenant ?
- Parce que j'ai été occupé voyez vous ! Je suis resté plusieurs journées sans relâche à faire ma propre enquête. J'ai rassemblé toutes les informations que je trouvais sur cette soi-disante maison du bonheur. C'est d'ailleurs pourquoi j'ai fouillé ses notes, ses emails, consulter son ordinateur. J'ai même rencontré ses amis, les gens qu'elle avait vu là-bas et qui voulaient bien parler. Et c'est ainsi que je suis tombé sur cette première ébauche de son ouvrage. Le temps de trouver un éditeur. »
À ce moment là le téléphone se remit à sonner et Philippe Carver se leva pour aller décrocher. Une nouvelle fois Viviane et Elena durent attendre qu'il finisse sa conversation. Quand il revint il reposa une nouvelle fois le combiné sur son socle.
- « Excusez moi. On en était où ? Ah oui le livre. Je l'ai écrit pour sensibiliser les gens à ce genre de mouvement, pour les éclairer sur leurs dangerosités.
- Vous reversez les droits à une organisation de protection contre les sectes ?
- Non pourquoi.
- Juste pour savoir.
- Toujours est-il que j'ai le droit de savoir ce qui s'est passé dans cette maison. Je veux que les choses bougent.
- Vous avez de la chance elles vont bouger acquiesça Viviane.
- Très bien.
- Voici un mandat de perquisition pour tout les éléments ayant appartenus à votre femme ainsi que tout les documents qui ont attrait à ce livre. Ne vous inquiétez pas votre éditeur aura le même.
- Mais vous n'avez pas le droit !
- Justement si. »
Viviane savait qu'elle aurait dû prendre des gants et le regard que lui envoya Elena signifiait bien son étonnement face à sa réaction. Mais ce type l'énervait le plus haut point. Le point culminant fut lorsqu'il utilisa le fait qu'il était afroaméricain pour justifier son comportement arrogant et sûr de lui. Tout ce qu'elle voyait elle c'était que Martin était désormais en danger et que Roanoke était en ébullition.
Voilà, voilou...
Mercredi 19 Juin, Maison de Philippe Carver, Borough Park, Brooklyn
En plein coeur de Brooklyn à proximité de grands parcs de la ville vivait le couple Carver. Lui avocat fiscaliste gagnait très bien sa vie. Il menait grand train et cotoyait les grands de ce monde, il n'était pas rare de le voir dans les soirée mondaines du tout New-York. Elle qu'il avait croisé à la fac de droit c'était tournée vers le journaliste mais la sécurité de l'emploi n'était guère assurée dans ce domaine et rare était les occasions où elle pouvait espérer ramener un peu d'argent au foyer en vendant ses papiers. Les Carver vivaient comme tout les couples modernes, en dehors de chez eux. Mais cela ne les empêchaient pas de prêter beaucoup d'attention à leur chez eux, c'était l'image de marque du mari. Ainsi régulièrement un jardinier passait tondre la pelouse ou tailler la haie tandis que la femme de ménage s'occupait de l'intérieur. Ni monsieur ni madame Carver aurait pensé s'abaisser à ses tâches ingrates.
Alors le jardin avait tout des jardins impersonnels et froids. Il était beau mais parfaitement dans les normes, sans fantaisies, on de disait presque que les plans avaient été tracés à la règle.
Jack s'était dit que la présence de deux femmes auprès du mari ferait meilleur impression. Il allait certainement mettre un sacré souk à Roanoke et il ne fallait surtout pas le pousser à souffler à nouveau sur les braises. Ce fut donc Viviane et Elena qui se rendirent chez lui.
Le quartier n'était pas ce que l'on pouvait appeler un quartier chic mais ici le couple pouvait éviter la comparaison. Ils étaient les riches du coin et cela ça leur plaisait. Elena sonna. Derrière elle entendit « Attendez » porté par une homme à forte voix, puis au bout d'une minute le verrour fut enlevé et il ouvrit.
Un homme afroaméricain d'une trentaine d'années se tenait devant elles. Il avait les lèvres fines et la mâchoire prononcée. Il s'était rasé le crâne et avait dessinné son visage une très légère barbe qui le vieillissait. Visiblement c'était le but. Sans un mot à leur égard il les fit entrer. Il était resté au téléphone et dès qu'elles franchirent le pas de la porte, continua sa conversation dans la cuisine.
Les deux femmes en profitèrent pour faire un petit tour d'horizon de leur environnement. La table de salle à manger était celle art moderne d'un grand designer. Le sofa blanc cassé était posé à côté d'une table basse avec une plaque en marbre noir. D'ailleurs avec le rouge c'était les trois couleurs dominante au rez-de-chaussée. Blanc, noir et rouge. Au mur des tableaux, ou peut-être des posters encadrés pour faire comme de petits artistes contemporains qui débutaient. Elena souria en voyant qu'il n'y avait pas de cheminée. Danny aurait été déçu.
Elles ne se trouvaient pas dans le cliché des nouveaux riches qui étalaient leur argent mais plus dans celui de trentenaires adorant le cinéma bulgare et les yaourts sans sucre et vivant dans un loft pour faire genre. La sobriété à prix d'or.
Quand enfin Philippe Carver revint il éteignit son téléphone devant elles et le posa sur son socle.
- « Veuillez m'excuser ça n'a pas arrêté depuis ce matin. Principalement le journal d'Annette. Ils se réveillent enfin après toutes ses années. Que puis-je pour vous mesdames ? »
La dernière phrase sentait bon la formule de politesse savamment conçu pour activer les choses. Il fallait que ça se passe vite et bien.
- « Nous voudrions parler de votre femme.
- Vous aussi vous décoincer. Comme quoi j'avais raison. Ça va faire quoi ? Deux ans que j'ai déposé un dossier de disparition auprès du FBI. Et qu'est-ce qu'il en été ressorti ? Une enquête rapide, l'audition de deux ou trois personnes et la conclusion finale que ma femme était partie d'elle-même.
- Et bien maintenant nous sommes là.
- Que voulez vous savoir ?
- Tout d'abord pourquoi votre femme est-elle entrée dans ce mouvement ?
- Pour son travail. Elle souhaitait écrire un livre. Elle en avait marre de la rubrique des chats crevés ou des fêtes de quartier. Elle méritait bien mieux. Elle a donc chercher un sujet crédible et intéressant.
- Et pourquoi celui-ci monsieur Carver interrogea Viviane ?
- Pourquoi pas ? Ma femme voulait au départ dénoncer les réseaux terroristes infiltrés sur notre territoire. Mais aucun magazine ne voulait financer une enquête faite par une femme, jeune et noire de surcroît. »
Il pris bien le temps de regarder directement Viviane à ce moment là. Comme pour lui signifier que elle, elle devait comprendre. Viviane elle se demandait surtout où il voulait en venir.
- « Elle a donc rechercher des sujets moins onéreux pour un organe de presse. C'est là qu'elle est tombée sur des informations sur le net issues d'une ancienne adepte protégée par l'anonymat. »
- « Tu vois Philippe c'est pour ça que j'ai voulu faire ce métier pour empêcher de telles dérives.
- Quelles genres de dérives ?
- Et bien là la femme elle parle de choses terribles. De viols, d'agression d'enfants. Imagine que cela arrive à nos enfants.
- Mais on en a pas mon chou.
- Et alors si on en avait ce serait pareil. Je dois dénoncer cette organisation l'a montré sous son vrai visage. Les gens la voit comme une association d'aide au miséreux alors que c'est tout bonnement une organisation criminelle.
- Tu ne vas pas un peu vite en besogne ?
- Non pas du tout. Et puis je certaine que tout cette affaire peut faire bien plus qu'un article.
- Tu sais moi je suis d'accord sur tout ce qui fera ton bonheur.
- Tu es un amour. Il faut que j'infiltre cette secte.
- Ça peut-être dangereux ?
- Et alors Albert Londres s'est bien mis en danger lors de ses enquêtes, ce sont les risques du métier.
- Si tu le dis.
- « Lorsqu'elle a commencé cette enquête je n'étais pas vraiment partisant, trop de danger, trop de stress pour moi. Je me voyais mal rentrer à la maison et me faire annoncer par un policier ou un agent du FBI comme vous qu'elle avait été retrouvée morte. Mais je dois l'admettre ce livre la passionnait, cela la rendait heureuse.
- Depuis combien de temps a-telle commencé cette enquête ?
- Les toutes premières recherches ? trois ans. Et puis c'est vite devenu plus intense. Elle allait régulièrement aux réunions, lisait beaucoup d'ouvrages, rentrait tard le soir ou même pas du tout. À chaque fois qu'elle me croisait elle voulait m'en parler, me raconter tout ce qui se passait. Moi je dois dire qu'à cette époque j'avais beaucoup d'autres soucis. Mais j'écoutais malgré tout.
- Et sa disparition ?
- Il y a deux ans et deux mois. Elle s'est rendue à un stage à Roanoke. Elle devait y rester une semaine. Et puis elle m'a rappelé pour me dire qu'elle resterait plus longtemps. Et une autre fois encore et puis plus rien. Évidemment j'ai appelé la police et vos services, je me suis rendu sur place. Mais personne ne voulait m'écouter. Je savais très bien que ma femme était en danger et que c'était là-bas que les choses se passaient.
- Pourquoi sortir ce livre que maintenant ?
- Parce que j'ai été occupé voyez vous ! Je suis resté plusieurs journées sans relâche à faire ma propre enquête. J'ai rassemblé toutes les informations que je trouvais sur cette soi-disante maison du bonheur. C'est d'ailleurs pourquoi j'ai fouillé ses notes, ses emails, consulter son ordinateur. J'ai même rencontré ses amis, les gens qu'elle avait vu là-bas et qui voulaient bien parler. Et c'est ainsi que je suis tombé sur cette première ébauche de son ouvrage. Le temps de trouver un éditeur. »
À ce moment là le téléphone se remit à sonner et Philippe Carver se leva pour aller décrocher. Une nouvelle fois Viviane et Elena durent attendre qu'il finisse sa conversation. Quand il revint il reposa une nouvelle fois le combiné sur son socle.
- « Excusez moi. On en était où ? Ah oui le livre. Je l'ai écrit pour sensibiliser les gens à ce genre de mouvement, pour les éclairer sur leurs dangerosités.
- Vous reversez les droits à une organisation de protection contre les sectes ?
- Non pourquoi.
- Juste pour savoir.
- Toujours est-il que j'ai le droit de savoir ce qui s'est passé dans cette maison. Je veux que les choses bougent.
- Vous avez de la chance elles vont bouger acquiesça Viviane.
- Très bien.
- Voici un mandat de perquisition pour tout les éléments ayant appartenus à votre femme ainsi que tout les documents qui ont attrait à ce livre. Ne vous inquiétez pas votre éditeur aura le même.
- Mais vous n'avez pas le droit !
- Justement si. »
Viviane savait qu'elle aurait dû prendre des gants et le regard que lui envoya Elena signifiait bien son étonnement face à sa réaction. Mais ce type l'énervait le plus haut point. Le point culminant fut lorsqu'il utilisa le fait qu'il était afroaméricain pour justifier son comportement arrogant et sûr de lui. Tout ce qu'elle voyait elle c'était que Martin était désormais en danger et que Roanoke était en ébullition.
Re: La maison du bonheur
Cela devient chaud .... une petite suite encore ???
sandy- Elève à Quantico
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Age : 49
Date d'inscription : 09/09/2007
Re: La maison du bonheur
cette suite était prenante avec ce carver !!!et sa femme où est elle alors ? coincée dans cette secte ?? j'ai adoré ce style et vivi egale à elle m^me !!! je veux la suite ...et puis merci parce que y'avait un tit chouilla de danny (la cheminée !!! )
super , encore encore !!!
Re: La maison du bonheur
nathaloche a écrit:ravobom: je veux la suite ...et puis merci parce que y'avait un tit chouilla de danny (la cheminée !!! )
super , encore encore !!!
Je savais que cela plaîrait cette histoire de cheminée. Bon n'empêches que ce n'est pas Danny qui sera le centre d'intérêt ces temps-ci. Sinon je n'envoie la suite que demain car je n'en ai plus de véritablement prêtes. Et puis je dois tout revoir un passage qui ne plaît pas...
Re: La maison du bonheur
Vivement demain
sandy- Elève à Quantico
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Age : 49
Date d'inscription : 09/09/2007
Re: La maison du bonheur
nathaloche a écrit: pas de danny !!! et pas de suite avant demain !!!
Pas beaucoup de Danny. Mais ne t'inquiètes pas il sera présent. C'est un personnage central tout de même. Je lui ai même réservé une bonne place dans ma tête. Sauf que là j'ai commencé à centrer sur Martin. Tu m'en veut pas trop ?
Re: La maison du bonheur
ben non, mon petit hio, parce que ta fic est géniale et que tu lui donnes tout de même un rôle trop mimi à mon danny alors ... je passe le fait que c'est surtout centré marty ben vi quand on est taylorienne c'est jusqu'au bout
mais moi je dis j'aurais bien aimé le voir dans cette secte...je crois que ça aurait été fendard ou totalement déjanté pour lui !!!
allez vais devoir faire ma patiente alors !!
j'adore ta fic...
mais moi je dis j'aurais bien aimé le voir dans cette secte...je crois que ça aurait été fendard ou totalement déjanté pour lui !!!
allez vais devoir faire ma patiente alors !!
j'adore ta fic...
Re: La maison du bonheur
nathaloche a écrit:ben non, mon petit hio, parce que ta fic est géniale et que tu lui donnes tout de même un rôle trop mimi à mon danny alors ... je passe le fait que c'est surtout centré marty ben vi quand on est taylorienne c'est jusqu'au bout
mais moi je dis j'aurais bien aimé le voir dans cette secte...je crois que ça aurait été fendard ou totalement déjanté pour lui !!!
allez vais devoir faire ma patiente alors !!
j'adore ta fic...
Le problème c'est qu'il n'aurait pas été si bien que cela. Ca aurait drôle en effet mais en dehors de mon côté humoristique que tu connais, je voulais quelque chose d'un brin plus sombre. Et puis en ce moment je me sens l'âme généreuse et je voulais m'intéresser de plus près à un personnage méconnu celui de Martin.
Re: La maison du bonheur
t'aurais pu faire un truc très sombre avec dan aussi car il est vulnérable et certainement son côté enfance malheureuse aurait pu remonter !!! ou il aurait pu déraper du mauvais côté
non je plaisante !! mais je t'avoue que je trouve martin un peu plus lisse comme perso (moins interressant au niveau complexité ) ...défaut de taylorienne mais je l'aime bien aussi alors je sens que ça va être interressant !!! (sauf pour les chuppa ... )
mais ne te fais pas de souci ça ne m'empechera pas de lire ta fic même si ...
allez je suis sur que t'as un bout !!!
non je plaisante !! mais je t'avoue que je trouve martin un peu plus lisse comme perso (moins interressant au niveau complexité ) ...défaut de taylorienne mais je l'aime bien aussi alors je sens que ça va être interressant !!! (sauf pour les chuppa ... )
mais ne te fais pas de souci ça ne m'empechera pas de lire ta fic même si ...
allez je suis sur que t'as un bout !!!
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