The Girl Next Door-Complète

Roooooo, j'adore:

Comment ça, il savait ? Est-ce qu’il s’était renseigné sur elle ? Est-ce qu’elle lui avait tapé dans l’œil et il lui avait fait le coup classique du « je te fonce dedans exprès, mais je ne t'ai pas vu » ? Ou alors était-ce un nouveau stratagème imaginé par sa sœur pour la caser avec un homme et ainsi lui faire oublier Ray ?

Un peu sur les nerfs la demoiselle tout de même , elle se méfie de tout et de tout le monde

je vous offre un verre ?
Elle haussa un sourcil. Depuis quand la boisson était payante chez Martin et sa sœur ?

j'adore, c'est vrai au moins ce verre là ne lui aura pas couté grand chose

c’était de lui faire ravaler ce sourire radieux qu’il affichait, juste parce qu’il avait une magnifique rousse à son bras. Pas si magnifique que ça, à dire vrai.

GRRRRRRRRRRRR Mais où est ce qu'il a encore été chercher une dinde pareille!!!!!!!!! Rousse de surcroit Désolée, mais j'y arrive pas!!!!!!

Jo, tu te souviens de Marion et Jess

Jess....

Elle n’avait pas prêté attention à tout ce qui avait pu se dire durant plusieurs secondes. Danny paradait toujours fièrement avec cette dinde rousse à son bras et elle sentait la colère monter petit à petit en elle. Si elle s’écoutait, elle irait lui renverser le reste de son verre de sangria sur la tête. Ça lui ferait un bon shampooing, pensa-t-elle. Elle secoua la tête, l’air amusé, avant de prendre la direction des toilettes. Se rafraîchir un peu était encore la meilleure chose à faire.

Rooooo, la tite dam elle est tout simpelment amoureuse je crois là

Encore, encore, je suis trop fan

C'est quoi ce prénom??? Don??? Franchement rien qu'un prénom comme ça suffirait à me faire fuir! Ou alors il faut que le Don en question est de sacrés autres arguments pour compenser! Don... (ça marche aussi avec la version longue Donald...)

Et que dire de ce passage??? La joey est toute accroc à notre papy là! mais alors vraiment!
Parce que si c'est pas de la jalousie ça, je ne sais pas ce que c'est! Jalouse et très prssée de le revoir aussi. C'est trop suspect pour que ça ne soit pas un gigantesque béguin!!! Elle est in love!

Maintenant, j'ai une question! Que va t-il se passer alors qu'elle rejoint les toilettes??? Il va la rejoindre et ça va faire youplaboum???? Suis sûre qu'il va se passer quelque chose! Il le faut, il le faut, il le faut!

Tu te doutes bien après ça que j'ai gardé le meilleur pour la fin!
Je ne citerais rien pas besoin, c'était juste... Ahhh Jess est sa main baladeuse, ses sourires craquants, sa "carrure", ses baisers furtifs, rrrrrRRrrrrrrrr... de l'air vite!
Merci bien! Tu as tenu ton pari, suis fière de toi ma chère Tweetie!

J'espère qu'il y aura une suite quand je rentrerai du taf

pativore a écrit:C'est quoi ce prénom??? Don??? Franchement rien qu'un prénom comme ça suffirait à me faire fuir! Ou alors il faut que le Don en question est de sacrés autres arguments pour compenser! Don... (ça marche aussi avec la version longue Donald...)

INCULTE!!!!!!!!!!!!!

C'est Don Flack des expert Manhatan!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est bien ça Twetie?!

Sinoon moi aussi je veut bien la suite!!!

moi aussi la suite !!!

tu sais que je suis à chaque fois que je vois ta ban ???

clara a écrit:Mais où est ce qu'il a encore été chercher une dinde pareille!!!!!!!!! Rousse de surcroit Désolée, mais j'y arrive pas!!!!!!

le smiley est de circonstance t'inquiète, en tant que grande fan de GIGI , je te comprends tout à fait

Tinky-Winky a écrit:C'est Don Flack des expert Manhatan!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

vi alors ACHTUNG pati et nath !!! Pas touche à mon Flackounet d'amuuur , ok ?

théana a écrit:tu sais que je suis à chaque fois que je vois ta ban ???

mon 'tit Patou à moi
Une suite spécialement 4 U coupine de moi :



Joey s’approcha sans hésiter de la jeune femme qui se tenait toujours le ventre et dont la tête reposait à présent contre le mur de la sortie des toilettes.

- est-ce que tout va bien ? Lui demanda-t-elle, le regard inquiet.
- oui, merci, grimaça l’intéressée, sans grande conviction.

Elle soufflait comme si elle essayait de calmer sa douleur.

- dans ce cas, j’aimerais pas voir votre tête quand ça ne va vraiment pas, se moqua Joey.
- ÇA VA TRES BIEN, PIGÉ ? Hurla-t-elle, tout à coup.
- ok. C’est pas la peine de vous énerver !

La jeune peintre effectua un léger mouvement de recul. Cette chère inconnue n’était pas vraiment à prendre avec des pincettes, pensa-t-elle.

- désolée, je … j’ai dû manger quelque chose qui n’est pas passé. Ça n’a pas dû plaire au bébé et …
- vous êtes enceinte ?
- pourquoi ? Ça ne se voit pas ?

En effet, il fallait être aveugle pour ne pas remarquer le ventre déjà bien rond de la jeune femme.

- si, mais je préfère demander. Ça m’est déjà arrivé ce genre de gaffe et j’ai bien cru je ne m’en sortirais pas vivante.
- AIE ! … mais arrêtez de me faire rire !

Une nouvelle grimace de douleur s’afficha sur le visage de la jeune femme, qui remplaça son air amusé d’il y a seulement quelques secondes.

- désolée. Tenez, mettez-vous là.

Joignant le geste à la parole, elle invita la jeune femme à prendre appui sur son bras et put ainsi la faire s’adosser tout contre la bordure de l’évier d’en face.

- je vais chercher le papa. Ok ? Je reviens tout de suite !
- attendez !

Joey qui avait déjà un pied dans le couloir, revint immédiatement sur ses pas.

- oui ?
- et bien, vous ne savez même pas comment il s’appelle, sourit la jeune femme.
- c’est vrai. Je ne ferais pas une grande carrière en tant qu’ambulancière. Qui est-ce, alors ?
- mon mari s’appelle Jack. Jack Bauer. Et moi, c’est Jenny.
- enchantée, Jenny. Je suis Joey. Surtout vous ne bougez pas, ok ?

L’épouse de Jack haussa un sourcil. Où pouvait-elle bien aller de toute manière ?

- désolée, se reprit la jeune peintre, comme si elle avait lu en elle. Je le fais venir en moins de 24 heures chrono, promis !

Elle s’éclipsa alors sous les yeux angoissés de Jenny, qui se mit à souffler une nouvelle fois afin de calmer sa douleur.

- Jack Bauer ? Vous êtes Jack Bauer ?

Cela faisait déjà bien cinq minutes que Joey s’adressait à tous les invités masculins du grand salon pour trouver le mari de Jenny. Elle en avait assez. Elle sentait la colère monter en elle petit à petit.

- ’TAIN ! MAIS Y A VRAIMENT AUCUN JACK BAUER, ICI ! Cria-t-elle, d’un ton des plus exaspérés.

Tous les regards se posèrent alors sur elle et elle se mordilla la lèvre. Ils devaient tous la prendre pour une vraie folle à présent. Elle aurait voulu être une petite souris pour disparaître aussitôt dans son trou.

- pourquoi tu cherches Jack Bauer ?

Elle reconnut de suite son interlocuteur au son de sa voix et se crispa aussitôt. C’était plus fort qu’elle. Cet homme avait le don de la mettre hors d’elle en quelques secondes.

- qu’est-ce que ça peut te faire ?

Son ton se voulait ouvertement désagréable. Elle n’en revenait pas que le grand Danny Taylor délaisse sa miss poil de carottes pour venir lui parler.

- pas grand chose, quand ça a un rapport avec toi.

Il soutenait son regard hautain.

- mais pour info, Martin lui fait visiter l’étage, ajouta-t-il.

L’étage, autrement dit là où se trouvait la chambre. Joey prit un air amusé, toujours cette même déduction en tête.

- j’en étais sûre ! J’ai toujours su qu’il en était ! Plaisanta-t-elle.
- Joey, soupira-t-il.

Mais en même temps, il ne put réprimer un sourire. Il la dévorait maintenant des yeux.

- et bien, qu’est-ce que t’attends mister beau gosse ? Lui demanda-t-elle, d’un ton toujours aussi froid. Vas le chercher !
- et pourquoi ce serait moi, hein ?
- parce que moi, je retourne auprès de sa femme ! Alors tu lui diras qu’elle est aux toilettes et qu’elle a besoin de lui, ok ? Si ce n’est pas trop te demander, bien sûr !
- avec plaisir, ironisa-t-il. C’est demandé si gentiment … beauté.

Un sourire moqueur s’afficha alors sur son visage, ce qui provoqua la grimace de Joey. Puis, sans tarder, elle s’en alla regagner les toilettes pour tenir compagnie à madame Bauer pendant que Danny rejoignait quant à lui, l’étage.

- Martin ? Jack ?
- on est là ! Cria l’agent Fitzgerald.

La voix de son collègue provenait de la chambre d’ami et Danny ne put réprimer un léger sourire en repensant à la plaisanterie de Joey. Il les rejoignit aussitôt dans la pièce et pensa à toquer alors que la porte était déjà ouverte.

- je ne dérange pas, j’espère, sourit-il.
- très drôle, vieux, soupira Martin. Qu’est-ce qui se passe ?

Le regard de Danny se posa alors sur Jack.

- c’est votre femme, elle …
- où est-elle ? Réagit-il, avec empressement.

Sa voix se faisait tremblante. On sentait l’émotion le gagner.

- aux toilettes, elle …

Danny n’eut même pas le temps de terminer sa phrase, que l’agent de la cellule descendait déjà les escaliers à toute vitesse afin de regagner les toilettes.

- mais attendez ! Tenta-t-il, en dernier recours.

Trop tard, Jack avait déjà rejoint sa chère et tendre épouse.

- mon cœur, est-ce que tout va bien ?

Il prit son visage entre ses deux mains et lui parla calmement. Le plus important pour lui, c’était le bien -être et seulement le bien -être de sa femme. Rien d’autre ne comptait à ses yeux. De ce fait, il n’avait même pas remarqué la présence de Joey dans la pièce.

- j’ai dû avaler quelque chose qui n’est pas passé et je me suis sentie nauséeuse un moment, mais maintenant, ça va mieux, tenta de le rassurer Jenny.

En effet, elle avait déjà meilleure mine qu’il y a quelques minutes mais son mari ne l’entendait pas de cette oreille.

- appelez une ambulance !
- quoi ? S’étonna Joey.
- APPELEZ UNE AMBULANCE ! Répéta Jack, en haussant la voix, cette fois-ci.
- non, c’est pas la peine mon amour, réagit aussitôt Jenny.

Elle prit la main de son homme et lui serra très fort avant de sourire.

- tout va bien. Je t’assure.
- chérie …

Il baissa la tête, fuyant volontairement son regard pour ne pas céder.

- hey …

Elle releva le menton de ce dernier à l’aide de sa main et le fixa droit dans les yeux.

- tu crois que je ferais courir un risque inconsidéré à notre bébé si je n’étais pas sûre que ça va mieux ?
- non, bien sûr que non, mais …
- je sais.

Il n’avait pas besoin d’en dire plus. Elle savait très bien que c’était son angoisse pour la santé du bébé et son amour considérable pour elle qui le faisait réagir ainsi. Il laissa alors reposer son front contre celui de son épouse. Le silence régnait à présent dans la pièce. Joey s’y sentait de trop et s’éclipsa discrètement, laissant les deux amoureux seuls.

- je t’aime Jenny, murmura Jack.
- moi aussi, sourit-elle.

Le couple échangea alors un langoureux baiser. Plus heureux que jamais.

Tu vas vraiment faire une heureuse là

En tout cas cette suite est plus que touchante

dans ce cas, j’aimerais pas voir votre tête quand ça ne va vraiment pas, se moqua Joey.
- ÇA VA TRES BIEN, PIGÉ ? Hurla-t-elle, tout à coup.
- ok. C’est pas la peine de vous énerver

Un peu sur les nerfs là Jenny

désolée, se reprit la jeune peintre, comme si elle avait lu en elle. Je le fais venir en moins de 24 heures chrono, promis

elle ne pouvait pas mieux dire Joey, je l'adore, je l'adore

Elle n’en revenait pas que le grand Danny Taylor délaisse sa miss poil de carottes pour venir lui parler.

La nausée me revient

L’étage, autrement dit là où se trouvait la chambre. Joey prit un air amusé, toujours cette même déduction en tête.
- j’en étais sûre ! J’ai toujours su qu’il en était ! Plaisanta-t-elle.
- Joey, soupira-t-il.

Vous êtes décidément toutes trés dures avec Marty Mais qui aime bien chatit bien non?

je t’aime Jenny, murmura Jack.
- moi aussi, sourit-elle.
Le couple échangea alors un langoureux baiser. Plus heureux que jamais.

C'est plus que mignon ça c'est cro, cro, cro beau

Merci pour cette suite....Vivement la prochaine j'aime trop ta fic

Jeoy ou comment mieux vaut de pas faire ch... une femme enceinte



et tu sais ce qu'il faut dire qpour faire plaisir à Jenny non?


la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Rrrrrrr quelle suite !!!
Après ma rencontre avec Mr Cute j'ai le droit à ça !!!
Merchi coupine de moi, je suis très touchée , surtout qu'il y a que des perles dans cette suite !


T'as un pb avec les rousses j'ai bien l'impression !

- ÇA VA TRES BIEN, PIGÉ ? Hurla-t-elle, tout à coup.
- ok. C’est pas la peine de vous énerver !

Je me reconnais bien là !

si, mais je préfère demander. Ça m’est déjà arrivé ce genre de gaffe et j’ai bien cru je ne m’en sortirais pas vivante.

Moi aussi ! Cte honte !!!

- ’TAIN ! MAIS Y A VRAIMENT AUCUN JACK BAUER, ICI ! Cria-t-elle, d’un ton des plus exaspérés.

Elle aussi faut pas la chercher !

- mais pour info, Martin lui fait visiter l’étage, ajouta-t-il.

L’étage, autrement dit là où se trouvait la chambre. Joey prit un air amusé, toujours cette même déduction en tête.

- j’en étais sûre ! J’ai toujours su qu’il en était ! Plaisanta-t-elle.

Ouais mais mon Kiki lui il en est pas , c'est mâle un vrai !

où est-elle ? Réagit-il, avec empressement.

Sa voix se faisait tremblante. On sentait l’émotion le gagner.

Roooo lé trop mimi , j'adore quand sa voix tremble d'émotion moi !

Danny n’eut même pas le temps de terminer sa phrase, que l’agent de la cellule descendait déjà les escaliers à toute vitesse afin de regagner les toilettes.

Yessss action Jack !

- mon cœur, est-ce que tout va bien ?

Rrrrr !!!

Il prit son visage entre ses deux mains et lui parla calmement. Le plus important pour lui, c’était le bien -être et seulement le bien -être de sa femme. Rien d’autre ne comptait à ses yeux.

RRRRRRRRRRRRRRRRR !!!!

- APPELEZ UNE AMBULANCE ! Répéta Jack, en haussant la voix, cette fois-ci.

Ouhhhhh j'adooore quand il s'énerve !!!

Il baissa la tête, fuyant volontairement son regard pour ne pas céder.

Et oui ...

Elle savait très bien que c’était son angoisse pour la santé du bébé et son amour considérable pour elle qui le faisait réagir ainsi. Il laissa alors reposer son front contre celui de son épouse.

T'a vu, vous avez vu, comment il m'aime cet homme ?!

- je t’aime Jenny, murmura Jack.
- moi aussi, sourit-elle.

Le couple échangea alors un langoureux baiser. Plus heureux que jamais.

Je meurs ....


C'est trop beau et trop zentil à toi coupine à moi !

Mais pour en revenir au "couple" terrible , j'ai hâte de voir comment va se faire jarter la rouquine et ce que Joey va faire pour le rendre jaloux !


THE SUITE !!!!

oh yes the suite ????

la voilache ravie que cette suite kikiesque t plue, coupine


A bout de course, Danny venait aux nouvelles et trouva Joey sagement adossée à la porte fermée des toilettes, laissant les jeunes mariés toute à leur intimité.

- alors ?
- shhhhhhhh ! La ferme !

Ni une, ni deux, la jeune peintre posa sa main sur la bouche de l’agent du FBI, qui fut surpris par son geste. Il recula alors jusqu’à atteindre le mur d’en face.

- quoi ? Chuchota-t-il.
- laisse-les tranquille, tu veux ?
- mais j’ai rien fait ! Je voulais juste savoir comment allait Jenny.
- mieux, beaucoup mieux !
- bien !
- parfait !

Le silence s’installa petit à petit dans le couloir. Ils avaient encore tous les deux la tête à leur baiser de l’autre soir mais c’est comme si l’un et l’autre cherchaient encore la bonne manière pour aborder le sujet.

- ils feront une très jolie famille, sourit Joey, en évoquant le couple Bauer.

Elle avait le regard sincère et la voix émue, ce qui n’échappa pas à la vigilance de Danny, qui fut surpris par sa réaction.

- et toi, ça ne te tente pas ?
- quoi ?
- un bébé.
- … avec toi ?

Elle laissa s’échapper un petit rire moqueur et Danny fronça aussitôt les sourcils. Il en avait vraiment assez du ton à la fois ferme et cassant qu’elle n’avait de cesse d’employer avec lui. Profondément agacé, il se mit à soupirer.

- quoi ? J’ai brisé le cœur de mister beau gosse, c’est ça ?
- pourquoi tu fais ça, Joey ?

Elle haussa un sourcil. Visiblement, elle ne voyait pas de quoi il voulait parler. A moins, qu’elle refusait de le voir.

- c’était une simple question, pourquoi tu montes tout de suite sur tes grands chevaux ?
- lâche-moi, Danny, soupira-t-elle.
- hors de question ! Pas tant qu’on aura pas parlé, tous les deux !

Il venait d’élever la voix et elle en fit tout autant.

- parler de quoi ?

Elle mit les bras en croix et le fixait d’un regard totalement innocent.

- tu le sais très bien.

Bien sûr qu’elle le savait. Mais il n’y avait rien à ajouter de plus. Ce serait donner trop d’importance à ce baiser. Il ne comptait pas. Un point, c’est tout !

- laisse-moi tranquille, tu veux ! Tu seras gentil ! Retourne plutôt faire joujou avec ta greluche au lieu de me pomper l’air !

Il ne put réprimer un sourire. Elle était jalouse. Il en était certain et éprouvait un malin plaisir à la voir dans un pareil état. Elle n’en était que plus craquante.

- par contre, fais gaffe parce qu’avec la classe qu’elle a, ça m’étonnerait qu’elle veuille se fixer avec un pauvre orphelin comme toi, de surcroît alcoolique et dont le frère est en taule par-dessus le marché !

Sa colère l’avait emportée et à peine ses propos avaient quitté sa bouche qu’elle les regrettait déjà amèrement. Mais le mal était bel et bien fait. C’était trop tard.
Danny la fusillait maintenant du regard. Mais pas comme il en avait l’habitude, non. Cette fois, il ne s’agissait plus d’un vulgaire jeu de séduction entre eux, celui bien connu du chat et de la souris. Ça n’avait strictement rien à voir.
Parce que cette fois, il était blessé. Profondément blessé. Et en colère aussi.
Il la fixait de son regard noir et avec tout le mépris dont il était capable, comme s’il ne connaissait pas la femme qu’il avait à présent sous les yeux.

- j’ai … je …

Elle ne savait plus quoi dire. Elle savait qu’elle devait s’excuser. Elle le savait bien. Mais les mots ne venaient pas.

- il vaut peut-être mieux que tu n’aies pas d’enfant. Tu ferais une mère immonde.

Il avait prononcé ces dernières paroles le plus calmement possible et se mordillait à présent les lèvres pour ne pas les retirer sur le champ. Parce qu’elle l’avait cherché après tout. Elle le méritait bien. C’était un juste retour des choses.
Cependant, à la vue de sa réaction, il comprit tout de suite qu’il avait été trop loin. Elle ne réagissait pas comme la Joey Halliwell qu’il connaissait et à qui on venait de sortir une vacherie, si cruelle soit-elle. Non. C’était bien plus profond que ça. Il examina les quelques larmes qui commençaient à perler au coin de ses yeux. Mais pourquoi est-ce que sa remarque la touchait tant ?

- désolé, je … commença-t-il.

Il s’approcha d’elle et voulut ainsi poser sa main sur l’avant-bras de la jeune femme mais il fut coupé dans son élan par la voix de Martin, qui apparut à son tour dans le couloir.

- excusez-moi., dit-elle, la voix tremblante.

Elle profita de sa venue pour s’en aller sous le regard préoccupé de Danny.

- attends !

Elle n’en fit rien. Elle avait quitté les lieux pour de bon.

- elle va mieux ?
- mmmmh ?

Le regard de l’agent Taylor était encore posé sur la sortie que Joey venait d’emprunter pour se dérober.

- Danny ?
- je ne sais pas, je …

Il se gratta l’arrière de la tête. Il était des plus confus à cet instant.

- ...j’ignore ce qu’elle a.
- et bien, dans ce cas, on a qu’à entrer ! Proposa Martin.

Sa main était déjà posée sur la clenche de la porte des toilettes lorsque Danny retint le bras de son ami.

- ah non, je croyais que … elle va bien. Jenny va bien. T’en fais pas, vieux.

Il posa une main réconfortante sur l’épaule de son ami qui poussa un soupir de soulagement et laissa la porte fermée.

- tu pensais que je parlais de qui ?
- personne.
- Danny, soupira Martin.

Il le toisa un moment du regard avant de l’entendre se confier.

- il s’est passé un truc bizarre avec Joey, ce soir.

Il avait cédé. Il ressentait le besoin de parler de cette histoire à quelqu’un.

- plus bizarre que d’habitude ? Railla son ami.
- arrête, c’est sérieux, cette fois.
- désolé.
- est-ce que tu sais si elle a des enfants ?

L’agent Fitzgerald fit machinalement non de la tête.

- ou peut-être bien qu’elle en a eu et que …
- en quoi ça t’intéresse ? Osa Martin.

Il ne put réprimer un léger sourire malgré la gravité du sujet. L’intérêt que Danny portait à la jeune femme, ne lui avait pas échappé et s’il avait l’occasion de le chambrer à ce propos, il n’allait pas se gêner. Simple question de retour de manivelle. Son collègue lui avait bien pourri la vie avec ses blagues douteuses concernant sa relation avec Janelle. C’était à son tour de jouer, à présent.

- contente-toi de répondre à la question, tu veux ? Fit Danny, agacé.

Martin sentait que l’inquiétude de son collègue était sincère et que ce n’était pas le bon moment pour plaisanter.

- pas que je sache, non. Mais de toute façon, Janelle ne me répète rien de ce que peut lui confier sa sœur. Elle sait que Joey la tuerait, sinon.
- j’imagine, oui, sourit l’agent Taylor. Par contre toi, ça ne te gêne pas, n’est-ce pas ?
- de quoi tu parles ?

Martin écarquilla les yeux, encore surpris par la question de son ami.

- et bien, tu as raté quelque chose, vieux, parce qu’il n’y a pas une minute, la sorcière vient de me faire une remarque des plus charmantes sur ma chère famille, les problèmes judiciaires que connaît Rafie et ma dépendance à l’alcool aussi. Elle a tout passé en revue.

L’agent Fitzgerald haussa un sourcil. Il n’en revenait toujours pas que Joey ait eu ce culot.

- et oui, mister pipelette ! Alors je t’en prie, la prochaine fois, abstiens-toi de tout répéter à ta petite chérie parce que j’ai un scoop pour toi, vieux : les filles … ça parle !

Plus amusé que réellement vexé, Danny déposa une petite tape sur l’épaule de son ami avant de rejoindre le salon. Il fallait à tout prix qu’il sache si Joey avait quitté la fête ou non.

oh à chaque fois que je relis une seconde fois les suites que ce soit ici ou sur l'autre fofo...je me marre toujours autant...

j'adore ce couple fou !!! vont jamais s'en sortir àce rythme là ..voilà que maintenant ils se vannent méchants !!!

ah ils jouent vraiement bien au chat et à la souris nos deux gamins en mal d'amour !!!

Ben je Vais bieN c'est déjà ça !

Par contre, entre Danny et Joey c'est pas la joie !
Ca en devient méchant !
Elle a eu un gosse elle aussi ?

J'attends les excuses de Danny maintenant !

YESSSSHHHHHHHH la Francia ha vinto !!! rah gilem mon Titi


Elle avait quitté la fête. Elle était bel et bien partie. Il aurait dû s’en douter pourtant. Mais qu’est-ce qu’il lui avait donc pris de réagir ainsi ?
Bon sang ! Ce petit bout de femme avait le don de le mettre en rogne en à peine un quart de secondes et en même temps, il ne pouvait pas lui résister. Il devait bien se faire une raison et se l’avouer à lui-même. Le grand Danny Taylor craquait totalement pour la petite Joey Halliwell. Il l’avait dans la peau.
Il secoua alors la tête, en y repensant. C’était donc bien vrai ?
On ne choisit pas la personne dont on est amoureux. On tombe amoureux, c’est tout. Et puis, surtout, tant qu’à faire, quitte à contredire le dicton, il en aurait choisi une moins peste, c’est sûr !
Rassemblant ses pensées, il montait encore les quelques marches qui le séparaient de son appartement, lorsqu’il croisa un visage familier. Il aurait dû s’en douter. Le chevalier servant avait déposé sa princesse à la maison. Ses doutes sur la fin de soirée que Joey avait dû passer s’estompèrent alors et il sentit rapidement un fort sentiment de jalousie s’insinuer en lui. La seule idée qu’elle ait pu passer un « moment » avec ce détective le rendait malade.
Quelle idée stupide avait eu Martin de l’inviter. Ce n’est pas parce que la police scientifique et la NYPD leur avait prêté main forte durant une longue et fastidieuse enquête que son collègue devait ouvrir sa porte à tous les beaux bruns new-yorkais, aux yeux clairs et célibataires de surcroît !
Il détourna vite son regard de Don Flack et baissa la tête afin de passer incognito.

- bonsoir.
- bonsoir, marmonna Danny.

Ni vu, ni connu, il poussa un soupir de soulagement lorsqu’il vit son « rival » continuer sa route et se diriger à présent à l’étage inférieur.
La mine renfrognée, il poursuivit son chemin et sortit la clé de son appartement de sa poche, une fois qu’il avait atteint son palier. Un sourire s’afficha alors immédiatement sur son visage lorsqu’il reconnut la jeune femme qui venait de jeter un rapide coup d’œil au judas de sa porte et avait maintenant posé son oreille droite tout contre cette dernière.

- la tienne, c’est celle d’en face, dit-il, tout sourire.

Joey sursauta à l’entente de sa voix avant de rester figée. Elle n’osait plus se retourner et faire face à son voisin. Elle était prise en flagrant délit d’espionnage et réfléchissait encore à la manière dont elle pouvait se sortir de ce guêpier.

- au fait, j’ai croisé ton copain détective à l’instant.

L’air de rien, il essayait de glaner des informations sur leur soirée.
La jeune peintre effectua alors un léger demi-tour sur elle-même et osa enfin affronter le regard de Danny. Ce dernier était adossé au premier mur qui donnait sur le hall et affichait toujours ce sourire moqueur qui avait le don de l’exaspérer au plus haut point.

- et alors ? Le provoqua-t-elle, en le fusillant du regard.

Le poisson n’avait pas mordu à l’hameçon. Tant pis pour lui.

- alors … rien.
- bien !

Il s’approcha de quelques pas vers sa porte pendant que la jeune peintre regagnait sagement son côté du palier.

- il te fallait quelque chose ? Parce que j’ai du sel, du sucre, du poivre si tu veux … ah non, du poivre, j’en ai plus.

Elle ignora ses moqueries. La meilleure défense était encore l’attaque.

- t’es pas rentré avec ta rouquine ? Ça m’étonne de toi, ça !

Elle avait mis les bras en croix et s’appuyait gentiment contre le mur à proximité de sa porte.

- pas besoin d’un appart’, quand on a la voiture pour, sourit-il fièrement.

Son regard se voulait coquin. Il lui adressa un clin d’œil au passage et elle poussa un soupir de frustration. Quel goujat ! Mais quel goujat ! Elle n’en revenait pas.

- mon pauvre. T’es vraiment pas romantique pour un sou.

Il sourit de plus belle et s’adossa plus confortablement contre sa porte.

- et toi ? T’as passé une bonne soirée ?
- quoi ? S’étonna-t-elle.
- j’ai dit …
- rassure-toi. J’ai bien compris ce que t’as dis. Mais qu’est-ce que ça peut te faire, hein ? Tu veux vraiment qu’on ait une conversation de bon voisinage sur le palier à cette heure-ci ?
- c’est à toi de voir, beauté. On est pas obligés de parler.

Sa voix s’était faite rauque et ses yeux gourmands. Il la dévorait du regard. S’il devait passer à l’attaque, c’était maintenant ou jamais.

- heu … je …

Il la vit hésiter quelques secondes et put lire à son regard qu’elle était déstabilisée par sa proposition. Bien plus qu’elle ne voulait l’admettre. Elle ferma les yeux un court instant afin de retrouver ses esprits.

- bonne nuit.

Elle fit tourner ensuite sa clé dans la serrure lorsqu’elle entendit la voix de Danny la relancer. Il ne voulait pas qu’elle parte. Pas maintenant.

- t’aurais dû rester jusqu’à la fin, tu sais. T’as manqué quelque chose.

Elle se retourna pour lui faire face.

- j’imagine, oui. Une soirée de beuverie, avec des petits fours bien déguelasses !
- ôte-moi d’un doute mais c’est Janelle qui a tout préparé, non ? Demanda-t-il, un brin amusé.
- j’adore ma sœur mais la cuisine n’est vraiment pas son fort.
- peut-être, mais tu aurais vraiment dû rester jusqu’à la fin, je t’assure, insista-t-il.
- pourquoi tu répètes ça tout le temps ? Arrête, maintenant !

Il pouvait sentir son agacement au son de sa voix.

- d’accord. Bonne nuit .. beauté.

Il n’eut même pas le temps de se retourner que la voix de Joey lui revint aux oreilles.

- ok. Vas-y. Dis.
- Martin et Jane ont annoncé une très bonne nouvelle à tous leurs invités.

Sa remarque déclencha le rire de la jeune peintre.

- ... quoi ?
- rien. Je trouve seulement très original de dire à tout le monde qu’ils vont vivre ensemble alors qu’ils sont déjà installés et organisent une fête. Chez eux en plus ! Plaisanta-t-elle.
- c’est pas ce genre de nouvelle.
- ah non ? C’est quoi, alors ?
- devine, sourit-il, en haussant les sourcils.
- arrête Taylor. C’est pas l’heure de jouer aux devinettes ! Alors crache le morceau, tu veux ! S’agaça-t-elle.
- mmmh. Tu sais comment t’y prendre avec moi, beauté. Faudra que tu viennes m’aider sur un de mes interrogatoires un de ces quatre.
- c’est quoi la bonne nouvelle ?
- ….
- tu vas me le dire, bon sang !
- la famille Halliwell va s’agrandir.
- quoi ?

Elle ne put réprimer un sourire. Elle n’en croyait pas ses oreilles.

- tu me fais marcher là ? C’est pas vrai ?

Danny opina du chef et vit immédiatement un sourire radieux se dessiner sur ses lèvres et ses yeux pétiller de plus belle. Il la sentait vraiment émue par cette nouvelle et la vit jouer nerveusement d’une main avec la chaînette qui se trouvait autour de son cou, pour se donner une contenance.

- c’est … j’y crois pas … c’est pas possible … pourquoi Jay ne m’en a pas parlé ? Elle m’en aurait parlé si c’était le cas, je …
- elle ne pensait pas que tu quitterais la fête de si tôt et …
- c’est … je ne sais pas quoi dire … ma sœur va avoir un bébé, alors ! C’est pas génial, ça ?

Au fur et à mesure qu’elle parlait, son enthousiasme grimpait petit à petit et Danny ne put réprimer un sourire de la voir excitée ainsi. Elle avait avancé de quelques pas en sa direction. Il fallait qu’elle marche pour évacuer ce trop plein d’émotion.

- merci Danny ! Merci !

Elle lui sauta finalement au cou et le jeune homme écarquilla les yeux, surpris par sa réaction. Il ne l’imaginait pas aussi tactile. Et c’était vrai, d’habitude. Mais là, Joey avait ressenti le besoin urgent de prendre quelqu’un dans ses bras.
Elle resserrait encore plus leur étreinte et lorsque leurs regards se croisèrent à nouveau, il fixa sa bouche avec envie et ne résista pas à pencher sa tête à nouveau. Quitte à reproduire leur grosse engueulade de l’autre jour. Un baiser avec Joey valait toutes les disputes du monde. Largement même.
Ses lèvres commençaient tout juste alors à frôler celle de Joey lorsqu’elle le stoppa dans son élan en posant son index sur la bouche du jeune agent. Il maudissait déjà sa précipitation et s’attendait logiquement à ce qu’elle le repousse tout aussi vivement que l’autre jour, mais contre toute attente, elle s’amusa à titiller le contour de sa bouche du bout de sa langue. Apparemment, c’est elle qui voulait mener la danse, ce soir et mister beau gosse n’allait pas s’en plaindre.
Elle mit ensuite fin au supplice du jeune agent en happant voracement sa lèvre inférieure et en la suçant à profusion. Leur baiser s’intensifia ensuite de plus belle. Ils se noyaient l’un et l’autre dans leurs désirs respectifs.
Même si ce n’était pas ce qu’il avait prévu. Bien sûr qu’il en avait envie. Une énorme envie. Il avait soif de son parfum. Faim de son corps. Mais cette discussion avait d’abord eu pour but de la faire parler de la réaction qu’elle avait eu lorsqu’il l’avait traitée de « mère immonde ». Le regard triste qu’elle lui avait lancé alors, l’avait hanté toute la soirée.
Elle le tirait maintenant par le col de sa chemise et l’entraîna dans son appartement, ne quittant pas les lèvres de Danny un seul instant. Elle fit claquer sa porte au passage en la poussant d’un coup de pied violent et dévora de plus belle la bouche du jeune agent.
Ils échangèrent un sourire lorsque son regard coquin trouva celui de la jeune femme et qu’il se laissa pousser ensuite jusque sur le canapé du salon. La soirée s’annonçait plus prometteuse qu’il ne l’avait imaginé alors. Il était totalement à sa merci et il adorait ça.
A califourchon sur lui, Joey déboutonna sa chemise blanche et commença à déposer de tendres baisers le long de son torse chaud et bronzé. Il appréciait le geste et son regard se fit gourmand lorsqu’il la vit défaire sa ceinture avec ses doigts de fée et s’attaquer à présent à sa braguette. La bosse qui s’était alors formé dans son boxer ne laissait planer aucun doute sur l’état d’excitation dans lequel il se trouvait à présent et l’effet que Joey pouvait lui faire. Cette dernière fit encore durer le supplice en se contentant de frôler avec jeu l’objet de son désir. Elle s’amusait de la frustration de Danny et vint regagner ses lèvres une nouvelle fois. Il lui mordilla alors doucement le lobe de l’oreille avant de lui murmurer quelques mots.

- si j’avais su dans quel état ça te mettrait, je t’aurais raconté tout ça bien avant, sourit-il.

Il embrassa de plus belle la jeune femme, qui arrêta brusquement de lui rendre son baiser. Elle semblait préoccupée par quelque chose. Danny décolla alors ses lèvres des siennes et la fixa sans comprendre.

- quoi ?
- ils vont avoir un bébé ou pas ?

Elle le fusillait à présent du regard et il comprit de suite que leur moment venait de s’envoler et qu’il allait passer un sale quart d’heure.
Il se mordilla la lèvre, peinant à lui avouer toute la vérité.

- écoute …

Elle n’attendit pas sa réponse et se leva immédiatement du divan.

- alors t’as menti ! T’as menti, n’est-ce pas ?
- techniquement, oui. Mais ce n’est pas tout à fait un mensonge. Parce que Janelle n’est pas enceinte pour l’instant mais ça ne saurait tarder. Ils y travaillent activement avec Martin. Tu peux me croire.

Il resta assis sur le divan, attendant patiemment qu’elle vienne le rejoindre.

- dégage !
- quoi ?
- j’ai dit …
- ne le prends pas comme ça !

Danny avait toujours le sourire aux lèvres, prenant encore cette histoire à la légère. Trop. C’est ainsi qu’il déglutit difficilement lorsqu’il vit la jeune femme se précipiter pour rassembler ses propres effets personnels, qui étaient alors éparpillés sur le sol, tout autour du divan.

- arrête, Joey !

Il se leva enfin, prévoyant ce qu’elle allait en faire. Elle se dirigea ainsi furieusement à la porte et balança son pantalon, sa ceinture ainsi que sa chemise, de l’autre côté du palier.

- tire-toi !

La mine sérieuse, il se tenait juste devant elle, portant juste son boxer sur lui et mit les bras en croix sans broncher. Elle retint un sourire devant le ridicule de la situation. Il pensait faire peur à qui dans cet accoutrement ?

- t’es sourd ou quoi ? Je t’ai dit de te partir !

Il ne bougeait toujours pas.

- très bien ! Puisque tu le prends comme ça !

Elle prit alors les devants et le tira par le bras jusqu’à l’emmener à l’extérieur de son appartement et lui fermer immédiatement la porte au nez sans qu’il ne puisse répliquer. Une fois, l’intrus mis à la porte, elle se frotta les mains et afficha un sourire de pleine satisfaction.

- bon débarras ! S’exclama-t-elle.

Danny regagna sagement son appartement, tenant ses effets à la main. Il avait le pas lourd et la démarche nonchalante. Il ne savait pas contre qui, il devait être le plus en colère. Contre Joey ou lui-même. Il venait de passer à côté d’une des plus belles soirées de sa vie et pouvait à présent s’en mordre les doigts. Décidément, il ferait mieux de se taire parfois.

oh que c'est pas beau ce gros mensonge pour arriver à ses fins c'est bien un mec dans toute sa splendeur

mais dis moi Tweetie , le foot te donne des ailes ou tu essayes de te faire aprdonner de ne pas avoir mis des suites avant !!! car 2 dans la même journée oh il fallait bien !!!

bon maintenant repassons à la fic !!

Le grand Danny Taylor craquait totalement pour la petite Joey Halliwell. Il l’avait dans la peau.

yeeeeessss l'est amoureux, "petit frère veux tu te taire" (euh dorothée ???)

On ne choisit pas la personne dont on est amoureux. On tombe amoureux, c’est tout.

j'ai aodré cette eptit phrase !!! ben vi le coup de foudre, l'amour qui vous tombe dessus, the love quoi ...

- bonsoir.
- bonsoir, marmonna Danny

.ojh j'ai imaginé la tête de boudeur qu'il a fait !!! mais dis moi c'est qui en vrai don flack alors ???? beau brun yeux bleus...je veux bien croquiller un peu mais juste un peu je réserve le plus mordant à mon enrique !!!

Un sourire s’afficha alors immédiatement sur son visage lorsqu’il reconnut la jeune femme qui venait de jeter un rapide coup d’œil au judas de sa porte et avait maintenant posé son oreille droite tout contre cette dernière.

laors là j'ai kiffé ...la pauvre elle vien mater chez dan pour voir si il est entré et là ... boum se fait avoir et l'autre zozo qui doit s'en réjouir grave !!!!

-- pas besoin d’un appart’, quand on a la voiture pour, sourit-il fièrement.

oh j'ai adoré..mais ça va pas aider pour la mettre au pieu non plus !!!

et moi aussi j'y ai cru au bébé de martin et janelle....pas belle va !!! bouhhhh !!!
alors et après j'ai même cru qu'ils allaient faire ce la sur le pallier mais c'est vrai que le cannapé c'est mieux !!! et dis moi la joey elle en pince aussi et a l'air de savoir y faire !!! :2love2:mais àla vitesse où tu ous as tout fait partir en sucette !!!!

Elle le fusillait à présent du regard et il comprit de suite que leur moment venait de s’envoler et qu’il allait passer un sale quart d’heure.
Il se mordilla la lèvre, peinant à lui avouer toute la vérité.

-
là pourtant je n'aurais jamais cru le dire mais je dis ... c'est bien fait !!! non mais racontez des horribles mensonges comme cela !!! bouhhhh le dannny !!!

La mine sérieuse, il se tenait juste devant elle, portant juste son boxer sur lui et mit les bras en croix sans broncher. Elle retint un sourire devant le ridicule de la situation. Il pensait faire peur à qui dans cet accoutrement ?

quelle image !!!
[quote]

Décidément, il ferait mieux de se taire parfois.[/quoteben vi hein ...bienf ait pas de touche touche ce soir!!! il a pu qu'à actionner le manche maintenant !!! na !!!

ben je crois avoir adorer !!

Deux suites magistrales

ils feront une très jolie famille, sourit Joey, en évoquant le couple Bauer.

Roooo, vi j'imagine, moi je veux une photo du bébé quand il sera là

est-ce que tu sais si elle a des enfants ?
L’agent Fitzgerald fit machinalement non de la tête.
- ou peut-être bien qu’elle en a eu et que …
- en quoi ça t’intéresse ? Osa Martin.

Quoi? qu'est ce que ça veut dire ça? elle a eu un enfant, mais avec qui?, où? quand? comment?

Et cette deuxième suite, t'es pas sympa, j'ai cru à la chuppa jusqu'au bout , mais c'est retombé comme un flan ...si j'peux dire

Mais Danny qui utilise une gros mensonge, ça c'est pas beau, du tout, du tout

Rooooo, j'en veux encore, encore et encore

vais faire plus court ici


tout comme les miss


j'ai kiffé ces deux suites qui m'ont et c'était aussi rhh même si t'as coupé

ah le retour de la bosse


la suite

nathaloche a écrit:bien fait pas de touche touche ce soir!!! il a pu qu'à actionner le manche maintenant !!!

clara a écrit:j'ai cru à la chuppa jusqu'au bout ptdr , mais c'est retombé comme un flan ptdr ...si j'peux dire

théana a écrit:ah le retour de la bosse

roo les couquines


Bientôt une semaine qu’ils ne s’étaient plus croisés, chacun refusant de faire le premier pas et estimant, bien évidemment, que c’était l’autre qui avait tous les torts.
A cette allure-là, ils n’allaient pas s’en sortir. D’autant plus que Danny voyait ses chances avec sa voisine s’amenuiser dangereusement avec la venue d’un autre concurrent dans la course. Ce cher Don Flack pour ne pas le nommer.
Il l’avait aperçu plusieurs fois sortir de l’appartement de Joey, à des heures bien tardives, qui ne laissaient planer aucun doute sur le genre de relation qu’ils pouvaient entretenir à présent. Et ça, il avait beaucoup de mal à l’accepter. Il n’y a pas une semaine, elle se jetait sur lui au beau milieu de son salon et maintenant, elle lui avait déjà trouvé un remplaçant. Au grand dam du jeune agent.
Mais il préférait rester confiant. Elle craquerait à nouveau pour lui. Il en était certain. La chance lui sourirait tôt ou tard.

- on peut se voir une seconde ?

Martin s’était approché discrètement du bureau de Danny et lui parlait doucement afin d’éviter d’attirer l’attention sur eux. Ils étaient sensés finir leurs rapports en silence. Ordre de Jack.

- tout ce que tu veux, Fitzy, sourit-il. Qu’est-ce qui se passe ?
- tu fais quoi ce week-end ?
- ça dépend. Qu’est-ce que tu proposes ?
- et bien …
- allez, te fais pas prier, vieux. Mets-moi dans la confidence.

Joignant le geste à la parole, il encouragea son collègue d’un petit geste de la main.

- c’est pas grand chose, juste une affaire de deux jours alors ...
- où ça ?
- chez les parents de Jane.

Sa remarque déclencha le rire de Danny.

- très drôle, vieux.

La mine de Martin était des plus sérieuses. Il se mordilla la lèvre inférieure, l’air gêné.

- rassure-moi. Tu me faisais marcher, n’est-ce pas ?
- désolé.
- mais qu’est-ce que tu veux que j’aille faire chez tes beaux-parents ?
- tu ne seras pas seul. Joey vient aussi, sourit-il.
- laisse-moi deviner. Avec Don, je parie.

Danny laissa s’échapper un soupir de frustration. C’était plus fort que lui.

- non, c’est fini entre eux.
- vraiment ?

Il ne put réprimer un sourire, sourire qui n’échappa pas à la vigilance de Martin.

- oui, ça fait deux jours.
- bien, mais ça ne répond toujours pas à ma question.
- en fait, Janelle a déjà parlé du lieutenant Flack à sa mère et comme elle ne veut pas que Joey se retrouve finalement toute seule, elle a pensé que …
- c’est pas vrai ! Tu me refais le coup alors ! La catastrophe au restaurant ne t’a donc pas suffit ? Maintenant, il faut que je me fasse passer pour le petit-ami de la sorcière en plus ! Pesta-t-il.

Martin fit les gros yeux à son collègue, lui faisant comprendre qu’il voyait clair dans son petit jeu.

- quoi ?
- arrête vieux, ça ne prend pas avec moi. On sait tous les deux que ça n’a rien d’une corvée pour toi.
- et elle ? Qu’est-ce qu’elle en dit ? Demanda Danny, tout en éludant la remarque de son ami.
- elle n’est pas au courant pour l’instant. Et encore moins que c’est toi le remplaçant de son cher détective.

Danny prit un air amusé. La situation risquait d’être cocasse et il voulait manquer la réaction de la jeune femme pour rien au monde.

- c’est d’accord. Je viens.
- génial ! Merci, vieux.
- alors, dis-m’en plus. Comment ils sont dans ta belle-famille ?
- sympas. Très sympas.
- tu sais, c’est pas la peine de leur faire des compliments. Ils n’entendent rien d’où ils sont, ironisa Danny.

Martin esquissa une légère grimace après la moquerie de son collègue.

- je ne mens pas. Ils sont tous très gentils, confirma-t-il.

C’est à ce même moment que quelques pas se firent entendre dans l’open space et l’agent Fitzgerald s’éloigna ainsi petit à petit afin de rejoindre son bureau.

- au fait, on part samedi matin alors tiens-toi prêt, vieux !
- ça marche ! S’enthousiasma Danny.

Il était fin prêt pour ce week-end. Ses retrouvailles avec la sorcière risquaient d’être corsées. Pour son plus grand plaisir.

Confortablement installé du côté passager, Martin se mordilla la lèvre une nouvelle fois pendant qu’il jouait nerveusement avec son portable en le faisant glisser entre ses mains. Ils allaient tous les trois arriver à bon port dans quelques minutes mais il n’avait toujours aucun signe de vie de Danny.
Il attendait désespérément son coup de fil lorsque Janelle se gara devant l’allée et qu’il reconnut la voiture de son ami sur le parking. Sagement adossé contre cette dernière, ce dernier lui fit un petit signe de la main.
Les sœurs Halliwell se chargeaient à présent de récupérer leurs sacs besaces dans le coffre et c’est à ce moment précis que le regard de Joey s’arrêta sur son cher voisin. La mine surprise, elle se retourna immédiatement vers sa sœur pour lui demander quelques explications.

- qu’est-ce qu’il fiche là, celui-là ? Houspilla-t-elle, en la fusillant du regard.
- ce sera ton Don Flack pour le week-end, sourit Janelle.
- QUOI ?

Elle sentit tout à coup la colère monter en elle.

- tu as organisé tout ça dans mon dos sans même daigner m’en parler ? Sympa !
- du calme, Jo. Du calme.
- tu vas me le payer !

Elle s’apprêtait déjà à sauter à la gorge de sa sœur lorsque Martin lui barra aussitôt le passage en se mettant sur son chemin afin de protéger sa compagne. Il vit ensuite Danny s’approcher pour lui prêter main forte. Ce dernier agrippa les deux bras de la jeune peintre dans le but de la faire reculer.

- lâche-moi, toi ! Cria tout à coup Joey. Ne me touche pas !

L’agent Taylor s’exécuta, toujours ce sourire carnassier accroché à ses lèvres.

- c’est pas ce que tu disais l’autre soir … beauté, rétorqua-t-il, le regard amusé.
- qu’est-ce qui s’est passé l’autre soir ? Demanda la vendeuse, piquée dans sa curiosité.
- rien du tout, Jay ! Et de toute façon, je ne te dis plus rien à toi, si c’est pour que tu répètes tout à maman et Gérard !
- faut savoir ce que tu veux ma vieille ! Je croyais que t’en avais assez d’être toute seule !
- et bien des fois, il est préférable de le rester plutôt que d’être mal accompagné !

L’allusion à la « mauvaise » compagnie de son voisin était à peine voilée mais Danny ne broncha pas.

- tu veux que je le prenne … mon cœur ? La provoqua-t-il, tout sourire.

Sa main tenait déjà la lanière de son sac, mais la jeune peintre le tira violemment de son côté. Elle s’approcha ensuite de Danny et le fixa du regard, leurs visages se trouvant seulement à quelques centimètres, l’un de l’autre.

- si tu crois que je vais jouer le jeu, tu te fourres le doigt dans l’œil mon pauvre.

Sa voix était calme et son ton des plus froids. Mais Danny ne portait que peu d’attention à ses propos, se contentant de fixer sa bouche avec envie. Il rêvait de retrouver ses lèvres. Ici. Maintenant. Tout de suite.
Son regard se faisait toujours aussi insistant. Il n’y avait plus de doute, il faisait ouvertement les yeux doux à Joey sous le regard amusé de Janelle et Martin qui ne manquaient pas une miette de la scène et n’étaient en rien dupes de leur attirance mutuelle.

- c’est clair ? Insista-t-elle.
- très clair, mon amour, répondit Danny, le sourire moqueur.

La jeune femme se contenta alors de pousser un soupir de frustration et s’avança ensuite dans la petite allée pour regagner au plus vite la maison familiale.
À présent main dans la main, Martin et Janelle emboîtèrent le pas à Joey et son nouveau « petit-ami » et ne purent retenir un sourire lorsqu’ils virent ce dernier tenter de passer son bras autour de la taille de la jeune femme et se faire repousser aussitôt.

- je crois que ce week-end va être beaucoup plus long que prévu.
- je pense aussi, confirma Martin, le sourire aux lèvres.

Et il avait raison …

C'est marrant, quand je suis pas là, t'es vachement plus productive! Dois je en déduire quelque chose?

Ah toutes ces suites étaient merveilleusement mirifiques! Les voir se bouffer le nez pour ne pas s'avouer leur attirance mutuelle, moi j'adore! Ils ont vraiment une attitude des plus primaires, mais qu'est-ce que c'est jouissif!
Par contre, le petit danny m'a l'air un peu trop sûr de réussir à arriver à ses fins! Non mais c'est quoi ça? Doute de rien ce petit gars! Ca mériterait qu'elle continue à lui déballer des mecs sous le nez (je vote pour un retour de Ray, et si ça pas possible pour le sosie outré de jude law )! Ah, mais quel ego ce taylor!

N'empêche que j'aimerais bien savoir ce qui a mal tourné entre joey et son ray... y'aurait moyen d'en apprendre plus entre deux parties de cache chache???

Je sens en tout cas que ce week end va être d'enfer! J'ai hâte de lire ça! Et j'espère pour papy qu'il y a pas d'étang dans le coin sinon il pourrait bien y faire un malencontreux plongeon!

Encore!!!! c'est mon dernier mot jean pierre!

je crois que ce week-end va être beaucoup plus long que prévu.
- je pense aussi, confirma Martin, le sourire aux lèvres.

moi aussi


la suite !!!!!!

C'est marrant, quand je suis pas là, t'es vachement plus productive! Dois je en déduire quelque chose?

vi, je travaille mieux sans pression nan, en fait, je sais pas, quand ça vient pas, ça vient pas et quand ça vient ... ben, ça vient



- MAMAN ! ON EST LA ! Hurla Joey, pour la prévenir de leur arrivée.

Elle savait bien que dans cette vaste maison, il y avait très peu de chance pour que sa mère ait entendu retentir le faible bip de la sonnette d’entrée.

- c’est … spacieux, observa Danny.
- ouais, c’est la grenouille qui l’a faite construire pour acheter l’amour de ma mère.
- Jo, soupira sa grande sœur.
- quoi ? Parce que c’est pas vrai, peut-être ?
- arrête de l’appeler comme ça, tu veux ?

Joey secoua la tête, l’air agacé avant de tirer la langue à sa sœur.

- c’est qui la grenouille ? Demanda Danny, piqué dans sa curiosité.
- t’inquiète pas, tu ne risques pas de le manquer. A côté, Mike Tyson, c’est de la gnognotte !

Danny détourna son regard vers Martin, qui appuya les dires de Joey. Son collègue haussa alors un sourcil. Cette histoire l’intéressait. Il voulait en savoir un peu plus sur cette famille.

- leur mère s’est remariée, chuchota discrètement son ami.
- ok. Mais pourquoi la grenouille ?
- parce qu’il est français.
- je vois, sourit Danny. Et leur père ?

La mine sombre, Martin s’apprêtait à répondre à son collègue lorsque quelques pas se firent entendre à l’étage. C’était la mère de Joey et Jane, qui descendait les escaliers et venait les accueillir à l’entrée.

- ah .. enfin ! Voilà mes deux petites chéries ! S’exclama-t-elle, enthousiaste.

Le sourire jusqu’aux oreilles, elle s’empressa de prendre Janelle dans ses bras, qui la serra chaleureusement en retour. Puis vint le tour de Joey qui semblait encore plus émue par leurs retrouvailles.

- comment ça va, les filles ?
- très bien et toi ?
- vous me connaissez, non ?

Joey esquissa un léger sourire à l’entente du ton exagérément énergique que sa mère avait employé pour lui répondre.

- et Gérard ? Il ne descend pas ? Demanda Jane.
- il est à la cave.
- ouais, toujours entrain de bricoler celui-là.
- Josephine, ne commence pas, tu veux ?
- maman, arrête de m’appeler comme ça, soupira-t-elle.

Sans se préoccuper de l’agacement de Joey, le regard de la maîtresse de maison se posa ensuite sur les charmants jeunes hommes présents dans la pièce. Ils affichaient tous deux un sourire radieux, qu’elle s’empressa de leur retourner.

- mais tu es revenu avec ce cher Martin à ce que je vois !
- bonjour, madame.
- comment ça, madame ? Qu’est-ce que je vous ai déjà dit, mon garçon ?
- Janice, se reprit-il, un brin gêné.
- je préfère ça.

Son regard se posait maintenant sur Danny. Un regard plein de curiosité.

- et je parie que c’est ce bon détective, n’est-ce pas ?
- justement à propos de ça, maman, je … commença Joey.
- c’est exact, affirma Danny. Enchanté de vous connaître.

Joignant le geste à la parole, il serra chaleureusement la main de sa « belle-mère » pendant que Joey maudissait le mensonge que son voisin venait de lui débiter.

- laissez-moi deviner. Mickey, c’est ça ?
- non, maman. C’est Donald. Et pour tout le monde, c’est Don, la corrigea sa fille.
- merci Janelle. Désolée mon garçon.
- y a pas de mal.

Se voulant charmeur, il offrit son plus beau sourire à Janice, devant le regard exaspéré de Joey qui trouvait qu’il en faisait légèrement trop.

- et bien, je te félicite ma puce. Je ne peux pas nier le fait que ce Ray avait un certain charme, mais ce monsieur a de la classe. Ça change tout !
- merci, sourit Danny.

Il s’avança ensuite de quelques pas pour retrouver Joey et lui murmurer quelques mots à l’oreille.

- qui est Ray ?
- t’occupe !

Son ton se voulait ouvertement désagréable et elle lui adressa une petite tape discrète sur l’avant-bras. Il avait dû toucher un point sensible.

- allez-y. Prenez place. Je vais chercher Gérard.
- tu sais, maman, tu devrais lui passer le collier de Prosper, comme ça tu l’aurais constamment sous la main, se moqua Joey. D’ailleurs, où il est celui-là ?
- dans la cave, je viens de te le dire !
- non, pas ton mari, Prosper !
- oui, dans la cave ! J’avais compris ! Tu sais très bien qu’il adore ronfler pendant que les autres travaillent, plaisanta Janice.

Le sourire aux lèvres, elle descendit au sous-sol pendant que les convives rejoignaient tranquillement la cuisine. Danny admirait les lieux, les yeux encore ébahis par tant de beauté. Cette maison était magnifique et il se mit à penser que ces chers propriétaires avaient dû dépenser une vraie petite fortune pour avoir une décoration aussi clinquante.

- j’en étais sûre ! Le café est déjà prêt ! Je vous en sers une tasse ?

Les deux agents s’empressèrent d’hocher la tête à la proposition de Janelle, qui s’exécuta immédiatement.

- Jo, t’en veux aussi ?
- non.
- même pas un petit peu ?
- j’ai dit non, répéta-t-elle, la mâchoire crispée.

Elle fusilla sa sœur du regard. Janelle n’ajouta rien. Elle avait bien compris le message. Joey avait encore du mal à digérer le piège qu’elle lui avait tendu.

- votre mère est vraiment magnifique. Je vois de qui vous tenez les filles.

Joey manqua de s’étouffer avec son verre de lait.

- ben vas-y Taylor ! Te gêne surtout pas ! Tente ta chance ! Je déteste déjà mon beau-père comme ça, mais là, avec toi, ce sera le bouquet ! Pesta-t-elle.
- il est si horrible que ça ?
- il est français. Ça veut déjà tout dire, non ?

Danny s’apprêtait à répondre lorsque son attention fut détourné par le superbe terre-neuve d’un noir brillant qui débarqua comme une furie dans la cuisine et n’eut de cesse de remuer son postérieur ainsi que sa queue devant Joey.
Préalablement appuyée contre la pierre d’eau de la cuisine, cette dernière s’agenouilla à sa hauteur pour accepter les quelques léchouilles de Prosper qui paraissait ravi.
Elle lui caressait allègrement la tête à présent.

- ça va, mon pépère ? Mais oui, il est mignon !

Danny était totalement halluciné par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Pour quelqu’un d’aussi peu sociable que Joey, elle paraissait s’entendre à merveille avec son compagnon à quatre pattes.

- t’en veux ?

Elle offrit au chien un biscuit rem qu’elle aimait à faire fondre dans son verre de lait. Prosper le huma quelques instants à l’aide de son museau mais refusait obstinément de croquer dedans.

- tu veux pas ?
- t’attends qu’il te réponde ? Plaisanta Danny.
- la ferme … Donald !

Sa réponse était sèche mais en même temps, il n’avait rien perdu du petit sourire en coin qu’elle lui avait adressé. Ce week-end ne pouvait pas mieux tomber et il était certain qu’il serait propice à quelques rapprochements. Pour sa plus grande satisfaction.

- allez, mon gros. Pour faire plaisir à tante Josephine, insista-t-elle.

Prosper ne cédait toujours pas mais Joey décida de ne pas se laisser abattre aussi facilement. Elle sortit donc un autre verre de l’armoire de la cuisine, y versa un peu de lait et laissa tremper le biscuit de Prosper quelques instants dans le récipient avant de le proposer à nouveau au chien, qui n’en fit qu’une bouchée. Elle se mit à sourire. Apparemment, ils avaient quelques points communs tous les deux.

- mais oui, c’est bon ça, hein ?

Elle sentait à nouveau le regard rieur de Danny se poser sur elle et lui adressa un regard noir pour qu’il évite une énième moquerie.

- arrête de le gaver comme ça, il ne va plus rien manger après, la prévint Janelle.

Le terre-neuve en était déjà à son cinquième biscuit lorsque Joey entendit la voix de la réprimande et se mit à soupirer.

- qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Je ne résiste pas à cette adorable petite bouille et à ces magnifiques yeux noisettes, sourit-elle.
- merci pour le tuyau. Si j’ai bien compris, faut que je me mette aux lentilles alors, plaisanta Danny.

La jeune peintre grimaça face à l’ironie de l’agent du FBI. Cela la gênait encore plus qu’il se permette de lui faire du gringue devant le nez de Janelle et Martin, qui paraissaient amusés par la situation.
Elle poussa un soupir de frustration. Elle se demandait encore si elle survivrait à ce week-end, coincée de la sorte avec son irritable voisin et son beau-père français.
Mais elle devait bien reconnaître que ce qui l’insupportait le plus, c’était ce regard profond ainsi que cet irrésistible sourire qui s’affichait à chaque fois sur le visage de Danny. Elle ne savait pas si elle trouverait encore la force de le rembarrer avec de pareils arguments. Ces derniers lui paraissant de plus en plus convaincants au fil de la journée.

oh et moi j'ai demandé la suite et j'en ai déjà une


alors je recommence LA SUITE !!!!! J'attends

Un régal qu'est ce que tu veux que je te dise

D'abord un Danny qui accepte vite l'invitation de Martin, il est complètement accroc le tit chou

Ensuite l'arrivée des filles

La grenouille, j'adore le pauvre homme

c’est exact, affirma Danny. Enchanté de vous connaître.

Là je dis respect monsieur Taylor, c'est trop sympa

laissez-moi deviner. Mickey, c’est ça ?
- non, maman. C’est Donald. Et pour tout le monde, c’est Don, la corrigea sa fille.

on sait de qui tienne les filles

tu veux pas ?
- t’attends qu’il te réponde ? Plaisanta Danny.
- la ferme … Donald !

Ils s'aiment ces deux là, ça se voit

il est à la cave.
- ouais, toujours entrain de bricoler celui-là.

Heu????j'aimerais bien rencontrer ce Gérard les hommes qui bricolent dans leur cave....j'adore

Encore,encore, encore

oh du bonheur encore que du bonheur !!! je kiffe !!!
y a des perles de aprtout et danny qui se met belle maman dans la poche !! il a un culot monstre mine de rien Donald !!

trop fort et je réclame la suite avec Prosper aussi !!!

Moi qui avait pleins de suites a rattrapper , ben là c'est que du bohneur!!


Tes suites sont meilleures les unes que les autres !!

Sacrée Joey!!

Mais elle ve bientôt craquer la petite nan???


Allez une suite??