The Girl Next Door-Complète

oui c clair qu'elle adore !!!


moi j'attends toujours

Ben vi

Je ne me rappelais absolument pas ce passage entre Doug Et Carole, mais dis donc, c'est trop mimi Alors voir la version Ray/Joey, c'était comme si j'avais mangé un de ses brownies... ça m'a fait fondre de partout!
Sérieusement c'était trop beau. Et je comprend son trouble. Comme quoi c'est pas forcément les cadeaux les plus chers qui font le plus plaisir... c'est ceux qui représentent le plus qui le sont. Et là.... Un point pour mon raynounet!
C'est Danny qui va faire la gueule si il comprend...

Et puis le flash back... ahhhh, c'était cro beau! C'est dur tout de même de voir;.. enfin de lire un passage comme ça, où on le voit heureux, près à accueillir un petit bout, en sachant ce qui allait se passer ensuite... pfff, la vie est trop cruelle! ça fend mon petit coeur.

Bref, tu sais à quel point je suis fan de ta fic, et à quel point j'ai hâte de voir où tout cela va nous mener.
J'ai trop trop trop envie de lire la suite, vi vi vi!

Alors encore!!!!

ben elle est où tweetie ????

Deux jours sans nouvelle....j'espère que ça va?

"Je vais bien, tout va bien"

pativore a écrit:mon raynounet!

roo j'adore ce surnom sauf que c le mien



- Joey ?

Martin haussa un sourcil, surpris de voir débarquer la jeune peintre dans leurs locaux.

- salut ! S’exclama-t-elle, tout sourire.

Les portes de l’ascenseur venaient de se refermer et elle se tenait à présent debout juste devant les deux agents fédéraux.

- qu’est-ce que tu fais ici ?
- c’est Danny. Il m’a bipé.

Elle se mordilla ensuite la lèvre inférieure, l’air gêné.

- je me sens vraiment pathétique, ça fait un peu la fille qui accourt dès que son mec l’appelle, ironisa-t-elle.
- ça nous est déjà toutes arrivées un jour, rassurez-vous.

Joey fixa droit dans les yeux la jeune femme blonde qui venait de lui répondre dans un sourire moqueur.

- Samantha Spade, se présenta-t-elle.
- ah oui, l’ex de Martin ! Ma sœur vous déteste, mais seulement parce que vous êtes sorti avec son mec. Surtout, n'y voyez rien de personnel !
- bien sûr que non, railla l’agent du FBI.

Un silence gênant s’installa tout à coup dans le couloir. L’atmosphère semblait des plus tendues entre les deux jeunes femmes qui se scrutaient du coin de l’œil. Joey craignait cependant d’y être allée un peu fort cette fois-ci.
Le ding de l’ascenseur les libéra finalement et Sam en profita alors pour agripper gentiment le bras de Martin avant de pénétrer dans la cage avec lui.

- ravie de vous avoir rencontré, Joey, lâcha-t-elle avant que les portes ne se referment derrière eux.

Comme toute réponse, la jeune peintre leur offrit son plus beau sourire en les saluant de la main.

- alors c’est elle, Joey, dit Sam, pensive.

Martin confirma ses dires en opinant du chef. Lui aussi pensait que son ami ne devait vraiment pas être aidé avec une petite-amie pareille.

- pauvre Dan, soupira-t-elle, la mine soucieuse.

De son côté, Joey continua sa quête du jeune latino en errant dans les couloirs du FBI jusqu’à ce qu’elle aperçoive à travers la vitre d’une des salles accessibles aux visiteurs, une superbe asiatique qui essayait en vain d’attirer l’attention de Danny en lui offrant constamment sous le nez, son décolleté plongeant. Contre toute attente, elle ne put réprimer un sourire devant une scène aussi ridicule. Elle toqua ensuite une fois à la porte et entra sans attendre la moindre autorisation.

- ah ! Te voilà enfin ! S’enthousiasma l’agent Taylor.
- ne m’en parle pas ! Je croyais que je n’y arriverai jamais ! Ils roulent vraiment tous comme des fous dans cette ville, c’est pas possible !

Ne prêtant que peu d’attention à ses diverses plaintes, Danny passa immédiatement un bras autour de la taille de Joey et l’embrassa sur la tempe, tout cela, sous le regard contrarié de la jeune asiatique.

- alors Donald, qu’est-ce qu’il y avait de si urgent et qui ne pouvait pas attendre jusqu’à ce soir ?

Les yeux rivés sur lui, elle s’amusait à effectuer quelques mouvements de balancier avec la cravate de ce dernier.

- je te présente Nami Yoshiko.

Joignant le geste à la parole, il tendit un bras vers l’intéressée et la désigna d’une main.

- enchantée, la salua cette dernière.

Elle se forçait clairement à sourire et la jeune peintre esquissa une légère grimace en retour, un peu décontenancée par la situation. Elle était dans le flou total concernant la raison de la présence de cette jeune inconnue dans la pièce.

- mademoiselle Yoshiko s’est gentiment proposée pour … commença Danny.
- vous pouvez m’appeler Nami, vous savez, le reprit-elle, en lui faisant les yeux doux.
- bien, répondit-il, dans un sourire gêné.

Il se gratta l’arrière de la tête, essayant tant bien que mal de cacher son embarras de se retrouver face à pareille situation. Connaissant également le caractère bien trempé de sa compagne, la confrontation entre les deux femmes risqueraient fort de faire des étincelles si la jeune asiatique persistait à s’enliser dans cette voie des plus dangereuses.

- Nami est agent immobilier, expliqua-t-il à Joey. Crois-moi, on a de la chance qu’elle soit encore libre.
- on se demande vraiment qui en a le plus, ironisa la sœur de Janelle.

Son regard resta posé fixement sur Nami quand elle prononça cette phrase. Il se voulait des plus noirs et des plus insistants. Le message était clair. Elle n’était pas dupe de ses tentatives désespérées pour charmer son homme.

- excusez-nous un moment. On revient tout de suite.

Las de ses remarques désagréables, Danny prit alors fermement le bras de Joey et l’emmena à l’extérieur de la pièce pour qu’ils discutent au calme et en toute discrétion.

- faudrait lui dire à ta copine qu’Halloween c’est fini depuis longtemps !

L' œil rieur, Danny se força à garder son sérieux.

- c’est une des meilleures sur le marché.

Il lui adressa un regard des plus convaincants.

- comme strip-teaseuse, j’en doute pas.
- Joey, soupira-t-il.

Il leva les yeux au ciel. Elle était vraiment impossible quand elle s’y mettait.

- quoi ? Réagit-elle, en prenant un air innocent.
- tant qu’elle nous aide à trouver la maison de nos rêves, je t’assure que je m’enfiche complètement de sa tenue.
- tu la préfères sans rien, c’est ça ?

Il ne put réprimer un sourire. C’était la question piège par excellence.

- bien tenté, beauté.

Mauvaise perdante, elle lui tira la langue et mit les bras en croix. Danny la ramena alors tout contre lui et posa son front contre le sien.

- fais-moi confiance, ok ?
- mouais. T’as gagné. On l’engage, ta Nem Michoko.
- c’est Nami Yoshiko.
- et alors, c’est pas ce que j’ai dit ?

Ils échangèrent un sourire complice et elle monta sur la pointe des pieds pour lui voler un furtif baiser avant de s’éloigner aussitôt.

- je te laisse avec Sailormoon. Je suis garée à cheval sur le trottoir et j’ai pas envie de me choper une nouvelle prune.
- attends ! Ça veut dire que tu ne viens pas pour les visites ?

Elle se retourna pour lui faire face mais continuait tout de même à s’éloigner en même temps.

- j’aimerais bien mais j’ai pas envie, ironisa-t-elle.
- comment tu veux qu’on s’organise alors ?

Cachant son immense déception, Danny venait d’hausser le ton parce que Joey se trouvait déjà loin à force de reculer de plus en plus.

- occupe-t’en. Ça me donne mal aux pieds rien que d’y penser ! T’as qu’à en choisir une qui te plaît et on verra ensemble si on l’achète ou pas. Je te fais confiance, Donald !
- mais …

Trop tard. Elle avait déjà disparu dans un autre couloir et ne lui avait laissé aucune chance de répliquer. Il se demandait bien ce qui pouvait clocher. Jusque-là, elle avait mis un point d’honneur à être présente à chaque étape qui concernerait la recherche de leur prochain nid d’amour. Et pourtant, elle agissait maintenant comme si ce sujet était presque devenu quelconque à ses yeux.
Non. Ça ne pouvait pas être ça. Il se faisait des idées. Si elle avait vraiment l’intention de changer d’avis ou n’était plus très sûre de son choix, elle lui en aurait sûrement déjà parlé. Après tout, c’était Joey. Il la connaissait. Elle ne lui ferait jamais un coup pareil.
À présent soulagé sur les intentions de la jeune femme, il prit alors une profonde inspiration avant de souffler. C’était seulement le stress qui lui jouait de mauvais tours. Il s’angoissait vraiment pour rien.

Et bien! Je me demandais presque si on allait pas envoyer le FBI à ta recherche! Tout un week-end sans suites?!!! C'était horrible! Mais c'est vrai en plus! Moi j'aime pas quand il y a pas de suite!

Alors imagines comment j'ai savouré celle là! Bon, y'avait pas de traces de Raynounet... enfin je veux dire de ton "raynounet" , alors je suis un peu triste mais bon, je ronge mon frein jusqu'à la prochaine suite!

Encore une fois, j'ai bien ri! Joey me fait réellement triper.

- Samantha Spade, se présenta-t-elle.
- ah oui, l’ex de Martin ! Ma sœur vous déteste, mais seulement parce que vous êtes sorti avec son mec. Surtout, n'y voyez rien de personnel !

C'est ce qui s'appelle être directe!


Suite du florilège...

- c’est une des meilleures sur le marché.

Il lui adressa un regard des plus convaincants.

- comme strip-teaseuse, j’en doute pas.

- tant qu’elle nous aide à trouver la maison de nos rêves, je t’assure que je m’enfiche complètement de sa tenue.
- tu la préfères sans rien, c’est ça ?

Il ne put réprimer un sourire. C’était la question piège par excellence.

- bien tenté, beauté.

- mouais. T’as gagné. On l’engage, ta Nem Michoko.
- c’est Nami Yoshiko.
- et alors, c’est pas ce que j’ai dit ?

Nem Michoko c'est pas un mélange des plus gastronomiques ça!

Par contre ça, ça fait un peu peur pour l'avenir du petit chou...

- je te laisse avec Sailormoon. Je suis garée à cheval sur le trottoir et j’ai pas envie de me choper une nouvelle prune.
- attends ! Ça veut dire que tu ne viens pas pour les visites ?

Elle se retourna pour lui faire face mais continuait tout de même à s’éloigner en même temps.

- j’aimerais bien mais j’ai pas envie, ironisa-t-elle.
- comment tu veux qu’on s’organise alors ?

Cachant son immense déception, Danny venait d’hausser le ton parce que Joey se trouvait déjà loin à force de reculer de plus en plus.

- occupe-t’en. Ça me donne mal aux pieds rien que d’y penser ! T’as qu’à en choisir une qui te plaît et on verra ensemble si on l’achète ou pas. Je te fais confiance, Donald !
- mais …

Et comme quoi tu mènes bien ta barque, je n'arrive toujours pas à savoir vers quel fin tu tends... pro Danny, pro Ray, pro ni l'un ni l'autre???? Ca m'agace!

Alors une autre suite ça serait... enfin tu vois quoi!

Rolalala, cette suite est tout simpelment géante

Joey dans toute sa splendeur là

Ce que j'ai adoré c'est le "Nem Michoko"

Et Salairmoon

Une suite tordante comme jamais!!!!!!

Mais comme Pativore je reste ceptique sur la façon dont tout ça va finir...Ray...Danny...ou alors...seule

Bon ben tu sais ce qu'il nous faut alors

Encore,encore,encore

ah pas de suite mais quand elle arrive

alors partagée entre "je me suis fendue avec joey !!! ou je commence sérieux à m'inquéter pour l'avenir de danny chou avec elle !!

sinon j'ai pas pu résister tant pis les filles ont déjà citer les passages les plus
croquants !!!

- je me sens vraiment pathétique, ça fait un peu la fille qui accourt dès que son mec l’appelle, ironisa-t-elle.

c'est l'amour ça non ???

- ah oui, l’ex de Martin ! Ma sœur vous déteste, mais seulement parce que vous êtes sorti avec son mec. Surtout, n'y voyez rien de personnel !
- bien sûr que non, railla l’agent du FBI.

oups bonjour l'accueil ça s'appelle casser !!!

Ne prêtant que peu d’attention à ses diverses plaintes, Danny passa immédiatement un bras autour de la taille de Joey et l’embrassa sur la tempe, tout cela, sous le regard contrarié de la jeune asiatique

.cette michoko faut qu'elle dégage elle arête de regarder mond an comme cela !!!

Les yeux rivés sur lui, elle s’amusait à effectuer quelques mouvements de balancier avec la cravate de ce dernier.

j'adooore

- on se demande vraiment qui en a le plus, ironisa la sœur de Janelle.

cassé !!!

- comme strip-teaseuse, j’en doute pas.
- Joey, soupira-t-il.

- tu la préfères sans rien, c’est ça ?

elle est trop forte cette fille !!! je l'imagine avec son air de jalouse et c'est petite vanne àdeux balles !!! mon pauvre dan il est bien barré avec une fille comme elle

Danny la ramena alors tout contre lui et posa son front contre le sien.

roooo alors moi j'adore toutes ces petites phrase détails !!!


-

mouais. T’as gagné. On l’engage, ta Nem Michoko.

moi aussi j'adore les michoko !!! oh tu es forte sur ce coup là tweetie!!! ou vas tu chercher des trucs pareils !!!

alors par contre là moi aussi j'ai eu un début d'arrêt cardiaque !!!

- je te laisse avec Sailormoon. Je suis garée à cheval sur le trottoir et j’ai pas envie de me choper une nouvelle prune.
- attends ! Ça veut dire que tu ne viens pas pour les visites ?

Elle se retourna pour lui faire face mais continuait tout de même à s’éloigner en même temps.

- j’aimerais bien mais j’ai pas envie, ironisa-t-elle.
- comment tu veux qu’on s’organise alors ?

Cachant son immense déception, Danny venait d’hausser le ton parce que Joey se trouvait déjà loin à force de reculer de plus en plus.

- occupe-t’en. Ça me donne mal aux pieds rien que d’y penser ! T’as qu’à en choisir une qui te plaît et on verra ensemble si on l’achète ou pas. Je te fais confiance, Donald !

-
oups mon pauvre dan je comrpends sa déception ... y'a de quoi se poser des questions .. le pauvre il doit être réellement très amoureux pour ne pas s'apercevoir qu'elle LE TROMPE !!!! bonn d'accord juste en pensée mais tout de même !!!

Et pourtant, elle agissait maintenant comme si ce sujet était presque devenu quelconque à ses yeux.
Non. Ça ne pouvait pas être ça. Il se faisait des idées. Si elle avait vraiment l’intention de changer d’avis ou n’était plus très sûre de son choix, elle lui en aurait sûrement déjà parlé. Après tout, c’était Joey. Il la connaissait. Elle ne lui ferait jamais un coup pareil.

mon pauvre ti doudoune si tu savais !!! elle ne sait plus trop où elle en est mais j'ai trouvé pour ma aprt la réaction de Joey pas sympa du tout !!! du tout !!! là je di - 1 !!!


quelle suite j'ai encore les nerfs et le sourire en même temps !!!

vite la suite

merci à vous 3



- oui, j’arrive ! Cria Joey.

Elle se dirigea aussitôt vers l’entrée dès qu’elle entendit les premiers tintements de la sonnette retentir dans son atelier.

- salut, dit le jeune motard, une main appuyée contre l’embrasure de la porte.

Elle resta bouche bée devant une telle apparition. Cette voix rauque, elle n’espérait plus l’entendre.

- on va faire un tour ? Sourit-il.

Encore ce naturel si craquant et ce regard malicieux dont elle n’avait de cesse de contempler.

- qu’est-ce que tu fais encore ici ? Lui demanda-t-elle, sèchement.

Il était déjà sensé repartir la semaine dernière. Malgré cela, elle avait vraiment du mal à lui en vouloir pour ce mensonge. Surtout lorsqu’elle plongeait son regard dans le bleu intense de ses yeux.

- hey … salut Ray ! Contente de te revoir ! Allons-y, je te suis ! Ironisa-t-il, lui faisant comprendre au passage qu’il s’attendait à un autre accueil de sa part.
- désolée, lâcha-t-elle, l’air amusé.
- je me lasserai jamais de ce sourire.

Il la dévorait des yeux et pour une fois, elle ne fuit pas son regard.

- contente de te revoir, Ray, dit-elle simplement, dans un murmure.

La tension qui les animait était palpable sur le pas de sa porte. Ils ne savaient plus trop quoi se dire jusqu’à ce que le jeune motard ne mette fin à ce silence des plus gênants.

- c’était vraiment sympa …. la dernière fois.

Sa tête appuyée contre le mur du couloir, il s’amusait maintenant à arracher les quelques fils rebelles qui se trouvaient sur la doublure de son casque, comme si un aveu de ce genre le rendait nerveux. Elle le reconnaissait bien là. Touchée par sa confession, elle préférait ne rien dire, plutôt que de risquer d’en dire trop.

- j’ai besoin de calme pour travailler, alors …
- c’est juste pour parler, la pria-t-il du regard.

Comme seule réponse, elle lui ouvrit un peu plus sa porte et il pénétra ainsi dans son atelier en prenant bien soin de la frôler au passage. Il ne pouvait pas s’en empêcher. Ce simple contact la troubla au plus haut point. Elle se força ensuite à reprendre ses esprits puis referma sa porte derrière lui.

- très bien. Parle.

Les bras croisés, elle était sur la défensive.

- ok, dit-il, en se passant nerveusement une main dans ses cheveux, encore tout ébouriffés. Je sais que tu les préfères en mauve-clair, mais ils n’avaient plus que ça en stock.

Il plongea à nouveau sa main dans son casque et elle accepta bien volontiers le bouquet de lilas blancs qu’il venait de lui tendre.

- tu m’offres des fleurs ? C’est nouveau ça ! S’exclama-t-elle, moqueuse.

Elle préférait encore alléger l’atmosphère, plutôt que de lui montrer qu’elle était vraiment touchée par cette petite attention. Surtout, venant de sa part.

- faut croire que les temps ont changé, sourit-il.

L’allusion au paquet cadeau qu’il lui avait fait livrer chez elle la semaine dernière était à peine voilée mais elle fit semblant de ne pas comprendre la référence. Elle préférait encore finir de retoucher la toile qui l’attendait.
Quant à Ray, il balaya un instant la pièce du regard puis finit par s’approcher de la fenêtre. Elle le sentait ainsi juste derrière elle et retint sa respiration lorsqu’il pencha sa tête à hauteur de son épaule, ses yeux à présent rivés sur sa prochaine œuvre. Joey posa ses mains à quelques centimètres de son dernier tableau pour le cacher, ce qui fit sourire Ray.

- fais-voir.
- non, pas cette fois.
- vraiment ? Demanda-t-il, en la défiant du regard.

Elle le fixa droit dans les yeux, sans rien dire. Mais il avait sa réponse. Cette époque était bel et bien révolue. Et pourtant, il se sentait encore comme un vrai privilégié d’avoir été le seul à qui elle ait donné la permission de jeter un coup d’œil à un grand nombre de ses peintures.

- tu te souviens de ce jour-là ?

Le regard de Ray venait de se poser sur un tableau bien précis dans la pièce et il le pointait maintenant du doigt à Joey.

- non, mentit-elle.

En réalité, elle s’en rappelait comme si c’était hier. Son pinceau n’avait jamais été aussi léger que ce jour-là. Comme si la vie qu’elle portait alors en elle, suffisait à l’inspirer. C’était un merveilleux dimanche après-midi. Ils étaient allés pique-niquer dans le parc et Joey avait réussi plusieurs esquisses sur la vue imprenable qui donnait sur le lac. C’est comme si elle voyait les choses avec plus de couleurs, en deux fois plus beau. Elle se sentait tellement heureuse et vivante à cet instant. Elle aimait voir Ray s’amuser encore une fois à chuchoter contre son ventre déjà bien rond, en vrai papa impatient qu’il était. Ils avaient alors la vie devant eux, avant que leur rêve ne soit définitivement brisé.
Encore perdue dans ses pensées, Joey n’avait pas remarqué que Ray tentait de s’emparer de la toile en question en la faisant descendre de l’étagère.

- mais qu’est-ce que tu …. s’étonna-t-elle.

Elle s’arrêta dans son élan, contrariée de voir cette toile finir au sol. Elle lui adressa un regard noir et il se sentit pris en faute lorsqu’elle se pencha pour ramasser cette dernière. Il ne broncha pas et se mordilla la lèvre, conscient qu’il venait de faire une bêtise. Le pas décidé, il la vit alors prendre elle-même la petite échelle qui se trouvait contre le mur et monter les trois premières marches avec sa toile en main, pour la déposer sur l’étagère, à sa place d’origine. Tout se déroulait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle sente les mains de Ray s’approcher dangereusement de ses reins, en soutien.

- ça v… ça va aller, bégaya-t-elle.

Ça aurait pu être le cas, s’il avait cessé de la toucher. Mais non. Ses mains la tenaient maintenant fermement au niveau de ses hanches et elle se forçait à rester concentrée sur son but alors qu’un désir brut l’envahissait en cet instant. Elle reposa finalement la toile à sa place et descendit lentement les marches, une par une, avec toujours les mains de Ray en soutien, de chaque côté de l’échelle, pour parer à toute chute éventuelle.
Une fois les pieds au sol et le dos face à l’échelle, elle eut la surprise de découvrir le visage de Ray à seulement quelques centimètres du sien. Il ne s’était pas reculé. Elle se liquéfiait déjà de le sentir aussi proche d’elle.

- voilà, sourit-elle, gênée.

Il la déshabillait des yeux et ne pouvant résister plus longtemps à ce regard, elle avança d’un pas afin de le contourner.

- Joey …

Il la retint d’une main sur son avant-bras et elle se sentait succomber petit à petit. Elle ferma les yeux, prit une profonde inspiration mais ne se retourna pas pour lui faire face.

- oui ? Demanda-t-elle, innocemment.

Sa voix tremblait. Il lui fit faire demi-tour sur elle-même et la surprit en déposant un tendre baiser sur sa bouche. Totalement déstabilisée par son geste, elle le fixa les yeux écarquillés et sans qu’elle ne puisse réagir, elle le sentit aussitôt passer ses deux mains derrière elle pour lui soutenir la nuque et l’embrasser de plus belle. Il laissa ensuite reposer son front contre le sien et Joey esquissa un léger sourire, enfin consciente de ce qui venait de se passer.
Son esprit lui disait une chose, mais son cœur lui en dictait une autre. Le cœur battant, elle se mit alors sur la pointe des pieds et déposa à son tour plusieurs petits baisers sur la bouche de Ray, tendres et surtout lents, prenant bien soin de savourer la douceur de ses lèvres. Elle passa ensuite ses bras autour de son cou refusant que cette sensation de bien-être ne s’évanouisse, que ce sentiment de plénitude s’en aille. C’était mal, mais en même temps, c’était si bon. Les yeux fermés, elle se délectait de chacun de ses baisers du bout des lèvres.
Posant délicatement ses mains de chaque côté de son visage, comme s’il ne voulait plus jamais la quitter, Joey ne lui en refusa pas l’accès lorsqu’il revint coller sa bouche contre la sienne et l’embrassa de plus belle en retour. Leurs langues s’entremêlaient toujours avec plus d’envie, d’ardeur, de fougue et de passion. Comme s’ils mettaient dans chaque nouveau baiser, tout ce qu’ils avaient été incapables de s’avouer jusque là.
Reprenant tour à tour leurs souffles, encore bercés par l’intensité de ce moment, Ray dégagea une mèche de la longue chevelure de la jeune peintre derrière son oreille. Il pourrait vraiment passer des heures à admirer ce doux visage.

- je repars ce soir, annonça-t-il.

Il maintint son front juste à quelques centimètres de celui de Joey et baissa les paupières.

- viens avec moi, dit-il, dans un murmure.

Il s’était peut-être un peu trop laissé emporté dans le feu de l’action et le comprit aussitôt à la réaction de Joey. Elle venait de briser leur étreinte et le fixait, incrédule.

- j’ai fait quelque chose de mal ? S’étonna-t-il, l’air soucieux.

Il se tenait debout devant elle, les yeux écarquillés, ne comprenant pas sa réaction.

- c’est tout ce que tu as à dire ? C’est ça, ta solution ? Prendre la fuite ?

Elle venait d’hausser le ton alors qu’en réalité, ce n’est pas à lui qu’elle en voulait mais à elle-même. Comment osait-elle ne serait-ce qu’imaginer faire ça à Danny ? Il lui était complètement sorti de la tête. Elle n’avait même pas penser à lui une seconde alors qu’il se donnait tout ce mal pour que leur histoire fonctionne. Elle refusait de lui infliger ça. Elle ne voulait pas le faire souffrir. Ray était le passé, Danny sera son avenir.

- j’ai commencé une nouvelle vie ici, et tu ne peux plus en faire partie.

Elle ignorait encore comment elle avait fait pour quitter ses lèvres et briser ce moment si magique entre eux, mais c’était bel et bien fait. Elle en avait trouvé le courage et devait s’y tenir jusqu’au bout.

- tu ne dois pas en faire partie, insista-t-elle.

Il la fixa sans rien dire. C’était le moment où jamais de se lancer.

- c’est toi que je veux, Joey. Enfant ou pas, c’est toi.

Le message était clair. Elle n’avait plus de doute quant à ses intentions et l’entendre prononcer ces quelques mots, si simples, mais qui voulaient dire tellement plus parce qu’ils sortaient de sa bouche, la perturba encore plus. Tout se bousculait dans sa tête. Elle n’arrivait plus à réfléchir.

- vas-t-en, s’il te plaît, chuchota-t-elle.

C’est comme si elle ne trouvait pas le courage de le dire à voix haute, parce que cela deviendrait alors réel. Elle tremblotait et fuit aussitôt le regard totalement défait que lui lança Ray à cet instant. À le voir réagir ainsi, elle avait l’impression de revivre la page la plus douloureuse de leur histoire et sentait l’émotion la gagner petit à petit. Quelques larmes commençaient à perler au coin de ses yeux.
La démarche lente et éteinte, montrant toute l’étendue à la fois de sa peine et la profondeur de sa déception, Ray se dirigea vers la sortie et déposa au passage un billet d’avion pour Seattle sur l’étagère juste à ses côtés puis quitta les lieux, en silence.
Les yeux maintenant embués de larmes, Joey s’approcha de l’étagère et se saisit du billet en question. Elle n’avait plus que quelques heures pour se décider. Elle tenait son destin entre les mains.

t'a première suite avec le nem michoko m'a explosée


la deuxième était émouvante, touchante, rhhhhh


mais

Les yeux maintenant embués de larmes, Joey s’approcha de l’étagère et se saisit du billet en question. Elle n’avait plus que quelques heures pour se décider. Elle tenait son destin entre les mains.

et le je ne dis qu'une chose choisi vite et bien Joey

Exact choisis vite et bien ...c'est à dire Danny !!

Rooooo, je viens de lire sur l'autre monde et là....

et bien c'est le 18 qu'il faut appeler maintenant, je suis toute chose

Un Ray qui frappe à la porte....

Ces baisers...bon je cours prendre une douche là
C'était géant

Encore

je sais même pas quel est le sentiment qui prédomine... je suis mélangée entre ce Ray que tu décris si bien et qui semble apaiser le caractère de Joey.. et Danny qui ne mérite pas ça....

Bref je

Rooo, je ne sais même pas quoi te dire tant je suis passée par pleins de stades d'émotions.

D'abord avec ça:

- salut, dit le jeune motard, une main appuyée contre l’embrasure de la porte.

Elle resta bouche bée devant une telle apparition. Cette voix rauque, elle n’espérait plus l’entendre.

Déjà là, j'ai sauté de joie!
J'étais trop contente!

Sa tête appuyée contre le mur du couloir, il s’amusait maintenant à arracher les quelques fils rebelles qui se trouvaient sur la doublure de son casque, comme si un aveu de ce genre le rendait nerveux.

Rooo trop craquant

En réalité, elle s’en rappelait comme si c’était hier. Son pinceau n’avait jamais été aussi léger que ce jour-là. Comme si la vie qu’elle portait alors en elle, suffisait à l’inspirer. C’était un merveilleux dimanche après-midi. Ils étaient allés pique-niquer dans le parc et Joey avait réussi plusieurs esquisses sur la vue imprenable qui donnait sur le lac. C’est comme si elle voyait les choses avec plus de couleurs, en deux fois plus beau. Elle se sentait tellement heureuse et vivante à cet instant. Elle aimait voir Ray s’amuser encore une fois à chuchoter contre son ventre déjà bien rond, en vrai papa impatient qu’il était. Ils avaient alors la vie devant eux, avant que leur rêve ne soit définitivement brisé.

J'ai Adooooré ce passage... c'était magnifique!

Sa voix tremblait. Il lui fit faire demi-tour sur elle-même et la surprit en déposant un tendre baiser sur sa bouche. Totalement déstabilisée par son geste, elle le fixa les yeux écarquillés et sans qu’elle ne puisse réagir, elle le sentit aussitôt passer ses deux mains derrière elle pour lui soutenir la nuque et l’embrasser de plus belle. Il laissa ensuite reposer son front contre le sien et Joey esquissa un léger sourire, enfin consciente de ce qui venait de se passer.
Son esprit lui disait une chose, mais son cœur lui en dictait une autre. Le cœur battant, elle se mit alors sur la pointe des pieds et déposa à son tour plusieurs petits baisers sur la bouche de Ray, tendres et surtout lents, prenant bien soin de savourer la douceur de ses lèvres. Elle passa ensuite ses bras autour de son cou refusant que cette sensation de bien-être ne s’évanouisse, que ce sentiment de plénitude s’en aille. C’était mal, mais en même temps, c’était si bon. Les yeux fermés, elle se délectait de chacun de ses baisers du bout des lèvres.
Posant délicatement ses mains de chaque côté de son visage, comme s’il ne voulait plus jamais la quitter, Joey ne lui en refusa pas l’accès lorsqu’il revint coller sa bouche contre la sienne et l’embrassa de plus belle en retour. Leurs langues s’entremêlaient toujours avec plus d’envie, d’ardeur, de fougue et de passion. Comme s’ils mettaient dans chaque nouveau baiser, tout ce qu’ils avaient été incapables de s’avouer jusque là.
Reprenant tour à tour leurs souffles, encore bercés par l’intensité de ce moment, Ray dégagea une mèche de la longue chevelure de la jeune peintre derrière son oreille. Il pourrait vraiment passer des heures à admirer ce doux visage.

Là j'ai hurlé de joie!
sérieusement, depuis le temps que j'attendais ce passage avec raynounet. C'était juste à tomber... raaaaa j'en reveux des passages comme ça!!!

es yeux maintenant embués de larmes, Joey s’approcha de l’étagère et se saisit du billet en question. Elle n’avait plus que quelques heures pour se décider. Elle tenait son destin entre les mains.

Le choix est cornélien, mais en même temps... bah à mon avis, elle est toujours amoureuse de Ray alors... bon, je me tais et je te laisse décider!


La suite très très très vite, hein!

rooo ben là je dirais que Pativore a tout citer ...on sent que y a du love encore entre les deux !!!! mais pour ma part je dis

ben vi si elle l'aime qu'elle prenne le billet mais si elle aime danny encore plus alors direction Paris...le choix est dur !!! mais maintenant joey faut laisser son coeur parler et choisir

(et si en plus elle fait souffrir mon dan....je le bute !!!)

non allez je sens que son coeur ne sait plus du tout mais j'ai bien peur pour elle que sous ses grand sourires, ce cher Ray ne soit pas l'homme quil lui faut...mais je veux bien qu'elle aprte avec lui et ensuite tu peux nous faire uhe autre fic avec un dan à sa recherche !!!
non en vrai je comble parce que mone sprit est dans cet état

alors joey FBI boy ou Moto boy ??????

t'as bien une suite là

Y'a pas de suite aujourd'hui???

nath, tu te poses vraiment trop de questions peace and love



23h23. Voilà un peu plus de six heures maintenant que Danny tentait désespérément de joindre Joey sur son portable, en vain. Il tombait toujours sur sa messagerie. En colère et frustré, il avait encore du mal à digérer qu’elle n’ait pas daigné honorer leur rendez-vous de cette après-midi avec Nami Yoshiko. Il avait pourtant été si impatient de lui montrer sur quelle maison il avait finalement jeté son dévolu. Et puis, au fil des heures, sa contrariété s’était transformée en une profonde angoisse. Il espérait seulement qu’il ne lui soit rien arrivé. Il ne le supporterait pas. Sa voisine ne l’avait jamais laissé autant de temps sans nouvelles. Il avait vraiment un mauvais pressentiment.

17h01. Joey but une nouvelle gorgée de son café et sécha le flot de larmes qui perlaient encore machinalement sur ses joues. Ray était maintenant définitivement sorti de sa vie. C’était mieux ainsi. De toute manière, ça n’aurait jamais pu marcher entre eux. Elle se consolait comme elle le pouvait alors que le simple fait de savoir Ray dans cet avion en partance pour Seattle, la remuait bien plus qu’elle n’était encore prête à l’admettre.

23h45. Faisant les cent pas dans son appartement, un nœud à l’estomac, Danny prit finalement le risque d’inquiéter à leur tour Martin et Janelle et leur passa un coup de fil. Anxieux, il ne tenait plus en place. Son inquiétude finirait par le ronger.

17h17. Perdue dans ses pensées, Joey sursauta à la sonnerie de son nouveau portable et se racla la gorge avant de répondre. Elle ferma les yeux et inspira profondément à l’entente de la terrible nouvelle.

- où ça ? Demanda-t-elle, la voix tremblante.

Elle sortit en trombe de son appartement, oubliant totalement dans sa précipitation d’emmener son téléphone avec elle. Le chemin vers l’hôpital se fit dans l’angoisse la plus totale. Elle roulait à vive allure. Son esprit vagabondant au son de l’auto- radio, elle jetait à peine un coup d’œil à la route.

People spend so much time
Every single day
Runnin' 'round all over town
Givin' their forever away
But no not me
I won't let my forever roam
and now I hope I can find
my forever a home
So give me your forever
Please your forever
Not a day less will do
From you

Elle était folle de sa voix cassée le matin, elle adorait cette confiance qu’il montrait à son boulot et le fait qu’il lui demandait toujours son avis alors qu’il savait très bien qu’elle n’y connaissait rien en matière de moto. Elle aimait surtout le fait qu’il la connaisse par cœur et qu’il lise en elle comme dans un livre ouvert.
Elle refusait tout simplement de le perdre. La vérité ne lui faisait plus peur. Faire une croix sur leur histoire, lui était impossible. Il tenait toujours une place aussi importante dans sa vie. Elle avait beau eu y croire, elle ne trouvait plus la force de faire semblant. Elle n’avait jamais pu l’oublier.

00h00. Janelle avait insisté auprès de Martin pour qu’ils se rendent dès cette nuit chez Danny, et son compagnon n’avait eu d’autre choix que d’accepter. Réunis tous les trois à présent autour de la table du salon et d’une cruche de café qui se vidait à vue d’œil, ils mettaient en commun le plus d’informations qu’ils avaient à partager concernant le comportement de Joey, ces derniers jours, comme les deux agents du FBI l’auraient fait dans n’importe quelle enquête.

- un problème, Jane ?

Danny avait ressentit le malaise de la jeune femme dès qu’elle avait franchi le pas de sa porte.

- penses-tu ! Ma petite sœur est introuvable, mais à part ça, tout va bien !
- du calme, chérie, intervint aussitôt Martin.

Il posa amoureusement sa main sur celle de sa compagne et lui adressa un regard des plus rassurants.

- on va la retrouver, dit-il, sûr de lui.

Mais ce n’était qu’une façade. En réalité, il ne voulait pas qu’elle s’inquiète encore plus, dans son état. Mais Danny ne le voyait pas de cet œil. Il avait l’impression que Janelle lui cachait quelque chose depuis le début et avait bien l’intention de mettre toute cette histoire au clair. Quitte à bousculer un petit peu la future maman. Il s’agissait de Joey après tout. Sa Joey.

- tu sais ce qui se trame, n’est-ce pas ? L’accusa-t-il, d’un ton glacial.

Sans sourciller et pas du tout impressionnée, elle soutenait son regard hautain.

- qu’est-ce qui te fait dire ça ? Demanda innocemment Janelle.

Par certains côtés, elle lui rappelait vraiment Joey. Aussi butée, l’une que l’autre. Il savait qu’il devait la jouer finement pour la faire parler.

- écoute, se radoucit-il aussitôt. Je comprends que tu veuilles garder le secret, mais demande à Martin combien de fois, ça nous est arrivé ce genre de choses.

La jeune vendeuse toisait à présent son compagnon du regard, les yeux dans le vide.

- tous les deux, on sait très bien que ce sont justement ces mêmes secrets auxquels on tient le plus et qu’on ne veut pas dévoiler, qui sont la clé de chaque affaire.

Janelle ne semblait pas écouter Danny d’une oreille attentive. Elle avait l’air perdu dans ses pensées.

- je sais que ta sœur t’a confié quelque chose dans la cuisine, il y a quelques semaines. Elle a toujours refusé de me dire de quoi il s’agissait mais je crois que cette fois, c’est le bon moment.

Devant le silence de Janelle, Danny se leva et posa délicatement sa main sur l’épaule de la future maman.

- dis-moi ce que c’est, Jane. Je veux l’aider, et pour ça, je dois être au courant de tout.

La fatigue qui se lisait sur son visage, le léger voile de ses yeux et le tremblement de sa voix avait suffi à la convaincre. Il était vraiment inquiet pour Joey.

- elle va me tuer, soupira-t-elle.
- faudrait déjà qu’elle ait encore la chance de le faire, ironisa-t-il.

Il n’avait pas pensé à mal en prononçant cette phrase, elle lui avait échappé. Il espérait jusqu’au bout que Joey aille bien et qu’il ne lui soit rien arrivé de grave.

- arrête, vieux, intervint Martin.

Il trouvait qu’il y était allé un peu fort avec sa compagne et lui adressa un regard réprobateur.

- Jane. S’il te plaît.

Danny adressa un regard suppliant à la jeune femme et elle ne put résister plus longtemps. Elle prit une profonde inspiration et se lança.

- c’est … Ray. Il est revenu.



merci pati pour cette idée d'heures j'espère que tu vas pas me poursuivre en justice pour plagiat

merci pati pour cette idée d'heures j'espère que tu vas pas me poursuivre en justice pour plagiat

encore faudrait-il que je vois à quoi tu fais référence...


Par contre, laisses moi m'indigner de cette suite hautement digne d'une vilaine sadique méchante pas belle! Tu oses faire du mal à Raynounet et nous laisser sans nous dire si il va bien ou pas??? Comment tu peux faire ça??? Non... mais... Il va pas mourir, hein??? Si tu fais ça, pllus jamais jamais je ne te lirais! Déjà qu'après le départ de Peter dans ton autre fic j'étais déjà bouleversifiée, mais là!!! C'est pas possible, tu peux pas faire ça, non non non

Elle était folle de sa voix cassée le matin, elle adorait cette confiance qu’il montrait à son boulot et le fait qu’il lui demandait toujours son avis alors qu’il savait très bien qu’elle n’y connaissait rien en matière de moto. Elle aimait surtout le fait qu’il la connaisse par cœur et qu’il lise en elle comme dans un livre ouvert.
Elle refusait tout simplement de le perdre. La vérité ne lui faisait plus peur. Faire une croix sur leur histoire, lui était impossible. Il tenait toujours une place aussi importante dans sa vie. Elle avait beau eu y croire, elle ne trouvait plus la force de faire semblant. Elle n’avait jamais pu l’oublier.

C'est trop beau... Ils ont le droit à une deuxième chance. Elle est folle de lui, ça se sent! Alors non non non, faut qu'il aille bien!

T'es déjà assez sadique avec Danny, tu vas pas en faire de même avec elle...


Dis t'as bien une suite en rab, stplééééé! tu peux pas me laisser comme ça!

mais si, dans ta fic GG, pour les heures cf page 11, 4ème passage
a pas suite, sorry

Rha vi c'est vrai!!! Copiteuse!!! Pour te faire pardonner, une suite!!!

Roooo, quelle angoisse là quand même

Joey but une nouvelle gorgée de son café et sécha le flot de larmes qui perlaient encore machinalement sur ses joues. Ray était maintenant définitivement sorti de sa vie. C’était mieux ainsi. De toute manière, ça n’aurait jamais pu marcher entre eux. Elle se consolait comme elle le pouvait alors que le simple fait de savoir Ray dans cet avion en partance pour Seattle, la remuait bien plus qu’elle n’était encore prête à l’admettre.

La pauvre elle me fait mal au coeur là ...qu'est ce que ça doit être dur!!!!!

où ça ? Demanda-t-elle, la voix tremblante.

Bon ça ça n'a rien arrangé à mon angoisse

Et sa soeur qui ne veut rien dire...et Danny...AÏE...ça fait mal dans les dents ça

Encore,encore,encore

rrroooo mamamia !!! mais qu'est ce que tu peux faire ta sadik là !!!!

oh ben non alors là je reste sans voix !! ne va pas me dire que tu as été faire du mal àtit ray tout de même euh je me trompe

oh non cette suite était prenante pauvre joey alors qu'il a fallu un drame pour qu'elle se rende compte de l'amour qu'elle lui porte encore !!! tweetie t'es pas gentille là même si dan est mon chouchou moi ze veux du bonheur partout

et pauvre dan aussi !!! la dernière pharas a du lui fendre le coeur !!! franchement Janelle elle aurait pu mettre son grain de sel la dedans bien avant !!!

bon que dire d'autres que

je veux la suite

Allez suivons le mouvement LA SUITE LA SUIIIIIIIIIIITE!! (ça y'est je commence mon délire)

Je viens de finir les 29 pages !!!!!!!!! Imagine, mangeant mon sandwich devant mon pc au taf Mon job n'a pas bcp avancé entre 12h20 et 14h45 .... (il a fallu que mon chef vienne dans mon bureau ) mais que c'était bien je ne suis pas trop Danny mais là j'en croquerai des passages chauds, TRES CHAUD MÊME mais Martin cassé et bientôt papa Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

VITE UNE SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!!