FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace }
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Paternité (PG) (complète)

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Message  jabamiah Mer 17 Sep - 12:21

Un échange Danny / Sam comme je les aime! Il est trop chou avec elle! Mr.Red
Bon par contre je ne suis pas non plus d'accord sur le fait de traiter Elena de boulet pascontent

Alors la suiiiiiite! bravobom
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Message  Baraboo Mer 17 Sep - 13:03

Ben oui cette scène du 5*12 a toujours un peu de mal à passer... Zen Non non Elena je ne t'en veux pas rgrrr Laughing Faut pas croire je commence à bien l'aimer cette petite.
Et non je ne suis PAS DS (non mais ça va pas?What the fuck ?!?) mais j'aime beaucoup leur complicité. Very Happy
En attendant la suite, j'ai posté un petit shot. C'est par-là : https://withoutatrace.forumactif.com/shot-f35/si-seulement-tu-etais-la-t1936.htm
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Message  Baraboo Sam 20 Sep - 19:08

Alors Marine tu a "oublié" la "croisière s'amuse"? Shit
Anyway, voilà la suite, en espérant que ça t'inspire... rolles

***


Pendant ce temps Martin était allé interroger Amy Freewell. Il avait eu une sorte d’intuition. Cela remontait à sa visite avec Danny chez les Moore mais le déclic venait juste de se produire dans son esprit. Ce que Paul Moore leur avait avoué combiné au fait que lors d’un briefing Samantha avait évoqué la difficulté des Freewell à avoir un enfant l’avait amené à s’interroger sur un éventuel lien.
Il était maintenant installé dans un fauteuil du salon des Freewell, un calepin noir à la main.

Martin (se raclant la gorge) : Madame Freewell, je suis navré de vous importuner dans de telles circonstances mais j’ai quelques questions supplémentaires à vous poser.
Amy Freewell (le visage marqué par la fatigue et le chagrin): Je vous écoute.
Martin (un peu gêné): Bien. Je…hum…je vais aborder un sujet un peu embarrassant et pénible pour vous mais comprenez bien que c’est dans le seul but de retrouver votre mari.
Amy : Allez-y. Posez toutes les questions que vous voulez mais je vous en prie retrouvez mon mari.
Martin : J’ai cru comprendre que votre mari et vous aviez des difficultés à avoir un enfant. Est-ce exact ?
Amy (le visage se décomposant encore un peu davantage) : Oui… Ce n’est pas faute d’avoir essayé, croyez-moi.
Martin : Justement, avez-vous été prise en charge par un spécialiste ?
Amy : Depuis presque 6 ans. Vous vous rendez compte ? Le problème vient de moi…
Martin : Madame Freewell, dans quel hôpital êtes-vous suivie ?
Amy : A vrai dire nous avons bénéficié d’un programme pour être accompagnés à la clinique Saint Andrew. C’est une clinique réputée et a priori réservée aux gens riches. Mais la directrice à la volonté de ne pas priver les moins fortunés des possibilités d’avoir un bébé et elle nous a donc proposé de prendre en charge une partie du financement de la FIV.
Martin : Saint Andrew vous dites ?
Amy : Oui. On a d’abord passé un entretien de sélection. Il y avait des conditions à remplir, notamment pour Gary… je ne sais pas très bien pourquoi d’ailleurs…
Martin (sentant qu’il tenait peut-être une piste): Quelles genre d’exigences?
Amy : Et bien… ne pas se droguer, les antécédents médicaux dans sa famille, ce genre de chose. Et puis aussi sur le comportement de ses parents et le sien, s’ils étaient enclins à la violence… J’ai bien trouvé ça bizarre mais cette clinique nous offrait une possibilité inespérée. Sans leur soutien financier jamais nous n’aurions pu entreprendre tout ça.
Martin (une idée un peu dingue germant dans son esprit): D’accord.
Amy : Je vous avoue que je ne vois pas très bien en quoi cela va permettre de retrouver Gary.
Martin : Vous m’avez bien aidé madame Freewell. J’ai bon espoir que l’on puisse retrouver votre mari.


Martin prit congé et remonta dans sa berline. Avant de mettre le contact et retourner au bureau, il composa le numéro du portable de Jack.

Jack : Malone.
Martin : Jack, c’est Martin. Ecoute ça, je crois que j’ai quelque chose. Je suis allé voir Amy Freewell et j’ai appris qu’elle et son mari sont suivis à la clinique Saint Andrew, la même que celle qui s’occupe des Moore. Et ça fait déjà 6 ans. Lydia à 4 ans et demi ans. Les dates collent. Je sais que c’est un peu fou mais je crois que ça mérite d’être creusé. Ca pourrait expliquer les 2 disparitions quasi simultanées. Et comme je ne crois pas aux coïncidences…
Jack (finissant sa phrase) : …nos 2 affaires sont liées. Bon travail Martin. Ca confirme ce qu’on vient juste d’apprendre à la clinique. Gary Freewell est bien le père de Lydia Moore. Et on a une piste sérieuse qui va nous permettre de savoir si Gary était au courant de sa paternité.
Martin : Super ! La chance finit enfin par nous sourire. Euh…Jack, j’ai l’impression qu’il y a quelque chose de pas net à cette clinique. Ils ont posés des questions bizarres aux Freewell, ce programme ne me paraît pas très clair.
Jack : Moi aussi, Martin, moi aussi. On en reparlera au bureau.
Martin : Très bien, à plus tard.



Un quart d’heure après le coup de fil de Martin, Viv et Jack arrivèrent devant chez Freddie Hantz. Ils passèrent la porte de l’immeuble derrière un locataire et regardèrent les boîtes aux lettres pour localiser l’appartement. Jack gravit les 2 étages devant Vivian et déboucha sur le palier pour découvrir la porte de Hantz légèrement entrouverte. Il stoppa instantanément et fit signe à Vivian. Les 2 agents sortirent leurs armes et approchèrent doucement de l’appartement. Jack franchit le seuil en premier, couvert par Vivian.

Jack : Mr Hantz ? FBI !

Il balaya le salon, la chambre et la salle de bain du regard et de son arme avant de crier à l’attention de sa partenaire « C’est vide ! ». Vivian l’imita de la cuisine : « Clair ! ».

Jack : Rejoins-moi dans le salon !

Vivian rebroussa chemin jusque dans le hall d’entrée et entra dans un salon saccagé et sans dessus dessous. Jack était agenouillé auprès de Freddie Hantz dont la chemise était ensanglantée.

Jack (secouant la tête) : Il est mort. Ca remonte à pas longtemps.

Vivian (parcourant la pièce du regard) : Visiblement son meurtrier cherchait quelque chose.


Des canettes de bières vides traînaient un peu partout. Les étagères croulaient sous les livres et la moindre surface était recouverte de journaux et magazines divers. Mais à ces traces de désordre ménager s’ajoutaient les signes d’une fouille en règle. Le contenu de son armoire avait été vidé et jeté à même le sol, les factures d’eau, d’électricité et des reçus de carte de crédit étaient éparpillés sur la moquette. Les tiroirs de son bureau étaient renversés, le canapé éventré et les coussins n’avaient pas été épargnés.

Jack se redressa, évita comme il pu tout ce qui jonchait le sol et s’approcha un peu plus du bureau. Visiblement l’ordinateur avait été touché.

Jack : Il faut étudier le contenu de cet ordinateur, vérifier les derniers mails reçus et envoyés. Peut-être que ce que l’assassin cherchait est là dedans.


A peine avait-il finit sa phrase que son téléphone bourdonna.

Jack : Malone ?
Sam : C’est Samantha. Un homme qui correspond à la description de Freewell vient de voler une voiture dans Brooklyn. Le propriétaire du véhicule l’a reconnu à partir de la photo diffusée avec l’avis de recherche. Et il n’était pas seul. Une petite fille était avec lui. Un manteau rose, des cheveux blonds et …
Jack : Lydia Moore !
Sam (assez froidement): Oui ça m’en a tout l’air.
Jack : Bon, tu donnes le numéro d’immatriculation de la voiture à toutes les patrouilles et tu cherches à savoir s’il n’a pas contacté sa femme. Après tout il est resté à New York, ce n’est sans doute pas pour rien.
Sam : Okay.

Sur ce, elle raccrocha. Pour sa première conversation avec Jack depuis leur dispute, elle s’était comportée de façon purement professionnelle.
Peu auparavant, elle était finalement arrivée à la conclusion, momentanée, qu’elle avait dû mal comprendre les propos de Jack. Qu’est-ce qu’elle était allée chercher ? Ce n’était qu’une critique à peine voilée de sa part! C’était aussi simple que ça. A moins que… Elle croyait avoir reconnu cette intonation dans sa voix… Oh, elle ne savait sur quel pied danser, à l’image de ces derniers mois. C’est pourquoi dans le doute elle avait ressorti sa carapace et décidé de maintenir ses distances avec lui. Ce qu’elle venait de faire.


De son côté, Vivian consultait les emails.

Vivian (en soupirant): Ca ne donne rien.
Jack : L’assassin a pu les effacer. Emmenons l’ordinateur à Mac, pour voir s’il peut récupérer les derniers messages effacés.

Son portable sonna de nouveau. Il l’ouvrit d’un geste sec.

Elena : Jack, j’ai épluché le relevé téléphonique de Freddie Hantz comme tu me l’a demandé et j’ai fait chou blanc : aucun appel n’a été passé en direction de chez les Freewell.
Jack : Ok. Vivian et moi revenons au bureau avec un ordinateur à faire parler. On sera là dans une demi-heure. On fera un point complet avec tous les nouveaux éléments qu’on a recueilli.
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Message  **Marine** Sam 20 Sep - 19:15

Non j'ai pas oublié mais j'ai vraiment tres peu de temps la j'ai aps eu le temps de m' y mettre...mais n'ayant rien prévu ce soir je promet d'ouvrir words et de m'y concentrer un peu Wink


J'adore cette partie!! Que dire si ce n'est...que c'est trop court......Tu pourrais pas poster des romans de 10 pages? hhihi ça serait génial. J'aime vraiment ton style et le réalisme que tu apportes à tout ça.

Bravi Bravo !

( petit ps : la D/E shippeuz relou que je suis voulait savoir si il ne serait point possible d'avoir une ou deux petites scenes D/E dans le futur ? sanspour autant être des mega scene de ship mdr un ou deux clin d'oeil une petite phrase ou que sais - je encore... rolles cela serait absolument lovely de ta part I love you mais apres c'est ta fic mdr et je continuerais a te lire sans D/E rassure toi Mr. Green )

En tous cas vivement la suite!! Une avant la fin du WE? I love you
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Message  Baraboo Sam 20 Sep - 19:29

**Marine** a écrit: je promet d'ouvrir words et de m'y concentrer un peu
Très bonne initiative ! Mr.Red

**Marine** a écrit:
J'adore cette partie!! Que dire si ce n'est...que c'est trop court......Tu pourrais pas poster des romans de 10 pages? hhihi ça serait génial. J'aime vraiment ton style et le réalisme que tu apportes à tout ça.
Euh... ben sinon en postant tous les jours ça ne durerait qu'une semaine Razz Et puis surtout je n'en ai ni le temps ni l'inspiration malheureusement Shit . En tout cas merci beaucoup! I love you

**Marine** a écrit:
( petit ps : la D/E shippeuz relou que je suis voulait savoir si il ne serait point possible d'avoir une ou deux petites scenes D/E dans le futur ? sanspour autant être des mega scene de ship mdr un ou deux clin d'oeil une petite phrase ou que sais - je encore... rolles cela serait absolument lovely de ta part I love you
Ah ben on peut dire que tu as de la chance toi (ou que tu m'as bien converti au DE Rolling Eyes )! Grosse scène DE au prochain épisode.

**Marine** a écrit:En tous cas vivement la suite!! Une avant la fin du WE? I love you
Hum... comme j'ai prévenu qu'il y aurait du ship DE j'ai bien envie de te faire languir un peu... Mr. Green Et oui, ma sadicité ressurgit mdr. Mais je crois que tu sais ce qu'il te reste à faire si tu ne veux pas trop attendre rolles
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Message  **Marine** Sam 20 Sep - 22:11

Baraboo a écrit:
**Marine** a écrit:En tous cas vivement la suite!! Une avant la fin du WE? I love you
Hum... comme j'ai prévenu qu'il y aurait du ship DE j'ai bien envie de te faire languir un peu... Mr. Green Et oui, ma sadicité ressurgit mdr. Mais je crois que tu sais ce qu'il te reste à faire si tu ne veux pas trop attendre rolles

C'est immonde!!! mdr. Je file ouvrir words !! Mr.Red
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Message  Baraboo Mar 23 Sep - 1:46

Marine, toutes mes excuses pour ce léger contretemps Embarassed Je te dois bien ça au vu de ta longue suite de Sunny delirium et de ton petit bijou DE Wink Alors enjoy! Et c'est 100% garanti en DE Laughing

***

Après avoir mis en commun leurs découvertes du jour, l’équipe se réunit dans le bureau de Mac qui avait apparemment fait des merveilles.

Mac : J’ai pu restauré 1 fichier et 1 email qui contenait ce même fichier en pièce jointe. Il s’agit d’un listing provenant d’une clinique.
Jack (dans un souffle): La clinique Saint Andrew.
Mac : Oui.
Jack (s’approchant davantage de l’écran): Fais voir.

C’est Elena qui remarqua la première le nom et pointa son index sur l’écran.

Danny : Gary Freewell !
Elena : Ce n’est pas tout. Regardez la colonne d’à côté.

Elle lut le nom qui s’affichait : « Moore ».

Vivian : Ca confirme ce qu’on savait déjà : Lydia Moore est la fille biologique de Gary Freewell. Mais ça n’explique toujours pas comment il l’a su.
Jack : Mac, à qui le message a-t-il été envoyé ?
Mac : A un certain Mike Colby. Ca remonte à 5 jours.
Elena : Colby ! Le voilà notre lien. Colby a dû contacter Freewell pour le lui annoncer. Et je suis sûre que si on vérifie son relevé téléphonique on va découvrir qu’il a appelé d’autres personnes figurant sur cette liste. En tout cas ce n’est pas étonnant qu’il ait pété les plombs quand il a découvert ça. Il essaye désespérément d’avoir un bébé avec sa femme et il apprend que son sperme a servi sans qu’il le sache à de parfaits inconnus à avoir un enfant.
Mac : J’ai aussi récupéré un autre document qui rassemble des observations et des annotations. Visiblement il était en train de monter un dossier contre la clinique.
Martin (faisant tilt): Mais oui c’est pour ça qu’ils ont cuisiné Gary Freewell ! Ils voulaient s’assurer que « génétiquement » il n’y avait pas de problème, et les couples riches étaient prêts à payer cher pour ça. Mon Dieu, c’est monstrueux !
Danny (choqué): C’est dégueulasse oui!
Jack (dégoûté): Ouais… pour un peu ils choisiraient la couleur des yeux s’ils pouvaient.



La petite troupe ressortait du bureau de Mac quand Samantha leur fit de grands signes. Elle était au téléphone, visiblement excitée, et griffonnait des notes à la va vite.

Samantha (couvrant le récepteur de sa main) : Colby vient d’être retrouvé assassiné près d’une station service du New Jersey.
Vivian : C’est l’hécatombe…
Danny : En tout cas, ça ne peut pas être Freewell puisqu’il est encore ici à NY.
Samantha (en raccrochant après avoir remercié son interlocuteur): Des témoins affirment avoir vu une Ford, vieux modèle, couleur bleu pâle démarrer sur les chapeaux de roue.
Jack : Hum bleu pâle… Il y en avait une sur le parking de l’hôpital réservé au personnel.

Vivian plongea dans ses souvenirs et finit par acquiescer lentement.

Jack (à Sam) : Vérifie si notre Tom Burt n’est pas l’heureux propriétaire de cette voiture. Sam (sceptique): Tom Burt ?
Jack : Ouais, je ne le sens pas ce type, il était bien trop nerveux la dernière fois.

Jack avait remarqué la moue dubitative de Samantha et il ne put s’empêcher de se demander si elle ne faisait pas exprès de discuter ses ordres.
Ignorant ce débat intérieur, Sam consulta son ordinateur. Après quelques clics et pianotements, une nouvelle fenêtre s’ouvrit et la réponse apparut. Jack avait vu juste.

Samantha : Burt est bien propriétaire d’une Ford bleu clair dont le modèle a été fabriqué jusqu’en 1994.
Vivian : C’est notre homme !
Jack : Oui mais il n’a pas agi seul. Martin et Samantha vous me retrouvez Tom Burt. Reprenez contact avec la police du New Jersey et diffusez un avis de recherche. Donnez l’immatriculation de sa voiture et faites établir des barrages routiers. Essayez aussi son domicile, on ne sait jamais. S’il ne se doute pas qu’on est à ses basques, il va forcément y retourner. Je veux aussi que vous étudiiez les coups de fils passés par le portable de Burt et ceux reçus par le portable d’Amanda Hartford et son poste fixe à la clinique. Danny et Elena vous m’amenez notre chère directrice ; elle doit encore être à Saint Andrew à faire comme si de rien n’était. Viv’, on va tâcher de trouver un plan d’attaque pour leur tirer des aveux à tous les deux.


*** En route vers la clinique Saint Andrew ***

Elena (souriant timidement): Tu m’as manqué, tu sais.
Danny : Mmm, c’est bien vrai ça ?
Elena (levant les yeux au ciel et prenant un air songeur) : Ben finalement je ne sais pas…
Danny (en lui pressant la main) : Moi aussi je suis content de te revoir mi amor.

Le reste du trajet s’effectua dans un silence confortable. Arrivés devant l’établissement, Danny ne put retenir un petit sifflement d’admiration.

Danny : Et ben, ça me donnerait presque envie d’être malade plus souvent.
Elena : Dis pas de bêtises.
Danny (affichant un petit sourire coquin): Tu pourrais être mon infirmière…
Elena (légèrement amusée): Ne me tentes pas… Allons plutôt coincer cette écoeurante Amanda Hartford.

Suivant les indications données par Vivian, ils se dirigèrent tout de suite vers le bureau d’Amanda Hartford. Une assistante tenta bien de les arrêter en chemin mais ils montrèrent leur badge et ignorèrent ses protestations. Peu après ils déboulèrent dans le bureau de la directrice sans même prendre la peine de frapper.

Amanda Hartford (choquée) : Mais…Que…
Elena : Madame Hartford, vous êtes en état d’arrestation pour complicité d’homicide volontaire sur les personnes de Freddie Hantz et Mike Colby. Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Vous avez le droit de prévenir un avocat. Si vous n’en avez pas les moyens …
Danny (ne pouvant s’en empêcher) : Hum, ça j’en doute…
Elena (reprenant comme si de rien n’était) : …un avocat vous sera commis d’office.

Danny contourna la directrice, lui ramena les poignets derrière le dos et referma les menottes.

Amanda Hartford : Mais ce n’est pas des manières ! Vous n’allez quand même pas me faire traverser la clinique menottes aux poignets ! Comme un vulgaire gangster… A la vue de mes patients et de mes employés…Vous n’en avez pas le droit !
Danny : Oh que si, madame Hartford ! Vous menotter est non seulement un droit mais aussi une obligation.
Amanda Hartford : C’est scandaleux ! Vous aurez des nouvelles de mon avocat !
Elena : Vous pouvez protester tant que vous voulez mais ça n’y changera rien. Vous le découvrez peut-être mais la loi est la même pour tous. Et si je peux me permettre, à votre place, je me calmerai. Histoire d’éviter de me donner en spectacle devant « mes patients et mes employés »…

Sur ce, Elena l’a poussa légèrement vers la porte. « En route ! »

Danny (à mi-voix à Elena): Eh bah en effet, Jack n’a pas menti ! Dans le genre arrogante et désagréable, on a frappé fort.


***

Les deux latinos venaient de boucler en salle d’interrogatoire une Amanda Hartford toujours aussi remontée. Ils étaient maintenant réunis autour d’une table avec Jack et Vivian pour décider de la meilleure tactique à adopter. Ils mettaient au point les derniers détails quand soudain Martin les interrompit :

Martin : La police du New Jersey a cueilli Burt à un barrage en direction de New York. Ils sont en train de nous l’amener. Je descends à l’accueil le récupérer.
Jack : Très bien. Quand il sera là tu le mets dans la n°2 et tu viens me prévenir.

Martin hocha la tête et disparut en direction des ascenseurs.

Jack (se tournant vers Samantha) : Quelque chose dans les relevés téléphoniques ?
Samantha : Pas encore, j’attends toujours qu’on me les communique. Ca ne devrait plus tarder. Ah et autre chose : notre agent en planque devant chez les Freewell affirme que Gary n’a toujours pas chercher à contacter sa femme.
Jack : Ok. Tiens moi au courant si tu trouves quelque chose dans les listings. Elena je veux que tu te concentre sur Freewell. Vérifie que Colby a bien appelé Freewell, de façon à confirmer qu’il était au courant pour sa paternité, et assure-toi que tout est mis en œuvre pour retrouver Freewell et Lydia Moore.

Les deux jeunes femmes se remirent au travail avec ardeur, sachant que tous leurs efforts allaient bientôt être récompensés.

Jack : Viv, je te laisse le plaisir de faire craquer « Madame » Amanda Hartford. Danny, tu es aussi de la partie.

Le trio se dirigea vers la salle d’interrogatoire n°1 où Amanda Hartford se tenait, droite comme un i sur sa chaise, depuis maintenant un quart d’heure. Vivian marcha d’un pas décidé vers la porte, Danny la suivant de près, alors que Jack alla se positionner derrière la vitre sans tain pour observer le début de la confrontation.

***

Je peux espérer une suite rapide de Sunny delirium angepb
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Message  **Marine** Mar 23 Sep - 20:02

"Danny : Et ben, ça me donnerait presque envie d’être malade plus souvent.
Elena : Dis pas de bêtises.
Danny (affichant un petit sourire coquin): Tu pourrais être mon infirmière…
Elena (légèrement amusée): Ne me tentes pas…"


rrRrrRrr!!! 2love2 c'est cute. Aw aw aw. DannyElenaaaaaaaa.... 2love2 I love you 2love2 I love you 2love2


Merciiii pour cette partie taylordelgadienne I love you Very Happy J'ai hate de lire la suite en tous cas j'adore ton enquête I love you


Pr sunny delirium...je suis overbookée...mais je vais m'y mettre plus régulièrement... Wink

La suite! La suite! rolles

Et merci pour le D/E I love you I love you I love you I love you I love you I love you
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Message  Baraboo Dim 28 Sep - 20:06

Avant dernière suite -et oui déjà- centrée sur l'enquête. Enjoy study

******

Vivian (en s’asseyant): Je suis l’agent Johnson. Je crois que vous connaissez déjà mon collègue.

Danny lança un grand sourire à leur suspecte qui répliqua par une petite moue dégoûtée.

Vivian : Bien. Alors madame Hartford ? Qu’avez-vous à nous dire au sujet de ces deux meurtres ?
Amanda : Je n’ai rien à voir avec tout ça. Je ne sais même pas de quoi vous parlez.
Vivian : Un de vos anciens infirmiers, Freddie Hantz, a été retrouvé mort. Assassiné peu après notre entrevue dans vos locaux. Alors forcément on se demande s’il faut y voir un lien.
Amanda : Qu’est-ce que vous sous-entendez ?
Danny : Qu’est-ce qui vous a fait basculer du mauvais côté de la barrière ? Je pense que vous ne traitez pas très bien vos employés mais de là à les tuer…
Amanda : Je n’ai tué personne ! Et je ne vous permets pas de juger mon travail !
Vivian : Quand avez-vous vu Freddie Hantz pour la dernière fois ?
Amanda : Quand je l’ai licencié.
Vivian : C’est-à-dire ?
Amanda : Il y a deux semaines.
Vivian : Pour quel motif l’avez-vous mis à la porte ?
Amanda : Je l’ai déjà dit à vos collègues…
Vivian : Madame Hartford ? J’aimerais que vous me le répétiez.
Amanda : Il a consulté des dossiers confidentiels de nos patients sans y être autorisé. C’est une faute grave et je l’ai donc renvoyé.
Vivian : Bien. Savez-vous quels dossiers il a examinés ?
Amanda : Il n’a rien voulu me dire.
Danny : Quand vous l’avez viré ou quand vous l’avez tué ?
Amanda : Vos insinuations sont offensantes !
Danny : Et Mike Colby ? Pourquoi l’avoir tué ?
Amanda : Mais je ne connais même pas ce Mike Colby !
Danny : Vraiment ? Votre complice ne vous a donc rien dit ?
Amanda : Ah parce que j’ai un complice maintenant ? C’est complètement ridicule. Tout ça est un véritable tissu de mensonges sans fondement. De toute façon vous ne pouvez pas avoir de preuve puisque je n’ai rien fait.
Danny : Que vous dites…
Amanda : C’est de la diffamation pure et simple vous m’entendez ?!
Vivian (la sondant du regard) Ah…Vous en êtes bien sûre madame Hartford ?

C’est alors que le téléphone posté près de la porte sonna.

Vivian (avec un petit sourire contrit) : Veuillez m’excusez.

Danny, qui était resté debout, en profita pour s’asseoir face à Amanda et la fixa du regard jusqu’à ce qu’elle détourne les yeux.

Jack (à l’interphone) : Vas-y c’est le moment.
Vivian : Oui c’est ce que je pense.
Jack : On vient de nous livrer Burt. Je pars l’interroger avec Martin. Continue comme ça.

Vivian acquiesça et reposa le combiné sur son support mural. Elle prit tout son temps pour retourner à sa place, puis observa Amanda avant de reprendre la parole.

Vivian : Nous avons une bonne nouvelle madame Hartford : nous avons arrêter celui que nous pensons être le meurtrier de Freddie Hantz et Mike Colby.
Amanda : Et bien voilà ! Vous avez votre coupable et je suis enfin innocentée. Une dernière chose agents Taylor et Johnson : vous m’avez humiliez en me traînant ici menottée, ça fait une heure que je croupis dans cette salle et que vous m’interrogez sans relâche, alors j’attends vos excuses, ainsi que celle de votre supérieur, pour cette honteuse et scandaleuse méprise.
Danny : Euh, madame Hartford ? Je crois que ma collègue n’avait pas fini.
Vivian (en souriant à Danny) : En effet. Ce n’était que le début de la bonne nouvelle, la fin étant que ce suspect n’est autre que Tom Burt. Mais ce n’est pas une surprise pour vous n’est-ce pas madame Hartford ?
Amanda : Mais qu’est-ce que Tom vient faire là-dedans ?
Vivian : A vous de nous le dire.
Amanda : C’est… c’est dément comme situation !
Vivian : Soit. Reprenons. Depuis quand connaissez-vous Tom Burt ?
Amanda: Ca commence à bien faire ! Je ne répondrai plus à aucune question.
Vivian (ne désarmant pas) : Quelle est la nature exacte de vos relations avec Tom Burt ?

Pour toute réponse, Amanda Hartford se mura dans son silence

Danny : Vous ne voulez pas parler ? Très bien, alors vous allez m’écoutez. Vous savez ce qu’on pense ? On pense que vous avez commandité les meurtres de Freddie Hantz et Mike Colby pour empêcher qu’ils ne dévoilent au grand jour les agissements pour le moins immoraux que vous orchestrez à Saint Andrew.

Mais si Amanda cilla, elle ne craqua pas.

Amanda : Tout cela est grotesque. Ca commence franchement à tourner au complot contre moi et ma clinique.
Vivian : Votre clinique… Justement parlons-en.


***

Pendant ce temps, dans la salle d’interrogatoire n°2, Jack et Martin mettaient la pression sur Tom Burt.

Tom Burt (s’écriant): C’est faux ! Complètement faux ! Combien de fois va-t-il falloir que je vous le répète ?
Martin : On ne vous demande pas de jouer au perroquet Tom. Pour répondre à votre question je dirais jusqu’à ce que vous en ayez marre et que vous vous décidiez à avouer.
Tom Burt : Mais je suis innocent ! In-no-cent !
Jack : Ecoutez, vous n’avez pas l’air de bien comprendre, votre directrice n’en a rien à foutre de vous. Elle va tout vous coller sur le dos, c’est ça que vous voulez ?
Tom Burt : Elle m’aime et ne dira rien.
Jack : Vous reconnaissez donc qu’elle aurait des choses à nous dire ? Des choses compromettantes.
Tom Burt : Non, j’ai pas dit ça ! J’ai dit que…
Martin (le coupant brusquement) : Oui on sait, vous avez dit qu’elle vous aime.
Tom Burt : Exactement.
Jack (en se penchant vers lui, lentement) : Vous croyez ? Moi je vais vous raconter : elle est loin d’être bête et, elle, elle a bien saisi où était son intérêt. Et son intérêt n’est pas de vous couvrir. Alors en ce moment même elle est en train de raconter à mes collègues qu’elle n’a aucune idée d’où vous étiez passé ces dernières heures mais que vous aviez un comportement étrange aujourd’hui et qu’effectivement il est tout à fait possible que vous ayez tué Hantz et Colby. Et bien sûr elle affirme qu’elle n’était en rien au courant de vos projets funestes. Ou peut-être même qu’elle dit que vous l’avez appelé paniqué après les avoir tué et qu’elle vous a conseillé de vous rendre à la police.
Tom Burt (secouant la tête): Non, elle ne dirait jamais ça.
Jack (voyant le doute s’instiller dans la tête de Burt, insistant): Vous en êtes bien certain ? Je vais vous dire, j’espère pour vous que vous avez raison parce que sinon vous êtes dans un sacré pétrin.

Jack se tourna alors vers son collègue : « Martin ? Tu veux bien aller voir à côté ce que dit Madame Hartford ? »


Conformément au plan prévu, dix minutes après avoir quitté la pièce, constaté qu’Amanda ne lâchait rien –ce dont ils se doutaient tous- et avalé un café, Martin fit son retour et glissa quelques mots à l’oreille de Jack.

Jack : On dirait que les règles du jeu ont changé, Tom. Vous avez voulu jouer et il semblerait que vous ayez perdu. Amanda Hartford vient de tout avouer. On sait pour le trafic d’embryons. On sait pour Freddie Hantz. On sait pour Mike Colby. Et vous savez quoi ? On a même vos empreintes sur les lieux des deux crimes. Ce n’est vraiment pas très malin de votre part de ne pas avoir mis de gants Tom.
Tom (hébété puis paniquant): C’est elle ! C’est elle qui a tout décidé ! Tout vient d’elle !
Martin (gratifiant Tom d’un regard dubitatif et s’adressant à Jack) : Tu crois à ça toi ? Moi je ne suis pas du tout convaincu.
Tom : Mais c’est la vérité, je vous jure !
Jack (haussant légèrement les sourcils): Peut-être mais le problème c’est qu’elle a un alibi pour les deux meurtres. On dirait que vous vous êtes fait avoir en beauté Tom.
Tom (effondré) : C’est pas possible…c’est pas possible…c’est…ah la garce !
Jack : Vous avez encore une petite chance Tom. Mais pour ça il va falloir tout nous dire en détails, je dis bien « tout ».
Tom : Et qu’est-ce que j’y gagne ?
Jack : Et bien d’abord on dira au juge que vous vous êtes montré coopératif, ce qui est un bon point croyez moi, et puis…vous venez de vous faire trahir dans les grandes largeurs alors je sais pas moi mais ça me paraît normal de lui rendre la monnaie de sa pièce à cette « garce » comme vous dites. Pourquoi être le seul à plonger ? Surtout si c’est elle qui est à l’origine de tout ce qui s’est passé ces derniers jours, vous ne croyez pas ?
Tom (d’une voix raffermie): D’accord.
Jack : Bien. Vous avez fait le bon choix Tom. Alors je vous écoute, racontez-moi comment tout ça s’est passé.
Tom : Je reconnais avoir tué Freddie et Mike Colby. Mais je ne suis pas le seul impliqué. C’est Amanda qui m’a demandé de le faire et m’a dit comment procéder.
Jack (sans trop y croire) : Vous en avez la preuve ? Une lettre ? Un sms ?
Tom (secouant la tête): Non.
Jack : Continuez.
Tom : Qu’est-ce que vous voulez savoir exactement?
Martin : Le motif. Pourquoi les avoir éliminé ?
Tom : D’abord il faut savoir qu’il existe une sorte de euh…de trafic à la clinique.
Martin : Soyez précis Tom.
Tom : Et bien en fait Amanda a créé un programme visant à aider les couples un peu défavorisés à avoir un enfant. Et c’est vrai, ils sont vraiment pris en charge. Mais en réalité, ça va plus loin que ça. Des gens riches, qui eux aussi essayent d’avoir un bébé, sont prêts à payer pour obtenir du sperme ou des ovocytes génétiquement de bonne « qualité ». Ils veulent savoir qui sera le père ou la mère biologique de leur futur enfant et s’assurer qu’il n’y aura pas de problème de ce côté là.
Jack : Pourquoi avoir décidé d’exécuter Freddie Hantz ? Et pourquoi seulement aujourd’hui alors que ça fait 15 jours qu’il a découvert vos agissements?
Tom : Amanda n’était pas sûre de ce que Hantz avait vraiment vu. C’est pour ça qu’au début on n’a rien fait. On avait quand même prévu que je m’introduise chez lui à son domicile pour vérifier qu’il n’avait pas eu le temps de faire une sauvegarde du fichier sur une clé USB. Mais entre temps vous avez débarqué à la clinique.
Quand Amanda a su que vous cherchiez Freewell et Moore, elle a tout de suite soupçonné Hantz d’avoir balancé à Freewell le fait qu’il est le père de la petite. Logiquement ça pouvait expliquer un kidnapping et donc leur disparition simultanée. De toute façon il y avait trop de coïncidences, de noms qui reviennent en même temps. Et surtout elle a commis l’erreur de vous parler de Freddie Hantz. A partir de là elle a vraiment craint le scandale car Hantz vous aurait sûrement parlé de ce trafic quand vous l’auriez interrogé. Il fallait à tout prix empêcher ça. Alors elle m’a envoyé le tuer. Une fois là-bas, après l’avoir fait, j’ai vérifié tous ses dossiers et son ordinateur pour voir les emails qu’il avait envoyé. Et effectivement il voulait dévoiler la combine au grand jour. Il a prévenu un journaliste, Mike Colby. J’ai découvert le fichier que Hantz lui avait adressé : il comportait une liste des personnes « utilisées » par Amanda dans le cadre du programme.
J’ai appelé Amanda d’une cabine publique en sortant mais j’avais déjà compris qu’il fallait aussi tuer Colby avant qu’il ne puisse faire plus d’investigations et surtout publier un article. Pour le coup, j’ai eu un peu de chance puisqu’en fouillant son bureau je suis tombé sur un post-it avec le numéro de portable de ce Colby. Alors je l’ai appelé en me faisant passer pour Hantz. Il était sur la route entre Washington et New York où il venait enquêter. Je lui ai dit que c’était trop dangereux de venir jusqu’ici mais que j’avais des renseignements pour lui. Je lui ai donné rendez-vous dans une station service du New Jersey et je l’ai abattu.
Jack : Et avec Freewell, vous pensiez faire quoi ? Vous aviez prévu de le tuer lui aussi ?
Tom : Amanda espérait acheter le silence des Freewell. Mais si ils refusaient, j’aurais dû les tuer eux aussi.
Jack : Le problème c’est que Gary avait disparu…
Tom : Oui, notre plan était en train de tomber à l’eau. Je devais à tout prix le retrouver avant vous. Mais ni Hantz ni Colby n’ont pu m’aider. Ils ne savaient pas ce qu’avait fait Freewell, encore moins où il était. Alors avec Amanda on a convenu que faute de mieux je n’avais qu’à me rendre à son domicile des fois qu’il retournerait voir sa femme. J’étais sur la route quand la police m’a arrêté.
Tom (abattu et encore incrédule): J’ai tué deux personnes pour rien… Je l’ai fait pour Amanda… et elle m’a balancé…
Jack : Voilà où ça aboutit de mélanger boulot et vie privée.
(Tout bas, comme pour lui-même) : A une catastrophe sur tous les plans.
Martin : Tu dis quelque chose ?
Jack (pris au dépourvu): Oh, non rien. Je vais commencer la paperasse. Occupe-toi de son transfert à la prison.
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Message  jabamiah Dim 28 Sep - 20:46

Yeahhh j'ai rattrapé mon retard! Et ces interrogatoires étaient menés de main de maître! on se croirait vraiment devant la télé! Wink

Et évidemment, méga coup de coeur pour ce passage:

Elena (souriant timidement): Tu m’as manqué, tu sais.
Danny : Mmm, c’est bien vrai ça ?
Elena (levant les yeux au ciel et prenant un air songeur) : Ben finalement je ne sais pas…
Danny (en lui pressant la main) : Moi aussi je suis content de te revoir mi amor.

AWWW 2love2 je sais, il m'en faut peu lol!

Vivement la suite! cheers
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Message  **Marine** Ven 10 Oct - 21:53

pas de suite? Very Happy
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Message  Baraboo Sam 18 Oct - 19:48

Si! Very Happy C'est juste que je suis un peu débordée en ce moment. D'ailleurs je file visionner le dernier épisode que j'ai pas encore vu. Je voulais mettre la fin de Paternité en une seule fois mais du coup je l'ai pas encore terminée donc il y aura encore une suite après celle-ci. Razz

***

A l’heure qu’il était, Amanda Hartford et Tom Burt découvraient leur nouvelle demeure, toute de béton et de grillages, remplie de bruits sourds et de cris, de peur et de haine, dont ils n’étaient pas près de ressortir. Cet aspect inattendu de leur enquête était maintenant résolu mais leur problème initial –et principal- demeurait intact. Gary Freewell et Lydia Moore étaient toujours portés disparus.
Leurs récentes avancées avaient permis de relier de façon certaine les deux affaires et révélé le pourquoi de ce kidnapping. Elles avaient en outre établi que Gary et Lydia étaient encore à New York, bien vivants et apparemment en bonne santé. C’était bien là l’essentiel.
Mais les recherches pour les retrouver, aussi intenses soit-elles, ne donnaient toujours rien. Amy n’avait été d’aucun secours. Elle n’avait pas la moindre idée d’où son mari pouvait se cacher. L’action du FBI se réduisait désormais à coordonner les opérations et vérifier en temps réel les éventuels appels téléphoniques et mouvements bancaires de Freewell. En l’état actuel des choses, ils ne pouvaient rien faire de plus.
Aussi toute l’équipe était-elle maintenant réunie pour partager les derniers rebondissements de l’enquête. Martin relatait en détails les aveux de Tom Burt quand il fut interrompu par la sonnerie d’un téléphone. Constatant que c’était le sien, Elena se leva et partit répondre. Son bureau étant le plus éloigné de la grande table et le brouhaha ambiant incessant, les autres agents ne purent saisir que quelques bribes de sa conversation. Néanmoins son air soulagé leur indiquait que les nouvelles devaient être bonnes.

Elena (revenant s’installer auprès de ses collègues le sourire aux lèvres): Freewell a été retrouvé. Une patrouille l’a intercepté alors qu’il ressortait d’un magasin de jouets. Il n’a opposé aucune résistance. Et surtout la petite Lydia va bien.

Des murmures satisfaits et des soupirs de soulagement accueillir cette annonce. La tension accumulée ces derniers jours commençait lentement à se dissiper.

Jack : Viv et Danny j’aimerais que vous alliez chercher Gary et Lydia là-bas.
Danny : Pas de problème Jack. C’est comme si c’était fait.

A peine les deux agents partis, Jack repris le chemin de son bureau laissant Sam, Elena et Martin se réjouirent de cet heureux dénouement. Mal à l’aise, il ne se sentait pas de rester assis près de Samantha. Si son départ précipité n’échappa pas à ses collègues, ils ne firent aucun commentaire. Martin chercha bien le regard de Samantha mais elle baissa les yeux faisant mine d’être absorbée par son dossier.

***
Gary attira Lydia vers lui pour l’étreindre puis, sans lâcher ses mains, se recula légèrement et scruta intensément sa fille de manière à graver ses joues rebondies, ses grands yeux bleus plein de malice et son sourire un peu timide au plus profond de sa mémoire. Deux policiers en uniforme brisèrent cette parenthèse enchantée en le tirant par le bras, l’escortant jusqu’à la voiture de patrouille. Danny suivit le mouvement, tandis que Vivian emmenait doucement Lydia vers sa berline de fonction.

Vivian (d’une voix maternelle): Allez viens ma puce, je vais te ramener auprès de tes parents. Je suis sûre que tu leur as beaucoup manqué et que tu as très envie de les revoir.
Lydia : Oh oui ! Mais tu sais, Gary, le monsieur, il a été gentil avec moi. J’ai mangé de la glace et il m’a même acheté un nounours et une poupée, juste celle que je voulais.
Vivian (en regardant la poupée que la petite fille exhibait fièrement): C’est vrai qu’elle est jolie… Je suis persuadée qu’il ne te voulait pas de mal mais il n’avait pas le droit de faire ça tu comprends ?
Lydia (secouant gravement la tête) : Oui je crois. Mais je n’ai pas compris pourquoi il a dit qu’il était un peu comme mon papa… J’en ai déjà un papa.
Vivian : Bien sûr ma chérie. Tu sais des fois les adultes font ou disent des choses un peu bizarre. C’est pour ça que c’est un peu compliqué. Mais je suis sûre que tes parents vont t’expliquer tout ça.
Lydia (un peu perdue): Promis ?
Vivian (lui ouvrant la portière et souriant) : Ne t’inquiète pas. Allez monte.
Lydia (une fois installée sur son siège): Tu crois que je pourrai revoir Gary ?

***

Gary Freewell se retourna et se tordit le cou pour apercevoir une dernière fois Lydia. Danny était assis à ses côtés et, vu les circonstances, n’avait pas jugé utile de le menotter. Il était partagé entre son devoir d’agent et l’envie instinctive de réconforter cet homme.

Danny (d’une voix rassurante): Ma collègue va bien s’occuper d’elle.

Gary hocha distraitement la tête, le regard morne, perdu dans le vide. Le désespoir se lisait sur ses traits. Puis d’un coup il se redressa sur son siège, une étincelle de rage brillant dans ses yeux.

Gary (vigoureusement): Ce n’est pas moi le coupable dans l’histoire. Je peux tout vous expliquer. A la clinique Saint Andrews ils …
Danny (l’interrompant gentiment) : Nous sommes au courant Gary. De tout. On a arrêté les responsables qui avaient organisé ça.
Gary (soulagé) : Au moins ils ne pourront plus faire de mal. Personne d’autre n’aura à subir ce que j’ai subi.
Danny (contenant sa rage intérieure): Malheureusement, vous n’êtes pas la seule victime de leurs agissements.
Gary (déversant sa colère): Vous voulez dire que ces salauds ont abusé d’autres gens comme moi !
Danny (acquiesçant): Ils sont hors d’état de nuire maintenant. Croyez-moi, avec le trafic d’embryons et les assassinats de Hantz et Colby ils ne sont pas près de revoir la lumière du jour.
Gary (dans tous ses états): Quoi ?! Freddie Hantz est mort ? C’est lui qui m’a prévenu, il a voulu m’aider et il est mort… C’est de ma faute…
Danny (le regardant droit dans les yeux): Non, Gary, ce n’est certainement pas de votre faute. Il voulait faire éclater la vérité au grand jour et c’est pour ça qu’Amanda Hartford et son amant l’ont tué. Ce sont eux les coupables, pas vous Gary.

Gary sembla méditer ces paroles quelques instants avant de reprendre faiblement la parole.

Gary (bouleversé) : Vous vous rendez compte ? Ils m’ont caché que j’avais une petite fille…ils me l’ont prise.
Danny (doucement): Je sais que vous essayez désespérément d’avoir un enfant, que votre femme était enceinte et qu’elle a fait une fausse couche. Je sais que ces derniers mois n’ont pas été faciles pour vous. Et soudain vous découvrez que vous avez une fille dont vous ignoriez l’existence. Alors je peux comprendre votre geste Gary. Mais vous savez bien que vous ne pouvez pas enlever Lydia, que ce n’est pas la solution miracle à vos problèmes.
Gary (agité): Je…je ne sais plus…sur le moment je n’ai pas réfléchi…Et puis je voulais faire tomber cette foutue clinique, chercher des preuves… Je… Je ne lui ai fait aucun mal agent Taylor. Jamais je ne pourrais ne serait-ce que…
Danny (d’un ton apaisant) : Je sais, Gary, je sais.
Gary (après être resté silencieux un moment): Je vais aller en prison ?
Danny : Et bien, un kidnapping n’est pas un acte anodin… Cependant, avec un bon avocat, étant donné les circonstances et la façon dont vous avez traité Lydia, je pense que le jury devrait rendre un verdict clément.
Gary (inquiet): Et Lydia ? Qu’est-ce qu’elle va devenir ?
Danny (doucement): Elle va retourner avec les Moore. Ce sont eux ses parents.
Gary (désemparé): Je pourrai quand même la voir ? Faire partie de sa vie ?
Danny (honnêtement): Je ne sais pas. Ce n’est pas à moi d’en décider… mais je vous le souhaite.
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Message  **Marine** Sam 18 Oct - 21:57

Oh, c'est court! Shocked hihi je te taquine. ça faisait longtemps que tu n'avais pas posté ça m'a fait du bien de te lire Wink

Vivement la suite alors!! rolles
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Message  Baraboo Mar 11 Nov - 12:53

Voilà j'arrive enfin au bout de ma première fic, j'espère qu'elle vous aura plu. Alors suite et fin Wink

****

L’heure des retrouvailles –et des explications- avait sonné. Amy Freewell était assise en compagnie de Jack. Elle était perturbée et complètement déboussolée par tous les événements qui s’étaient abattu sur elle ces derniers jours. Elle écoutait attentivement les propos de Jack quand d’un coup elle fondit en larmes. Comme si ça ne suffisait pas, l’agent du FBI venait de lui révéler que son mari avait une fille. C’en était décidément trop pour elle. Jack la réconforta du mieux qu’il put et entreprit de lui expliquer la procédure qui allait suivre. Il l’informa que son mari allait être placé en garde à vue pour être interrogé sur ses faits et gestes et faire une déposition avant d’être déféré devant un juge. Il était en train de l’assurer qu’il soulignerait les circonstances atténuantes dans son rapport quand son regard dévia légèrement. Amy surprit son mouvement et se retourna. Son mari sortait de l’ascenseur, guidé de près par un jeune agent latino. Elle essuya alors ses larmes du revers de la main et se leva brusquement. Puis elle sembla hésiter, ne sachant trop que faire. Jack lui fit un petit signe de tête l’invitant à rejoindre son mari. Avec tact, Danny s’écarta du couple et vint se poster aux côtés de son patron.

Gary (la serrant fort dans ses bras): Oh Amy, je suis tellement désolé, je t’ai encore fait souffrir…
Amy (murmurant dans le cou de son mari): Ca va aller, on va s’en sortir tu vas voir…

Sam, Martin et Elena observaient la scène de loin, derrière les vitres du bullpen. Des sentiments contradictoires les animaient. Bien sûr, ils étaient soulagés d’avoir retrouvé leurs deux disparus sains et saufs mais une sensation plus contrastée les tiraillait. Arrêter Gary Freewell ne les réjouissait pas. Ce n’était qu’un homme complètement paumé et accablé par le chagrin. Aveuglé par le désespoir et la colère, il était sorti du droit chemin mais sans la moindre intention de faire du mal autour de lui.
Danny fit un pas en avant et le couple se sépara à regret, Amy suivant son mari des yeux jusqu’à ce qu’il disparaisse dans une salle d’interrogatoire.
Quelques minutes plus tard, Vivian déboucha à son tour dans le couloir tenant la petite Lydia par la main. Les Moore se précipitèrent hors de la salle réservée aux familles et se ruèrent vers leur fille. A la vue de ses parents, Lydia afficha un grand sourire et se jeta dans leurs bras. Quand ils se détachèrent enfin de leur fille, Jack invita les Moore à le suivre.

Jack : Avant de vous laisser repartir j’aimerais éclaircir un point ou deux avec vous.
Paul Moore (croisant le regard de sa femme) : Bien…d’accord… je suppose que c’est la procédure normale.

Jack ne répondit pas et les précéda dans son bureau.

Jack : Ecoutez, l’enlèvement de Lydia est en partie lié à la clinique Saint Andrew. Je vois que ce nom ne vous est pas inconnu… L’homme qui a kidnappé votre fille est son père biologique. Il s’appelle Gary Freewell.
Paul Moore (protestant faiblement) : Je ne comprends pas…
Susan Moore (regardant son mari, gênée): Paul…
Jack (masquant mal son dégoût) : Vous ne vous attendiez pas à ce qu’il découvre sa paternité n’est-ce pas ?
Paul (mal à l’aise) : Euh…
Jack (poursuivant) : Payer oui, mais qu’il soit au courant non… j’imagine que c’est le marché que vous avez passé avec Amanda Hartford. Seulement voilà, maintenant il sait et tout le monde va savoir. Le scandale ne va pas tarder à éclater et faire les grands titres des journaux. Et bien sûr attendez-vous à être poursuivis par la justice.

Les Moore échangèrent un regard qui en disait long. S’ils se sentaient bien un peu coupables, ils ne comprenaient visiblement pas pourquoi ils devraient faire face à un procès.

Susan : Vous avez des enfants agent Malone?
Jack : Deux filles.
Susan (essayant de se justifier): Alors vous savez le bonheur qu’un enfant peut apporter dans votre vie. Essayez maintenant d’imaginer que la nature vous ait refusé un tel bonheur. Ne chercheriez-vous pas à réparer cette erreur ? Je suis persuadée qu’à notre place vous auriez fait pareil.
Jack (catégorique): En participant à un tel trafic ? Certainement pas.

Susan baissa la tête alors que son mari trouvait la décoration de la pièce apparemment fascinante. Au moins ils avaient le bon goût de paraître embarrassés, pensa Jack.

Jack (les congédiant sans trop de chaleur): Votre fille vous attends dans la pièce d’à côté et un agent vous raccompagnera en bas.
Susan : Merci agent Malone. Merci de nous avoir ramené notre petite fille.

Jack hocha la tête. Il ne leur serra pas la main et ne prit même la peine de se lever à leur départ. Quelquefois, les victimes n’étaient pas toujours celles qu’on croyait. En l’occurrence, rien n’était tout blanc ou tout noir, hormis Amanda Hartford. Décidément les comportements humains étaient bien complexes… Il secoua la tête et eut une pensée émue pour Lydia. Toute cette affaire allait avoir des répercussions sur elle et son monde risquait d’être bouleversé. Au fond, c’était elle la vraie victime.

***

22 heures. Une nouvelle journée de travail épuisante se terminait enfin. Jack avait dit à ses collègues de rentrer chez eux. Les rapports pouvaient attendre demain. Vivian était partie la première, bientôt imitée par Elena. Martin et Danny quittèrent la salle ensemble quelques minutes plus tard. Constatant qu’elle était la dernière, Sam se pressa. Elle n’avait aucune envie de croiser Jack.

Installé à son bureau, Jack se massait lentement les tempes du bout des doigts. La cravate légèrement dénouée, les joues creusées par la fatigue et la peine, les cernes sous les yeux…autant de stigmates des récents événements. Les dernières heures s’étaient avérées épuisantes : entre les enquêtes qui avaient été difficiles et les disputes avec Samantha il avait eu bien du mal à fermer l’œil. Il était maintenant plongé en pleine introspection et prenait conscience que cette situation - leurs rapports dégradés, leurs contacts froids pour ne pas dire glacials - ne pouvait plus durer. Leur relation n’avait jamais été simple, bien au contraire. Elle avait toujours été compliquée, pleine d’ambiguïtés, de sous-entendus, de moments de complicité aussi mais aussi beaucoup de tensions. Les non-dits l’empoisonnaient. Heureusement jusqu’à présent cela n’avait pas interféré sur leurs relations de travail. Ils étaient capables de rester professionnels, même si le lien qui les unissait s’effilochait ou au contraire se renforçait au gré des fluctuations de leurs comportements troublés par des sentiments trop profonds. Mais il commençait à en douter…
Aussi il en arriva à la conclusion qu’il était grand temps qu’il se décide à prendre les choses en main. Etape suivante : où le faire ? Il passa en revue les possibilités qui s’offraient à lui. Le bureau ? Mais il était si difficile de parler de choses personnelles, d’évoquer certains événements et d’exprimer ses sentiments dans un lieu aussi impersonnel et peu propice aux confidences que le bureau. Il leur fallait un endroit plus intime. Mais il ne pouvait évidemment se résoudre à lui proposer de venir chez lui. Il leur fallait un terrain neutre. Peut-être devrait-il l’inviter à aller prendre un verre au bar où l’équipe avait ses habitudes. Oui, peut-être… La perspective d’un whisky l’emporta. Ultime détail mais non le moindre : comment allait-il s’y prendre ? Il avait peur de ne pas trouver les mots justes. Merde, se dit-il, eux qui communiquaient si facilement, voilà qu’il ne savait plus comment lui parler ! Cela ne présageait rien de bon… Conneries, balaya-t-il du revers de la main ! La question resta en suspens quand il risqua un coup d’oeil vers le bullpen. En voyant Sam partir, il attrapa sa veste et se dépêcha. Il la rejoignit au bout du couloir, alors qu’elle attendait l’ascenseur. Elle évita son regard. Fidèle à lui-même, Jack ne sut comment aborder la conversation. Il rassembla tout son courage et se lança :

Jack (doucement) : Je crois qu’on a besoin de parler.
Sam (hargneuse): Je n’ai rien à te dire.

Jack demeura silencieux quelques instants et encaissa le choc. Il ne savait comment poursuivre. Le fallait-il ? N’avait-elle pas été assez claire ? Bien sûr, il ne s’attendait pas à ce qu’elle saute de joie mais il fut tout de même un peu déboussolé, comme pris au dépourvu. Mais au fond de lui il savait qu’il était nécessaire et souhaitable de crever l’abcès. Il lutta contre ses doutes, contre ses peurs, contre ses démons et réussit à se jeter à l’eau.

Jack : Moi si. Il marqua une courte pause avant d’ajouter d’une voix qui se brisait : Et depuis longtemps.

Sam resta de marbre, du moins en apparence car tous ses sens étaient en alerte. Que voulait-il donc lui confier ? Etait-ce possible que… Non, pas après toutes ces années… après tout ce qui s’était passé ces dernières heures… pourtant cette voix là, rauque, basse, presque fêlée … et si…
Jack lui prit alors délicatement le menton pour l’obliger à le regarder dans les yeux.

Jack (d’un ton suppliant): Sam, s’il te plaît.

Et là, elle sut. Son regard ne trompait pas, ne la trompait pas. A cet instant précis, ses émotions entrèrent en connexion avec celles de Jack. De nouveau, elle pouvait lire en lui, sans équivoque. Et ce qu’elle vit la bouleversa.

I cannot find
A way to describe it
It's there
Inside
All I do is hide
I wish
That it
Would just go away
What would
You do?
You do...
If you knew...
What would you do?
Yeah

All the pain
I thought I knew
All my thoughts lead back to you
Back to what
Was never said
Back and forth
Inside my head
I can't handle this confusion
I'm unable
Come and take me away

I feel
Like I
Am all alone
All by
Myself
I need to get around this
My words
Are cold
I don't want them to hurt you
If I
Show you
I don't think you'd understand
Cause no one understands
Yeah

All the pain
I thought I knew
All my thoughts lead back to you
Back to what
Was never said
Back and forth
Inside my head
I can't handle this confusion
I'm unable
Come and take me away

I'm going nowhere
On and on and...
I'm getting nowhere
On and on and on...
Take me away
I'm going nowhere
On and on and...
Off and on and
Off and on

All the pain
I thought I knew
All my thoughts lead back to you
Back to what
Was never said
Back and forth
Inside my head
I can't handle this confusion
I'm unable
Come and take me away

Take me away
Take me away
Take me away


Ce qu’il lut dans ses grands yeux bruns le combla. Tout n’était pas perdu. Un léger « ding » retentit mais le sort n’en fut pas brisé pour autant. Ils s’engouffrèrent dans l’ascenseur et les portes se refermèrent sur eux.



THE END
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Message  **Marine** Mar 11 Nov - 13:15

C'était une super fic Very Happy Avec de tres beaux passage...Et une belle ouverture pour Jack et Sam a la fin I love you

Bravo Baraboo !! La prochaine quand tu veux!!! Wink


bravobom bravobom bravobom
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Message  jabamiah Mar 11 Nov - 20:23

Hééé! Comment ça déjà la fin?! Shit
En tout cas j'ai beaucoup apprécié, ta manière d'écrire, D/E 2love2 et même J/S sisi c'est vrai, j'ai dit ça lol Mr. Green

Vivement la prochaine! bravobom bravobom bravobom bravobom
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Message  Baraboo Mar 11 Nov - 23:19

jabamiah a écrit:j'ai beaucoup apprécié, ta manière d'écrire, D/E 2love2 et même J/S sisi c'est vrai, j'ai dit ça lol Mr. Green

Oh ça me touche que tu aies apprécié le J/S, surtout que tu frise un peu l'"overdose" en ce moment I love you

@ Marine :Merci pour ton gentil comm' Wink

Je vous préviens tout de suite je ne vais avoir le temps de me replonger dans une fic de sitôt (même si j'ai déjà écris quelques bribes par ci par là de 2 histoires), mais je vais essayer d'écrire des shots promis!

Et en passant, je quémande une suite de Sunny delirium siffle
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Message  **Marine** Jeu 13 Nov - 22:53

Baraboo a écrit:

Et en passant, je quémande une suite de Sunny delirium siffle



Rah franchement j'abuse lol. JE vais essayer davancer...Fau tro que je toruve le temps. Apres avoir fai mes devoirs j'ouvre word ce soir mais je promet rien je suis surbookée!! ( entre regarder la preview de Rewind et re regarder la preview de Rewind... rolles mdr)


Hate de lire tes shots I love you
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Message  miss puerto rico Jeu 13 Nov - 23:09

**Marine** a écrit:
Baraboo a écrit:

Et en passant, je quémande une suite de Sunny delirium siffle



Rah franchement j'abuse lol. JE vais essayer davancer...Fau tro que je toruve le temps. Apres avoir fai mes devoirs j'ouvre word ce soir mais je promet rien je suis surbookée!! ( entre regarder la preview de Rewind et re regarder la preview de Rewind... rolles mdr)


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YES lol tous accro au preview
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