Plus jamais comme avant (PG13)
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Bravo, on vie et revie avec Martin. J'adore le rôle protecteur de Danny. Ça lui va très bien!
Pandi- Elève à Quantico
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Age : 49
Localisation : Québec
Date d'inscription : 07/04/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Encore une suite pleine d'émotions Le côté protecteur de Danny est adorable. J'espère que tout va bien se passer pour Martin dans sa première journée seul...
J'espère que tu pourras mettre rapidement une suite
J'espère que tu pourras mettre rapidement une suite
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 42
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Coool une suite...
Danny qui s'inquiète pour Martin et veille sur lui...
Et la première journée de Martin seul qui commence..
Vivement la suite..
Danny qui s'inquiète pour Martin et veille sur lui...
Et la première journée de Martin seul qui commence..
Vivement la suite..
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Ta fic comporte une fan de plus, une !
Rhà, ça fait depuis le début que je suis l'histoire et je ne met que maintenant un commentaire... * cours se jeter du haut d'une falaise *
Y a des jours où je me hais ^^
Fin bref, tout ça pour dire que j'aime trop... non, plus, j'adore... enfin y a pas de mot assez fort ! J'adore quand il s'agit de Manny, comme beaucoup ici, et quand c'est Martin qui est en danger et Super-Danny qui arrive à la rescousse, je fonds littéralement...
Alors continue, continue longtemps et t'arrête pas, hein, met vite une suite sinon je dépriime [même si ta fic est loin d'être joyeuse ]
Viiiiiite !
Rhà, ça fait depuis le début que je suis l'histoire et je ne met que maintenant un commentaire... * cours se jeter du haut d'une falaise *
Y a des jours où je me hais ^^
Fin bref, tout ça pour dire que j'aime trop... non, plus, j'adore... enfin y a pas de mot assez fort ! J'adore quand il s'agit de Manny, comme beaucoup ici, et quand c'est Martin qui est en danger et Super-Danny qui arrive à la rescousse, je fonds littéralement...
Alors continue, continue longtemps et t'arrête pas, hein, met vite une suite sinon je dépriime [même si ta fic est loin d'être joyeuse ]
Viiiiiite !
miss-polonaise- Nouvelle recrue
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Localisation : Dans un petit coin perdu du 71 que j'adore
Date d'inscription : 27/08/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Et voilà une nouvelle toute petite suite !
Merci beaucoup pour tous vos commentaires. Et merci à ma nouvelle lectrice !
En espérant ne pas vous décevoir...
Présent
Danny arriva devant la porte de son appartement. Souriant, il discutait avec Sam et Jack.
Il appuya sur la clanche, et remarqua que la porte était ouverte. Intrigués, les trois amis entrèrent. Danny eut un court instant de peur en n'entendant ou ne voyant pas Martin, mais il fut rapidement rassuré.
Arrivés dans le séjour, leur regard se posa d'abord sur les objets éparpillés par terre. Il remonta ensuite sur la table basse, où se tenait la carton au nom de Martin. Puis il arriva doucement sur le canapé.
Martin avait l'air serein. Il était allongé, endormi, calé entre les coussins. Tout le reste du sofa était pris par les photos. Certaines avaient glissé au sol, mais la plupart entouraient le corps du jeune homme, formant un océan de souvenirs qui semblait le porter dans ses rêves, une vague d'images s'abattant sur sa mémoire pour lui rappeler que malgré les tempêtes, le bonheur n'a pas disparu avec lui quelques années auparavant. Pour lui dire que le marin pouvait prendre la mer.
Les trois collègues restèrent un long moment à l'observer, avant de se décider à passer dans la cuisine, et de le laisser se reposer. Il en avait bien besoin.
Sam : Tu vois Danny, tu n'avais pas de raison de t'inquiéter pour lui...
Danny sourit à cette remarque.
Danny : On dirait que non... C'est la première fois qu'il dort paisiblement depuis son retour à la maison. Ca fait... bizarre de le voir comme ça.
Jack : Mais c'est plutôt une excellente nouvelle s'il arrive à dormir convenablement. Il commence à récupérer, à la fois physiquement et psychologiquement.
Danny : Bien sûr que c'est une bonne nouvelle ! Je crois que le bout du tunnel n'est plus très loin.
Sam : On dirait qu'il n'est pas prêt de se réveiller... On mange sans lui ?
Quelques heures plus tard, les trois amis parlaient tranquillement à table. Ils venaient de finir le dessert. A quelques mètres d'eux, Martin dormait toujours, noyé sous ses propres souvenirs.
La discussion s'engagea sur le travail. Ils n'étaient pas couchés...
Danny remarqua le premier du bruit au séjour. Martin apparu à l'entrée de la cuisine.
Danny : Enfin réveillé ?
Son ami lui sourit, se refusant de répondre à la moquerie.
Jack : Assieds-toi Martin ! De toute façon on allait partir. Il se fait tard...
Sam : A bientôt les garçons !
Danny observa son brother quelques minutes. Puis il parla enfin, ne pouvant retenir les mots qui affluaient en lui.
Danny : Est-ce que ça va ?
Martin tourna la tête vers lui.
Martin : Mieux.
Les deux amis baissèrent le regard.
Martin : J'ai l'impression de n'avoir jamais aussi bien dormi... Toutes ces photos... Je ne sais pas ce qu'elles ont fait exactement, mais elles m'ont apaisé.
Danny hocha lentement la tête.
Danny : Tant mieux si elles t'ont fait du bien.
Martin : Je voulais m'excuser Danny.
Le regard surpris de Danny croisa aussitôt celui, sincère, de son ami.
Danny : ... ?
Martin : Tu te démènes pour moi depuis mon retour. Je le sais. Tu fais tout pour m'aider, pour que j'aille mieux, pour que j'aille bien. Et je... Je ne pense pas t'avoir vraiment remercié pour ça. Tu n'as d'obligations envers personne. Mais tu es là, toujours. Et pas moi. Je te demande de m'en excuser.
Danny : Peut-être que quelque part je cherche moi aussi à me faire pardonner. Après ta disparition, je me suis trop facilement laissé emporter par l'illusion de ta mort. La solution de simplicité. Je ne me suis pas assez battu pour toi, pour te retrouver, pour te sauver.
Le regard brillant de Martin du même bleu que l'océan, l'océan d'eau, l'océan de souvenirs, se plongea dans celui de Danny.
Il leva son poing dans sa direction.
Martin : On est quittes...
Danny leva à son tour son poing, et murmura
Danny : On est quittes.
Deux ans et demi auparavant
Le contact me manque. Toucher un être humain, sentir sa chaleur. Mettre ma peau en contact avec la sienne. Plonger mon regard dans le sien. Poser ma main sur la sienne. Répondre à son sourire. Sécher ses larmes. Boire ses mots.
Ne plus sentir ses coups. Ne plus entendre ses hurlements. Ne plus écouter ses ordres.
Etre un homme. Voilà ce qui me manque : être un Homme.
Merci beaucoup pour tous vos commentaires. Et merci à ma nouvelle lectrice !
En espérant ne pas vous décevoir...
Présent
Danny arriva devant la porte de son appartement. Souriant, il discutait avec Sam et Jack.
Il appuya sur la clanche, et remarqua que la porte était ouverte. Intrigués, les trois amis entrèrent. Danny eut un court instant de peur en n'entendant ou ne voyant pas Martin, mais il fut rapidement rassuré.
Arrivés dans le séjour, leur regard se posa d'abord sur les objets éparpillés par terre. Il remonta ensuite sur la table basse, où se tenait la carton au nom de Martin. Puis il arriva doucement sur le canapé.
Martin avait l'air serein. Il était allongé, endormi, calé entre les coussins. Tout le reste du sofa était pris par les photos. Certaines avaient glissé au sol, mais la plupart entouraient le corps du jeune homme, formant un océan de souvenirs qui semblait le porter dans ses rêves, une vague d'images s'abattant sur sa mémoire pour lui rappeler que malgré les tempêtes, le bonheur n'a pas disparu avec lui quelques années auparavant. Pour lui dire que le marin pouvait prendre la mer.
Les trois collègues restèrent un long moment à l'observer, avant de se décider à passer dans la cuisine, et de le laisser se reposer. Il en avait bien besoin.
Sam : Tu vois Danny, tu n'avais pas de raison de t'inquiéter pour lui...
Danny sourit à cette remarque.
Danny : On dirait que non... C'est la première fois qu'il dort paisiblement depuis son retour à la maison. Ca fait... bizarre de le voir comme ça.
Jack : Mais c'est plutôt une excellente nouvelle s'il arrive à dormir convenablement. Il commence à récupérer, à la fois physiquement et psychologiquement.
Danny : Bien sûr que c'est une bonne nouvelle ! Je crois que le bout du tunnel n'est plus très loin.
Sam : On dirait qu'il n'est pas prêt de se réveiller... On mange sans lui ?
Quelques heures plus tard, les trois amis parlaient tranquillement à table. Ils venaient de finir le dessert. A quelques mètres d'eux, Martin dormait toujours, noyé sous ses propres souvenirs.
La discussion s'engagea sur le travail. Ils n'étaient pas couchés...
Danny remarqua le premier du bruit au séjour. Martin apparu à l'entrée de la cuisine.
Danny : Enfin réveillé ?
Son ami lui sourit, se refusant de répondre à la moquerie.
Jack : Assieds-toi Martin ! De toute façon on allait partir. Il se fait tard...
Sam : A bientôt les garçons !
Danny observa son brother quelques minutes. Puis il parla enfin, ne pouvant retenir les mots qui affluaient en lui.
Danny : Est-ce que ça va ?
Martin tourna la tête vers lui.
Martin : Mieux.
Les deux amis baissèrent le regard.
Martin : J'ai l'impression de n'avoir jamais aussi bien dormi... Toutes ces photos... Je ne sais pas ce qu'elles ont fait exactement, mais elles m'ont apaisé.
Danny hocha lentement la tête.
Danny : Tant mieux si elles t'ont fait du bien.
Martin : Je voulais m'excuser Danny.
Le regard surpris de Danny croisa aussitôt celui, sincère, de son ami.
Danny : ... ?
Martin : Tu te démènes pour moi depuis mon retour. Je le sais. Tu fais tout pour m'aider, pour que j'aille mieux, pour que j'aille bien. Et je... Je ne pense pas t'avoir vraiment remercié pour ça. Tu n'as d'obligations envers personne. Mais tu es là, toujours. Et pas moi. Je te demande de m'en excuser.
Danny : Peut-être que quelque part je cherche moi aussi à me faire pardonner. Après ta disparition, je me suis trop facilement laissé emporter par l'illusion de ta mort. La solution de simplicité. Je ne me suis pas assez battu pour toi, pour te retrouver, pour te sauver.
Le regard brillant de Martin du même bleu que l'océan, l'océan d'eau, l'océan de souvenirs, se plongea dans celui de Danny.
Il leva son poing dans sa direction.
Martin : On est quittes...
Danny leva à son tour son poing, et murmura
Danny : On est quittes.
Deux ans et demi auparavant
Le contact me manque. Toucher un être humain, sentir sa chaleur. Mettre ma peau en contact avec la sienne. Plonger mon regard dans le sien. Poser ma main sur la sienne. Répondre à son sourire. Sécher ses larmes. Boire ses mots.
Ne plus sentir ses coups. Ne plus entendre ses hurlements. Ne plus écouter ses ordres.
Etre un homme. Voilà ce qui me manque : être un Homme.
Heidi- Elève à Quantico
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
youpi je suis la premiere a lire lea suite qui est manifique alorson en rdemandent
tre- Elève à Quantico
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Je suis bien contente que Martin aille mieux! Et j'aime toujours autant cette relation entre Danny et Martin.
Baraboo- Stagiaire au FBI
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Date d'inscription : 13/04/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Pour ma part, je ne suis pas déçue
J'adoore toujours autant, et du Manny... que demandez de plus ?
Bon ben mercii, mercii et encore une p'tite suite, hiin ?
J'adoore toujours autant, et du Manny... que demandez de plus ?
Bon ben mercii, mercii et encore une p'tite suite, hiin ?
miss-polonaise- Nouvelle recrue
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Localisation : Dans un petit coin perdu du 71 que j'adore
Date d'inscription : 27/08/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Ça c'est du Manny comme on les aime!
Ça me fait tout chaud au coeur de savoir que Martin va mieux... mais est-ce que ça va continuer?
Ça me fait tout chaud au coeur de savoir que Martin va mieux... mais est-ce que ça va continuer?
Mouchette- Directeur Adjoint
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Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Mouchette a écrit:Ça c'est du Manny comme on les aime!
Ça me fait tout chaud au coeur de savoir que Martin va mieux... mais est-ce que ça va continuer?
Tout pareil.....
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
c'est trop bien... J'adore cette suite. C'est toujours aussi émouvant et touchant
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Bonjour/Bonsoir tout le monde !
Moi et mon perpétuel retard, surtout ne te presse pas pour écrire ma vieille !
Enfin bref, me voici, accompagnée de ma suite qui vous salue bien bas.
(Pétage de plomb, passer le week-end avec un gosse de trois ans ça ne me réussit pas !)
Présent
Les jours passèrent. Petit à petit, la peur de Danny s'estompa, disparu. Il retrouvait son ami. Il retrouvait son Martin.
Ils riaient, passaient de bonnes soirées entre hommes, et commençaient surtout à parler de ces trois années qui les avaient éloignés.
Sujet délicat, sujet nécessaire.
Les deux amis trinquèrent, le sourire aux lèvres.
Danny : A nous !
Martin : A nous !
La soirée commençait comme toutes les autres. Comme d'habitude... Ou presque.
Danny : Est-ce que tu as beaucoup de souvenirs de là-bas ?
Son brother posa son verre avec un bruit sec sur la table.
Martin : ...
Danny : Tu n'es pas obligé de répondre, c'est plutôt direct et indiscret comme question et je comprends très bien que tu ne veuilles pas m'en parler, ou peut-être que tu ne veux juste pas en parler maintenant ou pas avec moi ou avec personne, après tout c'est ton droit, ce serait légitime que tu refuses de répondre à ma stupide question, d'ailleurs je ne sais même plus pourquoi je l'ai posée, c'est juste qu'elle me passait par la tête et que voilà quoi. Alors tu n'es absolument pas obligé de...
Martin : ... Il n'y a pas grand chose que j'ai oublié. Je me souviens des colombiens. Certains jours, ils venaient me chercher pour me forcer à travailler. Il y avait de longues périodes où ils ne se préoccupaient plus de moi. De temps à autre ils me balançaient une gamelle de nourriture, parfois un peu d'eau potable. Et puis, je me souviens aussi que régulièrement, un garde venait dans ma cage et me frappait. Plus je criais et plus il frappait fort. Plus j'avais mal et plus il voulait me faire mal. Mais une chose dont je me souviens bien, c'est de l'arrivée de l'armée dans la camp. Des hommes hurlaient partout qu'il fallait qu'on se lève et qu'on court, mais personne n'avait assez de forces pour le faire. On pouvait à peine tenir debout. Les soldats et les colombiens s'affrontaient, tiraient des balles juste au dessus de nos têtes, et on était incapables de bouger. Ca a duré des heures, et puis tout s'est arrêté. Il y avait des cadavres partout, et des gens venaient nous prendre un par un. Ils nous demandaient notre nom, d'où on venait, depuis combien de temps on était là, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Personne ne pouvait répondre. Mon nom ? Ca faisait longtemps que je n'avais plus de nom. Depuis combien de temps j'étais là ? Dans ces cages, le temps n'existe plus. Il n'y a plus de vie, donc plus de temps, plus rien.
Danny : Oh...
Martin : ...
Danny : Oh... Oh...
Martin : Danny ! On en a déjà parlé ; tu n'y es pour rien.
Danny : Je n'imaginais pas... Tout ce que ça pouvait représenter. Je ne comprenais pas vraiment.
Martin : Comment aurais-tu pu ? Tu n'as rien à te reprocher vieux frère. Rien du tout.
Danny sourit tendrement.
Martin : Quoi ?
Son ami s'entêta à sourire en silence, levant les yeux vers lui. Martin frappa alors son bras avec le poing.
Martin : Quoi ?!
Danny : Je me disais juste que... Les choses ont vraiment changé depuis que tu es revenu. Je repensais à l'homme qu'on a retrouvé il y a quelques mois et... Tu n'es plus le même...
Martin sourit à son tour.
Martin : Tu te trompes. Je suis toujours le même. Juste... Une version différente.
Danny : Une version différente ?
Martin : ...
Danny : Une version différente ?!
Martin : J'ai pas trouvé mieux sur le moment...
Leurs lèvres esquissèrent un sourire, qui se transforma instantanément en un grand éclat de rire général.
Et la soirée se poursuivit...
Assis sur le bureau de Sam, Danny s'amusait avec ses affaires, tout en parlant avec elle. Sa collègue, autant agacée qu'amusée, tentait en vain de travailler sur son rapport.
Soudain, Vivian s'approcha et leur murmura
Vivian : Je rêve ou Martin est au bureau ?
Les trois regards se focalisèrent sur le hall de l'étage.
Sam : On dirait que tu ne rêves pas Vivian !
Jack arriva vers Martin au même moment. Après les banalités de politesse, les deux hommes entrèrent dans le bureau privé du chef de l'équipe.
Sam : On se croirait dans un film de Chaplin ; on voit tout mais on n'entend rien !
Danny : Ccchhhut !
Pas loin d'une heure plus tard, Jack s'approcha de Martin, lui serra la main, et le prit dans ses bras. Ses collègues, étonnés, ne l'avaient jamais vu agir de cette manière. Ils se jetèrent des regards surpris.
Vivian : Qu'est-ce qu'ils se sont dit ?
Plus surprenant encore, Martin partit sans venir leur dire bonjour, sans même jeter un coup d'oeil.
Quand Jack sortit de son bureau, les trois amis se précipitèrent sur lui.
Danny : On peut savoir ce qui se passe ici ?
Vivian : On ne savait pas que tu avais rendez-vous avec Martin !
Sam : Jack ! Explique-nous...
Jack eut un petit sourire triste, et hocha nerveusement la tête.
Jack : ...
Moi et mon perpétuel retard, surtout ne te presse pas pour écrire ma vieille !
Enfin bref, me voici, accompagnée de ma suite qui vous salue bien bas.
(Pétage de plomb, passer le week-end avec un gosse de trois ans ça ne me réussit pas !)
Présent
Les jours passèrent. Petit à petit, la peur de Danny s'estompa, disparu. Il retrouvait son ami. Il retrouvait son Martin.
Ils riaient, passaient de bonnes soirées entre hommes, et commençaient surtout à parler de ces trois années qui les avaient éloignés.
Sujet délicat, sujet nécessaire.
Les deux amis trinquèrent, le sourire aux lèvres.
Danny : A nous !
Martin : A nous !
La soirée commençait comme toutes les autres. Comme d'habitude... Ou presque.
Danny : Est-ce que tu as beaucoup de souvenirs de là-bas ?
Son brother posa son verre avec un bruit sec sur la table.
Martin : ...
Danny : Tu n'es pas obligé de répondre, c'est plutôt direct et indiscret comme question et je comprends très bien que tu ne veuilles pas m'en parler, ou peut-être que tu ne veux juste pas en parler maintenant ou pas avec moi ou avec personne, après tout c'est ton droit, ce serait légitime que tu refuses de répondre à ma stupide question, d'ailleurs je ne sais même plus pourquoi je l'ai posée, c'est juste qu'elle me passait par la tête et que voilà quoi. Alors tu n'es absolument pas obligé de...
Martin : ... Il n'y a pas grand chose que j'ai oublié. Je me souviens des colombiens. Certains jours, ils venaient me chercher pour me forcer à travailler. Il y avait de longues périodes où ils ne se préoccupaient plus de moi. De temps à autre ils me balançaient une gamelle de nourriture, parfois un peu d'eau potable. Et puis, je me souviens aussi que régulièrement, un garde venait dans ma cage et me frappait. Plus je criais et plus il frappait fort. Plus j'avais mal et plus il voulait me faire mal. Mais une chose dont je me souviens bien, c'est de l'arrivée de l'armée dans la camp. Des hommes hurlaient partout qu'il fallait qu'on se lève et qu'on court, mais personne n'avait assez de forces pour le faire. On pouvait à peine tenir debout. Les soldats et les colombiens s'affrontaient, tiraient des balles juste au dessus de nos têtes, et on était incapables de bouger. Ca a duré des heures, et puis tout s'est arrêté. Il y avait des cadavres partout, et des gens venaient nous prendre un par un. Ils nous demandaient notre nom, d'où on venait, depuis combien de temps on était là, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Personne ne pouvait répondre. Mon nom ? Ca faisait longtemps que je n'avais plus de nom. Depuis combien de temps j'étais là ? Dans ces cages, le temps n'existe plus. Il n'y a plus de vie, donc plus de temps, plus rien.
Danny : Oh...
Martin : ...
Danny : Oh... Oh...
Martin : Danny ! On en a déjà parlé ; tu n'y es pour rien.
Danny : Je n'imaginais pas... Tout ce que ça pouvait représenter. Je ne comprenais pas vraiment.
Martin : Comment aurais-tu pu ? Tu n'as rien à te reprocher vieux frère. Rien du tout.
Danny sourit tendrement.
Martin : Quoi ?
Son ami s'entêta à sourire en silence, levant les yeux vers lui. Martin frappa alors son bras avec le poing.
Martin : Quoi ?!
Danny : Je me disais juste que... Les choses ont vraiment changé depuis que tu es revenu. Je repensais à l'homme qu'on a retrouvé il y a quelques mois et... Tu n'es plus le même...
Martin sourit à son tour.
Martin : Tu te trompes. Je suis toujours le même. Juste... Une version différente.
Danny : Une version différente ?
Martin : ...
Danny : Une version différente ?!
Martin : J'ai pas trouvé mieux sur le moment...
Leurs lèvres esquissèrent un sourire, qui se transforma instantanément en un grand éclat de rire général.
Et la soirée se poursuivit...
Assis sur le bureau de Sam, Danny s'amusait avec ses affaires, tout en parlant avec elle. Sa collègue, autant agacée qu'amusée, tentait en vain de travailler sur son rapport.
Soudain, Vivian s'approcha et leur murmura
Vivian : Je rêve ou Martin est au bureau ?
Les trois regards se focalisèrent sur le hall de l'étage.
Sam : On dirait que tu ne rêves pas Vivian !
Jack arriva vers Martin au même moment. Après les banalités de politesse, les deux hommes entrèrent dans le bureau privé du chef de l'équipe.
Sam : On se croirait dans un film de Chaplin ; on voit tout mais on n'entend rien !
Danny : Ccchhhut !
Pas loin d'une heure plus tard, Jack s'approcha de Martin, lui serra la main, et le prit dans ses bras. Ses collègues, étonnés, ne l'avaient jamais vu agir de cette manière. Ils se jetèrent des regards surpris.
Vivian : Qu'est-ce qu'ils se sont dit ?
Plus surprenant encore, Martin partit sans venir leur dire bonjour, sans même jeter un coup d'oeil.
Quand Jack sortit de son bureau, les trois amis se précipitèrent sur lui.
Danny : On peut savoir ce qui se passe ici ?
Vivian : On ne savait pas que tu avais rendez-vous avec Martin !
Sam : Jack ! Explique-nous...
Jack eut un petit sourire triste, et hocha nerveusement la tête.
Jack : ...
Heidi- Elève à Quantico
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Age : 34
Localisation : Probablement là où je me trouve...
Date d'inscription : 01/04/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Hahahah t'es vraiment la reine toi pour nous faire des sales coups comme ça...
J'espère que nous aurons rapidement la suite pour savoir ce qui s'est passé dans le bureau de Jack... même si je ne le sens pas bien le truc là...
J'espère que nous aurons rapidement la suite pour savoir ce qui s'est passé dans le bureau de Jack... même si je ne le sens pas bien le truc là...
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Zut! C'est pas le bon moment pour prendre une petite pause...
Bravo pour ta fic, elle est excellente. La complicité entre Danny et Martin est très touchante.
Bravo pour ta fic, elle est excellente. La complicité entre Danny et Martin est très touchante.
Pandi- Elève à Quantico
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
cest pas le moment de faire une pause alors vivement la suite
tre- Elève à Quantico
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Effectivement, c'est vraiment pas malin de finir à cet endroit!! Et maintenant, on va devoir attendre combien de temps pour avoir la suite, mmm? Allez, je rigole Enfin, pas trop quand même, je veux savoir ce que Martin et Jack se sont dit!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Plus jamais comme avant (PG13)
quoi sa c'est arrété la? Maiselle est ou la suite... Je vais sauter du 3eme etages là lol
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
si j'ai pas la suite je lis plus tes fic et je me noit
tre- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
La suite dès que je peux, c'est promis. Pour le moment c'est un peu compliqué, mais d'ici à la fin du week-end ça devrait se faire !
En attendant merci pour tous vos (gentils) messages !
En attendant merci pour tous vos (gentils) messages !
Heidi- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 359
Age : 34
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Date d'inscription : 01/04/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
je vais essayer de passienter
tre- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Ca y est, l'attente est finie ! Voilà (enfin) une petite suite. Et si vous êtes sages (ou plutôt si je suis motivée... ) j'en posterai peut-être une autre ce soir. Sinon... Plus tard.
Fini les bla-blas (admirez le néologisme), je n'ai plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture !
Présent
Martin marchait. Il faisait froid à New-York ; il gardait les mains bien enfoncées dans ses poches, le cou serré par une longue écharpe. Et il marchait.
Peu de lumières se reflétaient dans l'eau calme de la rivière, mais c'était suffisant pour faire briller la surface douce, délicieuse, envoûtante.
Levant les yeux vers d'autres lumières, plus nombreuses, plus brillantes encore, Martin vit un avion passer. Il soupira, puis sourit.
Même son visage était témoin de la difficulté de sa décision. Mais elle était prise. Et quoi qu'on lui dise, quoi qu'on fasse, il savait qu'il ne changerait pas d'avis. Trop de choses étaient en jeu. Sa vie était en jeu.
Sam, Vivian et Danny entouraient Jack. Le silence était complet. Chacun voulait comprendre, chacun voulait savoir.
Jack : Martin a pris sa décision.
Danny : Quelle décision ? Il n'a pas de décision à prendre ! Ca te dérangerait d'être clair ?!
Vivian : Danny ! Laisse-le parler.
Jack : Mon rendez-vous avec Martin était prévu. Depuis quelques temps déjà. Il se posait beaucoup de questions par rapport à son avenir. Il ne savait pas ce qu'il devait faire, où il devait aller. Il était complètement perdu.
FLASH-BACK
Jack : Les autres se posent des questions. Ils t'ont vu arriver.
Martin : Peu importe. C'est une discussion que je veux avoir avec toi, juste toi. Tu sais pourquoi.
Jack : Bien.
Martin : J'ai trouvé une place.
Jack : Je peux te demander où ?
Martin : ...
Jack passa la main dans ses cheveux en soupirant. Il esquissa un sourire triste.
Jack : Comme prévu...
Son interlocuteur baissa les yeux, par gêne ou par pudeur.
Jack : Comme prévu.
Martin : New-York va me manquer.
Jack : New-York ? Pas les gens qui vont avec ?
Martin : Il n'y a pas de mots pour dire ça.
Jack : Viens là idiot !
Les deux Hommes se serrèrent d'abord la main puis s'enlacèrent, comme en souvenir de toutes ces années passées ensemble.
C'était, quelque part, une sorte de fin. Mais une fin à quoi ? ...
FLASH-BACK
Jack : Il était convenu entre nous que s'il partait, ce serait définitivement. C'est pourquoi il ne m'a pas dit où il avait trouvé une place. Et personne au FBI ne nous transmettra l'information. Il part, c'est tout.
Les lèvres de Jack se refermèrent doucement, mais les autres se turent. Il n'y avait rien à dire.
Personne ne bougea non plus quand Danny attrappa se veste et quitta le bureau. Personne ne bougea, parce qu'ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'ils pourraient faire s'ils bougeaient.
Danny ouvrit la porte. Il n'était pas essoufflé ; il n'avait pas couru pour venir. Quelque chose l'en avait empêché.
Les valises attendaient, posées derrière le canapé. Partout dans l'appartement, des objets manquaient, des affaires de Martin qui avaient trouvé leur place ici.
La porte de la chambre d'amis coulissa.
Martin : Tu es là.
Son manteau était ouvert, son écharpe mise négligemment, mais il semblait prêt à partir.
Danny : Il y a un peu plus de trois ans maintenant, j'ai vécu un véritable cauchemar. Il n'y avait rien de pire au monde pour moi que de perdre le seul vrai ami que j'ai jamais eu. J'ai ressenti une souffrance qui m'était devenue inconnue depuis longtemps. On a tout envisagé, même si au fond on savait très bien que tu avais été enlevé. Mais on a fait notre travail, et notre travail était de tout envisager. Mais ça... Pas ça.
Martin : Je ne te dirai pas où je vais Danny.
Le coup partit immédiatement. Martin toucha délicatement sa lèvre inférieure, et retira son doigt rougi par le sang.
Il prit ses valises, jeta un regard sur la bar où était posé son trousseau de clés, et sortit de l'appartement sans un mot.
Danny : Martin...
Ne me tuez pas !
Fini les bla-blas (admirez le néologisme), je n'ai plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture !
Présent
Martin marchait. Il faisait froid à New-York ; il gardait les mains bien enfoncées dans ses poches, le cou serré par une longue écharpe. Et il marchait.
Peu de lumières se reflétaient dans l'eau calme de la rivière, mais c'était suffisant pour faire briller la surface douce, délicieuse, envoûtante.
Levant les yeux vers d'autres lumières, plus nombreuses, plus brillantes encore, Martin vit un avion passer. Il soupira, puis sourit.
Même son visage était témoin de la difficulté de sa décision. Mais elle était prise. Et quoi qu'on lui dise, quoi qu'on fasse, il savait qu'il ne changerait pas d'avis. Trop de choses étaient en jeu. Sa vie était en jeu.
Sam, Vivian et Danny entouraient Jack. Le silence était complet. Chacun voulait comprendre, chacun voulait savoir.
Jack : Martin a pris sa décision.
Danny : Quelle décision ? Il n'a pas de décision à prendre ! Ca te dérangerait d'être clair ?!
Vivian : Danny ! Laisse-le parler.
Jack : Mon rendez-vous avec Martin était prévu. Depuis quelques temps déjà. Il se posait beaucoup de questions par rapport à son avenir. Il ne savait pas ce qu'il devait faire, où il devait aller. Il était complètement perdu.
FLASH-BACK
Jack : Les autres se posent des questions. Ils t'ont vu arriver.
Martin : Peu importe. C'est une discussion que je veux avoir avec toi, juste toi. Tu sais pourquoi.
Jack : Bien.
Martin : J'ai trouvé une place.
Jack : Je peux te demander où ?
Martin : ...
Jack passa la main dans ses cheveux en soupirant. Il esquissa un sourire triste.
Jack : Comme prévu...
Son interlocuteur baissa les yeux, par gêne ou par pudeur.
Jack : Comme prévu.
Martin : New-York va me manquer.
Jack : New-York ? Pas les gens qui vont avec ?
Martin : Il n'y a pas de mots pour dire ça.
Jack : Viens là idiot !
Les deux Hommes se serrèrent d'abord la main puis s'enlacèrent, comme en souvenir de toutes ces années passées ensemble.
C'était, quelque part, une sorte de fin. Mais une fin à quoi ? ...
FLASH-BACK
Jack : Il était convenu entre nous que s'il partait, ce serait définitivement. C'est pourquoi il ne m'a pas dit où il avait trouvé une place. Et personne au FBI ne nous transmettra l'information. Il part, c'est tout.
Les lèvres de Jack se refermèrent doucement, mais les autres se turent. Il n'y avait rien à dire.
Personne ne bougea non plus quand Danny attrappa se veste et quitta le bureau. Personne ne bougea, parce qu'ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'ils pourraient faire s'ils bougeaient.
Danny ouvrit la porte. Il n'était pas essoufflé ; il n'avait pas couru pour venir. Quelque chose l'en avait empêché.
Les valises attendaient, posées derrière le canapé. Partout dans l'appartement, des objets manquaient, des affaires de Martin qui avaient trouvé leur place ici.
La porte de la chambre d'amis coulissa.
Martin : Tu es là.
Son manteau était ouvert, son écharpe mise négligemment, mais il semblait prêt à partir.
Danny : Il y a un peu plus de trois ans maintenant, j'ai vécu un véritable cauchemar. Il n'y avait rien de pire au monde pour moi que de perdre le seul vrai ami que j'ai jamais eu. J'ai ressenti une souffrance qui m'était devenue inconnue depuis longtemps. On a tout envisagé, même si au fond on savait très bien que tu avais été enlevé. Mais on a fait notre travail, et notre travail était de tout envisager. Mais ça... Pas ça.
Martin : Je ne te dirai pas où je vais Danny.
Le coup partit immédiatement. Martin toucha délicatement sa lèvre inférieure, et retira son doigt rougi par le sang.
Il prit ses valises, jeta un regard sur la bar où était posé son trousseau de clés, et sortit de l'appartement sans un mot.
Danny : Martin...
Ne me tuez pas !
Heidi- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 359
Age : 34
Localisation : Probablement là où je me trouve...
Date d'inscription : 01/04/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
ohhhhhh si n vas te tuer si tu mais pas une suite maintena
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 33
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Alors sa... sa va pas du tout:pascontent: ... lorsque je reviens ENFIN, je voie tout plein de suite... mais comment tu peux nous laisser planter là?? C'est inhumain! Je comprend tout à fait Danny, pas Martin, il l'a mérité, il ne peux PAS partir comme sa, comme un voleur
Re: Plus jamais comme avant (PG13)
Je ne suis pas sûre que Martin ait fait le bon choix J'ai bien aimé le coup de Danny et la non-réaction de Martin m'a émue...
J'espère avoir la suite rapidement!
J'espère avoir la suite rapidement!
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 42
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
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