Amis-Amis (complète)

Moi perso c'est les crêpes au chocolat mais bon ...

Danny est décidément dingue de sa chérie , j'espère qu'elle va aller bien ?

jenny a écrit:C'est pas le découpeur quand même

tu sais que tu me donnes des idées la miss comme je sais pas encore quel sort lui réserver
et puisque tout le monde y va de sa 'tite préférence , moi, c Nutella (z'adore ) et parfois confiture de fraise (mais juste celle-là ) voiloù, tout est dit :



- mais bon sang, ouvre les yeux Jack ! C’est pourtant évident ! Cet homme est pourri jusqu’à l’os ! Il fait affaire avec des mafieux, il accepte l’argent sale de tout le monde ! S’énerva Danny, à nouveau.

Parler du chirurgien le mettait dans un état de stress épouvantable. Et puis, il y avait surtout eu cette dispute avec CJ quelques minutes plus tôt, qui n’avait certes pas arrangé les choses. Bien au contraire.

- j’ai saisi. Tu ne l’aimes pas. Mais tu sais très bien que pour le faire venir ici, il va me falloir quelque chose de plus solide contre lui. Ton amie le soupçonne de la tromper mais elle ne l’a pas vu clairement avec une autre fille, ce ne sont que des suppositions pour l’instant.

L’agent Taylor se mit à soupirer. Que pouvait-il répondre à ça ? Son patron avait raison et il le savait bien.

- oui ?

CJ fit son apparition dans le bureau de Jack, un sourire gêné aux lèvres. Elle sentit le regard fixe de Danny se poser sur elle mais se décida à ne pas y prêter attention.

- qu’est-ce qui se passe ?

Elle déposa deux gobelets sur le bureau et adressa un sourire à son patron.

- voilà.
- merci, dit Jack, en portant le gobelet à ses lèvres.
- de rien.

Danny en fit de même mais sans la remercier.
Elle ne s’en formalisa pas. Elle connaissait son fichu caractère. Il était bien trop fier.

- est-ce que je pourrais te voir une minute, Jacky ?
- ça ne peut pas attendre ?
- c’est à propos de l’enquête.
- ok. Laisse-nous Danny, tu veux.
-non ! C’est pas la peine. Il peut rester, dit-elle, en fuyant toujours le regard de son ami.

Ils se trouvaient tous les deux, côte à côte, en face de Jack, pendant que le silence s’installait petit à petit dans la pièce.

- et bien, vas-y.

Se calant bien confortablement dans son siège, Jack mit les bras en croix et la toisa du regard.

- Peter et moi, nous étions au restaurant l’autre soir et …
- CJ, je n’ai pas le temps pour ce genre d’histoire. Vous faites ce que vous voulez en dehors des heures de bureau.
- merci patron. C’est sympa de ta part mais si tu pouvais juste me laisser finir.
- alors viens en au fait, s’il te plaît.
- Peter avait réservé la meilleure table. Il est vraiment adorable. On s’est bien régalé. C’était au « Jim & Pam’s ». D’ailleurs, tu devrais passer y faire un tour un de ces …
- les faits, CJ. Les faits. On s’occupera du menu plus tard.

Danny n’avait pas pipé mot depuis quelques minutes, mais le comportement de la jeune technicienne avait réussi à lui décrocher un petit sourire en coin et la mine bougon de Jack à ce moment-là, l’amusait franchement.

- Christian avait bien une aventure.
- comment tu le sais ? C’était toi la femme mystère ? Plaisanta Danny.

Son ton se voulait moqueur. Il ne pensait pas un mot de ce qu’il laissait entendre.

- non. C’est …

Elle baissa les yeux, peu fière de ce qu’elle s’apprêtait à dire.

- c’est Erica.
- QUOI ?

Danny éleva instantanément la voix, montrant son étonnement et surtout sa contrariété face à cette révélation pour la moins inattendue.

- et c’est maintenant que tu le dis ?
- calme-toi, Danny. Laisse-la s’expliquer.
- mais je t’en prie, dit-il, ironiquement.

La mâchoire crispée, il encouragea la jeune technicienne à se confier d’un geste brusque de la main mais cette dernière ne broncha pas.

- ALORS ? On t’écoute, je te signale ! Insista Danny.

Elle ne prononça toujours aucun mot, se contentant de fixer Jack, l’air gêné. Ce dernier saisit finalement le message.

- je vois.

Il libéra son siège et se dirigea vers la porte.

- c’est mon bureau …mais vas-y, je te le laisse.

Il sortit sans plus attendre devant le regard ahuri de Danny qui avait encore peine à croire que son patron avait cédé aussi facilement les lieux à la jeune femme.

- ça fait combien de temps ?

Il la fusillait du regard. Si ses yeux avaient pu lancer des flammes, elle serait déjà brûlée au troisième degré.

- que ça dure entre eux ou que je suis au courant ?
- pourquoi ? Ça fait une différence ?

Son ton se voulait froid et agressif.

- d’un jour, seulement, sourit-elle, gênée. Ça a commencé dans les WC chez « Joe’s » et Rice est venue m’en parler directement chez moi, le lendemain en fin d’après-midi. Elle ne sait vraiment pas tenir sa langue, celle-là.
- oui, contrairement à certaines personnes.

L’allusion à sa petite cachotterie était à peine voilée.

- je n’en reviens toujours pas.

Il se passa une main sur le visage avant de lever les yeux au ciel.

- tu sais, tu as vraiment un sacré culot, ma vieille ! Il n’y a pas cinq minutes, tu m’accuses de ne rien t’avoir dit à propos de Frances et toi, qu’est-ce que tu fais ?
- et bien, comme ça, on est quittes !

Elle esquissa un léger sourire pour détendre l’atmosphère mais il n’eut pas l’effet escompté.

- non. Ça n’a strictement rien à voir. Ne compare pas ce qui n’est pas comparable ! Ce que tu as fait, c’est trois fois pire !

Il pointa un doigt accusateur en sa direction.

- un mensonge, reste un mensonge … mon vieux ! Tu ne vas pas commencer à les hiérarchiser maintenant !
- je vais me gêner, tiens ! Parce que tu as certainement dû oublier que le tien me concernait directement ! Tu savais très bien ce que je ressentais pour elle ! Tu le savais très bien et tu as choisi de me le cacher délibérément !

Elle fronça les sourcils, interpellée par le fait qu’il emploie le passé concernant ses sentiments pour la jeune femme.

- je suis ton amie, Danny.

Le jeune homme se mit à soupirer, l’air dédaigneux.

- oh ! Vas-y ! Tu peux te moquer mais c’est la vérité ! Et si je t’ai menti, c’était avant tout pour te protéger ! Cette femme t’a déjà bien assez fait souffrir comme ça !
- ne te sers pas de Fran pour excuser tes actes, je t’en prie !
- ce n’est pas ce que je fais ! J’ai pris une décision et si c’était à refaire, je prendrai exactement la même ! Cette greluche continue à te faire tourner en bourrique et toi, on dirait que ça te plaît !
- ne l’appelle pas comme ça.

Elle le toisa du regard, silencieuse. Elle ne l’avait jamais vu aussi en colère.
Son regard était des plus méchants jusqu’à ce qu’il lui adresse un sourire victorieux, comme s’il était sûr d’avoir gagné la partie.

- tu avais raison.
- vraiment ?
- oui, tu l’as dit toi-même, CJ. Je suis un grand garçon. Je fais ce que bon me semble. Je décide de mes propres choix. Et justement, je viens de décider à l’instant que je n’ai pas besoin de ta protection. Surtout pas de la tienne. Je n’en veux pas. Et je ne veux pas de ton amitié non plus. A vrai dire, je ne veux plus rien à voir à faire avec toi.

Il parlait calmement, avec le plus grand des détachements. Il ne semblait plus en colère. C’était bien pire. Il était déçu.

- attends, laisse-moi juste …

Il ignorait à quel point, ses propos l’avaient blessée. Sa voix était tremblante. Elle avait peur que cette cassure entre eux ne soit définitive. Elle le connaissait bien. Danny Taylor n’était pas du genre à faire marche arrière, une fois qu’il avait pris une décision.

- non, ne dis rien. J’en ai assez entendu comme ça.

Sa gorge se serra. Elle allait le perdre. Pour de bon, cette fois.

- prie seulement pour qu’il ne soit rien arrivé à Frances et qu’on la retrouve saine et sauve, sinon je te jure que tu le regretteras.

Elle n’en revenait pas. La noirceur de son regard et maintenant, des menaces. Jamais il ne s’était adressé à elle sur un ton aussi méprisant. Jamais.

- alors, c’est ça. Tu menaces tes amis, maintenant ?
- des amis ? Où ça ?

Il balaya du regard le bureau de Jack avant de poser le sien sur CJ.

- je n’en vois aucun. En tout cas, pas ici.

Il avança tout droit vers la porte. Sa main était maintenant posée sur la clenche.

- Dan … attends … ne fais pas ça. Je t’en supplie.

Elle lui agrippa le bras et il se recula aussitôt en lui adressant un regard assassin.

- ne m’appelle pas comme ça. En fait, ne m’appelle plus du tout.

Son regard était décidé. Son choix, définitif.
Elle entendit la porte du bureau se refermer derrière elle et ne pouvant retenir ses larmes plus longtemps, elle s’effondra.

alors moi tout apreil pas de nutella pas de crèpes...bon un peu avec du sucre !!!

bon je fais court car je savais déjà ....

t'es pas gentille de les faire se disputer de cette manière !!! et le danny mais qu'est ce qui lui prend de lui dire cela !!! oh quel caractère ....
ah non ils sont tellement fait pour d'entendre !!!


bon sinon j'espère que Frances est pas entre de mauvaise main...j'avoue que si elle meurt et que Danny arrive àmettre je ne sais pas comment CJ dans son lit ( ) je ne serais pas contre !!! ok j'ai rien dit mais Peter il me fait moins d'effet alors !!! une chuppa de Danny se fait attendre quoi !!!!

Ben voilà, tu vas avoir droit à parceque Danny il est burnant à se comporter comme un gamin !

Ca fait mal ce qu'il à dit à la miss, moi je crois que j'aurais fondu en larmes direct si mon meilleur pote me disait ça !

Bon y a quand même quelque trucs drôles :

- un mensonge, reste un mensonge … mon vieux ! Tu ne vas pas commencer à les hiérarchiser maintenant !

- Peter avait réservé la meilleure table. Il est vraiment adorable. On s’est bien régalé. C’était au « Jim & Pam’s ». D’ailleurs, tu devrais passer y faire un tour un de ces …
- les faits, CJ. Les faits. On s’occupera du menu plus tard.

sacré Jacko !

Mais ça pèse pas lourd face à la michanceté du père Taylor !

oui, tu l’as dit toi-même, CJ. Je suis un grand garçon. Je fais ce que bon me semble. Je décide de mes propres choix. Et justement, je viens de décider à l’instant que je n’ai pas besoin de ta protection. Surtout pas de la tienne. Je n’en veux pas. Et je ne veux pas de ton amitié non plus. A vrai dire, je ne veux plus rien à voir à faire avec toi.

po gentil !

- prie seulement pour qu’il ne soit rien arrivé à Frances et qu’on la retrouve saine et sauve, sinon je te jure que tu le regretteras.

Tain qu'est-ce qu'il va lui arriver à CJ pour qu'il se la range sa fierté là ?
J'te donne des idées en passant ...

jenny a écrit:
C'est pas le découpeur quand même
tu sais que tu me donnes des idées la miss

Héhéhé bah vas-y découpe ! De toute façon jilem plus elle parceque c'est à cause d'elle que Danny et CJ se budent !

PS : J'ai fais des crêpes ce soir ! Comme ça doudou en aura demain matin avant d'entamer sa 1ere journée de Ramadan !

Ca y est la mon coeur est en mille et un morceaux

Peter avait réservé la meilleure table. Il est vraiment adorable. On s’est bien régalé. C’était au « Jim & Pam’s ». D’ailleurs, tu devrais passer y faire un tour un de ces …
- les faits, CJ. Les faits. On s’occupera du menu plus tard.

je l'aime cette fille c'est vraiment le clone d'Abby

oui, tu l’as dit toi-même, CJ. Je suis un grand garçon. Je fais ce que bon me semble. Je décide de mes propres choix. Et justement, je viens de décider à l’instant que je n’ai pas besoin de ta protection. Surtout pas de la tienne. Je n’en veux pas. Et je ne veux pas de ton amitié non plus. A vrai dire, je ne veux plus rien à voir à faire avec toi

He, je peux crier plus fort que lui MOI

Il ne parle pas comme ça à CJ OK, non mais, il lui a caché des choses graves lui aussi!!!!!!!!!!...et puis mince c'est son amieNON!!!!!!!! Grrrrrrrr, qu'il mette son orgueil mal placé dans sa poche non, mais!!!

Elle entendit la porte du bureau se refermer derrière elle et ne pouvant retenir ses larmes plus longtemps, elle s’effondra.

Tiens regardes...la pauvre tite, elle me fend le coeur

Bon tu nous arranges tout ça, hein?

Pauv'Fran vous z'êtes toutes contre elle
petit flashback :



- ENLEVE TA MAIN DE MA RAIE ! SALE OBSEDE !

Danny sortit brusquement de son appartement, ayant reconnu instantanément la voix criarde de sa plantureuse voisine. Elle referma immédiatement sa porte, visiblement très en colère et laissa seul sur le palier « l’obsédé » en question.

- pétez un coup, Taylor. Vous êtes tout pâle !
- qu’est-ce que vous fichez ici ?

Le jeune agent fusillait son « invité » du regard et vit ce dernier entrer chez lui sans la moindre gêne.

- mais je vous en prie, Troy. Faites comme chez vous.
- merci, mon vieux.

Le ton du chirurgien plasticien se voulait ironique.

- vous connaissez la raison de ma visite, je suppose.
- vous supposez mal. Je n’en ai pas la moindre idée.
- vous mentez mal. Je la connais par cœur. Je suis sûre qu’elle est ici.
- non. Elle n’est pas là.
- elle est sûrement partie faire du shopping alors.
- non, elle n’est pas à New -York. Je ne l’ai pas vue.
- vraiment ?

Les mains du chirurgien se posèrent sur la grande table du salon pendant que son regard restait fixe sur celle-ci.

- puisque je vous le dis, ajouta Danny.

Christian se mit à soupirer.

- et ça, c’est quoi alors ?

Il tenait en main l’objet en question.

- un verre, sourit fièrement le jeune agent.
- ne faites pas le malin Taylor, il y a une trace de rouge à lèvres dessus. Justement la teinte abricot que porte Frances. A moins que ce soit le vôtre ? Plaisanta-t-il.

L’agent du FBI secoua la tête, l’air agacé.

- ça fait beaucoup de coïncidence, vous ne croyez pas ?

Danny fixait toujours son interlocuteur, sans dire un mot.

- où est-elle ?

Il sourit de plus belle.

- vous pensez avoir gagné la partie, n’est-ce pas ?

Il haussa fièrement les épaules.

- vous savez, Taylor, les nanas se foutent qu’on ait une queue microscopique, les fesses poilues ou des couilles comme deux tomates cerise. Ce qui leur importe c’est que ça fonctionne et qu’on sache s’en servir. Et je doute fort que ce soit votre cas !
- tout marche bien de ce côté là, je vous remercie.
- où est ma femme, Taylor ?
- ce n’est pas votre femme. Elle ne le sera jamais.
- bien sûr qu’elle le sera. Je l’aime et ...
- moi aussi.
- la différence, c’est qu’elle m’aime aussi.
- vous êtes bien sûr de vous.
- elle m’a déjà pardonné deux fois mes écarts. Et vous connaissez le proverbe, jamais deux sans trois.
- alors vous avouez. Il y a bien une autre femme.
- ça ne changerait rien pour vous, même si je disais oui. Vous ne prendrez pas le risque de tout lui répéter parce que dans tous les cas, vous êtes perdant.

Danny fronça les sourcils, impatient d’entendre ses explications.

- soit elle ne vous prend pas au sérieux et dans ce cas, c’est toujours le messager qui trinque. Soit elle décide de vous croire, elle se laisse séduire et vous entendrez toujours cette petite voix au fond de vous, se demander ce qui se serait passé si je ne l’avais pas trompée. Ça vous hantera jusqu’à la fin de votre vie, Taylor. Cette peur d’être le second choix. Vous voyez, dans tous les cas, vous êtes coincé.
- je n’aurais pas de regret. Je n’ai pas besoin d’être avec elle. Il me suffit de savoir qu’elle n’est plus avec vous.
- trouvez toutes les excuses que vous voulez. Vous savez qu’elle est trop bien pour vous, vous l’avez toujours su.
- vous ne la méritez pas.
- parlez pour vous !
- vous n’êtes qu’un misérable …

Danny fut coupé dans ses propos lorsque la sonnerie du portable du chirurgien retentit dans la pièce.

One, two, three, four!
Get up, (get on up)
Get up, (get on up)
Stay on the scene, (get on up), like a sex machine, (get on up)

L’agent du FBI lui adressa un regard halluciné.

- c’est en hommage, expliqua Christian, tout sourire.

Sa conversation ne dura pas longtemps, ponctuée seulement par des réponses courtes. Il raccrocha quelques minutes plus tard.

- c’était votre maîtresse ? Ironisa le jeune agent.

Le chirurgien plasticien adressa un sourire victorieux à son « hôte » et quitta les lieux, sans prononcer un mot, sous le regard contrarié de Danny.

TROY N'EST QU'UN GROS BOULET


il mérite des baffes

et nous on mérite une grande suite

Bon je vais me faiore Huer mais il m'a fait rire Troy là

vous savez, Taylor, les nanas se foutent qu’on ait une queue microscopique, les fesses poilues ou des couilles comme deux tomates cerise. Ce qui leur importe c’est que ça fonctionne et qu’on sache s’en servir. Et je doute fort que ce soit votre cas

Du Troy dans toute sa splendeur heu...j'adore les tomates cerises

One, two, three, four!
Get up, (get on up)
Get up, (get on up)
Stay on the scene, (get on up), like a sex machine, (get on up)

La sonnerie qui lui colle à la peau

Bon là je crois que Danny il est fou d'elle tout de même, alors que ces deux hommes là ne s'entendent pas je comprends....Trés beau flash back en tout cas

Encore

Je l'aime bien Christian moi mais c'est vrai qu'il est parfois et puis j'aime pas qu'on embête Danny

Jenny, c'est ramadan ?????? ah je savais pas que c'était maintenant ...

bon sinon

mais qu'est ce que j'aime pas ce bouffon de Troy...excuses moi Tweetie mais il me fait penser à ces mecs sans aucun respect pour les femmes ....bouh et en plus il nargue Danny !!!

quel pas beau celui-là

sinon ta suite m'a beaucoup plus et leur petit pique à tous deux étaient très marrants !!! vite la suite !!

Alala Troy et ses femmes...
Et cette sonnerie et l'excuse qu'il sert avec !

Taylor, les nanas se foutent qu’on ait une queue microscopique, les fesses poilues ou des couilles comme deux tomates cerise.

quel language t'as pas honte ?

Jenny, c'est ramadan ?????? ah je savais pas que c'était maintenant ...

Et si, first day today !


Bon et la suite heuuuu !!!

Je suis juste de retour pour la soirée (pfff à peine inscrite à la fac, ils m'embête déja en me faisant interrompre mes vacances au soleil pour un maudit test d'anglais trois semaines avant la rentrée j'ai soudainement des envies de meurtes)
mais je vais en profites pour rattraper tout mon retard dans ta fic de ce pas! vivivi j'ai trop hâte!

En plus, Tweetie, ce nouveau kit est... ah, j'en ai la bouche sèche Trop Rrrr quoi! Je ne regrette pas l'homme à la serviette

ah, j'en ai la bouche sèche

moi tossi, chui restée bloquée quand je l'ai vu z'en ai mouru
c vraiment la haine pour ton test mé ze t'envoie plein de bonnes ondes

Bon, il est tard demain je suis sensée prouver que je peux parler anglais (je me demande si je leur sort mon spitch haagen dazs si ça peut marcher??? ) donc je me suis arrêtée au passage, ou plutôt au PASSAGE, que j'attendais depuis vingt pages!!!

Bon sang, cette chuppa c'est waowwww... chaleur chaleur! On devrait vraiment mettre des avertissements pour les jeunes lecteurs quand même! Parce que là... tu t'es surpassée!
A ce Peter, il est parfait (un peu trop??? qu'est-ce que tu nous réserve comme mauvaise surprise???)! Et j'adore! A chaque description physique tu ne peux pas t'empêcher de caler un "musclé"! Fesses musclées, torse musclé, bras musclés... Musclé quoi! Raaa Peter... enfin tu sais ce que j'en pense!
Bref, j'ai très chaud là.

Quand à la miss CJ elle me fait rire une peu plus à chaque fois (bon pas le passage sur son popa mais ça c'est normal... ). Elle est vraiment déjantée mais heureusement qu'elle s'est mise à hurler sinon on aurait jamais eu notre chuppa!

En tout cas, juste une chose



et aussi



et encore



Je lirais tout ce qui me reste de retard à mon retour lundi soir promis! Même si j'ai encore du sable entre les doigts de pieds!

j'adore ton comm' la miss et contente que t'aies kiffé ce passage
c vrai que j'ai dû mettre musclé à chaque ligne mais c la vérité vraie



merci merci merci pour ton super comm'
et un grand MER2 pour ton test demain

PS :

J'ai rattraper tout mon retard et franchement je suis toujours aussi fan de se côté la!!!!

Alors bien sur la suite!!! Par contre le coups la dans le bureau de Jack!!

tweetie je crois que je vais jamais me lasser de tes smileys ....

Et moi faut la suite !
T'as pas des smiles Kieferesque par hasard ? Bah oui pkoi que y aurait que Tiantian et Milo qu'en aurait ?

Yesssssssssssss gitem coupine !
M'en vas le mettre direct !
J't'ai piqué l'autre aussi "dans ta gueule " !

Encore !

Help chui accro à ces panneaux


- alors, tout s’est bien passé ?

Piqué dans sa curiosité, Peter porta son gobelet à ses lèvres, attendant impatiemment la réponse de Martin qui venait de le rejoindre à la grande table de l’open space. CJ se trouvait à ses côtés, visiblement perdue dans ses pensées.

- très bien. Le bébé est en bonne santé.

Presque 72 heures que Frances Morales était introuvable. Les bonnes nouvelles se faisaient bien trop rares ces temps-ci dans l’équipe alors ils en profitaient dès que l’occasion se présentait.

- mais c’est une super nouvelle, dis-moi !

L’agent Mariano tapa amicalement sur l’épaule de son ami, tout sourire. Son regard était pétillant. Il semblait fou de joie. Ses collègues ne l’avaient jamais vu aussi épanoui que durant ces dernières semaines. Sa future paternité l’avait complètement transformé et il tenait à partager son bonheur avec chacun d’entre eux.

- vous connaissez le sexe alors ?
- on aurait pu mais avec Sam, on préfère garder la surprise.
- j’espère que vous avez déjà réfléchi à un prénom, au moins. En tout cas, je te le conseille vivement. Je me rappelle qu’avec Sonya, on s’était bien creusés les méninges sans aucun résultat. Et puis, finalement, la chance nous a souri. La sage femme s’appelait Pauleen.

Un sourire radieux s’afficha sur le visage de Peter, en souvenir du bon vieux temps. Les années étaient passées si vite. Il n’avait pas vu sa fille grandir. Bien sûr, elle restait toujours sa petite princesse à lui mais il était quelque fois nostalgique de ses toutes premières années. De toutes ses premières fois, comme son premier mot, ses premiers pas et aussi la première fois qu’il l’avait prise avec précaution dans ses bras et qu’avec sa minuscule petite main, elle avait serré son « énorme » doigt. Un moment … magique.

- oui, c’est déjà décidé. Ce sera Marvin pour un garçon et Ginger si c’est une fille.
- et pourquoi pas Merlin tant que vous y êtes ! Ironisa-t-il.
- mmmh. C’est pas mal.
- tu plaisantes là, j’espère !

Martin esquissa un léger sourire, imité par son collègue.

- et toi, qu’est-ce que tu en penses ?
- ….
- CJ ? Insista Peter.

La jeune femme semblait ailleurs. Elle avait beaucoup de mal à gérer la situation actuelle. Danny s’était éloigné d’elle du jour au lendemain et avait balayé leur profonde amitié d’un revers de la main. Elle avait beau se contenir et faire comme si cela ne la touchait pas mais c’était tout le contraire. Elle éprouvait cette frustration teintée de tristesse dès qu’elle se retrouvait en face de lui. Voir ce qu’il restait aujourd’hui de leur belle complicité, la déprimait tous les jours, un peu plus.

- mmmh. Tu disais ?

Elle tourna la tête brusquement vers son compagnon.

- est-ce que ça va ?
- oui, pourquoi ?
- je ne sais pas, tu …
- ça fait cinq minutes que je suis là et tu n’as toujours pas ouvert la bouche.
- c’est sympa de ta part, mon p’tit Marty. Dis tout de suite que d’habitude, je t’ennuie avec mes histoires.

Le ton employé par la jeune femme se voulait léger. L’agent Fitzgerald haussa les épaules, pesant le pour et le contre.

- et bien, à dire vrai, oui, sourit-il.
- merci.

Elle prit une mine boudeuse.

- pas moi.

Peter prit la main de sa compagne afin de la caresser délicatement avec son pouce.

- j’adore entendre toutes tes petites histoires …trésor.

Sa bouche venait de se faufiler dans le creux de l’oreille de CJ, qui sentait le rouge lui grimper aux joues. Décidément, cette voix rauque la rendait toute chose. Ne se formalisant pas de la présence de Martin, elle posa sans tarder ses lèvres sur celles de son amoureux qui approfondit leur baiser de plus belle.

- vous savez, il y a des hôtels pour ça, plaisanta le futur papa.

Le couple brisa instantanément son étreinte après cette remarque. Tous les deux affichaient une mine amusée.

- tu peux parler, toi.

Martin fronça les sourcils, ne voyant pas à quel événement la jeune technicienne faisait référence.

- vous ne vous gêniez pas toi et Sam alors maintenant, c’est mon tour !

Le sourire aux lèvres, elle continuait à jouer avec les cheveux de son homme avant de lui voler un autre baiser.

- je pensais à Ella, moi, proposa-t-elle, ensuite.
- c’est une blague ?

Martin avait les yeux écarquillés, synonyme de sa surprise.

- mais si, réfléchis ! On pensait qu’il n’y avait qu’une seule Ella Fitzgerald au monde et grâce à toi et Sam, le mythe va revivre ! Si c’est pas génial, ça ! Plaisanta la jeune technicienne.
- qu’est-ce qui est génial ? Demanda Danny.

Il fit une arrivée en trombe autour de la grande table de l’open space. Le sourire de CJ se crispa immédiatement. Elle essayait de se comporter le plus naturellement du monde en sa présence. Comme avant. Seulement, tout avait changé entre eux. Tout.

- CJ propose Ella pour le nom du bébé ! S’exclama Martin.
- mouais. J’ai jamais aimé ce prénom.

Le ton de Danny se voulait ferme. Il n’adressa aucun regard à la jeune technicienne, se contentant de fixer son ami.

- c’était de l’humour. En référence à la chanteuse, précisa Peter, circonspect face à la réaction de son collègue.

Il avait remarqué la tension qui existait ces derniers jours entre lui et CJ et avait pensé que l’affaire allait se régler d’elle-même. Mais l’attitude de Danny le persuadait chaque jour un peu plus du contraire.

- alors tout est prêt ? On peut y aller ?

La voix de Jack raisonna dans la pièce. Ce dernier tenait en main une grande valise.

- affirmatif ! Répondit Danny. Je me charge de mettre les affaires dans le coffre.
- parfait !
- vous savez, je me posais la question. Est-ce que vous y allez vraiment pour enquêter sur les magouilles de Troy ou c’est pour agrandir votre collection de fringues ?

Le ton de Peter se voulait ouvertement moqueur. Mais vu la taille de leurs sacs, c’est vrai, qu’on aurait pu penser qu’ils embarquaient tous les deux pour une croisière.

- fais gaffe, Mariano, si tu n’es pas gentil, il n’y aura pas de souvenirs pour toi à mon retour ! Rétorqua Danny, malicieux.
- c’est toujours les mêmes qui partent de toute façon, ronchonna Martin. Déjà le Mexique et maintenant, c’est Miami.
- tu parles espagnol, gringo ?
- et bien, c’est vrai que j’ai un peu perdu de ce côté là mais …
- un peu ? C’est un euphémisme ! S’exclama le jeune latino. Et puis, qui va s’occuper de la future maman si papa s’en va draguer les jolies filles sur la plage, hein ?

Ne sachant plus quoi répondre, Martin serra chaleureusement la main de Danny, suivi de peu par Peter.

- CJ.

Son patron la toisait du regard avant de la saluer d’un petit geste de la tête.

- au revoir, Jacky, sourit-elle.

Elle se mordilla la lèvre. Elle vit Danny s’avancer de quelques pas vers elle. Il se tenait maintenant à sa hauteur mais il ne s’arrêta pas, passant son chemin en toute tranquillité. Il l’ignorait complètement. Elle n’avait même pas eu droit à un regard de sa part. Elle souffla un bon coup. Ses yeux commençaient à la piquer.

- Danny, attends ! Cria Jack.

Le jeune homme se retourna, les yeux écarquillés.

- CJ va t’aider pour les valises.

Surpris de sa requête, le jeune agent se mit à rire.

- ça va aller. Je vais m’en sortir.
- ce n’était pas une suggestion.

La mine boudeuse, il se mit à soupirer avant de reposer un des sacs au sol. CJ le prit bien volontiers et suivit son « ami » jusque devant l’ascenseur.

- punaise, c’est vachement lourd ! T’emmènes toute ta collection de « Play-boy » ou quoi ?

Sa plaisanterie n’eut pas l’effet escompté. Il semblait encore plus sur les nerfs.

- donne !

Il lui arracha le sac des mains avant de le laisser tomber sur le sol de l’ascenseur.

- WOW ! Quelle veinarde, je suis ! Un mot en trois jours ! On progresse ! A cette allure, tu m’auras faite une phrase complète dans un mois !

Elle sentait la colère monter en elle petit à petit. Au bout de trois jours, cette indifférence à son égard commençait à lui peser sérieusement.

- mais merde, Dan ! C’est pourtant pas si compliqué ! Tu n’as qu’à dire « Je te pardonne, CJ » et c’est bon, tout est réglé ! Basta ! On en parle plus !

Elle se frotta les mains, mêlant ainsi le geste à la parole, mais le jeune agent ne lui prêtait toujours pas la moindre attention.

- Enfin, si ! Justement, faut qu’on en parle et reparle et reparle !

Aucune réponse de sa part. Aucun regard. Il se contentait de charger les sacs dans l’ascenseur. Ni plus, ni moins.

- votre attention à tous ! Je vous présente Danny Taylor, deux ans et demi qui apprend à parler. Allez Danny, on répète après moi ! « Je » « te » « pardo … hey ! Mais arrête heu ! Tu me fais mal là !

Il lâcha immédiatement son bras.

- alors, c’est ça ? Tout ça n’est qu’un vulgaire jeu pour toi ? Une simple farce ! S’énerva-t-il, soudainement.

Son regard était noir, elle comprenait maintenant pourquoi les suspects pouvaient être intimidés face à lui durant leur interrogatoire.

- non ! Pas du tout ! C’en est même très loin ! Regarde-moi, est-ce que j’ai l’air de plaisanter là ?

Elle plissa les yeux et se donna volontairement un air sérieux et méchant qui manqua de le faire sourire.

- c’était plutôt une tentative totalement désespérée de ma part ! Un peu celle de la dernière chance, tu vois.
- je t’en prie, CJ, soupira-t-il. N’exagère pas.
- j’exagère si ça me chante, d’abord ! Et puis, tu sais combien de temps tu ne m’as pas adressé la parole, Dan ?

Il leva les yeux au ciel, l’air agacé.

- 69 heures 15 minutes et 49 secondes …

Elle ne quittait plus des yeux le cadran de sa montre.

- …50...51...cinquan…
- arrête, bon sang !
- ok. Désolée.
- et arrêtes de t’excuser aussi !
- hors de question. Je le ferai jusqu’à ce que tout redevienne comme avant entre nous. Tu penses que je ne suis plus digne d’être ton amie, c’est ça ? Que je …
- je n’ai pas envie d’en parler, la coupa-t-il, sèchement.
- moi si ! Je veux savoir !
- laisse-tomber.
- non, je ne laisserai pas tomber. Justement.

Elle baissa d’un ton. Elle sentait l’émotion la gagner. Elle avait de plus en plus de mal à se cacher derrière les sarcasmes et l’humour.

- j’espère que vous la retrouvez saine et sauve. Et non, je t’arrête tout de suite ! Ce n’est pas parce que d’après toi, je le « regretterai » s’il lui arrive malheur, mais parce que je sais très bien à quel point tu tiens à elle. Et malgré tout ce que tu penses, je n’ai pas envie de te voir souffrir, Dan. C’est la dernière chose au monde que je souhaite.

Il la toisa du regard, en silence. Il semblait touché par ses propos. Du moins, elle l’espérait.

- ça me manque de ne plus t’appeler en pleine nuit pour tout te dire sur l’émission que je regarde, te raconter ma dernière chasse à la mouche ou bien…
- pfff t’as jamais réussi à en tuer une.

Son ton se voulait gentiment moqueur. Un sourire. Sur son visage. Qui lui était adressé. A elle. Elle n’en croyait pas ses yeux.

- c’est vrai. Tu me connais trop bien.
- c’est ce que je pensais, oui.

Et revoilà le Danny de ces trois derniers jours : froid et blessant, par dessus le marché.

- CJ ?
- Jacky !

Elle masqua sa contrariété par un beau sourire alors que son esprit ne cessait d’insulter cet « intrus » qui pointait le bout de son nez au « meilleur » moment.

- Jack, je t’attends dans la voiture.

Danny ne manqua pas l’occasion pour se dérober sans un regard de plus envers CJ. Les portes se refermèrent derrière lui et elle laissa s’échapper un soupir de frustration.

- il est buté, hein ?

Le ton de Jack se voulait doux.

- oui, une vraie tête de mule.
- ne t’inquiète pas. Il reviendra.
- comment tu peux en être si sûr ?
- mmmh. Une intuition.
- si c’est le grand sage, qui le dit ! S’exclama-t-elle, amusée.

Elle s’éloigna de quelques pas pendant que Jack pénétra dans l’ascenseur.

- merci Jacky ! Cria-t-elle.

Il lui adressa un sourire en coin et s’en alla rejoindre Danny sur le parking.

- qu’est-ce que c’était ?
- quoi ? Le coffre est mal rangé, c’est ça ?
- non, toi et CJ, tout à l’heure.

Danny se mit à soupirer.

- la réponse est dans la question, Jack. C’est entre CJ et moi.
- c’est encore pour cette histoire de maîtresse ?

Il opina légèrement du chef.

- tu veux un conseil ?
- pourquoi ? Est-ce que j’ai le choix ?

Jack esquissa un léger sourire, imité par Danny.

- cette situation ne fait que vous miner tous les deux et …
- je vais très bien. Je t’assure.
- non, tu es dans un sal état. Autant qu’elle. Alors oubliez toute cette histoire et allez de l’avant.
- ce n’est pas aussi simple. Il ne suffit pas d’un claquement de doigt pour tout effacer !
- je comprends que tu sois déçu. Ça ne fait jamais plaisir d’avoir été trahi. Surtout par la personne dont on s’y attend le moins.
- je n’aurais jamais imaginé ça. Jamais. Je veux dire, de sa part à elle. Parce que justement, c’est elle, tu vois.

Jack ne put réprimer un sourire.

- quoi ?
- est-ce que je peux être franc ?
- pourquoi ? est-ce qu’il y a une fois où le grand Jack Malone ne l’a pas été ? Plaisanta-t-il.
- je crois que tu l’as mise sur un tel piédestal que la chute en est que plus dure. Mais CJ est comme tout le monde, Danny. Elle est humaine et fait des erreurs. Et puis, elle essaie de les réparer. Tout simplement.
- oui, en tentant de me faire répéter que je ne lui en veux plus. Elle pense qu'il suffit que je le dise pour que ça marche vraiment.
- c’est CJ.
- c’est vrai. Chacun ses méthodes, ironisa-t-il.

Le sourire aux lèvres, il mit ensuite la clé dans le contact, direction l’aéroport. Leur avion en partance pour Miami les attendait.

Ahhh j'ai capté tu les fais toi même c'est ça ?
Alors j'en veux un gros avec écrit : Jenny + Kiki = RRRRR !


Bon ben sinon cette suite m'a un peu plus déprimée !
Elle est bien trop bonne cette CJ parceque ce serait moi, fière comme je suis, j'irais pas le supplier comme ça !

Nan mais quelle bourrique ce mec !

Elle vit Danny s’avancer de quelques pas vers elle. Il se tenait maintenant à sa hauteur mais il ne s’arrêta pas, passant son chemin en toute tranquillité. Il l’ignorait complètement. Elle n’avait même pas eu droit à un regard de sa part. Elle souffla un bon coup. Ses yeux commençaient à la piquer.

ouch ça fait mal !

Elle plissa les yeux et se donna volontairement un air sérieux et méchant qui manqua de le faire sourire.

Ca m'a fait penser à Willow dans Buffy quand elle fait ça !

- …50...51...cinquan…
- arrête, bon sang !
- ok. Désolée.
- et arrêtes de t’excuser aussi !

Peut être que la voix de la sagesse l'emportera !

Et pour Ella t'as pas le droit, c'est mon bébé à Chloé ça !
Nan je rigole, c'est pas mal joué le truc d'Ella Fitzgerald !

Encore !

Comme Jenny je pense que Danny ne mérite pas une amitié pareille là Tiens voilà c'est gagné je suis énervée

On pensait qu’il n’y avait qu’une seule Ella Fitzgerald au monde et grâce à toi et Sam, le mythe va revivre ! Si c’est pas génial, ça ! Plaisanta la jeune technicienne

April in Paris trop forte cette CJ, je l'adore

WOW ! Quelle veinarde, je suis ! Un mot en trois jours ! On progresse ! A cette allure, tu m’auras faite une phrase complète dans un mois !

ça c'est vrai!!!!

Cette conversation entre Danny et Cj était encore une fois une perle, bon ok là ils n'étaient pas trop ami-ami, mais tout de même, j'adore ces moments là

Et Jacky, il sait tout et comprends tout lu, c'est pour ça que c'est le boss aussi

En espérent qu'ils trouvent des indices à Miami surtout

Encore

je vais faire la faignasse, j'adore ta fic, j'ai kiffé cette suite et je veux la suite !!!

Théana a écrit:je vais faire la faignasse, j'adore ta fic, j'ai kiffé cette suite et je veux la suite !!!

+1

J'aime trop quand tu fais la feignasse!!! Moi je la fais tout le temps!!