NYPD Blue

Attention F3 a changé la case horaire de NYPD Blue (la chaîne diffuse actuellement la saison 9, après avoir diffusé la 10 et sans avoir diffusé les 6 premières saisons de cette somptueuse série qui pourtant est feuilletonnante. Mais bon, faut pas chercher la logique chez F3, ni même chez F2).

Donc je disais, la saison 9 est en cours de diffusion sur F3, non plus le vendredi soir, mais le lundi soir à partir de 23h30 (deux épisodes). Le magnéto est prêt.


Cast saisons 9 et 10

Les saisons 1 et 2 sont dispos en DVD. Vivement la 3ème !

Ah ben je comprends mieux maintenant pourquoi je comprenais rien à la diffusion.
J'ai regardé un moment la série , alors ça devait etre lors de la diffusion de la saison 10, puis tout d'un coup il y a des personnages qui partent , alors je me dis que ça doit etre la fin de la saison et qu'ils vont diffuser la suivante. Puis j'ai loupé quelques épisodes et j'ai de nouveau regardé il m'a semblé qu'ils diffusaient des anciens épisodes mais les persos n'étaient pas les meme que dans les épisodes que j'avais déjà vus. Et surtout il y avait plus Mark-Paul Gosselaar! .
Donc, complètement paumée, j'ai arreté de regarder.

Maintenant j'ai compris grace à toi que: FRANCE3=TF1=
Je vais épargner F2 car à coté de ces 2 là, France est encore la chaine la plus logique.

Super pratique pour suivre une série.

Pour s'y retrouver, les partenaires d'Andy Sipowicz, sont dans l'ordre :

John Kelly (David Caruso - saison 1, début de la saison 2)
Bobby Simone (Jimmy Smits - saison 2, début de la saison 6)
Danny Sorenson (Rick Schroder - saison 6 à 8.)
John Clark Jr (Mark-Paul Gosselaar - saison 9 à 11)

Je ne connais pas bien cette série et jai du mal a m'y accrocher...

Samgriss a écrit:Ah ben je comprends mieux maintenant pourquoi je comprenais rien à la diffusion.

Programme du lundi 12 décembre :
épisode 1 --> dernier épisode de la saison 9
épisode 2 --> premier épisode de la saison 12

Avec les commentaires sur le site de téléstar : Attention au grand écart : France 3 ayant d'abord diffusé les saisons 10 à 11, puis 7 à 9, nous voilà au début de la 12e et toute dernière saison de la série. La distribution n'est donc pas la même... et la voix d'Andy Sipowicz a changé !

Je rappelle que NYPD Blue est une série feuilletonnante : les épisodes se suivent... Merci F3.

Non mais c'est grave comme ils sont c.. !!! Ils doivent piocher les épisodes au hasard dans un carton ou alors encore mieux, ils mettent le nom de chaque épisode dans une urne et ils en tirent 2 chaque semaine

J'apprécie le commentaire de téléstar, s'ils mettaient plus d'avis négatif sur les programmations, ça pourrait peut etre les faire réfléchir
A condition, bien sur, qu'ils aient tiré au sort "matière grise pour le directeur des programmes" ce jour là

Donc je suppose qu'aprés la saison 12, ils vont peut etre nous passer la saison 1 et on saura comment tout a commencé !!!!
pfffffffff

charly a écrit:Je ne connais pas bien cette série et jai du mal a m'y accrocher...

«NYPD Blue», série-mère d'un label déposé
Karin Tshidimba

Mis en ligne le 09/12/2005
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France 3 entame ce lundi la diffusion de la dernière saison de «NYPD Blue» (23h10).
Une série au label déposé dont l'influence se mesure de part et d'autre de l'Atlantique.


Le 262e et dernier épisode de la série policière américaine «NYPD Blue» a été diffusé le 1er mars dernier sur le réseau ABC dans la même case horaire que le tout premier épisode, 12 ans plus tôt. Une rarissime stabilité qui récompense la fidélité de son auditoire (16 millions de téléspectateurs au rendez-vous ce soir-là), autant que les 20 Emmy obtenus (sur 80 nominations) par l'équipe de Steven Bochco.

Respectable et respectée bien au-delà de l'Atlantique, «NYPD Blue» fut d'abord la série qui brisait toutes les conventions. Alcoolisme, violence, racisme, homophobie: aucun maux ne semblait étranger à son acteur principal, le détective Andy Sipowicz, fils d'émigrants polonais, vétéran tourmenté par ses souvenirs du Vietnam. Devant l'audace de certains scénarios, quelques chaînes américaines sont allées jusqu'à refuser sa diffusion. Mais grâce à la résistance de leurs fans, les «hommes en bleu» du 15e district ont continué à «tracer leur route» et à donner vie à un pilier de la télévision US, souvent imité, rarement égalé.

Steven Bochco en reste d'ailleurs persuadé: «La série que nous avions proposée au début des années 90 serait refusée aujourd'hui...» Car si on constate quelques avancées du réalisme en matière de séries télé, c'est le plus souvent le fait de chaînes du câble (HBO, etc.) que des grands réseaux. Nullement découragé par les diktats «conservateurs», Steven Bochco préside désormais à la destinée d'«Over There», série qui suit un groupe de «guys» déployés en Irak (à voir prochainement sur Be tv) mais ne délaisse pas le terrain policier - qu'il arpente depuis l'époque d'«Hill street Blue» (1981) - avec «Blind justice» mettant en scène un policier devenu aveugle dans l'exercice de ses fonctions.

Impressionnante cohérence

À l'heure d'aborder cette douzième et ultime saison, le téléspectateur n'a à redouter aucune déception. «Ni coup de théâtre, ni retrouvailles pleurnichardes, ni tragédie de dernière minute» avait promis Steven Bochco lors de la conférence de presse d'adieu. Juste l'intranquille quotidien de Sipowicz et ses collègues de la 15e brigade de Manhattan. «Au poste 15, la vie continuera. Nous ne serons plus là pour en témoigner, c'est tout», résumait Bochco en conférence de presse.

Là où d'autres scénaristes multiplient les coups du sort et les invraisemblances pour pimenter un scénario ou pour permettre à certains acteurs de s'en extraire, Steven Bochco a, lui, maintenu la cohésion de l'ensemble depuis l'origine, prêtant une attention égale à la vie privée de ses acteurs - évoluant et mûrissant au fil des mariages, naissances, décès, etc. - qu'à leurs tourments professionnels.

A propos du succès de cette série fondatrice, Martin Winckler, spécialiste français des séries, a écrit ceci: «Le «secret» de cette réussite est, au fond, tout simple. Les séries américaines de grande qualité sont toutes à l'image de la série classique «Mission: Impossible» : un travail d'équipe autour d'une tête pensante, mais où chaque personne et chaque geste compte (il n'y a pas de petit rôle, pas de petite fonction) pour obtenir un résultat aussi proche que possible de la perfection, en accord avec le scénario/le complot tel qu'il a été rédigé. Tout ceci est également valable pour les séries anglaises, et remonte à une tradition du théâtre de Shakespeare. Le spectacle, c'est beaucoup de travail, beaucoup d'humilité, beaucoup de travail, beaucoup de solidarité, beaucoup de travail, et beaucoup de respect pour le travail des autres et pour le public.»

Malgré les années, la criminalité n'a pas baissé dans les rues de New-York, en témoignent les affaires traitées en tout début de cette dernière saison: meurtre, viol, etc. Un quotidien qui ne veut ni minimiser ni enjoliver les choses, mais simplement se montrer proche du réel sans coup de force et sans invraisemblance. Ni cellule antiterroriste, ni brigade d'assaut, juste le quotidien d'hommes et de femmes terriblement humains.

http://www.lalibre.be/article.phtml?id=5&subid=86&art_id=256082

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ÉTALON

Tous fils et filles d'Andy

Mis en ligne le 09/12/2005
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Même repoussée aux frontières de la nuit - à 23h10, le mirage du «prime time» est bien loin -, nul ne peut contester à «NYPD Blue» son statut de série-mère.

Tout d'abord, il y a l'audience: «NYPD Blue» passionne envers et contre tout quelque 880000 téléspectateurs français (13,1pc de part d'audience) s'accrochant au destin chahuté et controversé d'Andy Sipowicz. Soit une part de marché appréciable à cette heure tardive...

Ensuite, il y a le style visuel et scénaristique mondialement copié: aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et même en France, on ne compte plus les séries qui se sont inspirées de son univers. Même la pâlissante «PJ» française (France 2) s'est réclamée de cette lignée, allant jusqu'à (tenter de) copier les mouvements de caméra sur la ville et les intrigues privées des uns et des autres. Mais la ressemblance s'arrête là, car la force de «NYPD Blue» est d'avoir basé sa trame sur la vie d'un anti-héros bedonnant, irascible, chauve et cynique en phase de rédemption, là où les acteurs français restent invariablement «proprets». Sans Andy Sipowicz (l'acteur Dennis Franz, seul rescapé de l'équipe des débuts), la télévision américaine n'aurait sans doute jamais osé des séries comme «The shield» (mettant en scène des flics-truands), «Oz» (série musclée sur l'univers carcéral) et même «Les Experts» ou «FBI: portés disparus» abordant des trames très sombres. Un choix aux antipodes de ce qui se faisait dans les années 80, qui est celui de quatre séries sur cinq aujourd'hui. Grâce à «NYPD Blue».

http://www.lalibre.be/article.phtml?id=5&subid=86&art_id=256101

Samgriss en connaisseuse a écrit:Donc je suppose qu'aprés la saison 12, ils vont peut etre nous passer la saison 1 et on saura comment tout a commencé !!!!
pfffffffff

Ben c'est exactement ça.

D'après le site de téléstar, ce soir France 3 diffuse le dernier épisode de NYPB Blue, immédiatement suivi du pilote de la série. La chaîne devrait diffuser dans la foulée les 6 premières saisons !!!



Attention pour les fans de CSI Miami, David Caruso tient l'un des deux rôles principaux dans la saison 1 et dans la première partie de la saison 2.

Azertynin a écrit:

Samgriss en connaisseuse a écrit:Donc je suppose qu'aprés la saison 12, ils vont peut etre nous passer la saison 1 et on saura comment tout a commencé !!!!
pfffffffff

Ben c'est exactement ça.

MDR! Tjrs aussi logiques ! Mieux vaut tard que jamais en tout cas !

Et dire que c dans cette serie que David Caruso a commence