encore une fois

apart le fait qu on soit toute accro a un homme avec des superbes mains

je dirais meme pluss non seulement il a de superbes mains mais il sait s'en servir avec grand talent!!!

tu aurais essayer??

Bah oui qu'est ce que tu crois!!! Hors blague, tu causes, tu rigoles, mais moi ce que je vois c'est que tu oublies de mettre une suite!!!

pfff

une suiiiiiiiiiiiite s'il te plait ! bon courage pour la rentrée etc^^ !!moi je suis morte..

coucou me revoiloo
je voulais dormir mais j ai tout ecris ce soir
sorry si je prends du retard mais en c emoment, j ai des semaines de cour de 44h, alors c'est un peu compliqué pour ecrire, alors voila un tit bout








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Elle se réveilla difficilement. Un son strident raisonnait dans tout l’appartement. Elle tendit le bras pour stopper son réveil mais s’écroula au sol. Elle se retrouva sur le dos, coincée entre sa table basse et son canapé. Elle passa sa main sur son front. Tu pouvais toujours chercher ton réveil matin, Vlaho! Sa tête lui faisait terriblement mal. La chute ou cette succession de verre avec ce liquide qui brûle…. Sûrement cette descente fatale… Quelle heure était-il???? Merdouille!! Elle se leva d’un bond, pour se rasseoir sur le canapé aussitôt. Doucement Vlaho!! Ta une journée a assurée. Vingt minutes! Vingt minutes pour essayer de gommer cette erreur de chercher une solution à son problème ou à cette succession de malheurs qui arrivaient ces derniers temps. Elle avait retourner plusieurs fois dans sa tête la scène avec sa sœur. Elle venait toujours la voir quand elle avait des soucis… Avait-elle fait le bon choix en s’éloignant du seul et unique membre de sa famille?

Elle se releva, doucement, puis se dirigea vers sa cuisine. Ou avait-elle rangée sa boite d’aspirine?? Pendant que son anti-douleur disparaissait dans une multitude de bulle elle laissa un message sur le portable de Sam. Elle devait certainement être avec Martin et ne voulait pas qu’ils soient vus ensemble, mais elle préférait quand même la prévenir de partir seule ce matin, qu’elle avait quelque chose à faire avant. Se rendre présentable et surtout avoir assez de courage pour affronter le regard de Danny.

Comment doit on dire à un homme qu’on l’aime mais qu’on ne lui cèdera jamais rien? Qu’il ne trouvera jamais en rentrant chez lui des vêtements de femme sur le sol, le menant à sa chambre, qu’il n’aura jamais de mes gestes dans ses mains, qu’il n’aura jamais de ma peau sous ses ongles. Il aura toujours les mains vides. J’ai dans le doigt qu’un vieille épine de rose et je m’obstine à ne garder que le mauvais côté des choses. Les miennes aussi sont vides. Elles se tordent dans mon dos, elles se grattent. À force de ne pas s'ouvrir, elles se battent. Et je sais bien que c'est parce qu'elles sont maladroites. Pourtant j’aimerais les glisser contre ses paumes solides.

Après une bonne douche qui lava ses doutes, elle prit la direction du bureau, le ventre vide. Elle avait déjà une demi-heure de retard. Elle prit la ligne de métro, peut être pour la première fois depuis qu’elle travaillait là-bas. Elle s’assit côté fenêtre et observait sans s’en rendre compte les passagers. Elle avait choisi le bon wagon! Elle était entouré de couples de tout age! En face d’elle se tenait le parfait amour. Deux personnes âgées dont le temps avait marqué sur leur visage les rires et les chagrins, étaient cote cote, main dans la main. Combien de petites filles avaient lu à la fin de leurs contes, ils vécurent longtemps et heureux? Elle aussi avait rêvé de cette maison où résonnait les cris de joie des ses enfants avec un mari…. Les enfants, elle pouvait encore….. Mais plus d’homme.

Elle descendit au 21ème arrêt et s’engouffra dans le hall de l’immeuble. La chaleur de la pièce lui empourpra les joues. Elle arriva dans l’open space. La photographie avait été retirée. Elle s’approcha du bureau de Vivian.

-Salut! Alors vous en êtes où?

-Affaires classées, une ancienne affaire qui lui a sauté à la figure au sens propre, fit elle le visage terne.

Elle tomba sur la chaise la plus proche, déconfite. Cet homme qu’elle haïssait au plus au point, mort par une autre main que la sienne? Pourquoi l’avait elle loupé la dernière fois.

-Bonjour tout le monde. Samantha revenait, son dossier sous le bras. Elle n’avait pas perdu de temps. Tu peux venir avec moi Sarah??

-O…Oui! Elle se leva, posa ses affaires sur son bureau et suivit Sam, en évitant bien le regard de Danny qui était en train de rédiger son dossier.

Elles rejoignirent la salle de repos, Samantha ferma la porte derrière elle et se tourna vers son amie, lui faisant face.

-Je peux savoir ce que tu as fait à Danny??

-Ce que je lui ai fait??? Dit elle en regardant bizarrement sa collègue.

-C’est moi qui ai donné ton portable hier à Danny, je voulais accélérer les choses un peu et je le retrouve détruit le lendemain.

-Je ne lui ai rien fait. Dit elle en baissant les yeux.

-Il est passé par de tristes moments dans sa vie, fit elle en haussant le ton. Je m’occupe personnellement de ceux qui …..

-Je n’ai rien fait! Coupa Sarah. Il ne s’est rien passé! Je l’ai mis à ma porte! T’es contente? Demanda-t-elle avant de quitter la pièce sans attendre une justification de son amie.

Bah voila!!! Tu vois quand tu veux tu nous met une suite!!!!

Aller ENCORE!!!

Moi j'aime toujours autant!! Mais franchement fait se réconcilier les filles!! C'est pas cool quand elles sont comme ça!!

Au lieu d'essayer de te caser met nous une suite !!!!

arf, pris en flagrant delit

et oui alors cette suite ????

cette suite en cour et la tienne

j'en poste une tous les jours MOI

mince, c'est vrai

allez ma suite








Ces rapports terminés, et archivés, Sarah regardait de son bureau ses collègues. L’ambiance était plus tendu que d’habitude. Ils n’avaient pas su arriver à temps et sauver un de leur supérieur. Elle était partie de la mission juste avant que tout devienne suspect et son rapport fut très simple à écrire. Ses amis étaient plongés dans leur écriture. Elle n’avait pas croisé Danny de la matinée, heureusement car elle redoutait une conversation électrique. Après la confrontation avec Sam, elle n’avait pas trop envie de retenter le dialogue. Elle observait Vivian toujours aussi attentive sur son boulot. Elle l’admirait et l’enviait à la fois. Elle représentait la réussite pour Sarah. Elle avait su jongler parfaitement sa vie professionnelle et sa vie privée. Elle était épanouie dans son travail et avait un homme et un enfant. Elle était mère, mariée; tout ce qu’elle avait rêvé. Même au sein de l’équipe, elle conservait son rôle de maman poule, a toujours veillé sur les uns ou les autres. Elle partie se chercher un thé, pensant que c’était peut être la seule compagnie qu’elle pouvait avoir en ce moment.

Elle attendait que l’eau chauffe dans la bouilloire, faisant face à la table.

-Tu boudes?

Martin rentra à son tour dans la salle de repos.

-Tu veux un café? Proposa-t-elle.

-Oui, je veux bien, fit il en se mettant à côté d’elle. Il la regarda faire, sans un mot. Il l’avait suivit sans qu’elle s’en aperçoive. Elle était comme ailleurs, tout comme son ami qui n’avait pas détourné son regard du bureau depuis son arrivée. Ils se ressemblaient beaucoup tous les deux, énigmatiques.

-Avec un sucre, fit elle en lui tendant sa tasse, un sourire un peu forcé à son goût.

-Sarah, tu es sûr que tout va bien?

-Tu ne vas t’y mettre toi aussi! Dit elle sèchement.

Son ami recula d un pas, stupéfait de la réaction.

-Pardon… je… Elle posa ses mains sur ses tempes. J’ai déjà eu la même conversation avec Sam ce matin.

-je comprends mieux son attitude alors…

-Marty, je…j’ai pas

-Non,Sarah, c’est toi qui m’écoutes. Tu t’es vu ces derniers temps, tu es l’ombre de toi-même. Je ne comprends pas ce que tu cherches.

Elle regardait son ami, surprise par son changement de ton.

-Tu vas pas me faire la morale, quand même?

-Et toi?? Tu comptes te détruire longtemps comme ça? Je te connais mieux que quiconque, tu n’as jamais regardé un homme comme lui, alors arrêtes de croire que tu ne seras plus jamais amoureuse d’un homme. Les raisons du cœur ne s’expliquent pas.

Elle baissa les yeux et soupira.

-Marty, je sais ce que je fais, ok? Dit elle en se dirigeant vers la porte.

-Et le faire souffrir, c’est inclus dans ton plan? Demanda-t-il en se tournant vers elle.

Elle s’arrêta net devant la porte et pencha sa tête vers son épaule. Il n’avait pas tort.

-Comment ça se fait que tu as réponse à tout?

-C’est ça d’être le meilleur ami, dit il en souriant.

-Et les amoureux, on vous attends, fit Sam en entrant dans la pièce.

-On arrive, dit Martin en sortant de la pièce en premier, laissant les deux femmes à l’arrière.

-Je….

-Je…

Elles esquissèrent un sourire.

-Désolé pour tout à l’heure, je me suis emportée, fit Sarah.

-On est deux.

ah cette discussion avec Marty, trop bien


comme ce bout, dommage qu'il soit si court

la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

super

Théana a écrit:ah cette discussion avec Marty, trop bien


comme ce bout, dommage qu'il soit si court

la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

+1 Et oui je joue bien les feignante moi aussi!!!

Roooo, je ratrappe mon retard là, et yes, yes, yes, c'est toujours aussi super

Heu...mais comme le dit Théana....un peu court

Tu sais on aime quand c'est long nous , parce que "plus c'est long, plus c'est bon"

Encore

moi aussi ai rattrapé mon retard et j'attends avec impatience un long bout !!!

merci les filles pour vos comm
comme j ai pas pu etre presente hier soir, je laisse un bout un peu plus long





-Tout le monde est là, parfait. Jack se dégagea du tableau blanc, dévoilant ainsi le portrait d’une nouvelle disparue. Tania Patrice, 34 ans, avocate, portée disparue depuis 18heures. Elle a été vue pour la dernière fois au Tiki Night. Martin et Samantha, vous allez y faire un tour. Vivian, tu te rends sur son lieu de travail. Danny et Sarah, vous me reconstituez sa soirée et une fin possible, dit il en regardant d’un air sombre l’annuaire noir. Je vais voir ses parents.

Sarah se fit toue petite sur sa chaise en apprenant avec qui elle faisait équipe. Difficile d’échapper à un échange verbal. Ses collègues partirent en même temps, les laissant seuls, face à face. Pour la première fois de la journée, leurs regards se croisèrent. Le ton était donné par la partie adverse: attention, je mords! Il fit rouler son siège, jusqu’à son bureau, sans un mot, lui tournant le dos et pianota sur son ordinateur. À son tour, elle gagna son bureau, saisissant les numéros des hôpitaux et des morgues. Après de nombreux coups de téléphone, elle semblait toujours en vie.

L’atmosphère de la pièce était lourde. Ce silence était pesant. C’était à elle de crever l’abcès. Elle se leva, prenant sa tasse vide en main. Le café était un moyen comme un autre d’engager la conversation.

-Tu veux un café?

-Ça peut se faire, fit il en tendant sa tasse sans lever les yeux de son écran, d’un ton sec.

Elle prit son mug, déçue par cette réaction mais que pouvait-elle attendre de plus. Elle lui avait envoyé deux claques hier. Elle se dirigea vers la porte, s’arrêta et se retourna vers son ami.

-Danny, je… je suis désolé pour hier, je voulais pas…

-Le jour où tu seras réellement ce que tu désires, fais moi signe, mais je ne garantie pas une réponse. Dit il en lui lançant le même regard que tout à l’heure.

Elle quitta la pièce, silencieusement. Qu’est-ce qu’elle voulait réellement? Que cherchait-t-elle? Ils avaient tous raisons, mais une fois encore, elle avait tout gâché. Elle l’avait blessé, attaquant des plaies qui ne se referment jamais. Martin avait vu juste. Il y a des choses que seul le cœur puisse comprendre. Elle l’aimait mais à sa manière. Cette peur du corps masculin qui l’avait brisé enfant lui faisait toujours peur. Danny n’avait jamais eu un mot ou une intention mauvaise en son égard. Malgré son côté dragueur; il a un bon fond. C’étaient les mots de Samantha pour parler de son ami. Elle qui avait une conception particulière des hommes n’avaient jamais dénigré Danny. L’avait-elle plus ou moins influencée? Elle ne s’était jamais méfiée de lui, même pas à San Francisco où il aurait pu tenter quelque chose? En y repensant, c’était la première fois qu’elle avait dormi en toute confiance avec un homme, excepté Martin.

Le bruit de la cafetière la tira de ses songes. Elle versa le liquide chaud dans les tasses. Elle allait devoir l’affronter de nouveau dans un nouvel round, espérant que le traité d paix allait bientôt être signé. Elle prit les mugs et prit la direction de l’open space. À l’heure du déjeuner, l’étage était quasiment vide. Un homme se tenait dans le couloir, balayant la salle commune du regard à travers le mur vitré. Cette silhouette lui était familière. Elle se figea quand elle reconnut son ancien compagnon. Qu’est-ce qu’il faisait là? Il fit mine de faire demi-tour et se dirigea vers l’ascenseur. Elle en profita pour se remettre en marche pour qu’elle ne soit pas dans son champs de vision une fois devant l’ascenseur. Très mauvaise idée ces chaussures à talons. Il se retourna en entendant des bruits de pas retentirent dans le couloir. Elle se retrouva nez à nez avec lui, une tasse dans chaque main.

-Encore en train de brasser de l’air, dit il sèchement en marchant vers elle, d’un pas décidé.

Elle guetta furtivement le couloir si quelqu’un arrivait. Foutu fonctionnaire!

-Toujours aussi aimable.

-Qu’est-ce que tu lui as dit?

-De quoi tu parles encore?

-Je sais que tu l’as vue!

-Tu m’espionnes maintenant, dit elle ironiquement.

Il lui saisit un bras, renversant un peu de thé sur leurs chaussures.

-Elle est encore venue pleurer dans les jupes de sa sœur.

-Tu lâches tout de suite mon bras.

-Je t’interdis de la revoir, tu m’entends! Sinon, je m’occupe personnellement de ton cas, fit il en exerçant une pression sur son bras.

-Dean, lâches-moi, maintenant! Elle haussa le ton, cachant sa peur.

-Où est-elle? Dit il en la tirant vers lui. Il pressait de plus en plus fort son bras. Pour qu’elle puisse se libérer de son étreinte, elle devait trouver un truc vite, elle regarda sa main droite. Elle lui lança à la figure le café à peine chaud.

Sur le coup, il la lâcha, essuyant son visage tout en criant, enragé. Elle recula d’un pas, hésitante.

-Salope!

Il la gifla si fort qu’elle s’effondra au sol, sous le bruit de la porcelaine se brisant au sol. Elle se protégea le visage d’un éventuel coup quand elle entendit un bruit sourd. Elle regarda timidement derrière ses mains la situation. Danny maintenait Dean contre le mur, lui tordant le bras dans le dos. Tous les deux hurlaient. D’autres agents vinrent à leur tour pour le maîtriser. Elle observait la scène qui se passait sous ses yeux, impuissante.

LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!

C'est tout pour le moment!!! Et oui suis flémarde today!!!

quel c........

qu'elle lui mette un coup de genoux bien placé


et toi tu nous met la suite

je viens de rentrer du taf, merci pour vos comm, essaye de produire quelque chose de potable a pliuche

Je vais faire cours:

clara a écrit:Je vais faire cours:

Moi aussi!! Je vais faire court!!


Je te soutien mais je sais pas pourquoi!!!