ro... 1 nouvel fanfic... sur Jack/Danny

ha oui moi aussi!! y a pas moyen!! lol

DANNY ==> Je veux volontier une suite.

moi aussi la suite je veux!!!!! lol

Léa disparue depuis 8 heures
Danny disparu depuis 3 heures

Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues

Viviane et Sam entre dans le bureau de Jack.

Viviane : Le portable ne donne rien. Il est éteint.
Sam : Par contre, j’ai trouvé la voiture. Elle se dirige vers l’ouest et grâce à la vidéo, nous avons pu obtenir une image nette de l’immatriculation.

Elle montre à Jack une photo.

Sam : J’ai fait des recherches. La voiture appartient à un certain Justin Norwood. Il n’est pas dans nos dossiers. Ca te dit quelque chose ?
Jack : Non, rien. Fais des recherches sur lui. Je veux tous savoir : Où il a grandi, le nom de ses amis d’enfance, de ses collègues, la situation de sa famille, tout. Viviane, essaye de savoir où va cette voiture.

Sam et Viviane acceptent et sorte du bureau.

Au bout d’un quart d’heure, Viviane réapparaît.

Viviane : Il se dirige vers la Pennsylvanie. Et sur une vidéo, on peut apercevoir la fillette, très rapidement mais elle a l’air d’aller bien.
Jack : La Pennsylvanie ? Il se rend à Pittsburgh. De quand date la vidéo ?
Viviane : Environ une heure et demie. Il doit être presque arrivé.
Jack : Préviens la police locale et rejoins-moi sur le toit. Je demande un hélicoptère. Si Martin a fini, emmène.
Viviane : D’accord.

Il se séparèrent.


Ø 10 minutes plus tard, sur le toit du FBI.

Viviane, Martin et Jack monte dans l’hélicoptère.

Jack : On sera à Pittsburgh dans 25 minutes.
Viviane : Pittsburgh est une grande ville. Où est-ce qu’on va chercher ?
Jack : Je sais où aller.

Il avait passé quelques années de son enfance à Pittsburgh. Il se souvenait maintenant d’un épisode de son enfance qu’il aurait préféré oublier. Maintenant, tout ce qu’il lui restait à faire c’était d’arriver avant le kidnappeur.
Le téléphone de Malone sonna.

Jack : Malone ?…… Oui. Tu es sure ?……. Très bien, on va chercher ailleurs alors. Tente tout de même de retrouver Justin……… Ok. A tout à l’heure….. Merci.

Il se retourne vers ses deux collègues.

Jack : Sam a recoupé les relations anciennes ou plus récentes de Justin Norwood avec la liste d’ennemis que tu as établi, Martin. Il n’y a aucune correspondance.
Martin : C’est impossible. Toutes les pistes mènent à des impasses.

Il commençait à désespérer. Seulement trois heures s’étaient écoulées mais il commençait déjà à craindre le pire pour son ami, son meilleur ami. Il remarquait que Jack aussi était de plus en plus préoccupé.

Vivement la suite!!!!

Ø Quelque part à New York.

Danny n’en pouvait plus de tourner en rond. Un homme était venue chercher Léa deux heures plus tôt et était parti avec elle. Il n’avait rien pu faire. Il avait essayé mais l’homme l’avait écarté d’un gigantesque coup de poing qui lui avait laissé une entaille sanglante au-dessus de l’arcade.
Il commençait à s’impatienter et donna des coups de pieds dans les murs qui l’entouraient. Il avait froid et soif.
Un homme arriva quelques minutes plus tard.

L’homme : Bonjour à toi.
Danny : Salut. Qui êtes-vous ?
L’homme : Tu te doutes bien que je ne peux pas te le dire. Appelle-moi… hum… Steven. Ca te va ? Il est évident que ça n’est pas mon vrai nom.
Danny : Bien sûr.
Steven : On va bientôt s’en aller.
Danny : Où ?
Steven : Oh, nous deux, on va rester à New York, j’ai des choses à faire avec un vieil ami.
Danny : Où est Léa ?
Steven : Elle est partie. Si ton pote Jack est assez intelligent, elle ne devrait pas tarder à être retrouvée.
Danny : Vous l’avez tuée ?
Steven : Pourquoi aurait-je fait ça ?
Danny : Pourquoi l’avez-vous enlevée ?
Steven : Comme ça. Pour vous tester.
Danny : Enfoiré.

L’insulte ne plut pas beaucoup à Steven qui lança un magistral coup de pieds dans les côtes de Danny. Ce dernier fut projeter à terre de douleur et essaya de reprendre son souffle.

Steven : Je déteste qu’on m’insulte, sache-le.
Danny : Oh, désolé, je pensais que vous auriez adoré.

Il se redressa avec difficulté. Il ne pouvait pas rester à terre devant cet homme, question de fierté.

Steven : Allez, on y va.

Il prit Danny par l’épaule en lui tordant le bras, l’empêchant ainsi de faire tout mouvement et l’entraîna dans une nouvelle voiture, gris métallisé, très commune.
Il attacha Danny sur le siège passager puis s’installa au volant.

Steven : Oups, j’allais oublier quelque chose.

Il sortit un foulard et banda les yeux de Danny.

Steven : Au cas où tu t’échapperais, il ne faudrait pas que tu puisses repérer notre QG.

Il démarra et sortit du garage. Pendant tout le voyage, Danny écouta attentivement, espérant trouver des indices lui permettant de savoir où il se trouvait et où il allait.


Ø Pittsburgh – 14th Street.

Les trois agents venaient de retrouver la police locale qui avait repéré la voiture à deux rues de là.

Jack : Est-ce que vous avez aperçu la fillette.
Un policier : Non, on a pas eu le temps. Il est toujours garé.
Jack : Je sais où est la petite. Il faut absolument que l’on appréhende le suspect. Vous devez encercler l’école Ernest Satow.

Le policier parut surpris mais obéit. Il lança ses ordres à travers un talkie walkie puis partit à son tour.



Ø Pittsburgh – Columbia Street.

Martin, Viviane et Jack venait d’arriver dans une des rues les plus importantes de Pittsburgh.

Viviane : Jack, que fais-t-on là ?
Jack : La petite est là, j’en suis sûr.
Martin : Pourquoi, qu’est-ce que cette école a de spéciale ?
Jack : C’est mon ancienne école. La petite est à l’intérieure.
Viviane : Comment le sais-tu ?
Jack : La profiler a dit que le kidnappeur cacherait Léa dans un endroit que je n’aurais pas aimé petit.
Viviane : Tu n’aimait pas l’école ?
Jack : J’ai eu des problèmes dans celle-là.


Flash-back
Des enfants jouent dans la cour de l’école. Au milieu d’entre eux, le petit Jack Malone. Une femme arrive, elle est à peine habillée, elle porte seulement un manteau sur son corps nu.

La femme : Jack ?

Jack se retourne et voit la femme. Il ne lui répond, la honte le submerge.

Doris Malone : Jack, tu ne reconnais pas ta maman ?

Tous les enfants s’écarte de Jack. Celui-ci se retient de pleurer puis s’enfuit en courant.


Fin du flash-back.


Jack : C’est ici que ma mère a eu ses premières crises de folie, avant que sa bi-polarité ne soit diagnostiqué.

Viviane regarda son patron avec surprise. Il n’avait pas l’habitude de se confier aux gens, de parler de son enfance. Elle ne fit pas de commentaires.
Entre temps, ils étaient arrivés à l’école. "Elle a vieilli", pensa Jack. La cour était vide, les enfants étaient déjà rentrés chez eux. Jack ouvrit la grille pendant que Viviane et Martin contournaient l’école pour vérifier que la voiture noire ne s’y trouvait pas. Jack observa la cour de long en large. De mauvais souvenirs ressurgissaient à la surface, des souvenirs du début de la maladie de sa mère.

L’école était petite, cependant, il y avait de nombreux endroits où chercher. Mais les anciennes parties de cahce-cache étaient gravées dans la mémoire de Jack. Sa cachette favorite : un arbre à moitié creux, tout au fond de la cour.
Il s’approcha. Il entendit des gémissements. En se baissant, il découvrit Léa, baillonés et attachés. Il l’aida à sortir et la détacha. Elle pleurait. Il essaya de la calmer autant qu’il put.

Léa : Vous êtes qui ?
Jack : Je m’appelle Jack, Jack Malone. Je te cherche depuis ce matin. Je vais te ramener à tes parents. Tu vas bien ?
Léa : J’ai froid et un peu soif.
Jack : D’accord.

Jack voulut enlever sa veste pour la donner à la petite mais il se rendit compte qu’elle en avait déjà une sur les épaules. Il la reconnut tout de suite.

Jack : Tu as vu Danny ?
Léa : C’est vous ses amis ?
Jack : C’est nous. Alors, comment va-t-il ?
Léa : Il m’avait dit que vous me retrouveriez. L’homme. Il l’a tapé. Mais je crois qu’il allait bien quand il m’a emmené.

Des coups de feu retentissent alors derrière l’école. Jack se redresse et se retourne.

Jack : Reste là, Léa, je reviens tout de suite.
Léa : D’accord.

Elle se blottit dans l’arbre. Jack contourna les bâtiments en direction des coups de feu. Puis il aperçut un homme qui se dirigeait en courant dans sa direction, une arme à la main. Derrière lui, il aperçut, Martin et Vivian ainsi qu’un policier. L’homme n’avait toujours pas vu jack. Jack se dissimula derrière un tas de cageot et lorsque l’homme arriva à sa hauteur, il se jeta sur lui et le plaqua à terre.

Jack : Justin Norwood ?
L’homme : Non, désolé.
Jack : Qui êtes vous.

L’homme ne répondit pas. Agacé, Jack sortit son portefeuille de sa poche et regarda sa carte d’identité.

Jack : Oh, pardon. Bryan Norwood. Vous êtes en état d’arrestation pour l’enlèvement de Léa Slater et pour séquestration. Vous avez le droit de garder de silence, tout ce que vous direz sera retenu contre vous. Vous avez le droit d’avoir un avocat. Si vous n’avez pas les moyens de vous en payez un, il vous en seras un commis d’office. Allez, on y va.


Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

Les portes de l’ascenceur s’ouvrirent et Jack avança en tenant par la main Léa. Les parents attendaient dans le couloir avec Colin. Lorsque ce dernier aperçut sa petite sœur, il se jeta dans ses bras et la serra très fort. Le plaisir de cette famille faisait plaisir à voit mais malheureusement Jack ne pouvait pas le partager. Danny, lui n’avait pas été retrouvé.
Il s’approcha des parents.
[/b]

Par Pitié une suite s'il te plait...

deborah a écrit:Par Pitié une suite s'il te plait...

Oui, s'il te plait

Très bien , continue

wi wi la suite arrive
désolé, j'étais parti quelques jours dans un endroit où il n'y avait malheureusement pas d'ordinateur...

mais merci pour vos encouragements !

enfin, et je suis vraiment vraiment désolé pour l'attente, une petite suite !



Mme Slater : Merci beaucoup, agent Malone, merci infiniment.
Jack : Ce n’est rien, madame, je n’ai fait que mon travail.
Colin : Votre agent, vous l’avez retrouvé aussi ?
Jack : Malheureusement, non, et c’est pour cela que nous allons vous demander de rester ici encore un moment.
Colin : J’ai raconté tout ce qui c’était passé.
Jack : Ce n’est pas à vous que j’aimerais parlé mais à Léa. Elle a été en contact avec lui durant les dernières heures. Nous avons besoin de son témoignage.
Léa : Avec lui qui ?
Jack : Tu te souviens, tout à l’heure, tu m’as parlé de Danny. C’est un ami à moi mais il a disparu et on essaye de le retrouver. Et on a besoin de toi pour ça, tu comprends ?
Léa : Oui.
Jack : Si vous voulez bien venir dans mon bureau.
M. et Mme Slater :
Bien sûr.


Ø Bureau de Jack Malone.

Léa : J’étais dans une toute petite pièce et il faisait noir et j’avais froid. J’ai attendu longtemps et puis je me suis endormi. Après quand je me suis réveillé, Danny était avec moi dans la pièce.
Jack : Il était blessé ?
Léa : Vous m’avez déjà posé la question.

Le ton n’était pas agressif mais la réponse surprenait de la part d’une si petite fille.

Jack : Je sais mais il faut que tu me le répète en détail pour que je puisse le noter.
Léa : Au début, il allait bien, il m’a dit qu’il ne lui avait pas fait de mal mais quand ils sont venus me chercher, Ray lui a donné un coup de poing et après il avait du sang au-dessus de l’œil.
Jack : Ray, qui est Ray ?
Léa : C’est lui qui m’a emmené. Au début, il a dit qu’il m’aimait bien et quand je lui ai dit que mon grand frère ne jouait plus avec moi, il m’a emmené au parc d’attraction et il m’a dit que je n’avais plus besoin de Colin pour jouer parce qu’il était là.

Colin prit sa sœur dans ses bras et l’embrassa tendrement.

Colin : Je suis vraiment désolé, Léa.

Léa éclata en sanglot et serra son frère dans ses bras.

Jack n’avait plus de question pour l’instant, il laissa donc la famille en eur demandant de rester disponible s’ils avaient besoin de nouvelles informations.

Il retourna voir son équipe et s’assit pour un briefing. Mais personne n’avait de nouveau.

Jack : Martin, est-ce qu’il y a des Ray ou Raymond dans mes ennemis.
Martin : Euh… Attends, je regarda, il y en a cinq
Jack : Combien vivent à New-York
Martin : Trois.
Jack : On va tous les interroger, alors, on a pas d’autre piste. Martin, tu viens avec moi. Viviane, continue d’interroger Léa sur son kidnappeur et sur l’endroit où elle a été emmené. Sam, essaye de suivre l’itinéraire de la Crossover. Elle est arrivée à Pittsburgh sans Danny, c’est donc qu’elle l’a déposé entre temps. Essaye ce trouver l’endroit où ils se sont arrêtés, Danny est peut-être toujours là-bas.

Tous le monde se lève et pars de son côté.


Quelque part à New-York

Steven : Entre là-dedans.
Danny : On est où, là ?
Steven : Tu crois vraiment que je vais te le dire. Tu me prends vraiment pour un con !
Danny : Ca m’arrive, je l’avoue.

Steven s’énerva une nouvelle fois et donna un nouveau coup de pied dans les côtes de Danny, plus fort que le précédent. Celui-ci sentit qu’il avait quelques côtes cassées. Contre son gré, il entra dans la nouvelle pièce. La porte se referma immédiatement et fut vérouillé. Danny, après quelques efforts inutiles pour la rouvrir, se retourna pour observer la pièce. Il faisait très sombre mais ses yeux s’habituèrent vite à l’obscurité. Il fut surpris : il se trouvait dans une chambre d’adolescent. Des posters de basketeurs s’étalaient sur les murs, des basketeurs des années 70. La tapisserie était jaune mais sale, le parquet très usé. La chambre semblait ne pas avoir été visité depuis des années. Danny alla s’allonger sur le lit, grinçant. Sa poitrine le faisait souffrir et il savait qu’il ne devait pas trop bouger. Une côte cassée pouvait perforer un poumon une une veine.


Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

Danny disparu depuis 8 heures

Sam pianotait sur son ordinateur, visionnant les cassettes vidéos des caméras de surveillance New-Yorkaise. La tâche était difficile, le chauffeur avait bien choisi des rues peu surveillés. Cependant, entre deux vidéos distantes de quatre rues, Sam remarqua que la voiture s’était arrêté une demi-heure. Elle s’était arrêté.
Elle chercha un endroit, une cave ou un entrepot où le kidnappeur avait pu cacher Danny et Léa.

« Bingo », s’écria-t-elle.

Elle se dirigea vers le bureau où devait se trouver Viviane. Mais il était vide. Elle se renseigna et apprit que Viv était allé un étage au-dessus pour faire un portrait-robot de Ray et qu’elle revenait dans une heure.
Elle appela Jack.

Jack : Malone
Sam : Jack, c’est Sam. Je sais où le kidnappeur s’est arrête pour déposer Danny. C’est à l’est de la ville.
Jack : Nous sommes loin. Vas-y avec Viviane. On vous rejoint là-bas. Faites attention.
Sam : Viviane est occupé, elle ne peut pas venir maintenant.
Jack : Bon, alors prends un ou deux agents en renfort et vas-y quand même.
Sam : Seule ?
Jack : Oui, seule. Sam, c’est de Danny dont on parle et il n’y a pas de temps à perdre.
Sam : Ok, j’y vais, sinon, de votre côté, ça avance.
Jack : Pas du tout, les deux premiers Ray ont un alibi et on vient tout juste d’apprendre la mort du troisième. On s’apprétait à rentrer après avoir vérifier cette dernière info mais apparemment c’est vrai.
Sam : Bon, à tout à l’heure.
Jack : A tout à l’heure.


Voila, bonne lecture

Trop trop trop bien......

Une suite s'il te plaît....

Une petite suite... Merci pour tout vos encouragements.


Ø Quelque part à New York – Devant le Hangar.

Danny disparu depuis 10 heures

Sam en avait assez. Le hangar se situait à la sortie de la ville et elle avait mis près d’une heure à l’atteindre sans compter le temps fou que lui avait pris de trouver deux agents disponibles pour l’aider en renfort. Elle les observa : ils étaient jeunes et semblait tout juste sortie de l’école. Elle ne se sentait pas rassurée. Elle se serra dans son manteau car le vent était glacial. Puis elle fit signe aux deux agents de se disperser autour du bâtiment. Ils s’éxécutèrent. Elle s’approcha de la porte du hangar, sortit son arme et frappa. Après quelques minutes, elle recommença son geste. Toujours aucun signe de vie. Elle essaya d’ouvrir la porte mais c’était une grosse porte métallique, elle n’avait pas assez de force. Elle se retourna pour essayer de retrouver les agents quand une main se plaqua sur son visage. Une autre lui tordit le bras : elle lacha son arme.

Steven : Coucou Sam ! Ca me fait plaisir que ce soit toi qui soit venu ! Je ne pouvais pas espérer mieux !

Il la poussa violemment devant lui vers le côté du hangar où attendait une voiture gris métallisé. Sam essaya de crier mais elle ne pouvait pas, la main était toujours fermement plaquée sur son visage.

Steven : Monte… Ne t’inquiète pas, tu vas bientôt retrouver ton ami.

La voiture démarra.



Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

Danny disparu depuis 13 heures.

L’équipe – le reste de l’équipe – était réunie pour un briefing. Il n’était plus que trois. Tous restait silencieux, Jack avait la tête dans les mains.

Jack : Danny, et maintenant, Sam… Mais qu’est-ce qu’il veut, cet enfoiré.
Viviane : Calme-toi, Jack. Il ne faut pas paniquer et continuer notre travail. On va les retrouver. Je peux à nouveau suivre la voiture d’après les vidéos qu’avaient étudier Sam.
Jack : Tu as raison. Vas-y, fais ça.

Je demande la suite....

moi aussi je veux la suite...

Note: Elle est trop bien ta bannière Maira....

Et je redemande une suite...

Wouah il/elle est passer ou notre écrivain ??? une suite stp !!

l'écrivain, elle est trop trop désolé mais son ordi est tombé en panne juste avant qu'elle parte en vacances
alors, j'ai pas pu mettre la suite en ligne. Mais ca y'est je viens de rentrer et je m'y remet tout de suite. Encore désolé !!!

Voilà la suite !!! désolé encore pour le retard !

Martin paraissait tout aussi inquiet. Viviane observa ses deux collègues, visiblement désespéré.

Viviane : Allez, les garçons. Il ne faut pas se laisser abattre. Ils n’ont disparu tout les deux seulement depuis quelques heures. Rien n’est perdu.
Jack : Tu as raison. Comme d’habitude.

Martin et Jack se mirent au travail. Ils se concentrèrent d’abord sur le portable de Sam. Il ne trouvèrent rien de très concluant. Une heure plus tard, l’agent Lucy Davenport vint se joindre à eux.

Jack : Je suis heureux de vous revoir, Agent Davenport. J’aimerais vous remercier pour l’aide que vous nous avez fournis ce matin. C’est grâce à vous que nous avons pu retrouver la petite fille saine et sauve.
Lucy : Ne me remerciez pas. Après tout, c’est mon travail. Et c’est vous qui avez trouvé où elle était caché.
Jack : Ne soyez pas modeste.

Il lui sourit.

Lucy : Vous n’avez toujours pas retrouvé votre agent ?
Jack : Non, et nous n’avons aucune trace. De plus, une autre agent a été enlevé, l’agent Samantha Spade. Elle a été enlevé alors qu’elle était partie à la rechrche de l’agent Taylor.
Lucy : Elle était seule ?
Jack : Deux policiers l’accompagnaient. Je lui avait dit que cela suffirait.
Lucy : Ca n’est pas votre faute.
Jack : C’est ce que j’essaie de me dire mais pourtant, c’est moi qu’il veut cet enfoiré, moi ! Je lui ai fait quelque chose et il veut se venger de moi. C’est donc ma faute s’il enlève mes agents, mes amis. Je ne peux pas m’empécher de m’en vouloir !

Toute la colère que Jack avait retenu depuis l’enlèvement de Danny éclata alors. Martin sursauta et le regarda, surpris. Lucy ne bougea pas et le pris par l’épaule. Viviane se retourna et regarda son ami avec compassion.
Lucy lui mit la main sur l’épaule.

Lucy : Calmez-vous. On va les retrouver !
Jack : Si ils ne sont pas déjà mort.
Lucy : Je ne pense pas. C’est trop simple. Le kidnappeur veut vous faire souffrir longtemps. C’est un jeu pour lui. Il veut se mesurer à vous. Pour vous prouver qu’il est le plus fort. Pour l’instant, vous êtes loin de le retrouver, il prend le dessus, il va gagner. C’est un duel de force. Tant que vous perdez, l’agent Taylor et l’agent Spade ne sont pas en danger de mort. Mais si vous trouvez une piste sérieuse, il faudra être rapide et discret. Cet homme ne pourrait pas supporter de perdre, et là il pourrait être dangereux.
Jack : Et si je décide d’abandonner ou de faire semblant de laisser tomber comme pour l’affaire Spaulding.
Lucy : Oui, je ne sais pas. Ca pourrait marcher. Les deux hommes sont différents mais ont un fonctionnement un peu similaire. Mais attention ! Si vous décidez d’abandonner, ça pourrait avoir l’effet inverse à celui attendu. Et vos deux agents pourraient être en danger. Je pense que c’est une solution à n’utiliser qu’en dernier recours.
Jack : Mais on fait quoi en attendant. On attend en se tournant les pouces
Lucy : Ce n’est pas une si mauvaise idée, vous savez. Bien sûr, en apparence, vous devez paraître travailler mais voir que vous n’avancez pas peut agacer le kidnappeur. Comme je vous le dit pour lui, c’est un jeu. Et un jeu doit être amusant. S’il commence à s’ennuyer, il est possible qu’il vous envoie un indice pour relancer la partie.
Jack : Et il va mettre combien de temps à commencer à "s’ennuyer"…

Ca suffit pas pour moi je veux la suite......

Je souhaite une suite stp....

Ouf rev'la l'écrivain ah des foisl'informatique c'est !! en tout cas la il nous faut une suite !! et ta fic c'est

Ø Dans la chambre.


Danny restait allongé sur le lit, les yeux fermé. Sa poitrine le faisait souffrir, il avait de plus en plus de mal à respirer. Sam le regardait avac inquiétude, ne sachant que faire. Les heures défilaient lentement, mais elle perdait la notion du temps. Steven lui avait retiré sa montre peu après son arrivée. Elle frissona. La chambre n’était pas chauffée et la nuit était tombée depuis plusieurs heures déjà. La fenêtre ne se fermait plus et un froid mordant envahissait la pièce.

Elle observa une nouvelle fois son ami. Il paraissait s’être endormi. Elle se leva et s’approcha de lui.

Sam : Danny ?

Il ne répondit pas. Elle lui prit la main. Elle était frigorifiée. Elle se rendit compte que son ami n’était qu’en chemise. Il risquait l’hypothermie. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle. Aucune couverture, pas même un drap.

Elle vérifia si il respirait et fut un peu rassurée. Puis elle s’allongea à ces côtés. Ils auraient moins froid ainsi. Elle s’endormit également.


Danny disparu depuis 17 heures
Sam disparue depuis 7 heures.

Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

Jack paraissait de plus en plus désespéré. Il était épuisé tout comme Martin et Viviane. Il n’avait plus aucune piste. L’interrogatoire de Brian Norwood n’avait rien donné. Celui-ci s’était enfermé dans un mutisme exaspérant. On perdait la voiture au bout d’une heure sur les vidéos, alors qu’elle se dirigeait elle aussi vers Pittsburgh.

Jack : Où tu es ? Putain, où tu es, enfoiré ?

Lucy essayait d’aider de son mieux mais elle aussi était à cours d’idées. Elle avait dressé un profil très précis du kidnappeur mais cela n’était pas très utile.
Jack se leva d’un coup et se dirigea vers la salle d’interrogatoire. Viviane et Martin essayèrent de le rattraper, en vain. Il ouvrit la porte avec rage, sortit son arme et pointa le canon sur la tempe de Brian. Celui-ci perdit le petit sourire narquois qu’il arborait depuis quelques heures.
Viviane et Martin entrèrent également mais ne firent aucun geste pour aider Brian. Ils savaient tout deux qu’il ne restait plus que ça comme solution.

Jack : Où sont-ils ? Tu vas me le dire ou je te jure que je te fais un trou dans le crâne.

Brian ne répondait pas, il commenca à respirer plus vite. Son front se couvrit de sueurs froides.

Jack : Tu vas me répondre. Sinon, je te jure que…

Il tire un coup de feu dans le plafond. Quelques morceaux de plâtre tombe à terre. Il replace son arme sur la tempe de Brian.

Brian : Vous n’avez pas le droit de faire ça !
Jack : Pense bien que j’en ai rien à carrer, rien du tout !
Brian : Je vais appeler mon avocat. J’ai le droit de le faire.
Jack : Tu ne vas rien faire du tout. Maintenant, tu n’as plus le droit de rien. Tu me répond ou tu crèves, c’est tout !

Brian commençait à paniquer. Des agents de la sécurité étaient descendus au son du coup de feu mais Viviane et Martin les empéchèrent d’entrer.

Brian : Ecoutez, je ne sais pas où ils sont, c’est pas moi qui organisent le truc. J’ai juste suivi les ordres.
Jack : Quels ordres ?
Brian : Ceux de Ray. Trouver une voiture. Emmener la gosse à Pittsburgh. C’était un service. Il m’a payé pour ça.
Jack : Ray. Qui est-ce ? Qu’est-ce qu’il me veut ?
Brian : J’en sais rien. Il vous en veut mais je ne sais pas pourquoi, je vous jure. J’crois qui m’a dir qui vous connaissait de Pittsburgh, j’en sais pas plus.
Jack : De Pittsburgh ?

Jack baisse son arme. Brian reprend sa respiration.

Jack : C’est impossible. J’ai quitté Pittsburgh à l’âge de 13 ans.
Brian : Je vous répète juste ce qu’il m’a dit.

Jack sort de la salle. Les agents de la sécurité s’écarte.

Viviane : T’es bon pour un rapport, Jack !
Jack : Ce mec, il me connaît depuis l’enfance.
Martin : C’est dingue. Il aurait attendu aussi longtemps pour se venger de toi. Pourquoi ?
Jack : J’en sais rien. En tout cas, il y a des chances que Danny et Sam soit à Pittsburgh.
Viviane : Pittsburgh est une grande ville.
Martin : Dans l’école ?
Lucy : Non. Il n’est pas retourné à l’école. Il a changé d’endroit.
Jack : Mais alors où ?
Lucy : Il n’y a que vous qui peut le savoir. Mais il y a des chances que ce soit à l’endroit où vous avez blessé cet homme, Ray.
Jack : Je ne sais même pas qui sait.

la suite demain

Une fois ça suffisait!
Extra sinon, vivement la suite

Toujours aussi bien!!!