encore une fois

merci beaucoup, c gentil je regarde un truc et je fini de taper ma suite, mon inspiration est revenue

apres avoir fais de la pub aileur, voici un bout qui cette fois ci est plus long, pour me faire pardonner, et puis la semaine comme je poste pas, c'est pour vous remercier de votre patience









-Merci Danny.

-Pour le café, mais de rien, c’est un dollar quatre vingt cinq, et encore c’est un tarif d’ami.

-Non, merci pour tout, d’être là.

Il ne sut quoi dire et lui fit un sourire.

-J’ai oublié, ma sœur est dans ton lit, elle dors comme un loir, fit elle en replongeant le nez dans sa tasse.

Il faillit râler mais la grimace qu’elle fit une fois sa gorgée avalée lui fit éclater de rire.

-On est condamné à dormir ensemble? Demanda-t-il.

-Si tu m’acceptes dans ton clic clac, fit elle en souriant.

-A condition que tu ne ronfles pas et que tu partages la couverture.

-C’est beaucoup me demander. Elle posa sa tasse. J’ai encore un détail à régler, fit elle en cherchant quelque chose des yeux.

-J’ai appelé Jack pendant que tu étais sous la douche, il pouvait toujours attendre ton coup de fil, fit il en se levant et rendant le portable de la jeune femme.

-A croire que c’est le tien! Neuf appels manqués. Elle regarda les numéros s’affichés et son sourire disparut quand elle reconnut son numéro. Elle posa le portable sur la table et vida le fond de la tasse.

-La prochaine fois, tu me feras un café de femme??

-Avec un nuage de lait??? Il la sentait soudainement plus crispée. Il posa sa main sur s nuque, la caressant avec son pouce. Ce geste, si anodin mais si tendre…..

-J’a un contrat à remplir, dit elle en le regardant droit dans les yeux. Il perçut de nouveau cette tristesse et cette souffrance qu’il connaissait temps.

-Tu n’es pas obligé…

-Si, je te l’ai promis! Elle regarda de nouveau le fond de sa tasse. Y a deux trois choses que je dois rectifier pour que tu comprennes pourquoi j’agis comme ça avec toi. Tu connais mes origines, je crois que j’en parle assez comme ça….. Je me souviens gamine, Klara et moi on rêvait de monter un groupe de chanteuse, on avait déjà le nom et tout…. Puis je me suis tournée vers l’athlétisme….. Je ne penserais pas finir en flic….. Pas avant cet accident…. Pas avant la guerre…. Elle m’a tout pris, mes parents, mon enfance….. Nos villages ont été balayé par la folie guerrière des hommes… On a eu le temps de s’enfuir Klara et moi, abandonnant nos parents à leur sort….. Elle marquait des temps entre chaque phrase, comme si celle-ci était trop lourde à porter….des rumeurs circulaient sur un hélico qui amenait des enfants en Amérique, la où le sang ne se mélange pas à la terre…. Il fallait rejoindre la mer pour ça, alors on a marché, marché…. Jusqu’à ce que notre chemin croise cette jeep américaine. Cinq soldats nous ont proposé de nous amené là-bas. Klara était épuisée… alors on est montée avec eux, pensant que ces soldats allaient nous protéger de notre pays. On s’est assoupie…. Ces quand j’ai reconnu le chemin que j’ai paniqué, on s’éloignait de la mer, de notre espoir de fuir cette guerre. Ils m’ont fait descendre… tous les cinq, ils me maintenaient, je ne devais pas réveiller ma sœur…. Ils m’ont volé mon enfance, tous les cinq…… quand je les ai entendus remonter dans la jeep pour s’occuper de Klara, j’ai…. Je ne voulais pas qu’elle souffre…. Y en avait un qui me tournait le dos…. Ils m’avaient laissé à terre, le corps meurtris de coups, pensant que je ne bougerais plus….. Je lui ai pris son arme…. Et j ai vidé sa cartouche de balles….. Elle s’arrêta.

-Sarah…

-Je les ai laissé sur le bord de la route et j’ai pris la jeep. On a filé,loin, très loin. J’ai su beaucoup plus tard qu’un soldat s’en était sorti… ils étaient tombés dans une embuscade…. On est arrivée aux Etats-Unis, perdues. À cause des problèmes de la Yougoslavie, j’ai eu droit à une bourse d’étude pour étrangère. La carte de séjour arriva peu de temps après. J’ai pu avoir la garde de ma sœur, deux après notre arrivée. Il me fallait un boulot, vite…. Je crois que les flics sont les seuls qui prennent avec quasiment aucun bagage…. C’est vrai que ma condition physique fut un plus, c’est la seule récompense de ses longues heures d’entraînement, je te passe les courbatures de partout….puis j’ai voulu monter les échelons, simple fic à donner des contraventions, pas pour une vie entière, c’est là que j’ai rencontré Marty. Elle esquissa un sourire en revoyant leur première discussion. Il était très convoité, s’il nous avait à la bonne, on avait le père dans la poche. Tous les élèves de la promo le savait. Dean aussi le savait. Pourtant qu’est-ce qu’il la charrié…. Il n’a pas toujours eu ce corps athlétique. Je courais avec lui et il m’expliquait le droit de ce pays. On a été très longtemps camarade de classe, puis on est devenu ami, et un soir on est devenu amant…. Marty m’a aidé à me reconstruire, à redevenir cette Sarah Vlaho de Yougoslavie avant que la guerre n’éclate. Son père m’a toujours considéré comme la petite traînée qui allait bouffer son fils…on a commencé a travaillé dans le même secteur lui et moi…. Et puis j’ai commencé à tout détruire… moi, lui… nous… nos projets…. Alors je suis partie avant de lui faire vraiment mal…. Je lui ai volé son rêve de père.. Je crois avoir fait assez de dégâts…. Pourtant il est toujours là pour moi…. Et quand il a besoin d émoi je me cachais de l’autre côté de New York… j’ai appris ce que tu avais fait pour lui quand il a eu ses problèmes de drogues… je n’ai jamais rien su…. Pourtant il a toujours ouvert sa porte à n’importe quelle heure dés que j’avais une peine de cœur, un vieux cauchemar qui refaisait surface.

Il l’observait, elle parlait de Martin tout en douceur, sa voix s’était transformée quand elle parlait de lui, tout avait été plus saccadé, plus dur quand elle parlait d’autres hommes. Elle l’aimait beaucoup. Il avait déjà vu des clins d’œil entre eux deux, en un regard et ils avaient tout dit. Il n’avait jamais vu cette complicité avec Sam. A vrai dire, il était jaloux de ce lien entre eux deux. Mais après ce qu’il avait entendu, il comprenait beaucoup de chose. C’est vrai que Marty était différent de lui avec les femmes. Il était certes plus romantique. Il avait du être sacrément amoureux de Sarah pour être si patient et la porter à bout de bras.

-Je suis entré dans l’équipe de Dean par la suite. Cette époque de ma vie, j’en suis pas très fière. C’est là que j’ai perdue ma sœur et Martin de vue. À vrai dire, je fuyais tout le monde. Je ne voulais pas qu’on voit ce qu’il faisait. J’avais honte. Je ne voulais pas qu’on apprenne que je me laissais frapper. Sûrement pas par ma sœur! Je pouvais la protéger mais je ne savais pas me défendre. Et puis, j’étais avec mon supérieur, je ne pouvais pas porter plainte, je risquais aussi dans l’histoire. Alors je me suis tu…. J’ai gardé en moi ses vices. J’ai réussi à m’éloigner un peu de lui…c’est la qu’il a jeté son dévolu sur ma sœur…. Je les ai surpris un soir en rentrant…. C’est là que j’ai su que mon temps était fini, alors je suis partie, reniant ma sœur qui m’enlevait à ce monstre, pourtant je lui en voulait d’avoir chercher le soi disant bonheur dans mon propre lit…..

Son portable sonna. Le numéro de Marty s’afficha. Elle voulait le rassurer mais il fallait mieux qu’elle fasse silence cette nuit. Elle éteignit son portable.

-La dernière fois que tu as ramené mon portable. Ces bouteilles dans la cuisine… c’est pas ce que tu crois…. La benne était cassée, et les agents de service de la ville ne sont pas pressés…c’est vrai que cinq bouteilles pour un mois… Dés que ce rêve refait surface, je me noie dans l’alcool, pensant que j’oublierai… mais certaines plaies ne cicatrisent jamais…..

Il se leva de son tabouret et se rapprocha d’elle, doucement avant de la prendre dans ses bras avant que ses yeux ne se mettent à pleuvoir. Il déposa un baiser sur son front. Elle ne pouvait pas voir que lui aussi était chamboulé par ce passé. Il savait désormais pourquoi il était tombé sous son charme. Cette lueur dans son regard, sa manière a elle de dissimuler le mal qui la ronge. C’était lui. Il se ressemblait tellement. Il lui avait fallu cet après midi pour savoir qu’elle avait une sœur. Il avait repensé à la fois où son frère avait disparu. Il avait perdu son calme pendant un interrogatoire, tout comme elle…. Une multitude de scènes lui sautèrent aux yeux…. Combien de fois elle avait évité tout contact avec lui? À vrai dire, elle ne se laissait pas approcher à certain endroit. Et San Francis…. L’hôtel? Il l’entendit renifler.

-Tu peux te moucher dans ce pull, je l’ai jamais aimé.

Elle étouffa un rire avant de relever la tête. Elle plongea son regard dans le sien. Il lui dégagea le visage en repoussant des mèches de cheveux derrière ses oreilles. Il essuya ses larmes avec son pouce, en caressant ses joues. Il lui embrassa le front, puis la tempe. Il sentit son visage bouger jusqu’à ce que ses lèvres goûtent à la saveur de sa bouche. Ce baiser fut tendre, il ne voulait surtout pas la brusqué ou profiter de la situation. Elle le regarda de nouveau.

-Danny….je ne sais pas si je pourrais te donner ce que tu attends….

-Hé! Il caressa de nouveau son visage. Je t’aime telle que tu es, et puis on prendra le temps qu’il faut.

Elle lui sourit, plus confiante.

-Merci.

pimkie je sais plus quoi dure ....

cette suite avec le viol en yougo jusqu'au passage où elle parle avec tant d'amour de marty, c'atait magnifique ... magnifique !!!!

franchement j'ai eu mal au coeur sur la manière dont la pauvre a subi tous ses sévice, c'était horrible ...

bravo j'adoore ta fic je l'adoore !!

merci beaucoup ca me fait plaisir tout ce que tu dis
j avais peur qu on tombe dans la pathétique

est ce un cri de désespoir????
désolé si j ai pas pu etre présente ces derniers temps mais entre le baby sitting, les 40h de cours, ma soeur qui trafique le modem voila enfin uen suite tapé a la va vite pour me faire pardonner




Il passa une main dans ses cheveux, doucement pour ne pas la réveiller. Comme la dernière fois, elle s’était réfugiée dans le coin du lit, enfin ce qu’on pouvait appeler un matelas avec une couverture. Mais cette fois-ci, c’est elle qui s’était collé à lui assez vite, posant sa tête sur son épaule. Il l’avait regardé dormir, si paisiblement pendant une bonne partie de la nuit. Elle était si calme et si heureuse en dormant. Il jouait avec une de ces mèches… il avait été touché par son discours de tout l’heure. Les mots qu’elle avait employé pour parler de Martin… Après tout ce qu’elle avait affronté, elle parlait encore d’amour. Malgré toutes les blessures, les batailles perdues, son cœur était encore en vie et donnait ce sentiment qui lui manquait tant.

Le malheur avait fait un bout de chemin avec lui pendant pas mal de temps, il s’était replié, dressant au fil du temps une carapace qui s’était transformé en fortification. Même avec une armée de baisers, de mots tendres, il ne baissait pas sa garde. Pourtant elle avait réussi à trouver la faille à son système de défense, il y avait qu’une ouverture qui menait directement à son cœur et elle avait su décocher au bon moment sa flèche.

Danny avait eu le temps,ces trois heures passées dans le noir, de repenser à tous ces moments qu’ils avaient partagés ensemble. Il n’avait jamais su à quel jeu elle jouait réellement. Le jeu du chat et de la souris? En une journée, elle arrivait à jouer les deux rôles…. Elle fuyait tout en attaquant, sans pour autant finaliser son acte.

Il ne savait pas trop où il allait. Un amour platonique? Pas pour lui, les mots n’exprimaient pas les mêmes sentiments que des gestes. Mais il savait pertinemment qu’il ne pourrait pas la brusquer. Serait il patient?

Son portable indiquait 6h17, il n’allait pas tarder à réveiller la marmaille, elle avait Jack à affronter ce matin et sans petit déjeuner d’athlète, elle ne tiendrait pas la route. Il entendit un toussotement derrière lui. Klara se tenait debout, le haut du jogging en guise de chemise de nuit. Il se leva doucement du canapé pour ne pas la réveiller et la guida jusqu’à la cuisine.

Pendant qu’il préparait le café il observait discrètement la jeune femme. Elle lui ressemblait beaucoup mais elle semblait plus innocente, naïve que sa grande sœur.

-Vous vous connaissez depuis longtemps? Demanda-t-elle en regardant fixement Danny.

-On est collègue. Répondit l’agent en tendant une tasse de café.

-Ce n’est le style de ma sœur de coucher avec ses collègues pour avoir une promotion aussi, fit elle sèchement.

Elles avaient vraiment un point commun ces deux là. Elles se protégeaient mutuellement mais chacune à leur manière.

-Depuis quand on couche tout habillé pour avoir une promotion, car ça m’intéresserait bien de savoir la technique!! Fit il ironiquement.

-Vous n’avez pas….

-Il en fera rien; coupa Sarah, dans l’embrassure de la porte. J’espère que vous comptez les points, je paye un café au gagnant. Dit elle en s’asseyant à côté de sa sœur.

-Tu as intérêt à me le payer maintenant car après ton entretien avec Jack tu vas être privée de caféine pour un bon moment. Ils ne connaissent pas la cafetière au rayon archive.

-J’avais oublié Jack, fit elle avec des gros yeux.

-Je suis persuadé que lui y pense encore….

yes une suite, courte mais c'est meiux que rien


t'en as pas encore un bout ???

A bah voila!!!

On se sent mieux!!

maintenant tu tape le reste et tu postes!!!

Moi j'ai beaucoup aimé!!!

Encore!! Et Sam et Marty alors tu les oublies?!

Rooooo, c'est vrai que c'est court

Mais ça fait plaisir de te lire

encore

Et courrage pour tout ce boulot

une suite rest faisable ce soir, et merci de lire meme a espace différé

ah pimkie ça fait vraiment zizir !!!

et je dis pour cetet suite .. et e coup de la promotion canapé

bon allez on va patiente pour l'autre suite !!!

vite ....

j'aime beaucoup sarah et j'spère que jack va être cool !!!

attention un tite suite, ecrit un peu vite mais c'est vrai quand ce moment l'écriture et moi ca fait deux....



Elle déposa un carton sur la table centrale en soupirant. Les archiviste devait prier je ne sais quel divinité pour qu’un agent commette une erreur pour qu’on vienne leur portée secours, mais cette aide était toujours fictive. Jack avait été royal sur le coup là, quinze jour bloqué dans les bureaux, c’était encore faisable… elle s’assit et commença à ranger les dossiers. Klara était restée chez Danny pendant la journée, elle pouvait avoir la conscience tranquille, Dean n’aura jamais l’idée de la chercher là-bas. Samantha revenant de la salle informatique s’installa à côté de son amie.

-Alors la réunion avec le grand manitou???

-On a enterré la hache de guerre pour quinze jours….. Fit elle en signant un papier.

-Il a été clément….

-Je trouve aussi, peut-être qu’il ne peut résister à mon air suppliant? Fit elle en souriant.

-Je ne t’ai pas vu ce matin??? Fit Samantha sur un drôle d’air.

-J’ai préféré laisser ma place à Martin. À la longue, partager la même voiture pour rentrer après une folle nuit, c’est moins polluant… fit elle en souriant fièrement à son amie.

-Tu chopes les mêmes attitudes que Danny, tu devrais surveiller tes fréquentations.

-Elle devrait surveiller qui?? Fit Danny en entrant dans la pièce.

-A un mauvais garçon dont on ne citera pas le nom, répondit Sarah en souriant.

Sarah détourna le regard, préférant reporter son attention sur son dossier. Elle n’avait pas encore bien réfléchi sur sa nouvelle relation avec Danny. Elle lui avait plus ou moins avouer ces sentiments, mais comment devait elle s’afficher avec lui? En copine? En petite amie? Elle qui était timide sur ses sentiments voulait que sa vie privée reste secrète, mais comment jouer un rôle alors qu’on travaille dans un secteur où lire les pensées des gens est aussi facile que d’ouvrir un magazine télé…..

Danny vit tout de suite cette fuite sur papier, ce qui le fit sourire. Elle se dissimulait derrière ses cheveux comme une adolescente prise au dépourvu.

-Je ne savais pas que Martin était un mauvais garçon, il cachait bien son jeu, fit il en déposant un dossier sur la table. Cadeau de Jack, fit i en cherchant le regard de Sarah.

-Merci, dit elle en le prenant. Le contact de sa main lui procura comme un frisson. Vlaho, tu as 29 ans, on gère ses sentiments, pensa-t-elle.

-Je vais rejoindre le bad boy de l’équipe, fit Danny, laissant les jeunes femmes.

-Avocat ou flic?

-Pardon? Répondit Sarah étonnée par la question de son amie.

-J’aimerai bien connaître le nom de cette nuit….

-J’ai dormi avec ma sœur, fit elle d’un ton neutre.

Le sourire de Sam disparut. C’était bien la première fois qu’elle entendait Sarah parlé de sa sœur. Danny avait expliqué à l’équipe l’incident de la veille.

-Tu vas avoir deux voisines de palier pour un petit moment, dit Sarah en refermant la boîte en carton. Bon j’ai fini pour aujourd’hui.

-Tu veux qu’on rentre ensemble?

-Je dois aller rechercher ma soeur et quelques affaires, mais je suis sûr que ton offre intéresserait quelqu’un fit elle en prenant sa boîte tout en indiquant d’un regard l’agent qui arrivait dans la pièce.

Elle déposa ses dossiers et reprit ses affaires sur sa table. Tiens un message. Elle ouvrit son portable et lu le mot envoyé par Danny. Il savait se montrer discret. Elle se faufila dans l’ascenseur avant que les portes ne se referment et se rendit au parking sous terrain.
Elle prit place dans la voiture noire.

-Danny, je….

Ses lèvres vinrent lui voler ses derniers mots. Ce baiser était si tendre, si attentionné, aucune violence, aucun moment arraché comme un baiser volé. Cet instant malheureusement connaissait une fin. Elle lui souriait enfin.

-Je comprends mieux pourquoi tu roules avec des vitres tintées, dit elle en riant.

-Tu as découvert mon piège à filles!

-Est-ce que ton piège à filles pourrait m’aider pour une mission d’infiltration? Demanda-t-elle plus sérieusement.

Yataaa!! C'est quoi votre delire?! Je parle de Sarh et toi!!!

Bref'!! LA SUITE!!!!!!!!!!!!!

Suis contente que t'es pu mettre une suite malgrès que tu m'ai dit que tu soit au point mort...

Tinky-Winky a écrit:Yataaa!! C'est quoi votre delire?! Je parle de Sarh et toi!!!

Bref'!! LA SUITE!!!!!!!!!!!!!

Suis contente que t'es pu mettre une suite malgrès que tu m'ai dit que tu soit au point mort...

de quel délire tu parles???

merci pimkie pour cette suite !!!

et le coup du piège à fille !!! tu sais ça fait zizir de voir sarah et danny ensemble ... je trouve qu'ils forment un beau couple très secret pour le moment mais rès beau ...

dis, t'as pas une tiote suite dans ta botte !!!

pas de suite pour le moment, la c'est anniversaire a papa (un demi siecle a lui tout seul) donc je n ecris pas trop

enfin d ecompte, j ai réussi a écrire quelque chose, mais c'est vite écrit alors s'il y a des fautes, ne me tapez pas




-Arrêtes-toi ici, dit elle.

Il se gara derrière une vieille camionnette. Le quartier n’était pas des plus rassurant avec la lumière du réverbère qui clignotait.

-Tu es sûr de vouloir y aller toute seule, demanda-t-il un peu inquiet.

-Hé, je suis une grande fille, je sais faire mes lacets toute seule, alors récupérer des affaires dans un placard chez mon ancien ami, c’est pareil, fit elle en souriant.

Il la regarda bizarrement, repensant à leur dernière conversation des plus mouvementée.

-Bon, c’est vrai, le côté grande fille est à revoir mais je veux y aller toute seule.

Elle ouvrit la portière quand elle sentit qu’il lui prenait la main.

-Si dans vingt minutes tu n’as de nouvelles, tu appelles la section des portés disparus, fit elle en lui souriant. Elle s’échappa de la voiture et entra dans l’immeuble. Il ne quitta plus la porte des yeux. Elle lui avait demandé de la laisser y aller seule, mais à aucun moment elle ne lui a interdit d’intervenir.

Elle monta les quarante-cinq marches qui la séparait de son ancien appartement. Ce tableau était toujours dans la cache d’escaliers. Il était toujours aussi laid. Elle introduisit la clef de sa sœur dans la serrure de son appartement. Il n’avait pas l’air d’être là. Elle ouvrit doucement la porte. La pièce était plongé dans le noir. Une vieille odeur de cigarette s’était propagée. Elle alluma et vit la salon transformé en vrai champ de bataille. La vieille lampe était échouée au sol, enfin ce qu’il en restait. Elle se dirigea vers la chambre qui à vrai dire, faisait rangée vis à vis du salon. Elle se baissa et récupéra son vieux sac de voyage qui n’avait pas bougé.

Elle commença à remplir la valise quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Elle ne fit comme si de rien n’était. Partir comme une voleuse lui apporterait des ennuis. Elle sentie une présence dans son dos, une respiration rauque puis des bruits de pas repartirent.

-Elle t’envoies chercher ses vêtements, vraiment pitoyable cette famille, dit il adossé au mur voisin, un verre de whisky à la main. Il faisait danser les glaçons.

Elle referma la fermeture éclair de son sac en soupirant.

-Tu crois que tu es mieux dans ton deux pièces minable.

-Tu en étais fière à une époque.

- Il n’était pas dans cet état, fit elle en mettant le sac sur son dos.

C’est à ce moment qu’il se mit dans l’embrassure de la porte, l’empêchant de sortir.

-Tu ne vas pas déjà me quitter, dit il en s’approchant d’elle.

-Je vais me gêner.

-Tu devrais t’asseoir, dit il sur un autre ton, tout en la poussant sur le lit. Le sac de voyage tomba au sol. Il lui bloqua les jambes, exerçant avec les siennes une certaine force, la coinçant contre les pieds du lit. Maintenant que ta sœur es à l’abri, tu peux t’occuper exclusivement de moi.

Elle sentit la peur la gagner de nouveau. Elle savait de quoi il était capable ivre. Et Danny qui l’attendait en bas. Elle ne voulait plus dépendre des hommes, l’appeler à l’aide, certainement pas. Elle regarda autour d’elle pour trouver une sortie, mais rien. Elle sentit son arme lui faire mal. Et si c’était le seul moyen??? Il lui faisait de plus en plus mal. Et puis mince. Elle la dégaina d’un coup vif ce qui le fit reculer.

-On veut faire joujou, ricana-t-il, en dissimulant sa peur.

Tout en pointant son arme sur lui, elle se pencha pour ramasser le sac.

-Laisse moi passer!

-Tu n’oseras pas tirer! Dit il en s’approchant.

-Tu crois ça, fit elle en lui lançant un regard dur.

-Tu vas ramener tout le voisinage.

-Tant mieux, ils appuieront mes faits de l’histoire. Un ivrogne frappant son ex-femme et celle-ci à pratiquer la légitime défense.

Dean explosa de rire.

-La légitime défense, à d’autre ma jolie, personne ne va y croire à ton baratin.

-Tes collègues sont déjà au courant de ta manière de vivre, tu ne feras que la une du New York Times, je vois déjà le titre, l’officier Dean Donnelly tué par son ex-femme, la légitime défense a pu libérer deux sœurs de l’emprise d’un homme destructeur.

-Tu t’es trompé de voie Sarah, le journalisme t’irais sûrement mieux, dit il en se rapprochant toujours un peu. Il stoppa quand il vit Sarah venir vers lui.

-Écartes toi de mon chemin, Dean!

Il ne supportait pas sa manière de lui parler, le sang bouillait en lui, mais il savait qu’au moindre faux pas, il avait tous les voisins à dos. Alors il préféra se retirer et la laisser passer. Sur le pas de la porte, elle rengaina son arme, ne voulant effrayer les enfants qui jouaient, comme à leur habitude à l’étage du dessous.

-Ta sœur me reviendra, je serais la faire plier, dit elle en regardant son verre.

Elle stoppa net à ces mots et se retourna tout en prenant en main son revolver et tira dans le verre qui partit en mille morceaux. Dean hurla à moitié de peur et de douleur, un morceau de verre lui avait entaillé la main.

-Encore une chose, si tu recroise une seule fois ma sœur, ce n’est pas le verre qui vole en mille éclats, compris. Dit elle en refermant la porte. Une fois dans le couloir, elle se mit à courir pour regagner la voiture en bas.

Elle claqua la portière: Démarres, s’il te plaît!!

-Qu’est-ce que c’était ce bruit??

-Un verre cassé, démarres s’il te plait, dit elle e regardant terrifiée la fenêtre du troisième étage.

-Sarah!

-Je t’assure, ce n’est qu’un verre, dit elle cette fois ci en regardant Danny. Elle avait les larmes aux yeux. Ce n’est pas dans cette voiture qu’il aura plus d’information et partit en trombe de ce quartier sous le regard d’un homme assoiffé de vengeance.

j ai fait un effort, pour une fois c'est d une grandeur correcte

oui je suis d'accord on peut avoir la suite format même grandeur ??

euh, tit soucis, j ai plsu rien en stock

wahooouuuu!! cette suite était trippante ... j'espère que ce salaud ne va pas vouloir leur faire du mal maintenant !!!

allez une petite suite ???

rien sous la main mais j essaye de poster quelque chose plus tard

bon ben j'attends !!

Oh, vi, vi, vi j'adore

Moi aussi je veux un bout pareil avec la même longueur