You've Got A Friend...( Terminée )

allez mimi une suite

clairounett a écrit:martychou.. je sens que tu vas encore morfler...

Tout de suite...

Je pars vendredi pour une semaine alors je vous promets la suite pour demain ou jeudi.

@mon agent : oups...il fallait comprendre affaire bien entendu Mais tu as rectifié de toi-même...Etait-ce un lapsus révélateur...

De la part de ton agent: J'ai de plus en plus de mal à contenir les foule en furie vu l'annonce du dernier message... Ils aimeraient bien une suite plus tôt que ce que tu as annoçé...

LA SUITE LA SUITE LA SUITEUUUUUUUUUUUUUUUUUUU

Shaila a écrit: LA SUITE LA SUITE LA SUITEUUUUUUUUUUUUUUUUUUU

Tu vois mimi je n'invente rien!!!

je dirais même plus :

sandy a écrit:je dirais même plus :

Tu sais ce qui te reste à faire mimi...

Je sais pas encore si je ferais ça à chaque fois que quelqu'un postera quelque chose mais je suis déterminer et tes fan aussi!!!

pauvre mimi harceler par ces fans, c'est ca d etre une star

une suite

pimkie a écrit:pauvre mimi harceler par ces fans, c'est ca d etre une star

une suite

Promis je dis rien pour ça... Mai je suis ton agent alors...

oui il faut une suite !!

on peut plus attendre !!!

tu veux que l'on fasse une sincope ??

alez la suite !!!!!

ben comme tout le monde et

[/center] LA SUITEEEEEEEEE !!!! [center]

Je tarde à répondre parce que je suis gênée de répondre...en voyant le post vous allez penser à une suite alors que ça n'en est pas une...

Bien que je sois touchée par votre impatience et votre engouement, je ne peux tout simplement pas poster de suite car, même si elle est écrite, il me reste à la fignoler et à l'améliorer. Par respect pour vous, je ne la posterai que quand je serai satisfaite mais, promis, jeudi au plus tard.

Maintenant, après une dure journée de boulot et mon cours de claquettes, je file manger ( me cacher ? ) devant Un agent Très secret...Et oui, VOUS passez après Eric...

Mimi qui court vite...

mimi a écrit:Maintenant, après une dure journée de boulot et mon cours de claquettes, je file manger ( me cacher ? ) devant Un agent Très secret...Et oui, VOUS passez après Eric...

Mimi qui court vite...

Cours, mimi, cours! Moi aussi je veux une suite!! Bon, je te pardonne simplement parce que tu as la chance de voir "Un agent Très secret". J'aimerais bien avoir cette chance! Tiens, je pourrais aller me consoler avec The Magnificent Seven!

ahhhhhhhhh j'en peux plus d'attendre !!!!!!!!!!!!!! je vais faire une criiiiiiiiiise !!! ( tu l'auras sur la conscience mimi ) LA SUITE PAR PITIééééé

aie pitié de nous mimi, une suite stp

mimi a écrit:Je tarde à répondre parce que je suis gênée de répondre...en voyant le post vous allez penser à une suite alors que ça n'en est pas une...

Bien que je sois touchée par votre impatience et votre engouement, je ne peux tout simplement pas poster de suite car, même si elle est écrite, il me reste à la fignoler et à l'améliorer. Par respect pour vous, je ne la posterai que quand je serai satisfaite mais, promis, jeudi au plus tard.

Maintenant, après une dure journée de boulot et mon cours de claquettes, je file manger ( me cacher ? ) devant Un agent Très secret...Et oui, VOUS passez après Eric...

Mimi qui court vite...

mais ca m acheve ce comm, moi qui attendait une suite

Chose promise, chose due...et maintenant, à moi les vacances !

Je joins également les paoles de la chanson qui m'ont inspiré cette fic.

Bonne lecture.

Previsously in "Youve got a Friend" a écrit:Martin lui lança des petits coups d’œil plusieurs fois tout en continuant à conduire avant de remarquer les larmes dans ses yeux. Rapidement, il contrôla son rétroviseur avant de donner un coup de volant sec sur la droite et de se stationner sur le bas côté, arrachant au passage un petit cri aigu à Sam. Il détacha sa ceinture de sécurité et se tourna vers elle.

- Que se passe-t-il, Sam ? demanda-t-il en lui prenant la main.

- Ce n’est rien. Je…je suis juste fatiguée, répondit Sam en détournant la tête.

- Fatiguée de quoi ? insista-t-il en faisant glisser sa main libre dans les cheveux de Sam pour passer une mèche derrière son oreille.

Sam frissonna au doux contact. Ça faisait tellement longtemps qu’il ne l’avait pas touché ainsi.

De son côté, Martin était plus qu’inquiet. Il l’avait déjà vu à plusieurs reprises fatiguée physiquement et même exténuée mais, tout dans le comportement de Sam depuis le début de cette affaire lui disait que cette fatigue n’avait rien de physique. Il attrapa son menton et la força à le regarder, la suppliant du regard de lui répondre.

- De tout, répondit-elle finalement tout doucement en faisant un geste de la main pour appuyer ses paroles.

- Tu peux préciser ? lui demanda-t-il gentiment.

La Sam qui était devant lui n’était pas la Sam à laquelle il était habitué. La flamme dans ses yeux semblait éteinte, remplacée par une résignation qui lui faisait peur.

- Non, ce n’est pas la peine. Ce n’est pas intéressant, réellement, dit-elle en détournant à nouveau le regard des yeux inquisiteurs de Martin.

- Si ça l’est, Sam. Si ça te fait du mal, c’est que c’est important…ça l’est pour moi, ajouta-t-il dans un murmure.

Sam tourna vivement la tête vers lui, comme pour vérifier si elle avait bien entendu, son cœur s’emballant subitement. Elle lui lança un regard interrogateur et il se contenta d’hocher la tête en signe d’assentiment et de sourire.

- Oui, ça l’est, confirma-t-il devant son hésitation persistante. Tu es importante pour moi, Sam. Je suis toujours ton ami. Et si tu as besoin de parler…

- On est toujours amis ? l’interrompit-elle.

Martin lui lança un regard interrogateur, surpris qu’elle puisse en douter.

- Bien sûr. Pourquoi ne serait-ce pas le cas ?

- C’est juste que…depuis qu’on a rompu…j’ai juste le sentiment que…que tu t’éloigne de moi. On ne parle plus…j’ai l’impression de ne plus te connaître.

Martin soupira.

- Tu sais…ça n’a pas été une décision facile à prendre pour moi. De mettre fin à notre relation, poursuivit-il en se laissant aller dans son siège. Je t’en voulais tellement de ne pas me laisser une seule chance…de ne pas nous laisser une seule chance. Alors, peut-être que j’ai été distant pendant un temps c’est vrai. Mais, j’ai vite compris que, même si ton bonheur était ailleurs, j’avais besoin de toi dans ma vie. Je suis désolé de ne pas avoir été plus clair avec toi mais tu n’as jamais cessé d’être mon amie, Sam, termina Martin en lui prenant la main pour la rassurer.

« Oh, Martin, si tu savais, » pensa Sam. « Si tu savais combien je veux mon bonheur avec toi maintenant… »

- Merci, répondit Sam dans un hoquet. Je crois que j’avais besoin de l’entendre.

- Bien, dit Martin en passant un pouce sur la joue de sa collègue pour essuyer une larme, alors maintenant que ce point est réglé, tu es prête à me dire ce qui ne va pas ? demanda-t-il doucement.

- Je…je ne sais pas. Ma vie est un tel merdier, finit-elle par lâcher en se prenant le visage entre les mains.

- Sam…que se passe-t-il ? Tu me fais peur, là.

- J’ai tellement peur de te décevoir, Martin. Tellement peur que tu me juge…

Martin se sentait envahit d’une grande fébrilité. Qu’est ce que Sam pouvait bien avoir si peur de lui révéler ?

- Spade, la gronda-t-il gentiment, pressé d’enfin savoir, crache simplement le morceau !

Sam pris une grande inspiration, leva les yeux au ciel comme pour demander de l’aide et…

- Je suis enceinte, dit-elle finalement dans un souffle.

Elle avait parlé si bas que Martin avait d’abord douté de ce qu’elle avait dit mais quand elle tourna son visage vers lui pour jauger de sa réaction de l’anxiété dans les yeux, il comprit qu’il avait bien entendu. Et pour être honnête, il s’attendait à tout mais pas à ça. Le cœur béant du poignard qu’elle venait d’y enfoncer, il laissa tomber sa tête en arrière sur l’appuie-tête

- Oh, dit-il simplement.

- Tu vois, j’en étais sûre. Tu me déteste, maintenant, grogna Sam.

- Non, non, s’empressa-t-il de lui répondre. C’est juste que…que je suis surpris. Je ne savais pas que tu voyais quelqu’un, c’est tout.

Sam gloussa.

- Jack m’a presque dit la même chose mot pour mot.

- Oh…alors, Jack n’est pas le père ? questionna Martin, surpris.

- Non…Jack n’est pas le père, répondit Sam avec une légère exaspération dans la voix. Pourquoi tout le monde pense que Jack est le père ?

- Et bien, commença Martin, compte tenu que…

- Je sais pourquoi, l’interrompit Sam. Mais, ça n’est pas d’actualité. En fait, ça ne l’est plus depuis longtemps, termina-t-elle en lui jetant un regard en biais.

- Oh…je vois.

Ils restèrent silencieux quelques secondes avant que Martin ne réagisse à quelque chose qu’elle avait dit plus tôt.

- Tu as dit que tout le monde pensait que Jack était le père…Par tout le monde, tu sous entend…?

- Jack, Danny et Elena.

- Je suis le dernier à être au courant ? demanda Martin légèrement vexé.

- Viv ne sait pas encore. Je voulais tellement te le dire Martin. C’est juste que ça n’était jamais le bon moment. Et puis, je ne voulais pas te l’annoncer comme ça devant tout le monde…

- Pourquoi avais-tu si peur que je te juge ? Je suis content pour toi, Sam.

- Vraiment ?

- Oui, vraiment. Si tu es heureuse, je suis heureux. Je te l’ai dit tout à l’heure. Je suis content que tu ai trouvé quelqu’un qui…

Martin s’interrompit en voyant Sam détourner vivement la tête.

- Sam ? Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu ne me dis pas ?

- Je…commença Sam.

- Sam ? Qu’y a-t-il ? insista Martin.

- Il n’y a pas de père, lui dit-elle finalement.

- Comment ça « il n’y a pas de père? » Mes cours de biologie sont loin mais je sais encore qu’il faut être deux pour…

- Ce que je veux dire, l’interrompit Sam en regardant par la fenêtre, c’est que je ne suis avec personne. C’est un accident…une bêtise…un soir…

- Mais…tu…tu sais qui c’est, n’est-ce pas ? demanda Martin, soudain inquiet que Sam ai pu faire le tour des lits de la ville.

- Oui. Je connais son nom et son lieu de travail. Pas beaucoup plus…Je suis pathétique, hein ? lui demanda-t-elle en haussant les épaules.

- Tu lui en as parlé ?

- Non, pas encore…Je voulais être sûre de le garder avant. Je veux dire, on a pris nos précautions, je ne comprends pas ce qui s’est passé. Ce n’est pas comme si on se connaissait depuis des mois. Les conditions idéales pour avoir cet enfant ne sont peut-être pas réunies mais, je sais que je veux le garder maintenant. Je ne suis plus toute jeune et le temps passe. Qui sait quand je rencontrerai à nouveau quelqu’un avec qui construire une famille ? termina-t-elle en appuyant sur le « à nouveau » pour tenter de lui faire comprendre qu’elle avait déjà rencontré ce quelqu’un auparavant…et que c’était lui.

Martin l’observa quelques instants et lui sourit.

- Je suis sûr que tu seras une maman formidable.

- Merci. J’ai…j’ai tellement peur, Martin. Si tu savais comme j’ai peur de ne pas être à la hauteur. Je n’ai pas exactement eu un excellent modèle maternel et…

Elle s’interrompit pour essuyer d’un geste rageur les larmes qui coulaient à nouveau.

- Tu n’es pas ta mère, Sam.

- Je sais…C’est juste que je vais devenir ce que j’ai toujours redouté : une mère célibataire. Comment suis-je censée élever un enfant avec le boulot que je fais…et le faire seule ?

- Tu ne seras pas seule. Il y aura oncle Jack, oncle Martin, tante Viv, tante Elena et oncle Danny…Tu sais, parti comme c’est parti, il va falloir qu’oncle Danny commence à se faire la main, plaisanta Martin.

Sam ne pu se retenir d’éclater de rire entre ses larmes à sa dernière remarque. Quand elle se fut calmer, elle reprit son sérieux et regarda Martin droit dans les yeux.

- Et oncle Martin ? Il ne doit pas se faire la main, oncle Martin ?

Le visage de Martin redevint grave et il regarda droit devant lui, la route qui disparaissait dans l’obscurité. Il crispa les mâchoires.

- Non, murmura Martin avec du regret dans la voix. Oncle Martin n’a pas besoin de se faire la main.

- Tu…tu ne vois personne ? tenta Sam dont la curiosité venait de l’emporter sur sa peur.

Martin se retourna brièvement vers elle avant de fixer à nouveau la route.

- Non, répondit-il, il n’y a personne.

- C’est dommage, dit Sam. Tu ferais un formidable papa, ajouta-t-elle en posant sa main sur la sienne.

Martin retourna sa main et noua ses doigts à ceux de Sam. Cette dernière, surprise par son geste, se laissa faire en silence. Il observa leurs mains liées un instant et soupira avant de la relâcher subitement.

- Probablement qu’on ne le saura jamais, soupira Martin.

Sam releva la tristesse dans sa voix mais aussi la façon dont le sens de la conversation semblait s’inverser. Ça n’était plus elle mais Martin qui semblait maintenant avoir besoin de parler.

- Tout va bien, Martin ?

- Ouais, dit-il en se tournant vers elle avec un sourire fatigué. C’est juste que je crois que la fatigue me rattrape.

Sam leva un sourcil pour lui signifier qu’elle n’était pas dupe.

- N’essaye pas de changer de sujet, Marty.

- Il n’y a rien de plus à ajouter, Sam ! Non, je ne vois personne, n’ai vu personne depuis très longtemps et non, être papa n’est pas d’actualité ! On peut en rester là ?

- Depuis quand ? insista Sam en croisant les bras sur sa poitrine.

- Depuis quand quoi ? demanda Martin bien qu’il sache parfaitement ce qu’elle demandait.

- Depuis quand, tu n’as vu personne.

- Est-ce que c’est un interrogatoire ? Si j’avais su, je n’aurais jamais dit qu’on était encore amis, se renfrogna Martin.

- Alors ? Depuis quand ?

- Quelques mois…répondit évasivement Martin avec un signe de la main.
- Martin…

Il soupira.

- Depuis que je t’ai quitté ! s’exclama Martin avec exaspération. Je ne suis sorti avec personne depuis toi ! OK ! Ça y est ? Satisfaite ?

Sam le regarda bouche bée, ne sachant quoi répondre et plutôt surprise de sa réponse.

- Ce n’est pas un problème, s’empressa-t-il de préciser.

- Pourquoi ? demanda simplement Sam d’une petite voix.

- Pourquoi quoi ?

Encore une fois, il faisait la sourde oreille à l’évidence de sa question.

- Pourquoi tu n’es sorti avec personne d’autre.

- Je n’en ai pas vu l’utilité, grommela-t-il. Je n’ai croisé personne d’intéressant.

- Je ne te crois pas.

- Je suis désolé de te décevoir, Sam, mais je ne suis pas comme toi ! s’emporta-t-il. J’ai besoin de sentiments ! Je ne peux pas coucher avec…

Devant le regard blessé de Sam, il s’interrompit.

- Je…je suis désolé…je ne voulais pas insinuer que…

- Je savais que tu finirais par me juger, dit doucement Sam en sentant les larmes revenir à grands flots.

- Écoute, Sam. Je m’excuse, ok. On est tous les deux fatigués, on a eu une longue journée et probablement une de nos plus longues conversations depuis des mois alors, qu’est-ce que tu en dis ? On en reste là ? Je suis heureux pour toi alors ne te fais pas de soucis pour moi, d’accord ?

Sam opina de la tête en laissant glisser les larmes le long de ses joues. Il avait raison. Elle était exténuée et ne savait plus trop quoi penser des révélations de Martin.

- Bien, dit-il en prenant tendrement sa joue dans sa main.

La délicatesse du geste amena encore plus de larmes dans les yeux de Sam.

- Tu dois juste penser à toi maintenant et au bébé. Il sera toujours temps de parler de moi plus tard. Sache juste que, si je ne suis sorti avec personne depuis toi, c’est que je n’ai trouvé personne digne d’intérêt pour te remplacer, d’accord ?

« Dans mon cœur, » se retint-il d’ajouter.

Sam opina à nouveau de la tête mais les paroles de Martin la laissaient espérer que c’était encore possible, qu’il y avait encore de l’espoir pour eux. S’il avait encore des sentiments pour elle…et si elle osait lui parler…

Elle sentit une nouvelle vague de larmes couler et elle poussa un soupire d’exaspération.

- Je suis une telle fontaine ! s’écria-t-elle.

Martin gloussa.

- Viens ici, dit-il en l’attirant dans ses bras.

Sam se laissa faire et enfouit son visage dans son cou. Il la berça durant de longues minutes, laissant toute la tension de leur conversation s’évacuer. Quand il la sentit se détendre contre lui et les sanglots se calmer, il su qu’il était temps de lui redonner sa liberté.

- Je vais te reconduire chez toi, lui murmura-t-il au creux de l’oreille. Ça a été une journée éprouvante.

Sam acquiesça dans son cou et il déposa un baiser rapide sur ses cheveux. Elle renifla fortement en se désengageant de lui. Martin ne put retenir un gloussement et lui tendit un kleenex.

- Merci, murmura Sam avant de se moucher bruyamment. Merci pour tout, Martin.

- De rien. Les amis sont fait pour ça, lui dit-il en mettant le contact.

« Les amis oui, » pensa Sam tandis que Martin reprenait la route. Mais pouvait-elle honnêtement dire qu’ils n’étaient que des amis ? Elle laissa retomber sa tête en arrière et ferma les yeux. Martin avait raison, elle n’était plus capable de réfléchir clairement. Tellement de choses avaient été dites ce soir, mais il y avait eu aussi tellement de non-dits, de regards échangés. Elle ne savait pas ce que l’avenir lui réservait mais, une chose était sûre…

…elle avait un ami.

When you're down and troubled
And you need some love and care
And nothing, nothing is going right
Close your eyes and think of me
And soon I will be there
To brighten up
Even your darkest night

You just call out my name
And you know whenever I am
I'll come runnin'
To see you again
Winter, spring, summer or fall
All you have to do is call
And I'll be there
You've got a friend

If the sky above you
Grows dark anf full of clouds
And that old north
Wind begins to blow
Keep you head together baby
And call my name out lourd
Soon you'll hear me
Knockin' at your door

Ain't it good to know that
You've got a friend?
People can be so cold
They'll hurt you
And desert you
And take your soul if you let them
But don't you let them

Traduction libre

Quand ça ne va pas et que tu t’inquiète
Et que tu as besoin d’un peu d’amour et d’attention
Et que rien, rien ne va bien
Ferme les yeux et pense à moi
Et bientôt je serai là
Pour illuminer
Même tes nuits les plus sombres

Tu as juste à appeler mon nom
Et tu sais que où que je sois
Je viendrais en courant
Pour te revoir
Hiver, printemps, été ou automne
Tout ce que tu as à faire est d’appeler
Et je serai là
Tu as un ami

Si le ciel au-dessus de toi
Devient noir et plein de nuages
Et que le vieux vent
Du nord commence à souffler
Garde tes esprits, bébé
Et appelle mon nom à haute-voix
Bientôt tu m’entendras
Frapper à ta porte

Est-ce que ce n’est pas bon de savoir que
Tu as un ami ?
Les gens peuvent être si froids
Qu’ils te feront du mal
Et t’abandonneront
Et te prendront ton âme si tu les laisse faire
Mais ne les laisse pas


FIN

RDV au prochain épisode : "...or more."

mais pourquoi elle ne lui pas dit qu'elle l'aimait !!!! Et mon marty ..........si touchant qu'il aurait pu craquer

c'est PAS FINI HEIN ?? même si y'a écrit complète et etc fin?? c'était beau... mais je suis sûr me marty l'aime encore... ça se voit !! et puis c''est tellement bête que chacun aime l'autre mais n'ose lui dire ! c'est uneperte de temps ! ent tou cas génial GENIALLLLLLLLLLLLL!!! alalalalala torp torp torp court ! mais excellent ! la suittttttteeeee

Je crois que mimi fonctionne en épisodes. Comme pour la série. Donc...

Mais sinon évidemment je dois me joindre aux autres pour dire la beauté et la tendresse de ce que tu écrit ma grande. Bravoooooooooooooooo !

oh ca serai trop cool qu'il y est une suite !!!!!!!!

sa me fait sniffer

rooooooo
c'est trop beau
y'a rien a dire tellement c'est beau
BRAVO !!!!!

en un mot, magnifique, l histoire la maniere d ecrire leur complicité retrouvée, j adore et vivement ton prochain episode mais rassure moi il est pas hebdomadaire???

pimkie a écrit:mais rassure moi il est pas hebdomadaire???

Tu veux ma mort ?