Offres d'emploi (complète; général; PG)
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Ohhh Marty est trop chou de "sauver" Danny lol. Quel homme
Vivement la suite
Vivement la suite
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
je penssait trouver une suite
tre- Elève à Quantico
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
ooohhh punaise mouchette cette suite m'a mis des frissons partout !! pauvre amrty dans quel me...il se trouve tout cela à case du paternel !!! c'était génail de voir martin pris entre deux feux ainsi
alleezzzzz viittee la suite
alleezzzzz viittee la suite
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Dis Mouchette, juste une question, tu n'as pas l'intention de nous faire manger des patates toute la semaine qui vient ????
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Si, c'est un peu mon intention... Mais je vous promets quand même un petit bouquet de persil pour mettre avecclairounett a écrit:Dis Mouchette, juste une question, tu n'as pas l'intention de nous faire manger des patates toute la semaine qui vient ????
Et merci à vous toutes pour vos comm'
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
**Marine** a écrit:Quand, quand, quand aura t-on le persiiiil?
C'est net, je suis pas fan de persil, mais si c'est pour la bonne cause...
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Alors, persil pour tout le monde ce soir!
*****************************
Medina passa ensuite la demi-heure suivante à lui expliquer son nouveau rôle. Martin eut tout du long l'impression d'être dans une sorte de cauchemar, il ne se sentait vraiment pas bien. Il ne remarqua même pas qu'il serra la main de Medina avant de sortir du bureau, il n'entendit pas les dernières recommandations qu'il lui fit, car la pensée de devoir affronter le regard de ses collègues le paniquait. Il ne pourrait pas leur expliquer les événements qui avaient fait qu'il avait accepté ce poste. Cela aurait été humiliant pour lui autant que pour eux. Et surtout, les agents ne se seraient plus sentis en sécurité dans cette équipe, avec cette menace de renvoi sur la tête. Et leur travail en souffrirait. Et cela n'était pas acceptable.
Martin fut soulagé de voir que Medina ne l'avait pas suivi. Il gagnait un peu de temps avant que l'annonce de sa nomination soit faite. Sam lui jeta un regard un peu étonné, se demandant sûrement pourquoi il avait été si long dans le bureau de Medina, mais elle ne posa pas de questions. Martin avait les jambes faibles, et il se laissa littéralement tomber sur sa chaise. Il tenta de se remettre au travail, mais il n'avait pas du tout la tête à ça... ni le coeur.
Peu à peu, tous les agents rentrèrent au bureau, et ils se retrouvèrent tous à la table centrale, avec Medina. Chacun fit son rapport, Martin tentant de rester neutre, impassible. Il espérait que Medina donne la nouvelle de sa nomination une fois l'enquête finie, lui laissant ainsi un peu de temps pour tenter de se reprendre... Même si, d'un autre côté, plus vite l'annonce serait faite, et plus vite Martin serait au clair face à la réaction de ses collègues.
-Bien, conclut Medina, Sam, vous continuez à creuser au niveau des finances. Danny et Elena, vous retournez questionner les collègues, certains ne nous ont pas tout dit. Vivian, vous vous occuperez du petit ami dès qu'il sera là. Jack, vous établissez le contact avec la police locale. Au boulot!
Les agents se levèrent prestement, lorsque Medina reprit:
-Oh, et j'allais oublier...
Martin sentit la sueur couler entre ses omoplates. Cette fois, ça y était, il allait devoir affronter les regards et le jugement de ses collègues.
-L'agent Fitzgerald vient d'accepter le poste de chef-adjoint de cette unité. Ce qui veut dire que lorsque je ne serai pas disponible, vous ferez vos rapports à lui, et c'est lui qui décidera du déroulement des enquêtes. J'espère que vous saurez tous vous couler dans ce nouveau mode de fonctionnement.
Durant le petit speech de Medina, Martin n'osa pas lever les yeux vers ses collègues. Finalement, l'atmosphère s'étant alourdie, il prit son courage à deux mains et regarda les émotions jouer sur les visages des autres agents. Il y vit de l'étonnement chez tous sauf chez Elena, preuve qu'elle avait dû bien comprendre une partie de ce qui s'était passé quelques jours avant dans le bureau du chef. L'étonnement fit ensuite rapidement place à des émotions bien plus difficiles à supporter pour Martin: colère, frustration, mépris, regards blessés...
Colère parce qu'en acceptant ce poste, il mettait pratiquement définitivement hors-jeu le retour de Jack au poste de chef. Frustration parce que d'autres agents auraient mérité autant que lui ce genre de promotion. Et surtout mépris car tous avaient cette pensée en tête: papa Fitzgerald avait aidé son fils à monter les échelons, lui permettant de passer sur la tête des autres.
Les regards blessés de ceux qui ne l'auraient jamais cru capable d'accepter ça se détournèrent de lui. Ceux qui étaient en colère le fusillèrent du regard. Martin ne baissa pas les yeux. Il allait devoir supporter durant un temps au moins ce genre de regards, et il décida de faire avec tout de suite. Même s'il en souffrait. Il comprenait les réactions de ses collègues, il espérait simplement que leur amitié serait assez forte pour surmonter cette situation. Lui comme eux auraient besoin de temps pour s'habituer.
Vivian fut la première à rompre le silence:
-Et bien... félicitations, sourit-elle faiblement.
Les autres agents marmonnèrent quelques paroles et partirent rapidement à leurs occupations. Danny resta silencieux, évitant son regard, restant debout devant lui. Martin tenta une approche:
-Danny, je
-Je suppose que le directeur-adjoint est fier de son fils, maintenant...
Martin fut abasourdi par le venin qui filtra dans la voix de son ami. Ils se jaugèrent du regard, aussi blessé l'un que l'autre. Finalement, Martin reprit d'une voix neutre:
-Probablement. Mais je pensais que tu savais que ce n'était pas les sentiments de mon père qui comptaient pour moi.
-Tu avais réussi à me faire croire ça, oui.
-Ok, soupira Martin, si tu prends les choses comme ça...
Martin s'éloigna sans un mot de plus. Il devait leur laisser du temps pour digérer l'information, après seulement pourrait-il leur dire qu'il n'avait pas eu le choix. Il espérait simplement que le peu d'explications qu'il pourrait leur fournir leur suffirait.
Il jeta un coup d'oeil derrière lui, et remarqua que Danny hésitait à le suivre. Son ami était visiblement tiraillé entre la trahison qu'il ressentait et son amitié pour Martin. Ce dernier lança alors un signe, un souvenir qu’il espérait aussi vivace dans le cœur de son ami qu’il l’était dans le sien :
-Je n’ai pas oublié ma promesse de vendre des chaussures avec toi, tu sais…
Danny eut un faible sourire. Cette phrase lui faisait remonter le temps, à la première année où Martin avait débarqué dans l'équipe. Il avait jugé le jeune agent sans avoir tous les éléments en main, uniquement parce qu'il était le fils du directeur-adjoint. Et puis quand il avait enfin compris que Martin n'était pour rien dans les magouilles de l'OPR, il lui avait lancé cette phrase en guise de calumet de la paix. Et Martin avait accepté, et ils étaient devenus des amis très proches.
Cette phrase prononcée à présent par Martin lui fit prendre conscience qu'il ne connaissait probablement pas toutes les données du problème. Et il fut soulagé de pouvoir laisser le bénéfice du doute à Martin.
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Medina passa ensuite la demi-heure suivante à lui expliquer son nouveau rôle. Martin eut tout du long l'impression d'être dans une sorte de cauchemar, il ne se sentait vraiment pas bien. Il ne remarqua même pas qu'il serra la main de Medina avant de sortir du bureau, il n'entendit pas les dernières recommandations qu'il lui fit, car la pensée de devoir affronter le regard de ses collègues le paniquait. Il ne pourrait pas leur expliquer les événements qui avaient fait qu'il avait accepté ce poste. Cela aurait été humiliant pour lui autant que pour eux. Et surtout, les agents ne se seraient plus sentis en sécurité dans cette équipe, avec cette menace de renvoi sur la tête. Et leur travail en souffrirait. Et cela n'était pas acceptable.
Martin fut soulagé de voir que Medina ne l'avait pas suivi. Il gagnait un peu de temps avant que l'annonce de sa nomination soit faite. Sam lui jeta un regard un peu étonné, se demandant sûrement pourquoi il avait été si long dans le bureau de Medina, mais elle ne posa pas de questions. Martin avait les jambes faibles, et il se laissa littéralement tomber sur sa chaise. Il tenta de se remettre au travail, mais il n'avait pas du tout la tête à ça... ni le coeur.
Peu à peu, tous les agents rentrèrent au bureau, et ils se retrouvèrent tous à la table centrale, avec Medina. Chacun fit son rapport, Martin tentant de rester neutre, impassible. Il espérait que Medina donne la nouvelle de sa nomination une fois l'enquête finie, lui laissant ainsi un peu de temps pour tenter de se reprendre... Même si, d'un autre côté, plus vite l'annonce serait faite, et plus vite Martin serait au clair face à la réaction de ses collègues.
-Bien, conclut Medina, Sam, vous continuez à creuser au niveau des finances. Danny et Elena, vous retournez questionner les collègues, certains ne nous ont pas tout dit. Vivian, vous vous occuperez du petit ami dès qu'il sera là. Jack, vous établissez le contact avec la police locale. Au boulot!
Les agents se levèrent prestement, lorsque Medina reprit:
-Oh, et j'allais oublier...
Martin sentit la sueur couler entre ses omoplates. Cette fois, ça y était, il allait devoir affronter les regards et le jugement de ses collègues.
-L'agent Fitzgerald vient d'accepter le poste de chef-adjoint de cette unité. Ce qui veut dire que lorsque je ne serai pas disponible, vous ferez vos rapports à lui, et c'est lui qui décidera du déroulement des enquêtes. J'espère que vous saurez tous vous couler dans ce nouveau mode de fonctionnement.
Durant le petit speech de Medina, Martin n'osa pas lever les yeux vers ses collègues. Finalement, l'atmosphère s'étant alourdie, il prit son courage à deux mains et regarda les émotions jouer sur les visages des autres agents. Il y vit de l'étonnement chez tous sauf chez Elena, preuve qu'elle avait dû bien comprendre une partie de ce qui s'était passé quelques jours avant dans le bureau du chef. L'étonnement fit ensuite rapidement place à des émotions bien plus difficiles à supporter pour Martin: colère, frustration, mépris, regards blessés...
Colère parce qu'en acceptant ce poste, il mettait pratiquement définitivement hors-jeu le retour de Jack au poste de chef. Frustration parce que d'autres agents auraient mérité autant que lui ce genre de promotion. Et surtout mépris car tous avaient cette pensée en tête: papa Fitzgerald avait aidé son fils à monter les échelons, lui permettant de passer sur la tête des autres.
Les regards blessés de ceux qui ne l'auraient jamais cru capable d'accepter ça se détournèrent de lui. Ceux qui étaient en colère le fusillèrent du regard. Martin ne baissa pas les yeux. Il allait devoir supporter durant un temps au moins ce genre de regards, et il décida de faire avec tout de suite. Même s'il en souffrait. Il comprenait les réactions de ses collègues, il espérait simplement que leur amitié serait assez forte pour surmonter cette situation. Lui comme eux auraient besoin de temps pour s'habituer.
Vivian fut la première à rompre le silence:
-Et bien... félicitations, sourit-elle faiblement.
Les autres agents marmonnèrent quelques paroles et partirent rapidement à leurs occupations. Danny resta silencieux, évitant son regard, restant debout devant lui. Martin tenta une approche:
-Danny, je
-Je suppose que le directeur-adjoint est fier de son fils, maintenant...
Martin fut abasourdi par le venin qui filtra dans la voix de son ami. Ils se jaugèrent du regard, aussi blessé l'un que l'autre. Finalement, Martin reprit d'une voix neutre:
-Probablement. Mais je pensais que tu savais que ce n'était pas les sentiments de mon père qui comptaient pour moi.
-Tu avais réussi à me faire croire ça, oui.
-Ok, soupira Martin, si tu prends les choses comme ça...
Martin s'éloigna sans un mot de plus. Il devait leur laisser du temps pour digérer l'information, après seulement pourrait-il leur dire qu'il n'avait pas eu le choix. Il espérait simplement que le peu d'explications qu'il pourrait leur fournir leur suffirait.
Il jeta un coup d'oeil derrière lui, et remarqua que Danny hésitait à le suivre. Son ami était visiblement tiraillé entre la trahison qu'il ressentait et son amitié pour Martin. Ce dernier lança alors un signe, un souvenir qu’il espérait aussi vivace dans le cœur de son ami qu’il l’était dans le sien :
-Je n’ai pas oublié ma promesse de vendre des chaussures avec toi, tu sais…
Danny eut un faible sourire. Cette phrase lui faisait remonter le temps, à la première année où Martin avait débarqué dans l'équipe. Il avait jugé le jeune agent sans avoir tous les éléments en main, uniquement parce qu'il était le fils du directeur-adjoint. Et puis quand il avait enfin compris que Martin n'était pour rien dans les magouilles de l'OPR, il lui avait lancé cette phrase en guise de calumet de la paix. Et Martin avait accepté, et ils étaient devenus des amis très proches.
Cette phrase prononcée à présent par Martin lui fit prendre conscience qu'il ne connaissait probablement pas toutes les données du problème. Et il fut soulagé de pouvoir laisser le bénéfice du doute à Martin.
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Oh c'est génial! Tu retranscris très bien les réactions des autres à l'annonce de cette nomination, et le dilemme de Martin.
Et mercredi est-ce que c'est persil aussi?
Et mercredi est-ce que c'est persil aussi?
Baraboo- Stagiaire au FBI
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Merci pour le persil... et puis ce n'était pas si court que ça..
Alors j'ai adoré la façon dont tu as fait venir le truc... et les réactions de tous...
Enfin, Danny qui fidèle à lui-même, dans un premier temps est prêt à l'envoyer bouler, puis qui se ravise en entendant son pote lui parler...
Bon c'est pas encore tout rose, et j'espère que ça ne va pas le devenir pour lui, mais si ça se passe bien déjà entre lui et Danny ça me va..
Encore ....
Alors j'ai adoré la façon dont tu as fait venir le truc... et les réactions de tous...
Enfin, Danny qui fidèle à lui-même, dans un premier temps est prêt à l'envoyer bouler, puis qui se ravise en entendant son pote lui parler...
Bon c'est pas encore tout rose, et j'espère que ça ne va pas le devenir pour lui, mais si ça se passe bien déjà entre lui et Danny ça me va..
Encore ....
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Ben non, parce que sinon vous n'aurez pas assez de patates!Baraboo a écrit:Et mercredi est-ce que c'est persil aussi?
je ne te savais pas aussi sadique, clairounett Je lui mettrai une chemise rose (qui lui va si bien ) pour compenser si ça devient vraiment trop pénible pour luiBon c'est pas encore tout rose, et j'espère que ça ne va pas le devenir pour lui
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Oh je trouvais Danny bien injuste mais finalement ça va, sa s'arrange lol. La phrase de vendre des chaussures ensemble est culte, ils sont trop cute ces deux la.
Ce passage était écrit a la perfection je sentait la sueur couler le long des omoplates de martin!( glamour tout ça mdr.)
Bravo mouchette. Le mercredi, cest le jour des petits, des raviolis...et des fics ( si si, ça rime lol.)
Ce passage était écrit a la perfection je sentait la sueur couler le long des omoplates de martin!( glamour tout ça mdr.)
Bravo mouchette. Le mercredi, cest le jour des petits, des raviolis...et des fics ( si si, ça rime lol.)
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
wouahhhhhhhhhh vivement la suite
tre- Elève à Quantico
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Trève de plaisanterie, je suis soulagée de voir que Danny va "peut-être" mieux prendre la chose que prévue. J'ai hâte de voir comment les autres vont réagir derrière son dos et...surtout...je me demande comment tout ça va se terminer.
mimi- Directeur du FBI
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
mimi a écrit:
Trève de plaisanterie, je suis soulagée de voir que Danny va "peut-être" mieux prendre la chose que prévue. J'ai hâte de voir comment les autres vont réagir derrière son dos et...surtout...je me demande comment tout ça va se terminer.
tout a fait d'accord mais il y a pas de suite
tre- Elève à Quantico
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Ah, mais les patates, c'est l'équivalent de "faire ceinture"... Donc, pas de suite...
Très, n'est-ce pas? Mais c'est la preuve qu'il est humainCe passage était écrit a la perfection je sentait la sueur couler le long des omoplates de martin!( glamour tout ça mdr.)
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Mouchette a écrit:Ah, mais les patates, c'est l'équivalent de "faire ceinture"... Donc, pas de suite...
NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN
tre- Elève à Quantico
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Mimi...shockedMouchette a écrit:Ah, mais les patates, c'est l'équivalent de "faire ceinture"... Donc, pas de suite...
mimi- Directeur du FBI
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Petite suite... pas très satisfaisante, mais bon...
Merci encore de me lire et surtout pour vos comm'
****************************
Les semaines s'enchaînèrent, sans grande amélioration au niveau des relations entre collègues. Personne n'était venu vers Martin pour discuter avec lui, et lui-même n'avait pas osé faire le premier pas. Il fallait dire que sa confrontation avec son père avait été si orageuse qu'il n'avait plus vraiment le courage de se confronter aux gens qu'il aimait. Et plus le temps passait, plus il était difficile de faire le premier pas.
Danny semblait accepter assez bien la situation, même s'il n'avait pas recherché à discuter avec lui. Le bénéfice du doute était, dans son cas, profitable à Martin. Elena semblait prise entre deux feux: d'un côté, elle était encline à suivre l'exemple de Danny, de l'autre, son amitié avec Sam lui faisait voir les choses un peu différemment.
Sam... Martin soupira. Il n'aurait jamais cru qu'elle lui en voudrait à ce point. Il avait pensé qu'elle le connaissait assez bien pour ne pas réagit aussi violemment, mais il s'était lourdement trompé. Et si lui-même n'arrivait plus à comprendre les réactions de son ancienne partenaire, comment pouvait-il attendre d'elle qu'elle le comprenne? Martin savait que la relation de Sam avec Jack avait lourdement pesé dans la balance. Il était maintenant un obstacle à la réintégration de Jack comme chef, et Sam ne semblait pas le lui pardonner.
Jack et Sam... A partir du moment où ils avaient appris la nomination de Martin comme chef-adjoint, leurs flirts s'étaient fait encore plus visibles, agaçants. Ils ne cachaient plus l'attirance qu'ils avaient l'un pour l'autre. Pourtant, Martin doutait qu’ils aient déjà franchi le pas…
Jack n'acceptait pas du tout la nomination de Martin. Il n'avait qu'une envie, c'était de retrouver son ancien poste. Jack était fait pour commander, pour prendre des initiatives sans devoir rendre de compte à personne ou presque. Il avait donc du mal à pardonner au jeune agent. Il ne cherchait pas à savoir pourquoi et comment Martin avait accepté ce poste, tout ce qu'il voyait c'était son avenir bouché dans cette équipe. Et comme cette équipe était sa raison de vivre, il ne trouvait pas la force de partir.
Martin ne comprenait pas vraiment le comportement de Jack. D'un côté, son ancien chef voulait absolument retrouver son poste, et de l'autre il faisait tout pour se remettre avec Sam. Comment pouvait-il viser deux objectifs si contradictoires? S'il se remettait avec Sam, il n'aurait aucune chance de se voir à nouveau confier la direction de l'équipe, à moins que Sam ne se fasse transférer. Et Martin doutait que cette dernière ait envie de cela. Et si Jack retrouvait son poste avant de se remettre avec elle, il ne pouvait qu'imaginer les problèmes que cela créerait dans les hautes sphères, et les jalousies de ceux qui avaient dû rompre ou se faire transférer pour des raisons similaires. Mais finalement, Jack vivait pour lutter contre les problèmes. Sans eux, c’était comme s’il était perdu, sans but.
Et puis, il y avait Vivian… Martin était terriblement gêné face à elle. Elle aurait mérité plus que quiconque cette promotion. Cependant, après quelques jours difficiles, elle était redevenue l’agent efficace qu’elle était, n’hésitant pas à lui parler et ne lui montrant aucune rancune. Vivian avait l’habitude de devoir surmonter des déceptions, elle était passée assez souvent par là pour savoir rebondir et trouver des raisons pour continuer. C’était sa façon de se protéger, de se blinder contre les déconvenues de sa vie. Et elle avait un assez grand cœur pour ne pas rejeter la faute sur les autres.
Trois enfants, deux femmes célibataires, un homme cocu, un grand-père, un toxicomane, une prostituée, une mère de 4 enfants, un chanteur, une politicienne, quatre adolescents, un avocat, un ouvrier, une athlète… Les dossiers s’étaient accumulés, ils avaient vu défiler la vie banale, extraordinaire, effrayante ou étrange de ces gens. Certaines affaires les avaient touchés, certains agents plus que d’autres selon les sensibilités et les parcours de vie. Tout cela était habituel.
Ce qui l’était moins, c’était le rôle de Martin. Plus les jours passaient, plus Medina déléguait la direction de l’équipe à son chef-adjoint. Martin s’en sortait bien, il prenait de bonnes décisions, mais parfois les rancœurs ressortaient et ses décisions étaient alors durement critiquées. Martin tentait d’évaluer chaque critique à sa juste valeur, mais ce n’était pas toujours facile, surtout face à son ancien chef qui lui tenait tête. Il perdait alors un peu de son assurance, mais réussissait toujours à faire en sorte que cela reste une discussion ouverte. Il n’avait encore jamais utilisé sa prérogative de chef : le « c’est un ordre ! » n’avait encore jamais franchi ses lèvres.
Et puis il y avait eu cette enquête sur ce jeune garçon d’à peine dix ans, qui s’était enfui de la maison parce que son voisin, de cinq ans plus âgé, le martyrisait, et qu’il n’osait rien dire à personne. Martin s’était retrouvé face à des souvenirs douloureux, il avait à la fois dû lutter contre sa propre mémoire et ses émotions, et contre les difficultés relationnelles dans l’équipe.
C’est là que Danny avait montré que l’amitié qu’ils avaient partagé jusque-là n’était pas morte. Il avait compris que Martin avait besoin d’aide, et il l’avait écouté, aidé et soutenu. A aucun moment son acceptation du poste de chef-adjoint n’était revenu sur le tapis, à aucun moment elle n’avait interféré, et cela avait fait du bien à Martin. Il avait compris qu’il pouvait vraiment compter sur Danny, que la confiance entre eux ne s’était pas évanouie. Tout n’était pas encore redevenu comme avant entre eux, peut-être cela ne le serait jamais, mais tout n’était pas perdu.
Merci encore de me lire et surtout pour vos comm'
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Les semaines s'enchaînèrent, sans grande amélioration au niveau des relations entre collègues. Personne n'était venu vers Martin pour discuter avec lui, et lui-même n'avait pas osé faire le premier pas. Il fallait dire que sa confrontation avec son père avait été si orageuse qu'il n'avait plus vraiment le courage de se confronter aux gens qu'il aimait. Et plus le temps passait, plus il était difficile de faire le premier pas.
Danny semblait accepter assez bien la situation, même s'il n'avait pas recherché à discuter avec lui. Le bénéfice du doute était, dans son cas, profitable à Martin. Elena semblait prise entre deux feux: d'un côté, elle était encline à suivre l'exemple de Danny, de l'autre, son amitié avec Sam lui faisait voir les choses un peu différemment.
Sam... Martin soupira. Il n'aurait jamais cru qu'elle lui en voudrait à ce point. Il avait pensé qu'elle le connaissait assez bien pour ne pas réagit aussi violemment, mais il s'était lourdement trompé. Et si lui-même n'arrivait plus à comprendre les réactions de son ancienne partenaire, comment pouvait-il attendre d'elle qu'elle le comprenne? Martin savait que la relation de Sam avec Jack avait lourdement pesé dans la balance. Il était maintenant un obstacle à la réintégration de Jack comme chef, et Sam ne semblait pas le lui pardonner.
Jack et Sam... A partir du moment où ils avaient appris la nomination de Martin comme chef-adjoint, leurs flirts s'étaient fait encore plus visibles, agaçants. Ils ne cachaient plus l'attirance qu'ils avaient l'un pour l'autre. Pourtant, Martin doutait qu’ils aient déjà franchi le pas…
Jack n'acceptait pas du tout la nomination de Martin. Il n'avait qu'une envie, c'était de retrouver son ancien poste. Jack était fait pour commander, pour prendre des initiatives sans devoir rendre de compte à personne ou presque. Il avait donc du mal à pardonner au jeune agent. Il ne cherchait pas à savoir pourquoi et comment Martin avait accepté ce poste, tout ce qu'il voyait c'était son avenir bouché dans cette équipe. Et comme cette équipe était sa raison de vivre, il ne trouvait pas la force de partir.
Martin ne comprenait pas vraiment le comportement de Jack. D'un côté, son ancien chef voulait absolument retrouver son poste, et de l'autre il faisait tout pour se remettre avec Sam. Comment pouvait-il viser deux objectifs si contradictoires? S'il se remettait avec Sam, il n'aurait aucune chance de se voir à nouveau confier la direction de l'équipe, à moins que Sam ne se fasse transférer. Et Martin doutait que cette dernière ait envie de cela. Et si Jack retrouvait son poste avant de se remettre avec elle, il ne pouvait qu'imaginer les problèmes que cela créerait dans les hautes sphères, et les jalousies de ceux qui avaient dû rompre ou se faire transférer pour des raisons similaires. Mais finalement, Jack vivait pour lutter contre les problèmes. Sans eux, c’était comme s’il était perdu, sans but.
Et puis, il y avait Vivian… Martin était terriblement gêné face à elle. Elle aurait mérité plus que quiconque cette promotion. Cependant, après quelques jours difficiles, elle était redevenue l’agent efficace qu’elle était, n’hésitant pas à lui parler et ne lui montrant aucune rancune. Vivian avait l’habitude de devoir surmonter des déceptions, elle était passée assez souvent par là pour savoir rebondir et trouver des raisons pour continuer. C’était sa façon de se protéger, de se blinder contre les déconvenues de sa vie. Et elle avait un assez grand cœur pour ne pas rejeter la faute sur les autres.
Trois enfants, deux femmes célibataires, un homme cocu, un grand-père, un toxicomane, une prostituée, une mère de 4 enfants, un chanteur, une politicienne, quatre adolescents, un avocat, un ouvrier, une athlète… Les dossiers s’étaient accumulés, ils avaient vu défiler la vie banale, extraordinaire, effrayante ou étrange de ces gens. Certaines affaires les avaient touchés, certains agents plus que d’autres selon les sensibilités et les parcours de vie. Tout cela était habituel.
Ce qui l’était moins, c’était le rôle de Martin. Plus les jours passaient, plus Medina déléguait la direction de l’équipe à son chef-adjoint. Martin s’en sortait bien, il prenait de bonnes décisions, mais parfois les rancœurs ressortaient et ses décisions étaient alors durement critiquées. Martin tentait d’évaluer chaque critique à sa juste valeur, mais ce n’était pas toujours facile, surtout face à son ancien chef qui lui tenait tête. Il perdait alors un peu de son assurance, mais réussissait toujours à faire en sorte que cela reste une discussion ouverte. Il n’avait encore jamais utilisé sa prérogative de chef : le « c’est un ordre ! » n’avait encore jamais franchi ses lèvres.
Et puis il y avait eu cette enquête sur ce jeune garçon d’à peine dix ans, qui s’était enfui de la maison parce que son voisin, de cinq ans plus âgé, le martyrisait, et qu’il n’osait rien dire à personne. Martin s’était retrouvé face à des souvenirs douloureux, il avait à la fois dû lutter contre sa propre mémoire et ses émotions, et contre les difficultés relationnelles dans l’équipe.
C’est là que Danny avait montré que l’amitié qu’ils avaient partagé jusque-là n’était pas morte. Il avait compris que Martin avait besoin d’aide, et il l’avait écouté, aidé et soutenu. A aucun moment son acceptation du poste de chef-adjoint n’était revenu sur le tapis, à aucun moment elle n’avait interféré, et cela avait fait du bien à Martin. Il avait compris qu’il pouvait vraiment compter sur Danny, que la confiance entre eux ne s’était pas évanouie. Tout n’était pas encore redevenu comme avant entre eux, peut-être cela ne le serait jamais, mais tout n’était pas perdu.
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
Mouchette a écrit:Petite suite... pas très satisfaisante, mais bon...
Mais pourquoi qu'elle dit ça la madame ??? Elle est très bien cette suite.
On voit la réaction de tout le monde. Certaines plutôt prévisibles... Martin semble maîtriser son sujet mais ce n'est pas une grande suprise...et Danny, fidèle...ça vaut tout l'or du monde.
Bref, une jolie suite et j'ai hâte de savoir ce que tu réserves à notre nouveau chef d'équipe.
mimi- Directeur du FBI
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
mimi a écrit:Mouchette a écrit:Petite suite... pas très satisfaisante, mais bon...
Mais pourquoi qu'elle dit ça la madame ??? Elle est très bien cette suite.
On voit la réaction de tout le monde. Certaines plutôt prévisibles... Martin semble maîtriser son sujet mais ce n'est pas une grande suprise...et Danny, fidèle...ça vaut tout l'or du monde.
Bref, une jolie suite et j'ai hâte de savoir ce que tu réserves à notre nouveau chef d'équipe.
tout pareil que mimi
tre- Elève à Quantico
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
[quote="mimi"]
Pas une grande surprise, parce que c'est moi qui écris, ou parce que ça ressemble assez bien à Martin?
Mouchette a écrit:Martin semble maîtriser son sujet mais ce n'est pas une grande suprise...
Pas une grande surprise, parce que c'est moi qui écris, ou parce que ça ressemble assez bien à Martin?
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
[quote="Mouchette"]
Parce que ça ressemble à Martin !!! Que vas-tu t'imaginer !
mimi a écrit:Mouchette a écrit:Martin semble maîtriser son sujet mais ce n'est pas une grande suprise...
Pas une grande surprise, parce que c'est moi qui écris, ou parce que ça ressemble assez bien à Martin?
Parce que ça ressemble à Martin !!! Que vas-tu t'imaginer !
mimi- Directeur du FBI
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Localisation : Aux MAA ( Martin's Addicted Anonyms )
Date d'inscription : 16/03/2006
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
j'ai eu une fausse joie je penssai trouver une suite
tre- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Offres d'emploi (complète; général; PG)
je viens juste de lire cette fic, et ma foi je la trouve géniale, le père de Martin est vraiment un beau salaud, sois il accepte le poste soit " il cause" le renvoi d'un de ses amis et collègue, difficiles décision. heureusement que vivi et Danny même après " une déception et colère" justifié ne tourne pas le dos à Martin . vivement la suite
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