ro... 1 nouvel fanfic... sur Jack/Danny

Voila alors c ma première fanfic, sil vs plait de lindulgence !!! j'ai peur de vos réactions !!! rolala... hihihi Bon b bone lecture !

Rencunes.




Il est 10h. La cloche sonne dans une école primaire de la 10e avenue, New York. Tous les enfants sortent en discutant et en riant, attrapent manteau, ballons et cordes à sauter et se précipitent dans la cour. Parmis eux, une petite fille d’environ 6 ans, les cheveux blonds et les yeux marrons. Elle joue avec ses amies à la marelle. A quelques mètres, derrière la grille de l’école, un homme la regarde en souriant.

L’homme : Léa !

La petite fille se retourne et regarde l’homme avec curiosité. Puis, elle s’approche en sautillant.


Disparue depuis 1 heures.

Ø Devant l’école – 11h.

Danny arrive en courant et se dirige vers Martin qui est en train d’interroger une maitresse, visiblement très inquiète.

Danny : Qu’est-ce qu’on a ?
Martin : Léa Slater, 6 ans, elle a disparu de la cour en plein milieu de la récréation.
Danny : Les enseignants n’ont rien vu ?
Martin : Non, rien de particulier. On va interroger les enfants, voir si l’un d’eux a vu quelque chose.
Danny : Ok. Où est Jack ?
Martin : Il est allé interrogé les parents chez eux avec Sam.



Ø Maison de Léa.

Sam et Jack sont devant une grande maison de la banlieue de New York. Une voiture de police est déjà garée devant le jardin. Des policiers entrent et sortent de la maison en emportant des papiers et autres possibles indices. Un couple attend devant la porte. Jack s’approche d’eux.

Jack : M. et Mme Slater ?
L’homme : Oui…

Jack sort son insigne, Sam également.

Jack : Agent Jack Malone, du FBI, et voivi l’agent Samantha Spade. Nous
Dirigeons l’enquête pour retrouver votre fille. Nous pouvons nous asseoir un moment. Nous avons quelques questions à vous poser.
Mme Slater : Oui, bien sûr. Entrez.

Tous se dirigèrent vers le salon. La maison était grande et assez luxueuse. Très bien meublée et décorée, dans un style très moderne. Ils s’assirent dans des canapés en cuir.
M. Slater prit sa femme par les épaules. Celle-ci paraissait au bord de la rupture mais elle se contenait. Elle paraissait être le genre de femme gardant sa dignité même dans les pires moments.

Jack : Très bien. Nous avons besoin de toutes les informations concernant votre fille.
Mme Slater : Léa est une enfant géniale. Un peu fatiguante, parfois. Vous voyez… Elle déborde d’énergie. Et elle est très intelligente. Et curieuse, avec ça. Vous savez, le genre d’enfant d’enfant à toujours poser des questions sur tout.

La mère étouffa un sanglot. Son mari la réconforta.

Jack : Est-ce que votre fille avait des problèmes à l’école, avec son institutrice ou certains de ses camarades.
M. Slater : Non, jamais. Elle a toujours eu des bonnes notes et elle adore aller à l’école. Son enseignante la trouve même un peu trop entousiaste parfois.
Jack : Je vois. Ma fille est pareille.
M. Slater : Vous pensez que quelqu’un de l’école aurait pu l’enlever ?
Jack : Nous ne pouvons n’écarter aucune hypothèse mais nous n’en sommes qu’au stade préliminaire de l’enquête. Nous ne sommes surs de rien.
Mme Slater : Est-ce que ça peut être pour de l’argent ? Nous sommes assez aisé et nous ne nous en sommes jamais caché. Vous pensez que le kidnappeur peut demander une rançon ou quelque chose dans le genre.
Sam : C’est une piste à ne pas négliger en effet. Un agent va mettre votre téléphone sur écoute au cas où le ravisseur appelerait.
M. Slater : Très bien. Faites tout votre possible.

Sam aperçut la photo d’un jeune homme sur la cheminée, un adolescent d’un quinzaine d’année environ.

Sam : Qui est-ce ?
M. Slater : C’est Colin, notre fils, le grand frère de Léa. Il est interne dans un lycée en dehors de la ville.
Jack : Nous allons devoir l’interroger également.
Mme Slater : Bien sûr. Vous savez, il est très proche de Léa. Il va être bouleversé par cet évênement.

Bon début la suite.

Très interressant ...

Une petite suite s'il te plait..

Disparue depuis 2h

Ø Salle de classe de l’école – 12h.

Danny : Réfléchis bien, Jimmy. Tu es sûr que personne n’est venu voir Léa ce matin dans la cour
Jimmy : J’ai pas bien vu. Je jouais au ballon avec mes copains.
Danny : Tu aimes bien Léa ?
Jimmy : Oui, avant c’était mon amoureuse.
Danny : Personne n’est venu lui parler, tout à l’heure ou même un autre jour.
Jimmy : Hier, Il y a un monsieur qui est venu à la fin de l’école. Il lui a parlé et après il est parti.
Danny : Tu te souviens à quoi ressemblait ce monsieur ?
Jimmy : Il était grand et il avait les cheveux noirs. Mais je l’ai pas bien vu, il est parti vite.
Danny : Ca n’était pas le papa de Léa, tu en est sûr ?
Jimmy : Oui.

Danny sourit.

Danny : Merci pour ton aide Jimmy.


Ø Dans le couloir de l’école. Devant la salle de classe.

Viviane : Mme Smith, comment était Léa en classe ?
Mme Smith : Oh, c’est une enfant très dynamique et très entousiaste, pleine d’énergie. Le genre d’élève assez fatiguant sur le moment mais dont on est fière à long terme. Elle est très intelligente et très douée. Elle apprend très vite.
Viviane : Elle s’entendait bien avec les élèves ?
Mme Smith : Oh oui ! Tout le monde aime Léa ici. Elle est très drôle et très généreuse… et très sociale aussi. Elle va très facilement vers les gens. Elle n’est pas du tout timide.
Viviane : Et rien n’avait changé dans son comportement ou dans le comportement de l’un de ses camarades ?
Mme Smith : Non rien… Je ne crois pas. Ah si ! Il y a bien quelques choses. Il y a trois jours, j’ai trouvé un mot sur la table de Léa à la fin de la journée.
Viviane : Qu’y avait-il écrit dessus ?
Mme Smith : Attendez, je vais vous le montrez. Je l’ai gardé. Je comptais le donner aux parents.

Elle se dirigea vers son bureau et en revint avec une petite lettre d’une dizaine de lignes.

Mme Smith : Je ne suis pas sûre que ce soit destinée vraiment à Léa. Elle apprend vite mais pas assez pour pouvoir lire une lettre avec cette écriture.

En effet, la lettre avait une écriture adulte, presque incompréhensible. Viviane la lut et sortit son portable.

Viviane : Jack, on a quelque chose.

Au même moment, Danny sortit de la salle de classe.

Danny : La plupart de ses enfants n’ont rien vu mais il n’y en a quand même quelques uns qui ont pu me renseigner. Un petit Jimmy l’a vu discuter avec un homme hier qui n’était pas son père. Un homme grand et brun. Et toi, tu as du nouveau ?
Viviane : Oh, oui ! Je dois retourner au bureau. Jack te demande d’aller interroger Colin, le frère de Léa. Il est interne dans un lycée à quinze minutes d’ici.
Danny : Très bien. Tu me tiens au courant.
Viviane : Ok.


Disparue depuis 3h

Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

Viviane arrive au bureau.
Jack : Alors, qu’est-ce que tu as ?
Viv : Un mot que l’institutrice de Léa a trouvé sur sa table il y a trois jours.
Jack : Montre.

Il prend le petit papier, lit et regarde Viviane d’un air étonné.

Jack : « Très mignonne… Plus que trois jours et je t’aurais… Je sais que tu ne paux pas résister à de beaux yeux comme les siens. Tic Tac, l’horloge tourne. »
Martin : Ca, c’est bizarre. On aurait affaire à un pervers.
Jack J’en sais trop rien. Mais ça peut prouver que l’enlèvement était prémédité et préparé. De plus, si Léa avait ça sur sa table, c’est qu’elle avait déjà vu son kidnappeur au moins une fois. Les adultes ne sont pas autorisés à entrer dans les salles de classe.
Viv : On ne peut pas encore négliger la piste de l’argent. Les parents sont très riches. Ca ne fait que trois heures. On peut encore recevoir une demande de rançon.
Jack : « Plus que trois jours et je t’aurais… ». Ca évoque une vengeance. Martin, Sam, retournez voir les parents et demandez-leur si ils ont des ennemis, des gens qui leur voudraient du mal
Sam et Martin se lèvent rapidement et partent.
Jack : Viv, vérifie si il y a des délinquants sexuels vivant dans le secteur et si tu en trouves, va les interroger.
Viviane : Ok.
Jack : Je vais retrouver Danny au lycée du frère.



Disparue depuis 4h

Ø Lycée Hilton, New York – dans le parc.

Danny : On m’a dit que tu étais proche de ta sœur.
Colin : Oui, bien sûr. Enfin, on se voyait plus beaucoup ces derniers temps.
Danny : Pourquoi ?
Colin : Et bien, je suis en internat et j’ai 16 ans, lorsque je rentre le week end, je vois ma copine et je sors avec mes amis.
Danny : Je vois. Tu penses que ta sœur en souffrait ?
Colin : Un peu. Elle est venue me voir la semaine dernière.


Flash-back

Ø Maison de Léa – Chambre de Colin.

Colin est allongé sur le lit. Il écoute de la musique en regardant un magazine. La porte s’ouvre doucement et Léa entre.

Colin : Léa, qu’est-ce que tu fais là ? Je t’ai déjà dit de ne pas entrer dans ma chambre sans prévenir.
Léa : Je m’ennuie.
Colin : Va chercher la voisine. Je suis sûr qu’elle voudra jouer avec toi.
Léa : Elle est partie chez son papa ce week end.
Colin : Bon, viens t’asseoir là.

Léa va s’asseoir sur le lit à coté de son frère.

Léa : Pourquoi tu joues plus avec moi ?
Colin : Mais je joue encore avec toi parfois mais j’ai aussi d’autres choses à faire, du travail, des amis.
Léa : Tu as trop de travail !
Colin : ( riant ) Tu me le fais pas dire. Je suis parfaitement d’accord avec toi.
Léa : De toute façon, j’ai trouvé un autre grand frère. Lui, il joue tout le temps avec moi, il a pas de travail et pas d’ami.
Colin : Ah oui ! Et qui est ce garçon merveilleux sur qui je devrais prendre exemple.
Léa : J’ai pas le droit de le dire, c’est un secret…
Colin : Et si tu me le chuchotes à l’oreille.
Léa : Non, c’est un très gros secret.

Léa sort de la chambre en sautillant.

Fin du flash-back

Colin : Si ça se trouve, ce grand frère qu’elle avait trouvé, c’est son kidnappeur.
Danny : En effet. Elle ne t’as rien dit d’autre sur lui.
Colin : Non, rien. Vous savez comment sont les petits à cette âge. Si vous leur demandez de vous révéler un secret, vous pouvez toujours réver. Par contre si vous n’insistez pas, ils feront toujours une boulette à un moment ou à un autre, plus ou moins volontaires.
Danny : Je vois.

Il marchait lentement dans le parc. Danny prenait des notes lorsqu’une grosse voiture noire s’arrêta juste devant eux, manquant de renverser Colin. Deux hommes en sortirent, cagoulés. Danny n’eut pas le temps de sortir son arme.

Tout se passa très vite. L’un des hommes se jeta sur Colin, l’immobilisa à terre, pendant que l’autre écrasa un mouchoir de chloroforme sur le visage de Danny. Celui-ci se débatit un moment puis s’évanouit. L’homme l’embarqua violemment à l’arrière de la voiture.

Le premier homme se pencha sur Colin, toujours immobilisé.

L’homme : Salut à toi. Tu as le bonjour de ta petite sœur.
Colin : Enfoiré ! Où est-elle ?
L’homme : Ne t’inquiète pas pour elle. Elle va bien. Vous allez bientôt la retrouver. Elle était seulement un prétexte, un appat si tu préfères.
Colin : Un appat ?
L’homme : Tu vas donné ça à une connaissance que j’ai au FBI.

L’homme sortit une lettre avec écrit Jack.

L’homme : A bientôt, peut-être…

Il monta lui aussi dans la voiture et démarra avant que la sécurité du lycée n’arrive.

oooooo! une suite! une suite s'il te plait!

ça y est pour la énième fanfic dont je deviens accro, qui c'est ce type qui enlève une enfant pour se venger de Jack?
Je sens que si Jack le défigure pâs avant la fanfic c'est parce que c'est trop violent
vite la suite

Ben et danny ? Le pauvre

C'est nul de kidnapper un enfant pour faire flipper Jack.

Une petite suite s'il te plait !! Les smilies veulent tout dirent :

Disparue depuis 5 heures.

Jack arrive au lycée Hilton et se dirige vers le parc où il retrovuve un agent de la police locale.

Jack : Que se passe-t-il ?
L’agent : Vous êtes Jack Malone ?
Jack : C’est moi. Je cherche l’un de mes agents, Danny Taylor. Il devait interroger un élève ici, Colin Slater.
L’agent : Colin est là-bas, près de la voiture avec l’infirmière de l’école. Je ne sais pas où est votre agent. Je viens d’arriver. Allez l’interroger directement.
Jack : Très bien. Merci.

Jack se dirigea vers Colin qui discutait avec l’infirmière, un verre d’eau à la main, une couverture sur les épaules, visiblement sous le choc.

Jack : Colin Slater ?
Colin : Oui.
Jack : Je suis l’agent Jack Malone, du FBI. Que t’est-il arrivé ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Colin : On a été attaqué.
Jack : On ?
Colin : Un autre agent du FBI était en train de m’interroger et il nous ont attaqué. Je n’ai rien pu faire. Tout s’est passé si vite.
Jack : Mais l’autre agent. Où est-il ?
Colin : Ils l’ont emmené. Ils l’ont emmené avec eux.
Jack : Quoi ?
Colin : Il lui ont fait sentir un mouchoir, il s’est évanoui et ils l’ont emmené.
Jack : Combien étaient-ils ?
Colin : J’en ai vu deux, mais il y en avait sûrement un troisième au volant de la voiture.
Jack : Tu as vu à quoi ils ressemblaient ? Tu pourrais faire un portrait-robot ?
Colin : J’ai très bien vu celui qui me retenait à terre mais l’autre j’avais du mal à le voir.
Jack : Très bien. Je vais envoyer un agent pour le portrait –robot. Si tu te souviens de quoi que ce soit, tu appelles ce numéro, d’accord ?
Colin : D’accord.

Jack commença à s’éligner quand Colin se leva et s’écria :

Colin : Attendez ! Vous vous appelez Jack, c’est ça ?
Jack : Oui.
Colin : L’homme. Il m’a donné quelque chose pour vous.
Jack : Vraiment ?

Jack revint sur ses pas. Colin sortit la lettre de sa poche. Elle était un peu froissé mais on lisait toujours distinguement Jack devant.

Jack : Merci.
Colin : Il a dit aussi que Léa était un appat et que je la reverrais bientôt. Vous l’avez retrouvé ?
Jack : Non, pas encore.
Colin : Faites de votre mieux. Retrouvez-là s’il vous plait. Et bonne chance pour votre agent aussi.
Jack : Merci. A bientôt.

Dans sa voiture, Jack ouvrit la lettre. Elle était très courte, une dizaine de lignes environ. Il la retourna, il n’y avait rien d’écrit au verso. L’écriture ne lui était pas familière.

"Bonjour Jack. Je me demande si tu te souviens de moi. Non, je ne pense pas. Bientôt, tu ne pourras pas m’oublier. Toi qui te crois si fort, tu penses que tu sauras me retrouver ? Tu en as très envie. J’ai l’un de tes agents, qui plus est l’un de ceux à quoi tu tiens le plus. L’horloge tourne Jack. Tic Tac, Tic Tac…
PS : Pour la petite, elle ne me sert plus à rien maintenant, je vais sûrement la relacher. Mais je ne vais pas te dire où, à toi de le deviner. Tu es bien assez fort pour ça, n’est-ce pas ?"

Par Pitié une suite...

oui, une suite!

La suiteuh elle est trop bien!!

une suite une suite!!! c'est génial !!! et mon pauvre 'tit danny hein??? vite Jack !!!!

Disparue depuis 6h

Ø Bureau du FBI – Service des personnes disparues.

L’équipe est réunie pour un briefing. La lettre et l’enlèvement de Danny a complétement changé le cours de l’enquête.

Jack : Il a relaché Léa, nous en sommes presque sûr mais il ne nous dit pas où.
Sam : Ca pourrait être du bluff, pour nous mettre sur une fausse piste.
Jack : Je ne crois pas. Comme il le dit, il a eu ce qu’il voulait. Je pense qu’il a laissé la petite dans un endroit où moi seul pourrait la trouver. Il joue avec moi cet enfoiré. Et on a aucune piste. Rien.
Martin : Tu as de nombreux ennemis mais je pense qu’on pourrait se concentrer sur les hommes grands et bruns qui serait sortis de prison dans les dernières semaines.
Jack : Très bien, tu t’en occupes.
Viviane : Et pour Danny ?
Jack : Vérifie son portable. Même si je pense que cet homme est assez intelligent pour penser à l’éteindre, il ne faut rien négliger.
Viv : Ok.
Jack : Je vais contacter un profiler, il pourra peut-être nous aider à comprendre ce que cet homme attend de moi.
Sam : Et moi, je fais quoi ?
Jack : Contrôle les vidéos des routes aux alentours du lycée Hilton. Tu dois trouver une voiture, genre crossover noire et à peu près neuve.
Sam : Ok, je m’y mets tout de suite.

Jack se lève et se dirige vers son bureau pour contacter l’un des meilleurs profiler du FBI. Tout à coup, son portable sonne, le numéro est masqué.

Jack : Malone.

La voix qui lui répond est déformée.
X : Hey, Jack, mon ami. Comment vas-tu ? Pas trop inquiet ? J’appelle pour te donner quelques nouvelles de ton agent.
Jack : Passe le moi, je veux lui parler.
X : Aaah, j’aurais bien voulu, mais malheureusement, il n’est pas vraiment en état. Alors comment ça fait ? Danny, tu le considères comme ton fils n’est-ce pas ? Et l’un de tes meilleurs agents. Qu’est-ce que ça te fait de savoir que tu ne le reverras peut-être jamais. Ca ne tiens qu’à toi, Jack, Ca ne tiens qu’à toi.
Tic, tac, tic, tac….

Pendant la conversation, il était revenu sur ses pas, et avait fait signe à l’équipe qu’il était en liaison avec l’homme. Viviane avait branché le localisateur et le haut-parleur. Tous avais écouté avec attention.
La laison fut coupée avant que Jack n’est pu répondre. Il essaya de reprendre ses esprits. Un silence s’installa.

Viviane : On n’a pas eu le temps de le localiser.
Jack : Martin, limite la recherche. Cet homme est intelligent et cultivé. C’est un fin psychologue. Il n’a pas choisi Danny par hasard. Tout est calculé. ( pour lui-même ) L’enfoiré.
Martin : Ok. Ca prendra un peu de temps, tu as mis énormément de personnes en prison.
Jack : Ne cherches pas seulement les hommes que j’ai mis en prison mais aussi le père d’un enfant que je n’aurais pas réussi à retrouver à temps. Il a enlevé Danny car il sait que je le considère comme mon fils, il le dit lui même.
Martin : Je vois.
Jack : Je vais appeler le profiler. Allez, on se dépèche.

Toujours aussi bien, continu comme ça! j'ai hâte de lire la suite!
Qu'est-il arrivé à Danny? Ou est-il?

quoi Danny est pas en état???? nannnn...pauvre danny!!!
la suite

encore les malheurs de danny ! mais j'adore !!!!

dsl pour la suite ça prend un peu de temps mais c bien ainsi ça conserve le souspense hihihi

Voilà enfin la suite, désolé de vous avoir fait attendre...

Léa disparue depuis 7 heures
Danny disparu depuis 2 heures

Dans son bureau, Jack a la tête dans les mains. Il relit la lettre et se remémore le message. Où Léa peut-elle bien être ?
Une femme frappe à la porte.

La femme : Bonjour, je suis l’agent Davenport, Lucy Davenport. Je suis profiler. Vous m’avez demandé ?
Jack : Oui, entrez. Agent Jack Malone. Je vais vous expliquez l’affaire.

Jack lui résuma l’affaire en quelques mots, lui montra le message et lui fit écouter la conversation téléphonique.

Jack : Nous devons absolument savoir qui c’est ou ce qu’il attend de moi pour retrouver Léa vivante ainsi que mon agent.
Lucy : Très bien. Il y a très peu d’éléments, il est difficile de faire un profil.
Jack : Faites ce que vous pouvez.
Lucy : C’est un homme méticuleux et intelligents. Il vous en veux beaucoup mais je pense qu’en même temps, il vous admire. Il est égocentrique et il veut prouver, se prouver qu’il est meilleur que vous. C’est quelqu’un qui doit assez bien vous connaître, sans non plus être un ami proche bien sûr, ni même un copain que vous voyez régulièrement, mais quelqu’un qui vous vois évoluer dans votre environnement, qui connaît vos habitudes et vos relations.
Jack : Ca peut être quelqu’un qui travaille ici ?
Lucy : Oui, c’est possible, pas dans votre équipe, mais une personne que vous avez cotoyé à l’occasion.
Jack : Et que veut-il de moi ?
Lucy : Il doit vouloir que vous admettiez qu’il est le plus fort et le plus intelligent.
Jack : Je vois, j’ai déjà rencontrer un homme du même genre.
Lucy : Graham Spaulding ?
Jack : Oui, c’est ça.
Lucy : J’ai lu le dossier.
Jack : Nous avions pensé que ça pouvait être le père d’un enfant que je n’avais pas retrouvé à temps et qui voudrait se venger.
Lucy : C’est possible en effet, mais ça n’est pas une simple vengeance. Il y a une véritable mise à l’épreuve, une volonté de vous faire souffrir.
Jack : Je vois. Et à votre avis, dans quel sorte d’endroit aurait-il caché la petite fille.
Lucy : Dans un endroit que vous connaissez, ça ne fait aucun doute, peut-être un endroit que vous avez aimé enfant, ou plutôt…

Elle s’arrête un instant, réfléchissant.

Lucy : Ou plutôt un endroit que vous n’avez pas aimé enfant, un endroit qui vous a fait souffrir.
Jack : Je ne vois pas.


Dites-moi si vous voulez une suite

Par pitié une suite je t'en supplie

( danny c'est pas une fille, danny disparue depuis.. )

C'est pas une critique comme tu as dis que tu n'étais pas trés fort (e ) en ortho..

Sinon...

oups désolé ! l'orthographe et moi en effet...
pourtant je fais des efforts !!!
mais merci de la remarque deborah !

et voila, c'est corrigé !

et voilà, une petite suite, bonne lecture
et merci pour vos encouragements



Lucy : Je vais étudier plus profondément les messages, son écriture, son ton de voix, mais pour cela, je dois aller dans mon bureau. Si vous pensez à quelque chose, appelez-moi.
Jack : Très bien. A plus tard.



Ø Quelque part à l’ouest de New York.

Danny se réveille. Il essaye de se lever mais sa tête le fait souffrir. Il est allongé dans un endroit sombre. Il fait froid. Il entend quelque chose près de lui. Il se retourne. Une petite silhouette est allongé à quelques mètres de lui.

Danny : Léa ?

Aucune réponse. Il se redresse avec difficulté et s’approche. C’est bien Léa.

Danny : Léa ? Léa, réveille-toi.

Il craint le pire mais la petite fille s’agite et ouvre les yeux. En apercevant le jeune homme au-dessus d’elle, elle commence à se débattre et à essayer de se dégager. Danny la retient fermement, sans toutefois lui faire mal.

Danny : Léa ? Calme-toi ! Je suis venue pour t’aider. On te cherche depuis ce matin.
Léa : Où sont mes parents ? Et Colin ? Où ils sont ? Je veux les voir !
Danny : Je suis désolé. Tu ne peux pas les voir tout de suite. Est-ce que tu sais qui est-ce qui t’a emmenée ici ?
Léa : C’est Ray. Il a été méchant avec moi.

Danny observa avec attention, la petite fille. Elle ne semblait pas avoir peur, elle avait plutôt l’air en colère. Danny fut impressioné par le caractère de cette gamine de 6 ans.
Il remarqua des bleus sur ses bras et une écorchure sur son visage.

Danny : Il t’a fait du mal ?
Léa : Il a voulu m’enfermer, et moi je voulais pas alors il m’a serré le bras très fort et il m’a jeté contre le mur. Et toi, il t’a fait mal ?

Danny fut déconcerté.

Danny : Non… non, je ne crois pas. Ne t’inquiète pas, mes amis vont bientôt nous retrouver et tu retrouveras ta famille.
Léa : D’accord.

Elle frissona. Danny se rendit compte qu’elle devait être frigorifié. Il enleva son manteau et l’envellopa autour de Léa, puis la prit dans ses bras pour la réchauffer. Léa se laissa faire et se rendormit au bout de quelques minutes.
Danny resta éveillé. Il regarda autour de lui, essayant de repérer un quelconque indice sur ou il était où sur combien de temps il s’était passé depuis l’enlèvement.

normalement, je mets la suite des ce soir, si vous le voulez bien, bien sûr !

Oui! oui! et oui! je veux une suite!!!