Surprise ! (Terminée)

Verdict : je me suis tapée l'aller-retour ce soir après le boulot jusqu'à chez mes parents ( 70 km...). La disquette n'y fonctionne pas non plus...

Résultat : je dois tout réécrire...

foutue disquette

a ca c con !!

c chian kan c comme sa !!!

et bien je te souhaite merdouille pour tout retaper et si tu connais quelqu un qui travaille avec disquette essaye qd meme

ma pauvre mais dis moi l'ordi ne pas demandé de restaurer !!!

nathaloche a écrit:ma pauvre mais dis moi l'ordi ne pas demandé de restaurer !!!

Nan, il me dit juste que la disquette n'est pas formatée... Sachant que je travaille avec des disquettes préformatée...c'est strange...

Je pense que l'ordi de mes parents doit avoir une version plus récente de Words et que ça a du coup tout fait beuguer...ce que je ne comprends pas dans la mesure où ce n'est pas la 1ère fois que je bosse un truc sur les 2 ordis...

c'est bizarre tout ca

mais taurai du mettre sur clef usb !!

apres tout on a jamais di ke linformatik c'etait simple et sans soucit !!

mimi a écrit:Verdict : je me suis tapée l'aller-retour ce soir après le boulot jusqu'à chez mes parents ( 70 km...). La disquette n'y fonctionne pas non plus...

Résultat : je dois tout réécrire...

Courage Mimi... ....


HS : samandmartin, je veux pas être rabat-joie..( surtout que je suis pas modo..) mais on a (j'ai) du mal à te comprendre des fois.. alors si tu pouvais faire un effort juste en écrivant les mots en entier, ce serait sympa...

oui si tu veux !!! c'est juste que parfois je suis pressée ou parfois j'ai ma soeur dans les bras !!!

donc parfois c'est dur !!

mais désolé !!

Bien que je ne sois pas entièrement satisfaite ( ben oui, je préférai ma version initiale plus coulante ), je n'arrive pas à faire mieux... Satanées disquettes...


Chambre de Samantha Spade
Quelques temps plus tard…

Sam, vêtue d’une chemise d’hôpital, était allongée dans son lit et observait sans un mot Martin qui faisait les cent pas dans la chambre. Elle avait subit toute une batterie d’examens et de tests tandis qu’il avait terminé l’interrogatoire de Bingham et ils attendaient qu’un médecin daigne vouloir venir leur faire part du diagnostic. Pour la énième fois depuis les cinq dernières minutes, Martin ouvrit la porte pour passer la tête dans le couloire, histoire de vérifier si personne ne venait pour eux.

Sam soupira.

- Tu sais, tu n’es pas obligé de rester, dit-elle en roulant des yeux. Je vais bien maintenant.

Martin se retourna vers elle et referma la porte.

- Je t’ai amenée ici…je repars avec toi, répondit-il fermement en croisant les bras sur son torse d’un air de défit.
- Ok, ok, capitula Sam en levant les bras en l’air. Mais pour l’amour du ciel, arrête de tourner en rond et viens plutôt t’asseoir ici, termina-t-elle en désignant le fauteuil près du lit.

Martin lui envoya un sourire d’excuse.

- C’est juste que je me demande ce qui leur prend si longtemps.

Il n’eut pas le temps de faire plus de trois pas en direction du fauteuil que la porte s’ouvrit sur un homme en blouse blanche au visage rond qui le rendait d’emblée sympathique.

- Bonjour, bonjour, s’exclama-t-il en entrant dans la chambre. Désolé de vous avoir fait attendre, mademoiselle…euh Spade, ajouta-t-il après avoir consulté le dossier qu’il avait entre les mains.
- C’est bon…alors, qu’est-ce que j’ai mangé qui m’a rendu malade ? demanda Sam sans perdre de temps, impatiente de quitter les lieux.

Malgré ce qu’elle avait dit à Martin quelques secondes plus tôt, elle se sentait fatiguée et toujours nauséeuse mais aspirait à retrouver son chez elle pour reprendre des forces. Elle souhaitait plus que tout que le médecin lui annonce qu’elle pouvait sortir.

Le médecin eut un petit rire énigmatique et laissa courir son regard de Sam vers Martin avant de le reposer sur Sam. Les deux agents se lancèrent un coup d’œil perplexe et se tournèrent vers l’homme en blanc.

- Docteur ? interrogea Sam.
- Mademoiselle, commença-t-il un sourire toujours aux lèvres, ce que vous avez ne s’attrape pas en mangeant. J’espère que vous et votre mari êtes prêts parce que, vous n’êtes pas malade…vous êtes enceinte.

Un ange passa.

Le médecin attendait une réaction quelconque de l’une ou l’autre des personnes présentes dans la chambre mais il ne s’attendait certainement pas à un tel silence de mort. Il observa la jeune femme qui semblait totalement hagarde, les yeux dans le vide, la bouche entrouverte comme si elle essayait de dire quelque chose mais qu’aucun son ne voulait sortir. Il se tourna alors vers le jeune homme qui avait une attitude identique, les yeux fixés sur la jeune femme allongée.

- Euh, vous m’avez entendu ? tenta le médecin bien que ce fut évident que la réponse était affirmative.
- Je…je vais attendre dehors, dit subitement Martin en faisant volte-face.

La voix de son collègue fit sortir Sam de sa torpeur et elle sursauta avant de se retourner vivement vers lui. Mais il refermait déjà la porte derrière lui avant qu’elle ne puisse dire quoique ce soit.

- Mademoiselle Spade ?

La voix du médecin attira son attention et elle détourna son regard de la porte close.

- Je…hum, je suis désolé si j’ai été maladroit mais…je pensais…votre mari…vous…ce n’est pas une bonne nouvelle ? demanda le médecin, de plus en plus certain d’avoir mis les pieds dans le plat. Visiblement, vous ne vous y attendiez pas et…
- Ce n’est pas mon mari, l’interrompit Sam, soudain irritée par l’hésitation du médecin.
- Ah…désolé…je pensais, à la façon dont il vous regardait et…oh…
- C’est juste un collègue, enchaîna Sam avant que le médecin ne puisse se faire des idées et sans tenter d’analyser sa remarque sur la façon dont Martin la regardait. Nous étions ici pour interroger un témoin.
- Je vois…Hum, à en juger par votre réaction, j’imagine que vous ne vous attendiez pas à ce diagnostic.
- Vous pouvez dire ça, répondit Sam. Je veux dire, comment est-ce possible ? Certes, j’étais fatiguée mais je n’ai pas été malade, j’ai eu mes cycles normalement…
- Cela arrive parfois.
- Je suis enceinte de combien ?
- Je ne peux vous répondre sur ce point. Je vous invite à prendre le plus rapidement possible rendez-vous avec un obstétricien et votre gynécologue. Vous allez devoir être suivie très sérieusement.
- Il y a un problème ?
- Vous avez fait une chute de tension très sévère aujourd’hui. Vous allez devoir lever le pied pendant quelque temps. De plus, avec les nausées, vous allez avoir une fatigue croissante, au moins le premier trimestre voir le second. Vous n’avez pas une idée de la date de conception ?
- Si, soupira Sam…malheureusement. Et si je compte bien, je devrais en être au troisième mois.
- Je vous conseille donc de prendre rendez-vous très rapidement. Si vous commencez juste à être malade, les nausées ne vont pas durer longtemps mais risquent d’être intenses.
- Super ! s’exclama sarcastiquement Sam.
- Écoutez, la seule chose que je puisse vous conseiller est de bien réfléchir. Peut-être que vous ne souhaitiez pas cette grossesse mais ne prenez pas de décision trop hâtive. Certes, vous n’avez plus beaucoup de temps pour y penser mais…Enfin, enchaîna le médecin sous le regard noir de Sam, voyez au bureau des admissions. Je vais y laisser votre dossier et votre autorisation de sortie. Je vous laisse rentrer mais interdiction pour vous de reprendre le travail avant une semaine. On est d’accord.
- On est d’accord, soupira Sam.
- Bien, bonne chance.
- Merci.

Le médecin quitta la pièce et Sam se laissa retomber dans ses oreillers. Elle était assaillie par des sentiments contradictoires. Assurément, elle ne s’attendait pas à recevoir une telle nouvelle aujourd’hui. Et ce repos forcé tombait au plus mauvais moment. Non seulement Elena était en congés, mais en plus, elle allait être forcée de tout dire à Jack. Super ! Juste ce dont elle avait besoin. Elle ferma les yeux et respira profondément pour tenter de se détendre. Comment avait-elle put se mettre dans une telle situation ? Comment quelques minutes de plaisir pouvaient-elles changer aussi radicalement le cours de sa vie ?

Elle se leva péniblement et posa une main sur son ventre encore plat. Comment ne s’était-elle aperçut de rien ? Elle caressa distraitement l’endroit où se trouvait son avenir et sourit malgré tout. Elle ne savait pas si elle était prête à devenir mère, surtout mère célibataire. Mais, au fond d’elle, elle savait déjà qu’elle allait le garder, et ce quelque soit la position du père.

Elle commença à s’habiller lentement et ses pensées dérivèrent vers Martin. Elle imaginait aisément le choc que la nouvelle avait dû être pour lui aussi. Elle n’avait pas vu son visage mais si ça voix était une indication quelconque, il était bouleversé. Que devait-il penser d’elle ? Elle savait que l’ami serait content pour elle. Mais l’ancien amant ? Malgré que leur histoire soit terminée depuis plus de trois ans, certains regards lui disaient que Martin avait toujours des sentiments pour elle et, bien que flattée, elle n’était que trop consciente de la peine que cela lui causait.

Elle fit rapidement le tour de la chambre des yeux pour vérifier qu’elle n’oubliait rien quand son regard tomba sur la veste de Martin, négligemment abandonnée sur une chaise dans un coin de la pièce. Elle alla la chercher et se dirigea vers la porte. Avant de l’ouvrir, elle prit une grande inspiration pour se préparer à affronter le regard de son collègue, si tant est qu’il l’ai attendue.

La clarté du couloir la heurta de plein fouet et elle cligna des yeux. Elle prit une nouvelle inspirations et se dirigea vers le bureau des admissions. La première chose qu’elle vit après l’infirmière de garde fut Martin qui attendait dans le fauteuil en face, les yeux perdus dans le vague. Finalement, il n’était pas parti…Il sentit sa présence car, quand elle atteignit le comptoir, il releva vivement la tête et se leva prestement.

- Hey, lui dit-il avec un petit sourire timide.
- Hey, lui répondit-elle.
- Tu peux sortir ?
- Oui. J’ai deux trois choses à régler et je suis prête.

Elle allait lui dire qu’elle pouvait prendre un taxi pour rentrer mais cela lui semblait plutôt mal venu et égoïste dans la mesure où il avait prit la peine de l’attendre et ce, bien qu’elle appréhende de se retrouver seule avec lui dans sa voiture.

- Ok, prends ton temps, lui répondit-il gentiment en posant une main sur son bras. Je t’attends.

Sam acquiesça de la tête et, tandis que Martin retournait s’asseoir, elle reporta son attention vers l’infirmière afin de remplir les dernières formalités qui lui permettraient de rentrer chez elle.

A suivre...

Oh merci ! Merci ! Merci !

Tu peux pas savoir comme je l'attendais cette suite !!


Encore !!!!!

euh ... la suite

et oublie cette histoire avec ces satanées disquettes, c'est du passé !!!

youpie une suite
ca vaut le cout d etre patiente, c'est tres bien écrit et je demande deja une suite

oh yyyeessss!! moi aussi j'attendais cette suite...j'ai adoré quand Martin sort précipitamment de la chambre car il a du deviné ce que le doceur allait annoncer àsam !!!

bravo !!! et vivement la suite !!!

elle est genial cette suite !!

jespere kil y aura prochainement une suite !!!

Superbe suite! J'ai adoré!
Le silence qui passe à l'annonce du médecin... Et la gêne/incompréhension de celui-ci, c'était super!
Encore encore encore!!

J'ai adoré j'attend la suite avec impatience

nathaloche a écrit:oh yyyeessss!! moi aussi j'attendais cette suite...j'ai adoré quand Martin sort précipitamment de la chambre car il a du deviné ce que le doceur allait annoncer àsam !!!

bravo !!! et vivement la suite !!!

Je crois que t'as pas tout saisi!!

Il sort parce que justement il mal à l'aise face à la "nouvelle"!!!

Elle se leva péniblement et pose sa main sur son ventre encore plat

Hummmm... On a pas la même définition du mot PLAT!!!

quand on dit plat, c'est par rapport a ce qui va se passer dans six mois, les trois premiers mois, tu es plate, bon moins que si tu n etais pas enceinte c'est sur, mais c'est en comparaison avec le reste

un tchiot bonjour a vous !!!

Bon alors je tiens tout d'abord à m'excuser car en fait, j'ai un gros problème. En écrivant la suite de cette fic, je me suis éloignée quelque peu de ce que j'avais prévu au début CAR j'ai eu une autre idée et ça aurait fait redondance...

Fin bref, je m'excuse donc pour la médiocrité de cette fin et pour la redondance probable dans ma prochaine fic...mais les voitures semblent m'inspirer !

Véhicule de Martin Fitzgerald
Plus tard…

Une fois qu’elle eut récupéré son précieux sésame, Sam et Martin avaient rejoint en silence le parking de l’hôpital. Le trajet en ascenseur avait été un vrai supplice pour Sam, non seulement à cause des nausées qui semblaient ne pas vouloir la quitter mais aussi à cause du silence de Martin qui faisait tout pour éviter de croiser son regard. Quand ils atteignirent enfin la voiture de Martin, Sam se sentait prête à exploser. Elle ne supportait plus ce silence. Elle aurait préféré qu’il lui pose des questions, qu’il crie un peu peut-être. Tout, mais pas ces remparts de silence derrière lesquels il semblait s’être muré.

En vrai gentleman, il lui ouvrit la porte et la retint le temps qu’elle s’installe et elle le remercia tout en lui jetant un regard noir qu’il ne remarqua pas puisqu’il trouvait plus intéressant le bout de ses chaussures. Elle poussa un soupir d’exaspération et, tandis qu’il refermait la portière et faisait le tour de la voiture pour monter, elle s’attacha puis croisa les bras sur sa poitrine, bien décidée à le faire parler.

Toujours sans un mot, Martin attacha sa ceinture de sécurité et jeta un bref coup d’œil vers elle pour vérifier qu’elle était elle aussi attachée. Quand il fut satisfait, il glissa la clé dans le contact et s’apprêtait à démarrer quand Sam posa sa main sur la sienne pour l’arrêter.

- Alors, tu ne vas pas me le demander ? lui demanda-t-elle doucement malgré son bouillonnement intérieur.
- Te demander quoi ? répliqua Martin en suspendant son geste mais toujours sans la regarder.
- Qui est le père…

Il y eut un court silence avant que Martin ne pousse un long soupir et ne se laisse aller contre le dossier de son siège, renonçant momentanément à démarrer le moteur. Il ferma les yeux puis les rouvrit, regardant droit devant lui.

- Je ne pense pas avoir besoin de demander. Je sais qui est le père, dit-il finalement d’une voix blanche.
- Vraiment ? demanda Sam plus que surprise de sa réponse.
- Je vous ai vu l’autre jour…poursuivit Martin d’une voix légèrement tremblotante.

Sam était de plus en plus perplexe.

- Tu m’as vu où et avec qui ?
- Avec Jack…dans la salle de repos. J’avais oublié ma veste…je suis revenu…je vous ai vu.

Il lui lança un petit regard en biais pour jauger sa réaction à sa révélation. Ça faisait plusieurs jours qu’il voulait lui dire qu’il savait. Il avait vraiment cru ces derniers temps que leur relation pourrait reprendre. Il avait sentit quelque chose changer entre eux. Mais en quelques secondes, toutes ses illusions s’étaient envolées. Il avait suffit de la main de Jack posé dans le creux des reins de Sam, de ses lèvres contre sa nuque à l’abris des regards indiscrets et son cœur s’était brisé.

Et maintenant, il y avait ce bébé…

Sam le regarda avec de grands yeux écarquillés comme étonnée par la nouvelle.

- Je suis désolée. Tu n’étais pas censé l’apprendre ainsi, dit-elle après avoir retrouvé ses esprits.

Martin se contenta d’hausser les épaules.

- Jack n’est pas le père, précisa finalement Sam.

Cette fois-ci, ce fut au tour de Martin de lui lancer un regard perplexe.

- Surprise ! s’exclama ironiquement Sam devant son air ébahit.
- Qui…qui est-ce ? s’entendit finalement demander Martin.
- Je ne sais pas…je veux dire, je sais…mais…c’était juste pour une nuit. Je n’étais pas censée me retrouver enceinte. Je connais juste son nom et où il travail.
- Je…je ne sais pas quoi dire.
- Oh, je sais ce que tu dois penser. « Pauvre fille, dans quel situation s’est-elle encore fourrée », commença à s’emporter Sam sans raison.

A dire vrai, elle s’en voulait énormément à elle-même de se retrouver dans cette situation. Célibataire mais avec un petit ami qui se trouve être son patron…et enceinte d’un quasi inconnu.

- Tu sais que je ne penserais pas ça de toi, Sam, répondit Martin en posant sa main sur la sienne.
- Vraiment ? Tu devrais pourtant…je suis une vraie cause perdue.
- Ne dis pas ça !
- C’est pourtant la vérité…je m’entête à faire TOUJOURS les mauvais choix.
- Tu…Que vas-tu faire ?
- Tu veux dire pour le bébé ?

Martin acquiesça de la tête.

- Je…je ne sais pas. Je veux dire si mais…je ne sais pas si je suis prête.
- Si tu te pose la question, c’est que tu l’es. Tu seras une maman formidable, Sam, ajouta Martin avec une once de regret dans la voix.
- Merci…c’est gentil.
- De rien. Je le pense.

Sam le dévisagea un instant cherchant à deviner le fond réel de sa pensée. Elle savait que ça ne devait pas être facile pour lui à entendre…Martin, complètement conscient de l’examen qu’il subissait, s’escrimait à conserver un visage impassible afin de ne laisser transparaître aucune de ses émotions. Il ne savait pas encore comment il allait gérer les mois à venir mais, dans cette voiture, il venait de décider que son amitié pour Sam devait prévaloir sur tour le reste.

- Sam ?
- Oui ? demanda-t-elle après avoir sursauté au son de la voix de Martin.
- Je veux que tu saches que je suis heureux d’être le premier au courant même si tu n’avais pas prévu ça et, je veux que tu saches, que je suis ton ami. Alors, si tu as besoin de quoique ce soit…et je dis bien, quoique ce soit, je serai là.

Émue, Sam sentit les larmes lui monter aux yeux. « Foutues hormones, » pensa-t-elle. Qu’avait-elle fait pour mériter un ami comme Martin Fitzgerald ?

- Merci, répondit-elle dans un murmure avant de se jeter dans ses bras.
- De rien, dit Martin en l’étreignant, les amis sont là pour ça.

Là, dans cette voiture, tandis qu’il étreignait de toutes ses forces la femme qu’il aimait, Martin Fitzgerald se fit la promesse solennelle d’être toujours là pour elle. Et alors que Sam resserrait l’étreinte de ses bras autour de lui, il refermait définitivement les portes de son cœur.

FIN

jadore !!

bravo !!

mais je suis criste quelle soit enceinte de jack !!!

j'ai adoré elle était vraiment super

samandmartin a écrit:jadore !!

bravo !!

mais je suis criste quelle soit enceinte de jack !!!

euh non...Jack n'est pas le père...