White Collar
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White Collar
Pour fêter mon retour, parlons un peu séries. J'avoue que je suis un peu "in love" devant cette série (et plus précisément un des personnages acteurs).
Ca parle de quoi ?
"White Collar", produite par Fox TV Studios, est centrée sur un duo improbable entre un artiste faussaire et le patron des crimes en col blanc du FBI.
Neal Caffrey est un faussaire, qui est arrêté par l’agent Peter Stokes. Lorsqu’il s’évade de prison pour retrouver son amour perdu, Stoke le rattrape et lui propose un marché. Il reste libre, mais il doit l’aider à arrêter d’autres faussaires et escrocs en tout genre.
C'est avec qui ?
Matthew Bomer (Chuck) ; Tim Dekay (La Caravane de l'étrange) ; Tiffani-Amber Thiessen (Beverly Hills, 90210), Marsha Thomason (Las Vegas) et Willie Garson (Sex and the City).
Et alors, c'est bien ?
Après un pilote très rythmé et efficace, entre Catch me if you can et Ocean's Eleven, les deux épisodes suivants se sont révélés un peu moins enthousiasmants, mais toujours plaisants à suivre.
Outre nourrir mes fantasmes à l'égard de Matthew Bomer , cette fiction, sans prétendre révolutionner le petit écran, n'affiche d'autre but que de nous divertir en adoptant un ton léger, une bonne ambiance par instant presque jubilatoire. Il y a un petit air à l'enthousiasme communicatif. Certes, un escroc qui se retrouve à travailler pour l'agent du FBI qui l'a arrêté, comme consultant, en échange d'un aménagement de sa peine de prison, c'est sans nul doute un pitch de départ vieux comme le petit écran. Mais les anciennes recettes permettent aussi de poser des bases solides qui ont fait leurs preuves. A la manière de ses grandes soeurs d'USA Network (de l'ancêtre Monk à Burn notice), l'apport fondamental de White Collar réside dans ses personnages. Les diverses péripéties de l'épisode, pas plus que l'enquête du jour, ne brillent par leur originalité ou leur crédibilité. Mais les scénaristes ne font aucun réel effort en ce sens. Seul compte le numéro des duettistes principaux, qui virevoltent, instinctivement complices, à l'écran.
Une série aux allures attachantes, portée par l'alchimie qui fonctionne parfaitement entre les deux acteurs principaux, qui semblent prendre un plaisir communicatif à jouer des personnages aux antipodes l'un de l'autre, mais brillants chacun dans leur domaine, et qui en viennent rapidement à se confier l'un à l'autre.
La série souffre cependant d'intrigues policières très clichés et vraiment insuffisamment travaillées, même sans y faire attention. Le rythme est aussi un peu retombé après le pilote, plus tranquille, moins dynamique, mais toujours attachant.
Bilan : C'est divertissant, agréable, loin d'être parfait mais on s'attache très vite aux personnages, grâce à leur complicité et à leur complémentarité. White Collar apparaît donc comme une série pas originale pour un sou, mais qui reprend avec inspiration une vieille recette bien connue. Elle mise à fond sur l'affectif, non sur ses pseudo "intrigues policières", pour séduire rapidement le téléspectateur. Ca marche assez pour le moment, même si la série doit s'améliorer et trouver son équilibre pour envisager le long terme.
Quelques screencaps :
Ca parle de quoi ?
"White Collar", produite par Fox TV Studios, est centrée sur un duo improbable entre un artiste faussaire et le patron des crimes en col blanc du FBI.
Neal Caffrey est un faussaire, qui est arrêté par l’agent Peter Stokes. Lorsqu’il s’évade de prison pour retrouver son amour perdu, Stoke le rattrape et lui propose un marché. Il reste libre, mais il doit l’aider à arrêter d’autres faussaires et escrocs en tout genre.
C'est avec qui ?
Matthew Bomer (Chuck) ; Tim Dekay (La Caravane de l'étrange) ; Tiffani-Amber Thiessen (Beverly Hills, 90210), Marsha Thomason (Las Vegas) et Willie Garson (Sex and the City).
Et alors, c'est bien ?
Après un pilote très rythmé et efficace, entre Catch me if you can et Ocean's Eleven, les deux épisodes suivants se sont révélés un peu moins enthousiasmants, mais toujours plaisants à suivre.
Outre nourrir mes fantasmes à l'égard de Matthew Bomer , cette fiction, sans prétendre révolutionner le petit écran, n'affiche d'autre but que de nous divertir en adoptant un ton léger, une bonne ambiance par instant presque jubilatoire. Il y a un petit air à l'enthousiasme communicatif. Certes, un escroc qui se retrouve à travailler pour l'agent du FBI qui l'a arrêté, comme consultant, en échange d'un aménagement de sa peine de prison, c'est sans nul doute un pitch de départ vieux comme le petit écran. Mais les anciennes recettes permettent aussi de poser des bases solides qui ont fait leurs preuves. A la manière de ses grandes soeurs d'USA Network (de l'ancêtre Monk à Burn notice), l'apport fondamental de White Collar réside dans ses personnages. Les diverses péripéties de l'épisode, pas plus que l'enquête du jour, ne brillent par leur originalité ou leur crédibilité. Mais les scénaristes ne font aucun réel effort en ce sens. Seul compte le numéro des duettistes principaux, qui virevoltent, instinctivement complices, à l'écran.
Une série aux allures attachantes, portée par l'alchimie qui fonctionne parfaitement entre les deux acteurs principaux, qui semblent prendre un plaisir communicatif à jouer des personnages aux antipodes l'un de l'autre, mais brillants chacun dans leur domaine, et qui en viennent rapidement à se confier l'un à l'autre.
La série souffre cependant d'intrigues policières très clichés et vraiment insuffisamment travaillées, même sans y faire attention. Le rythme est aussi un peu retombé après le pilote, plus tranquille, moins dynamique, mais toujours attachant.
Bilan : C'est divertissant, agréable, loin d'être parfait mais on s'attache très vite aux personnages, grâce à leur complicité et à leur complémentarité. White Collar apparaît donc comme une série pas originale pour un sou, mais qui reprend avec inspiration une vieille recette bien connue. Elle mise à fond sur l'affectif, non sur ses pseudo "intrigues policières", pour séduire rapidement le téléspectateur. Ca marche assez pour le moment, même si la série doit s'améliorer et trouver son équilibre pour envisager le long terme.
Quelques screencaps :
Heather- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 5797
Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
Re: White Collar
Bilan de mi-saison après 7 épisodes :
Après quelques épisodes suivant le pilote un peu faibles, même si White Collar n'aura pas confirmé toutes les attentes du pilote, la série aura prouvé être un agréable et sympathique divertissement. Parfaite série pour se détendre un soir après une dure journée.
Matt Bomer a confirmé tout le bien que je pensais de lui dans ses quelques apparitions dans Chuck. Absolument *soupir*
Bon, après cette perte de toute objectivité (hmmm...), sur le fond, White Collar reste avant tout fun, misant beaucoup sur la relation entre les deux personnages principaux, duo improbable et confiance/méfiance réciproque entre l'escroc et l'agent du FBI. Leurs dialogues sont toujours les meilleures scènes de l'épisode. Les intrigues manquent parfois d'un peu de crédibilité, pas toujours aussi fouillée qu'elles auraient pu être. Mais ça reste agréable à suivre ; on ne s'ennuie pas. Et finalement on s'attache aux personnages, et à l'ambiance détendue qui règne dans la série.
Sur le twist final de l'épisode de vendredi qui fait tant couler d'encre :
Après quelques épisodes suivant le pilote un peu faibles, même si White Collar n'aura pas confirmé toutes les attentes du pilote, la série aura prouvé être un agréable et sympathique divertissement. Parfaite série pour se détendre un soir après une dure journée.
Matt Bomer a confirmé tout le bien que je pensais de lui dans ses quelques apparitions dans Chuck. Absolument *soupir*
Bon, après cette perte de toute objectivité (hmmm...), sur le fond, White Collar reste avant tout fun, misant beaucoup sur la relation entre les deux personnages principaux, duo improbable et confiance/méfiance réciproque entre l'escroc et l'agent du FBI. Leurs dialogues sont toujours les meilleures scènes de l'épisode. Les intrigues manquent parfois d'un peu de crédibilité, pas toujours aussi fouillée qu'elles auraient pu être. Mais ça reste agréable à suivre ; on ne s'ennuie pas. Et finalement on s'attache aux personnages, et à l'ambiance détendue qui règne dans la série.
Sur le twist final de l'épisode de vendredi qui fait tant couler d'encre :
- Spoiler:
- Qu'en penser ? Beaucoup de confusion ? Peter vraiment "bad guy" ?
On va partir dans des problèmes de continuité scénaristique... Enfin, ce qui me dérange surtout, c'est l'histoire selon laquelle c'est la chaîne qui veut changer l'orientation de la série... Donc, je ne sais pas trop où tout ça va nous mener ; si c'est un twist sans lendemain, ou si on va s'éloigner de la complicité qui s'était installée entre le duo pour partir dans l'affrontement, affrontement qui me semble surtout à court, voire moyen terme... Donc un peu d'inquiétude sur la pérennité de l'histoire si ce n'est pas qu'un faux cliffhanger....
Heather- Rang: Administrateur
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Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
Re: White Collar
Des indices chez Ausiello sur le cliffhanger de vendredi dernier :
- Spoiler:
- Question: Can you please give me some inside info on the White Collar cliffhanger? I really want to believe that Peter hasn’t betrayed Neal, but it’s not looking too good. —Amanda
Ausiello: “Peter has always known more about Kate than he’s let on, something we’ve hinted at since the pilot,” says series creator Jeff Eastin. “Has he betrayed Neal? Come back in January to find out.”
Heather- Rang: Administrateur
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Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
Re: White Collar
Une saison 2 a été commandée par USA Network !
Heather- Rang: Administrateur
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Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
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