Déboires (centrée sur Martin) [complète]

Vivivi une suite please !

mon dieu là une suite s'impose je la veut....toukours aussi bien bravo

On est toujours autant dedans alors

Une suite ! Une suite ! Une suite !! !!

super vivement la suite

Je venais juste voir s'il y avait une suite... Puisque ce n'est pas le cas, je vais te redire ce que je pense de ta fic:


Oserais-je demander une suite?
S'il te plaît?

Aïe aïe aïe...
Désolée pour l'attente... Mais j'ai un souci de temps et d'imagination... en fait il me manque un passage entre ce que j'ai mis en ligne et la suite que j'ai écrite... et c'est un passage primordial...Alors il va falloir vous armer de patience... peut-être que cette semaine j'aurai plus de temps...pour la mettre sur le forum le week-end prochain... Mais je ne garantis rien... Et je suis désolée de ne pas mettre de suite pour l'instant, je sais ô combien des fois on peut être pressé de lire la suite d'une fic...
Merci pour vos commentaires qui me font beaucoup plaisir...

Désolée, je ne voulais pas te mettre autant de pression Quoique
Bon, je m'arme de patience

c'est pas grave que tu traine un peu on s'en remettra....quoique....enfin c'est toujours aussi bien...

Ca y est, une petite suite... Et merci encore pour les p'tis com'..


Quelque part en pleine campagne. 21h30.

Jack, accompagné de Danny, arrête sa voiture devant un chemin boueux donnant sur une grande bâtisse.
Danny : tu penses que c’est là ?
Jack : j’en sais rien, depuis le temps qu’on cherche.
Danny : je sais pas pourquoi, je la sens bien cette maison. Je le sens que l’autre minable se cache ici.
Jack : c’est vrai qu’il a été malin depuis le début, alors tant qu’à se cacher, autant choisir une vieille maison où l’on peut se perdre plutôt qu’un appartement…
Danny : par contre si nos suppositions se révèlent être vraies, on va se galérer à chercher là-dedans.
Jack : hum…T’as raison, je vais demander d’autres renforts…
Danny : faut qu’on cache toutes les autres voitures sinon Finch va nous griller… Les autres ne sont pas arrivés, je les appelle ?
Jack : oui, vas-y. Et on laissera juste notre voiture ici, il ne peut la voir d’ici. Tu te sens toujours prêt pour diriger les opérations ?
Danny, prenant son téléphone : oui, plus que jamais.
Jack : lui donnant un talkie-walkie : alors je te confie ça.
Danny : merci.
Jack : j’ai confiance en toi Danny, alors ne me déçois pas.
Danny, téléphonant : Viv’ ? Vous êtes où ?


Au même moment, dans une voiture.

Vivian, décrochant son téléphone : Johnson. Oui Danny. On aperçoit votre voiture…. Ok ok. Je transmets. Sam, arrête toi s’il te plait.
Sam : maintenant ?
Vivian : oui. Et tu vas reculer, on va faire signe à ceux qui nous suivent de faire la même chose, et on va se garer un peu plus loin.
Sam : ok, j’éteins aussi mes feux.
Vivian : Danny, on se gare et on arrive.


21h49. Devant le chemin conduisant à la maison.

Jack, s’adressant à tout le monde : bon, on fait un point. La façon dont on va opérer, tout le monde la connaît donc je ne reviens pas dessus. Ce mec je le veux vivant, j’espère que tout le monde l’a compris… C’est l’avenir de Martin qui est en jeu. Alors on reste zen en toute circonstance. Ok ? Autre chose, c’est Danny qui prend la direction des opérations ce soir, alors je veux que tout le monde obéisse aux ordres qu’il donnera. J’espère que ça aussi c’est entendu pour tout le monde. Maintenant on y va.
Sam, glissant à l’oreille de Danny : ça va aller, détend toi.
Danny : ouais. J’espère que ça va vite être réglé.

Danny s’installe près de la voiture, tandis que les autres se dirigent discrètement vers la maison.


21h 57.

Danny : Jack, tu m’entends ?
Jack : je t’entends Danny, on arrive près de l’entrée. C’est une maison à trois étages, on a bouclé toutes les sorties. Tous les volets sont clos, tu vois de la lumière d’où tu es ?
Danny : non, pas de mouvement apparent non plus. J’ai posté des agents dans les environs aussi au cas où.
Jack : Danny, il y a aussi un bâtiment derrière, une sorte de hangar.
Danny : très bien.

Danny, s’adressant aux trois agents qu’il lui reste : les gars, y’a un hangar derrière, allez faire un tour et soyez vigilants.
Agents : ok Danny.


22h00.

Jack : Danny, on pénètre dans le bâtiment par derrière il y a une porte ouverte.
Danny : très bien, tiens moi au courant de la suite.


22h06.

Jack : rien au rez de chaussée, la maison semble habitée, on monte au premier.
Danny : ok. Y’a pas de sous-sol ?
Jack : si. J’ai envoyé des hommes.


22h13.

Jack : toujours rien, on continue avec le deuxième étage.
Danny : ok.
Jack : Danny, j’aperçois de la lumière au fond du couloir.
Danny, sentant la pression monter en lui : allez-y mais faites attention, il est peut-être pas dans cette pièce là.
Jack : on s’approche, j’ai l’impression qu’il s’est barricadé.
Danny : d’accord, vous êtes assez en haut pour intervenir ?
Jack : oui.
Danny : il y a du mouvement ?
Jack : on entend du bruit.
Danny : alors allez-y !


22h17.


Danny, s’impatientant : bon sang mais qu’est-ce qu’ils font !

Un coup de feu se fait entendre dans son talkie-walkie, faisant tressaillir Danny.
Danny : Jack ? Jack !
Danny, paniquant : bon sang Jack, dis moi ce qui se passe ! J’ai entendu un coup de feu ! Jack !
Danny, s’énervant : Jack !! Réponds !!
Danny, hurlant à présent : Jack !! Parle moi !
Voix : Danny, c’est Sam.
Danny : qu’est-ce qui se passe bordel ?
Sam : tout va bien Danny, on a Finch, et le coup de feu lui a été tiré dans la jambe, mais il va bien. On rentre.
Danny : ok.
Danny, soulagé, pose son talkie-walkie, puis troublé, il se laisse tomber à genoux et se met alors à pleurer, lâchant ainsi toute la pression emmagasinée durant ces derniers jours quand il fallait être présent auprès de Martin et faire semblant que tout allait bien.

Merci beaucoup pour cette superbe suite! Ca valait la peine d'attendre. Danny qui craque, c'était très émouvant

Et comment va Martin?

Ah oui c'est toujours aussi bien Vite une suite

la suite la suite
j'adore....

Oulah quinze jours que j'ai pas posté !!! Honte à moi... Surtout que je tanne les autres avec leurs fics !! (dédicace à toi Mouchette !!lol)
Alors bonne lecture.

Bureaux du FBI. New York. 23h21.

Jack, Vivian, Samantha et Danny rentrent de l’opération.
Danny, s’affalant sur sa chaise : je suis crevé !
Vivian, s’asseyant à son tour : moi aussi…
Sam : pas fâchée qu’on ait attrapé Finch…
Danny : va falloir que j’aille voir Martin pour lui dire.
Jack : justement Danny, attends. Je veux vous parler.
Vivian : qu’est-ce qui se passe encore ?
Jack : je viens d’avoir le médecin qui s’occupe de Martin au téléphone. Personne n’ira à l’hôpital ce soir, parce qu’il est tard et parce qu’il doit se reposer. On lui annoncera demain que Finch est arrêté.
Danny, surpris : on peut pas faire ça, il attend cette nouvelle depuis plusieurs jours !
Jack : je sais Danny, je sais. Mais on a fait une erreur en le tenant au courant des avancées de l’enquête. Il s’est mis dans un état pas possible ce soir à nous attendre et il a fait une grosse crise d’angoisse vers 22h…Il a eu un épisode de délires, et après il réclamait Carol. Les médecins l’ont mis sous calmants pour la nuit, et il sera vu demain par les médecins et le psychiatre.




Dimanche 13 Avril. Hôpital. New York. 8h23.


Jack et Danny viennent à la rencontre du psychiatre qui sort de la chambre de Martin.
Psychiatre : bonjour Messieurs.
Jack : bonjour.
Danny : bonjour, vous avez du nouveau au sujet de Martin ?
Psychiatre : comme vous le voyez je sors de sa chambre… J’ai eu un message d’urgence hier soir mais je n’ai pu venir que ce matin. La crise est passée, il va se remettre.
Jack : mais si on fait abstraction d’hier, vous le trouviez comment ?
Psychiatre : il progressait petit à petit, il restait bien sûr très traumatisé par ce qu’il a vécu, j’espère que l’épisode d’hier soir ne va pas le faire régresser…
Jack : déjà on a appréhendé le coupable…ça devrait le soulager un peu…
Psychiatre : vous avez arrêté le coupable ? Je n’étais pas au courant..
Danny : normal, c’était hier soir.
Psychiatre : d’accord, je comprends mieux le pourquoi de la crise. A l’avenir vous veillerez à lui éviter des situations de stress et de frustration…
Jack : je sais c’est de ma faute…Je n’ai pas eu la présence d’esprit de le tenir à l’écart de l’enquête, l’habitude je pense de tout dire à mes agents.
Danny : on peut le voir ?
Psychiatre : c’est au médecin d’en décider…mais de toute façon il est encore empaffé par les calmants…
Danny, ironique : génial…
Psychiatre, ignorant la réaction de danny : autre chose, il n’est donc pas au courant de l’interpellation de son agresseur ?
Jack : à priori non. On nous a dit d’attendre ce matin…
Psychiatre : si ça ne vous dérange pas je vais me charger de lui annoncer avec le médecin.
Danny, sèchement : mais faites donc…
Jack, au psychiatre : excusez mon collègue il est fatigué.
Jack, entraînant Danny par le bras : vas-y mollo Danny.
Danny : mais tu l’as vu ! Comment il nous prend pour des imbéciles ?
Jack : c’est un très bon psychiatre, je suis sûr que ça passe bien avec Martin.
Danny, agacé : n’empêche qu’il se la pète.
Jack : Bon Danny, tu restes ici et tu veilles sur Martin, je repasserai ce midi si j’ai le temps. Et si tu n’as pas le droit d’aller dans sa chambre tu vas te reposer dans la pièce… Je ne veux pas que tu te fatigues inutilement. T’es déjà dans un sale état.
Danny, renfrogné : merci du compliment.


Hôpital. New York. 13h11.


Carol arrive dans le service où est hospitalisé Martin, le Docteur Peaters l’accueille.

Carol : bonjour, vous vouliez me voir ?
Médecin : en fait c’est surtout votre compagnon qui voulait vous voir.
Carol, étonnée : ah bon ?
Médecin : oui, il m’en a fait la demande.
Carol : mais, je crois que je ne suis pas prête.
Médecin : lui va un peu mieux, et il est à présent très cohérent. C’est très différent de la dernière fois que vous l’avez vu. Le problème que nous rencontrons a lieu principalement la nuit, si l’on excepte la blessure physique. Il est encore extrêmement perturbé dans son sommeil. Et comme je vous l’ai dit au téléphone, il a fait une crise d’angoisse la nuit dernière.
Carol : d’accord, mais…
Médecin, la coupant : il a vraiment besoin de vous, je vais me répéter mais c’est lui qui vous réclame.
Carol : et physiquement, je veux dire, comment il est ?
Médecin : il est un peu soulagé au niveau de la douleur, mais j’ai l’impression de ne pas avoir répondu à votre question.
Carol, embarrassée : non, effectivement.
Médecin : ne soyez pas gênée, aucune question n’est idiote. Vous vouliez parler du matériel médical.
Carol : oui.
Médecin : pour être franc, il n’y a pas beaucoup de changement de ce côté-là : il est toujours perfusé, sous dialyse, avec la sonde dans le nez pour le nourrir et avec l’appareil qui mesure ses constantes.
Carol : c’est surtout ça qui me dérange, c’est de le voir relié à tout ce matériel. J’ai beaucoup de mal avec ça.
Médecin : je vois. Ce que je vous propose, c’est de rester quelque temps derrière la vitre histoire de vous y faire un peu et vous entrerez quand vous vous en sentirez capable. Et puis, je ne l’ai pas mis au courant que vous étiez-là et il ne vous verra pas à travers la vitre, donc si vous n’arrivez pas à surmonter cette appréhension il n’en saura rien et on pourra retenter demain.
Carol : oui, pourquoi pas.
Médecin : je vous amène un fauteuil derrière la vitre pour que vous soyez bien installée.
Carol : merci mais un chaise aurait pu suffire.
Médecin, souriant : oui, mais j’y tiens. Vous devez prendre soin de vous et de votre futur enfant. Je suis certain que de remettre votre compagnon devant ses responsabilités de futur père va l’aider à surmonter les futures épreuves.
Carol : alors je vais prendre le fauteuil, merci pour tout Docteur Peaters.
Médecin : je ne fais que mon métier.
Carol : oui, mais vous le faîtes bien. Martin a de la chance de vous avoir.
Médecin, reconnaissant : merci. J’espère sincèrement qu’il y aura une fin heureuse à votre histoire.
Carol : vous savez si Danny est là ?
Médecin : c’est son ami collègue Danny, c’est ça ?
Carol : oui.
Médecin : je crois qu’il se repose dans la petite pièce.
Carol : j’irai le voir après alors.

15 jours!! 15 jours que j'attends!! Et j'ai laissé faire ça... Je crois que je ne vais pas être si patiente la prochaine fois
Bon, ça en vallait la peine: super passage, et assez long, en plus

Médecin, reconnaissant : merci. J’espère sincèrement qu’il y aura une fin heureuse à votre histoire.

Moi aussi, j'espère!! Hein, tu vas pas être trop sadique avec Martin (et moi)?! T'es pas obligée de tout arranger tout de suite, mais si tu pouvais ne pas me faire pleurer à la fin, ça m'arrangerais

Pour Noël, je demande une suite

L'attente fut longue mais le résultat en valait la peine! En tout cas, c'est toujours aussi bien! mets vite la suite!

euh ...ben aussi j'en veux encore!!!!

steupppppppp

la suite stp stp stp
je sais on est trop impatientes mais s'est tellement bien.....

Merci pour vos encouragements...Désolée pour l'attente, et en plus ce n'est qu'une toute petite suite... Mais j'ai pas trop le temps (ça me fait rire car la fin de l'histoire est écrite depuis longtemps mais y'a tout le reste à faire..) et puis je prend pas mal de plaisir à lire certaines fics qui font fureur en ce moment que j'en oublie la mienne...


14h13.

Carol est toujours assise devant la chambre de Martin. Soudain, une voix pourtant chuchotée la fait sursauter.
Voix : qu’est-ce que tu attends pour aller le voir ?
Carol, se retournant : Danny ! Tu m’as fait peur…
Danny : désolé je voulais pas…
Carol, souriant : c’est pas grave, je suis contente de te voir.
Danny, désignant Martin d’un signe de la tête : et lui, tu vas pas le voir ?
Carol, changeant de sujet : comment tu vas ?
Danny : je vais bien mais réponds plutôt à ma question…
Carol, embarrassée : je ne sais pas.
Danny : comment ça tu ne sais pas ?
Carol : je sais pas je te dis.
Danny : arrête, vous en crevez d’envie tous les deux de vous voir.
Carol : je le sais, mais lui ne sait pas que je suis là…
Danny : et alors ? Tu vas faire quoi ? Tu vas repartir chez toi sans l’avoir vu ?
Carol, dépitée : ça se pourrait bien.
Danny : tu plaisantes j’espère ?
Carol : non.
Danny, se rapprochant d’elle : je te connais Carol, si tu pars sans l’avoir vu, tu vas être rongée par les remords.
Carol : je sais … mais je n’y arrive pas.
Danny : tu n’arrives pas à quoi ?
Carol, impuissante : j’arrive pas à l’ouvrir cette fichue porte, c’est plus fort que moi…
Danny : écoute, je vais t’aider à l’ouvrir cette porte qui vous sépare, et après ce sera à toi de jouer.
Carol : je ne sais pas si c’est une bonne idée.
Danny : de ?
Carol : d’y aller, ça se trouve il n’a plus envie de me voir.
Danny : c’est pas dans ta nature de perdre confiance, alors ne le fais pas maintenant. Et puis je vois pas comment il pourrait n’avoir plus l’envie de te voir…il est fou de toi.
Carol : j’ai peur de sa réaction…
Danny, avec une lueur de malice dans les yeux : si je peux me permettre, s’il était pas cloué au lit je pense qu’il te sauterait dessus.
Carol, rougissant : Danny…
Danny : allez viens, j’ouvre la porte et tu vas voir ton homme.
Carol : c’est gentil à toi.
Danny, lui déposant un baiser sur le front : me remercie pas c’est normal. On y va ?
Carol, prenant une grande inspiration et se levant: on y va.
Danny, la prenant par les épaules : c’est parti.
Carol : t’es une perle rare Danny…
Danny, gêné : n’en dis pas trop, j’ai les chevilles qui vont enfler après…
Carol, pouffant de rire : t’es toujours aussi drôle en tout cas.
Danny, riant à son tour : j’essaie de détendre l’atmosphère.
Carol : ça à l’air de marcher.
Danny, appuyant sur la poignée : vas-y ma belle.
Carol : ok.
Danny, entrant le premier : salut Martin, j’ai trouvé ta petite femme dans les couloirs alors je me suis dit que ça te ferait plaisir de la voir… Allez je vous laisse.
Danny, glissant un mot à l’oreille de Carol : à toi de jouer… je te dis merde.

trop bien moi je veux savoir comment la confrontation Martin Carol va se passer j'espere bien...
la suite stp

clairounett a écrit: Désolée pour l'attente, et en plus ce n'est qu'une toute petite suite...

clairounett a écrit: (ça me fait rire car la fin de l'histoire est écrite depuis longtemps

Ca, ça s'appelle de la torture!!

Mais je suis super contente de lire une suite, même si c'est une petite

Je me réjouis de lire le passage avec Martin

Allez, quelques encouragements pour la suite:

Merci !! Voilà la suite, bonne lecture...

Chambre de Martin.

Martin, tout sourire : bonjour Carol.
Carol, gênée : hey.
Martin, relevant sa tête de lit : viens t’asseoir.
Carol : j’arrive.
Martin : prends le siège si tu veux, ce sera mieux que la chaise.
Carol, s’asseyant : c’est bon.
Martin : tu m’embrasses pas ?
Carol, lui déposant un baiser sur la joue : si, excuse-moi.
Martin, surpris : c’est tout ?
Carol, embarrassée : comment tu vas ?
Martin : à part le fait que tu ne m’aies pas embrassé, je vais bien. Et toi ?
Carol : je vais bien.
Martin, rompant le silence s’installant : pourquoi tu ne dis rien ?
Carol : c’est rien, ça va venir.
Martin : qu’est-ce qui se passe Carol ?
Carol, mentant : tout va bien Martin, t’en fais pas.
Martin : arrêtes, c’est quoi le problème ?
Carol : Martin, il n’y a pas de problème…
Martin : t’as pitié de moi, c’est ça ?
Carol, confuse : je … non.
Martin : qu’est-ce qui a changé ? Dis-moi Carol.
Carol : rien, c’est juste que..
Martin, la coupant : c’est juste que quoi ?
Carol, détournant la tête : c’est trop dur… écoutes..
Martin, posant sa main sur celle de Carol : j’attends que ça, de t’écouter me parler.
Carol, se levant : je suis désolée, je dois te laisser.
Martin : mais pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ?
Carol : tu ne m’as rien fait, mais je ne peux pas rester.
Martin : Carol, je t’en prie ne pars pas…
Carol, allant vers la porte : je suis désolée Martin, je ne supporte pas de te voir dans ce lit, relié à toutes ces machines…
Martin, criant les yeux bordés de larmes : c’est toi et ce bébé qui me tenez en vie !
Carol, se retournant une dernière fois : au revoir.
Martin, se redressant dans son lit, manquant d’arracher tout ce qui le relie aux appareils : non !
Martin, hurlant à présent : Carol !!!! Carol !!!!



Couloirs de l’hôpital.


Infirmière, entendant des cris : ça vient d’où ?
Infirmier : je ne sais pas, je vais aller voir.
Infirmière : je viens avec toi.
Infirmier, voyant Carol partir en courant : ça vient de la chambre du fond. Celle de l’agent du FBI.
Infirmière : je vais chercher du monde, les gars sont en salle de repos, et si je peux trouver un médecin aussi.
Infirmier : je vais voir ce qui se passe.

Quelques secondes plus tard.
Danny, alerté par le bruit dans le service : c’est quoi ? Pourquoi il y a autant de monde dans la chambre de Martin ?
Voix : Carol !!
Danny, réalisant : attendez !
Infirmière : vous ne pouvez pas entrer, nous sommes en train de lui faire un soin.
Danny, repoussant doucement l’infirmière : laissez-moi entrer.
Infirmière : non, vous ne pouvez pas !
Danny, entrant en trombe dans la chambre : arrêtez !
Martin, d’une voix faible : Danny ….
Médecin : qu’est-ce qui se passe ?
Danny, voyant le médecin s’apprêtant à faire une injection à Martin : s’il vous plait, ne faîtes pas ça.
Médecin : parce que vous pensez pouvoir faire quelque chose ? Ce sont des calmants que je lui administre.
Danny, plein de haine : j’en sais rien mais c’est pas en étant quatre mecs dessus et en lui injectant votre merde que ça va arranger les choses.
Médecin, se retournant vers Martin : les gars faites gaffe, vous êtes en train de l’étouffer !
Danny : dégagez !
Médecin : il est à peine conscient, je vais le mettre sous oxygène.
Danny, prenant délicatement le visage de Martin dans ses mains : c’est fini Marty, essaie de te calmer tout seul.
Martin, dont les sanglots aggravent son manque d’oxygène : Carol…elle est partie…je crois qu’elle m’aime plus…
Danny, essuyant les larmes de son ami puis posant son pouce sur sa bouche : chut… dis pas de bêtises et garde ton souffle pour respirer.
Médecin, appliquant le masque sur le visage de Martin : détendez-vous, ça va aller mieux d’ici peu.
Danny, passant régulièrement sa main dans les cheveux de Martin : je suis là, je vais prévenir Mamen de s’occuper de Carol… mais je te promets qu’elle t’aime…. C’est juste qu’elle ne supporte pas de te voir dans cet état… mais je te promets qu’elle pense sans arrêt à toi…détends-toi mon grand…et laisse tes émotions s’exprimer.
Médecin : Mr Fitzgerald, je repasserai vous voir plus tard. Essayez de vous reposer.
Danny : je peux rester avec lui ?
Médecin : bien sûr, ce que vous faîtes là, aucun soignant ne peut le faire mieux…car c’est votre ami et il à l’air d’avoir une totale confiance en vous… Tout à l’heure, nous avons agit dans la précipitation mes collègues et moi…je le regrette sincèrement.
Danny : maintenant c’est rentré dans l’ordre, c’est le principal.
Médecin : je crois même que vous avez réussi à l’endormir…
Danny, complice : sacré Marty…
Médecin : en tout cas, si vous avez des questions, n’hésitez pas à m’en faire part.
Danny : merci mais j’ai surtout peur pour lui, il mérite pas ce qu’il subit en ce moment…Regardez-le, on dirait un enfant, il fait si fragile… c’est pas le Martin que je connais et je sais que c’est à moi de le protéger.
Médecin : je vous souhaite d’y arriver.

Ouiiiiiiiiii! déjà une suite
Pauvre, pauvre Martin
Et Danny est trop mimi quand il rassure Martin.
Tu crois que tu vas pouvoir encore mettre une suite aussi vite??

c'est trop bien d'avoir une suite aussi rapidement...
vraiment Carol n'est pas tres cool sur ce coup meme si elle est tromatisée....et j'aime beaucoup la relation complice de Danny/Martin..
tu veux pas nous remettre une suite???

Voila, ça fait une semaine que j'attends Donc, je me rappelle à ton bon souvenir Je ne suis pas là ce w-e, alors je me disais que ce serait chouette de trouver une suite dimanche soir à mon retour (je n'en demande pas une très longue, ce serait abuser, mais juste une assez longue)
Stp?

Désolée de vous faire attendre... mais c'est pas possible en ce moment... ni le temps ni le moral d'écrire... mais peut-être la semaine prochaine..

Pour ce qui est de Danny et Martin.. comme je serais du genre slash Danny/Martin j'aime bien jouer sur l'ambiguité.... où s'arrête l'amitié et où commence l'amour ???