Déboires (centrée sur Martin) [complète]

Excuses acceptées Prends ton temps...
Question ambiguité, j'ai remarqué que tu joues de plus en plus là-dessus. Même si je préfère les voir amis, il y a des fics slash D/M pas mal à lire.

(Alors, vivement la semaine prochaine pour ta suite? )

Allez, j'ai fait un petit effort, la suite arrive un peu plus tôt que prévu pour vous les filles...pour me faire pardonner de l'attente...
(Mouchette, dépêche toi de mettre une suite à ta fic sinon je fais grève de la mienne ... lol)

Mercredi 16 avril. Bureaux du FBI. 13h11.

Samantha et Vivian reviennent de leur pose du midi.
Jack : les filles, on a du boulot…
Sam : du boulot ? Tu veux dire du vrai boulot ?
Vivian, enthousiaste : oh Jack dis-moi que c’est vrai ! Parce que la paperasse…
Jack : la paperasse fait partie du boulot les filles.
Sam, déçue : ouais, mais ça fait bientôt une semaine qu’on n’est pas allés sur le terrain. C’est bête à dire mais on en vient à espérer que des gens disparaissent.
Jack : c’est vrai que notre métier fait qu’on espère que des gens disparaissent… en attendant, y’a quand même quelqu’un qui a besoin de nos services et ce serait bien qu’on ne perde pas trop de temps..
Vivian : donc ce n’était pas une de tes blagues vaseuses…
Jack : non je suis sérieux.
Sam : alors, tu nous dis qui a besoin de nous ?
Vivian, riant avec Sam : parce que c’est toi qui nous fait poireauter depuis cinq minutes…
Jack : c’est bon les filles, oh…
Sam : solidarité féminine Jack, tu connais pas ça toi…
Vivian : surtout en ce moment… tu es solidaire masculin tout seul…
Jack : riez les filles, parce que quand j’aurai récupéré mes deux éternels gamins, vous allez de nouveau en voir de toutes les couleurs.
Vivian : d’ailleurs en parlant d’eux, tu es allé les voir ce midi ?
Jack : oui je suis passé rapidement. Mais si ça ne vous dérange pas, on va parler boulot un peu, histoire que vous fassiez connaissance avec notre disparue, et après le temps de lancer les premières recherches sur ordinateur on aura le temps.
Sam : d’accord Jack.
Vivian, s’asseyant à son bureau, prête à intégrer les données dans son ordinateur : on t’écoute.
Jack : il s’agit de Margaret ARTHUR, elle a 91 ans et a disparu de sa maison de retraite ce matin. Pour ce qui est de son histoire, rapidement : elle est veuve depuis dix ans, elle a écoutez-moi bien car vous ne ferez pas mieux qu’elle, huit enfants, vingt petits-enfants, trente-huit arrière petits-enfants, douze arrière arrière petits-enfants et une arrière arrière arrière petite fille née cette année.
Sam : tu veux dire qu’il y a six générations qui se côtoient ???
Jack : exact, elle a eu sa première fille jeune, et a chaque fois il y a eu une fille de la descendance qui a eu un enfant très jeune… Je m’explique : Mme Arthur a sa fille aînée qui a 70 ans, et après la descendance féminine de cette fille a 52 ans, puis 35 ans, 18 ans et 1 an.
Sam : Jack, c’est chinois ce que tu dis.
Vivian : en gros elles ont eu toutes une fille très tôt, aux environs de 17 ans, pour qu’il y ait six générations.
Jack : c’est aussi simple que cela.
Sam, stupéfaite : c’est exceptionnel ! J’en reviens pas, là l’expression famille nombreuse ne suffit plus.
Vivian : ben dis-moi Jack, tu as déjà pas mal d’information…
Jack : et encore, il a fallu que je stoppe le Directeur de la Maison de Retraite … je crois que Mme Arthur est une sorte de mascotte ou de porte-bonheur pour eux. Il aurait passé sa journée à me décrire notre vieille dame.
Vivian : justement décris-là nous un peu Jack.
Jack : prenant une photo sortie de l’imprimante : je vous présente Margaret Arthur.
Sam : waouh !! Vivian, tu as vu le visage qu’elle a ?
Vivian : c’est vrai qu’elle est encore très belle…
Jack, exaspéré : bon les filles on n’est pas là pour parler beauté, lifting, botox ou je ne sais quoi d’autre encore.
Vivian, rigolant : pauvre Jack, on t’en fait des misères.
Sam : continue, on t’écoute.
Jack : alors, notre chère Margaret mesure 1m62 pour 54 kilos, elle marche avec une canne mais se débrouille bien, et d’après le Directeur, elle est autonome pour la plupart des choses de la vie quotidienne. Par contre, il semblerait qu’elle commence à avoir des pertes de mémoire.
Vivian : on se dirigerait plus vers une personne qui s’est perdue plutôt qu’a un enlèvement ou autre disparition violente.
Jack : je pense comme toi Viv’ mais on ne sait jamais, on en a vu tellement de choses étranges.
Vivian : bon j’ai commencé à lancer les recherches sur Margaret Arthur, le temps que l’ordinateur cherche, tu peux nous parler des gars Jack.
Jack : ok, tout d’abord Martin va beaucoup mieux, il est beaucoup moins fatigué. Après pour le moral, il y a toujours des hauts et des bas, mais Danny est aux petits soins. Maintenant, il faut qu’il prenne son mal en patience pour la greffe. Lui qui est dynamique, se retrouver à nouveau dans un lit d’hôpital à ne rien pouvoir faire c’est pas évident…
Sam : et Carol ?
Jack : Martin m’a dit qu’ils se parlaient au téléphone, c’est mieux que rien. C’est vrai qu’il souffre de ne pas la voir mais il a compris pourquoi Carol ne pouvait pas venir le voir. Et sinon, je crois que la mère de Martin reprend contact également, c’est pas grand chose mais je suppose qu’elle fait sa en cachette de son mari.
Vivian : bon c’est plutôt positif ce que tu nous dit.
Sam : si seulement ça pouvait durer.
Jack : ça ne peut qu’aller mieux, et j’oubliais, en parcourant une nouvelle fois le dossier de Finch, je pense avoir la signification de sa signature.
Sam : le fameux troiseurtrente ?
Jack : oui. Il semblerait que son frère se soit suicidé à cette heure là…
Vivian : d’accord, je pense que ta signification est cohérente. Tu en as parlé à Martin ?
Jack : non, je le ferai plus tard.
Sam : et Martin, il fait toujours des portraits de Finch ?
Jack, soupirant : oui. Le psychiatre a conseillé de tout mettre dans un classeur, il dit aussi que c’est un moyen qu’a Martin d’évacuer ses angoisses.
Vivian, regardant son écran d’ordinateur : bon j’ai des résultats pour Madame Arthur.
Sam : ok on s’y met, Jack, comment on s’organise ?
Jack : bon les filles, il pleut des cordes dehors, moi je vais rester là à prendre contact avec les hôpitaux, morgues, enfin bref la routine…
Sam : et nous ???
Jack, souriant : vous vouliez prendre l’air il me semble, alors vous allez faire un petit tour dehors jusqu’à la maison de retraite…
Vivian : Sam je crois qu’on s’est fait avoir sur ce coup là.
Sam : ouais j’ai bien l’impression. Ca va Jack, tu t’es bien servi ?
Jack, se moquant en retournant dans son bureau : eh les filles, vous oubliez qu’en l’absence de Danny et Martin, je suis solidaire avec moi-même…

Ohh! chouette, une suite! Merci beaucoup, c'est toujours aussi bien
Je crois que je voulais te dire autre chose, mais quoi?! Ah, oui je sais: je veux bien une suite...

clairounett a écrit:(Mouchette, dépêche toi de mettre une suite à ta fic sinon je fais grève de la mienne ... lol)

je vais m'y mettre, alors...

Coucou, alors je viens de découvrir ce forum ce soir. Et j'ai lu ton histoire parce que j'adore Martin. Et elle est vraiment génial, la relation danny martin est génial, l'histoire est super, j'adore félicitation

tjs aussi bien
dit tu voudrais pas nous remettre une suite??? stp stp stp
j'espere que tout va s'arranger....

oops moi aussi j'ai pas pû m'empêcher de tout lire d'un coup!!!!
UNE suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

Merci pour vos commentaires, ils font plaisir. Coucou les petites nouvelles... vous l'avez peut-être lu mais je ne suis pas là la semaine donc il faut vous armer de patience à chaque fois pour avoir la suite (n'est-ce pas certaines accros... même si elles sont beaucoup moins nombreuses qu'avant)
Et désolée mais j'ai pas encore écrit la suite... gros problème de temps et d'imagination....

clairounett a écrit:Et désolée mais j'ai pas encore écrit la suite... gros problème de temps et d'imagination....

Tant que ce n'est pas une grève...
J'espère que l'imagination reviendra.
Je t'ai déjà dit que ta fic était super?

j'espere aussi que l'imagination te reviendras parce que c'est l'une de mes fic preférée....

manon a écrit:j'espere aussi que l'imagination te reviendras parce que c'est l'une de mes fic preférée....

Pareil, vivement la suite

J'espère aussi que l'inspiration te reviendra car l'histoire est vraiment super

bientôt une suite?

Spéciale suite pour Mouchette !!!Et pour les autres of course... Ecrite cet aprèm ... par contre elle est pas longue et j'ai pas d'avance.. alors ...
'fin voilà quoi...
Bonne lecture quand même....



14h35. Aux environs de la maison de retraite.

Samantha et Vivian, accompagnées d’agents, sont à la recherche de la vieille dame.
Sam : quel temps de chien…
Vivian : tu l’as dit, je suis trempée jusqu’aux os …
Sam, riant : moi aussi, j’ai le pantalon qui colle, c’est… désagréable …
Vivian : on aura besoin d’un bon brushing aussi.
Sam : c’est sûr, parce que là Hugo il me largue direct s’il me voit dans cet état !
Vivian : j’espère que non, je l’aime bien ce beau jeune homme… et puis il m’a l’air d’être vraiment amoureux de toi, et puis vous êtes mignons tous les deux.
Sam : je disais ça en plaisantant pour Hugo, mais merci. En tout cas, j’ai envie de bien faire les choses avec lui, et pas tout faire rater comme j’ai pu le faire avec Martin.
Vivian : et Jack, tu l’a oublié ?
Sam : oui, cette fois j’en suis certaine, j’ai l’intention de passer à autre chose. Pour la première fois de ma vie, je crois que je sais ce que je veux…
Vivian : et bien ma petite Samantha, ça fait plaisir de te voir aussi déterminée.
Sam : merci Vivian, et toi…
Vivian, hurlant : ahhh !!!!
Sam : retenant un fou rire naissant : mais quel imbécile l’autre avec sa voiture… ! Ma pauvre Vivian tu es dans un état !
Vivian, essayant de s’essuyer : je suis sûre qu’il en a fait exprès de rouler dans la flaque d’eau.
Sam : en tout cas, tu iras te changer parce que je ne continue pas cette enquête avec toi dans cet état, je perds toute crédibilité.
Vivian, riant de bon coeur : déjà qu’on n’en avait plus beaucoup avec nos têtes dégoulinantes. Et toi t’as pas mis ton mascara waterproof toi ce matin ! Tu verrais ta tête…
Sam, soudain sérieuse : en parlant de notre état…j’espère que si Madame Arthur est dehors, elle est à l’abri…
Vivian : moi aussi, parce qu’à son âge, même si elle est toujours en bonne santé, ça peut vite se dégrader.

Le téléphone de Vivian sonne.
Vivian : Johnson.
Vivian : comment ça on stoppe tout ?
Vivian : retrouvée ? Mais où ça ?
Vivian, s’exclamant : dans la maison de retraite !!! Mais ce n’est pas possible, comment ils ont fait pour ne pas la voir !!!!
Vivian : ok ok je me calme, mais comment va-t-elle ?
Vivian : mince…
Vivian : d’accord Jack… A tout à l’heure.

Sam : ils ont retrouvé Madame Arthur ?
Vivian : oui. Dans la cage d’escaliers.
Sam : attend, comment ça ? Ils n’ont pas fouillé toute la maison de retraite ?
Vivian : il faut croire que non..
Sam : elle est vivante ?
Vivian : oui. Mais d’après les premiers mots du médecin, elle aurait une fracture du col du fémur.

Merci pour cette suite, j'espère qu'on en aura vite une nouvelle

Enfin!!!! Merci pour cette suite
J'espère qu'on ne devra pas attendre aussi longtemps pour la suivante Surtout que c'est une toute minuscule suite, ça Que veux-tu, je ne suis jamais contente
Ce petit bout m'a bien fait rire
Et je me réjouis d'avoir des nouvelles de notre Martin

Muchas gracias pour les com' ....
Voilà une suite...

16h12. Bureaux du FBI.

Sam et Vivian arrivent à l’étage et s’arrêtent au bureau de Jack.
Vivian : salut Jack, on ne te dérange pas ?
Jack : non absolument pas, excusez-moi de vous dire ça comme ça mais vous vous êtes battues sur les pelouses de la Maison de Retraite ?
Sam : pourquoi ?
Jack : parce que vous êtes dans un piteux état toutes les deux…
Vivian : très drôle Jack.
Sam,rigolant : c’est vrai que je commençais à m’habituer à être trempée, finalement c’est pas désagréable, hein Viv’ ?
Vivian, faisant une moue dubitative : franchement, la prochaine fois tu y retournes si tu veux, mais ce sera sans moi…
Jack : je prends note Sam, pour une prochaine fois. Je sais donc que j’aurai une volontaire.
Sam souriant à Vivian : merci de me soutenir. Je te retiens toi…
Jack : allez t’inquiètes pas va, une bonne douche chaude et tout sera oublié. La prochaine fois vous garderez votre solidarité féminine de côté…Mais comme je suis un super patron, je vous annonce que vous pouvez prendre une bonne douche maintenant, que vous êtes libres ensuite, et que la paperasse attendra demain.
Vivian : si c’est vrai Jack, c’est vraiment sympa, parce que mine de rien cette recherche sous la pluie m’a fatiguée.
Jack : alors je te confirme que vous êtes libres. Je suis conscient qu’avec le nombre d’agents que j’ai sous la main, je dois épargner mes troupes.
Sam : merci Jack.
Vivian : et plus sérieusement, tu as des nouvelles de Madame Arthur ?
Jack : le médecin a dit que si elle ne décédait pas des suites de l’opération, car elle doit être opérée, ce sera sûrement dans l’année.
Sam : ce n’est pas très optimiste tout ça…
Vivian : oui, mais je crois que c’est en général ce qui arrive, c’est bien ça Jack ?
Jack : c’est exact Viv’ … bien sûr il y en a qui s’en remettent très bien…mais les personnes âgées à qui cela arrive décèdent malheureusement plus précocement que prévu, l’anesthésie, l’opération lourde qu’ils subissent, tout ça fait que ça les rend plus vulnérables.
Sam : ok, bah je sais pas vous, mais j’ai envie de me changer les idées… ça vous dit de prendre un café au bar ?
Vivian : moi je suis partante, mais pas longtemps. Je vais faire la surprise à Regie d’aller chercher à l’école tout à l’heure…
Sam : et toi Jack, tu viens avec nous ?
Jack, malicieux : je ne peux pas refuser ça aux deux femmes de mon service…qui auront retrouvé leur beauté une fois leur douche prise et leur maquillage refait…
Sam, sortant avec Vivian tout sourire : à tout de suite alors.


Mercredi 23 avril. Hôpital. 13h11.

Le médecin entre dans la chambre de Martin.
Dr Peaters : Bonjour Mr Fitzgerald, comment allez-vous aujourd’hui ?
Martin : bonjour, ça peut aller.
Dr Peaters : écoutez, j’ai une nouvelle à vous annoncer, je vais pas vous faire attendre plus… Nous avons un donneur de rein potentiel.
Martin, ne réalisant pas encore : alors quelqu’un meurt pour que moi je revive…
Dr Peaters : oui. Ce sont les aléas de la vie, le destin vous a choisi vous et le jeune homme qui vous donnera ce rein.
Martin : j’ai du mal à imaginer…
Dr Peaters : pour donner plus de poids à mes mots, j’ai fait venir deux personnes pour vous…
Martin : ah ??
Dr Peaters, haussant la voix : venez, vous pouvez entrer !

La porte s’ouvre, laissant entrer les deux personnes.
Danny : salut Marty.
Martin : salut Danny.
Danny, laissant passer une femme : je sais pas si je dois te la présenter…
Martin, hébété : Ca… Carol….
Carol, se rapprochant : hey
Martin, se relevant dans son lit : Carol…
Carol : oui c’est moi, je suis là.
Martin, les larmes aux yeux : je croyais que…
Carol, posant délicatement ses lèvres sur celles de Martin jusqu’à ce qu’il se rallonge : chuttt.
Martin, d’une voix faible : tu m’as manqué…
Carol, lui prenant les mains : je sais, toi aussi. Mais aujourd’hui je suis prête à être avec toi et te soutenir…
Martin : merci.
Carol : je t’aime Martin.
Martin : moi aussi je t’aime.

Dr Peaters, gêné : je suis désolé d’interrompre les retrouvailles… mais il va falloir qu’on prépare Mr Fitzgerald.
Danny : maintenant ?
Dr Peaters : oui maintenant.
Carol : il part tout de suite ?
Dr Peaters : effectivement, on le prépare puis on l’emmène au bloc.
Martin, soudain tendu : je sais pas si…
Danny : hey Martin, ça va aller, et si tout va bien demain tu te réveilleras avec un rein.
Martin, s’énervant : oui, mais…
Dr Peaters : détendez-vous Mr Fitzgerald, c’est une intervention que j’ai l’habitude de pratiquer avec mes collègues, le risque le plus courant c’est le rejet de la greffe. Et si ça arrive, on recommencera. On en a déjà parlé tous les deux.
Martin : je sais, mais … là c’est pas pareil.
Dr Peaters : je suis désolé mais on n’a pas pu vous prévenir avant, je sais que c’est une nouvelle difficile à encaisser pour vous, c’est brutal mais on n’a pas pu faire autrement. Vous êtes toujours d’accord pour l’intervention ?
Martin, perdu : bien sûr, mais…
Dr Peaters : écoutez, je suis désolé mais je dois vous laisser, l’infirmière va venir vous préparer à l’intervention et je reviens vous chercher.
Dr Peaters, bas à Danny en sortant : essayez de le rassurer le plus possible, je vais lui faire administrer un calmant pour faciliter la tâche mais il faut mettre toutes les chances de notre côté pour cette intervention et je ne tiens pas à l’opérer s’il fait une nouvelle crise d’angoisse.


13h45.

Dr Peaters : Mr Fitzgerald, on y va. Ca va mieux ?
Martin, soupirant : oui.
Dr Peaters, s’adressant à Carol et Danny : on va le sortir dans son lit, si vous voulez bien…
Danny, souriant : d’accord, on sort.
Carol : à tout à l’heure Martin. On sera là à ton réveil, ne t’inquiètes pas.
Martin, détournant le regard : ...
Carol, passant le dos de sa main sur la joue : courage mon ange.
Une fois seuls, tandis que Martin laisse échapper un sanglot alors qu’il est emmené au bloc.
Danny : reste plus qu’à attendre…
Carol : une nouvelle fois.
Danny, la prenant dans ses bras : allez ma belle, ça va aller… surtout maintenant qu’il sait que tu es là, il va être plus fort.
Carol : j’ai envie de te croire, mais il est pâle et il a vraiment maigri…
Danny : c’est normal qu’il ait maigri, ça fait bientôt deux semaines qu’il est cloué au lit.
Carol : je sais … et je l’ai abandonné.
Danny : Carol, ça sert à rien d’avoir des remords, c’est passé. On ferait mieux de prévenir les autres.

Puisqu'on est dans une période de confidence, je vais te dire quelque chose, Clairounette: je t'aime aussi! Deux suites en 1 semaine, le bonheur! J'adore comme tu décris l'angoisse de Martin, je trouve ça très réaliste (en tout cas, ça me fait angoisser avec lui).
Alors, c'est reparti pour 1-2 (3-4?) suites par semaine? Stp stp stp
Mais... Je me pose une question... Tu ne vas pas être trop sadique, hein?

Carol : j’ai envie de te croire, mais il est pâle et il a vraiment maigri…

C'est pas une raison pour le laisser mourir sur la table d'opération Tu peux me faire peur, mais ne va pas trop loin

Tu as mis la suite, super j'adore voir Martin comme ça j'espère que la suite viendra vite! En tout cas bravo

alala mais c'est trop bien....
c'est ça de nous faire des purs fic c'est que vous etes tout le temps sollicités...
non serieux j'attends la suite avec beaucoup d'impatience...

Ahlala pauvre Martin. elle est super bien construite en tout cas ta fic et j'attends la suite avec impatience.

Et moi qui croyait que t'avais mis une suite
J'ai une très longue semaine qui m'attend: ce serait chouette si je pouvais te lire un peu un de ces jours J'adore trop ta fic

Oulalalala... je suis désolée les filles... merci pour les commentaires... mais je pars une semaine en vacances...coupée du monde (sans télé ni ordi.... quelque part c'est du bonheur..) alors peut-être que si j'ai des temps morts j'écrirai ... mais pour l'instant je n'ai pas de suite assez longue à vous proposer...
Désolée pour les faux-espoirs....
Mais là y'a un besoin vital de me ressourcer auprès de gens "vrais" ...

J'ai remarqué que tu étais de retour. J'espère que tu t'es bien ressourcée. Non, non, je ne demanderai pas de suite, je veux juste dire que je suis patiente

Mouchette a écrit:J'ai remarqué que tu étais de retour. J'espère que tu t'es bien ressourcée. Non, non, je ne demanderai pas de suite, je veux juste dire que je suis patiente

Je me suis bien ressourcée... (merci de prendre de mes nouvelles (hihi)) peut-être trop d'ailleurs, le retour à la réalité m'a calmée... et j'ai été tellement occupée avec mes quatre choupettes que j'ai pas eu le temps d'écrire de la semaine...

Mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas de suite ...

Allez, pour toutes celles qui m'encouragent (je vous mdr) :



Jeudi 24 avril. Hôpital. 7h03.

Danny et Carol discutent à voix basse dans la chambre de Martin.
Danny : je te sens fatiguée Carol. Tu ne veux vraiment pas aller te reposer ?
Carol : non, je veux être à ses côtés quand il va se réveiller.
Danny : oui, mais si tu vas te reposer, je te préviens s’il se réveille.
Carol : c’est gentil Danny, mais je tiens à rester avec lui.
Danny : tu as veillé toute la nuit… et une femme enceinte doit se reposer…
Carol : je sais mais ce n’est pas si grave que ça si je n’ai pas dormi cette nuit.
Danny : tu es enceinte de presque six mois Carol. Tu as pensé au p’tit bout que tu as dans le ventre ? Et lui tu crois qu’il va apprécier une nuit blanche ? Il est encore un peu jeune, il aura le temps plus tard pour faire ça…
Carol, souriant : c’est bon Danny, j’ai compris, de toute façon avec toi il n’y a pas moyen de discuter. Je vais aller me reposer…
Danny : je vois que tu m’obéis.
Carol : … quand Martin sera réveillé.
Danny : j’ai parlé trop vite, tu es une vraie tête de mule quand tu t’y mets…
Carol : tu peux causer Danny Taylor. Toi et ton sale caractère.
Danny, faisant semblant d’être offusqué : moi ? Un sale caractère ?
Carol : oui. Un sale caractère. D’ailleurs les gens ici n’osent plus te contredire, en quinze jours tu es devenu la terreur de l’étage…mais t’es habitué maintenant, ça te fait rire qu’on dise ça de toi…
Danny, imitant Jack : doucement terreur.
Carol, pouffant de rire : s’il t’entendait.
Martin, d’une voix faible : qui ?
Carol, se retournant : mince, on t’a réveillé.
Danny : eh Marty.
Carol : comment tu te sens ?
Danny : content de te voir enfin.
Martin, fermant les yeux : doucement s’il vous plait, je …
Carol, prenant sa main : ça va pas Martin ? Je peux prévenir le médecin si tu veux.
Martin, luttant pour ne pas fermer les yeux : non. Ca va. C’est juste que je me sens bizarre.
Carol : c’est normal, tu es encore sous l’effet des anesthésiants.
Danny : laisse toi aller à ton sommeil et ça ira mieux la prochaine fois que tu vas te réveiller.
Martin : si tu le dis.
Danny : fais-nous confiance Marty.
Carol : est-ce que t’as mal quelque part ?
Martin, fermant les yeux : ça va.
Carol, passant sa main dans les cheveux de Martin : à tout à l’heure mon cœur.

8h21.

Carol : re bonjour.
Martin, se réveillant : salut, sympa cette vue magnifique à mon réveil.
Carol : tu parles de quoi ?
Martin : de la plus belle femme du monde tiens.
Carol : tu dois pas être bien réveillé, ce n’est pas possible.
Martin, souriant : si si. Ce coup ci je suis pas dans le coltar.
Carol : ça va ? T’es un peu pâle.
Martin : oui, je dois être bien calmé par les médocs parce qu’à part me sentir un peu dans les choux, j’ai pas mal. Et pour le style pâle, tu dois commencer à t’habituer à me voir comme ça.
Carol : tant mieux alors si ça va au niveau de la douleur. Par contre je suis pressé que tu reprennes ton beau petit teint qui va si bien avec tes yeux.
Martin, grimaçant : ouais, enfin j’espère que les doses d’anti-douleur ne sont pas trop fortes.
Carol, prenant sa main : ne t’inquiètes pas pour ça, les médecins gèrent ils sont au courant de ta situation.
Martin : je sais mais je n’ai pas envie de retourner dans cette spirale infernale.
Carol : pour l’instant l’essentiel c’est que tu t’en sortes, jusqu’ici tu te débrouilles très bien avec les moyens que tu as. Les médecins gèrent le côté médical, mais tu sais que le moral est un élément important pour la réussite de ta greffe. On est tous là pour t’aider. Et s’il le faut, tu sais que tu seras hospitalisé plus longtemps, les médecins te l’ont dit : ils ne te lâcheront pas comme ça dans la nature.
Martin : je suis vraiment tombé sur une super équipe.
Carol : je le pense aussi.
Martin : il est partit Dan ?
Carol : oui, maintenant il faut quand même qu’il retourne au bureau, Jack et les filles ont besoin de lui.
Martin, soupirant : je sais.
Carol, le taquinant : allez tu vas le revoir ton cher Danny, lui non plus ne peut pas se passer de toi. Par contre, je ne veux pas jouer les rabat-joie, mais il faut que tu te reposes.
Martin : d’accord, mais pas avant que tu m’aies embrassé.
Carol, se penchant pour l’embrasser : à vos ordres.
Martin : c’est tout ? C’était bien court. Au fait, les médecins n’ont pas dit que j’avais le droit à des massages ?
Carol, se rasseyant : haha bien tenté petit malin… ils ont dit de légers massages au niveau des jambes et des bras pour aider à la circulation.
Martin, un sourire en coin : ah mince, j’avais mal compris.
Carol : fais donc l’innocent.
Martin : vivement que je me tire d’ici tiens…
Carol : je suis contente que tu réagisses comme ça, même si tu as encore un gros bout de chemin à faire avant.
Martin : y’a pire que ma situation, c’est tout. Et puis j’ai la chance d’avoir la femme que j’aime à mes côtés.
Carol, se rapprochant à nouveau de ses lèvres : moi aussi je t‘aime.

Ils sont trop mimi tout les 2. Ep puis, c'est bien un mec ça, encoer totalemet chouté par les médicaments mais il veut déjà passé au dessert.
Sinon, j'adore ta fanfic. Peut-être bien parce qu'elle est centrée sur Martin et que je l'adore mon petit Marty . Sinon, je trouve que tu écris vraiment bien alors, à quand la suite (je sais, à peine arrivée et déjà impatiente ).
Donc, je crois que je suis un de plus. Honte à moi!!