Un mariage blanc ? - Complète

Mais qu'elle court vers Danny qu'elle lui avoue tout et elle se sentira mieux Non?

Halala...la pauvre...j'ai mal pour elle, bon là je suis à fond dedans

Alors je reclame une suite bien sure

Ah, merci d'avoir mit une suite!!! Mais cette miss est un peu aveugle. Après leur fameuse danse dans ce bar, elle croit encore que Danny ne s'intéresse pas elle... Il n'y arriveront jamais décidèment ces deux là!!!
En tout cas, j'espère que la suite sera bien pour ce soir! Je la guetterais avec impatience!

Ah, et je n'ai encore pas reconnu la chanson...

petit bout à se mettre sous la dent mais il m'a mise en appétit

alors la suite

Merci pour cette suite...

Mais vite vite une autre j'ai hate de voir la reaction de Danny....

Et j'ai hate qu'il quitte sa Natasha...

@ pativore : la chanson, c'est "that particular time " d'Alanis Morrissette

Dimanche matin :

Danny rejoignit Tess dans la cuisine. Ils ne s’étaient pas revu depuis le fiasco au club, sa « femme » ayant préféré se coucher tôt.

- salut, dit timidement l’agent du FBI.

Pas de réponse. Il prit une chaise et s’installa en face de Tess, qui sirotait un verre de jus d’orange.

- je dois passer au bureau, j’ai quelques dossiers en retard. J’aurai dû être fonctionnaire, sourit-il.
- pourquoi ? tu crois que je glande toute la journée ?
- non, pas du tout.

Le silence s’installa. Il avait remarqué les traits tirés sur le visage de sa "femme". Visiblement, elle avait eu une mauvaise nuit et ne semblait pas en forme.

- Tess, soupira-t-il. Parle -moi.

Il posa sa main sur la paume de la française qui la retira aussitôt.

- tu n’aurais pas dû le frapper.
- Je sais mais il l’a bien cherché, répondit Danny, légèrement agacé.

Elle le fusilla du regard.

- il ne m’aurait rien fait, assura-t-elle.
- si tu le dis.
- oui, car moi je dis les choses ! Par contre, il y en a plein que tu me caches, toi !

Danny écarquilla les yeux. Il ne voyait pas du tout où Tess voulait en venir.

- tu aurais parié que mon mariage n’ aurait jamais lieu. C’est ça que tu voulais me dire pendant qu’on dansait ? Que tu avais des remords ?
- c’est Thomas qui t’a dit ça ?
- alors, c’est vrai ? S’énerva-t-elle.

Elle semblait vraiment blessée.

- Tess, attends, je vais t’expliquer !
- c’est tellement mesquin et petit ! Je n’en reviens pas ! ça ne te ressemble pas pourtant ! Quand je pense que j’ai accusé Tommy de m’avoir menti !
- ce n’est pas ce que tu crois !
- ah non ?
- il était persuadé que tu accepterais et j’ai dit que pour l’instant, rien n’était moins sûr.
- Et de quel droit ? Comment tu as pu ? Tu as parié sur ma vie, Danny ! Sur mes sentiments ! Tu savais très bien que j’étais perdue et que j’essayais d’y voir plus clair !

Elle haussa le ton. Elle semblait vraiment hors - d’elle à présent.

- calme -toi !

Elle reprit son souffle et mit les bras en croix.

- il vaut mieux que tu partes, affirma Tess, le regard sombre.
- oui, je vais être en retard.
- non, pour de bon.

Son ton était froid. Danny fixa sa « femme ».

- je veux que tu retournes dans ton appartement. Je n’en peux plus de ce foutu arrangement. J’étouffe.

Il se mit à ricaner.

- tu n’es pas sérieuse, c’est une blague, tu me fais marcher là ?
- est-ce que j’ai l’air de plaisanter ?
- Mais bon sang, Tess! Tu ne te rends pas compte ! Et s’il y a un contrôle ?

Il fronça les sourcils. Elle l’ affronta du regard.

- c’est à cause de lui, hein ? C’est pas vrai ! Alors il suffit que ton mangeur de grenouilles te fasse une malheureuse réflexion et tu es prête à tout foutre en l’air sur un coup de tête !
- tu penses que je suis si influençable ?
- Je croyais que ce qui comptait le plus pour toi, c’étaient les enfants !
- c’est le cas !
- et bien, on peut dire que tu as une drôle de façon de le montrer !
- à ta place, je ne la ramènerai pas !

Il prit un air résigné.

- très bien. Je m’en vais puisque je ne suis plus le bienvenue ici ! Dit-il, vexé.

Il se leva ensuite et enfila la veste qui était préalablement posée sur le dossier de sa chaise.

- Je viendrais chercher mes affaires, ce soir. Ne m’attends pas ! Je dînerai chez Natasha !
- aucun risque !

Furieux, il sortit en claquant la porte. Se tenant debout dans la cuisine, Tess resta silencieuse, essayant de se persuader que ce qu’elle venait de faire était le meilleur choix possible.

J'ai comme l'impression qu'on a un fort gout pour les complications en tout genre sur ce forum!
Non mais c'est vrai, c'est pas possible! C'est deux là n'y arriveront jamais!!! A désépéré! Moi je dis, ça mériterait des baffes ces deux couillons!!
Et le coup du "mangeur de grenouilles", trop trop trop drôle! (décidément c'est un cliché que je ne comprendrais jamais, qui aime la grenouille?!!)
Vivement la suite en tout cas! Je bouillone d'impatience (tu remarqueras le "bouilloner"... )

Raaaaaaa c'est pas possible !!!! Soit elle est vraiment c*** et a de la m*** dans les yeux soit c'est Danny qui est vraiment c*** !!!!
D'un côté je la comprends, perdue dans ses sentiments mais au lieu de les affronter, elle prend la fuite !
Comme si le virer allait arranger les choses !

Bon une suite parceque là, là ça va pas !!!

Elle me dépite cette fille... Elle a Danny près d'elle et c'est tout ce qu'elle lui touve à dire

Une suite

Mais c'est quoi ce délire...
Il faut arranger ça ...

Il ne peut pas partir...

Il faut qu'il bouge sa natasha et que Tess lui fasse des excuses ou qu'ils se réconcilient...

Ca ne va pas etre possible

Une suite vite please!!!!

ça je m'en gourrais qu'il allait se faire tej !!

mais bon, elle va pas tenir longtemps sans lui

une petite suite ?

Alors pas de suite en vue ?

La voilà ma chère jenny et merci pour vos comm' :


Le soir même, 23h 30 :

Danny ressortit de sa chambre, un sac de sport à la main, ne contenant que quelques affaires. Il n’avait croisé personne à la maison depuis son retour, il y a tout juste une quinzaine de minutes. La famille Martin était devenu sa famille et aucun d’entre eux n’avait daigné lui dire au revoir.
Il valait peut-être mieux ainsi : il n’aurait pas pu supporter des adieux déchirants avec les enfants. Il traversa le long couloir qui menait jusqu’ au salon et ne put s’empêcher de caresser Lady dont le panier traînait à nouveau au beau milieu de l’entrée. Seulement, la chienne, qui ne supportait pas qu’on la dérange en plein sommeil, se mit à grogner. Grognement qui se transforma vite en un fort aboiement.

- chut ! Tais- toi ! Chuchota-t-il.

C’est à ce moment-là qu’il vit une petite lumière s’allumer dans le salon.

- la ferme ! Bon sang ! murmura-t-il avant que le westie ne retourne enfin dormir.

Danny fit quelques pas vers le salon.

- ah c’est toi ! Fit Tess, rassurée.

Sa « femme » s’était assoupie sur le canapé, un plaid encore sur ses épaules.

- Je prends ma veste et je file, fut sa seule réponse.

Son ton était froid, on voyait bien qu’il contenait sa colère.

- Bianca et Tyler t’ont attendu mais ils se sont effondrés il y a une heure, sourit-elle.
- je sais, je reviens de leur chambre … fais leur un gros bisou de ma part, fit le jeune agent, le visage toujours aussi fermé.

Tess s’était levée, prenant bien soin de se tenir éloignée de son « mari ».

- je ne t’empêche pas de les revoir.
- quelle grandeur d’âme ! Tu m’ impressionnes là ! ironisa-t-il.

Elle lui adressa un regard sombre.

- je me demande comment j’ai fait pour te supporter tout ce temps, soupira-t-elle.
- ah mais je n’ai rien demandé ! c’est toi qui as voulu tout ça ! La coupa-t-il. Je te rappelle que c’est toi qui es venu me chercher !
- non, c’est Thomas ! Et je ne t’ai pas mis le couteau sous la gorge à ce que je sache ! Tu aurais très bien pu refuser !
- mais bien sûr Tess ! Avec tes yeux qui me suppliaient d’accepter et ton cher « fiancé » qui ne me lâchait pas d’une semelle !
- N’exagère pas ! Il n’ est venu qu’une seule fois à ton bureau ! Une seule et unique fois Danny ! Mais vas-y ! Ne te gêne pas ! Dis tout de suite que tu as dit « oui » car je te faisais pitié !
- et bien, tu en auras mis du temps pour comprendre !

Elle le fixa. Il vit très bien à son regard, à quel point sa remarque l’avait blessée et regrettait déjà ces dernières paroles mais le mal était bel et bien fait.

- je vois. Félicitations. Tu vas pouvoir dormir tranquille maintenant. Tu as enfin soulagé ta conscience, ajouta-t-elle.

Son ton se voulait froid et cynique. Danny suivit la française du regard pendant qu’elle montait les marches pour rejoindre finalement l’étage puis il baissa la tête. Il aurait mieux fait de se taire. Il avait vraiment merdé sur ce coup-là. Il ne lui restait donc qu’une seule chose à faire. Seulement, il ne voulait pas partir. Tess faisait partie de son quotidien. Elle était devenue sa « femme ». Elle était tout pour lui. Mais il le fallait. Elle ne voulait plus de lui. Alors, bien que cela lui déchirait le cœur, il prit cette maudite poignée de porte et quitta cette maison qu’il considérait jusque- là comme la sienne.
Quant à Tess, elle voulut regagner directement sa chambre mais au lieu de ça, elle s’arrêta net devant celle de son « mari », ne pouvant s’empêcher d’y entrer. Une fois, la porte refermée, elle s’adossa contre, comme prostrée et reprit son souffle. Elle se laissa finalement tomber sur le lit, le dos en avant, les yeux rivés sur le plafond. Elle prit son coussin et voulut le serrer tout contre elle lorsque son attention se porta sur ce qui était caché en- dessous. L’émotion la gagna tout à coup.
C’était le tee- shirt de Danny, celui qu’elle aimait porter pour dormir durant ces derniers mois et qu’il lui prêtait volontiers à chaque fois qu’elle le lui demandait. Elle l’adorait, il avait même remplacé son maillot fétiche des Steelers. Elle prit ainsi ce dernier et huma son parfum. Elle pouvait encore sentir l’odeur de son « mari » dessus. Elle le serra très fort tout contre elle. De cette manière, elle avait l’impression que Danny était là, elle se sentait plus proche de lui. Elle se revoyait dans ses bras lors de cette soirée au club. Elle ne s’était jamais sentie aussi vivante. Elle sentait les larmes venir. Elle l’avait perdu, elle l’avait laissé partir et tout était de sa faute. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. Pleine de rage et de colère, elle s’effondra en pleurs.

Ben moi aussi je fonds en larmes

C'est triste tout ça...par contre le chien brave bête.

Ben une tite quand tu peux sera la bienvenue

ooh...

déchirante cette suite et la fin avec le tee shirt ça m'a trop fait penser a Ray et Neela aaaaaaaaaaa un vrai bonheur j'ai facilement imaginé la scène

Mais il faut arranger ça...ils sont tristes tous les deux... allé un petit geste au nom de ray et neela... lol

Merci en tout cas pour cette suite et vivement une autre...

Alors là je ne cautionne pas ! A croire qu'ils sont tous les 2 aussi débiles l'un que l'autre ma parole !
Faut que ça s'arrange....pitié !!!!

Des baffes, des baffes,! Il y a des paires de claques qui se perdent moi je dis!!! Non mais, ils vont vraiment jamais y arriver! Ils leur faut quoi pour se lancer et comprendre enfin qu'ils en ont envie tout les deux?!!!
En tout cas, ce passage était vraiment vraiment vraiment (trois fois ça donne plus de poid) génial et tout émouvant! Bravo mais maintenant il faut une suite!!! Allez, au boulot!

super passage

lequel des deux craquera le premier et ira voir l'autre

ya pas de doute, ils tiendront pas longtemps

alalala c'est pas possible d'etre autant borné....
surtout qu'avant que un des deux fassent le premier pas ont est pas encore couché....
ce passage etait vraiment beau....que de talenht...vivement la suite...

J'ai commencé à lire depuis hier soir, j'ai enfin fini et j'adoooorrrreeee ! Je ne comprends pas Tess à rejetter Danny ! Une suite s'il te plais !

La voilà :

Juin :
Hôpital Central, chambre 182 :

En assistant à cette scène, Natasha ne savait plus trop comment réagir. Se sentant de trop, elle préféra finalement partir sans rien dire. Sur le chemin du retour, elle essayait de relativiser. Ce n’était pourtant pas bien grave. Il s’agissait seulement de son compagnon et de sa « femme » qui veillaient au chevet d’un enfant.
D’autant plus, qu’elle trouvait ce portrait de famille vraiment touchant : en toute innocence, Tyler, plongé dans un profond sommeil, serrait la main de ses deux « parents » qui s’étaient également endormis, chacun d’un côté du lit.
Seulement, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine gêne au fond d’elle. Elle avait toujours été jalouse de cette relation si particulière que Danny entretenait avec Tess et les enfants. Si bien qu’elle avait parfois l’impression que son histoire avec l’agent du FBI n’était basée que sur le sexe et que rien d’autre ne les rapprochait.
Il ne lui racontait jamais rien sur lui ou sa vie d’avant. Peut-être bien parce qu’il préférait se confier à sa « femme » plutôt qu’ à elle ?

Il y a une heure :

- qu’est- ce que tu fais là ? Demanda Tess, le regard sombre.
- je viens pour Tyler, heureusement que Bianca a eu la générosité de me mettre au courant parce que si j’avais dû compter sur toi, lui répondit sèchement Danny.

Cela faisait pratiquement un mois qu’ils ne s’étaient pas revus et il y avait toujours ce froid entre eux. Ils n’affichaient que leurs rancœurs respectives et se faisaient des reproches alors qu’ ils pensaient constamment l’un à l’autre à longueur de journées. Ils étaient seulement trop fiers pour se l’avouer.
Ils étaient sans cesse à se demander comment l’autre allait et s’ils étaient deux à ressentir cette impression de vide qui ne les lâchait plus depuis ces dernières semaines. Comme si plus rien n’avait de saveur et que toutes les choses avaient l’air bien terne lorsqu’ils n’étaient pas réunis pour les partager.

- tu permets ?

Il entra en pointant du doigt le pied du deuxième lit vide.

- mais je t’en prie, c’est un endroit public, ironisa-t-elle.

Il jaugea les lieux et ne put s’empêcher de faire un petit commentaire.

- Thomas n’est pas là ? Demanda-t-il, l’air sarcastique.
- si, dans ma poche.

Il grimaça face à l’ ironie de la jeune femme.

- ne joue pas à ça avec moi, je suis sûre que Natasha a dû te mettre au courant, ajouta-t-elle, agacée par le comportement puéril de son «mari».

Il ne trouva rien d’autre à répondre. Du coup, un silence gêné s’installa.

- tu sais combien de temps ça va prendre ? La questionna finalement Danny.
- normalement, il devrait déjà être là mais vas-y, personne ne te retient.

L’agent Taylor était vexé par cette dernière remarque, mais préférant l’ignorer, il s’avança jusqu’à la fenêtre pour admirer la vue. C’est alors que son regard se posa à nouveau sur Tess.
Elle était assise sur une chaise, à proximité du lit et se rongeait nerveusement les ongles de la main droite pendant qu’ elle battait la mesure sur sa cuisse avec l’ autre.

- tu sais, c’est une opération courante de se faire enlever les amygdales, dit-il, le regard tourné vers l’horizon.

Son ton se voulait doux et rassurant à la fois.

- tu parles, c’est ce que te disent les médecins. Seulement, même une opération de routine peut tourner au cauchemar, crois-moi. En France, on a même un ministre qui est tombé dans le coma car il y a eu un problème pendant son anesthésie.

Il se retourna pour lui faire face.

- Tess, arrête d’imaginer toujours le pire, s’il te plaît, soupira-t-il.

Mais il la connaissait. Elle était d’un naturel angoissé et pessimiste, il savait très bien qu’elle ne pouvait pas s’en empêcher.

- c’est de ma faute, j’aurais dû reporter la date, poursuivit-elle, se mordillant la lèvre inférieure.

Danny écarquilla les yeux.

- on est le 5.

Il lui adressa un regard compatissant et hocha la tête. Il savait à quoi elle faisait référence. Son frère était mort un 5 et avec sa superstition des chiffres, cela devait vraiment être infernal pour elle. Cette fois, il s’approcha plus encore.

- hey … écoute- moi, dit-il, en lui relevant le menton. Tout va bien se passer, ok ?

Elle fit oui de la tête mais elle paraissait toujours peu convaincue.
C’est pourquoi, Danny s’accroupit à sa hauteur et lui prit la main.

- je te le promets, murmura-t-il.

Elle lui serra fort en retour. Comme toujours quand elle avait besoin de lui, il était auprès d’elle pour la réconforter. Ils se regardèrent un long moment, les yeux dans les yeux, puis ils échangèrent un sourire.

- Madame Taylor ?
- oui ?

Tess se leva en voyant arriver le lit qui transportait Tyler. Ce dernier dormait encore.

- l’opération s‘est bien passée, le médecin passera vous voir en fin de journée, sourit l’infirmière.
- merci, fit Danny.

De son côté, Tess était trop émue pour parler. Elle s’était contentée d’opiner du chef. Lorsque l’infirmière sortit de la chambre, la française poussa un soupir de soulagement et posa une main sur son front comme si toute son angoisse s’était évaporée d’un seul coup. Elle s’approcha ensuite du lit de son neveu, prit la main de ce dernier et y déposa un tendre baiser.

- mon bébé, murmura-t-elle. Tu m’as fait tellement peur.

En cet instant, Danny dévorait Tess du regard. Cette scène vint lui rappeler pourquoi il l’aimait tant. Elle donnait tellement d’ amour à ces enfants et était restée à leurs côtés après tout ce qu’ils avaient dû endurer. Quoiqu’il advienne, elle serait toujours là pour les soutenir et les encourager. Même si la cohabitation avait été difficile au début, elle n’avait jamais baissé les bras.
Le jeune agent prit alors une chaise et s’installa de l’autre côté du lit. Il serra ensuite la main libre de Tyler.

- merci, chuchota-t-elle, comprenant qu’il comptait bien rester.

Touché par sa dernière remarque, Danny adressa un clin d’œil à sa « femme » qui esquissa un léger sourire en retour.

j'ai beaucoup aimé ce petit bout même j'en reviens pas de ces deux têtes de pioches ont mit un mois pour la réconciliation !!

car après cette petite scène, forcèment y'aura réconciliation dis ??




la suite

Moi aussi j'ai adoré ce passage

mais ça va allez mieux après non?

C'est toujours la même galère avec eux ! Je sais pas combien de temps ils vont tenir mais mets vite une suite stp !

Très beau passage
Vivement la suite, en espérant qu'ils ravalent un peu leur fierté, et laissent parler leurs émotions!

cette suite est parfaite...
J'ai haaate de lire la suite et de voir comment ça va évoluer...

AAAA danny...