Alone (Seul) [complète]

Théana a écrit:j'ai déjà dit que j'adorais
la suite please

Et la voici...

Deux heures après Foyer du petit Lama 42ème Ouest Gament District

Passée l'avenue des Amériques et Bryant Park il y a une bibliothèque publique. Une jolie avec tout plein de livres. Il y a aussi un centre public à l'enfance. Depuis plusieurs décennies le système des familles d'accueil a progressivement remplacé les orphelinats d'autrefois. Les gosses se retrouvent enfin dans un milieu qui a au moins l'apparence de leur vraie famille que dans un immeuble gigantesque ou ils s'entassent comme des poulets de batterie. Pour une fois que le gouvernement prenait des bonnes mesures pour l'éducation et la vie des plus défavorisés. Il reste il est vrai le soucis de ces gamins qui naviguent de famille d'accueil en famille d'accueil. Mais bon on ne peut pas tout avoir.

Désormais ce que l'on appelle centre public ne sert que de sécurité, de dernière chance si pendant un temps un gamin n'a pas trouvé de toit, de lit ou de quoi se nourrir chez quelqu'un. Celui de la cinquième avenue ressemblait à tout les autres. Un bâtiment froid, moderne et éclairé de part tout par de grandes vitres. La vie dans ces centres ne se résumait pas à Zola et sa pauvre Cosette. Le seul détail qu'il y manquait s'appelait l'amour.

Après s'être renseigné Danny accéda au bureau du directeur. Un type aux petites lunettes légèrement fumées sur une monture couleur argent consultait derrière un bureau en agglo un énième dossier en attente. Il avait dû entendre Danny frapper à la porte car il proposa d'entrer mais pendant quelques secondes il ne quitta pas ce dossier qui semblait l'obnubiler. Soudain il le posa brusquement, se leva et serra la main de l'agent Taylor.
Il n'avait pas dû tout l'allure que ce faisait le jeune latino du directeur d'un tel endroit. Il portait une queue de cheval brune en catogan avec quelques cheveux gris qui apparaissait. Il paraissait très maigre avec sa pomme d'Adam saillante et son grand corps tout décharné. Il devait être tout juste plus âgé que Danny, deux ou trois ans tout au plus.

« - C'est pour quoi ?
- Je me présente Danny Taylor. Je suis détective privé. J'ai été engagé pour rechercher le frère de mon client qui a séjourné chez vous à une époque.
- Enfin une bonne nouvelle.
- Pardon ?
- Vous devriez voir les tonnes de dossier de famille qui se déchire qui passe par mon bureau. Alors lorsque des frangins se recherchent je crie à la bonne nouvelle. Que puis-je faire pour vous ?
- Il serait possible de consulter son dossier ?
- Ça dépend il date de quand ?
- Plus de dix ans.
- Gast. C'est pas d'hier ça. Quel nom ? »

Le directeur s'était levé et s'approchait de plusieurs armoires métalliques rangées le long d'un mur. Il devait y avoir plusieurs milliers de dossiers dans ses rayonnages.

« - Martin, Martin Matthews. »

D'un coup le jeune homme amical lâcha un dossier qu'il avait pris au hasard. Il s'arrêta plusieurs secondes immobiles. Puis se tourna vers Danny son allure empathique avait cédé la place à une colère froide.

« - D'accord qui êtes vous monsieur ?
- Pardon. Je... Je comprends pas ?
- Faites pas le malin vous venez de la part de mes supérieurs c'est ça ? Ils veulent encore me chercher. J'étais qu'un petit animateur à l'époque. Depuis j'ai changé.
- Je vous assure. Je comprends rien du tout de ce que vous me racontez.
- D'accord le dossier Matthews c'est un échec. Mais j'y suis pour rien. J'avais demandé le soutien de ma hiérarchie. Mais mon passé m'a empêché d'éviter la catastrophe.
- Et ?
- Ça vous plaît de venir narguer les gens de terrain. Vous avec votre veste de petit bureaucrate et votre air supérieur. Je l'avoue je suis responsable des mauvaises fréquentations de Matthews. Les Blue diamonds c'est moi. Notez dans mon dossier de toute façon ma carrière est foutue. Mais ensuite j'ai tout fait pour le sortir de là quand moi aussi j'ai compris qui ils étaient.
- C'était il y a ?
- Vous savez bien dix ans. Entre 1995 et 1996. Le gosse devait avoir onze ou douze ans à l'époque.
- Et vous l'avez laissez au mains d'un gang ? C'est bien ça.
- J'ai fait ce que j'ai pu. Tout le monde s'en foutait de ce gosse. On l'avait même séparé de son frère.
- Justement son frère le cherche. Je suis là pour ça.
- Alors vous n'êtes pas un inspecteur ?
- J'arrête pas de la répéter.
- Ouf ! Putain vous m'avez fait peur. Depuis tout ce temps j'ai pu arriver à noyer cette affaire alors si maintenant elle remontait à la surface ?
- Il vaudrait mieux pas en effet. Où puis-je trouver les Blue diamonds à présent ?
- Le temps des gangs est terminé. Maintenant ils sont rappeurs en hummer avec pétasse à la pelle ou hommes d'affaires pour deal pas très légal. Vous aurez sans doute des renseignements de ce coté là. Je sais qu'un certain Abraham Jones fait dans l'import-export désormais. Il aurait un entrepôt dans le Bronx pas loin de la nouvelle implantation du Fish Market. Vous savez celui de Fulton que les promoteurs ont fait viré pour se récupérer des terrains à la moitié du prix du marché.
- Dans le Bronx ? C'est loin.
- Il y a sans doute des types qui pourront vous renseigner plus près mais j'ignore qui.
- Bon ben merci quand même. »

Danny allait partir lorsque le jeune directeur l'interpella une dernière fois.

« - Dites cette conversation restera entre nous ?
- Bien sûr personne parmi les autorités ne sera au courant.
- Merci je suis jeune et...
-Je comprends. »

Un pauvre gars dans un pauvre monde. Qu'est-ce que les histoires peuvent être communes parfois.

Comme d'habitude, je réclame une suite (demain j'imagine)!!! Et oui je ne demande plus, je réclame!!!
Le coup du Foyer du Petit Lama m'a fait bien rire. Sais pas pourquoi mais j'ai trouvé ça drôle!!!

pativore a écrit:Comme d'habitude, je réclame une suite (demain j'imagine)!!! Et oui je ne demande plus, je réclame!!!
Le coup du Foyer du Petit Lama m'a fait bien rire. Sais pas pourquoi mais j'ai trouvé ça drôle!!!

Il y a aussi là une petite référence à ma première fanfiction. Une allusion en fait car cela ne change rien à l'histoire, en tout cas pas encore. Concernant la suite comme d'habitude c'est demain.

moi aussi je réclame ma suite !!!!!!!!

Toujours top et ça se corse sévère pour notre agent preféré ! Vivement demain alors !

La vie dans ces centres ne se résumait pas à Zola et sa pauvre Cosette.

Cosette c'est Hugo si je ne m'abuse ...

Jenny a écrit:Toujours top et ça se corse sévère pour notre agent preféré ! Vivement demain alors !

La vie dans ces centres ne se résumait pas à Zola et sa pauvre Cosette.

Cosette c'est Hugo si je ne m'abuse ...

Exact je m'en suis emmêlé les pinceaux dans les références. Bon allez une petite suite.

Deux heures et demi après Une ruelle de Tudor

Désormais Danny réfléchissait comme un fonctionnaire suisse. Il comptait chaque seconde, chaque minute pour voir comment il pourrait gagner du temps. Les trois premières heures étaient bientôt écoulées et le temps semblait encore plus lui échapper qu'auparavant. Il est étonnant de voir que plus on y prête de l'intérêt et plus le temps semble s'écouler plus vite encore. Comme si notre propre esprit faisait s'accélérer la machine à compter.

Les gangs avaient beau avoir disparu des rues de New York il n'était pas pour autant impossible pour qui sait où aller de trouver ce que l'on cherche. Et l'agent Taylor qui avait préféré prendre les devants savait où aller. Un type venait du fond de la ruelle avec la capuche de son sweat sur la tête. Il n'avait pas l'air d'un mauvais bougre et ne devait pas dépasser les trente ans. Il paraissait en effet beaucoup plus jeune que Danny. Dès qu'il arriva à sa hauteur l'agent fédéral l'interpella.

« - Alors ?
- J'ai ce que vous avez demandé. »

Il souleva son sweat et laissa apparaître un pistolet. Un vrai pistolet avec le barillet comme dans les films de cow-boy.

« - D'accord donne le moi.
- Si vous avez des problèmes agent Taylor je peut vous aidez vous savez.
- Je sais et maintenant donnes moi ce calibre.
- Tenez dit-il en lui tendant discrètement le pistolet.
- Merci. Dis j'ai pas l'argent mais...
- Vous inquiétez pas on s'arrangera. Mais perso ça me dit rien de bon votre histoire.
- Alors ne dis rien »

Danny à son tour glissa l'arme dans son pantalon et la dissimula sous sa chemise qu'il laissa sortit de son pantalon.

« - Dis moi les Blue Diamonds ça te dit quelque chose ?
- Wah c'est vieux ça. Je devais pas être né à cette époque.
- Peut-être pas quand même.
- En tout cas je pourrais pas vous dire grand chose. Par contre il y a un type que tout le monde connaît dans le centre. Un vieux qui aura certainement une piste pour vous.
- Un vieux ?
- Oui quarante au moins. Je crois même qu'il bosse un peu pour vous en ce moment. Parce qu'il se fait appeler autrement.
- Comment tu sais ça ?
- Tout se sait dans la rue. D'après ce que je sais il crèche dans un vieil immeuble délabré du sud de Central Park. Un qui doit être rénové bientôt. Sur la cinquante-huitième.
- Et il s'appelle ?
- nTeddy Bear.
- Comme Roosevelt ?
- Qui ça ?
- Laisse tomber. Bon merci du tuyau. »

Danny allait s'en aller lorsque le jeune homme l'interpella à nouveau.

« - Agent Taylor.
- Appelles moi Danny.
- Danny tenez »

Il s'approcha de lui et tandis sa main. Danny ouvrit la sienne et il y laissa tomber des cartouches.

« - C'est au cas où. Il y a en a déjà dans le pétard.
- Merci mon petit. Je repasserais.
- Et vraiment si vous aviez un problème vous me le diriez ?
- Oui t'inquiètes. »

Le jeune homme s'en alla donc laissant son vendeur sur le trottoir. Celui-ci songea à haute voix.

« - Tout de même on m'empêchera pas de me dire que c'est chelou un agent fédéral qui s'achète un calibre. »

encore

Théana a écrit:encore

Oui mais demain...

T pas gentil

Théana a écrit:T pas gentil

Je sais. Mais l'envie crée le besoin, le besoin crée l'amour.

le besoin crée l'amour.....

Moais moi je dis que le besoin crée le désir et que le désir doit être contenté donc LA SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!!

Toujours pareil pour moi, une suite!!!
Par contre je vois mal Danny sortir mon petit à un mc de trente balais alors qu'il ne doit pas être beaucoup plus âgé... mais bon, passons. La suiiiiitttteee!!

A ce rythme, Danny va nous faire tous les quartiers mais on est vraiment pris dans l'histoire et l'action alors vivement demain !

pativore a écrit:Toujours pareil pour moi, une suite!!!
Par contre je vois mal Danny sortir mon petit à un mc de trente balais alors qu'il ne doit pas être beaucoup plus âgé... mais bon, passons. La suiiiiitttteee!!

Ch'tite erreur que je corrigerais lors de la version finale. Je voulais un type à la vingtaine et j'ai été trop généreux. Sinon grosse colère pour vous. La suite que vous allez avoir aujourd'hui pose plus de question qu'elle ne répond. Et je ne posterais la suite que Lundi ! Dommage...

Deux heures quarante après Sud de central Park

Central Park était bien plus qu'un simple écrin de verdure au coeur d'une cité bétonnée. En fait il pouvait couvrir plus de trois quartiers comme Wall Street. C'était un monde dans le monde. Comme un peu la campagne qui ressurgirait à l'ombre des buildings, le coté anglais en plus. Il y a comme ça des incontournables. Central Park était de ceux là. On doit y passer comme on monte sur l'Empire State Building ou auparavant le World Trade Center, pour oser dire que l'on est aller visiter New York. À Paris il se serait agit de la Tour Eiffel, Montmartre ou Le Louvre. Chacun ses goûts.
Mais Danny n'avait pas franchement l'esprit au tourisme et Central Park pouvait bien attendre. Il n'avait plus qu'un quart d'heure avant de voir mourir l'un des siens. Ça vous occupe un homme.

Son vendeur avait vu juste. Un immeuble à l'abandon s'apprêtait sûrement à subir les assauts d'une pelleteuse ou d'une grue, qui laisserait ensuite le champ libre à un magasin où l'on vend des sacs à 15000 balles comme en achète les filles de Sex and the City. On appelle ça le progrès. Il passa une première palissade qui empêchait d'entrer sur le terrain. Elle faisait deux mètres de haut mais très vite il s'appuya sur le haut et bascula de tout son long. Dès qu'il fut à l'intérieur il n'hésita pas à sortir son arme, qu'il contrôla d'un coup d'oeil pour vérifier si elle était bien chargée. Un instant il se serait pris pour Clint Eastwoood ou Charles Bronson.
La porte de l'entrée ne résista pas longtemps à ses assauts. Son épaule aussi morfla au passage. Il aurait un joli bleu ensuite. Les marques du héros. Maintenant il valait mieux s'annoncer. Au départ il était là pour rendre visite à un type.

« - Teddy Bear ? Je suis détective privé. On m'a dit que pourriez m'aider. »

Il l'appela et l'appela encore. Pendant tout ce temps il se balada dans l'immeuble et vit des traces d'une présence : lit de camp, cannettes vides et même une vieille gazinière. Mais aucune trace du certain Teddy Bear. Il était peut-être parti faire des courses. Au bout d'un moment il l'appela à nouveau.

« - Teddy Bear ? On m'a dit que... »

Il n'eut pas le temps de finir que déjà d'un couloir dans lequel il allait s'engager parti d'une volée, un sac qu'il pris en pleine poire. Une chance que l'huile d'olive était dans un bidon et non une bouteille de verre. C'est plus douloureux mais moins durable. Les oeufs par contre s'écrasèrent complètement et coulèrent sur la chemise du pauvre Danny. La maîtresse de maison revenait des commissions.
Ce fut plus la surprise que le choc qui laissa le jeune agent au sol. Derrière le mur son adversaire encore invisible semblait à la recherche d'une nouvelle arme, fouillant dans tous ses sacs. Danny tint donc son arme devant lui. Il n'en pouvait plus de se lever et resta ainsi allongé. La tension monta. Il était résolu à ne pas tirer tout de suite, juste à impressionner. Lorsque sorta de son antre son duelliste un sac de pommes de terre de 2kg tenu au-dessus de sa tête à deux mains. Tout faillit basculer quand.

« - P'tite tête ?
- Vous ? »

Là on peut dire qu'il s'en prend plein la tête le pauvre!!! Les oeufs sur la chemise, forcément ça va faire tâche pour la suite!!!
Cette phrase là aussi m'a bien fait marrer:

Il n'avait plus qu'un quart d'heure avant de voir mourir l'un des siens. Ça vous occupe un homme.

Bref, c'était court mais bien sympa! Et alors maintenant, qui est ce Teddy Bear?! Visiblemet ils se connaissent (un rapport avec ton autre fic?!). Donc réponse lundi, j'espère.

pativore a écrit:Là on peut dire qu'il s'en prend plein la tête le pauvre!!! Les oeufs sur la chemise, forcément ça va faire tâche pour la suite!!!
Cette phrase là aussi m'a bien fait marrer:

Il n'avait plus qu'un quart d'heure avant de voir mourir l'un des siens. Ça vous occupe un homme.

Bref, c'était court mais bien sympa! Et alors maintenant, qui est ce Teddy Bear?! Visiblemet ils se connaissent (un rapport avec ton autre fic?!). Donc réponse lundi, j'espère.

Exactement la réponse lundi. Qui sait tu est peut-être déjà sur la bonne piste.

Vous allez m'en vouloir à mort. J'ai pas mal de pages d'avance et déjà des idées pour la suite (et oui il y aura sans doute une suite) mais je ne vais poster qu'un tout petit bout sans vraiment d'éclaircissement, plus de questions que de réponses. Si vous êtes gentils et que vous la demandez en masse peut-être que j'en mettrais plus... Allez une petite suite.

Deux heures après Poste de police de Broadway Upper West Side

Les affaires se présentaient mal. L'agent Taylor n'avait pas appelé depuis plus d'une heure et le dehors commençait à devenir dangereux. C'est sûr que là, le cadavre d'un flic ayant traversé au préalable une vitre sa marque les passants. Les gens du coin étaient certes peu enclin à se mêler des affaires des autres. Mais bon il y a des limites à l'acceptable. Les heures suivantes ne manqueraient pas de grouiller d'uniformes de toutes sortes. Peter Matthews ne l'ignorait pas et préférait dès à présent prendre les devants avant que son frère lui soit dans un vrai nid de guêpes.

« - Joe vient voir. »

Jack Malone eut beau tendre l'oreille de toutes ses forces il ne put entendre ce que se disait ses deux hommes. Il était sûr par contre de sentir Matthews préoccuper, voire anxieux. C'est jamais bon. Déjà que dans son état normal il tuait des innocents. Il n'osait l'imaginer nerveux. Dès qu'ils eurent finit de parler entre eux, son fidèle soldat parti sur-le-champ et rassembla quelques hommes à ses côtés. Ils préparaient quelque chose c'était sûr.

« - Qu'est-ce que vous regardez Malone ?
- Les dégâts de ce que vous faîtes ? Ça vous va comme réponse ?
- Vous n'êtes pas en position pour m'attaquer Malone. Alors évitez ce genre de remarque. D'elles j'accepterai quelques erreurs. De vous je serais intraitable. »

Il avait dit cela en tendant le menton vers Elena ainsi que Sam et Vivian groupées autour d'elle.

Vous allez m'en vouloir à mort. J'ai pas mal de pages d'avance et déjà des idées pour la suite (et oui il y aura sans doute une suite) mais je ne vais poster qu'un tout petit bout sans vraiment d'éclaircissement, plus de questions que de réponses. Si vous êtes gentils et que vous la demandez en masse peut-être que j'en mettrais plus... Allez une petite suite.

C'est pas beau de se jouer de ses lecteurs ainsi! Et bien, puisque j'ai l'esprit de contradiction, je ne réclamerais pas la suite cette fois! Voilà Fallait directement nous mettre une vraie suite, sans nous apater comme ça

La suite en masse ? Ben comme Pativore ne la demande pas, je le fais pour nous 2 parceque moi, je les veux ces réponses, même si c'est vrai que c'est pas sympa de jouer avec nous comme ça !

Donc :

LA SUITE STP (avec des réponses ) !!!!!!!!!!!!!!!



C'est bon comme ça ?

Oui c'est bon et voici donc quelques informations supplémentaires.

Deux heures cinquante après Sud de central Park

« - Bouges pas je te dis si tu nettoies pas tout de suite l'oeuf ça tache bien.
- Mais merde laissez-moi vous n'allez quand même pas faire ma lessive.
- Tu fais ce que tu veux Petite Tête. Après tout quelle idée d'entrer chez quelqu'un sans frapper ?
- J'ai frappé et je me suis même annoncé.
- Oui tu as défoncé ma porte. Pas mal comme annonce. Quand j'ai vu son état j'ai pensé tout de suite à un voleur.
- Si vous n’habitiez pas dans un taudis pareil on n’en serait pas là.
- Eh Petite Tête si je crèche ici c'est à cause de tes collègues en cravate. Moi j'aimerais bien la villa avec piscine. Mais c'était pas prévu dans le forfait.
- C'est quoi ces conneries ?
- La triste vérité agent Taylor. »

Dans l'embrasure de la porte venait d'apparaître à son tour un visage connu de Danny. Un américain pur souche qui avait seulement quelques années de plus que lui. Il portait un costard noir qui lui allait très bien, pour son métier. Des cheveux noir couleur corbeau coupés courts. Presque la boule à zéro. Et un air flegmatique surjoué.

« - Agent Coen. Je me disais bien aussi que vous arriveriez à un moment ou un autre.
- Justement c'est le moment. Je devais revoir Teddy pour l'une des deux visites hebdomadaires.
- Teddy s'interrogea Danny ?
- Oui pour Roosevelt.
- Et pour l'ourson aussi Teddy, c'est l'agent Luz qui a eu l'idée.
- Je le reconnais bien là. Dites vous pourriez me décoder un peu cette histoire. Et la version courte s'il vous plaît je suis un peu pressé.
- Bien sûr. Je peux Teddy ? »

Nathan Coen allait s'asseoir sur le lit de camp et demanda d'abord à son hôte, une grande masse de plus de 100 kilos avec des tatouages sur les bras et des muscles saillants. Celui-ci acquiesça sans problème.

“ - Bon ben commençons par le commencement, se lança l'agent Coen.
Bière intervint Teddy Bear.
- Oui merci dit Nathan.
- Pas pour moi précisa Danny.
- De toute façon j'ai plus que cela mes provisions sont parties dans la bagarre. Ce soir ce sera frites.
- Donc je disais. À la fin de l'affaire Carmine on a eu besoin de pousser l'enquête plus loin, d'interroger plus de monde. On a donc mis au vert tout ceux qui pourraient nous y aider. Teddy était de ceux là.
- Je croyais que vous n'étiez pas une balance ?
- Ben les gens changent et puis ma vieille carne commence à se faire un peu moins dure qu'à l'époque alors j'ai préféré me ranger des voitures. Sans sécurité j'étais sûr de finir dans l'Hudson. Tenez.
- Donc Murray Hawks devenait Teddy Bear. Le montage était plutôt instable. Mais normalement ce n'était que provisoire. En échange de sa collaboration notre ami se trouvait sous la protection d'un Marshall fédéral pour un bout de temps. Il suffisait juste de le faire oublier pour un petit moment.
- Et Carmine ?
- Il est en taule en ce moment. Des flics du New Jersey l'ont chopé pour proxénétisme. On aura toujours ses successeurs désignés ou non pour aller nous chercher des noises. Mais au moins pour un temps on a coupé la tête. Et puis pour un sacré moment vu les charges qui sont contre lui. Voilà je crois que vous êtes autant au courant que nous sur cette affaire. Maintenant pourriez vous me dire agent Taylor ce que vous venez faire dans la planque de l'un de mes témoins principaux sur l'enquête d'un chef de gang ? ”

Encore une suite stp ! Je peux faire comme tout à l'heure, ça peut p't'être marcher !

je viens de lire toute ta fic, enfin de ratrapper mon retard

Et je n'ai qu'une chose à dire:

GENIALE



C'est trés changeant et puis le pauvre Danny tu ne le ménages pas...Il va garder la ligne avec toi En tout cas il y a beaucoup d'humour de l'action, et puis Elena s'est pris une balle enfin pleins d'ingrédients qui font que cette fic est un régal

Bien entendu je réclame une suite

Boon finalement, je te redemande une suite! Mais à condition que tu continue dans cette voie!!!

Moi aussi je demande la suite!!
Plus il y a de demandes de suite, plus les suites sont longues??

tout ça est tres bien, y nous en faut encore!!!!!