The Tudors
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pativore
Céline
Heather
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The Tudors
Je sens que la série va de toute façon mériter un topic rien que pour elle
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Diffusée sur : Showtime
A partir du : 1er avril 2007
Avec qui ?
Jonathan Rhys Meyers, Sam Neill, Jeremy Northam, Steven Waddington, Henry Czerny, Nick Dunning, Natalie Dormer, Perdita Weeks, Maria Doyle Kennedy, Matt Ryan, Henry Cavill, Callum Blue, Kristen Holden-Ried, Joe Van Moyland, Gabrielle Anwar, James Frain.
Ca parle de quoi ?
The Tudors est une série audacieuse sur les premières années tumultueuses du règne du roi britannique Henry VIII (Jonathan Rhys Meyers), qui a duré 38 ans (1509-1547). Entre relation politique avec le philosophe Sir Thomas More, le cardinal Wolsey, ses amis et relation amoureuse avec plusieurs femmes (Catherine d'Aragon et l'infâme Anne Boleyn), la série compte 10 épisodes intégralement écrits par le créateur de la série, Michael Hirst. (source : SeriesLive.com)
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La bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=NnYiopu3Noc
Le générique : https://www.youtube.com/watch?v=fh2AmkrcXc4
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Diffusée sur : Showtime
A partir du : 1er avril 2007
Avec qui ?
Jonathan Rhys Meyers, Sam Neill, Jeremy Northam, Steven Waddington, Henry Czerny, Nick Dunning, Natalie Dormer, Perdita Weeks, Maria Doyle Kennedy, Matt Ryan, Henry Cavill, Callum Blue, Kristen Holden-Ried, Joe Van Moyland, Gabrielle Anwar, James Frain.
Ca parle de quoi ?
The Tudors est une série audacieuse sur les premières années tumultueuses du règne du roi britannique Henry VIII (Jonathan Rhys Meyers), qui a duré 38 ans (1509-1547). Entre relation politique avec le philosophe Sir Thomas More, le cardinal Wolsey, ses amis et relation amoureuse avec plusieurs femmes (Catherine d'Aragon et l'infâme Anne Boleyn), la série compte 10 épisodes intégralement écrits par le créateur de la série, Michael Hirst. (source : SeriesLive.com)
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1.01
Showtime se lance à son tour dans les séries historiques et propose de nous introduire dans l'Angleterre d'un roi qui marqua son temps : Henry VIII. Le projet était aussi ambitieux qu'intéressant à plus d'un titre, ce pilot répond dans l'ensemble aux attentes suscitées.
Des décors riches, portés par une bande-son inspirée et bien pesée, et une réalisation classique mais efficace, la série offre un esthétique à la hauteur de ce que l'on pouvait imaginer. De quoi introduire le téléspectateur sans peine dans les méandres de la cour britannique. De ces tableaux théâtraux émergent une galerie de personnalités fortes, des ambitions et des jalousies. Si l'étiquette et le protocole semblent figer nombre de scènes, la série n'en est pas moins très vivante et intense.
L'épisode s'ouvre sur l'assassinat de l'ambassadeur anglais à Urbino (Italie) par des gentilhommes français. De quoi exacerber considérablement les tensions entre les deux pays. Henry veut partir en guerre. Si personne ne contredit le roi sur le moment, en coulisses, Wosley s'active à dégager une voie médiane qui permettrait de satisfaire Henry tout en servant ses intérêts. Il est trop proche de la France pour permettre qu'une telle guerre éclate, dans laquelle il aurait bien plus à perdre qu'à gagner. Il élabore l'idée d'un traité paneuropéen pour garantir la paix entre les différents royaumes d'Occident.
Dans son refus de partir en guerre contre le Royaume de France, pour convaincre Henry, il a le soutien de Thomas More. Dans une escursion campagnarde d'Henry, More lui expose ses désirs d'humanisme et son refus de soutenir un tel projet. Ce dialogue est particulièrement intéressant car c'est le seul moment de l'épisode où Henry laisse vraiment transparaitre ses aspirations, laissant tomber le masque de l'impassibilité habituelle. Le jeune roi cherche un sens à son règne, un moyen de marquer l'Histoire, que son nom rime avec prestige et gloire. La bataille lui semble la plus sûre des voies, affirme-t-il invoquant Azincourt.
Certes, dire que Thomas More est utopique va passer pour une lapalissade, voire un jeu de mots facile (que vous me pardonnerez j'espère ). Toujours est-il qu'entre les rêves de grandeur d'Henry et les rêves papaux de Wosley, son prêche en faveur d'une paix universelle s'inscrit en porte à faux. Disons que l'humanisme n'est pas véritablement la donnée majeure à prendre en compte dans les raisonnements de ses deux vis-à-vis.
Reste qu'ils finissent par rallier Henry à cette idée de traité. Pour le plus grand soulagement de Wosley qui avec méthode dresse sa voie pour accéder au pontificat à la prochaine élection. Ce personnage est vraiment l'archétype du diplomate/homme d'Etat/d'Eglise qu'on s'imagine. Conciliant tout autant qu'ambitieux, homme important sachant donner le change devant ses manipulations...
En parallèle de cette trame de politique extérieure, l'épisode alterne avec des scènes de la vie à la cour. Rien ne manque. Le complot et la contestation des droits successoraux du roi avec Buckingham, sans doute le personnage le plus grossièrement dépeint dans cet épisode. Peut être est-ce dû à son attitude violente qui peine à se contenir contrastant avec les oppositions plus feutrées, "protocolaires".
Les soucis maritaux d'Henry avec la Reine Catherine, qui ne lui donne pas de fils. J'ai beaucoup aimé le passage où Henry, très torturé, s'interroge sur le malheur qui s'est abattu sur les enfants que Catherine a mis au monde. Ils n'ont qu'une fille. Catherine était l'épouse de son frère avant de devenir la sienne. Le mariage a pu être annulé car il n'avait pas été consommé. Est-ce leur impossibilité à concevoir un fils qui vivrait est une punition ? C'est une scène très forte. Le prêtre qui cite un extrait du Lévithique n'aide évidemment pas à apaiser les craintes du roi .
Le couple royal bat fortement de l'aile. Si Henry VIII est célèbre pour ses (nombreuses) épouses, il flirte beaucoup durant tout l'épisode sans envisager cela très sérieusement. Une d'elle est même enceinte de lui, mais il préfère laisser Wosley s'en occuper. L'épisode comporte pas mal de scènes de sexe, mais je ne pense pas qu'il y en ai eu plus que dans certains épisodes de Rome par exemple. Ca n'est jamais très long et ne rompt pas le rythme de l'épisode.
Cependant, la fin de l'épisode nous introduit les filles de l'ambassadeur anglais en France en charge de préparer le sommet, par lesquelles figure une certaine Anne Boleyn...
Bilan : Ce pilot se révèle particulièrement convainquant. Les jeux diplomatiques, les luttes de pouvoir et les manipulations au sein de la cour, tout est retranscrit avec une certaine retenue "de protocole" qui accentue les quelques scènes où les personnages se départissent de cette éthiquette de façade. C'est trés théâtral, mais en même temps, se dégage de l'ensemble une réelle force et une intensité qui captent sans difficulté l'intérêt du téléspectateur.
Les acteurs sont convaincants. Le rythme et les dialogues font qu'on ne s'ennuie pas. L'esthétique et la musique achèvent de nous introduire dans l'ambiance de cette époque.
Un bon épisode très solide et efficace qui donne donc envie de voir la suite !
La bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=NnYiopu3Noc
Le générique : https://www.youtube.com/watch?v=fh2AmkrcXc4
Heather- Rang: Administrateur
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Re: The Tudors
Bonne idée ce topic !
Le générique est en effet magnifique (et assez long).
Découverte de la série prévue pour ce soir en ce qui me concerne !
Le générique est en effet magnifique (et assez long).
Découverte de la série prévue pour ce soir en ce qui me concerne !
Céline- Directeur Adjoint
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Localisation : Lost in Austen
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Re: The Tudors
Ah, j'ai vraiment hâte de découvrir ce premier épisode.
La bande annonce donnait déjà très envie et ton avis, Heather, confirme que pour le moment ce n'est pas décevant.
J'espère pouvoir regarder ce soir ou peut être demain!
En tout cas, ça me rappelle un peu le film qui avait été fait sur la reine Elisabeth il y a quelques années avec Cate Blanchett...
La bande annonce donnait déjà très envie et ton avis, Heather, confirme que pour le moment ce n'est pas décevant.
J'espère pouvoir regarder ce soir ou peut être demain!
En tout cas, ça me rappelle un peu le film qui avait été fait sur la reine Elisabeth il y a quelques années avec Cate Blanchett...
pativore- Président des USA
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Date d'inscription : 25/09/2006
Re: The Tudors
Ca y'est! J'ai vu le premier épisode et je ne suis absolument pas déçue. Tu as déjà, Heather, dit tout ce qu'il y avait à dire, mais je dirais juste que j'ai vraiment était séduite. La mise en scène, le rythme, les décors, la musiques, les acteurs, tout colle très bien et fait de The Tudors un divertissement de très grande qualité.
J'ai hâte de voir la suite.
J'ai hâte de voir la suite.
pativore- Président des USA
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Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: The Tudors
On n'est pas les seules à avoir apprécié !
http://www.serieslive.com/news.php?n=3494
870 000 téléspectateurs pour le lancement, c'est mieux que tous les autres lancements des séries à succès de la chaîne (de Dexter à Weeds).
http://www.serieslive.com/news.php?n=3494
870 000 téléspectateurs pour le lancement, c'est mieux que tous les autres lancements des séries à succès de la chaîne (de Dexter à Weeds).
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: The Tudors
Je viens de regarder le deuxième épisode. Et je suis plutôt heureuse de voir que le soufflet ne retombe pas.
Les intrigues amenées pendant le pilote sont traitées et approfondies, et on sent s'en dessiner de nouvelles.
Je dois dire que je suis vraiment séduite par cette série. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi enthousiasmé par une série. Et ce format de minie série permet une exploration de l'histoire plus fouillée et détaillée que ne l'aurait permit un film tout en gardant le faste d'un long métrage.
Quand au casting, c'est vraiment une bonne surprise (quand on voit au départ cette débauche de tant de beaux gosses dans une même série, on se demande si ce n'est pas pour compenser un manque de qualité, mais non ). Et puis j'adore Sam Neil.
L'actrice qui incarne Ann Boleyn, à vraiment un visage qui me crispe... ça ne va sûrement pas s'arranger avec la suite!
En tout cas, j'ai vraiment hâte de regarder le troisième épisode.
Je viens de comprendre pourquoi cela me faisait au film Elizabeth. Visiblement il s'agirait du même auteur... ça explique tout!
Les intrigues amenées pendant le pilote sont traitées et approfondies, et on sent s'en dessiner de nouvelles.
Je dois dire que je suis vraiment séduite par cette série. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi enthousiasmé par une série. Et ce format de minie série permet une exploration de l'histoire plus fouillée et détaillée que ne l'aurait permit un film tout en gardant le faste d'un long métrage.
Quand au casting, c'est vraiment une bonne surprise (quand on voit au départ cette débauche de tant de beaux gosses dans une même série, on se demande si ce n'est pas pour compenser un manque de qualité, mais non ). Et puis j'adore Sam Neil.
L'actrice qui incarne Ann Boleyn, à vraiment un visage qui me crispe... ça ne va sûrement pas s'arranger avec la suite!
En tout cas, j'ai vraiment hâte de regarder le troisième épisode.
Je viens de comprendre pourquoi cela me faisait au film Elizabeth. Visiblement il s'agirait du même auteur... ça explique tout!
pativore- Président des USA
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Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: The Tudors
Egalement enthousiaste après ce second épisode.
Episode 2
Cet épisode continue sur la lancée du premier. C'est toujours aussi théâtral et magnifique esthétiquement parlant. Les esprits chagrins diront -sans doute avec raison- que c'est "too shiny", "too sexy"... Mais c'est un savoureux soap historique, auquelle on pardonne bien des arrangements avec la réalité, pour apprécier des scènes qui méritent vraiment le détour. La forme très soignée n'est pas un prétexte pour couvrir d'éventuelles faiblesses sur le fond. Le scénario continue d'être dense et plus que consistant, avec un rythme qui, s'il n'est pas endiablé, ne laisse pas le loisir au téléspectateur de s'ennuyer.
A noter aussi en clin d'oeil amusant, pour ceux qui suivent la série Blood Ties : le bébé de Lady Blount, c'est Henry Fitzroy, le vampire dans la série.
Episode 2
Cet épisode continue sur la lancée du premier. C'est toujours aussi théâtral et magnifique esthétiquement parlant. Les esprits chagrins diront -sans doute avec raison- que c'est "too shiny", "too sexy"... Mais c'est un savoureux soap historique, auquelle on pardonne bien des arrangements avec la réalité, pour apprécier des scènes qui méritent vraiment le détour. La forme très soignée n'est pas un prétexte pour couvrir d'éventuelles faiblesses sur le fond. Le scénario continue d'être dense et plus que consistant, avec un rythme qui, s'il n'est pas endiablé, ne laisse pas le loisir au téléspectateur de s'ennuyer.
- Spoiler:
- L'épisode se découpe schématiquement en deux parties. La première est consacrée au sommet organisé avec François Ier, pour la signature du fameux Traité dit de "paix universelle et perpétuelle". Douce chimère dont l'artificialité ne tarde pas à apparaitre au regard de tous, au vu du déroulement de la rencontre.
Si Henry semble vraiment s'essayer au départ à cette cohabitation pacifique, l'attitude de François n'aide guère à contenir son fougueux tempérament. Le roi de France est dépeint jusqu'à la plume du châpeau comme le stéréotype incarné du... français. Du moins, dans l'image d'Epinal professée à l'étranger. François est d'une arrogance et d'une suffisance provocatrice qui minent peu à peu les efforts de diplomatie de Henry. Dans les premiers moments, j'ai particulièrement aimé la scène de rencontre entre les deux enfants promis l'un à l'autre par leurs royaux parents, Mary et le Dauphin.
Mais peu à peu, l'ambiance festive initiale dérape. Deux égos surdimensionnés placés côte à côte donnent logiquement des étincelles. De la parure qu'offre François à laquelle Henry répond par une plaisanterie, au complexe de supériorité écrasant de François qui ne cesse ses vantardises... Henry perd ses nerfs et le provoque lors d'un combat de lutte. Au-delà du nom du vainqueur de ce duel -François-, Henry montre surtout une absence de maîtrise de soi qui inquiète certains de ses sujets.
Il faut toute la persuasion de Thomas More pour convaincre Henry de signer le Traité, après tous ces évènements. S'il le fait effectivement, la tête n'y est plus. Et telles des habitudes qui reviennent en réflexe, on devine que la rancune du roi d'Angleterre restera tenace. En effet, il ne faut guère de temps à Henry pour entrer en contact avec l'Empereur nouvellement élu, Charles Quint, avec lequel il partage au moins une base commune : son désir de guerre contre la France. Il charge Wosley de rédiger un nouveau Traité, cette fois d'alliance, en vu d'une guerre prochaine.
L'aspect politique est toujours aussi bien traité, comme se dégage un trio, où les conseils de Wosley -auquel la papauté échappe au vu des changements politiques de Henry- sont mis en balance avec ceux de More. Henry arbitre. Mais les différentes conversations entre Wosley et More sont particulièrement intéressantes. Ces scènes mettent très bien en relief le pragmatisme ambitieux du premier contre le 'réalisme' versant dans l'idéalisme du second. Un autre moment à souligner correspond au dialogue entre Henry et More sur la fonction de roi. Certes, c'est encore un exemple de "l'adapation romancée de la série", illustration de l'élasticité temporelle puisque Le Prince ne sera publié qu'après la mort de Machiavel en 1532 alors que nous sommes dans la série est autour de 1520. Mais les réflexions de Henry sonnent juste. Est-ce qu'un Prince doit préférer être aimé ou craint de ses sujets ? Machiavel répond que s'il peut être bien d'être apprécié, la seule chose qu'un roi doit préférer être craint, car c'est la seule chose qu'il peut contrôler. Voilà un manuel pratique que Henry semble vouloir appliquer à la lettre.
En effet, en parallèle, Buckingham continue de comploter dans l'ombre. L'image renvoyée par le sommet avec François le pousse à accélérer les choses. Wosley et Henry sont avertis et décident d'y mettre fin. Mais c'est dans le traitement final de l'affaire que les deux hommes divergent et où Henry fait encore une fois preuve de son indépendance d'esprit et d'une certaine violence, ou du moins d'un attrait pour les solutions extrêmes. Alors que Wosley souhaiterait éviter que Buckingham ne soit reconnu coupable de trahison, ce qui l'amènerait à être exécuté. Il préfèrerait l'exil, pour éviter de s'aliéner ses amis. Or, Henry oeuvre en silence derrière son dos pour s'assurer qu'il sera définitivement débarassé de ce gênant ennemi. Buckingham est reconnu coupable et décapité.
L'exécution est montée dans une scène, en parallèle avec l'accouchement de Lady Blount qui met au monde un garçon tant attendu. La scène de la mort de Buckingham manque sans doute d'une certaine intensité qu'on pouvait légitimement attendre. Si les deux évènements assoient en quelque sorte Henry sur ses positions et le réconforte, le "vengeant" de ses déconvenues lors de la rencontre avec François, c'est un des rares passages où il y a plus d'effets que de fond véritable. La naissance d'un fils constitue une délivrance pour Henry qui est désormais rassuré : il peut avoir des fils. Suivant cette logique, la faute retombe sur la Reine. Dans l'euphorie, Henry va même jusqu'à reconnaître l'enfant. La Reine est admirable dans cette froideur stoïque qui caractérise les grands monarques. Quand elle lève son verre avec son époux, alors que ce dernier a organisé une fête pour reconnaître son fils nouveau né, elle est d'une dignité qui crève l'écran.
Bilan : A nouveau un bon épisode, une esthétique soignée et des acteurs toujours convaincants (même si par exemple Anne Boleyn ressemble vraiment trop à une intrigante, l'image incarnée de "l'Infâme"). C'est un vrai plaisir à suivre et les arrangements factuels ne gâchent pas la saveur de ce soap-épico-historique.
A noter aussi en clin d'oeil amusant, pour ceux qui suivent la série Blood Ties : le bébé de Lady Blount, c'est Henry Fitzroy, le vampire dans la série.
C'est clair que cette série assume totalement cette version sexy de l'Histoire. On ne va pas sans plaindre, je croisquand on voit au départ cette débauche de tant de beaux gosses dans une même série, on se demande si ce n'est pas pour compenser un manque de qualité, mais non
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: The Tudors
J'ai regardé le premier épisode avant-hier. J'ai bien aimé
Les acteurs sont convaincants, les décors somptueux. Les enjeux politiques exposés promettent d'intéressants développements
Les acteurs sont convaincants, les décors somptueux. Les enjeux politiques exposés promettent d'intéressants développements
Re: The Tudors
Episode 1
Conquise. A 100%. La bande-annonce était alléchante, le résultat à la hauteur. Les décors sont somptueux. On rentre tout de suite dans l'ambiance de la cour d'Henry : c'est beau, majestueux et très rythmé.
Le traitement des intrigues politiques, diplomatiques et plus "personnelles" du roi et de la cour est très bien rendu. Comme tu le disais Heather, c'est très intéressant de voir comment Wosley et Thomas More tentent de convaincre Henry de ne pas se lancer dans une guerre contre la France après l'assassinat de leur ambassadeur à Urbino.
J'ai bien aimé aussi l'intrigue "de cour" avec les prétentions de Buckingham.
Sinon, les acteurs sont excellents. JRM crève l'écran. Et quel charme...
Et Jeremy Northam campe un Thomas More très très prometteur
Bref, c'est très très bon.
Conquise. A 100%. La bande-annonce était alléchante, le résultat à la hauteur. Les décors sont somptueux. On rentre tout de suite dans l'ambiance de la cour d'Henry : c'est beau, majestueux et très rythmé.
Le traitement des intrigues politiques, diplomatiques et plus "personnelles" du roi et de la cour est très bien rendu. Comme tu le disais Heather, c'est très intéressant de voir comment Wosley et Thomas More tentent de convaincre Henry de ne pas se lancer dans une guerre contre la France après l'assassinat de leur ambassadeur à Urbino.
J'ai bien aimé aussi l'intrigue "de cour" avec les prétentions de Buckingham.
Sinon, les acteurs sont excellents. JRM crève l'écran. Et quel charme...
Et Jeremy Northam campe un Thomas More très très prometteur
Bref, c'est très très bon.
Céline- Directeur Adjoint
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Localisation : Lost in Austen
Date d'inscription : 07/07/2005
1
Toujours aussi enthousiaste après ce deuxième épisode.
L'ensemble est toujours aussi beau : décors, musiques, acteurs irréprochables (et je dois dire qu'entre François, Henry et Charles - interprété par le délicieux Henry Cavill ), je ne savais plus trop où donner de la tête par moment !
Bref, du fond et de la forme pour une série très réussie. Et JRM est décidément impressionnant.
- Spoiler:
L'épisode commence donc par la rencontre entre François Ier et Henry et si l'ambiance semble au départ plutôt décontractée (notamment dans la scène où Mary et le Dauphin se rencontrent ), très vite l'attitude de François Ier (peut-être quand même un brin caricatural comme tu l'as soulevé Heather) agace Henry. C'est en fait l'instabilité caractérielle du jeune monarque qui éclate ici, comme lors du combat de lutte avec le roi français ou lorsqu'il ravage sa chambre après la signature du traité. Le réalisateur expliquait dans une interview qu'Henry VIII était en fait la "première rock star" et je dois dire que le parallèle est particulièrement bien trouvé avec cette scène !
Mais, au grand désarroi personnel de Wosley, qui voit ainsi échapper ses prétentions papales, l'alliance France / Angleterre ne dure pas , Henry préférant s'allier au nouvel empereur et roi d'Espagne, Charles Quint. Les implications politico-diplomatiques sont toujours aussi bien traitées et c'est passionnant de voir les scènes entre More, Wosley et le roi.
En fait, je crois que toute la question centrale de la série est abordée dans cet épisode, par le biais de la référence à Machiavel : un roi doit-il être aimé ou craint ? Quand on connaît la suite du règne d'Henry, on voit à peu près laquelle solution il choisira finalement...
Face à la conspiration de Buckingham, Henry choisit, malgré les conseils de Wosley, de le condamner pour trahison. C'est peut-être là que nos avis différent Heather car j'ai trouvé cette scène très intense. Sans doute peut-être en raison de ma sensibilité légendaire et de mon incapacité à regarder toute scène de décapitation ou condamnation à mort (en passant, avec Henry, je ne suis pas au bout des scènes d'exécution ). J'avoue que cette scène m'a même un peu donné la nausée , tellement l'interprétation de Buckingham était poignante.
En parallèle, Henry a un fils de Lady Blunt, qu'il reconnaît dans la foulée. La scène où il célèbre la naissance et où sa femme le rejoint est sublime. J'avais déjà remarqué le jeu de la comédienne, elle est époustouflante.
La famille Boleyn fait elle son apparition, et c'est peut-être le côté le moins subtil de l'épisode tant la volonté d'ascension du père par l'utilisation du charme de ses filles apparaît flagrant. Et si Henry se lasse bien vite de Mary, c'est désormais à Anne (qui, pour le moment, à part ses regards de braise qui la font tout de suite passer pour une intrigante n'est pas franchement convaincante) de tenter de séduire, cette fois plus longtemps, le roi.
L'ensemble est toujours aussi beau : décors, musiques, acteurs irréprochables (et je dois dire qu'entre François, Henry et Charles - interprété par le délicieux Henry Cavill ), je ne savais plus trop où donner de la tête par moment !
Bref, du fond et de la forme pour une série très réussie. Et JRM est décidément impressionnant.
Céline- Directeur Adjoint
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Localisation : Lost in Austen
Date d'inscription : 07/07/2005
Re: The Tudors
L'épisode trois regardé, mon enthousiasme ne faiblit pas. Décidément je suis fan des films/ séries historiques et ici la qualité est véritablement appréciable.
On retrouve donc les intrigues politiques. Henry qui souhaite définitivement se dresser contre la france et s'allier à Charles Quint, Boleyn qui fait tout pour placer sa fille dans les pattes du roi. Chose qui commence à visiblement bien marcher.
On retrouve aussi parallèlement les problèmes de Wosley ou de More chacun face à leurs soucis et consciences...
Bref, je suis fan de ce genre de séries foisonnantes!
J'espère que ça va continuer sur cette voie!
On retrouve donc les intrigues politiques. Henry qui souhaite définitivement se dresser contre la france et s'allier à Charles Quint, Boleyn qui fait tout pour placer sa fille dans les pattes du roi. Chose qui commence à visiblement bien marcher.
On retrouve aussi parallèlement les problèmes de Wosley ou de More chacun face à leurs soucis et consciences...
Bref, je suis fan de ce genre de séries foisonnantes!
J'espère que ça va continuer sur cette voie!
pativore- Président des USA
- Nombre de messages : 6876
Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: The Tudors
Excellents deux premiers épisodes (je provisionne pour les regarder 2 par 2 ). Une mise en scène grandiose pour un scénario bien maîtrisé. De quoi compenser l'arrêt de Rome (bouhhhh ).
Ally- Agent spécial
- Nombre de messages : 1674
Age : 45
Date d'inscription : 10/09/2005
Re: The Tudors
Pour les allergiques à la VO pure, les sous titres du 1er épisode sont dispo chez nos amis de seriessub
http://www.seriessub.com/forum/index.php
http://www.seriessub.com/forum/index.php
Re: The Tudors
Bonne nouvelle !
Showtime renouvelle The Tudors !
Dix nouveaux épisodes ont été commandés !
http://www.serieslive.com/news.php?n=3536
Showtime renouvelle The Tudors !
Dix nouveaux épisodes ont été commandés !
http://www.serieslive.com/news.php?n=3536
Heather- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 5797
Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
Re: The Tudors
Excellente nouvelle !
Céline- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3931
Age : 41
Localisation : Lost in Austen
Date d'inscription : 07/07/2005
Re: The Tudors
Effectivement, c'est une excellente nouvelle!!!
pativore- Président des USA
- Nombre de messages : 6876
Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: The Tudors
Episode 3
La série continue dans sa lancée avec un 3ème épisode toujours aussi agréable à suivre et qui permet aussi de mieux découvrir certains personnages.
Bref, on suit les intrigues politico/diplomatiques et de cour avec plaisir et intérêt. C'est toujours aussi soigné, bien joué.
Et Henry Cavill (Charles Brandon) est sublime...
La série continue dans sa lancée avec un 3ème épisode toujours aussi agréable à suivre et qui permet aussi de mieux découvrir certains personnages.
- Spoiler:
Toujours dans l'optique de se rapprocher de Charles Quint et de rompre l'alliance avec la France, Wosley reçoit deux ambassadeurs de la couronne avant que ce ne soit Charles en personne qui ne rende visite à Henri.
La visite de ces deux ambassadeurs permet également à Catherine, par ailleurs tante du tout nouvel Empereur, de faire part des difficultés de son mariage et surtout de sa peur d'un prochain divorce. Si Charles rassure sa tante, il lui assure néanmoins de son soutien éternel. Mais, pour le moment, France et Espagne signent un traité d'alliance contre les Français. Qui dit alliance dit aussi mariage et la petite Mary, promise au Dauphin français, se retrouve promise à Charles.
L'image de cette petite fille promise pour ses 12 ans à cet homme déjà adulte est assez glaçante.
Le mariage étant une arme particulièrement efficace et usitée pour sceller des alliances, la soeur d'Henri, Margaret, est elle aussi promise au roi du Portugal, dont on apprend l'âge très avancé et la mort proche. Réticente (et on la comprend) à cette union, elle tente d'arracher à son frère la promesse que, une fois veuve, elle aura le choix de se marier avec qui elle souhaitera.
Et ce qui, ça pourrait bien être Charles Brandon. En tout cas, c'est ce que la tension et la future intrigue entre les personnages (Charles étant chargé d'escorter Margaret au Portugal) me laissent penser pour le futur de la série. Là, on regrette quand même les arrangements que la série a pris avec l'histoire car l'histoire d'amour entre Charles Brandon et une des soeurs d'Henri a bien existé (ils étaient même mariés dès 1515...), mais il s'agissait de Mary, Mary qui a disparu dans la série (sans doute par peur que le téléspectateur ne s'y retrouve plus parmi les personnages).
Quant à Thomas More, il est engagé par Henri pour lutter contre les thèses de Luther qui se répandent de plus en plus. Jeremy Northam est toujours aussi impeccable, notamment dans cette scène où il effectue un autodafé à la demande d'Henri.
Autre intérêt de l'épisode, c'est la mise en perspective du caractère plus que douteux des intentions de Wosley. On était déjà convaincus de sa volonté de rapprocher Henri du roi français pour accèder à la papauté et ses manigances ne font que se poursuivre. Ce qui l'amène par ailleurs à sacrifier le secrétaire personnel du roi, accusé d'avoir espionné pour la France et averti François Ier des négociations en cours avec Charles Quint. La scène qui clôture l'épisode est assez forte, avec ce pauvre homme enfermé dans un cachot et hurlant que c'est Wosley le responsable.
Wosley justement, c'est celui que veulent faire tomber quelques proches du roi. Et parmi eux, on retrouve Thomas Boleyn. Et c'est aussi pour faire tomber Wosley que Thomas, entre autres, veut faire tomber Henri sous le charme de sa fille Anne. Et force est de constater que la technique d'Anne fonctionne. C'est lors d'un bal masqué qu'Henri remarque le regard troublant et la beauté de la jeune femme, mais celle-ci l'esquive, l'ignore. Henri lui semble de plus en plus fasciné par Anne, qui hante même ses rêves...
Bref, on suit les intrigues politico/diplomatiques et de cour avec plaisir et intérêt. C'est toujours aussi soigné, bien joué.
Et Henry Cavill (Charles Brandon) est sublime...
Céline- Directeur Adjoint
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Localisation : Lost in Austen
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Re: The Tudors
Episode 3
Un épisode encore une fois très intéressant. Cependant, je pense qu'il s'agit du plus faible depuis le début de la série, sans doute parce qu'il a des allures plutôt de transition en posant différentes situations tout en s'attardant sur la vie à la cour et les moeurs de l'époque. Si l'intérêt contextuel est indéniable, le téléspectateur reste quelque peu sur sa faim concernant le rythme même de l'épisode.
Un épisode encore une fois très intéressant. Cependant, je pense qu'il s'agit du plus faible depuis le début de la série, sans doute parce qu'il a des allures plutôt de transition en posant différentes situations tout en s'attardant sur la vie à la cour et les moeurs de l'époque. Si l'intérêt contextuel est indéniable, le téléspectateur reste quelque peu sur sa faim concernant le rythme même de l'épisode.
- Spoiler:
- L'ensemble est orienté sur l'importance des unions et des relations, à tous les niveaux. Tout d'abord, toujours dans la perspective d'une future guerre contre les français, un Traité avec Charles Quint se prépare. La première visite des ambassadeurs offre l'intérêt indéniable de constater la duplicité toujours bien réelle de Wosley. Les contre-temps papaux n'ont pas amoindri son amibition. Mais surtout, si jusqu'à présent, il servait ses intérêts qui se recoupaient avec ceux de Henry. Désormais, il fait parvenir des renseignements aux français sur les pourparlers secrets entre l'Angleterre et Charles. Il ne recule devant rien, comme l'illustre le fait de faire enfermer le secrétaire personnel de Henry, permettant ainsi de détourner l'attention. Guère étonnant par conséquent que cette ambition débordante se heurte à celle d'autres membres de la Cour qui voient d'un très mauvais oeil l'influence que le cardinal exerce sur le roi.
Or pour atteindre le roi, la voie la plus sûre passe par le biais des femmes. Aussi Anne Boleyn commence-t-elle ses manigances. Placée de façon à croiser le regard du roi, la première vraie rencontre entre les deux peut ravir les intrigants. A l'évidence, le roi est intrigué. Mieux, l'apparente distance et inaccessibilité qu'elle semble dégagée le perturbe assez. Le cauchemar est à ce titre très illustratif, mais un peu excessif. Tout se met cependant doucement en place du côté des amours du roi. Car Catherine continue de le voir s'éloigner. Elle essaye de le reconquérir, lui donnant des assurances sur sa non-relation avec son frère, cherchant à se voir offrir le seul moyen de rentrer en grâce : lui donner un héritier. La scène du repas où, de façon très digne, elle s'ouvre à Henry est particulièrement bien jouée.
Les unions sont aussi aux coeurs des différentes alliances envisagées. Après avoir été promise au Dauphin de France dans l'épisode précédent, Mary est cette fois promise à son cousin, Charles Quint. Mais si la première fois, les deux futurs mariés étaient encore des enfants, ici, la différence d'âge criante entre un homme d'âge mûr comme Charles et une petite fille comme Mary marque bien plus que la précédente promesse. Et surtout, le comportement de Mary, petite princesse qui a tout assimilé des codes et des usages, est sans doute ce qui frappe le plus.
Enfin, Henry promet sa soeur Margaret au roi du Portugal, ce qui ne plaît guère à cette dernière qui n'a plus la docilité des petites filles comme Mary. La tension entre les deux est très forte durant tout l'épisode. Elle donne l'occasion de quelques scènes de danse plus légère, prises entre le carcan de l'étiquette et le fort caractère de Margaret. Cela montre bien, encore une fois, le décalage entre les convenances strictes et la réalité des pensées et des actes. Elle parvient à arracher l'accord de Henry pour choisir son second époux. Le roi confie d'ailleurs à un Charles Brandon tout juste annobli la mission de la conduire à son futur époux. Un lien à venir entre ces deux-là ?
Parallèlement, est évoqué le contexte religieux du temps avec la Réforme qui se répand. La question religieuse occupera une part importante. L'opposition aux thèses de Luther est clairement affirmée par Henry, qui va jusqu'à demander à More d'organiser un autodafé des livres reprenant la doctrine luthérienne. Ses opinions se retranscrivent aussi dans son livre, aux idées bien arrêtées -et sans doute assez réalistes- sur l'état de l'Eglise catholique. La défiance avec l'état actuel de l'institution ecclésiastique reste une constante, même si les idées schismatiques sont absentes.
Petit bémol, en revanche, du côté de certains dialogues. Il faut que la série fasse attention à ne pas tomber dans l'excès de clins d'oeil. Trop de références futures risqueraient de rendre les dialogues trop artificiels. Au hasard, dans cet épisode, des répliques très appuyées comme "you're not a saint" ne sonnent pas très naturelles. Quelques anticipations, ça apporte un petit plus. Mais il faut les instiller de façon subtile et à petite dose. Par exemple, la référence au divorce qu'évoque une reine inquiète à son neveu d'empereur s'inscrit très bien dans le lien qui unit rapidement les deux royautés du même sang. D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé ces scènes où Catherine apparait revivre au milieu des siens.
Bilan : L'épisode en se concentrant sur la vie à la cour, avec ses fêtes et ses spectacles, nous offre une vue intéressante de l'époque. En revanche, on reste un peu sur sa faim concernant le rythme en lui-même et les évènements. L'épisode s'inscrit sans doute dans une optique d'exposition un peu trop marquée.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: The Tudors
j'ai enfin vu le 1er épisode, cela me semble intéressant et prometteur et trés joli graphiquement mais en tant que femme, je me dis que je préfère largement notre époque, dur dur, la vie de femme dans ces temps là !
Et jonathan rhys meyer est superbe !
Et jonathan rhys meyer est superbe !
Re: The Tudors
je viens de débarquer et j'ai juste la bande annonce et le générique...
ça m'a l'air trés bien tout ça...
Dites moi, ça passe sur quelle chaine ?
C'est pas encore sur le câble j'imagine ?....
ça m'a l'air trés bien tout ça...
Dites moi, ça passe sur quelle chaine ?
C'est pas encore sur le câble j'imagine ?....
Scully- Président des USA
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Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 05/02/2006
Re: The Tudors
Pour l'instant, la diffusion a commencé aux Etats-Unis sur Showtime, début avril.Dites moi, ça passe sur quelle chaine ?
C'est pas encore sur le câble j'imagine ?....
Mais avec deux saisons déjà commandées, et vu la distribution, je pense que la série n'aura pas de problème à arriver en France. Si je devais parier sur une chaîne, je dirais Canal+ qui a tendance à être celle qui diffuse les séries historiques + les séries câblées US.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: The Tudors
A part Canal + ou M6 tard, je ne vois pas ou elle pourrait passer cette série, c'est trop trash pour un prime vu la pruditude actuelle ! M'enfin ayant vu le 102, c'est vrai que je ne le ferais pas voir à un pré-ado (la scène entre le roi et Mary Beolen par exemple n'ai pas regardable par un pré-ado je pense)
Re: The Tudors
Je viens de visionner le 1x02. C'est toujours aussi bien
- Spoiler:
- JRM incarne à merveille le jeune roi fougueux . La scène où Henry laisse exploser sa rage dans la chambre est notamment très convaincante et traduit parfaitement l'impétuosité du jeune homme. Le jeu des alliances et des trahisons est toujours aussi passionnant, de même que les dialogues Henry-Wolsey-More. J'ai hâte de voir Charles Quint entrer en scène
Comme vous, Maria Doyle Kennedy m'a beaucoup impressionné. Elle restitue très bien la majesté et la dignité de son personnage La scène où la reine se rend pieds nus, pleine d'humilité, sous la pluie, à l'église, est également très touchante et offre un beau contraste avec la scène précédente au château.
Re: The Tudors
Préoccupant :
http://www.seriesparadise.com/index.php?module=Pagesetter&func=viewpub&tid=20&pid=34&title=The.Tudors.toujours.en.chute
http://www.seriesparadise.com/index.php?module=Pagesetter&func=viewpub&tid=20&pid=34&title=The.Tudors.toujours.en.chute
Re: The Tudors
Il faut faire attention avec les chiffres d'audience de Showtime, parce que la chaîne additionne les audiences des différentes diffusions de l'épisode tout au long de la semaine pour arriver au résultat. 350.000, c'est juste pour la diffusion de dimanche. Mais c'est vrai qu'il faudrait que ça se stabilise Eviter de tomber plus bas dimanche prochain.
Mais une fois que c'est renouvelé, a priori, les contrats sont signés non ? On ne peut pas revenir dessus...
Pour comparer, cet été, Brotherhood faisait moins de 200.000 téléspectateurs, et a été renouvelé pour une seconde saison...
Et puis, le buzz de The Tudors et l'image que ça donne à la chaîne est vraiment non négligeable.
Mais une fois que c'est renouvelé, a priori, les contrats sont signés non ? On ne peut pas revenir dessus...
Pour comparer, cet été, Brotherhood faisait moins de 200.000 téléspectateurs, et a été renouvelé pour une seconde saison...
Et puis, le buzz de The Tudors et l'image que ça donne à la chaîne est vraiment non négligeable.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
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