La Dernière Séance(Complète)

suis toujours sympa mais là y a pas moyen que j'en mette une avant demain enfin : vendredi soir je précise , en tout cas, j'espère merci encore pour vos comm' les filles

tweetie a écrit:suis toujours sympa mais là y a pas moyen que j'en mette une avant demain enfin : vendredi soir je précise , en tout cas, j'espère merci encore pour vos comm' les filles

Ouais, bah pour marquer le coup pfffff quand même alors!

merci pativore, ça me touche beaucoup
c'est un honneur d'avoir un de tes fameux pffff

Y'a ppas de quoi! C'est quand tu veux! J'en ai toute une cargaison à livrer!

merci mais je crois que je m'en contenterais d'un pour aujourd'hui

Et bien s'était quand même un beau diner, mais je sens qu'ils ne resteront pas amis bien longtemps

Moi z'en veux encore

Et Martin , wouha, c'est un rapide

c'était trop chou !!!!

vite vite une suite !!!

Ah Tweetie ce matin j'ai pensé à toi! Je suis tombée sur Beverly hills à la télé (oh mon dieu...) et là, bing, y'avait bosco dedans en copain de kelly! ça m'a fait trop rire! Il avait pleins de cheveux!

Bon, et la suite alors???

héhéhé ra vi, j'ai pas vu mais je m'en rappelle, il jouait un peintre c'est de là qu'est naît ma passion pour le ptit maurice ralala ça nous rajeunit pas
la suite arrive

pour vos comm'


« Salut … toi. » La jeune femme devait sûrement trouver ça mignon, mais Danny avait seulement prononcé cette phrase car il ne se souvenait plus de son nom. Et pourtant, ils venaient de passer la nuit ensemble …
C’était un samedi soir classique, une soirée normale entre copains. Martin n’avait d’yeux que pour Colleen depuis leurs retrouvailles au «Travis ». De ce fait, dès qu’elle eut fini son service au bar, l’agent Fitzgerald s’était tout naturellement proposé pour raccompagner sa nouvelle petite amie, laissant le soin à son collègue de continuer seul, son petit manège avec une certaine blondinette. Danny était finalement resté jusqu’à la fermeture, gagnant les faveurs d’une autre jeune femme entre-temps, qui lui avait tapé dans l’œil un peu plus tard dans la soirée. Une fois rentré, ils avaient vite perdu pied dans le doux confort de son appartement. Devant l’urgence de leur désir, il la pénétra à même la moquette du salon, n’ayant pu attendre de rejoindre la chambre.
Il s’était mis sur elle pendant qu'il faisait glisser rapidement son chemisier jusqu’en bas de ses épaules. C’est sans le moindre effort, qu’il arracha ensuite son soutien-gorge avant que sa bouche ne vienne happer un de ses seins. Elle appréciait cette langue experte qui venait titiller son mamelon droit. Il posa ensuite tout le poids de son torse chaud et en sueur sur sa poitrine. La chaleur de leurs deux corps, profitant l’un de l’autre. Dès l'instant où ses mains se faufilèrent entre ses cuisses, la respiration de la jeune femme se fit plus haletante. Des frissons lui parcoururent tout le corps et elle se mordilla la lèvre inférieure. Son regard soutint le sien pendant qu'il se délectait de la jouissance qu’il lui procurait. Ce fut à son tour de la vivre, lorsqu’il sentit ses doigts de fée défaire habilement et sensuellement les boutons de son jean, s’attardant sur l’objet de son désir. Il ne put que pousser un grognement sourd dans son cou en réponse à ces actions. Le rythme jusqu’alors plutôt lent de leurs va- et-vient augmenta, se faisant plus violent, lorsqu’il mit à se mouvoir de plus en plus profond en elle. Elle laissa échapper un cri strident, enfonçant bien ses ongles et ses doigts délicats dans le creux de ses reins une fois de plus. S’arquant vers lui, comme pour révéler l’intensité du plaisir qu’elle prenait. Ce ne fut qu’après de puissants coups de reins, que son propre cri s'était mélangé au sien, tous les deux trouvant écho dans son appartement. Elle gémissait toujours pendant qu'il exhalait, avant que leurs souffles ne se rejoignent finalement. Bientôt, leur respiration retourna à la normale, ses jambes restant encore nouées aux siennes. L'épuisement les avait vite guettés tous les deux, après cette folle nuit de passion.

a la deuxième lecture je le trouve toujours aussi rhhh ce passage

Et ben... c'était court mais intense!
Très RRRRRRRRRRRR

Mais que même, le chuppa c'est cool, mais c'était vraimentt trop court!

Rrrrrrrrrr t'es devenue une pro aussi dis-moi !!!!
Vraiment bien même si court !
Et Danny là par contre il se rapelle même plus son nom !

La suite !

Il ne se souvient plus de son nom?

Sacré Danny, par contre il se laisse quand même faire

Une super suite chuppa comme on les aime, en tout cas moi j'aime bien, beaucoup

Encore, encore

Tweetie t'es où?????
Il faut la suite du sooir!!!!

C'est vrai elle est où ????

Bah oui...

Bon je crois que je vais aller me coucher alors...
Bonne nuit!

Good night miss !

"buenas noches" les filles enfin plutôt "buenos dias" suis allée voir l'homme araignée ce soir, enfin hier, et même si je savais la fin, ben,ça m'a presque mis la larme à l'oeil cette affaire , ralala que d'émotions ça doit venir de l'acteur ( jenny)
Sur ce, une suite plus longue cette fois ( pativore) :


- il est malade d’avoir refusé. Crois-moi, il s’en mordra les doigts, affirma Danny.

Candice lui répondit par un sourire, visiblement flattée.

- et puis, tu m’as moi, le cavalier idéal, alors mister Milbury, il peut aller se rhabiller. Pas vrai ?
- oui, heureusement que tu es là, mon sauveur !
- c’est ça, moque-toi ! En tout cas, on ne s’est pas trompé d’église, cette fois.
- c’est vrai, ria-t-elle. On est en progrès.

Ils échangèrent un sourire.

- ravie de vous revoir …le salua la nouvelle madame Paul, quelques minutes plus tard.
- … Danny, dit-il.
- Christel, sourit-elle. Alors ? Dites-moi. Tout se passe bien au travail ?
- oh, vous savez, dans l’immobilier, c’est toujours le même train-train.
- ne vous embêtez pas avec ça. Cameron m’a tout expliqué. Je trouve ça très courageux ce que vous faites pour ces personnes.

Il avait choisi ce boulot pour aider les gens mais après ce qui lui était arrivé, il doutait sérieusement de ce qu’il pouvait encore leur apporter. C’était plutôt le contraire en ce moment.

- merci, répondit-il, alors mal à l’aise.

Ce jour-là, toute la famille Jetrovski était réunie pour célébrer le baptême de la petite Susie. La future marraine étant accompagnée de l’agent du FBI pour l’occasion. Christel put donc voir sa sœur cadette porter sa fille lors de la bénédiction. La jeune maman était lumineuse à côté de son mari. Ce fut une très belle cérémonie.
Danny berçait maintenant l’enfant, devant le regard attendri de la jeune avocate. « hey … coucou ma princesse. » La manière dont Susie serrait son index avec ses petits doigts et le sourire qu’il affichait en sa présence, faisait craquer Candice. Il ferait sûrement un excellent père, pensa-t-elle.
Les invités se réunirent ensuite dans une petite salle des fêtes et scandaient maintenant le nom de la marraine pour qu’elle fasse un discours. Après quelques minutes, Candice se prêta finalement au jeu.
« bonsoir à tous. Je suis très heureuse d’être ici parmi vous et surtout d’avoir eu cet honneur. Ça représente beaucoup pour moi. Ma sœur a toujours été là quand j’en ai eu besoin. J’ai confiance en elle. Je lui dis tout. C’est la meilleure. Je me rappelle, quand on était petites, elle m’avait promis que je serai la marraine de son bébé, et maintenant que ce moment est enfin arrivé, j‘ai du mal à y croire. A cette époque, j’étais au CE2 et je me souviens que dans ma classe, il y avait un certain Maurice Boscorelli qui n’arrêtait pas de soulever ma jupe pendant la récré en me surnommant « Jet » . Oui, comme « Jet l’éponge ! » Mais il a arrêté du jour au lendemain, et j’ai appris des années plus tard, que c’était parce que ma grande sœur lui avait mis un bon coup de pied là où je pense ! » L’audience se mit à rire. « bref, tout ça pour dire que tu mérites ton bonheur, frangine et que je serai toujours là pour toi, ta petite princesse et ton mari aussi ! » Elle adressa un clin d’œil à Larry, qui lui sourit en retour.
« Jet ? Je vais t’appeler comme ça maintenant » Danny, qui était aussi son voisin à table, venait de murmurer cette phrase à son oreille, le sourire aux lèvres.
- t’as pas intérêt, rétorqua-t-elle.
- hum … je craque pour ce regard menaçant, plaisanta-t-il.

Ils échangèrent un sourire avant d’entendre quelques applaudissements, se faisant de plus en plus rapprochés.

- quel discours touchant ! J’en ai les larmes aux yeux, ironisa la jeune femme.

Elle s’avança maintenant jusqu’à la table et reprit la parole.

- vous avez bien fait, de l’avoir choisie à ma place.
- Chloé, soupira Larry.
- quoi ? C’est vrai !
- tu sais très bien pourquoi.

Elle écarquilla les yeux.

- tu n’as jamais pu accepter mon mariage avec Christel, poursuivit-il.
- mon pauvre vieux ! Si tu savais. Faudrait te réveiller parce que ça fait bien longtemps que j’ai oublié notre histoire. Et justement, si tu veux parler de ton mariage, j’en ai une bonne à t’apprendre ! Parce que tu ne devineras jamais qui m’a fait prendre mon pied comme jamais dans les toilettes, ce soir-là.

La jeune femme pointa Danny du doigt et l’agent du FBI vit une trentaine de têtes se tourner vers lui comme si elles suivaient un échange sur un court de tennis, sauf que la balle lui avait atterri en pleine face. Curieusement, il s’en fichait. C’était sa réaction à elle qu’il craignait. L’expression sur son visage qu’il voulait voir. Mais Candice ne broncha pas. La tête baissée, elle jouait nerveusement avec sa serviette dans les mains.

- et oui, ma belle, ton cavalier n’a rien d’un gentleman, crois-moi !

C’est seulement en entendant « Lara Croft » s’adresser directement à elle, que la jeune avocate daigna relever la tête. Les deux jeunes femmes se fusillaient maintenant du regard.

- la ferme ! Fit le mari de Christel.
- et je sais, que tu en as encore une énorme envie. Je le vois à ton regard.
- alors arrête de me regarder, répondit Danny à Chloé, les sourcils froncés.

La jeune femme semblait vexée et s’adressa alors à son ex.

- quant à toi, je me demande comment ta fille peut être aussi belle avec la tête que tu te paies depuis que t’es marié à cette espèce de …
- sûrement parce que ma sœur n’a pas la même tronche que toi ! Le défendit Candice.

Danny sourit de sa réflexion.

« allez, ça suffit maintenant ! Mettez-moi ça dehors ! » Craig Jetrovski venait de parler. Chloé fut ainsi emmenée à l’extérieur et tout fut revenu à la normale en quelques minutes. Le dîner ayant pu reprendre son cours tranquillement. La musique avait même fait son apparition. Et Danny en avait profité pour inviter Candice à danser un slow.

I don’t know how,
I don’t know why
But you’re the light on my shoulder
When I'm tired

- ça va ? Demanda-t-il à sa cavalière.
- mmh, répondit-elle, la tête nichée dans le creux de son cou.

It's easier to run and harder to be still
It's easier to think and harder to feel,

- écoute …

La jeune avocate releva la tête et écarquilla les yeux.

It's easier to hide and harder to trust
It's easier to hate and harder to love

- … pour tout à l’heure, je …
- tu n’as pas besoin de te justifier.
- si, j’y tiens. Je suis désolé.
- tu n’as pas à t’excuser non plus, sourit-elle.

Danny ne semblait pas comprendre.

- tu étais bien mon cavalier au mariage, et alors ? C’était pas un rendez-vous galant, n’est-ce pas ? Je veux dire … c’en était pas un « vrai » … hein ? Bégaya-t-elle, sentant la nervosité la gagner.
- … non, hésita Danny. Bien sûr que non, reprit-il.

Ils osèrent à peine se regarder et cette fois, quand elle reprit la parole, sa tête venait de se poser sur le torse musclé de son cavalier.

- en plus, si je l’avais su plus tôt, je n’aurai certainement pas voulu te présenter à ma meilleure amie. Et dans ce cas, Martin ne serait pas retombée sur Colleen, ce soir-là et ils ne fileraient pas le parfait amour en ce moment. Donc tu vois, comme quoi, le destin fait bien les choses, dit-elle, d’un ton léger, pour détendre l’atmosphère.

Danny acquiesça en silence.

And I don’t know how, I don’t know anything
But you’re the temper in my voice
When I sing

Aie, aie, aie, ça c'est tout à fait le reflet d'une soirée en famille

Mais bon , Candice n'a pas l'air d'en vouloir à Danny et tant mieux pour nous

J'en veux encore moi Vivement le prochaine...ce soir hein?

Petit smiley rien que pour toi:

Ouh, ça chauffe les baptêmes dis doc!
Pas commode la lara croft et un peu amer aussi! Mais en même temps se fare larguer par larry paul...

Les deux moineaux sont trop choux àà se tourner autour comme ça sans oser se l'avouer!l

C'est trop bien! Tweetie j'adore ta fic!

Raaa j'ai trop adoré cette suite !

Et ce clin d'oeil à Bosco, bien trouvé !

La jeune femme pointa Danny du doigt et l’agent du FBI vit une trentaine de têtes se tourner vers lui comme si elles suivaient un échange sur un court de tennis, sauf que la balle lui avait atterri en pleine face.

très bien imagé !

- et je sais, que tu en as encore une énorme envie. Je le vois à ton regard.
- alors arrête de me regarder, répondit Danny à Chloé, les sourcils froncés.

Un beau taclage en bonne et due forme !!!

- quant à toi, je me demande comment ta fille peut être aussi belle avec la tête que tu te paies depuis que t’es marié à cette espèce de …
- sûrement parce que ma sœur n’a pas la même tronche que toi ! Le défendit Candice.

Et de 2 ! Excellent !!!

C’était pas un rendez-vous galant, n’est-ce pas ? Je veux dire … c’en était pas un « vrai » … hein ? Bégaya-t-elle, sentant la nervosité la gagner.
- … non, hésita Danny. Bien sûr que non, reprit-il.

Pfffff mais bien sûr !!!

Ils osèrent à peine se regarder et cette fois, quand elle reprit la parole, sa tête venait de se poser sur le torse musclé de son cavalier.

Rrrrrrrrrrrrrrrrrrr

C'est quoi cette chanson ça me dit quelque chose ?
Et la suiteeeeeeeee aussiiiiiiiii !!!

Jenny a tout dit

je rajoute LA SUITE !!!!!!!!

merci à vous contente que ça vous plaise
@clara : merci pour ton smiley mais j'arrive pas bien à voir ce que ça représente @jenny : la zic c'est "Light On My Shoulder" de Susie Suh et pis, ben, Bosco c'est Bosco quoi !!! Rrrrr


- salut, tenta Candice, un brin nerveuse.

Danny laissa sa porte grande ouverte et sans dire un mot, il rejoignit le divan.

- tu es parti si vite après le jugement. Je venais voir si ça allait.
- si je l’ai fait, c’est qu’il y a bien une raison, répondit-il, sèchement.

« Ok ». Elle s’apprêtait à partir quand il reprit la parole.

- encore un de ses espoirs parti en fumée. A ce train là, il reverra ses gosses quand ils seront à la fac.

Il se passa une main sur le visage. Il semblait vraiment démoralisé. Candice s’en alla refermer la porte puis vint s’asseoir à ses côtés.

- je suis désolée.
- c’est rien, tu as fait de ton mieux.
- tu vas penser que c’est facile pour moi de dire ça, car je ne suis pas à la place de Sylvia ou des enfants, mais il ne faut surtout pas lâcher, pas maintenant.

Elle posa une main réconfortante sur son avant-bras et Danny esquissa un léger sourire.

- ne t’embêtes pas pour ça, cette famille n’en vaut pas la peine. On est tous pareil.
- arrête ça tout de suite. Ça ne prend pas avec moi. Tu te cherches des excuses pour abandonner et je ne vais pas te laisser faire.
- t’étais là, non ? T’étais à cette audience comme moi ?

Elle hocha la tête.

- donc t’as dû entendre les faits qui lui sont reprochés ? La liste est aussi longue que mon bras. C’est un drogué, doublé d’un trafiquant, qui a menti à toute sa famille, par-dessus le marché !

Il avait élevé la voix sans s’en rendre compte.

- c’est normal que tu lui en veuilles.
- je ne lui en veux pas, Jet. Je suis comme lui, avoua-t-il, dans un murmure.
- mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu n’es pas ton frère, Danny.
- t’as raison. Je suis pire.
- alors là, permets-moi d’objecter, sourit-elle. Je le connais et je te connais. Et je peux t’affirmer que vous deux, c’est le jour et la nuit.
- c’est seulement que tu ne me connais pas aussi bien que tu le penses. Parce que tu peux me croire, j’en ai fait des choses dont je ne suis pas fier.
- comme tout le monde. Si tu connaissais les miennes.
- je suis sûr que tu n’as pas osé faire la moitié de ce que …
- on parie ?
- t’as déjà tiré sur quelqu’un sans défense ?

Candice resta sans voix.

- tu ne l’avais pas vu venir celle-là, hein ?
- pourquoi ? Ça t’es déjà arrivé ?

Elle vit une soudaine émotion refléter ses yeux.

- Danny, qu’est-ce qui s’est passé ?

Son regard noyé dans le sien fut sa seule réponse.

- tu devrais en parler à quelqu’un.

Le ton employé par la jeune avocate se voulait doux et rassurant.

- c’est ce que je viens de faire, dit-il, en lui adressant un clin d’œil.

Candice lui répondit par un sourire.

- je parlais d’un spécialiste.
- on croirait entendre mon patron, soupira-t-il.
- pourquoi ? Il t’encourage à aller consulter ?
- en fait, ça sonnait plutôt comme un ultimatum. Si lundi matin, je ne suis pas dans le cabinet du docteur House, c’est la porte.

La jeune avocate prit un air amusé à l’entente du nom de la psychologue.

- je précise que c’est une femme. Sinon Jet, tu sais quand même que cet autre rigolo n’est qu’un personnage de fiction, n’est-ce pas ? Autrement dit, il n’existe pas !
- et bien sûr, toi tu trouves que ton boss a tort de t’envoyer là-bas, que ce n’est pas justifié, devina-t-elle, ignorant sa moquerie.
- d’après lui, j’aurais tendance à merder un peu beaucoup ces derniers temps.
- explique.
- il trouve que je ne sais pas canaliser mes colères.
- il a raison ?
- j’ai toujours agi ainsi. Ça ne semblait pas lui poser trop de problèmes jusque là.
- peut-être qu’il le fait seulement par précaution. Et puis, tu admettras que ça fait beaucoup, avec ce qui arrive à ton frère, cette histoire dont tu ne veux pas parler et ta copine qui t’a quitté.
- Jet, elle est partie à Los Angeles. J’ai jamais dit que c’est elle qui avait rompu.
- Danny, je te rappelle que j’étais assistante sur son dossier.

Le jeune homme se tut. Il savait qu’elle avait gagné.

Une suite toute tristounne où on a qu'une envie, c'est que Candice le prenne dans ses bras et....rrrrrrr !

Et puis Greg House, Danny serait t'il un aficionados ?

Raaaa c'est quand ils veulent qu'ils se décident ces 2 là !!!

La suite !!!

Pour le smiley, c'est un spiderman version pacman !