La Dernière Séance(Complète)

Jenny a écrit:Pour le smiley, c'est un spiderman version pacman !

mais vi, suis con j'ai même pas reconnu la tête de l'homme araignée !!! Shame on me !!!
Merci pour ton comm' jenny et merci pour le smiley clara

Oh un Danny tout mortadelle... c'est tristoouille à voir Faut que candice le console

Et la petite allusion au Dr House, rha j'adore!

Ils sont trop mimis tout les deux, alors faut qu'ils arrêtent de se tourner autour comme ça sans arrêt!

Vite la suite!!!! vite vite vite

Bon... j'espèrais une suite, mais y'en a pas...
Donc m'en vais me coucher.
Bonne nuit les miss!

Ps: décidément les dimanche soir c'est vraiment les plus tristouilles

merci pour ton comm' parivore la suite viendra demain soir
et comme dirait jenny (la sadiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiik ) : Bon8 les filles

Pour le smiley, c'est un spiderman version pacman

C'est vrai que sur fond blanc, ça rend pas terrible

Bon cette suite est grandiose, un Danny tout triste...je suis sadique je sais mais j'adooooooore

Je ne sais pas comment Candice peut rester comme ça à coté sans avoir envie de le prendre dans ses bras

Et le bon docteur House

Vivement une suite

rho j'adore !!!!!

ya une petite suite ??????

la voilà, encore merci à vous :


- désolée pour le retard.
- c’est rien. Je viens juste d’arriver. Tu prends quoi ?
- un café.
- sûre ? Tu m’as l’air déjà assez nerveuse comme ça.

Candice le fusilla du regard et Danny céda en passant commande au serveur.

- ça va ?
- super ! Ironisa-t-elle, en prenant une chaise. Ma voiture est toujours au garage et quand j’ai voulu prendre un taxi …
- t’aurais dû me le dire, j’aurais choisi un café moins éloigné de ton bureau. Ou mieux, j’aurais pu passer te prendre.
- c’est pas le problème. Tout se serait bien passé, si je n’avais pas eu une espèce de folle derrière moi qui voulait me piquer la place. Elle a commencé à me tirer les cheveux pour me faire reculer. Non mais tu te rends compte ? Les gens sont prêts à tout de nos jours !
- comment t’as fait pour t’en débarrasser ?
- et bien, aux grands maux les grands remèdes, sourit-elle, en lui désignant son parapluie.

Danny eut du mal à retrouver son sérieux.

- t’es folle !
- tiens, justement en parlant de ça, comment ça se passe avec ta chère psy ?
- très bien. Elle est raide dingue de moi.
- mais bien sûr, quelle question ! Je parlais surtout de vos séances. Alors, ça avance ?
- oui, on discute de plein de choses.
- comme quoi ?
- de notre prochain mariage, du nom de nos futurs enfants.
- Danny …
- si c’est une fille, elle veut l’appeler Clara. Moi, je pencherais plutôt pour Jenny, mais bon, on a le temps de voir venir.

Candice secoua la tête devant son ironie. Décidément, il était incorrigible.

- et toi ? Quoi de neuf ?
- figure-toi que j’ai croisé Josh dans l’ascenseur ce matin et même si c’était très tentant d’admirer son joli petit … postérieur rebondi, j’ai résisté. Ça y est, je suis en plein sevrage ! Plaisanta-t-elle. Tu peux être fier de moi.
- mais je le suis ! Par contre, si tu pouvais m’épargner les détails, grimaça-t-il.

I'm too sexy for my love, too sexy for my love,
Love's going to leave me

« allô » Danny ne pouvait s’empêcher de sourire à chaque fois qu’il entendait cette sonnerie pour la moins particulière. La conversation téléphonique de l’avocate fut brève. Elle ne dura pas plus de cinq minutes, se limitant à des monosyllabes.

- tout va comme tu veux ? Demanda-t-il.
- heu … oui… très bien … pourquoi ?
- je ne sais pas. Tu fais une drôle de tête depuis que t’as raccroché. C’était qui ?
- ça va bien, je te dis.
- Jet …
- alors on en était où ?
- tu me parlais de ton Milbury, soupira-t-il.
- ah oui, c’est vrai. Et toi, rien de neuf de ce côté là ?
- de quel côté ?
- arrête ça. Je ne sais pas, t’as rencontré quelqu’un, ou bien revu une vieille connaissance ?
- non.
- allez, raconte.
- il n’y a personne, je te dis. C‘est quoi cet interrogatoire ?
- alors tu ne veux rien me dire ?
- à propos de quoi ?
- laisse-tomber, soupira-t-elle.

Elle se leva de son siège.

- qu’est-ce que tu fais ? T’es vexée ?
- non, je dois y aller. Un rendez-vous important.

Elle mit quelques pièces sur la table.

- laisse, je t’invite.
- merci, Danny.

Il aurait voulu lui proposer de la raccompagner mais c’était trop tard. Elle lui avait déjà fait signe de la main et était partie sans la moindre explication. Il ne comprenait pas ce revirement. Ça ne lui ressemblait pas. Il était presque sûr que ce coup de fil mystérieux devait y être pour quelque chose.
Candice appela son amie quelques minutes plus tard, dans le taxi qui la ramenait au bureau.

- Cookie, c’est moi. Alors tu es sûre ? C’était bien elle ?
- heu … oui, Martin est formel. Elle était dans le bureau de Jack ce matin-même.
- pourquoi ?
- je ne sais pas. Danny ne t’en a pas parlé ?
- non, mais il avait l’air d’avoir le moral.
- peut-être qu’il ne l’a pas croisée.
- à moins qu’il n’ait fait semblant que tout aille bien.
- si tu veux en être sûre, aborde le sujet avec lui.
- j’ai essayé mais il se referme comme une huître dès qu’on touche à sa vie privée.
- alors oblige-le !
- comment ? En l’accrochant au radiateur de mon bureau ?
- hum … c’est une très bonne idée. Je devrai peut-être essayer ça avec Martin.

Elles se mirent à rire de bon cœur.

- pourquoi c’est si important pour toi ? T’as peur qu’il retombe dans ses filets ou quoi ? L’interrogea Colleen.
- mais non ! Qu’est-ce que tu vas t’imaginer ? Je ne veux pas qu’elle le fasse souffrir à nouveau, c’est tout.
- ma pauvre fille ! T’es vraiment aveugle ou alors une sacrée mythomane !
- ah non, Cookie. Ne recommence pas avec ça !
- quoi ? C’est vrai ? On dirait qu’il n’y a que vous deux qui ne vous rendez pas compte de ce qui se passe !
- arrête, tu dis … n’importe quoi.
- et toi, tu vas devoir faire un choix ma grande. Alors c’est lequel ? Le beau brun ténébreux et torturé ou le blondinet coincé du … C.D. ? t’es toujours là ?
- désolée, je capte mal ! Sûrement un tunnel ! Salut ! Raccrocha-t-elle.

Quoi??? La chose est de retour???
Ah non pas ça!!!!

Quand à ses deux là, comme dirais la copine, il n'y a bien qu'ux qui ne voyent rien!
Plus c'est évident, moins on le voit, c'est ça???

Rho, tu peux pas nous laisser sur ça! Une suite quoi!

J'ai peur de comprendre ....la vilaine is back ?
Raa non alors !!

Et puis, je suis toute émotionnée par ton petit clin d'oeil !

si c’est une fille, elle veut l’appeler Clara. Moi, je pencherais plutôt pour Jenny,

Une femme appelée Jenny c'est mieux non ?

La suite !!!

My god, c'est quoi ce retour

Et puis la relation copin/copine...Rooooooooooo, pas à nous quand même

Encore, encore, encore

le retour de la chose




la suite !!!!!!!!!!!!


je veux savoir comment tout ça va se goupiller !!!

oh non le retour du truc tout moche !!

@ nathaloche : c'est vachement ressemblant en plus !!!
petit bout :


- Je vois que vous avez réfléchi à ce que j’ai dit, agent Taylor. Ça fait bien dix minutes maintenant et je n’ai eu droit à aucune plaisanterie douteuse de votre part. C’est un record, railla le docteur House.

Il se contenta de sourire.

- Jack m’a dit que votre ancienne compagne était de retour en ville dernièrement.
- c’est exact. Elle est passée en coup de vent.
- pour quelle raison ?
- oh de la paperasse, au sujet de son transfert.
- comment avez-vous réagi face à ça ?
- j’étais le dernier au courant. Jack a préféré me l’annoncer le lendemain de son départ, seulement.
- qu’avez-vous ressenti ?
- je lui ai fait savoir que je n’avais aucun besoin d’une baby-sitter.
- comme gérez- vous cette rupture avec votre collègue ?
- je pense que ça aurait été beaucoup plus dur si je l’avais constamment sous le nez.
- j’imagine. Sinon du nouveau, niveau sentimental ?
- rien à signaler.
- allez, je vous en prie. Je n’y crois pas une seconde, un charmant jeune homme comme vous.
- vous avez craqué aussi, hein ? Sourit-il.
- et nous voilà reparti pour un tour ! Vous ne vous arrêtez jamais, n’est-ce pas ?
- c’est vous qui avez commencé !

Elle lui adressa un regard sombre avant de reprendre.

- vous n’avez jamais pensé à vous fixer dans une relation stable, à fonder une famille ?
- non, j’ai encore le temps, répondit Danny.
- donc vous y avez pensé.
- vous êtes maligne, vous.

Ils échangèrent un sourire.

- si je vous suis, vous voulez dire qu’il n’y a personne avec qui, vous ayez eu un vrai rendez-vous, sans que la soirée ne se finisse forcément au lit …

Il ne répondit pas mais ça avait fait tilt dans son esprit.

- … ou alors quelque chose qui ressemblerait vaguement à ça ? Poursuivit Laurel House.
- non, mentit-il.
- qu’est-ce qui vous fait peur ? D’être quitté à nouveau ? Vous savez, toutes les femmes ne sont pas comme votre collègue.
- encore heureux, soupira-t-il.
- qu’est-ce qu’elles représentent alors pour vous ? De la chair fraîche ou la mère potentielle de vos futurs enfants ?
- je vous l’ai dit, je n’y pense pas.
- vous devriez essayer d’y réfléchir sérieusement, agent Taylor.

Roooo feignasse t'as eu la flemme de faire une partie "vilaine pas belle" !!!
Ca aurait été marrant de voir un taclage en beauté de la moche !

- allez, je vous en prie. Je n’y crois pas une seconde, un charmant jeune homme comme vous.
- vous avez craqué aussi, hein ? Sourit-il.

rrrrrrrrrr j'adoooooreeeeee !!!!

Vous savez, toutes les femmes ne sont pas comme votre collègue.
- encore heureux, soupira-t-il.

excellent !!!

La suite !!! Et je suis sûr qu'il sait ! Le nom de la femme de sa vie commence par un C et finit par un E !

La suiteeeeeeeee !!!!!!!

Jenny a écrit:Roooo feignasse t'as eu la flemme de faire une partie "vilaine pas belle" !!!

ralala tu me connais trop bien
merci pour ton comm' jenny
je sais pas quand viendra la suite, j'ai trop du mal avec le passage suivant mais c'est sûr, il sera plus long
vivement demain pour la tienne malheureusement c'est la fin

Jenny a écrit:Roooo feignasse t'as eu la flemme de faire une partie "vilaine pas belle" !!!
Ca aurait été marrant de voir un taclage en beauté de la moche !

- allez, je vous en prie. Je n’y crois pas une seconde, un charmant jeune homme comme vous.
- vous avez craqué aussi, hein ? Sourit-il.

rrrrrrrrrr j'adoooooreeeeee !!!!

Vous savez, toutes les femmes ne sont pas comme votre collègue.
- encore heureux, soupira-t-il.

excellent !!!

La suite !!! Et je suis sûr qu'il sait ! Le nom de la femme de sa vie commence par un C et finit par un E !

La suiteeeeeeeee !!!!!!!

Tout pareil! Mais c'était trop trop trop court!!!!

- vous avez craqué aussi, hein ? Sourit-il.
- et nous voilà reparti pour un tour ! Vous ne vous arrêtez jamais, n’est-ce pas ?
- c’est vous qui avez commencé !

Il n'en louppe pas une quand même

qu’est-ce qui vous fait peur ? D’être quitté à nouveau ? Vous savez, toutes les femmes ne sont pas comme votre collègue.
- encore heureux, soupira-t-il.

Tu m'étonnes, il n'y a qu'une chose et heureusement pour la planète

@Nataloche, ton smiley : j'ai tout de suite dit: 'tiens une photo de la chose"

"petit" bout :


Nom d’un chien ! 1h 30 du mat'! Alors là, peu importe, que ce soit Brad Pitt ou bien George Clooney qui se pointe avec une tasse de Nespresso dans les mains ! Ça allait barder ! Et pour de bon ! Cet intrus qui osait la déranger à cette heure-là, allait le payer cher ! Juste le temps de remettre un peu d’ordre dans ses cheveux, et elle allait pousser sa gueulante ! Foi de Candice ! Non, mais !

- Danny ? mais qu’est-ce que tu … murmura-t-elle.

Il était là, devant sa porte, le regard complètement perdu. Et en une demi-seconde, sa colère s’était envolée.

- entre, tu es trempé …

Elle lui retira son long manteau noir et alla lui chercher une serviette. Il se séchait maintenant les cheveux, assis sur son divan. Toujours sans avoir prononcer le moindre mot.

- attends, je vais te faire une bonne tisane, ça va te réchauffer.

Il la retint par le bras. Et son regard fit le reste. Il s’enfichait royalement de sa foutu tisane, il avait envie de parler. De lui parler. Elle venait de le lire dans ses yeux. Elle s’assit alors sur la table basse, juste en face de lui.

- il est mort … il y a une heure.

Candice fronça les sourcils.

- c’est bel et bien fini …
- qui est mort, Danny ?
- Seth, je l’ai tué. Tout est de ma faute.
- mais de quoi tu parles ? Qui est Seth ?

Il prit une profonde respiration et se confia.

- on nous avait envoyé sur le parking de ce lycée avec Martin. Il faisait nuit. Un banal trafic de drogue, en somme. Seth dealait. On les a surpris, lui et son pote. Ce dernier a préféré s’enfuir, alors Martin s’est lancé à sa poursuite. Mais Seth, lui, a choisi de me braquer.

Sa voix était tremblante. Candice sentait que l’émotion le gagnait au fur et à mesure de son récit.

- Je lui ai répété une bonne dizaine de fois de me donner son arme mais il n’a pas voulu. Il a tiré … du moins, c’est ce que j’avais cru. Le flingue n’était pas chargé, contrairement au mien.
- c’était de la légitime défense, Danny. Tu ne pouvais pas savoir.

Elle lui avait prit la main. Ils restèrent comme ça, en silence durant plusieurs minutes.

- il avait 15 ans, Jet.

Elle le fixa. C’était donc ça qu‘il cachait depuis tout ce temps et qui le rongeait de l’intérieur. Elle comprenait pourquoi cet incident lui tenait tellement à cœur. Pour ce cher Danny Taylor, il existait forcément un moyen de s’en sortir pour ces jeunes, de « faire le bon choix » comme il disait si bien. Comme lui avait su le faire à son âge.

- C’est pourtant mon boulot ! Je suis payé pour ça, merde ! C’est ce que je suis censé faire ! Je devais retrouver ce gamin au lieu d’annoncer à ses parents qu’il était dans le coma, en plus à cause de moi !

Il venait d’hausser le ton, la colère s‘emparant de lui petit à petit.

- je suis désolée.
- je ne suis pas ce genre de type, Jet. Tu m’entends ? Je refuse d’être ce type, je …

Sa voix se brisa, sous le coup de l’émotion. Il se passa une main sur le visage et sécha les larmes au coin de ses yeux. Il essayait tant bien que mal de se contenir mais il ne cessait de trembler.

- tu n’es pas ce genre d’homme, Danny. Tu es quelqu’un de bien.

Ce fut la phrase de trop. Celle qui déclencha tout. Les yeux déjà mouillés, cette fois, il fondit en larmes pour de bon. Il se pencha ensuite en avant afin que sa tête trouve la base du cou de la jeune femme en guise de réconfort. Il ne retint pas ses pleurs, pendant qu’elle le serrait fort contre elle, tout en le berçant. Il relâcha toute la pression accumulée au fil des mois, d’un coup. Toute l’émotion qu’il se forçait à garder au plus profond de lui, depuis tout ce temps, à cause de cette sombre affaire, ressurgit cette nuit-là.

- shhhh, murmura Candice en lui caressant le bas du dos. Calme-toi. Ça va aller.

Elle s’approcha encore puis lui embrassa la tempe avant de déposer de nombreux baisers sur son front. A la fois, tendres et doux. Il releva la tête, une larme perlait encore sur sa joue. Elle prit alors son visage entre ses deux mains puis d’un geste tendre, essuya ses pleurs. Danny lui prit le bras puis vint embrasser sa paume avant de lui sourire. Le premier de cette longue nuit.
Un nouveau baiser sur ses joues, une fois, à droite, une fois, à gauche. Sur la droite à nouveau, puis sur la gauche. Ces baisers doux, tendres et délicats. Il ne les comptait plus. Il venait tout juste de fermer les yeux, préférant savourer l’instant. C’est à ce moment précis qu’il sentit les lèvres de l’avocate se rapprocher de plus en plus des siennes, les frôler chaque fois un peu plus, jusqu’à ce qu’elles se rejoignent pour de bon. Pour un baiser. Un seul. A la fois tendre et doux mais bien court. Trop même. Ils se regardèrent un long moment dans le blanc des yeux, comme sonnés par ce qui venait de leur arriver. Mais à peine, quelques secondes plus tard, Danny se pencha pour retrouver les lèvres de Candice, une seconde fois, tout aussi furtivement. Ce baiser -là fut plus … réfléchi. Puis ce fut encore un regard échangé. Suivi par le 3ème baiser, le plus … passionné. Celui qui vit leurs langues s’entremêler, avec plus d’ardeur.
Il n’y eut aucun mot d’échangé ensuite, juste des regards qui voulaient dire tellement plus. Il n’avait pas pensé que ça se terminerait ainsi entre eux, ce soir. Il errait, solitaire, dans les rues new-yorkaises, passant à côté des bars de la ville, et résistant à la tentation d’y entrer. Et puis, sans en connaître la raison, il était arrivé devant son palier. Comme si une force inconnue l’y avait guidée. Il avait besoin de soutien, une épaule sur laquelle pleurer. Et Candice était là. Voilà tout. Alors il n’avait surtout pas envie de penser aux conséquences et à ce que cela impliquerait pour eux à l’avenir. Ils étaient amis, rien de plus. Mais il y avait ce désir, ce désir de se perdre en elle, de ne plus penser à cette sombre affaire. Ce soir, il voulait tout oublier …
Il prit alors son bras pour la faire venir sur lui, toujours sur le divan. Sa bouche ne voulant plus quitter la sienne ne serait-ce qu’une seconde. Des frissons lui parcoururent tout le corps et elle hésita entre prolonger ce moment et la nécessité de reprendre son souffle. Le deuxième remporta la partie.
Ils échangèrent ensuite un sourire avant que Danny prenne enfin possession de sa taille et ne la plaque tout contre lui. Elle sentait maintenant sa main sous son sweat-shirt court à capuche bleu ciel. Ses doigts experts glissaient lentement sur sa peau d’une extrême douceur. Il lui caressait sensuellement le bas des reins tout en venant titiller ses lèvres, du bout de sa langue. Il vint caresser tendrement sa joue du bout des doigts puis traça le contour de ses lèvres pendant qu’elle jouait avec ses cheveux, en pétard et encore tout humides.
Puis il la fit basculer d’un coup en arrière afin de se mettre à califourchon sur elle. Il lui baissa son jogging et avant de le jeter à l’autre bout de la pièce, il put lire l’inscription rouge placé au niveau de son postérieur. « hum … Foxy ? » « oui » Ils échangèrent un sourire puis se dévorèrent du regard quand Danny se mit à la goûter, entièrement, passant ainsi sa langue sur chacune des parties les plus sensibles de son corps. Il la sentait brûlante de désir. Quand sa langue experte vint titiller son mamelon, pendant que ses doigts se faufilèrent entre ses cuisses, il la vit se cambrer et se mordre les lèvres pour ne pas crier son nom, ne comptant plus les nombreux mouvements qu’effectuait son bassin. Ce fut ensuite à son tour de défaillir sous le poids de ses caresses. Il retint son souffle quand elle se mit à jouer avec les boutons de sa chemise blanche, les enlevant lentement, un par un, comme pour faire durer le plaisir. Ses doigts de fée se frayèrent un chemin vers le bas de son jean, s’attardant longuement sur l’objet de son désir, et provoquant un gémissement râpeux de la part du jeune agent.
Allongés tous les deux sur ce divan, il pouvait maintenant sentir la douceur de sa poitrine contre lui, la chaleur de son corps contre le sien. Elle le voulait en elle et l'incitait maintenant à venir. Mais il se laissa désirer, faisant durer l’attente comme un jeu. Prenant bien au contraire le temps d’explorer à nouveau chaque partie, la moindre parcelle de son corps. Elle frissonnait toujours quand il réussissait à trouver un autre point sensible chez elle. Sa respiration s’accéléra lorsqu’elle sentit à nouveau sa main passer au niveau de son bas ventre. Mais ce n’était plus seulement ses doigts qu’elle voulait à présent.
Son regard soutint le sien pendant qu'il se délectait de la jouissance qu’il lui procurait. Ses jambes étaient comme nouées aux siennes. Il bougea d’abord doucement. Ses mains se perdaient dans sa longue chevelure soyeuse et la respiration de plus en plus rapide de la jeune femme lui donnait envie de prolonger cette nuit à l’infini. Les mouvements réguliers mais puissants du jeune agent lui arrachèrent de petits cris. Le rythme jusqu’alors plutôt lent de leurs va- et-vient augmenta lorsqu’il mit à se mouvoir de plus en plus profond en elle. Leurs regards restèrent fixes tout du long, pendant qu'il se déplaçait à l'intérieur d’elle. Il apprécia le gémissement qu'elle poussa pendant qu'il venait encore et toujours en elle. Quelques mouvements plus tard, il vit ses cuisses agripper le contour de ses hanches avant qu’elle ne laisse échapper un petit cri. Il aimait la sentir vibrer en lui et finir par trembler comme une feuille.
Il étouffa un grognement sourd dans son cou, « Jet », prononçant son surnom d’une voix rauque, au moment où il sentit ses ongles s’enfoncer dans son dos sachant que lui aussi ne pourrait bientôt plus se retenir. Ce ne fut qu’après de puissants coups de reins, qu’ils exultèrent tour à tour. Leurs deux fronts se reposant l’un sur l’autre, attendant patiemment que leur souffle ralentisse et que les battements de leurs cœurs diminuent.
Danny déposa ensuite un tendre baiser sur la tempe de Candice puis se colla tout contre elle et l’entoura de ses bras, avant que le sommeil ne les emporte tour à tour.

alors, là je suis OBLIGEE de laisser un com'...

des fois c'est Danny le chaud bouillant, le roi du menu maxi best of, le pro du pro du 7e ciel et ok la température devient brûlante sur le fofo...

des fois c'est du Danny tout mignon, adorable, qui sort les fleurs, le dîner aux chandelles et la balade au clair de lune...

des fois c'est le Danny déprimant qui perd l'être aimé et pleure ou craque sur la bouteille...

MAIS LAAAA
LA Y A TOUT CE QUI FAIT DANNY

- entre, tu es trempé …

Elle lui retira son long manteau noir et alla lui chercher une serviette. Il se séchait maintenant les cheveux, assis sur son divan. Toujours sans avoir prononcer le moindre mot.

[...]Il la retint par le bras. Et son regard fit le reste. Il s’en fichait royalement de sa foutu tisane, il avait envie de parler. De lui parler. Elle venait de le lire dans ses yeux. [....]Sa voix était tremblante. [...]- C’est pourtant mon boulot ! Je suis payé pour ça, merde ! C’est ce que je suis censé faire ! Je devais retrouver ce gamin au lieu d’annoncer à ses parents qu’il était dans le coma, en plus à cause de moi !

[...]Sa voix se brisa, sous le coup de l’émotion. Il se passa une main sur le visage et sécha les larmes au coin de ses yeux. Il essayait tant bien que mal de se contenir mais il ne cessait de trembler.

- tu n’es pas ce genre d’homme, Danny. Tu es quelqu’un de bien.

Ce fut la phrase de trop. Celle qui déclencha tout. Les yeux déjà mouillés, cette fois, il fondit en larmes pour de bon. Il se pencha ensuite en avant afin que sa tête trouve la base du cou de la jeune femme en guise de réconfort. Il ne retint pas ses pleurs, pendant qu’elle le serrait fort contre elle, tout en le berçant.

Il est humain et se laisse enfin déborder par ses émotions le petit chou... et pis c'est ZEMOUVANT!!


La température monte mais ça reste toujours aussi beau et franchement je suis trop sniiiiiiiiiiiiif!!!

Ces baisers doux, tendres et délicats. Il ne les comptait plus. Il venait tout juste de fermer les yeux, préférant savourer l’instant. C’est à ce moment précis qu’il sentit les lèvres de l’avocate se rapprocher de plus en plus des siennes, les frôler chaque fois un peu plus, jusqu’à ce qu’elles se rejoignent pour de bon. Pour un baiser. Un seul. A la fois tendre et doux mais bien court. Trop même. Ils se regardèrent un long moment dans le blanc des yeux, comme sonnés par ce qui venait de leur arriver. Mais à peine, quelques secondes plus tard, Danny se pencha pour retrouver les lèvres de Candice, une seconde fois, tout aussi furtivement. Ce baiser -là fut plus … réfléchi. Puis ce fut encore un regard échangé. Suivi par le 3ème baiser, le plus … passionné. Celui qui vit leurs langues s’entremêler, avec plus d’ardeur.
Il n’y eut aucun mot d’échangé ensuite, juste des regards qui voulaient dire tellement plus.

et puis CHAAAAAAALEUUUUUUUUUUR:

Ils échangèrent ensuite un sourire avant que Danny prenne enfin possession de sa taille et ne la plaque tout contre lui. Elle sentait maintenant sa main sous son sweat-shirt court à capuche bleu ciel. Ses doigts experts glissaient lentement sur sa peau d’une extrême douceur. Il lui caressait sensuellement le bas des reins tout en venant titiller ses lèvres, du bout de sa langue. Il vint caresser tendrement sa joue du bout des doigts puis traça le contour de ses lèvres pendant qu’elle jouait avec ses cheveux, en pétard et encore tout humides.
Puis il la fit basculer d’un coup en arrière afin de se mettre à califourchon sur elle. Il lui baissa son jogging et avant de le jeter à l’autre bout de la pièce, il put lire l’inscription rouge placé au niveau de son postérieur. « hum … Foxy ? » « oui » Ils échangèrent un sourire puis se dévorèrent du regard quand Danny se mit à la goûter, entièrement, passant ainsi sa langue sur chacune des parties les plus sensibles de son corps. Il la sentait brûlante de désir.

ahhhhh c'est beauuuuuuuu!!! c est pas du tout comme la fois où j'avais été choquée quand je sais plus qui avait fait dire à Danny "t'es bonne!" , nan parce qu'être habile de ses mains (et du reste ) c est génial, mais euh, communiquer avec le reste c'est bien aussi!!!

ILS S'AIMENT ET C EST TELLEMENT BIEN RETRANSMIS...

et puis bon un Danny aux cheveux mouillés rien que ça et je fantasme totalement!!!!

Et ben....la journée commence plutôt bien...avant d'aller bosser voilà les images que tu mets en tête !
Ralala j'en suis toute chose de ce Danny tristouille et hot de chez hot !
Y a pas à dire, i'm craquing of everywhere !
Je peux rien citer sauf ça allez :

Il étouffa un grognement sourd dans son cou, « Jet », prononçant son surnom d’une voix rauque,

Rrrrrrrrrrrr !!!
Et pis le coup des cheveux mouillés aussi !

En tout cas, il leur aura fallut le temps mais ça y'est !
Reste à savoir si elle va pas se défiler la miss maintenant !

La suite !!!!

je comprends qu'elle n'est pas résistée devant un Danny tout triste

Mais moi aussi je reste ceptique sur le comportement de la dame

Ca s'est passé un peu vite et s'était prévu pour ce soir là

Mais c'était...Rrrrrrrrrrrrrrrrr, à souhait;

Moi tout pareil (oui je sais je suis flem ce soir)


la suite ??

merci beaucoup les filles c'est vraiment très gentil à vous


If I could take you away
Pretend I was queen
What would you say
Would you think I'm unreal
'Cause everybody's got their way I should feel

Everybody's talking how I can't can’t be your love
But I want want want to be your love
Want to be your love, for real
Want to be your everything, everything

Deux jours. Deux jours qu’elle était restée sans nouvelles et qu’il n’avait plus donné signe de vie. Mais heureusement, Colleen était là et Martin l’avait rassurée sur l’état de son ami. Danny allait bien.
Depuis ce moment, elle ne comptait plus les fois où elle avait tenté de le joindre, pour raccrocher aussitôt, n’attendant même pas la sonnerie. Et puis, elle s’était fait une raison. C’était Danny Taylor, après tout. Elle le connaissait assez bien pour savoir qu’elle devait lui laisser du temps, être patiente. Attendre. Encore et encore. Jusqu’à ce qu’il daigne revenir, qu’il soit enfin prêt. Mais la cérémonie d’adieux à Seth commençait dans un quart d’heure et elle voulait partager ce moment difficile avec lui. Être là pour lui.

Everything's falling, and I am included in that

Son cœur battait la chamade, le doute venant définitivement s’emparer d’elle. Et s’il refusait tout bonnement de l’accompagner ? Et s’il préférait rester seul ? Elle ne le saurait jamais en restant plantée sur le pas de sa porte, alors elle prit une profonde respiration et toqua.

- ouais ? C’est pour quoi ?

Elle resta bouche bée quelques secondes.

Oh, how I try to be just okay

Mais qu’est-ce qu’elle espérait franchement ? Qu’il lui avait juré fidélité et amour après une seule nuit ? Quelle idiote ! Ce type était quand même du genre à se taper une fille dans les toilettes alors qu’il l’accompagnait à un mariage. Et puis, elle le connaissait. Elle savait très bien que c’était un homme à femmes. Alors pourquoi cette surprise ? C’est le contraire qui aurait été étonnant. En somme, de ne pas se retrouver devant cette rousse en tenue légère, pour lui ouvrir !
Mais la colère qu’elle ressentit à ce moment-là ne mentait pas. Elle ne s’attendait pas à ça. Pas du tout. Mais au moins, le message était clair maintenant : il avait trouvé « quelqu’un d’autre » pour se consoler. Elle aurait dû s’en douter pourtant, quand elle ne l’avait plus senti auprès d’elle, cette nuit-là. Elle s’était retrouvée, seule, sur son divan, avec un vulgaire plaid pour lui tenir compagnie. Sans aucune explication, même pas un mot qui aurait pu la rassurer. Rien. Absolument rien.

Yeah, but all I ever really wanted was a little piece of you …

La jeune femme lui envoya sa fumée de cigarette au visage et Candice se mit à tousser.

- t’es qui ?
- je viens voir Danny.

L’avocate entra sans se poser de questions.

- Hé, ne te gêne pas, surtout !
- il est là ?
- non, il a filé, y a à peine …

Peu importe quand, elle n’écoutait plus. Quelque chose de plus inquiétant avait retenu son attention, sur la table basse. Quelque chose qui lui fit froid dans le dos. Elle sortit en trombe de l’appartement sans prononcer un mot de plus.

Everything will be alright
if you just stay the night
Please, sir, don't you walk away, don't you walk away, don't you walk away …

Elle pénétra dans l’église et passa à quelques mètres de lui. Il était installé sur un des bancs du fond. Il la toisait du regard, elle le sentait. Elle alla bénir le cercueil puis quand elle fit demi-tour, leurs yeux se croisèrent enfin. Il y avait de la tristesse dans ce regard, la même que l’autre soir. Danny détourna finalement la tête et Candice s’assit sagement à ses côtés sans dire un mot.
Seulement quelques centimètres les séparaient, et en même temps, tellement plus.
La faute à cette stupide nuit ! Elle n’aurait pas dû. Vraiment pas. Il était venu pour se confier et tout ce qu’elle avait trouvé à faire, c’était se jeter sur lui, au lieu de l’écouter. Et en même temps, prétendre regretter ce moment, serait un mensonge. Elle l’avait toujours su. Elle l’avait toujours senti au fond d'elle. Danny n’était pas seulement un ami, il était plus. Beaucoup plus. Et maintenant, que restait-il de ce lien entre eux ? Elle n’en savait rien. Est-ce qu’elle pouvait recoller les morceaux ? Peut-être que non, mais elle se devait tout de même d’essayer. Il avait besoin d’aide et elle n’allait pas le laisser tomber. Pas maintenant. Surtout pas.
Il n’y eut aucun regard d’échangé entre eux durant la première demi-heure, elle cherchait le sien mais Danny resta stoïque, comme inanimé.
La cérémonie fut très éprouvante, les parents étaient complètement effondrés et c’est la grande sœur de Seth qui prit la parole pour un vibrant hommage «tu n'es pas parti, tu te promènes en nous. Il y aura toujours quelque chose de toi, qui restera en chacun de nous ».Danny écouta attentivement son discours, chaque mot trouvant écho en lui. Il baissa ensuite la tête et se passa une main sur le visage, sûrement pour sécher les larmes naissantes au coin de ses yeux. Et presque inconsciemment, son autre main trouva celle de Candice et ne la lâcha plus jusqu’à ce qu’ils se lèvent à nouveau.
L’agent du FBI s’en alla immédiatement rejoindre la famille à l’extérieur de l’église pendant que le cercueil retrouvait le corbillard. Candice avait assisté de loin à la scène et si elle avait su son intention, elle aurait tenté de le dissuader. Ça lui aurait évité une humiliation en public.
Danny venait sûrement présenter ses excuses ainsi que ses sincères condoléances à la famille. Mais la maman de Seth avait réagi au quart de tour, en envoyant une gifle magistrale à l’agent du FBI, avant de le prier dans un cri de retrouver au plus vite, « le salaud qui avait mis cette arme de malheur dans les mains de son fils ! ». Épaulée par son mari, elle rejoignit finalement sa voiture vers le cimetière.

- Danny ...

Candice posa une main réconfortante sur l’épaule de son ami qui se retourna en sursaut. Elle put sentir toute la noirceur de son regard sur elle, malgré ses lunettes de soleil.

- ça va ?

Son ton se voulait doux et rassurant.

- à ton avis ? Répondit-il, sèchement.
- question bête. Excuse-moi.
- Pourquoi tu es venue ?
- pour toi, dit-elle, dans un murmure.
- qu’est-ce que tu veux ? Demanda-t-il, le regard fuyant.
- il fallait que je te vois. Je dois absolument te parler de quelque chose.
- et tu crois vraiment que c’est le bon endroit ?

Son ton se voulait froid, détaché. Il la fusillait maintenant du regard.

- je sais, mais c’est important, insista-t-elle.
- je suis sûr que ça peut attendre, dit-il, en s’éloignant peu à peu.
- je l’ai vue.

Il revint sur ses pas.

- qui ça ?

« A ton avis ? Cette greluche avec qui tu couches ! ». Elle l’avait pensé si fort, mais s’était retenue. Elle n’était pas là pour lui faire une crise de jalousie. Il n’avait pas besoin de ça.

- sur ta table basse, répondit-elle, calmement.

Il fronça immédiatement les sourcils.

- tu fouilles chez moi ou quoi ?

Il venait d'hausser le ton.

- non, bien sûr que non. Écoute Danny, je n’ai pas envie qu’on se dispute. Viens, allons plutôt prendre un café, ça te fera du bien.
- merci mais on m’attend au bureau. Et toi, aussi d’ailleurs, tu ferais mieux de rentrer. Je parie que t’as une tonne de paperasse en retard, railla-t-il, avant de quitter les lieux définitivement.

I think about how it might have been
We'd spend our days travelin'
It's not that I don't understand you
It's not that I don't want to be with you
But you only wanted me
The way you wanted me

So, I will head out alone and hope for the best
And we can hang our heads down as we skip the goodbyes
And you can tell the world what you want them to hear
I've got nothing left to lose, my dear
So, I'm up for the little white lies
But you and I know the reason why
I'm gone, and you're still there

Mais qu'est ce qu'elle a vu et ette rousse c'est qui?
en plus elle fume dans l'appart à Mon Danny chou

Me dis pas qu'il pend de la drogue pour oublier !!

Candice il faut qu'elle le balance à JAck pour une bonne remontée de bretelle !!!

tu t'arrêtes toujours quand il faut pas !!!!

je veux la suite !!!

Apres plus d'une semaine de lecture a rattrapper que vois-je?!!

Un Danny completement deprim'!!

Mais c'est vrai qu'il est carrement Rrrrrrhhh quand il est torturé comme ça, merci pour cette image

Et j'ai bien peur que ce qu'elle a vu sur la table c'etait une bouteille de whisky ou quelque chose comme ça c'est pas ça hein dit?!! t'as pas fait ça


Suis accroc a ta fic la!! il faut plein de suites, pleins