Agent Rodney (complète)

Ro la la, que de suite... cultes Jolies flash-back qui nous montrent que notre entêtement peut aller très loin La suite-euh

Merci pour vos comm'
Je n'ai pas pu avancer ces jours, mais je vous mets quand même le petit bout qu'il me reste
**************

Danny fumait littéralement. Martin sourit en s’imaginant de la fumée sortir des oreilles et des narines de son ami. Il l’avait rarement vu aussi furieux.

-Et ça te fait sourire ?! Tu me racontes ça et… Tu… Tu n’as jamais rien dit à personne et maintenant tu souris ?!

Martin effaça le léger sourire de son visage, n’appréciant pas le ton accusateur de son ami:

-Désolé, Danny. Je t’ai dit que tout cela n’avait plus d’importance. C’est le passé.

-Pas d’importance ?! Ce gars t’a frappé, t’as menacé avec son arme et tu t’es contenté de le laisser partir, comme ça ! Tu as pensé qu’il pouvait faire ça avec d’autres personnes, qu’il l’avait probablement déjà fait à d’autres ? Tu avais les moyens de l’arrêter, tu

-Comment ? Comment est-ce que j’aurais pu l’arrêter ? J’avais 18 ans, Danny. Cet homme était un agent de la DEA rompu aux techniques d’interrogatoire et totalement à l’aise avec le mensonge. Je ne pense pas que quelqu’un m’aurait cru.

-Tu n’avais qu’à en parler à ton père. Le

Le rire ironique qui sortit des lèvres d’un Martin furieux arrêta net Danny, qui remarqua la stupidité de sa remarque.

-Non, tu ne pouvais pas en parler à ton père. Tu faisais déjà tout à l’époque pour t’en éloigner, pour éviter que l’on croit que tu lui devais tout. Je… Désolé, Martin, pour ce que je viens de te dire. Ton histoire m’a mis en colère, et c’est toi qui a tout pris. Désolé.

-C’est bon, Danny, je comprends, répondit calmement Martin. J’ai mis presque 20 ans à digérer tout ça, et connaissant ton caractère, tu ne pouvais que réagir ainsi.

Danny baissa les yeux, honteux de sa réaction envers Martin, mais ressentant toujours une aussi grande colère. Mais cette fois, il la dirigea contre la bonne personne, contre l’agent Rodney.

-Qu’est-ce que tu vas faire, maintenant ?

-Je vais retourner faire mon boulot. Quand Rodney sortira du bureau de Jack, je ne lui ferai rien, ne lui dirai rien. Mais s’il vient me titiller, je ne me laisserai pas faire.

Danny hocha la tête. Il savait que Martin était un homme bon, prêt à tout pardonner quand il s’agissait de lui. C’était dans sa nature, et s’il disait que cette affaire était finie pour lui, c’est que c’était vrai. Danny le respectait pour cela. Mais lui avait envie de faire plus. Pour son meilleur ami qui, à 18 ans, avait vécu une expérience traumatisante.

-Bon, je pense que tu as bien réfléchi à tout ça. Mais si tu as besoin de moi, je suis là, tu le sais.

-Merci, Danny. Je regrette simplement de ne pas t’avoir eu comme ami à l’époque. Peut-être aurais-je alors agi différemment.

-Mmm, je n’étais pas très fréquentable, tu sais, à l’époque. C’est peut-être mieux ainsi.

Danny, ému par les paroles de son ami, sourit, puis se déplaça pour ouvrir la porte.

-Je crois qu’on peut sortir de là, maintenant, avant que les gens ne se posent des questions.

Martin rougit légèrement en voyant les quelques personnes qui attendaient de pouvoir entrer aux toilettes. Danny avait empêché les gens d’y entrer en restant appuyé contre la porte durant toute leur conversation. Martin sentit les regards un peu appuyés des gens sur eux, et dut retenir un fou rire. Décidément, il se retrouverait toujours dans des situations légèrement scabreuses avec ce Danny Taylor !

Géniale cette suite mannyesque! Avec ce passage qui m'a arraché un sourire

-Je crois qu’on peut sortir de là, maintenant, avant que les gens ne se posent des questions.

Martin rougit légèrement en voyant les quelques personnes qui attendaient de pouvoir entrer aux toilettes. Danny avait empêché les gens d’y entrer en restant appuyé contre la porte durant toute leur conversation. Martin sentit les regards un peu appuyés des gens sur eux, et dut retenir un fou rire. Décidément, il se retrouverait toujours dans des situations légèrement scabreuses avec ce Danny Taylor !

Vivement la suite!

vivent la suite

Nan rassurez-vous notre Manny adoré ne fais pas de cochonneries dans les W.C La suite-euh (je veux voir le Manny en action ...)

Génial, vivement une suite

J'adore Danny qui s'énerve de savoir ce qu'à subit Martin, sont trop choux tous les deux...

Et la sortie des toilettes, j'aurai aimé être là...

wahou j'ai adoré ce dialogue entre mon manny préféré !!! et danny qui s'enerve e vir comment le pauvre maty s'est fait ennuyé !!! c'était trop top !! je te l'ai déjà dit mais j'adore la mnaière dont tu fais jouer nos persos préférés !!
et le top du top la sortie des toilettes !! je te jure que je me suis bien marrée à les imaginer sortir de là sous les yeux effarés des personnes attendant leur tour
cet agent rodney je sens qu'il va devoir faier attention car mon danny ne laissera certainement pas marin se laisser de nouveau emm....par ce gros naze
mouchette c'est génial et toi qui disais que tu n'étais plus inspirée

ben alors elle est où la suite

nathaloche a écrit:ben alors elle est où la suite

Je rame un peu là-dessus A force d'une phrase ou deux par fois, je n'avance pas beaucoup. Mais je me dis que je suis presque obligée de mettre la suite (et fin) avant mardi, donc pas trop longtemps à attendre encore normalement

ohh nonnn pas déjà la fin

La fin...? nan ce n'est pas possible

nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn pas la fin mais oui pour la suite

Merci à tous pour vos commentaires!
Voici enfin la suite, je ne suis pas trop sûre de ce que ça vaut
*******************************

Danny regarda Martin reprendre tranquillement son travail. Il pouvait lire dans sa posture, son visage, qu’il était maintenant parfaitement détendu, en paix avec son passé, qu’il avait fait le tour de son histoire. Mais il savait aussi que si Rodney se permettait de revenir le narguer, il tomberait alors sur un os. Danny ressentit à nouveau cette colère froide envers l’agent de la DEA. Il espérait bien que ce dernier vienne s’en prendre plein la figure face à Martin, mais si ce n’était pas le cas… Danny eut un sourire mauvais. Il se mit à un endroit stratégique, ayant pleine vision sur les bureaux, sans qu’il puisse être aperçu depuis cet endroit ; et surtout, il avait accès aux escaliers menant au parking.

Un rapide téléphone à un ancien collègue, actuellement en poste à la DEA et qui lui devait un service, lui confirma que des soupçons de maltraitance envers des témoins pesaient sur Rodney. Certains de ses collègues le soupçonnaient de maltraiter des gens qui semblaient pourtant innocents par rapport à leur enquête, simplement parce qu’ils ne lui plaisaient pas, ou parce que leur innocence ne jouait pas dans ses schémas théoriques. Bref, il confondait réalité et désir. Mais comme personne ne parlait jamais, il n’avait jamais été embêté à ce sujet.

Après un moment d’attente, il vit enfin Rodney sortir du bureau de Jack, accompagné par ce dernier. L’agent de la DEA jeta un coup d’œil vers Martin, et paru déçu de ne pas pouvoir aller vers lui, mais la présence de Jack empêchait cette éventualité. Martin leva la tête calmement quand il vit Rodney sortir, affichant une maîtrise de soi totale.

Danny s’assura que Jack laissait bien son visiteur aux ascenseurs, puis se précipita dans les escaliers. Serrant les mâchoires de détermination, il se prépara mentalement à la suite.




L’agent Rodney poussa un soupir de soulagement mêlé de dédain. Il détestait ces agents du FBI, il détestait avoir affaire à eux. En plus, il s’était déplacé pour rien, son suspect ne correspondant à aucun dossier de l’équipe de Malone. Sa frustration était d’autant plus grande qu’il n’avait pas pu aller une nouvelle fois « discuter » avec ce « pauvre » Martin. Il avait adoré voir la petite tête se liquéfier devant lui, et il aurait bien recommencé à sa sortie du bureau de Malone. Il serait même allé plus loin, faisant remonter en mémoire des moments si exquis pour lui, mais sûrement traumatisants pour Martin Fitzgerald. Mais maintenant qu’il y repensait… Martin avait eu un air bizarre à sa sortie. Comme s’il avait… changé en à peine une heure. Peut-être le duel n’aurait-il pas été si facile ? Rodney secoua la tête en ricanant : ce n’était qu’un « fils de », sans envergure. Il l’aurait écrasé sans problème. Franchement, il se demandait ce qu’il faisait dans cette équipe-là. Il aurait cru que le grand Jack Malone avait plus de couilles pour refuser de se coltiner le fils Fitzgerald.

Rodney sortit les clés de sa poche et avança la main vers la serrure de sa voiture. Ses clés tombèrent par terre, son ventre s’écrasa contre la portière alors que sa tête frappait violemment le toit de la voiture. Une main maintenait fermement sa tête contre la carrosserie, alors qu’une deuxième lui tordait violemment le bras dans le dos, si haut que ses muscles protestaient.

-Putain… gémit-il. Agression sur… agent de… DEA. Risquez… gros…

-Moi j’appelle ça remise à l’ordre d’un agent pourri. Ça fait quoi, de se retrouver de l’autre côté ?

-Vous êtes dans un… immeuble fédéral. Vous… irez nulle part.

-Je sais très bien où je suis, connard. Les gars comme toi, j’ai envie de leur apprendre deux-trois choses.

-Qu’est-ce que… qu’est-ce que vous voulez ?

-Combien de fric tu t’es fait en doublant les dealers et tes collègues, hein ? Ça doit rapporter gros, ce genre de petites combines.

-Je… Je n’ai jamais

Un cri de douleur arrêta net Rodney dans sa phrase : son agresseur lui avait remonté le bras dans le dos de quelques millimètres.

-Arrête, Rodney, pas de ça avec moi. Je te propose un petit marché, et toi tu essaies de me prendre pour un con. Ce n’est pas correct.

-Qu’est-ce que vous voulez ?

Malgré sa force et son entraînement, Rodney avait du mal à cacher la pointe de douleur qui cassait un peu sa voix.

-Un marché, je t’ai dit. Tu me files une partie de tes bénéfices, et je ne dis rien sur tes combines.

-Vous… Ecoutez, je n’ai jamais mmmpphh !

Le bras de l’agent de la DEA avait été légèrement tordu, mais c’était suffisant pour envoyer comme une décharge électrique dans les muscles de l’épaule.

-Arrêtez ! Je… arrêtez…

-Et pourquoi j’arrêterais, Rodney ? Jusqu’où est-ce que tu vas, toi, quand tu interroges des gens sans défense ? Je pourrais sortir mon arme, qu’est-ce que tu en penses ?

-Vous… vous ne faites pas ça pour… de l’argent, n’est-ce pas ?

-Bien vu, mon gros. C’est juste que je n’aime pas les pourris dans ton genre. Je te l’ai dit: j’ai juste une leçon à t’apprendre.

-Je n’ai jamais reçu de pots-de-vin, jamais pris de l’argent ou de la drogue, je suis clean.

Il y avait une pointe de désespoir dans la voix de Rodney, mais aussi d’incrédulité, comme si c’était inimaginable qu’on puisse penser cela de lui.

-Bien sûr, tu es le parfait agent ! Demande une médaille, pendant que tu y es ! Et combien de personnes as-tu traumatisé avec tes méthodes ? Combien de gosses qui n’avaient absolument rien fait se sont retrouvés devant la gueule de ton flingue ?

-Ah ! je comprends… Martin a parlé.

-Agent spécial Fitzgerald.

Danny relâcha sa prise sur l’agent de la DEA et le laissa se retourner. Rodney se frotta le bras, reprenant rapidement contenance et arrogance.

-Quand un gars envoie son petit copain faire le boulot à sa place, il ne mérite pas le terme d’agent. Il a fait dans son froc et puis il t’envoie au casse-pipe ? Quelle grande classe de sa part.

Danny sourit, ne se laissant pas aveugler par la méchanceté de l’homme. Il n’en avait pas encore fini avec lui, et tout se passait comme il le souhaitait.

-Tu vois, Rodney, il existe des gens sur terre qui sont exempts de toute méchanceté, incapables de faire du mal délibérément, qui pardonnent facilement. L’agent spécial Fitzgerald est de ceux-là. Tu serais allé le titiller, il ne t’aurait plus laissé faire, mais se venger, ça non, ça ne lui viendrait pas à l’esprit. Nous deux, Rodney, nous ne sommes pas comme ça. Il y a des choses que l’on ne supporte pas, et il faut donc faire quelque chose pour que cela ne nous bouffe pas de l’intérieur. Tu es d’accord, n’est-ce pas ?

Rodney perdit un peu de son assurance. Il n’aimait pas ce que lui disait le jeune agent du FBI, et surtout, il n’aimait pas la manière dont il le disait, sa posture. Il sentait que ce jeune homme pouvait être très dangereux, même pour lui, un agent roublard de la DEA. Il préféra ne pas répondre à sa question. Mais Danny se rapprocha, collant presque leurs deux visages :

-Tu es d’accord avec moi, n’est-ce pas Rodney ?

La proximité du jeune agent, son assurance et son petit sourire ironique fit perdre le bon sens à Rodney. Peut-être était-ce une certaine peur, ou peut-être de la colère, il ne savait pas, mais il sentit ses nerfs prendre finalement le pas sur la prudence.

-Vas-te faire foutre ! Martin n’est qu’une m

Un violent coup de poing dans le ventre le fit se plier en deux.

-Ne t’avise pas à dénigrer le meilleur agent que je connaisse et le meilleur ami dont on puisse rêver.

Rodney soufflait difficilement, les mains crispées sur son ventre. Il releva légèrement la tête pour voir le visage de son contradicteur, et comprit qu’il était mortellement sérieux. Rodney ferma les yeux et hocha lentement la tête, pour signifier sa soumission.

Danny s’éloigna de quelques pas, laissant Rodney se saisir de ses clés et se mettre au volant de sa voiture.

-N’oublie jamais, Rodney. On sera en tout cas deux à surveiller ton comportement…

Rodney démarra et partit sans demander son reste. Danny resta un moment à regarder dans la direction où la voiture avait disparu, se frottant le poing qu’il avait utilisé pour frapper l’agent de la DEA. Il ne savait pas s’il avait bien agi, il ne savait pas si Martin accepterait qu’il se soit mêlé de ses affaires, s’il l’apprenait… Mais Danny n’aurait pas pu laisser partir Rodney sans lui rendre la monnaie de la pièce. Il avait dans sa tête l’image de ce jeune homme de 18 ans qui avait dû affronter seul cet épisode et ses conséquences, et il n’aimait pas ça. Il était devenu ultra-protecteur envers Martin, il avait agi en grand frère, comme il aurait aimé, lui, que son grand frère agisse pour lui. Martin pourrait-il comprendre cela ? Danny soupira et se retourna. Il se figea : appuyé au mur, près de la porte, se tenait Martin, les bras croisés.

-Martin ?! Je… Qu’est-ce que… tu as vu ?

La voix de Danny comportait toute son inquiétude.

-J’en ai vu assez.

-Je…

Martin s’avança, le visage fermé. Danny eut un instant d’hésitation, presque prêt à se sauver plutôt que d’entendre les reproches sûrement justifiés de son collègue… et ami. Mais une lueur dans les yeux bleus de Martin le retint. Ce dernier s’arrêta à un pas de Danny, et lui tendit la main. La main de Danny vola sans hésiter, et les deux hommes partagèrent une poignée de main à la sincérité profonde. Danny crut voir des larmes dans les yeux de son ami, mais l’instant d’après il était pris dans une accolade fraternelle. Une goutte salée glissa sur sa joue quand il entendit Martin murmurer :

-Merci, brother.

FIN

c tos beau mais c'est déja la fin

J'adore cette suite plein de Manny, de Manny et de Manny
Danny lui a foutu une bonne raclée à l'autre quand Martin est venu après je me suis dit OMFG (Féfé ) qu'est-ce qui va faire ?? Et bah non une bonne accolade mmh Manny ...En tout cas j'ai adoré cette fic/kiffe (jeu de mots, pas saisi, ok me cache )

c'est super beau, triste que ce soit la fin mais c'est super

Oh...déjà la fin
Cela dit c'était très bien écrit, avec un final Manny géant Danny qui lui règle son compte à ce de Rodney, et puis finalement tout rentre dans l'ordre!

J'ai adoré!

yyyyeesssssssssssss alors là c'était trop rrrr autant entre danny qui règle son compte à ce cher Rodney et cette accolade qui m'a laissé toute emousstillée !!!
comme toujours tu as nous faire d u manny à la perfection avec cette realtion entre martin et danny que tu sais si bien retranscrire j'adore toujours autant quand tu écris alors surtout ne cesses pas d'avoir de l'inspiration et abreuves nous de tout plein de Manny

mouchette alllezzzz ma mouchette
tu vois rien que quand j'ai vu "fin" ca m'a trop fait mal à mon ti coeur alors je sais que tu ne voudrais pas me laisser dans cet état hein ???

Bon alors, les points positifs...
Cette relation Danny/Martin que tu écris si bien...
La réaction des deux amis ne m'étonne pas.. Danny qui serait prêt à en découdre avec un ennemi de Martin, même si ça devait mettre sa carrière en danger... Et Martin qui n'en voudrait pas à Danny de prendre sa défense...
Encore une fic de toi que j'ai littéralement dévorée...


Point négatif : c'est déjà fini, et c'était trop court à mon goût ...


Et sinon, tu as d'autres idées en tête ???
ça me fait penser qu'il faut que je relise tes fics WAT/Magnificent Seven .. maintenant que je visualise nos chers bonhommes...

Merci beaucoup pour tous vos comm' les filles Je suis vraiment contente de savoir que cette courte fic vous a plu.
D'ailleurs, une petite question pour vous: dois-je la mettre dans les shots (ce qui était prévu au départ) ou dans les fics finies?

Peut-être que l'inspiration va revenir me retrouver une nouvelle fois, qui sait? Je ne pensais pas pouvoir en réécrire, et finalement j'ai posté cette histoire, donc...

ça me fait penser qu'il faut que je relise tes fics WAT/Magnificent Seven .. maintenant que je visualise nos chers bonhommes...

Ah, ben oui, maintenant je pourrai avoir l'avis de quelqu'un qui les visualise, ce serait pas mal Peut-être même que ça TE donnera des idées pour une fic?

je pense dans les short mais vivement la nouvelle fics

Mouchette a écrit:

ça me fait penser qu'il faut que je relise tes fics WAT/Magnificent Seven .. maintenant que je visualise nos chers bonhommes...

Ah, ben oui, maintenant je pourrai avoir l'avis de quelqu'un qui les visualise, ce serait pas mal Peut-être même que ça TE donnera des idées pour une fic?

Joker