ReGenesis
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Heather
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FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Discussion générale de séries :: Séries fantastiques et de SF
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ReGenesis
Hier soir j'ai regardé les deux premiers épisodes de ReGenesis.
J'ai passé dans l'ensemble une soirée prenante qui surtout est allée crescendo.
1.01-02
Le plus surprenant dans l'entame des épisodes, c'est de découvrir le personnage principal, David, errer dans une rue, à l'évidence désespéré, puis se faire renverser par une voiture. Et paf, on remonte six mois en arrière. On va donc découvrir ce qui a pu l'amener là. A priori, je ne suis pas une grande fan des retours en arrière, mais si les scénaristes concoctent un solide toutélié qui tiend la route, cela peut être intéressant. D'autant qu'évidemment, après une telle ouverture, le téléspectateur est ultra-tendu et sa curiosité aiguisée.
Je ne suis pas une grande fan a priori des séries qui nous font des cours de génétique et autres matières ultra-pointues, je dois avouer que dès que David rentrait dans une phase 'exposition d'une nouvelle théorie', j'ai décroché rapidement mais choisi de prendre tout ce qu'il pouvait bien affirmer pour argent comptant.
L'épidémie qui se répand, la recherche du patient zéro... Ce sont des thèmes déjà maintes fois abordés, l'ensemble est efficace. Au fond, mettre la main sur le patient zéro n'est pas le principal de l'épisode comme on pourrait l'imaginer a priori, car la série trouve une force et une dimension supplémentaire quand les scientifiques confrontent la mère et lui annoncent ce qu'ils ont découvert. Scène d'hystérie mais qui vous retourne autant que David et vous met un poids à l'estomac. D'autant qu'il y a ensuite à découvrir qui a pu concevoir un tel plan, au-delà des prouesses scientifiques, de combiner ces deux virus et envoyer le bébé et sa mère dans nos pays...
En parallèle de cet agent infectieux, il y a ce môme fils d'un scientifique persuadé d'être un clone. On sourit au début, mais son regard désespéré opère chez nous comme sur la fille de David. Je suppose que c'est un 'à suivre', le clonage humain... J'ai lu que la série traitait justement du fait que la science aurait ouvert la boîte de Pandorre.
Sinon, en parlant de sa fille, j'ai bien apprécié la mise en scène de la relation de David avec cette dernière qui débarque de chez sa mère. Et surtout, leurs discussions noctures, avec chacun... une bierre dans la main... Un père décidément atypique, pas franchement fait pour les responsabilités paternelles. J'ai toujours un faible pour ce type de relation parentale Quelques scènes assez drôles en résulteront.
Donc dans l'ensemble, l'intrigue est efficace à défaut d'être originale -mais on m'a dit qu'il y avait un toutélié qu'il fallait glaner tous les indices au fil des épisodes, donc, je vais attendre pour pouvoir clairement juger. D'après ce que j'ai entendu, tous les épisodes sont imbriqués les uns dans les autres, chaque détail à son importance. J'ai mis un peu de temps à clairement rentrer dans la série, mais ensuite l'heure et demie passe sans qu'on s'en rende compte.
On reste surtout centré sur le personnage de David durant ces épisodes. A voir donc pour le développement des autres personnages...
Rien à redire sur le cast sinon. Et l'actrice qui joue celle qui est en charge de l'administration et de la liaison avec les autorités est ravissante.
Un reproche peut-être : ces brefs retour en arrière, sorte de rembobinage que la série fait à plusieurs reprises, façon de suivre en parallèle deux personnages et ce qu'ils font en même temps. Je n'aime pas trop ce type de récit. Mais bon c'est un détail.
Bilan -> Je vais continuer ma découverte.
Présentation www.serieslive.com a écrit:ReGenesis est une série canadienne diffusée sur The Movie Nework. La première saison compte 13 épisodes.
Au début du premier épisode, on voit un homme (Peter Outerbridge), visiblement affaibli, marchant dans la rue en train de dire au téléphone qu'il a merdé et il finit par se faire renverser par une voiture. On fait alors un bond de 6 mois dans le passé. Les téléspectateurs auront donc avoir 13 épisodes pour découvrir ce qui est arrivé au docteur David Sandström. David Sandström est le chef du laboratoire de la Norbac (North American Biotechnology Advisory Commission), c’est un des meilleurs biologistes moléculaire au monde.
Il est entouré de son équipe : Carlos Serrano, Mayko Tran, Bob Melnikov, Hira Kahn et Jill Langston. Ils ont tous leur propre spécialité et ils excellent tous dans leur domaine. La Norbac, elle, est dirigée par Caroline Morrison, ex-agent de la CIA, qui est extérieure au monde de la science et qui est souvent en conflit avec David.
Ensemble, ils sont chargés de résoudre les diverses crises biologiques qui se déclanchent en Amérique du Nord, virus, mutations génétiques, attaques bio-terroristes,...
Mais il n'est pas seulement question de biologie puisque chaque protagoniste de la série a aussi une vie privée. Le série va ainsi s'intéresser à Lilith la fille de David, Gamelon la chienne de Bob ou encore un ex-petit ami de Carlos.
Le tout est subtilement mélangé tout en gardant un fil rouge tout au long de la saison qui permet de s'attacher au personnage principal, tout en créant une histoire prenante.
J'ai passé dans l'ensemble une soirée prenante qui surtout est allée crescendo.
1.01-02
Le plus surprenant dans l'entame des épisodes, c'est de découvrir le personnage principal, David, errer dans une rue, à l'évidence désespéré, puis se faire renverser par une voiture. Et paf, on remonte six mois en arrière. On va donc découvrir ce qui a pu l'amener là. A priori, je ne suis pas une grande fan des retours en arrière, mais si les scénaristes concoctent un solide toutélié qui tiend la route, cela peut être intéressant. D'autant qu'évidemment, après une telle ouverture, le téléspectateur est ultra-tendu et sa curiosité aiguisée.
Je ne suis pas une grande fan a priori des séries qui nous font des cours de génétique et autres matières ultra-pointues, je dois avouer que dès que David rentrait dans une phase 'exposition d'une nouvelle théorie', j'ai décroché rapidement mais choisi de prendre tout ce qu'il pouvait bien affirmer pour argent comptant.
L'épidémie qui se répand, la recherche du patient zéro... Ce sont des thèmes déjà maintes fois abordés, l'ensemble est efficace. Au fond, mettre la main sur le patient zéro n'est pas le principal de l'épisode comme on pourrait l'imaginer a priori, car la série trouve une force et une dimension supplémentaire quand les scientifiques confrontent la mère et lui annoncent ce qu'ils ont découvert. Scène d'hystérie mais qui vous retourne autant que David et vous met un poids à l'estomac. D'autant qu'il y a ensuite à découvrir qui a pu concevoir un tel plan, au-delà des prouesses scientifiques, de combiner ces deux virus et envoyer le bébé et sa mère dans nos pays...
En parallèle de cet agent infectieux, il y a ce môme fils d'un scientifique persuadé d'être un clone. On sourit au début, mais son regard désespéré opère chez nous comme sur la fille de David. Je suppose que c'est un 'à suivre', le clonage humain... J'ai lu que la série traitait justement du fait que la science aurait ouvert la boîte de Pandorre.
Sinon, en parlant de sa fille, j'ai bien apprécié la mise en scène de la relation de David avec cette dernière qui débarque de chez sa mère. Et surtout, leurs discussions noctures, avec chacun... une bierre dans la main... Un père décidément atypique, pas franchement fait pour les responsabilités paternelles. J'ai toujours un faible pour ce type de relation parentale Quelques scènes assez drôles en résulteront.
Donc dans l'ensemble, l'intrigue est efficace à défaut d'être originale -mais on m'a dit qu'il y avait un toutélié qu'il fallait glaner tous les indices au fil des épisodes, donc, je vais attendre pour pouvoir clairement juger. D'après ce que j'ai entendu, tous les épisodes sont imbriqués les uns dans les autres, chaque détail à son importance. J'ai mis un peu de temps à clairement rentrer dans la série, mais ensuite l'heure et demie passe sans qu'on s'en rende compte.
On reste surtout centré sur le personnage de David durant ces épisodes. A voir donc pour le développement des autres personnages...
Rien à redire sur le cast sinon. Et l'actrice qui joue celle qui est en charge de l'administration et de la liaison avec les autorités est ravissante.
Un reproche peut-être : ces brefs retour en arrière, sorte de rembobinage que la série fait à plusieurs reprises, façon de suivre en parallèle deux personnages et ce qu'ils font en même temps. Je n'aime pas trop ce type de récit. Mais bon c'est un détail.
Bilan -> Je vais continuer ma découverte.
Heather- Rang: Administrateur
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Age : 39
Date d'inscription : 08/09/2004
Re: ReGenesis
1.03
Un excellent épisode Si j'avais mis un peu de temps à rentrer dans le double épisode pilote, cette fois-ci, pas de temps mort. Immédiatement, l'épisode reprend là où le précédent s'arrêtait : le masque de protection de David est arraché... Le rythme de l'épisode est sans temps mort. Et surtout, on jongle avec différentes intrigues, différentes storylines : le clonage pour Mick, le clonage du Christ ( ), le virus de l'épisode précédent, ou encore la suspicion envers Hira. Aucune pause, on passe d'une à l'autre en suivant David, qui est le personnage sur lequel s'arrête vraiment l'épisode. Un personnage que j'aime décidément beaucoup. Certes son indépendance revendiquée et son côté impulsif ne sont pas particulièrement originaux, mais bien traité, sans tomber dans la caricature. Le personnage est attachant dans ses 'travers', réagissant souvent sur un coup de tête : sauvetage du bébé, réponse au journaliste sur le clonage du Christ, annonce qu'il s'occupera des tests...
Sa relation avec Lillith est toujours aussi bien traitée, mélange de maladresse et de réconfort, même si je pense que l'adolescente a un peu trop le réflexe 'alcool' pour son âge
J'ai beaucoup aimé la cadence de l'épisode, l'aisance avec laquelle on passe d'une intrigue à l'autre, dans une ambiance de surmenage certain. Certes, Caroline est le pendant logique au côté scientifique détaché des réalités sécuritaires de David. Mais tous les personnages apparaissent bien liés et complémentaires...
Le cliffhanger de l'épisode est encore plus frustrant que l'épisode précédent avec une fin très 'à la 24' et ce coup de feu dans la foule
Vite, vite, la suite
Un excellent épisode Si j'avais mis un peu de temps à rentrer dans le double épisode pilote, cette fois-ci, pas de temps mort. Immédiatement, l'épisode reprend là où le précédent s'arrêtait : le masque de protection de David est arraché... Le rythme de l'épisode est sans temps mort. Et surtout, on jongle avec différentes intrigues, différentes storylines : le clonage pour Mick, le clonage du Christ ( ), le virus de l'épisode précédent, ou encore la suspicion envers Hira. Aucune pause, on passe d'une à l'autre en suivant David, qui est le personnage sur lequel s'arrête vraiment l'épisode. Un personnage que j'aime décidément beaucoup. Certes son indépendance revendiquée et son côté impulsif ne sont pas particulièrement originaux, mais bien traité, sans tomber dans la caricature. Le personnage est attachant dans ses 'travers', réagissant souvent sur un coup de tête : sauvetage du bébé, réponse au journaliste sur le clonage du Christ, annonce qu'il s'occupera des tests...
Sa relation avec Lillith est toujours aussi bien traitée, mélange de maladresse et de réconfort, même si je pense que l'adolescente a un peu trop le réflexe 'alcool' pour son âge
J'ai beaucoup aimé la cadence de l'épisode, l'aisance avec laquelle on passe d'une intrigue à l'autre, dans une ambiance de surmenage certain. Certes, Caroline est le pendant logique au côté scientifique détaché des réalités sécuritaires de David. Mais tous les personnages apparaissent bien liés et complémentaires...
Le cliffhanger de l'épisode est encore plus frustrant que l'épisode précédent avec une fin très 'à la 24' et ce coup de feu dans la foule
Vite, vite, la suite
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: ReGenesis
1.04
Un épisode très prenant au point que lorsque le générique de fin est apparu à l'écran, j'ai bien vérifié que j'étais arrivée au bout des 48 minutes :rolleyes:
L'épisode entame directement avec l'enterrement d'Hira A nouveau, beaucoup de storylines qui s'entremêlent. Le virus Miranda reste en background car ses concepteurs courrent toujours. Le clonage pour Mick passe principalement par son histoire avec Lilith. L'adolescente reste touchante dans cette alternance constante de vulnérabilité et de dureté feinte. Sa relation avec son père demeure peu fonctionnelle. Mais ces deux-là se ressemblent beaucoup par leur façon d'être et de s'extérioriser, comme l'illustre la scène de la voiture après les funérailles. Chacun tente un moment d'établir la communication, mais comme les deux s'avèrent impossible de la rendre réciproque au même moment, David finit par allumer la radio.
Celle qui est en apparence la plus touchée par la mort d'Hira est Mayko. Cela donne l'occasion à Bob d'apparaitre véritablement comme le diplomate de service, désamorçant les tensions naissant constamment entre les scientifiques de l'équipe qui ont tous un fort tempérament. David prouve à cette occasion son absence totale de compassion en offrant une épaule très froide à Mayko. Sa façon sans doute de faire face lui aussi à la mort d'Hira, empêtrée dans une sorte de culpabilité, puisqu'il est celui qui l'a trainée là où elle est morte :ph34r: Encore plus insupportable et impulsif que d'habitude, ce cher révérend en fait les frais. Pourtant, la façade s'effrite avec Carlos et son barbecue -et surtout la cuite qui en résulte. La soirée permet à David de remettre un peu ses idées en place... Amenant à presque des excuses envers Mayko.
Parallèlement, un ami de David sportif est en ville. Après une question vraiment peu discrète : les hormones, c'est bien mieux que les stéroïdes, non ? Cela suffit à David pour faire pratiquer son propre contrôle anti-dopage.
La storyline de l'épidémie principale de l'épisode, la maladie des prions (euh...si on traduit bien comme ça ? Enfin, la prions disease) nous ramène au thème semble-t-il récurrent de la série, les constants progrès de la science, les constantes mutations... Un domaine en constants changements que les scientifiques s'efforcent d'appréhender, une véritable course pour suivre les mutations tant naturelles qu'artificielles. Je crois que c'est le pilier de la série, cette suggestion d'une boîte de Pandorre ouverte par la science moderne, symbolisé dans l'épisode par ce sportif abruti qui finit par crier sur Mayko. Jusqu'où peut-on aller, jusqu'où ira-t-on, jusqu'où peut-on garder le contrôle ?
Bilan -> Un épisode prenant qui permet de découvrir un peu plus les autres membres de l'équipe scientifique, en particulier Mayko et Bob.
Un épisode très prenant au point que lorsque le générique de fin est apparu à l'écran, j'ai bien vérifié que j'étais arrivée au bout des 48 minutes :rolleyes:
L'épisode entame directement avec l'enterrement d'Hira A nouveau, beaucoup de storylines qui s'entremêlent. Le virus Miranda reste en background car ses concepteurs courrent toujours. Le clonage pour Mick passe principalement par son histoire avec Lilith. L'adolescente reste touchante dans cette alternance constante de vulnérabilité et de dureté feinte. Sa relation avec son père demeure peu fonctionnelle. Mais ces deux-là se ressemblent beaucoup par leur façon d'être et de s'extérioriser, comme l'illustre la scène de la voiture après les funérailles. Chacun tente un moment d'établir la communication, mais comme les deux s'avèrent impossible de la rendre réciproque au même moment, David finit par allumer la radio.
Celle qui est en apparence la plus touchée par la mort d'Hira est Mayko. Cela donne l'occasion à Bob d'apparaitre véritablement comme le diplomate de service, désamorçant les tensions naissant constamment entre les scientifiques de l'équipe qui ont tous un fort tempérament. David prouve à cette occasion son absence totale de compassion en offrant une épaule très froide à Mayko. Sa façon sans doute de faire face lui aussi à la mort d'Hira, empêtrée dans une sorte de culpabilité, puisqu'il est celui qui l'a trainée là où elle est morte :ph34r: Encore plus insupportable et impulsif que d'habitude, ce cher révérend en fait les frais. Pourtant, la façade s'effrite avec Carlos et son barbecue -et surtout la cuite qui en résulte. La soirée permet à David de remettre un peu ses idées en place... Amenant à presque des excuses envers Mayko.
Parallèlement, un ami de David sportif est en ville. Après une question vraiment peu discrète : les hormones, c'est bien mieux que les stéroïdes, non ? Cela suffit à David pour faire pratiquer son propre contrôle anti-dopage.
La storyline de l'épidémie principale de l'épisode, la maladie des prions (euh...si on traduit bien comme ça ? Enfin, la prions disease) nous ramène au thème semble-t-il récurrent de la série, les constants progrès de la science, les constantes mutations... Un domaine en constants changements que les scientifiques s'efforcent d'appréhender, une véritable course pour suivre les mutations tant naturelles qu'artificielles. Je crois que c'est le pilier de la série, cette suggestion d'une boîte de Pandorre ouverte par la science moderne, symbolisé dans l'épisode par ce sportif abruti qui finit par crier sur Mayko. Jusqu'où peut-on aller, jusqu'où ira-t-on, jusqu'où peut-on garder le contrôle ?
Bilan -> Un épisode prenant qui permet de découvrir un peu plus les autres membres de l'équipe scientifique, en particulier Mayko et Bob.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: ReGenesis
Poulet interdit avant le visionnage de l'épisode , pour embarquer dans deux épisodes prenants comme toujours. J'ai préféré le premier au second. Sans doute parce que ce dernier donne plutôt l'air de se trouver à la croisée des storylines, une sorte d'épisode-parenthèse pour repartir sur des chapeaux de roue (comme le laisse présager le finale).
1.05
Les suites de nos poulets aux prions, avec un épisode qui étudie plus les ramifications et toute la diplomatie dont il faut faire preuve face aux enjeux économiques, avec dans le rôle titre une sorte de savant fou. Ce schéma, de nombreuses séries nous l'ont déjà fait, mais ça ne choque pas outre mesure, même si pour la première de la série, j'étais en avance sur les personnages quand ils rencontrent cet ex scientifique au 'palais du poulet'.
Parallèlement, surtout, David 'conférence' à Chicago et bat tous ces records d'arrogance. Il est très bien dans son rôle de scientifique qui décroche parfois totalement et se met à gribouiller sur un journal, pour ensuite redevenir le gars arrogant, festif et très spontané. J'aime bien ce faux air de ne pas y toucher. Il rencontre comme prévue une virologiste potentielle, Jill. A nouveau, on se retrouve avec un schéma déjà connu du boss d'abord exécrable qui se retrouve face à du répondant, et finalement devient demandeur. Mais si ce n'est pas original, c'est bien amené. Vivifiant (même si tous les prétextes sont décidément bons pour se saoûer pour David ).
Le personnage de Bob est assez touchant, mais a priori sans relief. Cependant, un coup de fil nous fait dresser la tête. Que cache-t-il ?
Sinon, la storyline avec le joueur de hockey poursuit un dénouement prévisible : il a bien pris quelque chose. Avec une phrase assénée très réaliste comme constant : Ces gens sont morts pour une histoire de brevet ? Assez écoeurant ce milieu. David de devoir faire face à une affaire qui le touche de plus prêt perd son arrogance et montre un autre aspect de sa personnalité.
1.06
Un épisode un peu transitoire. L'ajout de l'épisode est une évaluation d'un traitement contre la leucémie. On sent instinctivement comme Caroline que ça cloche, mais scientifiquement, la question des preuves reste. On rencontre une nouvelle ex-conquête de David. Il nous montre encore plus que d'habitude quel sommet il peut atteindre en matière d'arrogance -la rencontre avec l'autre scientifique du laboratoire vaut son pesant d'or. Deux arrogants scientifiques à l'égo surdimensionné se rencontrent, de quoi parlent-ils ?
L'épisode charnière pour cette storyline va être le suivant, l'arrivée de la femme scientifique à la fin de l'épisode relance la storyline. Il va falloir désormais déterminer ce qui ne va pas. Mais surtout, maintenant que David a rencontré ce Ricci, qu'il lui a parlé, lui a dit de continuer le traitement, non seulement il va prendre cette affaire personnellement, mais ça risque de l'atteindre.
Sinon, il nous la joue aussi 'scientifique arrogant dans son monde' sur cette histoire de grippe espagnole, récupérée sans respecter les précautions 'officielles'. C'est impressionant à quel point il est impliqué dans cette histoire, et la joie qu'il partage avec Jill. (J'ai compris que c'était important, mais moi...euh...tout ça me dépasse ).
Jill justement qui débarque finalement aux labos. Je ne sais pas pourquoi, je ne la sens pas cette femme. Au moins rabat-elle avec plaisir le caquet de David chaque fois qu'elle en a l'occasion.
Lillith est de retour dans l'épisode, pour qu'on constate à nouveau l'irresponsabilité chronique en matière de rôle paternel de David, et pour nous laisser dans l'expectative quant à son voyage pour aller voir les baleines avec Mick. Ce dernier a l'air très mal en point, est-ce pour ça qu'elle était si bizarre au téléphone ? Pourquoi ne répond-elle pas ?
Et le coup de fil de Carlos en toute fin d'épisode achève de refroidir l'ambiance euphorisante -enfin, le téléspectateur partage l'humeur des protagonistes- suite à l'ARN complet. Suite au prochain épisode.
Bilan -> Les storylines du début continuent de se développer -on a identifié le géniteur de Miranda- et s'ajoute constamment de nouvelles storylines. Le prochain épisode promet d'être chargé. On s'interroge sur la situation de Bob autant que sur des histoires plus traitées. La richesse et la diversité des trames sont probablement une des clés du rythme de la série qui fait qu'on ne s'ennuie pas devant.
1.05
Les suites de nos poulets aux prions, avec un épisode qui étudie plus les ramifications et toute la diplomatie dont il faut faire preuve face aux enjeux économiques, avec dans le rôle titre une sorte de savant fou. Ce schéma, de nombreuses séries nous l'ont déjà fait, mais ça ne choque pas outre mesure, même si pour la première de la série, j'étais en avance sur les personnages quand ils rencontrent cet ex scientifique au 'palais du poulet'.
Parallèlement, surtout, David 'conférence' à Chicago et bat tous ces records d'arrogance. Il est très bien dans son rôle de scientifique qui décroche parfois totalement et se met à gribouiller sur un journal, pour ensuite redevenir le gars arrogant, festif et très spontané. J'aime bien ce faux air de ne pas y toucher. Il rencontre comme prévue une virologiste potentielle, Jill. A nouveau, on se retrouve avec un schéma déjà connu du boss d'abord exécrable qui se retrouve face à du répondant, et finalement devient demandeur. Mais si ce n'est pas original, c'est bien amené. Vivifiant (même si tous les prétextes sont décidément bons pour se saoûer pour David ).
Le personnage de Bob est assez touchant, mais a priori sans relief. Cependant, un coup de fil nous fait dresser la tête. Que cache-t-il ?
Sinon, la storyline avec le joueur de hockey poursuit un dénouement prévisible : il a bien pris quelque chose. Avec une phrase assénée très réaliste comme constant : Ces gens sont morts pour une histoire de brevet ? Assez écoeurant ce milieu. David de devoir faire face à une affaire qui le touche de plus prêt perd son arrogance et montre un autre aspect de sa personnalité.
1.06
Un épisode un peu transitoire. L'ajout de l'épisode est une évaluation d'un traitement contre la leucémie. On sent instinctivement comme Caroline que ça cloche, mais scientifiquement, la question des preuves reste. On rencontre une nouvelle ex-conquête de David. Il nous montre encore plus que d'habitude quel sommet il peut atteindre en matière d'arrogance -la rencontre avec l'autre scientifique du laboratoire vaut son pesant d'or. Deux arrogants scientifiques à l'égo surdimensionné se rencontrent, de quoi parlent-ils ?
L'épisode charnière pour cette storyline va être le suivant, l'arrivée de la femme scientifique à la fin de l'épisode relance la storyline. Il va falloir désormais déterminer ce qui ne va pas. Mais surtout, maintenant que David a rencontré ce Ricci, qu'il lui a parlé, lui a dit de continuer le traitement, non seulement il va prendre cette affaire personnellement, mais ça risque de l'atteindre.
Sinon, il nous la joue aussi 'scientifique arrogant dans son monde' sur cette histoire de grippe espagnole, récupérée sans respecter les précautions 'officielles'. C'est impressionant à quel point il est impliqué dans cette histoire, et la joie qu'il partage avec Jill. (J'ai compris que c'était important, mais moi...euh...tout ça me dépasse ).
Jill justement qui débarque finalement aux labos. Je ne sais pas pourquoi, je ne la sens pas cette femme. Au moins rabat-elle avec plaisir le caquet de David chaque fois qu'elle en a l'occasion.
Lillith est de retour dans l'épisode, pour qu'on constate à nouveau l'irresponsabilité chronique en matière de rôle paternel de David, et pour nous laisser dans l'expectative quant à son voyage pour aller voir les baleines avec Mick. Ce dernier a l'air très mal en point, est-ce pour ça qu'elle était si bizarre au téléphone ? Pourquoi ne répond-elle pas ?
Et le coup de fil de Carlos en toute fin d'épisode achève de refroidir l'ambiance euphorisante -enfin, le téléspectateur partage l'humeur des protagonistes- suite à l'ARN complet. Suite au prochain épisode.
Bilan -> Les storylines du début continuent de se développer -on a identifié le géniteur de Miranda- et s'ajoute constamment de nouvelles storylines. Le prochain épisode promet d'être chargé. On s'interroge sur la situation de Bob autant que sur des histoires plus traitées. La richesse et la diversité des trames sont probablement une des clés du rythme de la série qui fait qu'on ne s'ennuie pas devant.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: ReGenesis
Deux épisodes soufflants que j'ai vraiment bien aimé ce soir (malgré un fichu coup de téléphone au milieu ).
1.07
Un épisode qui enchaîne sur tous les évènements de la fin de l'épisode précédent et différentes choses très bonnes dans les storylines.
Tout d'abord, on en apprend plus sur Carlos avec son ancien ami qui lui téléphone pour l'informer qu'il est atteint du SIDA. Une séquence émotion sans plonger dans le pathos, intéressant de voir Carlos se démener pour faire aboutir à une expérimentation humaine. Au passage un bref aperçu de ce qui bloque justement la recherche : l'impossibilité de cultiver des cellules souches, condamné (du moins j'en ai eu le sentiment) par l'épisode, puisque non seulement tourné en dérision par les scientifiques, mais on voit que dès que les obstacles légaux sont levés, les scientifiques peuvent avancer. On apprend aussi au passage que l'assistant de Caroline est lui aussi atteint du sida. J'ai bien aimé l'attitude de Carlos qui sonne très juste. Intéressant aussi de découvrir un personnage gay qui ne se définit pas par rapport à son orientation sexuelle.
David lui apporte son aide, même si c'est pour confirmer que sa réputation dans le milieu scientifique est.... 'Allô, je vous appelle de la part de David Sandström' est sans doute l'introduction la plus efficace pour se faire raccrocher au nez. (petite touche plus légère) Sinon, je me demande comment on peut passer autant de temps devant un panier de basket et être aussi nul à ce jeu. Et il a définitivement couché avec toutes les femmes du labo (Mayko)
La storyline du traitement contre la leucémie est bien exploitée. J'avais crains qu'on ne s'oriente vers un manichéisme primaire 'méchant scientifique qui veut se faire un max de fric'. Mais j'aime bien l'obstination de David à rationnaliser et à s'efforcer de s'en tenir au fait, quelque soit la révulsion que l'autre inspire. Finalement, on débouche sur un résultat équilibré en compromis. Le petit Ricci était en réalité déjà condamné le jour où le traitement lui a été donné. Ca fausse les résultats mais ne remet pas en cause le traitement. Donc, on reste avec un point d'interrogation. Il recommande de continuer l'expérience.
Sinon la storyline de Lillith et Mick prend un tour tragique, comme on le prévoyait. Mourir ainsi avec la symbolique de la baleine Ca vous brise le coeur.
1.08
L'épisode embraye sur le black out de l'épisode précédent, avec le NorBac enquêtant. C'est bien marrant d'écouter les conclusions de l'ATF, CIA et FBI sur le sujet, chacun concluant à ce qui l'arrange. Très drôle les piques de la scène du début entre le chef de la sécurité et David. Cette storyline est plus légère (sauf pour les contribuables) puisque finalement il s'avère que c'est une cause naturelle qui ont provoqué les deux black out. Et on a droit à quelques délicieux moments, comme l'interview de David par le Times (David: Ils n'ont que ces interceptions de la CIA... Journaliste : Quoi? Des interceptions? Caroline: Interview terminée. ) ou avec la sénatrice.
En contre-poid, il y a les suites du décès de Mick avec une Lillith sonnée et dévastée. Tout sonne très juste et l'épisode ne s'éternise pas outre-mesure sur les séquences d'émotion. C'est l'occasion pour nous de rencontrer l'ex-femme de David. Dans le genre relations tendues entre ex, ces deux-là sont un bel exemple. Quelques piques bien placées, une scène de repas au resto culte en dysfonctionnements -qui prouve bien qu'ils ont tous les trois des points communs . Finalement, Lillith rentre avec sa mère, mais elle aura néanmoins pu se reconnecter avec son père, grâce à ce qu'il réussit à lui dire finalement.
Sinon, on a aussi ce cher Bob, gentiment éconduit par Jill (un peu hypocrite sur le coup : pas entre collègues...hmm... Chicago ? ), dont on apprend enfin quelles sont les 'activités secrètes' et la dame rousse : une industrie en parfumerie. Depuis les fonds d'écran des molécules de parfum plus rien ne m'étonne de sa part. Ce personnage est souvent drôle parce que toujours dans la lune et assez effacé, mais une évolution est peut-être à envisager avec cette offre de job ? Une affirmation de caractère ?
Bilan -> J'ai passé une très bonne soirée. Pas beaucoup de mentions des storylines précédents exceptées un coup de fil coupé de l'agent du MI-5 qui m'a un peu embrouillé. L'homme qu'il recherche est bien le géniteur de Miranda ? Recherché par tous le monde ? Le Pakistan --> quel rapport avec Hira ?
1.07
Un épisode qui enchaîne sur tous les évènements de la fin de l'épisode précédent et différentes choses très bonnes dans les storylines.
Tout d'abord, on en apprend plus sur Carlos avec son ancien ami qui lui téléphone pour l'informer qu'il est atteint du SIDA. Une séquence émotion sans plonger dans le pathos, intéressant de voir Carlos se démener pour faire aboutir à une expérimentation humaine. Au passage un bref aperçu de ce qui bloque justement la recherche : l'impossibilité de cultiver des cellules souches, condamné (du moins j'en ai eu le sentiment) par l'épisode, puisque non seulement tourné en dérision par les scientifiques, mais on voit que dès que les obstacles légaux sont levés, les scientifiques peuvent avancer. On apprend aussi au passage que l'assistant de Caroline est lui aussi atteint du sida. J'ai bien aimé l'attitude de Carlos qui sonne très juste. Intéressant aussi de découvrir un personnage gay qui ne se définit pas par rapport à son orientation sexuelle.
David lui apporte son aide, même si c'est pour confirmer que sa réputation dans le milieu scientifique est.... 'Allô, je vous appelle de la part de David Sandström' est sans doute l'introduction la plus efficace pour se faire raccrocher au nez. (petite touche plus légère) Sinon, je me demande comment on peut passer autant de temps devant un panier de basket et être aussi nul à ce jeu. Et il a définitivement couché avec toutes les femmes du labo (Mayko)
La storyline du traitement contre la leucémie est bien exploitée. J'avais crains qu'on ne s'oriente vers un manichéisme primaire 'méchant scientifique qui veut se faire un max de fric'. Mais j'aime bien l'obstination de David à rationnaliser et à s'efforcer de s'en tenir au fait, quelque soit la révulsion que l'autre inspire. Finalement, on débouche sur un résultat équilibré en compromis. Le petit Ricci était en réalité déjà condamné le jour où le traitement lui a été donné. Ca fausse les résultats mais ne remet pas en cause le traitement. Donc, on reste avec un point d'interrogation. Il recommande de continuer l'expérience.
Sinon la storyline de Lillith et Mick prend un tour tragique, comme on le prévoyait. Mourir ainsi avec la symbolique de la baleine Ca vous brise le coeur.
1.08
L'épisode embraye sur le black out de l'épisode précédent, avec le NorBac enquêtant. C'est bien marrant d'écouter les conclusions de l'ATF, CIA et FBI sur le sujet, chacun concluant à ce qui l'arrange. Très drôle les piques de la scène du début entre le chef de la sécurité et David. Cette storyline est plus légère (sauf pour les contribuables) puisque finalement il s'avère que c'est une cause naturelle qui ont provoqué les deux black out. Et on a droit à quelques délicieux moments, comme l'interview de David par le Times (David: Ils n'ont que ces interceptions de la CIA... Journaliste : Quoi? Des interceptions? Caroline: Interview terminée. ) ou avec la sénatrice.
En contre-poid, il y a les suites du décès de Mick avec une Lillith sonnée et dévastée. Tout sonne très juste et l'épisode ne s'éternise pas outre-mesure sur les séquences d'émotion. C'est l'occasion pour nous de rencontrer l'ex-femme de David. Dans le genre relations tendues entre ex, ces deux-là sont un bel exemple. Quelques piques bien placées, une scène de repas au resto culte en dysfonctionnements -qui prouve bien qu'ils ont tous les trois des points communs . Finalement, Lillith rentre avec sa mère, mais elle aura néanmoins pu se reconnecter avec son père, grâce à ce qu'il réussit à lui dire finalement.
Sinon, on a aussi ce cher Bob, gentiment éconduit par Jill (un peu hypocrite sur le coup : pas entre collègues...hmm... Chicago ? ), dont on apprend enfin quelles sont les 'activités secrètes' et la dame rousse : une industrie en parfumerie. Depuis les fonds d'écran des molécules de parfum plus rien ne m'étonne de sa part. Ce personnage est souvent drôle parce que toujours dans la lune et assez effacé, mais une évolution est peut-être à envisager avec cette offre de job ? Une affirmation de caractère ?
Bilan -> J'ai passé une très bonne soirée. Pas beaucoup de mentions des storylines précédents exceptées un coup de fil coupé de l'agent du MI-5 qui m'a un peu embrouillé. L'homme qu'il recherche est bien le géniteur de Miranda ? Recherché par tous le monde ? Le Pakistan --> quel rapport avec Hira ?
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
Je viens à l'instant de voir le 1x01 et le 1x02. J'adore. Totalement accrochée.
Vivement la suite.
Vivement la suite.
Re: ReGenesis
Youpi, une nouvelle conquise !Azertynin a écrit:Je viens à l'instant de voir le 1x01 et le 1x02. J'adore. Totalement accrochée.
Essayer David ( ) et sa fine équipe, c'est les adopter. Ensuite, ce n'est plus possible de décrocher. Plus ça va, plus on devient accro
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
Idem, j'ai regardé les 3 premiers à la suite et ce n'est que l'obligation de bosser qui m'a fait arrêté. Franchement, en juillet, je me prends une semaine recluse et je matte tout ce que j'ai provisionné : Spooks, VM, ReGénésis et le marathon 24, les 5 à la suite (et après j'aurai des réflexions du type : "ce que t'es pâle, tu travailles beaucoup trop" )
Ally- Agent spécial
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Re: ReGenesis
Idem, j'ai regardé les 3 premiers à la suite et ce n'est que l'obligation de bosser qui m'a fait arrêté.
Désolée d'avoir ajouté une série (pour l'instant, 2 saisons, 26 épisodes en tout ) à ta semaine de retraite en ermite sériephile.
1.09
Un petit check up des dossiers en cours pour tirer un bilan des différents évènements de ce début de saison et on est introduit à deux nouvelles storylines 'NorBac'.
La première traite de l'Irak. Le syndrome de la guerre du Golfe a déjà été traité par les fictions à moultes reprises, mais l'intérêt est pourtant sauf. En effet, comme la série choisit de folâtrer hors des sentiers battus mais toujours sur des terrains balisés, ce sont des civils qui sont malades. Au-delà de la recherche scientifique, l'intrigue est intéressante sur le plan humain. Mayko en fait une affaire personnelle, ce qui amène à découvrir un peu plus le personnage, alors qu'elle a fait son deuil d'Hira. Très décidée et aussi avec une réelle complicité avec David. Plein de petits moments et de piques très dynamiques, parfois assez drôle. La négociation pour convaincre Caroline de prendre l'affaire ; les remarques sur l'état du pouvoir politique américain et Bush ; David et Louisa ensuite avec le regard très réaliste et rafraichissant de Mayko.
David dont l'arrogance fait encore des siennes, cette fois à l'encontre de Bob. Non seulement il ne fait absolument rien pour le retenir et on peut se demander des deux parfois lequel est le plus sur la Lune. Quelques dialogues impressionants entre les deux, chacun monologant en réalité de son côté. J'aime bien comme le personnage de Bob est développé dans cette storyline, touchant dans ses certitudes. (Rah... David...)
Sinon, l'épisode a le mérite de montrer sous un nouveau jour, Jill, à travers la remise en cause d'une de ses études. Elle quitte l'habit de la scientifique froide et pragmatique. Soudain, derrière cette façade, dans ce moment de relative vulnérabilité, elle faisait vraiment partie de l'équipe et apparaissait sympathique.
Les aller-retours à Washington de Caroline étaient aussi l'occasion de nous montrer ses talents de diplomate. J'adore sa répartie et ce sourire qui ne la quitte jamais quelque soit ces propos -ce petit côté femme fatale dont elle se joue '-où allez-vous dans les caraïbes ? -c'est une proposition indécente. -c'est pour couler votre bâteau'. Un ancien héritage CIA qui refait surface ?
La seconde storyline 'NorBac', au Mexique, sera plus développé dans le second épisode.
1.10
Un épisode avec de nombreux moments jubilatoires. La séquence découverte de la nourriture typique mexicaine (avec fin dans les toilettes) et les remarques de Carlos valent le détour. Ainsi que Bob absolument génial dans l'épisode, qui vaut à Mayko et à Caroline de crier (de façon méritée) sur David pour sa gestion calamiteuse de Bob. '-on engagera un nouveau biochimiste. -il en reste un avec qui tu n'es pas fâché ?' Totalement à côté de la plaque sur le sujet. Il faudra que Mayko et Caroline s'en mêlent pour faire revenir Bob. Son discours à Caroline sur le parfum qu'il avait en projet, la façon dont il fait passer tant d'innocence et de passion, est vraiment impressionante.¨
Pour l'Irak, la résolution s'avère intéressante parce que finalement, les travailleurs n'étaient rien de plus que des cobayes. Assez effrayant les ramifications et les conflits d'intérêts effleurés et dénoncés en passant par l'épisode au sein du gouvernement américain. La série, sans doute parce que canadienne, garde une distance suffisante avec tout ça. Elle dénonce ou plutôt constate sans prendre parti réellement, pas de position partisane ou solidaire. Et puis un rappel historique rafraîchissant au passage d'un certain épisode de recherche d'ADM qui crystalisa l'attention du monde pendant un temps.
Du côté du Mexique, l'intrigue ressemble cette fois à une approche 'scientfique jouant à Dieu', tant dans l'entreprise qui modifie génétiquement les végétaux, que le français s'occupant des moustiques -très négligent pour le coup. Mais ça donne l'occasion d'une escapade au Mexique (et même Nicaragua), de quoi rappeler que le NorBac est une réunion des trois Etats, pas seulement un aller-retour Toronto-USA.
Sinon, dans la catégorie, remarque totalement futile, moi je n'ai rien contre David me jouant de la guitare comme en introduction de l'épisode
Bilan -> Une storyline pour dénoncer les conivences entre le pouvoir politique et économique, une autre pour parler de ces scientifiques qui défient la nature, non sans conséquence. Efficace. Des personnages qu'on découvre un peu plus au fil des épisodes, auxquels on s'attache. L'équipe révèle finalement une réelle cohérence entre ses membres, une complémentarité, mais aussi un équilibre fragile.
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
je suis totalement et desesperement accroc a ReGenesis ,quand je fini de regarder un épisode je me dit :déja fini?? et je veut absolument regarder la suite pour savoir ce qui va ou est arriver
le Dr David Sandstrom est complétement déjanté ,il a des yeux bleu sublime ,mais meme s'il ne veut pas le montrer il est trés sensible ,est j'adore aussi sa fille Lilith ,l'équipe est super avec une préférence pour Carlos
ah 2 choses que j'aime par dessus tout (j'en suis a l'épisode 5) c'est de voir David se promener en caleçon est se grattant les fesses ,et surtout surtout sans caleçon (episode 5) est son langage aussi ,son mot préféré semble etre "Fuck "
superbe série en tout cas
le Dr David Sandstrom est complétement déjanté ,il a des yeux bleu sublime ,mais meme s'il ne veut pas le montrer il est trés sensible ,est j'adore aussi sa fille Lilith ,l'équipe est super avec une préférence pour Carlos
ah 2 choses que j'aime par dessus tout (j'en suis a l'épisode 5) c'est de voir David se promener en caleçon est se grattant les fesses ,et surtout surtout sans caleçon (episode 5) est son langage aussi ,son mot préféré semble etre "Fuck "
superbe série en tout cas
Re: ReGenesis
Ah... Ca c'est certain. On s'y perd dans ce regard [mode rêveur]il a des yeux bleu sublime
ah 2 choses que j'aime par dessus tout (j'en suis a l'épisode 5) c'est de voir David se promener en caleçon est se grattant les fesses ,et surtout surtout sans caleçon (episode 5) est son langage aussi ,son mot préféré semble etre "Fuck "
Il y a beaucoup de choses qui me fascinent à propos de David :
- la promotion d'une vie 'saine' qu'il incarne, en passant entre chaque scène de la bouteille de bière au cigare, voire les deux en même temps (il serait aussi intéressant de tenir en statistiques le nombre de ses cuites par épisode)
- comment une personne peut être aussi nulle au basket, en passant autant de temps à se défouler sur un terrain
- je suis partante pour qu'il m'apprenne à jouer de la guitare (en tenue d'Adam comme dans l'épisode 10 -aliasfr vient soudain d'accélérer son visionnage pour regarder cinq épisodes d'affilée afin d'arriver audit épisode )
- son arrogance n'a d'égale que son égo
- je crois que Caroline est la seule femme au labo avec qui il n'a pas couché
Mais au delà de David, c'est vraiment l'ensemble des personnages de l'équipe qui a un réel potentiel. Et au fil des épisodes, les scénaristes développent les personnages, n'hésitant pas à nous surprendre, mais aussi à leur donner un relief et une profondeur a priori insoupçonnée.
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
je vient de décider que je vais aujourd'hui est quoi qu'il arrive regarder les épisodes 1.06 a 1.10 ,surtout le passage ou il joue de la guitare
je comprend toutes les femmes qui sautent dans son lit ,il est irrésistible ,a un moment on a envie de le baffer ,le moment d'aprés de l'embrasser ....
en tout cas c'est une série a regarder absolument ,une chose que je trouve dommage c'est qu'il n'y est que 13 épisodes par saison
je comprend toutes les femmes qui sautent dans son lit ,il est irrésistible ,a un moment on a envie de le baffer ,le moment d'aprés de l'embrasser ....
en tout cas c'est une série a regarder absolument ,une chose que je trouve dommage c'est qu'il n'y est que 13 épisodes par saison
Re: ReGenesis
Ouahou. Comment rester skotché à son écran la gorge sèche attendant fébrilement la suite des évènements ? Regarder le finale de la saison 1 de ReGenesis.
1.11
L'épisode s'ouvre une simulation grandeur nature -même si le téléspectateur pense d'abord avoir loupé un épisode. Le but est de découvrir la cause de l'épidémie, David bat les deux autres labos (très bon pour son égo).
Parallèlement, l'enquête sur le concepteur de Miranda se poursuit. David et Caroline allient leurs ressources pour se renseigner. On rencontre un vieux scientifique russe avec David. Et Caroline va à la pêche aux infos avec son agent du MI-5. Quelques répliques marquantes, il y a du rythme, alors qu'on s'oriente vers un côté plus policier pour l'intrigue. "Tu apprends les sciences, je m'initie à l'espionnage"
On se concentre sur un russe (je n'oserai pas tenter d'écrire son nom) et sur un virus qui étrangement, figurait dans la simulation juste avant. Trop gros pour être une coïncidence songe tout le monde.
Sinon, Jill reçoit le magazine de son désastre annoncé. Elle parait soudain si vulnérable, complètement hors de contrôle, elle part en crise d'anxiété. Elle semble à des années lumières de la Jill froide et ambitieuse de Chicago. David lui sert sa thérapie personnelle, se saoûler en insultant le monde entier
En parallèle, Bob et son chien, Gamelon, de quoi vous briser le coeur Bob est tellement attaché à ce chien, et en parle avec tant de simplicité, de son incapacité à socialiser avec les humains, alors que les chiens... Très émouvant quand il dit à Jill : "J'aimerais ne pas en savoir autant. Comme ça je pourrais juste la laisser partir."
1.12
Un nouveau virus très contagieux apparait à Denver. Inconnu. Tout le monde craint le Mardbrug, et pense au russe, pourtant pas de fièvre hémoragique. Et le téléspectateur a un flash, environ une minute avant David, quand il lance ses hypothèses 'Grippe A' (je ne sais pas trop comment le traduire en français). On n'est pas scientifique, mais on est des téléspectateurs assidus, et on pense tous à la même chose : ce cadavre congelé dans les glaces.
David aussi a sa crise de panique. C'est impressionant la métamorphose quand il envisage la possibilité que ça soit 'sa' grippe espagnole. Totalement à côté de ses pompes, dans le vide, à des années lumières, alors qu'il passe en revue l'ensemble des possibilités. Il a sa confirmation au labo et on retrouve la première scène de la série, quand il marche, hébété, complètement sous le choc et assailli de remords, en téléphonant. On a enfin le contexte pour re-situer cette scène. Autant dire que maintenant, on comprend pourquoi il était dans cet état.
L'accident a lieu, coma. Pendant ce temps au NorBac, Jill et Caroline additionnent les indices et comprennent a posteriori le comportement de David. Concernant le coma en lui-même de David, où il recroise tous les personnages morts dans la saison (donc le hockeyeur s'était bien suicidé ), c'est un procédé assez classique d'introspection personnelle des personnages, très angtsy. Je n'en suis pas particulièrement fan, mais ça n'est pas trop lourd, ne s'étire pas en longueur et ne verse pas dans le pathos. Donc ça passe.
Parallèlement, Bob fait piquer son chien. J'avoue que j'ai versé ma petite larme tellement c'était émouvant, cette personnalisation de Gamelon à travers le regard si innocent de Bob, qui lui parle comme on parlerait à un être humain. Vraiment poignant.
1.13
De retour parmi les vivants, David sort après 6 heures de l'hôpital. Petit clin d'oeil 24ien, mais il a vraiment une mine horrible. Donc, cette fois, comme tout le monde est au courant désormais, il est à peu près dans le même temps que précédemment, mais Caroline s'offre quelques minutes pour lui passer un bon savon. On attendait ce faux pas depuis le début de la saison, mais quand ça lui explose à la figure, autant dire qu'on n'y va pas qu'à moitié. On ne sait pas qui en veut le plus à David, lui-même ou Jill ou Caroline. Jill qui lui lance à la figure aussi qu'il est responsable également du fait qu'il n'y a pas de vaccin prêt, à cause de son fichu égo. Bref, tout ce qui fait le personnage lui retombe dessus -le côté aventurier comme son égo et son arrogance. C'est intéressant en revanche de constater la loyauté extrème de Mayko qui recherche vraiment tous les éléments pouvant éloigner David de la cause de l'épidémie.
Après la confirmation que la grippe espagnole est bien celle de Nonavut, on pense que c'est résolu. L'explication de la propagation par les airs tient debout. En parallèle, on n'écoute plus que d'une oreille les nouvelles du MI-5 qui traque le russe.
Et c'est là où soudain tous les éléments depuis de le début de la série se rejoigne. On ne peut qu'admirer la maîtrise des scénaristes sur ce plan. Daisy arrive effondrée chez David. Puis Vasily passe à l'appartement. Et Daisy reconnaît Vasily comme étant le père de Miranda. :ph34r:
On s'accroche et tente d'assimiler l'information. Vasily est arrêté. Sa confrontation avec David vaut le détour. Mais surtout, de vieux retraité sympathique, il passe en scientifique près à tout pour se venger. Depuis que les scénaristes ont relevé deux fois déjà que Vasily savait pour la grippe espagnole sans que David se souvienne lui avoir parlé, on avait la puce à l'oreille. Mais c'est quand même assez glaçant d'entendre les aveux de Vasily : il a déterré le cadavre. D'un côté, cela exonère -en partie- un peu David, puisque sans l'intervention de Vasily, il n'y aurait peut-être pas eu d'épidémie. Mais il reste responsable pour lui avoir quand même confié tout ça, ne pas avoir suivi les protocoles, ect...
La phrase qui peut servir de conclusion à la saison est de David : "Tu ne peux pas découvrir la bombe atomique et blâmer l'équipage qui la largue." Il s'en veut et se sent responsable. D'où sa démission après que l'annonce d'une piste pour un vaccin.
Conclusion parfaite que ce petit mot laissé à Caroline sur sa bouteille. Tout à fait dans l'esprit du personnage.
Bilan -> J'ai encore l'estomac noué par ce finale. Toutes les pièces s'emboîtent, l'ironie amère d'arriver au fond à ce que soit David qui est fourni au scientifique, père de Miranda, traqué durant toute la saison, le virus lui permettant de faire le plus de dégât. Les défauts de David qui lui explosent finalement à la figure.
Je crois qu'il suffit de lire ma review pour comprendre que j'ai vraiment bien aimé cette série. Un thriller avec en toile de fond l'éternelle question des progrès de la science et la boîte de Pandorre ouverte de nos jours. Une série qui allie actions et intrigues, mais aussi réflexion, voire même dénonciation de certains faits.
A voir.
1.11
L'épisode s'ouvre une simulation grandeur nature -même si le téléspectateur pense d'abord avoir loupé un épisode. Le but est de découvrir la cause de l'épidémie, David bat les deux autres labos (très bon pour son égo).
Parallèlement, l'enquête sur le concepteur de Miranda se poursuit. David et Caroline allient leurs ressources pour se renseigner. On rencontre un vieux scientifique russe avec David. Et Caroline va à la pêche aux infos avec son agent du MI-5. Quelques répliques marquantes, il y a du rythme, alors qu'on s'oriente vers un côté plus policier pour l'intrigue. "Tu apprends les sciences, je m'initie à l'espionnage"
On se concentre sur un russe (je n'oserai pas tenter d'écrire son nom) et sur un virus qui étrangement, figurait dans la simulation juste avant. Trop gros pour être une coïncidence songe tout le monde.
Sinon, Jill reçoit le magazine de son désastre annoncé. Elle parait soudain si vulnérable, complètement hors de contrôle, elle part en crise d'anxiété. Elle semble à des années lumières de la Jill froide et ambitieuse de Chicago. David lui sert sa thérapie personnelle, se saoûler en insultant le monde entier
En parallèle, Bob et son chien, Gamelon, de quoi vous briser le coeur Bob est tellement attaché à ce chien, et en parle avec tant de simplicité, de son incapacité à socialiser avec les humains, alors que les chiens... Très émouvant quand il dit à Jill : "J'aimerais ne pas en savoir autant. Comme ça je pourrais juste la laisser partir."
1.12
Un nouveau virus très contagieux apparait à Denver. Inconnu. Tout le monde craint le Mardbrug, et pense au russe, pourtant pas de fièvre hémoragique. Et le téléspectateur a un flash, environ une minute avant David, quand il lance ses hypothèses 'Grippe A' (je ne sais pas trop comment le traduire en français). On n'est pas scientifique, mais on est des téléspectateurs assidus, et on pense tous à la même chose : ce cadavre congelé dans les glaces.
David aussi a sa crise de panique. C'est impressionant la métamorphose quand il envisage la possibilité que ça soit 'sa' grippe espagnole. Totalement à côté de ses pompes, dans le vide, à des années lumières, alors qu'il passe en revue l'ensemble des possibilités. Il a sa confirmation au labo et on retrouve la première scène de la série, quand il marche, hébété, complètement sous le choc et assailli de remords, en téléphonant. On a enfin le contexte pour re-situer cette scène. Autant dire que maintenant, on comprend pourquoi il était dans cet état.
L'accident a lieu, coma. Pendant ce temps au NorBac, Jill et Caroline additionnent les indices et comprennent a posteriori le comportement de David. Concernant le coma en lui-même de David, où il recroise tous les personnages morts dans la saison (donc le hockeyeur s'était bien suicidé ), c'est un procédé assez classique d'introspection personnelle des personnages, très angtsy. Je n'en suis pas particulièrement fan, mais ça n'est pas trop lourd, ne s'étire pas en longueur et ne verse pas dans le pathos. Donc ça passe.
Parallèlement, Bob fait piquer son chien. J'avoue que j'ai versé ma petite larme tellement c'était émouvant, cette personnalisation de Gamelon à travers le regard si innocent de Bob, qui lui parle comme on parlerait à un être humain. Vraiment poignant.
1.13
De retour parmi les vivants, David sort après 6 heures de l'hôpital. Petit clin d'oeil 24ien, mais il a vraiment une mine horrible. Donc, cette fois, comme tout le monde est au courant désormais, il est à peu près dans le même temps que précédemment, mais Caroline s'offre quelques minutes pour lui passer un bon savon. On attendait ce faux pas depuis le début de la saison, mais quand ça lui explose à la figure, autant dire qu'on n'y va pas qu'à moitié. On ne sait pas qui en veut le plus à David, lui-même ou Jill ou Caroline. Jill qui lui lance à la figure aussi qu'il est responsable également du fait qu'il n'y a pas de vaccin prêt, à cause de son fichu égo. Bref, tout ce qui fait le personnage lui retombe dessus -le côté aventurier comme son égo et son arrogance. C'est intéressant en revanche de constater la loyauté extrème de Mayko qui recherche vraiment tous les éléments pouvant éloigner David de la cause de l'épidémie.
Après la confirmation que la grippe espagnole est bien celle de Nonavut, on pense que c'est résolu. L'explication de la propagation par les airs tient debout. En parallèle, on n'écoute plus que d'une oreille les nouvelles du MI-5 qui traque le russe.
Et c'est là où soudain tous les éléments depuis de le début de la série se rejoigne. On ne peut qu'admirer la maîtrise des scénaristes sur ce plan. Daisy arrive effondrée chez David. Puis Vasily passe à l'appartement. Et Daisy reconnaît Vasily comme étant le père de Miranda. :ph34r:
On s'accroche et tente d'assimiler l'information. Vasily est arrêté. Sa confrontation avec David vaut le détour. Mais surtout, de vieux retraité sympathique, il passe en scientifique près à tout pour se venger. Depuis que les scénaristes ont relevé deux fois déjà que Vasily savait pour la grippe espagnole sans que David se souvienne lui avoir parlé, on avait la puce à l'oreille. Mais c'est quand même assez glaçant d'entendre les aveux de Vasily : il a déterré le cadavre. D'un côté, cela exonère -en partie- un peu David, puisque sans l'intervention de Vasily, il n'y aurait peut-être pas eu d'épidémie. Mais il reste responsable pour lui avoir quand même confié tout ça, ne pas avoir suivi les protocoles, ect...
La phrase qui peut servir de conclusion à la saison est de David : "Tu ne peux pas découvrir la bombe atomique et blâmer l'équipage qui la largue." Il s'en veut et se sent responsable. D'où sa démission après que l'annonce d'une piste pour un vaccin.
Conclusion parfaite que ce petit mot laissé à Caroline sur sa bouteille. Tout à fait dans l'esprit du personnage.
Bilan -> J'ai encore l'estomac noué par ce finale. Toutes les pièces s'emboîtent, l'ironie amère d'arriver au fond à ce que soit David qui est fourni au scientifique, père de Miranda, traqué durant toute la saison, le virus lui permettant de faire le plus de dégât. Les défauts de David qui lui explosent finalement à la figure.
Je crois qu'il suffit de lire ma review pour comprendre que j'ai vraiment bien aimé cette série. Un thriller avec en toile de fond l'éternelle question des progrès de la science et la boîte de Pandorre ouverte de nos jours. Une série qui allie actions et intrigues, mais aussi réflexion, voire même dénonciation de certains faits.
A voir.
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
je ne m'y attendais pas du tout a ce final ,et quel final d'ailleurs,que ce soit vasily pour la grippe espagnole ,moi je ne m'y attendais pas du tout ,comme David je suis rester scotcher ...
et que David puisse reveler des secrets de cette importance la alors qu'il est bourrer fait froid dans le dos quand meme
mais malgré cela c'est un personnage trés attachant ,justement parce qu'il est intelligent est doué ,mais aussi avec pleins de défault ,l'alcool surtout ,pour un docteur c'est pas top ...
j'aime beaucoup son équipe ,surtout Carlos est Bob ,Jill par contre m'énnerve ..
c'est une série que je vous conseil de voir ,on ne s'ennuie pas une seconde , dés qu'un épisode est fini on veut absolument voir la suite tellement c'est prenant
d'ailleurs j'en suis déja a la saison 2 mais bloquer a l'épisode 2
et que David puisse reveler des secrets de cette importance la alors qu'il est bourrer fait froid dans le dos quand meme
mais malgré cela c'est un personnage trés attachant ,justement parce qu'il est intelligent est doué ,mais aussi avec pleins de défault ,l'alcool surtout ,pour un docteur c'est pas top ...
j'aime beaucoup son équipe ,surtout Carlos est Bob ,Jill par contre m'énnerve ..
c'est une série que je vous conseil de voir ,on ne s'ennuie pas une seconde , dés qu'un épisode est fini on veut absolument voir la suite tellement c'est prenant
d'ailleurs j'en suis déja a la saison 2 mais bloquer a l'épisode 2
Re: ReGenesis
d'ailleurs j'en suis déja a la saison 2 mais bloquer a l'épisode 2
La semaine prochaine, on va surtout être bloqué par l'épisode 4, j'ai l'impression
Heather- Rang: Administrateur
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Re: ReGenesis
Bon, (non, je n'ai pas d'actions chez Arte) si vous ne saviez pas quoi regarder ce soir, je vous propose une nouvelle série (même pas américaine) pour occuper à bon essient vos lundis soirs.
La suite est une reproduction d'un billet de mon blog, mais bon, ça ne peut pas faire de mal de faire un peu de prosélytisme partout .
ReGenesis - Les (nombreuses) bonnes raisons de la regarder
Ce lundi soir, de manière quasi confidentielle, s'installe sur Arte une nouvelle série, inaugurant une nouvelle optique de programmation pour la chaîne. Les deux saisons que compte actuellement la série devraient être diffusées, sachant que ReGenesis est toujours en production. La diffusion de la saison 3 est prévue pour le printemps prochain sur The Movie Network.
Arte n'est peut-être votre chaîne réflexe pour passer une soirée, mais demain, il faudra tenter l'aventure. En effet, ReGenesis est une série d'excellente facture qui mérite le détour. Elle nous introduit au coeur de la Norbac (North American Biotechnology Advisory Commission), un organisme créé le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, pour étudier et faire face aux nouveaux défis des sciences. Le laboratoire est dirigé par David Sandström, un scientifique de génie à l'égo surdimensionné et aux qualités relationnelles plus que discutables mais auquel on s'attache très vite au travers de tous ses défauts. Il est entouré d'une équipe de chercheurs zélés qui auront tous droit à des épisodes permettant au téléspectateur de les découvrir un peu plus. Une mention particulière à Bob, génie atteint du syndrome d'Asperger (une forme d'autisme) qui rend le personnage particulièrement touchant. Il vous émouvra aux larmes, soyez-en sûr. La Norbac en elle-même est dirigée par Caroline Morrison, un ex-agent de la CIA totalement étrangère au domaine des sciences, mais qui doit surtout déployer des trésors de diplomatie et de qualité humaine, pour gérer des administrations mécontentes (une attitude chronique du côté américain) et les problèmes avec toute fome d'autorité de son scientifique en chef.
La mission de la Norbac est de résoudre les diverses crises biologiques qui se déclenchent en Amérique du Nord. Ces dernières sont très variables. En effet, encouragée de manière indirecte par la main humaine, la colère de la nature peut s'avérer parfois bien plus dangereuse que l'action volontaire de l'homme. Confrontée aux progrès des sciences, l'équipe devra faire face aux dangers posés par la biotechnologie, à de nombreux dilemmes moraux sur des questions de bioéthique, à des attaques bio-terroristes...
Glaçante et terrifiante de réalisme, la série l'est incontestablement. Il est fort probable que vous ne regardiez plus les aliments dans votre assiette de la même manière. Vous aurez peut-être des réflexes un peu surprenants quand les mots 'clonage' ou 'OGM' viendront dans la conversation. L'interrogation que pose la série est claire : "The future is here. Bioterrorism. Designer babies. Frankenfoods. Suddenly Humanity possesses the ability to play god. But is it progress-or madness? Will cutting-edge science be our salvation? Or our demise? The Pandora's box of biotech is wide open. Have we gone too far ?"
La série vous sensibilise avec justesse et subtilité, par un traitement de choc, aux enjeux actuels et aux débats de nos société, sans pour autant occulter de s'intéresser à la vie privée privée des personnages principaux, dressant un savant équilibre entre les deux domaines, qui évolue peu à peu au fil de la série.
Les profanes en science, grâce à Caroline notamment, ne seront pas perdus. Il vous arrivera même sans le vouloir de retenir une ou deux explications scientifiques.
Qu'est-ce qui vous attend ? (garantie sans spoilers ;-) )
Saison 1 (13 épisodes)
La première saison est sans doute la plus réussie et la plus aboutie. Elle offre un toutélié vraiment maîtrisé et intense. Finalement tout s'éclaire et toutes les pièces du puzzle s'emboîtent lors du 13ème épisode. Des petits détails, des faits sans importance, qui ne nous avaient pas paru connectés a priori, sont finalement tous une pièce du grand puzzle que constitue la trame principale. L'intrigue initiale se résoud à la fin de la saison, suivie en fil rouge tout au long des épisodes. Le premier épisode commence par une scène d'un personnage qui erre dans la rue, quelque chose s'est passé. Puis, vous êtes projeté six mois en arrière pour découvrir l'enchaînement de faits qui ont mené à cette scène d'ouverture et surtout savoir ce qu'il s'est passé.
Saison 2 (13 épisodes)
La saison 2 est également de bonne facture, mais sans doute un ton en dessous. Elle n'offre pas le même schéma scénaristique que la première. L'effet de surprise devant cette réussite n'est plus là, l'attente est plus forte, or cette saison est plus éclatée. On se concentre beaucoup plus sur la vie privée des personnages et leurs psychologies. C'est intéressant, toujours bien écrit, mais l'effet est moindre en intensité dramatique. Cependant, elle nous donne l'occasion de découvrir d'autres facettes des personnages. D'autant que les derniers épisodes retrouvent le ressort propre à ReGenesis, offrant cependant soudain une place plus importante à la géopolitique et à l'espionnage.
Le double épisode d'introduction peut nécessiter un certain temps d'adaptation, le téléspectateur se trouvant confronter à des tas de données un peu brutes. Laissez à la série le temps de prendre son envol et trouver son ton, vous ne le regretterez pas.
La suite est une reproduction d'un billet de mon blog, mais bon, ça ne peut pas faire de mal de faire un peu de prosélytisme partout .
ReGenesis - Les (nombreuses) bonnes raisons de la regarder
Ce lundi soir, de manière quasi confidentielle, s'installe sur Arte une nouvelle série, inaugurant une nouvelle optique de programmation pour la chaîne. Les deux saisons que compte actuellement la série devraient être diffusées, sachant que ReGenesis est toujours en production. La diffusion de la saison 3 est prévue pour le printemps prochain sur The Movie Network.
Arte n'est peut-être votre chaîne réflexe pour passer une soirée, mais demain, il faudra tenter l'aventure. En effet, ReGenesis est une série d'excellente facture qui mérite le détour. Elle nous introduit au coeur de la Norbac (North American Biotechnology Advisory Commission), un organisme créé le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, pour étudier et faire face aux nouveaux défis des sciences. Le laboratoire est dirigé par David Sandström, un scientifique de génie à l'égo surdimensionné et aux qualités relationnelles plus que discutables mais auquel on s'attache très vite au travers de tous ses défauts. Il est entouré d'une équipe de chercheurs zélés qui auront tous droit à des épisodes permettant au téléspectateur de les découvrir un peu plus. Une mention particulière à Bob, génie atteint du syndrome d'Asperger (une forme d'autisme) qui rend le personnage particulièrement touchant. Il vous émouvra aux larmes, soyez-en sûr. La Norbac en elle-même est dirigée par Caroline Morrison, un ex-agent de la CIA totalement étrangère au domaine des sciences, mais qui doit surtout déployer des trésors de diplomatie et de qualité humaine, pour gérer des administrations mécontentes (une attitude chronique du côté américain) et les problèmes avec toute fome d'autorité de son scientifique en chef.
La mission de la Norbac est de résoudre les diverses crises biologiques qui se déclenchent en Amérique du Nord. Ces dernières sont très variables. En effet, encouragée de manière indirecte par la main humaine, la colère de la nature peut s'avérer parfois bien plus dangereuse que l'action volontaire de l'homme. Confrontée aux progrès des sciences, l'équipe devra faire face aux dangers posés par la biotechnologie, à de nombreux dilemmes moraux sur des questions de bioéthique, à des attaques bio-terroristes...
Glaçante et terrifiante de réalisme, la série l'est incontestablement. Il est fort probable que vous ne regardiez plus les aliments dans votre assiette de la même manière. Vous aurez peut-être des réflexes un peu surprenants quand les mots 'clonage' ou 'OGM' viendront dans la conversation. L'interrogation que pose la série est claire : "The future is here. Bioterrorism. Designer babies. Frankenfoods. Suddenly Humanity possesses the ability to play god. But is it progress-or madness? Will cutting-edge science be our salvation? Or our demise? The Pandora's box of biotech is wide open. Have we gone too far ?"
La série vous sensibilise avec justesse et subtilité, par un traitement de choc, aux enjeux actuels et aux débats de nos société, sans pour autant occulter de s'intéresser à la vie privée privée des personnages principaux, dressant un savant équilibre entre les deux domaines, qui évolue peu à peu au fil de la série.
Les profanes en science, grâce à Caroline notamment, ne seront pas perdus. Il vous arrivera même sans le vouloir de retenir une ou deux explications scientifiques.
Qu'est-ce qui vous attend ? (garantie sans spoilers ;-) )
Saison 1 (13 épisodes)
La première saison est sans doute la plus réussie et la plus aboutie. Elle offre un toutélié vraiment maîtrisé et intense. Finalement tout s'éclaire et toutes les pièces du puzzle s'emboîtent lors du 13ème épisode. Des petits détails, des faits sans importance, qui ne nous avaient pas paru connectés a priori, sont finalement tous une pièce du grand puzzle que constitue la trame principale. L'intrigue initiale se résoud à la fin de la saison, suivie en fil rouge tout au long des épisodes. Le premier épisode commence par une scène d'un personnage qui erre dans la rue, quelque chose s'est passé. Puis, vous êtes projeté six mois en arrière pour découvrir l'enchaînement de faits qui ont mené à cette scène d'ouverture et surtout savoir ce qu'il s'est passé.
Saison 2 (13 épisodes)
La saison 2 est également de bonne facture, mais sans doute un ton en dessous. Elle n'offre pas le même schéma scénaristique que la première. L'effet de surprise devant cette réussite n'est plus là, l'attente est plus forte, or cette saison est plus éclatée. On se concentre beaucoup plus sur la vie privée des personnages et leurs psychologies. C'est intéressant, toujours bien écrit, mais l'effet est moindre en intensité dramatique. Cependant, elle nous donne l'occasion de découvrir d'autres facettes des personnages. D'autant que les derniers épisodes retrouvent le ressort propre à ReGenesis, offrant cependant soudain une place plus importante à la géopolitique et à l'espionnage.
Le double épisode d'introduction peut nécessiter un certain temps d'adaptation, le téléspectateur se trouvant confronter à des tas de données un peu brutes. Laissez à la série le temps de prendre son envol et trouver son ton, vous ne le regretterez pas.
Heather- Rang: Administrateur
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Date d'inscription : 08/09/2004
Re: ReGenesis
J'ai déjà tanné mon père, arguant que :
¤ ce n'était pas une série américaine
¤ que si Arte la diffusait, c'est qu'elle devait être bonne (j'ai passé sous silence l'innommable AbFab)
¤ que ça traitait de bactériologie (sans axer sur le bioterrorisme)
¤ ce n'était pas une série américaine
J'espère pouvoir me poser devant ce soir. Même si honnêtement, je ne suis pas sûre d'accrocher
¤ ce n'était pas une série américaine
¤ que si Arte la diffusait, c'est qu'elle devait être bonne (j'ai passé sous silence l'innommable AbFab)
¤ que ça traitait de bactériologie (sans axer sur le bioterrorisme)
¤ ce n'était pas une série américaine
J'espère pouvoir me poser devant ce soir. Même si honnêtement, je ne suis pas sûre d'accrocher
Holf- Directeur Adjoint
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Re: ReGenesis
J'ai regardé les premiers épisodes hier soir et je vais vous avouer pour l'instant j'ai pas franchement accroché. Autant je trouve le style franchement original et les personnages attachants. Mais très vite j'ai été largué.
Par exemple quelqu'un peut m'expliquer son histoire de jeu de mots avec le virus ebola qui signifie que l'on a changé son ADN .
C'est sûr je suivrais les prochains au moins pour me dire c'est peut-être mieux ensuite. Mais pour l'instant c'est pas encore mon truc. Et puis je trouve cela un peu lent. Mais bon à voir.
Par exemple quelqu'un peut m'expliquer son histoire de jeu de mots avec le virus ebola qui signifie que l'on a changé son ADN .
C'est sûr je suivrais les prochains au moins pour me dire c'est peut-être mieux ensuite. Mais pour l'instant c'est pas encore mon truc. Et puis je trouve cela un peu lent. Mais bon à voir.
Re: ReGenesis
j'ai pas trop accrochée non plus, faut dire que je venais de voir un zode de Dexter, ceci explique peut être cela, la difference de rythme.
Re: ReGenesis
Pourtant je trouvais ça clair. C'est simple, eux chercher un agent nommé "machin truc muche" et les petits malins qui ont fabriqués le virus l'ont caché en l'appelant "mashin truk musheuh"... Ils ont fait à pareille avec l'adn... (bon, c'est à partir de là qu'on a le droit d'être un peu largué !).Hio-Tin-Vho a écrit:Par exemple quelqu'un peut m'expliquer son histoire de jeu de mots avec le virus ebola qui signifie que l'on a changé son ADN .
Sinon, j'ai littéralement accroché aux épisodes. Je trouve au contraire qu'on a un rythme soutenu sans qu'il ne soit trop exténuant, avec de bons événements et des dialogues plutôt sympas dans leur ensemble. Et puis, il y a cette histoire de clone qui retient l'attention. Pas déçu du voyage en tout cas. J'adore.
Re: ReGenesis
Nakayomi a écrit:Pourtant je trouvais ça clair. C'est simple, eux chercher un agent nommé "machin truc muche" et les petits malins qui ont fabriqués le virus l'ont caché en l'appelant "mashin truk musheuh"... Ils ont fait à pareille avec l'adn... (bon, c'est à partir de là qu'on a le droit d'être un peu largué !).Hio-Tin-Vho a écrit:Par exemple quelqu'un peut m'expliquer son histoire de jeu de mots avec le virus ebola qui signifie que l'on a changé son ADN .
Sinon, j'ai littéralement accroché aux épisodes. Je trouve au contraire qu'on a un rythme soutenu sans qu'il ne soit trop exténuant, avec de bons événements et des dialogues plutôt sympas dans leur ensemble. Et puis, il y a cette histoire de clone qui retient l'attention. Pas déçu du voyage en tout cas. J'adore.
Ben perso j'avais compris l'histoire de la mutation même un peu avant un avec le virus porteur. Mais cette histoire de réécriture toujours rien. Sinon si on a droit à des storylines et des background je resterais. Au moins pour finir la saison. Mais si je me répètes sûrement je ne suis pas fan, fan.
Re: ReGenesis
Finalement je remercie plutôt Heather de m'avoir conseillé cette série. les premiers épisodes ne m'avaient pas emballé mais cela j'y étais plus. je dois m'habituer aux personnages. Bob par exemple je l'adore. Je suis juste un peu déçu de la mort d'Hira que je trouvais intéressante. Sinon quelques trucs drôles comme le poulet de la viande à la Téquila.
"- Tu fait mariner dans de la Téquila pendant une heure, tu passes au gril et puis tu oublies la viande."
Je me suis marré. J'attends la suite je pense que cela va aller crescendo. Fallait peut-être que de l'adaptation.
"- Tu fait mariner dans de la Téquila pendant une heure, tu passes au gril et puis tu oublies la viande."
Je me suis marré. J'attends la suite je pense que cela va aller crescendo. Fallait peut-être que de l'adaptation.
Re: ReGenesis
J'accroche de plus en plus. Le nouveau personnage est fort intéressant et Sanstrom est de plus en plus arrogant. Non deux bons épisodes qui m'ont fait une nouvelle fois plongé dans l'histoire. Je vais finir par l'adorer cette série.
Re: ReGenesis
Une bonne nouvelle : enfin une date officielle pour la saison 3 -> le 1er avril (non ce n'est pas un poisson ).
En voilà une bonne idéeJe vais finir par l'adorer cette série.
Heather- Rang: Administrateur
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