Pour l'amour d'une mère. (complète)
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Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
c'est super!!!
larissa- Agent spécial
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Age : 36
Localisation : FBI, service des personnes disparus
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Chapitre 8 :
Fatigué de faire les cent pas dans le couloir d l’hôpital en surveillant régulièrement sa montre, Jack s’arrêta devant un distributeur et commanda un café. Il sortit une fois de plus son portable et tenta d’appeler Vivian et Danny mais tomba sur leur répondeur. Il essayait depuis une heure de les joindre sans résultat et commençait à s’énerver. Il finit par composer un autre numéro.
« Spade.
-Sam, c’est Jack. Est-ce que tu as des nouvelles de Vivian et de Danny ?
-Non, pourquoi ?
-Je les ai envoyés chez la sœur de Léon White et leur ai demandés de me rejoindre ensuite. Ca fait trois heures. Ils auraient déjà dû arriver.
-Tu as essayé sur leur portable ? demanda la jeune femme même si elle se doutait de la réponse.
-Oui, mais sans succès. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Dis à Martin de se préparer, je vais passer le prendre. Et toi je voudrais que tu viennes à l’hôpital.
-Que veux tu que je fasse ?
-Essaie de parler avec Patrick puis avec Melissa. Je comptais sur Danny pour le faire, mais on va devoir se débrouiller sans lui.
-D’accord. »
Le bruit d’une lourde porte en fer la réveilla en sursaut. Instinctivement, Vivian voulut se relever mais elle le fit trop vite et sa tête tournait si violemment qu’elle fut obligée de se rassoire.
Elle se trouvait dans une petite pièce sombre et très humide, sans fenêtre, probablement une cave, pensa t-elle. En fouillant ses poches, elle se rendit compte qu’elle n’avait plus ni portefeuille, ni clés, ni arme, ni téléphone. Non loin d’elle, elle pouvait discerner la respiration haletante d’une autre personne.
« Danny ? »
Ne recevant aucune réponse, elle s’avança prudemment vers cette forme sombre à l’autre bout de la pièce qui devait être un corps. Elle ne distinguait pas grand-chose à travers la pénombre, mais une fois à ses cotés, elle pût néanmoins réaliser qu’il ne s’agissait pas de Danny, mais d’une jeune femme.
« Sarah ?
-Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Vivian Johnson. Je travaille au FBI, au service des personnes disparues. Nous vous cherchions… Que s’est-il passé ?
-C’est Léon… mon ex-mari. Je crois qu’il nous suivait en voiture, sanglota t-elle… Patrick a perdu le contrôle de la voiture…
-D’accord… Et ensuite ? Est-ce que c’est aussi Léon qui est venu vous chercher à l’hôpital ?
-Oui, j’étais trop fatiguée et il en a profité. Il voulait emmener Melissa aussi, mais il ne l’a pas trouvée.
-Elle était avec mon collègue. Ne vous inquiétez pas, elle va bien.
-Et mon mari ?
-Il est à l’hôpital. Les médecins s’occupent de lui. Je suis désolée de vous poser toutes ces questions, mais est-ce que vous savez où nous sommes ?
-Dans une cave de l’immeuble de sa sœur, je crois.
-Depuis combien de temps m’a-t-il amenée ?
-Je ne sais pas exactement, deux heures, peut être trois…
-Y avait-il quelqu’un d’autre ?
_Non, pourquoi ? »
Vivian tenta de rester calme et de ne pas se laisser submerger par l’inquiétude. Danny ne devait pas être loin. White ne l’avait pas tué elle, alors pourquoi aurait-il tué Danny ? Ayant sûrement préféré les séparer, White avait dû l’enfermer autre part, peut être dans une cave voisine.*
De plus, à cette heure-ci, Jack devait déjà s’être rendu compte de leur absence et avoir probablement débuté des recherches…
Fatigué de faire les cent pas dans le couloir d l’hôpital en surveillant régulièrement sa montre, Jack s’arrêta devant un distributeur et commanda un café. Il sortit une fois de plus son portable et tenta d’appeler Vivian et Danny mais tomba sur leur répondeur. Il essayait depuis une heure de les joindre sans résultat et commençait à s’énerver. Il finit par composer un autre numéro.
« Spade.
-Sam, c’est Jack. Est-ce que tu as des nouvelles de Vivian et de Danny ?
-Non, pourquoi ?
-Je les ai envoyés chez la sœur de Léon White et leur ai demandés de me rejoindre ensuite. Ca fait trois heures. Ils auraient déjà dû arriver.
-Tu as essayé sur leur portable ? demanda la jeune femme même si elle se doutait de la réponse.
-Oui, mais sans succès. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Dis à Martin de se préparer, je vais passer le prendre. Et toi je voudrais que tu viennes à l’hôpital.
-Que veux tu que je fasse ?
-Essaie de parler avec Patrick puis avec Melissa. Je comptais sur Danny pour le faire, mais on va devoir se débrouiller sans lui.
-D’accord. »
Le bruit d’une lourde porte en fer la réveilla en sursaut. Instinctivement, Vivian voulut se relever mais elle le fit trop vite et sa tête tournait si violemment qu’elle fut obligée de se rassoire.
Elle se trouvait dans une petite pièce sombre et très humide, sans fenêtre, probablement une cave, pensa t-elle. En fouillant ses poches, elle se rendit compte qu’elle n’avait plus ni portefeuille, ni clés, ni arme, ni téléphone. Non loin d’elle, elle pouvait discerner la respiration haletante d’une autre personne.
« Danny ? »
Ne recevant aucune réponse, elle s’avança prudemment vers cette forme sombre à l’autre bout de la pièce qui devait être un corps. Elle ne distinguait pas grand-chose à travers la pénombre, mais une fois à ses cotés, elle pût néanmoins réaliser qu’il ne s’agissait pas de Danny, mais d’une jeune femme.
« Sarah ?
-Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Vivian Johnson. Je travaille au FBI, au service des personnes disparues. Nous vous cherchions… Que s’est-il passé ?
-C’est Léon… mon ex-mari. Je crois qu’il nous suivait en voiture, sanglota t-elle… Patrick a perdu le contrôle de la voiture…
-D’accord… Et ensuite ? Est-ce que c’est aussi Léon qui est venu vous chercher à l’hôpital ?
-Oui, j’étais trop fatiguée et il en a profité. Il voulait emmener Melissa aussi, mais il ne l’a pas trouvée.
-Elle était avec mon collègue. Ne vous inquiétez pas, elle va bien.
-Et mon mari ?
-Il est à l’hôpital. Les médecins s’occupent de lui. Je suis désolée de vous poser toutes ces questions, mais est-ce que vous savez où nous sommes ?
-Dans une cave de l’immeuble de sa sœur, je crois.
-Depuis combien de temps m’a-t-il amenée ?
-Je ne sais pas exactement, deux heures, peut être trois…
-Y avait-il quelqu’un d’autre ?
_Non, pourquoi ? »
Vivian tenta de rester calme et de ne pas se laisser submerger par l’inquiétude. Danny ne devait pas être loin. White ne l’avait pas tué elle, alors pourquoi aurait-il tué Danny ? Ayant sûrement préféré les séparer, White avait dû l’enfermer autre part, peut être dans une cave voisine.*
De plus, à cette heure-ci, Jack devait déjà s’être rendu compte de leur absence et avoir probablement débuté des recherches…
Scrattounette- Elève à Quantico
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Age : 36
Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
come je l'ai déjà dit: vievement la suite!!!! j'ai trop hate!!!! continue surtout !!!
Maryam- Nouvelle recrue
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Localisation : dans mes rêves les plus fous ( bien entendu avec Danny lol )
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Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
ah viiite une suite!!!
larissa- Agent spécial
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Localisation : FBI, service des personnes disparus
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Chapitre 9 :
Martin frappa encore une fois plusieurs coups contre la porte de l’appartement de Julie White. A coté de lui, Jack s’impatientait. Il avait déjà sorti son badge et fut finalement obligé de se résigner à le remettre dans sa poche. Les deux hommes commencèrent à reculer et à reprendre l’escalier pour redescendre quand ils entendirent la porte s’ouvrir dans leur dos. Une jeune femme apparut, les yeux encore noyés de larmes et l’air exténué.
« Mademoiselle White ? »
Celle-ci dévisagea les deux agents devant elle. Elle était terrifiée mais elle savait ce qu’elle avait à faire.
« Vous êtes aussi du FBI ? » Demanda t-elle.
Martin jeta un rapide coup d’œil inquiet à Jack qui tentait de rester le plus calme possible.
« Où est Léon ?
-Je l’ignore, je vous le jure !
-Pouvons-nous entrer ?
-Allez-y ! » Dit-elle après quelques hésitations.
Elle savait ce qui l’attendait, mais elle ne pouvait plus reculer. Elle ne supportait plus tous les mensonges de son frère. Pourtant, elle l’aimait, oh oui, elle l’aimait. Après la mort de leurs parents, il avait pris soin d’elle, il s’était inquiété pour elle, comme personne d’autre ne l’avait fait. Mais aujourd’hui, ils ne pouvaient pas continuer comme ça. Elle savait pertinemment qu’elle s’apprêtait à le trahir, qu’elle allait le faire souffrir. Il avait besoin d’aide, il ne pouvait pas rester comme ça !
Jack et Martin pénétrèrent d’abord dans une petite entrée de l’appartement puis dans un petit salon. Les deux agents restèrent pétrifiés devant le spectacle qui s’offrait à leurs yeux.
« Je suis vraiment désolée », murmura la jeune femme derrière eux, tandis qu’une larme coulait le long de sa joue.
La pièce était totalement dévastée, les chaises, les livres, des lampes et beaucoup d’autres objets renversés. Martin s’avança un peu pour chercher une quelconque trace de ses collègues tandis que Jack se plaçait en face de Julie White.
« Que s’est-il passé ?
-Je suis vraiment désolée », répéta t-elle le regard obstinément posé sur ses mains.
Jack posa ses deux mains sur les épaules de la jeune femme et la força à le regarder.
« Dites moi ce qu’il s’est passé ? »
Martin pouvait entendre au ton de son patron qu’il était à bout de nerf.
« Léon était hors de lui quand il a vu les agents arriver ! Il m’a obligée, je ne pouvais pas faire autrement…
-Que vous a-t-il forcé à faire ? Ecoutez moi ! Deux de mes agents sont en danger à cause de votre frère ! J’ai besoin de savoir ce qu’il s’est passé ici !
-Nous avons attendu que vos agents arrivent… Il s’est caché dans un placard, et il m’a dit que je devais les distraire… Quand ils ont commencé à me poser des questions, Léon est sortit de sa cachette et s’est jeté d’abord sur la femme en l’assommant. Il a voulu s’occuper de l’homme ensuite, mais il s’est défendu. Léon était hors de lui, je ne l’avais jamais vu comme ça…
-Et ensuite ?
-Ils se sont battus longtemps, et je me suis cachée, j’avais trop peur… Mais…
-Mais quoi ?
-J’ai entendu un coup de feu ! »
Jack et Martin blêmirent simultanément… Ce dernier reprit rapidement son investigation à travers la pièce. Il devait savoir si le coup de feu en question avait touché quelqu’un, s’il avait touché Danny…
« Après c’était le silence. Léon est venu me voir. Il m’a dit de ne pas bouger d’où j’étais, qu’il allait revenir… J’étais morte de peur, mais je me souviens qu’il m’ait dit qu’il n’avait tué personne… Que les deux agents étaient en vie et qu’il les relâcherait dés qu’il aurait ce qu’il veut !
-C'est-à-dire ?
-Je ne sais pas… Il ne me l’a pas dit. »
Martin déglutit difficilement en apercevant dans un coin de la pièce une petite flaque de sang… L’insigne ensanglanté de son collègue était tombée à coté. Son agresseur avait dû oublier de la ramasser.
Martin frappa encore une fois plusieurs coups contre la porte de l’appartement de Julie White. A coté de lui, Jack s’impatientait. Il avait déjà sorti son badge et fut finalement obligé de se résigner à le remettre dans sa poche. Les deux hommes commencèrent à reculer et à reprendre l’escalier pour redescendre quand ils entendirent la porte s’ouvrir dans leur dos. Une jeune femme apparut, les yeux encore noyés de larmes et l’air exténué.
« Mademoiselle White ? »
Celle-ci dévisagea les deux agents devant elle. Elle était terrifiée mais elle savait ce qu’elle avait à faire.
« Vous êtes aussi du FBI ? » Demanda t-elle.
Martin jeta un rapide coup d’œil inquiet à Jack qui tentait de rester le plus calme possible.
« Où est Léon ?
-Je l’ignore, je vous le jure !
-Pouvons-nous entrer ?
-Allez-y ! » Dit-elle après quelques hésitations.
Elle savait ce qui l’attendait, mais elle ne pouvait plus reculer. Elle ne supportait plus tous les mensonges de son frère. Pourtant, elle l’aimait, oh oui, elle l’aimait. Après la mort de leurs parents, il avait pris soin d’elle, il s’était inquiété pour elle, comme personne d’autre ne l’avait fait. Mais aujourd’hui, ils ne pouvaient pas continuer comme ça. Elle savait pertinemment qu’elle s’apprêtait à le trahir, qu’elle allait le faire souffrir. Il avait besoin d’aide, il ne pouvait pas rester comme ça !
Jack et Martin pénétrèrent d’abord dans une petite entrée de l’appartement puis dans un petit salon. Les deux agents restèrent pétrifiés devant le spectacle qui s’offrait à leurs yeux.
« Je suis vraiment désolée », murmura la jeune femme derrière eux, tandis qu’une larme coulait le long de sa joue.
La pièce était totalement dévastée, les chaises, les livres, des lampes et beaucoup d’autres objets renversés. Martin s’avança un peu pour chercher une quelconque trace de ses collègues tandis que Jack se plaçait en face de Julie White.
« Que s’est-il passé ?
-Je suis vraiment désolée », répéta t-elle le regard obstinément posé sur ses mains.
Jack posa ses deux mains sur les épaules de la jeune femme et la força à le regarder.
« Dites moi ce qu’il s’est passé ? »
Martin pouvait entendre au ton de son patron qu’il était à bout de nerf.
« Léon était hors de lui quand il a vu les agents arriver ! Il m’a obligée, je ne pouvais pas faire autrement…
-Que vous a-t-il forcé à faire ? Ecoutez moi ! Deux de mes agents sont en danger à cause de votre frère ! J’ai besoin de savoir ce qu’il s’est passé ici !
-Nous avons attendu que vos agents arrivent… Il s’est caché dans un placard, et il m’a dit que je devais les distraire… Quand ils ont commencé à me poser des questions, Léon est sortit de sa cachette et s’est jeté d’abord sur la femme en l’assommant. Il a voulu s’occuper de l’homme ensuite, mais il s’est défendu. Léon était hors de lui, je ne l’avais jamais vu comme ça…
-Et ensuite ?
-Ils se sont battus longtemps, et je me suis cachée, j’avais trop peur… Mais…
-Mais quoi ?
-J’ai entendu un coup de feu ! »
Jack et Martin blêmirent simultanément… Ce dernier reprit rapidement son investigation à travers la pièce. Il devait savoir si le coup de feu en question avait touché quelqu’un, s’il avait touché Danny…
« Après c’était le silence. Léon est venu me voir. Il m’a dit de ne pas bouger d’où j’étais, qu’il allait revenir… J’étais morte de peur, mais je me souviens qu’il m’ait dit qu’il n’avait tué personne… Que les deux agents étaient en vie et qu’il les relâcherait dés qu’il aurait ce qu’il veut !
-C'est-à-dire ?
-Je ne sais pas… Il ne me l’a pas dit. »
Martin déglutit difficilement en apercevant dans un coin de la pièce une petite flaque de sang… L’insigne ensanglanté de son collègue était tombée à coté. Son agresseur avait dû oublier de la ramasser.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
danny??? dis moi juste qu'il va pas mourir....
en tout cas, vivement la suite
en tout cas, vivement la suite
Maryam- Nouvelle recrue
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Localisation : dans mes rêves les plus fous ( bien entendu avec Danny lol )
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Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Maryam a écrit: danny??? dis moi juste qu'il va pas mourir....
en tout cas, vivement la suite
Me too vivement la suite!
Chtite Sqwé- Nouvelle recrue
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Date d'inscription : 01/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
euh...oups dirai-je
viiite la suite!!!!
viiite la suite!!!!
larissa- Agent spécial
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Age : 36
Localisation : FBI, service des personnes disparus
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Chapitre 10 :
Essayant de rester concentrée sur ce que Jack lui avait demandé de faire, Sam gara sa voiture sur le parking de l’hôpital. Machinalement, elle en sortit, claqua la portière et ferma à clé la voiture à distance. Elle entra dans le hall de l’hôpital qui était bondé de monde et demanda son chemin à une infirmière.
Elle longea ensuite un long couloir blanc et s’arrêta à quelques mètres de la chambre de Melissa. Il y avait là un homme qui s’apprêtait à entrer dedans. Sa tête lui était vaguement familière. Immédiatement elle se rappela l’avoir vu sur une photo quelques heures plus tôt au bureau. Sans difficultés, elle parvînt à mettre un nom sur son visage : Léon White !
« Et vous ! Appela t-elle. Attendez ! »
L’homme se retourna vers elle, et brusquement fit demi-tour et commença à courir dans la direction opposée. Sans hésiter Sam se lança à sa poursuite en criant à un infirmier au passage d’avertir la sécurité.
Ils durent traverser tout l’hôpital en courant à en perdre haleine avant que deux gardes de la sécurité ne se jettent sur Léon White alors qu’il tentait de sortir de l’immeuble. Sam remercia les deux gardes et menotta Léon en reprenant son souffle.
De retour au bureau, Sam commença par enfermer son suspect dans une petite salle prévue à cet effet, puis le laissa seul. Elle se posta devant la glace sans teint et sortit son portable.
« Malone.
-Jack, c’est Sam. Devine qui j’ai trouvé à l’hôpital ! Léon White. Je viens de le ramener au bureau mais je n’ai pas encore eu le temps de l’interroger.
-Est-ce qu’il t’a dit quelque chose ?
-Non, rien pour l’instant. Et de votre coté, vous avez retrouvé Danny et Vivian ?
-Pas encore… La sœur de Léon vient de nous dire ce qu’il vient de se passer, je n’ai pas le temps de tout te raconter maintenant, il se peut que Danny soit blessé… Il faut que tu commences dés maintenant à interroger White avant qu’il ne réclame un avocat…
-Heu… d’accord... Jack ! Je ne sais pas si c’est important, mais il avait sur lui deux clés… On dirait des clés de cave, tu sais des caves…
-d’immeuble ! Merci Sam, je te tiens au courant ! »
La jeune femme prit une grande bouffée d’oxygène et retourna dans la salle d’interrogatoire. Tranquillement, elle prit une chaise et s’installa devant Léon.
« Alors monsieur White ?
-Je n’ai rien à vous dire !
-Vraiment ? Alors pourquoi avez-vous commencer à vous enfuir en me voyant ?
-J’ai pas mal d’amendes impayées…
-Ne jouez pas à ce petit jeu avec moi !
-Où sont Sarah Iggins et les deux agents du FBI que vous avez enlevés ?
-Je ne sais pas de quoi vous parlez !
-Si vous le savez très bien ! Et vous êtes en train d’aggraver votre cas !
-De toute façon je n’ai plus rien à perdre, pourquoi vous offrirais-je la satisfaction de vous répondre alors que vous semblez déjà connaître tellement de choses ?
-Dites-moi où ils sont ! L’un de mes collègues est peut être blessé ! Vous savez ce qu’on vous fera subir s’il arrive quelque chose à un agent fédéral par votre faute ?
-Il est déjà peut être trop tard pour lui… »
Sam ne put empêcher un frisson de parcourir tout son corps en entendant ces paroles.
« Répondez à ma question Léon !
-Je veux mon avocat ! »
Sam soupira de frustration. Elle ne pouvait plus rien faire. Elle se leva silencieusement et sortit de la pièce sans broncher alors qu’elle pouvait très bien deviner dans son dos le sourire malsain de White.
Essayant de rester concentrée sur ce que Jack lui avait demandé de faire, Sam gara sa voiture sur le parking de l’hôpital. Machinalement, elle en sortit, claqua la portière et ferma à clé la voiture à distance. Elle entra dans le hall de l’hôpital qui était bondé de monde et demanda son chemin à une infirmière.
Elle longea ensuite un long couloir blanc et s’arrêta à quelques mètres de la chambre de Melissa. Il y avait là un homme qui s’apprêtait à entrer dedans. Sa tête lui était vaguement familière. Immédiatement elle se rappela l’avoir vu sur une photo quelques heures plus tôt au bureau. Sans difficultés, elle parvînt à mettre un nom sur son visage : Léon White !
« Et vous ! Appela t-elle. Attendez ! »
L’homme se retourna vers elle, et brusquement fit demi-tour et commença à courir dans la direction opposée. Sans hésiter Sam se lança à sa poursuite en criant à un infirmier au passage d’avertir la sécurité.
Ils durent traverser tout l’hôpital en courant à en perdre haleine avant que deux gardes de la sécurité ne se jettent sur Léon White alors qu’il tentait de sortir de l’immeuble. Sam remercia les deux gardes et menotta Léon en reprenant son souffle.
De retour au bureau, Sam commença par enfermer son suspect dans une petite salle prévue à cet effet, puis le laissa seul. Elle se posta devant la glace sans teint et sortit son portable.
« Malone.
-Jack, c’est Sam. Devine qui j’ai trouvé à l’hôpital ! Léon White. Je viens de le ramener au bureau mais je n’ai pas encore eu le temps de l’interroger.
-Est-ce qu’il t’a dit quelque chose ?
-Non, rien pour l’instant. Et de votre coté, vous avez retrouvé Danny et Vivian ?
-Pas encore… La sœur de Léon vient de nous dire ce qu’il vient de se passer, je n’ai pas le temps de tout te raconter maintenant, il se peut que Danny soit blessé… Il faut que tu commences dés maintenant à interroger White avant qu’il ne réclame un avocat…
-Heu… d’accord... Jack ! Je ne sais pas si c’est important, mais il avait sur lui deux clés… On dirait des clés de cave, tu sais des caves…
-d’immeuble ! Merci Sam, je te tiens au courant ! »
La jeune femme prit une grande bouffée d’oxygène et retourna dans la salle d’interrogatoire. Tranquillement, elle prit une chaise et s’installa devant Léon.
« Alors monsieur White ?
-Je n’ai rien à vous dire !
-Vraiment ? Alors pourquoi avez-vous commencer à vous enfuir en me voyant ?
-J’ai pas mal d’amendes impayées…
-Ne jouez pas à ce petit jeu avec moi !
-Où sont Sarah Iggins et les deux agents du FBI que vous avez enlevés ?
-Je ne sais pas de quoi vous parlez !
-Si vous le savez très bien ! Et vous êtes en train d’aggraver votre cas !
-De toute façon je n’ai plus rien à perdre, pourquoi vous offrirais-je la satisfaction de vous répondre alors que vous semblez déjà connaître tellement de choses ?
-Dites-moi où ils sont ! L’un de mes collègues est peut être blessé ! Vous savez ce qu’on vous fera subir s’il arrive quelque chose à un agent fédéral par votre faute ?
-Il est déjà peut être trop tard pour lui… »
Sam ne put empêcher un frisson de parcourir tout son corps en entendant ces paroles.
« Répondez à ma question Léon !
-Je veux mon avocat ! »
Sam soupira de frustration. Elle ne pouvait plus rien faire. Elle se leva silencieusement et sortit de la pièce sans broncher alors qu’elle pouvait très bien deviner dans son dos le sourire malsain de White.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
oh nan...pourvu qu'ils arrivent à tant...mon pauvre petit danny...
Maryam- Nouvelle recrue
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Localisation : dans mes rêves les plus fous ( bien entendu avec Danny lol )
Date d'inscription : 18/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Chapitre 11 :
« Tu crois vraiment qu’il serait assez stupide pour les avoir caché dans la cave de sa propre sœur ? demanda Martin avec anxiété à son patron.
-Je n’en sais rien, mais je l’espère. C’est notre seule piste. »
Les deux agents se retrouvèrent rapidement quelques étages au dessous de l’appartement de Julie White. Un long couloir humide à peine éclairé par quelques néons défectueux s’étendait devant eux.
« Il faut se dépêcher ; d’après Sam nous n’avons pas beaucoup de temps ! »
Les deux hommes s’élancèrent alors. Ils éclairaient chaque porte avec leurs petites torches électriques qu’ils avaient prises dans leur voiture. Ils passaient rapidement en revue les numéros inscrits sur les portes des caves indiquant à quel appartement elles appartenaient.
« Jack ! J’ai trouvé, regarde ! »
Sans attendre une seconde, Martin et Jack défoncèrent la porte. Au début, ils ne virent rien à cause de l’obscurité, mais très vite, ils distinguèrent deux formes dans un coin de la pièce.
« Jack ! Soupira Vivian de soulagement. »
Celui-ci s’approcha de sa collègue pendant que Martin examinait le reste de la pièce.
« Vous allez bien ?
-Oui, Sarah est un peu sonnée mais ça va aller.
-Où est Danny ? Intervînt Martin.
-Vous ne l’avez pas retrouvez ? White a dû l’enfermer autre part… Je ne sais pas où !
-D’accord. Emmène Sarah hors d’ici. Tiens, prend mon portable. Tu appelles une ambulance dés que tu peux et tu restes avec elle. Nous allons le retrouver !
-Où est White ?
-Sam l’a arrêté à l’hôpital tout à l’heure. Allez, fais ce que je t’ai dit.
-D’accord. »
Martin et Jack aidèrent les deux femmes à se relever avant de repartir à la recherche de leur collègue manquant. Il était peut être dans une autre cave mais ils n’en n’étaient pas sûrs. Rien ne permettait de l’affirmer.
Alors que Martin avançait plus rapidement en tapant à chaque porte en attente d’une quelconque réponse, Jack lui observait minutieusement le sol avec sa torche quand soudain son regard fut attiré par deux petites taches sombres. Il s’accroupit et les regarda plus attentivement.
« Martin ! On est sur la bonne voie !
-Qu’est-ce que tu as trouvé ?
-Du sang ! »
Jack se releva et porta sa torche un peu plus loin devant lui, toujours sur le sol. Il repéra ainsi plusieurs autres gouttes de sang. Les deux agents lui suivirent pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’elles s’arrêtent devant une porte. Martin voulut l’ouvrir, mais elle était fermée à clé. Il tapa dessus et appela Danny dans l’espoir de recevoir une réponse, mais seul le silence lui répondit.
« Tu crois vraiment qu’il serait assez stupide pour les avoir caché dans la cave de sa propre sœur ? demanda Martin avec anxiété à son patron.
-Je n’en sais rien, mais je l’espère. C’est notre seule piste. »
Les deux agents se retrouvèrent rapidement quelques étages au dessous de l’appartement de Julie White. Un long couloir humide à peine éclairé par quelques néons défectueux s’étendait devant eux.
« Il faut se dépêcher ; d’après Sam nous n’avons pas beaucoup de temps ! »
Les deux hommes s’élancèrent alors. Ils éclairaient chaque porte avec leurs petites torches électriques qu’ils avaient prises dans leur voiture. Ils passaient rapidement en revue les numéros inscrits sur les portes des caves indiquant à quel appartement elles appartenaient.
« Jack ! J’ai trouvé, regarde ! »
Sans attendre une seconde, Martin et Jack défoncèrent la porte. Au début, ils ne virent rien à cause de l’obscurité, mais très vite, ils distinguèrent deux formes dans un coin de la pièce.
« Jack ! Soupira Vivian de soulagement. »
Celui-ci s’approcha de sa collègue pendant que Martin examinait le reste de la pièce.
« Vous allez bien ?
-Oui, Sarah est un peu sonnée mais ça va aller.
-Où est Danny ? Intervînt Martin.
-Vous ne l’avez pas retrouvez ? White a dû l’enfermer autre part… Je ne sais pas où !
-D’accord. Emmène Sarah hors d’ici. Tiens, prend mon portable. Tu appelles une ambulance dés que tu peux et tu restes avec elle. Nous allons le retrouver !
-Où est White ?
-Sam l’a arrêté à l’hôpital tout à l’heure. Allez, fais ce que je t’ai dit.
-D’accord. »
Martin et Jack aidèrent les deux femmes à se relever avant de repartir à la recherche de leur collègue manquant. Il était peut être dans une autre cave mais ils n’en n’étaient pas sûrs. Rien ne permettait de l’affirmer.
Alors que Martin avançait plus rapidement en tapant à chaque porte en attente d’une quelconque réponse, Jack lui observait minutieusement le sol avec sa torche quand soudain son regard fut attiré par deux petites taches sombres. Il s’accroupit et les regarda plus attentivement.
« Martin ! On est sur la bonne voie !
-Qu’est-ce que tu as trouvé ?
-Du sang ! »
Jack se releva et porta sa torche un peu plus loin devant lui, toujours sur le sol. Il repéra ainsi plusieurs autres gouttes de sang. Les deux agents lui suivirent pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’elles s’arrêtent devant une porte. Martin voulut l’ouvrir, mais elle était fermée à clé. Il tapa dessus et appela Danny dans l’espoir de recevoir une réponse, mais seul le silence lui répondit.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Ah mais non, moi je veux la suite DANNY!!!!!!
Jeveux la suite please
Jeveux la suite please
Chtite Sqwé- Nouvelle recrue
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Date d'inscription : 01/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
comme je l'ai déja dit sur l'autre site, vivement la suite parce que là je panqieu pour mon petit danny!!!!
Maryam- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 180
Localisation : dans mes rêves les plus fous ( bien entendu avec Danny lol )
Date d'inscription : 18/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Chapitre 11 :
Martin défonça la porte d’un violent coup de pied et balaya la pièce avec sa lampe torche. Son regard commença par tomber sur une traînée de sang sur le sol. Il la suivit et distingua le corps inerte de son ami dans un coin de la pièce. Son sang ne fit qu’un tour dans sa poitrine et il accourut à ses cotés.
« Danny ! »
Jack s’approcha à son tour du corps de son jeune collègue. Il ne distinguait pas grand-chose, éclairé seulement par les deux petites torches électriques et le mauvais éclairage du couloir. Danny était inconscient, mais il était vivant comme le confirmait sa respiration haletante. Il promena sa petite lumière sur le corps pour savoir où il était blessé exactement. Il y avait beaucoup de sang sur ses vêtements et autour de lui. Soudain, il aperçut son bras gauche plus ensanglanté que le reste de son corps.
« Danny ! Tu m’entends ? »
A coté de lui, Martin savait que la meilleure chose à faire dans ces circonstances était de tenir éveillé la victime. C’est pourquoi, il l’appelait doucement en lui serrant la main droite.
« Il a reçu une balle dans le bras, commenta Jack. Ce n’est pas trop grave en soi mais il perdu trop de sang. Va voir en haut si l’ambulance que Vivian a dû appeler est arrivée ! Vite ! »
Le jeune homme acquiesça et jeta un coup d’œil inquiet à son ami avant de s’élancer vers la sortie. Pendant ce temps là, Jack examina un peu plus la blessure de Danny. Mais il ne pouvait rien voir, car son collègue avait noué sa cravate autour pour tenter de stopper ou de ralentir l’hémorragie.
« Danny ! C’est Jack ! Ouvre les yeux, s’il te plait ! »
L’atmosphère était étrange autour de lui. Il avait presque l’impression de ne plus être dans son corps. Il ne ressentait même plus la douleur. Seule lui restait cette horrible sensation de froid qui entrait en lui, sans qu’il puisse intervenir.
Mais, soudainement, il avait entendu des voix autour de lui. Des voix familières mais lointaines… Il se concentra sur elle, s’y accrocha comme s’il s’agissait de la dernière chose réelle dont il avait conscience.
Maintenant quelqu’un l’appelait avec insistance. Il était fatigué, voulait dormir, mais cette voix l’en empêchait. Lentement, il essaya d’aller vers elle, et la douleur commença à revenir.
Jack put alors voir son visage se contracter sous la douleur et l’effort.
« C’est ça Danny ! Ouvre les yeux !
-J…Jack ?
-Oui, c’est moi. Tiens bon, les secours arrivent ! Ca va aller !
-J… J’ai fr… froid…
-Je sais, c’est normal, tu as perdu beaucoup de sang. Il faut que tu restes conscient, ça va aller. »
Jack lui serra la main et Danny s’y accrocha de toutes ses forces pendant que son patron continuait de l’encourager. Puis, Jack sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna sans lâcher la main de son collègue et aperçut trois hommes derrières lui, habillés en uniforme d’ambulancier.
« Nous allons nous occuper de lui, maintenant, monsieur. Vous devriez vous reculer pour que nous puissions faire notre travail. »
Presque à contre coeur, Jack s'écarta lentement, lâchant la main de Danny, alors que celui-ci avait refermé les yeux.
Martin défonça la porte d’un violent coup de pied et balaya la pièce avec sa lampe torche. Son regard commença par tomber sur une traînée de sang sur le sol. Il la suivit et distingua le corps inerte de son ami dans un coin de la pièce. Son sang ne fit qu’un tour dans sa poitrine et il accourut à ses cotés.
« Danny ! »
Jack s’approcha à son tour du corps de son jeune collègue. Il ne distinguait pas grand-chose, éclairé seulement par les deux petites torches électriques et le mauvais éclairage du couloir. Danny était inconscient, mais il était vivant comme le confirmait sa respiration haletante. Il promena sa petite lumière sur le corps pour savoir où il était blessé exactement. Il y avait beaucoup de sang sur ses vêtements et autour de lui. Soudain, il aperçut son bras gauche plus ensanglanté que le reste de son corps.
« Danny ! Tu m’entends ? »
A coté de lui, Martin savait que la meilleure chose à faire dans ces circonstances était de tenir éveillé la victime. C’est pourquoi, il l’appelait doucement en lui serrant la main droite.
« Il a reçu une balle dans le bras, commenta Jack. Ce n’est pas trop grave en soi mais il perdu trop de sang. Va voir en haut si l’ambulance que Vivian a dû appeler est arrivée ! Vite ! »
Le jeune homme acquiesça et jeta un coup d’œil inquiet à son ami avant de s’élancer vers la sortie. Pendant ce temps là, Jack examina un peu plus la blessure de Danny. Mais il ne pouvait rien voir, car son collègue avait noué sa cravate autour pour tenter de stopper ou de ralentir l’hémorragie.
« Danny ! C’est Jack ! Ouvre les yeux, s’il te plait ! »
L’atmosphère était étrange autour de lui. Il avait presque l’impression de ne plus être dans son corps. Il ne ressentait même plus la douleur. Seule lui restait cette horrible sensation de froid qui entrait en lui, sans qu’il puisse intervenir.
Mais, soudainement, il avait entendu des voix autour de lui. Des voix familières mais lointaines… Il se concentra sur elle, s’y accrocha comme s’il s’agissait de la dernière chose réelle dont il avait conscience.
Maintenant quelqu’un l’appelait avec insistance. Il était fatigué, voulait dormir, mais cette voix l’en empêchait. Lentement, il essaya d’aller vers elle, et la douleur commença à revenir.
Jack put alors voir son visage se contracter sous la douleur et l’effort.
« C’est ça Danny ! Ouvre les yeux !
-J…Jack ?
-Oui, c’est moi. Tiens bon, les secours arrivent ! Ca va aller !
-J… J’ai fr… froid…
-Je sais, c’est normal, tu as perdu beaucoup de sang. Il faut que tu restes conscient, ça va aller. »
Jack lui serra la main et Danny s’y accrocha de toutes ses forces pendant que son patron continuait de l’encourager. Puis, Jack sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna sans lâcher la main de son collègue et aperçut trois hommes derrières lui, habillés en uniforme d’ambulancier.
« Nous allons nous occuper de lui, maintenant, monsieur. Vous devriez vous reculer pour que nous puissions faire notre travail. »
Presque à contre coeur, Jack s'écarta lentement, lâchant la main de Danny, alors que celui-ci avait refermé les yeux.
Scrattounette- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 355
Age : 36
Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
wohh pauvre danny!
enfin heureusement il est en vie!
j'attends ta suite!
enfin heureusement il est en vie!
j'attends ta suite!
larissa- Agent spécial
- Nombre de messages : 1169
Age : 36
Localisation : FBI, service des personnes disparus
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
waouh, mon pauvre Danny...
c'est horrible ce qu'on est sadique avec lui !!!
Franchement, scratounette, ta fanfic est géniale, d'ailleurs ta première l'était auss, j'avais adoré !
Mais qu'est-ce que t'aimes le faire souffrir notre danny ( en deux fics, il a déja été blessé gravment trois fois ) Mais tu sais bien qu'on adore ça !
COntinue comme ça, une petite suite !
c'est horrible ce qu'on est sadique avec lui !!!
Franchement, scratounette, ta fanfic est géniale, d'ailleurs ta première l'était auss, j'avais adoré !
Mais qu'est-ce que t'aimes le faire souffrir notre danny ( en deux fics, il a déja été blessé gravment trois fois ) Mais tu sais bien qu'on adore ça !
COntinue comme ça, une petite suite !
titelilou- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 106
Age : 33
Localisation : Nantes - France
Date d'inscription : 05/06/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Merci beaucoup pour tous vos commentaires chaleureux et vos encouragements qui vont droit au coeur.
Voici la fin de cette fic, j'espère qu'elle vous plaira.
Biz à tous.
Chapitre 12 :
« Jack ? … Jack ? »
Perdu dans ses pensées et ses inquiétudes, celui-ci ne s’était même pas aperçut de la présence de Vivian avant qu’elle ne se manifeste.
« Excuse-moi ! Je ne t’avais pas vu.
-Ce n’est rien. Ca va toi ?
-Oui, oui, ne t’inquiète pas !
-D’accord. Sarah n’a rien, les médecins viennent de l’examiner. Je vais l’emmener voir sa fille et son mari. J’ai pensé que sa déposition pouvait attendre un peu. J’ai aussi téléphoné à Sam, elle est en chemin. Où est Martin ?
-Parti chercher quelque chose à boire. Nous allons attendre ici d’avoir des nouvelles de Danny. On te préviendra dés qu’il y aura du nouveau.
-J’espère bien, dit-elle en souriant, mais voyant que son collègue réagissait à peine, elle posa une main sur son épaule. Ca va aller, Jack ! Tu connais Danny, c’est un dur à cuire ! Il lui en faut plus que ça pour en venir about
-Tu as raison.
-Bien sûr que j’ai raison ! »
Vivian tourna es talons et entraîna Sarah qui l’attendait non loin de là jusqu’à la chambre de sa fille.
Sam arriva en tout hâte à l’hôpital après le coup de téléphone de Vivian. Elle rencontra Martin alors qu’elle cherchait ses collègues pour avoir des nouvelles.
« Comment va-t-il ?
-On ne sait pas encore, les médecins sont encore avec lui. »
La jeune femme hocha silencieusement de la tête et suivit son collègue jusqu’à Jack en repensant à ce que Léon White lui avait dit quelques minutes plus tôt.
Flash Back :
« Monsieur White ! Nous avons retrouvé votre ex-femme et nos agents où vous les aviez enfermés. Une équipe va venir vous chercher d’ici peu pour vous emmener à la prison fédérale.
-Je ne voulais pas blesser votre collègue ! Mais il s’est défendu… Tout ce que je voulais, c’était récupérer ma famille, et si vous n’étiez pas intervenu, j’aurais réussi.
-Cela s’appelle un kidnapping ! Sarah ne vous en aurait que plus détesté !
-Je voulais juste qu’elle m’aime comme avant, vous comprenez. Elle était la mère de ma fille ! On aurait pu vivre à nouveau tous les trois ensemble.
-Il y a d’autre manière d’aimer quelqu’un !
-Je n’étais pas comme ça avant ! Tout allait bien avant. J’avais un bon travail, Sarah m’attendait à la maison avec Melissa dans les bras. Et puis j’ai eu cet accident de travail, tout est allé de travers…
-Vous avez commencé à boire… Je me trompe ? Vous avez bu de plus en plus… Alors que vous aviez une superbe famille autour de vous ! Mais, vous avez préféré vous morfondre et Sarah s’est éloignée ! Elle ne serait pas partie si vous vous étiez repris en main ! »
Léon regarda Sam s’éloigner, alors qu’une larme coulait le long de sa joue. Elle avait raison, il aurait dû se reprendre en main. Mais maintenant, il avait tout perdu.
Fin du flash Back.
Jack était debout devant un médecin et les deux hommes semblaient être en grande conversation. Martin et Sam ne savaient pas s’ils pouvaient intervenir, mais Jack les ayant aperçut du coin de l’œil, il leur fit signe de s’approcher. Le médecin attendit qu’ils soient tous les deux assez proches pour reprendre ses explications.
« L’gent Taylor a eu beaucoup de chance, comme je le disais à votre collègue. Nous avons pu extraire la balle de son bras sans difficultés. Néanmoins, il a perdu beaucoup de sang, ce qui l’a affaibli. Donc, nous allons le garder à l’hôpital plusieurs jours. Mais il va s’en sortir. Il va juste avoir besoin de repos et de patience !
-Merci docteur.
-De rien. »
Jack poussa un soupir de soulagement. Il ne se serait jamais pardonné d’être arrivé trop tard pour Danny.
Voici la fin de cette fic, j'espère qu'elle vous plaira.
Biz à tous.
Chapitre 12 :
« Jack ? … Jack ? »
Perdu dans ses pensées et ses inquiétudes, celui-ci ne s’était même pas aperçut de la présence de Vivian avant qu’elle ne se manifeste.
« Excuse-moi ! Je ne t’avais pas vu.
-Ce n’est rien. Ca va toi ?
-Oui, oui, ne t’inquiète pas !
-D’accord. Sarah n’a rien, les médecins viennent de l’examiner. Je vais l’emmener voir sa fille et son mari. J’ai pensé que sa déposition pouvait attendre un peu. J’ai aussi téléphoné à Sam, elle est en chemin. Où est Martin ?
-Parti chercher quelque chose à boire. Nous allons attendre ici d’avoir des nouvelles de Danny. On te préviendra dés qu’il y aura du nouveau.
-J’espère bien, dit-elle en souriant, mais voyant que son collègue réagissait à peine, elle posa une main sur son épaule. Ca va aller, Jack ! Tu connais Danny, c’est un dur à cuire ! Il lui en faut plus que ça pour en venir about
-Tu as raison.
-Bien sûr que j’ai raison ! »
Vivian tourna es talons et entraîna Sarah qui l’attendait non loin de là jusqu’à la chambre de sa fille.
Sam arriva en tout hâte à l’hôpital après le coup de téléphone de Vivian. Elle rencontra Martin alors qu’elle cherchait ses collègues pour avoir des nouvelles.
« Comment va-t-il ?
-On ne sait pas encore, les médecins sont encore avec lui. »
La jeune femme hocha silencieusement de la tête et suivit son collègue jusqu’à Jack en repensant à ce que Léon White lui avait dit quelques minutes plus tôt.
Flash Back :
« Monsieur White ! Nous avons retrouvé votre ex-femme et nos agents où vous les aviez enfermés. Une équipe va venir vous chercher d’ici peu pour vous emmener à la prison fédérale.
-Je ne voulais pas blesser votre collègue ! Mais il s’est défendu… Tout ce que je voulais, c’était récupérer ma famille, et si vous n’étiez pas intervenu, j’aurais réussi.
-Cela s’appelle un kidnapping ! Sarah ne vous en aurait que plus détesté !
-Je voulais juste qu’elle m’aime comme avant, vous comprenez. Elle était la mère de ma fille ! On aurait pu vivre à nouveau tous les trois ensemble.
-Il y a d’autre manière d’aimer quelqu’un !
-Je n’étais pas comme ça avant ! Tout allait bien avant. J’avais un bon travail, Sarah m’attendait à la maison avec Melissa dans les bras. Et puis j’ai eu cet accident de travail, tout est allé de travers…
-Vous avez commencé à boire… Je me trompe ? Vous avez bu de plus en plus… Alors que vous aviez une superbe famille autour de vous ! Mais, vous avez préféré vous morfondre et Sarah s’est éloignée ! Elle ne serait pas partie si vous vous étiez repris en main ! »
Léon regarda Sam s’éloigner, alors qu’une larme coulait le long de sa joue. Elle avait raison, il aurait dû se reprendre en main. Mais maintenant, il avait tout perdu.
Fin du flash Back.
Jack était debout devant un médecin et les deux hommes semblaient être en grande conversation. Martin et Sam ne savaient pas s’ils pouvaient intervenir, mais Jack les ayant aperçut du coin de l’œil, il leur fit signe de s’approcher. Le médecin attendit qu’ils soient tous les deux assez proches pour reprendre ses explications.
« L’gent Taylor a eu beaucoup de chance, comme je le disais à votre collègue. Nous avons pu extraire la balle de son bras sans difficultés. Néanmoins, il a perdu beaucoup de sang, ce qui l’a affaibli. Donc, nous allons le garder à l’hôpital plusieurs jours. Mais il va s’en sortir. Il va juste avoir besoin de repos et de patience !
-Merci docteur.
-De rien. »
Jack poussa un soupir de soulagement. Il ne se serait jamais pardonné d’être arrivé trop tard pour Danny.
Scrattounette- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 355
Age : 36
Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
C'était très bien comme toujours
milaya- Enquêtes internes
- Nombre de messages : 2111
Age : 48
Localisation : le mans
Date d'inscription : 21/01/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
excellent!!!!
Maryam- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 180
Localisation : dans mes rêves les plus fous ( bien entendu avec Danny lol )
Date d'inscription : 18/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
super !!! mon pauvre danny
titelilou- Nouvelle recrue
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Age : 33
Localisation : Nantes - France
Date d'inscription : 05/06/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Merci à tous!
Bientôt lz prochaine j'espère!
Bientôt lz prochaine j'espère!
Scrattounette- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 355
Age : 36
Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Pour l'amour d'une mère. (complète)
Désolée pour le retard, c'était super!
Chtite Sqwé- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 150
Date d'inscription : 01/04/2006
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