Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Merci pour vos coms voilà une grosse suite!
Jack lui répondit qu’il fallait continuer l’enquête sur Kim Bauer, elle ne pouvait pas être pénalisée parce que des agents étaient en danger. Mais il fallait que les terroristes ne sachent pas que l’enquête continuait sinon ils tueraient les deux agents. Jack ne savait pas comment s’y prendre pour mener ces deux affaires de front. En désespoir de cause, il décida d’informer Paula Van Doren de la situation. Elle pourrait peut-être l’aider.
A Los Angeles, Tony Almeida venait d’expliquer la situation à sa femme. Celle-ci ne voulait pas nuire à Jack ni mettre la vie de sa fille en péril mais le pays courrait un grave danger et il fallait l’empêcher. Elle voulait donc tout dire au FBI. Tony hésita avant de finalement accepter cette idée. Il appela donc Jack Malone et lui expliqua la situation. De son côté, Jack l’annonça à Van Doren. Celle-ci était énervée :
« Jack, tu aurais du me dire que Kim Bauer avait été enlevée pour faire chanter son père ! ».
« Je sais mais j’ai cru pouvoir gérer ça ! ».
« Eh bien, non visiblement ! Deux de nos agents sont en danger et pour couronner le tout, Bauer est dans la nature prêt à faire je ne sais quoi ! ».
« Désolé Paula, j’ai besoin de ton aide ! ».
« Je n’ai pas le choix ! Une autre équipe va s’occuper de la disparition de Kim Bauer et vous de Martin et Danny ».
« Paula, il faut qu’ils soient très discrets, la vie de nos agents est en danger ! ».
« Je sais, ils seront discrets ne t’en fais pas ».
Une nouvelle équipe prit alors le relais dans l’enquête sur Kim Bauer, il fallait faire très attention de ne pas éveiller les soupçons des terroristes. Pendant ce temps là, Jack et ses agents essayaient de savoir où Danny et Martin avaient bien pu être emmenés.
De leur côté, Danny et Martin étaient emmenés dans un autre lieu de détention. Martin avait mal à la tête et son nez avait enflé. Danny tenta de le rassurer alors qu’ils se trouvaient dans une camionnette qui les emmenait vers leur nouvelle destination. Après quelques instants, la camionnette s’arrêta. Ibrahim et John la quittèrent puis firent sortirent les deux agents. Ils se trouvaient dans le garage d’une maison particulière. Ils furent emmenés à l’intérieur où un homme les accueillit. L’homme échangea discrètement quelques mots avec John et Ibrahim puis il les invita à descendre les deux otages à la cave. Martin et Danny furent donc conduits à la cave. Ils arrivèrent dans une pièce de taille moyenne, bien éclairée mais humide. Alors qu’ils entrèrent à l’intérieur, ils distinguèrent une personne recroquevillée sur elle-même dans le fond de la pièce. C’était une jeune femme blonde, Danny se tourna alors vers Martin pour voir sa réaction et lui aussi avait compris, cette jeune femme qui se trouvait là devant eux était Kim Bauer. Danny et Martin furent assis dans le fond de la cave et attachés avec leurs menottes à un conduit. Kim Bauer était aussi attachée à l’aide de menotte à ce même conduit. John et Ibrahim remontèrent dans la maison laissant donc les deux agents en compagnie de Kim. Danny brisa la glace en premier :
« Tu es Kim Bauer n’est-ce pas ? ».
« Oui » répondit faiblement la jeune femme puis elle ajouta : « Et vous qui êtes-vous et comment savez-vous qui je suis ?».
« Je m’appelle Danny Taylor et lui c’est Martin Fitzgerald, nous sommes du FBI. On enquêtait sur ta disparition et on nous a enlevé ».
« Cette histoire est vraiment dingue ! Qu’est-ce qui lui est arrivé ? » dit-elle en désignant Martin.
« Ils l’ont frappé, ces salauds ! ».
« Ils sont vraiment dangereux ! Vous croyez qu’on va mourir ? »
« On va tout faire pour s’en sortir, crois-moi ! » termina Danny.
A New-York, la nouvelle équipe qui enquêtait sur la disparition de Kim Bauer surveillait discrètement Omar Benjani. Ils décidèrent de le suivre dans ses déplacements et en arrivèrent à une conclusion simple : Benjani n’avait apparemment aucun lien avec une activité terroriste.
A Los Angeles, Jack Bauer reçu enfin les instructions des terroristes, ceux-ci lui avaient demandé de venir chercher une mallette se trouvant à la consigne de la gare. Il devait ensuite l’amener à la CAT sans se faire fouiller. Les terroristes n’avaient pas précisé à Jack ce qui se trouvait dans la mallette mais il se doutait bien que son contenu devait être quelque chose de très dangereux puisqu’il devait à tout prix se débrouiller pour rentrer à la CAT sans se faire fouiller. Jack s’apprêta donc à se rendre à la gare.
Martin et Danny étaient toujours détenus avec Kim. Tout à coup, une femme rentra dans la cave et leur apporta à manger. En entrant, elle dévisagea Danny mais quand à son tour il posa son regard sur elle, elle détourna les yeux. Danny lui demanda alors s’il pouvait avoir quelque chose pour soigner Martin. La jeune femme lui dit qu’elle allait demander. Elle quitta alors la cave et remonta à l’étage. Elle arriva dans le salon où les trois hommes regardaient la télévision. La jeune femme appela son petit ami :
« Khaled, tu peux venir ? ».
« Quoi ! » dit-il sur un ton méprisant.
« Un des otages est blessé, il faudrait le soigner ».
« Tu te prends pour Mère Térésa ou quoi ? ».
« Je le soignerais d’accord ».
« Bon d’accord mais il faut que tu aies à la pharmacie car il n’y a rien ici, redescends voir ce dont il a réellement besoin et grouilles toi ! ».
« J’y vais » répondit-elle.
Elle descendit alors dans la cave. Danny avait remarqué que la jeune femme était mal à l’aise et il décida de tenter de lui parler. Elle s’approcha de Martin et regarda ses blessures. Elle lui demanda s’il allait bien, Martin lui dit qu’il avait mal à la tête. Elle lui répondit qu’elle allait acheter des médicaments à la pharmacie pour lui. A ce moment là, Danny l’interpella :
« Comment vous appelez-vous ? ».
La jeune fille fut décontenancée et elle balbutia : « Euh, je ne peux rien vous dire ».
Danny voyait que la jeune fille avait l’air douce et gentille. Il insista alors :
« Que faites-vous là ? Vous n’êtes pas une terroriste ! ».
« Qu’en savez-vous » dit-elle.
« Vous êtes trop gentille. Vous nous avez emmené de la nourriture et maintenant vous vous inquiétez de la santé de mon ami alors croyez-moi, je vois bien que vous n’êtes pas comme eux ! ».
« Merci » dit-elle puis elle ajouta : « Je m’appelle Olivia ».
« Olivia, c’est très joli » lui dit Danny puis il continua : « Nous sommes des agents fédéraux et vous allez avoir de très gros ennuis, vous risquez la peine de mort et franchement je n’aurais pas envie qu’une fille comme vous soit pénalisée ».
« C’est trop tard » dit-elle.
« Non, je peux vous aider ».
« Comment ? ».
« Faites-nous sortir d’ici et je vous promets que rien ne sera retenu contre vous ».
« Je ne saurais pas ! Khaled, mon ami, je sais qu’il est bizarre parfois mais je ne savais pas qu’il allait kidnapper des gens ! J’ai l’impression d’être dans un mauvais film ! ».
« Vous pouvez en sortir ! Aidez-nous ! ».
« Khaled me tuera ! ».
« Vous savez ce qu’on va faire ? En allant à la pharmacie, vous allez prendre des somnifères et vous allez drogué les gars en haut et prendre les clefs des menottes pour nous faire sortir o.k. ? ».
La jeune femme réfléchit un instant puis finalement elle accepta. C’était son seul moyen de se sortir de tout ça et d’enfin quitter Khaled. Elle remonta alors à l’étage, prit de l’argent puis se rendit à la pharmacie.
Jack lui répondit qu’il fallait continuer l’enquête sur Kim Bauer, elle ne pouvait pas être pénalisée parce que des agents étaient en danger. Mais il fallait que les terroristes ne sachent pas que l’enquête continuait sinon ils tueraient les deux agents. Jack ne savait pas comment s’y prendre pour mener ces deux affaires de front. En désespoir de cause, il décida d’informer Paula Van Doren de la situation. Elle pourrait peut-être l’aider.
A Los Angeles, Tony Almeida venait d’expliquer la situation à sa femme. Celle-ci ne voulait pas nuire à Jack ni mettre la vie de sa fille en péril mais le pays courrait un grave danger et il fallait l’empêcher. Elle voulait donc tout dire au FBI. Tony hésita avant de finalement accepter cette idée. Il appela donc Jack Malone et lui expliqua la situation. De son côté, Jack l’annonça à Van Doren. Celle-ci était énervée :
« Jack, tu aurais du me dire que Kim Bauer avait été enlevée pour faire chanter son père ! ».
« Je sais mais j’ai cru pouvoir gérer ça ! ».
« Eh bien, non visiblement ! Deux de nos agents sont en danger et pour couronner le tout, Bauer est dans la nature prêt à faire je ne sais quoi ! ».
« Désolé Paula, j’ai besoin de ton aide ! ».
« Je n’ai pas le choix ! Une autre équipe va s’occuper de la disparition de Kim Bauer et vous de Martin et Danny ».
« Paula, il faut qu’ils soient très discrets, la vie de nos agents est en danger ! ».
« Je sais, ils seront discrets ne t’en fais pas ».
Une nouvelle équipe prit alors le relais dans l’enquête sur Kim Bauer, il fallait faire très attention de ne pas éveiller les soupçons des terroristes. Pendant ce temps là, Jack et ses agents essayaient de savoir où Danny et Martin avaient bien pu être emmenés.
De leur côté, Danny et Martin étaient emmenés dans un autre lieu de détention. Martin avait mal à la tête et son nez avait enflé. Danny tenta de le rassurer alors qu’ils se trouvaient dans une camionnette qui les emmenait vers leur nouvelle destination. Après quelques instants, la camionnette s’arrêta. Ibrahim et John la quittèrent puis firent sortirent les deux agents. Ils se trouvaient dans le garage d’une maison particulière. Ils furent emmenés à l’intérieur où un homme les accueillit. L’homme échangea discrètement quelques mots avec John et Ibrahim puis il les invita à descendre les deux otages à la cave. Martin et Danny furent donc conduits à la cave. Ils arrivèrent dans une pièce de taille moyenne, bien éclairée mais humide. Alors qu’ils entrèrent à l’intérieur, ils distinguèrent une personne recroquevillée sur elle-même dans le fond de la pièce. C’était une jeune femme blonde, Danny se tourna alors vers Martin pour voir sa réaction et lui aussi avait compris, cette jeune femme qui se trouvait là devant eux était Kim Bauer. Danny et Martin furent assis dans le fond de la cave et attachés avec leurs menottes à un conduit. Kim Bauer était aussi attachée à l’aide de menotte à ce même conduit. John et Ibrahim remontèrent dans la maison laissant donc les deux agents en compagnie de Kim. Danny brisa la glace en premier :
« Tu es Kim Bauer n’est-ce pas ? ».
« Oui » répondit faiblement la jeune femme puis elle ajouta : « Et vous qui êtes-vous et comment savez-vous qui je suis ?».
« Je m’appelle Danny Taylor et lui c’est Martin Fitzgerald, nous sommes du FBI. On enquêtait sur ta disparition et on nous a enlevé ».
« Cette histoire est vraiment dingue ! Qu’est-ce qui lui est arrivé ? » dit-elle en désignant Martin.
« Ils l’ont frappé, ces salauds ! ».
« Ils sont vraiment dangereux ! Vous croyez qu’on va mourir ? »
« On va tout faire pour s’en sortir, crois-moi ! » termina Danny.
A New-York, la nouvelle équipe qui enquêtait sur la disparition de Kim Bauer surveillait discrètement Omar Benjani. Ils décidèrent de le suivre dans ses déplacements et en arrivèrent à une conclusion simple : Benjani n’avait apparemment aucun lien avec une activité terroriste.
A Los Angeles, Jack Bauer reçu enfin les instructions des terroristes, ceux-ci lui avaient demandé de venir chercher une mallette se trouvant à la consigne de la gare. Il devait ensuite l’amener à la CAT sans se faire fouiller. Les terroristes n’avaient pas précisé à Jack ce qui se trouvait dans la mallette mais il se doutait bien que son contenu devait être quelque chose de très dangereux puisqu’il devait à tout prix se débrouiller pour rentrer à la CAT sans se faire fouiller. Jack s’apprêta donc à se rendre à la gare.
Martin et Danny étaient toujours détenus avec Kim. Tout à coup, une femme rentra dans la cave et leur apporta à manger. En entrant, elle dévisagea Danny mais quand à son tour il posa son regard sur elle, elle détourna les yeux. Danny lui demanda alors s’il pouvait avoir quelque chose pour soigner Martin. La jeune femme lui dit qu’elle allait demander. Elle quitta alors la cave et remonta à l’étage. Elle arriva dans le salon où les trois hommes regardaient la télévision. La jeune femme appela son petit ami :
« Khaled, tu peux venir ? ».
« Quoi ! » dit-il sur un ton méprisant.
« Un des otages est blessé, il faudrait le soigner ».
« Tu te prends pour Mère Térésa ou quoi ? ».
« Je le soignerais d’accord ».
« Bon d’accord mais il faut que tu aies à la pharmacie car il n’y a rien ici, redescends voir ce dont il a réellement besoin et grouilles toi ! ».
« J’y vais » répondit-elle.
Elle descendit alors dans la cave. Danny avait remarqué que la jeune femme était mal à l’aise et il décida de tenter de lui parler. Elle s’approcha de Martin et regarda ses blessures. Elle lui demanda s’il allait bien, Martin lui dit qu’il avait mal à la tête. Elle lui répondit qu’elle allait acheter des médicaments à la pharmacie pour lui. A ce moment là, Danny l’interpella :
« Comment vous appelez-vous ? ».
La jeune fille fut décontenancée et elle balbutia : « Euh, je ne peux rien vous dire ».
Danny voyait que la jeune fille avait l’air douce et gentille. Il insista alors :
« Que faites-vous là ? Vous n’êtes pas une terroriste ! ».
« Qu’en savez-vous » dit-elle.
« Vous êtes trop gentille. Vous nous avez emmené de la nourriture et maintenant vous vous inquiétez de la santé de mon ami alors croyez-moi, je vois bien que vous n’êtes pas comme eux ! ».
« Merci » dit-elle puis elle ajouta : « Je m’appelle Olivia ».
« Olivia, c’est très joli » lui dit Danny puis il continua : « Nous sommes des agents fédéraux et vous allez avoir de très gros ennuis, vous risquez la peine de mort et franchement je n’aurais pas envie qu’une fille comme vous soit pénalisée ».
« C’est trop tard » dit-elle.
« Non, je peux vous aider ».
« Comment ? ».
« Faites-nous sortir d’ici et je vous promets que rien ne sera retenu contre vous ».
« Je ne saurais pas ! Khaled, mon ami, je sais qu’il est bizarre parfois mais je ne savais pas qu’il allait kidnapper des gens ! J’ai l’impression d’être dans un mauvais film ! ».
« Vous pouvez en sortir ! Aidez-nous ! ».
« Khaled me tuera ! ».
« Vous savez ce qu’on va faire ? En allant à la pharmacie, vous allez prendre des somnifères et vous allez drogué les gars en haut et prendre les clefs des menottes pour nous faire sortir o.k. ? ».
La jeune femme réfléchit un instant puis finalement elle accepta. C’était son seul moyen de se sortir de tout ça et d’enfin quitter Khaled. Elle remonta alors à l’étage, prit de l’argent puis se rendit à la pharmacie.
emimartin- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 493
Age : 42
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 20/05/2006
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
ben ....euh..une suite?
c'est toujours aussi bien.
c'est toujours aussi bien.
nady- Agent spécial
- Nombre de messages : 1253
Age : 45
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 13/09/2006
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Merci Nady. Voilà donc la suite
Jack Bauer, lui, venait d’arriver à la gare. Il rentra dans la consigne et s’empara de la mallette. Il quitta alors la gare pour se rendre à la CAT.
Après être revenue de la pharmacie, Olivia proposa aux trois kidnappeurs de manger. Ils acceptèrent et elle prépara la nourriture. Elle pilla alors les somnifères et les mit dans la nourriture. Elle l’amena alors aux trois hommes qui commencèrent le repas.
Dans les bureaux du FBI, l’enquête piétinait. Personne n’avait rien vu de l’enlèvement de Martin et Danny et c’était pareil en ce qui concerne Kim. Jack et son équipe commençaient à désespérer sérieusement.
De son côté, Olivia attendait fébrilement que les cachets fassent effet. Elle savait que les clefs des menottes se trouvaient dans la poche de la veste de Khaled mais il l’avait posée à ses côtés dans le canapé. Dans la cave, l’humidité et le froid ambiant entamaient les forces des trois captifs. Danny ressentait maintenant des douleurs à la tête et ses membres le faisaient souffrir également, Martin qui était déjà blessé ne se sentait évidemment pas mieux quant à Kim Bauer, elle était probablement la plus faible, sa constitution ainsi que le temps plus important passé dans la cave l’avait amoindrie. Elle ne parlait plus tentant simplement de ne pas avoir trop froid. Martin s’énerva alors :
« J’en ai marre ! On est là comme des chiens, on crève de froid ! ».
« T’en fais pas, ça va aller » rassura Danny.
« Tu rigoles ! Ta copine ne nous aide pas vraiment ! » dit-il sur un ton moqueur.
« Eh, du calme ok. ! moi au moins j’essaye quelque chose ! » répondit Danny.
« Ah oui, super ! En ce moment, elle doit avoir prévenu ses copains et je suis sûr qu’ils vont vite venir nous montrer leurs gratitudes ! » continua Martin.
« Elle ne fera pas ça ! Elle va nous aider ok ! » termina Danny.
A l’étage, Khaled invectiva Olivia :
« Alors, tu vas le soigner ton petit protégé ! ».
« Oui, j’y vais tout de suite ! » répondit-elle maladroitement.
Olivia descendit alors dans la cave et constata que les trois détenus n’étaient pas dans une super forme. Elle s’approcha de Martin et lui désinfecta sa plaie après quoi, elle lui tendit un verre d’eau et un médicament. Martin la remercia et lui demanda :
« Vous allez vraiment nous aider ? ».
« Oui, j’ai mis les somnifères dans la nourriture et ils ont mangé mais ils n’ont pas encore fait effet ».
« Ca va pas tarder » dit alors Danny.
« Vous devrez vite prendre les clefs et venir nous délivrer, d’accord » embraya Martin qui comprenait qu’il s’était trompé sur cette fille.
« Je ferais de mon mieux mais vous n’avez pas l’air d’être très bien, c’est vrai qu’il fait très froid ici » répondit-elle.
« Oui, c’est pas génial, c’est surtout dur pour elle » dit Martin en désignant Kim.
« Je vais voir si je peux amener des couvertures en attendant votre sortie » conclut-elle.
Elle remonta alors à l’étage et remarqua que Khaled et ses deux complices commençaient tout doucement à s’endormir. Elle décida d’attendre dans la cuisine qu’ils soient complètement endormis, ce qui ne tarda pas. Elle se précipita alors dans le salon et saisit discrètement la veste de son ami. Elle prit les clefs à l’intérieur et descendit à la cave. Elle ouvra la porte avec un air triomphant et détacha les trois otages qui la remerciaient déjà. Malgré sa joie, Kim avait du mal à marcher, ses membres étaient engourdis. Martin et Danny la soutenaient tant bien que mal. Maintenant, il fallait sortir de la maison sans se faire remarquer. Olivia passa devant, elle regarda autour d’elle pour vérifier que les trois garçons dormaient bien, ce qui était le cas. Elle fit alors signe à Danny et Martin qu’ils pouvaient venir. Ils ne se firent évidemment pas prier et suivirent la jeune femme. Cette fois, ils étaient dans la maison mais le plus dur restait à faire, il fallait quitter l’endroit et prendre une voiture pour s’enfuir. Sans faire de bruit, ils se dirigèrent vers la porte de sortie et l’ouvrirent. Olivia était maintenant dehors suivie de Danny et Martin qui aidait Kim à marcher. A présent, il fallait prendre la voiture qui se trouvait dans l’allée. Olivia ouvrit la portière et Kim fut installée à l’arrière. Martin s’assit à ses côtés tandis que Danny proposa de conduire. Olivia prit place à ses côtés. Ils étaient proches du but. Danny introduisit la clef de contact puis démarra doucement. Une fois sorti de l’allée, il accéléra en espérant que ce cauchemar était derrière eux. Martin demanda alors à Olivia si elle avait un gsm, elle lui tendit donc et Martin composa le numéro de Jack.
A Los Angeles, Jack Bauer arrivait à la CAT. Il vit un des agents de sécurité s’approché de lui afin de le fouiller comme c’était d’usage. Jack comprit qu’il allait être découvert, il n’avait pas le choix et asséna un violent coup de poing dans le visage de l’agent qui s’écroula par terre. Jack s’empara de son arme, lui attacha les mains avec une grosse corde et lui mit du scotch sur la bouche afin qu’il ne puisse prévenir personne. Ensuite, il le traîna à l’abri des regards. Après quoi, il pénétra dans le bâtiment proprement dit avec la mallette à la main.
Au bureau du FBI, le téléphone de Jack Malone sonna, il répondit :
« Malone »
« Jack, c’est Martin »
Jack fut surpris mais évidemment très heureux d’entendre la voix de son collègue.
« Où es-tu ? »
« On a réussi à s’enfuir avec Danny et Kim Bauer. C’est l’amie d’un des kidnappeurs qui nous a aidé » expliqua Martin.
« Vous allez bien ? » demanda Jack.
« Vu les circonstances, oui ! ».
« Bien, dis moi exactement où vous vous trouvez ? »
« Attends je demande, moi je connais pas ce coin ! »
Martin interrogea Olivia pour connaître leur position, elle expliqua qu’ils se trouvaient à environ 80 km de New-York. Martin le dit alors à Jack.
« Bon très bien, continuez à rouler, ok et essayez de trouver un lieu sûr pour vous planquer, ensuite tu m’appelles pour me donner votre position exacte ».
« D’accord ».
Martin avait raccroché. Jack appela tous les agents pour leur dire ce qui venait de se passer. Sam poussa un grand ouf de soulagement tandis que Vivian et Elena souriaient, simplement heureuses de ce qui arrivait. Jack repensa alors à Bauer qui devait faire quelque chose pour les terroristes, il fallait l’en empécher car Kim était saine et sauve maintenant. Il prit alors contact avec Tony Almeida et lui expliqua ce qui se passait à présent. Tony dit à Jack qu’il allait informer Bauer de la situation. De son côté, Paula Van Doren fut bien sûr elle aussi mise au courant de ces changements. Elle informa l’équipe qui s’occupait de la disparition de Kim Bauer et leur demanda de cesser toutes investigations pour l’instant. Pendant ce temps, Jack Malone et son équipe attendaient le coup de file de Martin pour pouvoir aller le rejoindre.
Jack Bauer, lui, venait d’arriver à la gare. Il rentra dans la consigne et s’empara de la mallette. Il quitta alors la gare pour se rendre à la CAT.
Après être revenue de la pharmacie, Olivia proposa aux trois kidnappeurs de manger. Ils acceptèrent et elle prépara la nourriture. Elle pilla alors les somnifères et les mit dans la nourriture. Elle l’amena alors aux trois hommes qui commencèrent le repas.
Dans les bureaux du FBI, l’enquête piétinait. Personne n’avait rien vu de l’enlèvement de Martin et Danny et c’était pareil en ce qui concerne Kim. Jack et son équipe commençaient à désespérer sérieusement.
De son côté, Olivia attendait fébrilement que les cachets fassent effet. Elle savait que les clefs des menottes se trouvaient dans la poche de la veste de Khaled mais il l’avait posée à ses côtés dans le canapé. Dans la cave, l’humidité et le froid ambiant entamaient les forces des trois captifs. Danny ressentait maintenant des douleurs à la tête et ses membres le faisaient souffrir également, Martin qui était déjà blessé ne se sentait évidemment pas mieux quant à Kim Bauer, elle était probablement la plus faible, sa constitution ainsi que le temps plus important passé dans la cave l’avait amoindrie. Elle ne parlait plus tentant simplement de ne pas avoir trop froid. Martin s’énerva alors :
« J’en ai marre ! On est là comme des chiens, on crève de froid ! ».
« T’en fais pas, ça va aller » rassura Danny.
« Tu rigoles ! Ta copine ne nous aide pas vraiment ! » dit-il sur un ton moqueur.
« Eh, du calme ok. ! moi au moins j’essaye quelque chose ! » répondit Danny.
« Ah oui, super ! En ce moment, elle doit avoir prévenu ses copains et je suis sûr qu’ils vont vite venir nous montrer leurs gratitudes ! » continua Martin.
« Elle ne fera pas ça ! Elle va nous aider ok ! » termina Danny.
A l’étage, Khaled invectiva Olivia :
« Alors, tu vas le soigner ton petit protégé ! ».
« Oui, j’y vais tout de suite ! » répondit-elle maladroitement.
Olivia descendit alors dans la cave et constata que les trois détenus n’étaient pas dans une super forme. Elle s’approcha de Martin et lui désinfecta sa plaie après quoi, elle lui tendit un verre d’eau et un médicament. Martin la remercia et lui demanda :
« Vous allez vraiment nous aider ? ».
« Oui, j’ai mis les somnifères dans la nourriture et ils ont mangé mais ils n’ont pas encore fait effet ».
« Ca va pas tarder » dit alors Danny.
« Vous devrez vite prendre les clefs et venir nous délivrer, d’accord » embraya Martin qui comprenait qu’il s’était trompé sur cette fille.
« Je ferais de mon mieux mais vous n’avez pas l’air d’être très bien, c’est vrai qu’il fait très froid ici » répondit-elle.
« Oui, c’est pas génial, c’est surtout dur pour elle » dit Martin en désignant Kim.
« Je vais voir si je peux amener des couvertures en attendant votre sortie » conclut-elle.
Elle remonta alors à l’étage et remarqua que Khaled et ses deux complices commençaient tout doucement à s’endormir. Elle décida d’attendre dans la cuisine qu’ils soient complètement endormis, ce qui ne tarda pas. Elle se précipita alors dans le salon et saisit discrètement la veste de son ami. Elle prit les clefs à l’intérieur et descendit à la cave. Elle ouvra la porte avec un air triomphant et détacha les trois otages qui la remerciaient déjà. Malgré sa joie, Kim avait du mal à marcher, ses membres étaient engourdis. Martin et Danny la soutenaient tant bien que mal. Maintenant, il fallait sortir de la maison sans se faire remarquer. Olivia passa devant, elle regarda autour d’elle pour vérifier que les trois garçons dormaient bien, ce qui était le cas. Elle fit alors signe à Danny et Martin qu’ils pouvaient venir. Ils ne se firent évidemment pas prier et suivirent la jeune femme. Cette fois, ils étaient dans la maison mais le plus dur restait à faire, il fallait quitter l’endroit et prendre une voiture pour s’enfuir. Sans faire de bruit, ils se dirigèrent vers la porte de sortie et l’ouvrirent. Olivia était maintenant dehors suivie de Danny et Martin qui aidait Kim à marcher. A présent, il fallait prendre la voiture qui se trouvait dans l’allée. Olivia ouvrit la portière et Kim fut installée à l’arrière. Martin s’assit à ses côtés tandis que Danny proposa de conduire. Olivia prit place à ses côtés. Ils étaient proches du but. Danny introduisit la clef de contact puis démarra doucement. Une fois sorti de l’allée, il accéléra en espérant que ce cauchemar était derrière eux. Martin demanda alors à Olivia si elle avait un gsm, elle lui tendit donc et Martin composa le numéro de Jack.
A Los Angeles, Jack Bauer arrivait à la CAT. Il vit un des agents de sécurité s’approché de lui afin de le fouiller comme c’était d’usage. Jack comprit qu’il allait être découvert, il n’avait pas le choix et asséna un violent coup de poing dans le visage de l’agent qui s’écroula par terre. Jack s’empara de son arme, lui attacha les mains avec une grosse corde et lui mit du scotch sur la bouche afin qu’il ne puisse prévenir personne. Ensuite, il le traîna à l’abri des regards. Après quoi, il pénétra dans le bâtiment proprement dit avec la mallette à la main.
Au bureau du FBI, le téléphone de Jack Malone sonna, il répondit :
« Malone »
« Jack, c’est Martin »
Jack fut surpris mais évidemment très heureux d’entendre la voix de son collègue.
« Où es-tu ? »
« On a réussi à s’enfuir avec Danny et Kim Bauer. C’est l’amie d’un des kidnappeurs qui nous a aidé » expliqua Martin.
« Vous allez bien ? » demanda Jack.
« Vu les circonstances, oui ! ».
« Bien, dis moi exactement où vous vous trouvez ? »
« Attends je demande, moi je connais pas ce coin ! »
Martin interrogea Olivia pour connaître leur position, elle expliqua qu’ils se trouvaient à environ 80 km de New-York. Martin le dit alors à Jack.
« Bon très bien, continuez à rouler, ok et essayez de trouver un lieu sûr pour vous planquer, ensuite tu m’appelles pour me donner votre position exacte ».
« D’accord ».
Martin avait raccroché. Jack appela tous les agents pour leur dire ce qui venait de se passer. Sam poussa un grand ouf de soulagement tandis que Vivian et Elena souriaient, simplement heureuses de ce qui arrivait. Jack repensa alors à Bauer qui devait faire quelque chose pour les terroristes, il fallait l’en empécher car Kim était saine et sauve maintenant. Il prit alors contact avec Tony Almeida et lui expliqua ce qui se passait à présent. Tony dit à Jack qu’il allait informer Bauer de la situation. De son côté, Paula Van Doren fut bien sûr elle aussi mise au courant de ces changements. Elle informa l’équipe qui s’occupait de la disparition de Kim Bauer et leur demanda de cesser toutes investigations pour l’instant. Pendant ce temps, Jack Malone et son équipe attendaient le coup de file de Martin pour pouvoir aller le rejoindre.
emimartin- Elève à Quantico
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clara- Président des USA
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Idem...je veux bien une suite .... J'espère que c'est pas fini pour Martin et qu'ils vont pas s'en tirer si facilement.. (sadique !!!)
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Ah! ben oui, une suite Avec quelques complications en plus?
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Merci à vous toutes! Et non, ils ne vont pas s'en tirer aussi facilement! Moi aussi j'aime être sadique Voilà donc une suite!
Danny roulait maintenant depuis 15 minutes environ, les alentours n’étaient que des bois, il n’y avait pas de maisons dans le coin. Il faut dire que les terroristes avaient bien prévu leur coup en séquestrant leurs otages dans un endroit isolé. Tout à coup, la voiture ralenti, Danny ne comprenait pas, elle faisait des à coups. Puis, il réfléchit, alors que déjà les autres passagers s’inquiétaient. C’était trop bête pour être vrai mais la voiture n’avait plus d’essence, c’était la panne sèche. Danny ne pu rien faire d’autre que de s’arrêter sur le bas côté. Il dit alors :
« Merde ! Désolé les gars mais c’est la panne sèche ! ».
« C’est pas possible ! » s’énerva Martin.
De son côté, Olivia était confuse même si elle n’y pouvait rien. Martin décida d’informer Jack de la situation. Il appela son chef et lui dit :
« Jack, on est dans la merde ! La voiture est en panne d’essence ! ».
« C’est pas de chance en effet. Vous ne pouvez pas demander de l’aide à quelqu’un ? ».
« C’est un trou perdu, Jack, il n’y a que des bois aux alentours ».
« Bon, très bien. Planquez-vous, pendant ce temps là, on va essayer de localiser ton appel, restes donc en ligne ok ! ».
« Ok, on va se cacher dans les bois ! » répondit Martin.
Les quatre jeunes gens s’enfoncèrent donc dans les bois alors qu’au bureau du FBI, l’appel était localisé.
« Martin, c’est bon, on sait où vous êtes, on arrive. Restez bien planqués dans les bois d’accord ! ».
« D’accord, on va marcher pour ne pas être vus ».
Martin coupa alors le téléphone et suivi les autres qui marchaient à travers les bois.
Pendant ce temps, Tony Almeida avait informé Jack Bauer de la situation de sa fille. Soulagé, Jack était pourtant rentré à la CAT avec la mallette, il appela alors Erin Driscoll. Elle fut bien sûr très énervée mais elle ne pouvait rien faire d’autre que d’évacuer le bâtiment. La mallette fut posée dans un coin bien à l’abri et tout le monde évacua, alors qu’Erin Driscoll se mettait en contact avec les démineurs.
Dans la maison de Khaled, John se réveilla tout doucement. Il ne se sentait pas très bien et il vit Khaled et Ibrahim endormis sur le canapé. Il les réveilla alors énergiquement. Une fois leurs esprits retrouvés, les deux hommes comprirent ce qui venait de se passer en regardant leurs assiettes posées sur la table basse. Khaled descendit à la cave et remarqua l’absence des détenus et de sa petite amie. Très énervé, il hurla :
« Sales chiens ! Je vais tous les tuer ! ».
John et Ibrahim avaient rejoint leur ami et constatés eux aussi l’absence des otages. John ajouta alors :
« Merde, c’est pas possible. Où sont-ils ? »
Tout trois se dirigèrent alors vers l’extérieur et remarquèrent la disparition de la voiture qui était garée dans l’allée. Khaled entra alors dans le garage et, montrant la camionnette qui avait servi au transport des détenus, il déclara :
« On va les avoir, la camionnette est là et la voiture n’avait plus beaucoup d’essence ».
« Formidable ! » répondit John.
Les trois hommes montrèrent alors à bord de la camionnette et se lancèrent à la poursuite de leurs otages.
Danny roulait maintenant depuis 15 minutes environ, les alentours n’étaient que des bois, il n’y avait pas de maisons dans le coin. Il faut dire que les terroristes avaient bien prévu leur coup en séquestrant leurs otages dans un endroit isolé. Tout à coup, la voiture ralenti, Danny ne comprenait pas, elle faisait des à coups. Puis, il réfléchit, alors que déjà les autres passagers s’inquiétaient. C’était trop bête pour être vrai mais la voiture n’avait plus d’essence, c’était la panne sèche. Danny ne pu rien faire d’autre que de s’arrêter sur le bas côté. Il dit alors :
« Merde ! Désolé les gars mais c’est la panne sèche ! ».
« C’est pas possible ! » s’énerva Martin.
De son côté, Olivia était confuse même si elle n’y pouvait rien. Martin décida d’informer Jack de la situation. Il appela son chef et lui dit :
« Jack, on est dans la merde ! La voiture est en panne d’essence ! ».
« C’est pas de chance en effet. Vous ne pouvez pas demander de l’aide à quelqu’un ? ».
« C’est un trou perdu, Jack, il n’y a que des bois aux alentours ».
« Bon, très bien. Planquez-vous, pendant ce temps là, on va essayer de localiser ton appel, restes donc en ligne ok ! ».
« Ok, on va se cacher dans les bois ! » répondit Martin.
Les quatre jeunes gens s’enfoncèrent donc dans les bois alors qu’au bureau du FBI, l’appel était localisé.
« Martin, c’est bon, on sait où vous êtes, on arrive. Restez bien planqués dans les bois d’accord ! ».
« D’accord, on va marcher pour ne pas être vus ».
Martin coupa alors le téléphone et suivi les autres qui marchaient à travers les bois.
Pendant ce temps, Tony Almeida avait informé Jack Bauer de la situation de sa fille. Soulagé, Jack était pourtant rentré à la CAT avec la mallette, il appela alors Erin Driscoll. Elle fut bien sûr très énervée mais elle ne pouvait rien faire d’autre que d’évacuer le bâtiment. La mallette fut posée dans un coin bien à l’abri et tout le monde évacua, alors qu’Erin Driscoll se mettait en contact avec les démineurs.
Dans la maison de Khaled, John se réveilla tout doucement. Il ne se sentait pas très bien et il vit Khaled et Ibrahim endormis sur le canapé. Il les réveilla alors énergiquement. Une fois leurs esprits retrouvés, les deux hommes comprirent ce qui venait de se passer en regardant leurs assiettes posées sur la table basse. Khaled descendit à la cave et remarqua l’absence des détenus et de sa petite amie. Très énervé, il hurla :
« Sales chiens ! Je vais tous les tuer ! ».
John et Ibrahim avaient rejoint leur ami et constatés eux aussi l’absence des otages. John ajouta alors :
« Merde, c’est pas possible. Où sont-ils ? »
Tout trois se dirigèrent alors vers l’extérieur et remarquèrent la disparition de la voiture qui était garée dans l’allée. Khaled entra alors dans le garage et, montrant la camionnette qui avait servi au transport des détenus, il déclara :
« On va les avoir, la camionnette est là et la voiture n’avait plus beaucoup d’essence ».
« Formidable ! » répondit John.
Les trois hommes montrèrent alors à bord de la camionnette et se lancèrent à la poursuite de leurs otages.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
La suite! J'espère que ça va vous plaire!
Pendant ce temps là, les fugitifs couraient à travers les bois mais la fatigue les ralentissait. Tout à coup, Kim Bauer s’arrêta de courir, elle n’en pouvait plus ! Les trois autres stoppèrent également pour l’attendre puis la course reprit alors. Les kidnappeurs, eux, roulaient très vite et, connaissant bien les lieux, il ne leur fallut pas beaucoup de temps pour arriver là où la voiture était garée. Ibrahim la remarqua :
« Khaled, regardes, la voiture ! ».
« Je te l’avais dit, ils ont eu une panne d’essence ! ».
« Ils sont probablement planqués dans les bois » fit remarqué John.
« Ouais et on va aller les y chercher » affirma, triomphant, Khaled.
A la CAT, le bâtiment était envahi de démineurs. La mallette contenait bien une bombe. Les démineurs se mirent donc au travail immédiatement. Bien que très en colère, Erin Driscoll accepta malgré tout que Jack Bauer se rende à New-York pour retrouver sa fille mais à la seule condition qu’elle l’accompagne car elle voulait obtenir rapidement des informations concernant les terroristes.
Au même moment, les terroristes, armés, descendaient dans les bois. Les évadés, eux, couraient comme ils pouvaient, fatigués par leurs détentions et même si Olivia n’avait pas été détenue, la peur jouait bien son rôle et elle aussi était très fatiguée. Tout à coup, Martin trébucha sur une souche d’arbre. Danny, qui était en tête du groupe, se retourna alerté par la chute de son ami.
« Ca va vieux ? ».
« Ouais ! Je crois que je me suis amoché la jambe mais ça va aller ! ».
A peine avait-il prononcé ses mots qu’un bruit se fit entendre. Les terroristes étaient tout prêt. Et effectivement, John apparu et vit, au loin, Martin qui se relevait péniblement alors que devant lui se tenaient Kim, Olivia et Danny. Il appela alors ses complices et des coups de feu furent tirés. Heureusement, personne ne fut touché mais les trois hommes s’approchaient rapidement. Olivia et Kim se mirent à courir alors que Danny restait immobile, attendant Martin, qui n’arrivait pas à courir à cause de sa blessure à la jambe.
« Allez, viens Martin ! » lui dit Danny.
« Je peux pas courir très vite ! Vas t’en ! » lui répondit Martin.
« Non, je te laisse pas ! ».
« Vas-y vieux, ok, les filles ont besoin de toi ! ».
« Non, je t’attends ! ».
« Je te dis de me laisser » cria Martin.
Les deux hommes échangèrent un regard puis voyant arriver les kidnappeurs, Danny s’en alla en disant ces quelques mots à Martin :
« Je suis désolé ! On va venir te chercher, on te retrouvera, je te le promets ! ».
Danny se mit alors à courir derrière Kim et Olivia. Sur sa joue, perlait une larme. Martin, lui, fut rejoint par les trois hommes. Ibrahim pointa son arme sur lui puis lui dit :
« Salaud, tu pensais t’en sortir ainsi ! ».
« Et les autres ? » interrogea John.
« Laisse tomber, c’était lui qu’on voulait de toute façon ! » répondit Ibrahim.
« Et Kim Bauer ? » insista t-il.
« On n’a pas le temps ! Le FBI est sûrement au courant de leur fuite » termina Khaled.
Les trois hommes obligèrent alors Martin à les suivre jusqu’à la camionnette. Il fut installé dedans avec l’arme pointée sur la tempe. A ce moment, Martin songeait que c’était peut-être la fin pour lui.
Pendant ce temps là, les fugitifs couraient à travers les bois mais la fatigue les ralentissait. Tout à coup, Kim Bauer s’arrêta de courir, elle n’en pouvait plus ! Les trois autres stoppèrent également pour l’attendre puis la course reprit alors. Les kidnappeurs, eux, roulaient très vite et, connaissant bien les lieux, il ne leur fallut pas beaucoup de temps pour arriver là où la voiture était garée. Ibrahim la remarqua :
« Khaled, regardes, la voiture ! ».
« Je te l’avais dit, ils ont eu une panne d’essence ! ».
« Ils sont probablement planqués dans les bois » fit remarqué John.
« Ouais et on va aller les y chercher » affirma, triomphant, Khaled.
A la CAT, le bâtiment était envahi de démineurs. La mallette contenait bien une bombe. Les démineurs se mirent donc au travail immédiatement. Bien que très en colère, Erin Driscoll accepta malgré tout que Jack Bauer se rende à New-York pour retrouver sa fille mais à la seule condition qu’elle l’accompagne car elle voulait obtenir rapidement des informations concernant les terroristes.
Au même moment, les terroristes, armés, descendaient dans les bois. Les évadés, eux, couraient comme ils pouvaient, fatigués par leurs détentions et même si Olivia n’avait pas été détenue, la peur jouait bien son rôle et elle aussi était très fatiguée. Tout à coup, Martin trébucha sur une souche d’arbre. Danny, qui était en tête du groupe, se retourna alerté par la chute de son ami.
« Ca va vieux ? ».
« Ouais ! Je crois que je me suis amoché la jambe mais ça va aller ! ».
A peine avait-il prononcé ses mots qu’un bruit se fit entendre. Les terroristes étaient tout prêt. Et effectivement, John apparu et vit, au loin, Martin qui se relevait péniblement alors que devant lui se tenaient Kim, Olivia et Danny. Il appela alors ses complices et des coups de feu furent tirés. Heureusement, personne ne fut touché mais les trois hommes s’approchaient rapidement. Olivia et Kim se mirent à courir alors que Danny restait immobile, attendant Martin, qui n’arrivait pas à courir à cause de sa blessure à la jambe.
« Allez, viens Martin ! » lui dit Danny.
« Je peux pas courir très vite ! Vas t’en ! » lui répondit Martin.
« Non, je te laisse pas ! ».
« Vas-y vieux, ok, les filles ont besoin de toi ! ».
« Non, je t’attends ! ».
« Je te dis de me laisser » cria Martin.
Les deux hommes échangèrent un regard puis voyant arriver les kidnappeurs, Danny s’en alla en disant ces quelques mots à Martin :
« Je suis désolé ! On va venir te chercher, on te retrouvera, je te le promets ! ».
Danny se mit alors à courir derrière Kim et Olivia. Sur sa joue, perlait une larme. Martin, lui, fut rejoint par les trois hommes. Ibrahim pointa son arme sur lui puis lui dit :
« Salaud, tu pensais t’en sortir ainsi ! ».
« Et les autres ? » interrogea John.
« Laisse tomber, c’était lui qu’on voulait de toute façon ! » répondit Ibrahim.
« Et Kim Bauer ? » insista t-il.
« On n’a pas le temps ! Le FBI est sûrement au courant de leur fuite » termina Khaled.
Les trois hommes obligèrent alors Martin à les suivre jusqu’à la camionnette. Il fut installé dedans avec l’arme pointée sur la tempe. A ce moment, Martin songeait que c’était peut-être la fin pour lui.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Toujours aussi bien Martin est mal, là! Danny, fait quelque chose!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Merci Mouchette et revoilà une suite et si j'ai le temps encore un bout ce soir!
De leurs côtés, Jack Malone et son équipe étaient en route, ils étaient proches du but. Dans les bois, Danny et les deux jeunes femmes couraient toujours. Tout à coup, Danny leur demanda de s’arrêter. Il n’y avait plus aucun bruit autour d’eux, les kidnappeurs étaient partis. Jack et son équipe arrivaient tout doucement à l’endroit qu’ils avaient localisé. Jack composa alors le numéro de téléphone du gsm avec lequel Martin s’était manifesté. Il voulait le prévenir qu’ils arrivaient là sur la route et qu’à présent, ils pouvaient se montrer. Dans la voiture des terroristes, le téléphone, qui était dans la poche de Martin, sonna. Ibrahim lui prit alors et l’éteignit, tout en regardant Martin avec un air de défi dans les yeux. Jack comprit que quelque chose clochait car Martin aurait répondu en temps normal. A ses côtés dans la voiture, Sam s’inquiéta auprès de Jack.
« Il n’a pas répondu ? ».
« Non mais je suis sûr qu’il y a une explication » mentit Jack.
« Ah oui et quoi ? » demanda Sam, excédée.
« Ecoutes, il n’a peut-être rien entendu ! ».
« Ne te fous pas de moi, Jack ! Il leur est arrivé quelque chose et tu le sais ! » s’énerva Sam.
« On arrive, alors calme-toi. On va voir ce qui se passe » tempéra Jack.
Dans la voiture des terroristes, Martin interrogea ses ravisseurs.
« Pourquoi avez-vous dit tout à l’heure que c’était moi que vous vouliez de toute façon ? ».
« Agent Fitzgerald, votre père est plutôt haut placé, non ? C’était vous que nous voulions enlevé, vous et vous seul ! Mais votre collègue était là et nous n’avons pas pu faire autrement ! » répondit Ibrahim.
« Et Kim Bauer, pourquoi l’avoir enlevée ? » continua Martin.
« Elle était notre garantie pour que son père fasse ce que nous voulions mais nous savons que notre plan a échoué, nous avons entendu tout à l’heure à la radio que la CAT avait été évacuée. La bombe qui devait exploser ne fera malheureusement pas son œuvre ! Mais nous pouvons toujours nous venger, grâce à vous. Le fils du directeur adjoint du FBI enlevé par des terroristes, je suis sûr que ça sera du plus bel effet dans les journaux ! Tout le monde va enfin comprendre que nous nous attaquons à qui nous voulons et quand nous le voulons ! »
« Vous allez me tuer c’est ça ! Et vous pensez que ça va émouvoir grand monde ! Les gens s’en fichent complètement ! Un mort, ce n’est pas grave pour eux tant que des tas d’innocents ne périssent pas dans un attentat. Personne ne vous prendra au sérieux ! » répondit Martin.
« Bien essayé agent Fitzgerald ! Ce petit discours était vraiment admirable mais vous savez comme moi que la mort d’un agent fédéral est toujours prise au sérieux et encore plus quand, comme vous, il est le fils d’un homme au placé au FBI » termina Ibrahim.
« C’est bon maintenant, cessez de parler ! » intervint alors Khaled.
La voiture roulait maintenant à vive allure vers une destination que Martin ne connaissait pas
De leurs côtés, Jack Malone et son équipe étaient en route, ils étaient proches du but. Dans les bois, Danny et les deux jeunes femmes couraient toujours. Tout à coup, Danny leur demanda de s’arrêter. Il n’y avait plus aucun bruit autour d’eux, les kidnappeurs étaient partis. Jack et son équipe arrivaient tout doucement à l’endroit qu’ils avaient localisé. Jack composa alors le numéro de téléphone du gsm avec lequel Martin s’était manifesté. Il voulait le prévenir qu’ils arrivaient là sur la route et qu’à présent, ils pouvaient se montrer. Dans la voiture des terroristes, le téléphone, qui était dans la poche de Martin, sonna. Ibrahim lui prit alors et l’éteignit, tout en regardant Martin avec un air de défi dans les yeux. Jack comprit que quelque chose clochait car Martin aurait répondu en temps normal. A ses côtés dans la voiture, Sam s’inquiéta auprès de Jack.
« Il n’a pas répondu ? ».
« Non mais je suis sûr qu’il y a une explication » mentit Jack.
« Ah oui et quoi ? » demanda Sam, excédée.
« Ecoutes, il n’a peut-être rien entendu ! ».
« Ne te fous pas de moi, Jack ! Il leur est arrivé quelque chose et tu le sais ! » s’énerva Sam.
« On arrive, alors calme-toi. On va voir ce qui se passe » tempéra Jack.
Dans la voiture des terroristes, Martin interrogea ses ravisseurs.
« Pourquoi avez-vous dit tout à l’heure que c’était moi que vous vouliez de toute façon ? ».
« Agent Fitzgerald, votre père est plutôt haut placé, non ? C’était vous que nous voulions enlevé, vous et vous seul ! Mais votre collègue était là et nous n’avons pas pu faire autrement ! » répondit Ibrahim.
« Et Kim Bauer, pourquoi l’avoir enlevée ? » continua Martin.
« Elle était notre garantie pour que son père fasse ce que nous voulions mais nous savons que notre plan a échoué, nous avons entendu tout à l’heure à la radio que la CAT avait été évacuée. La bombe qui devait exploser ne fera malheureusement pas son œuvre ! Mais nous pouvons toujours nous venger, grâce à vous. Le fils du directeur adjoint du FBI enlevé par des terroristes, je suis sûr que ça sera du plus bel effet dans les journaux ! Tout le monde va enfin comprendre que nous nous attaquons à qui nous voulons et quand nous le voulons ! »
« Vous allez me tuer c’est ça ! Et vous pensez que ça va émouvoir grand monde ! Les gens s’en fichent complètement ! Un mort, ce n’est pas grave pour eux tant que des tas d’innocents ne périssent pas dans un attentat. Personne ne vous prendra au sérieux ! » répondit Martin.
« Bien essayé agent Fitzgerald ! Ce petit discours était vraiment admirable mais vous savez comme moi que la mort d’un agent fédéral est toujours prise au sérieux et encore plus quand, comme vous, il est le fils d’un homme au placé au FBI » termina Ibrahim.
« C’est bon maintenant, cessez de parler ! » intervint alors Khaled.
La voiture roulait maintenant à vive allure vers une destination que Martin ne connaissait pas
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Ah mais c'est horrible !!!!
Notre (mon) pauvre Martin...
Une suite s'il te plaît.....
Notre (mon) pauvre Martin...
Une suite s'il te plaît.....
DJMandarine- Nouvelle recrue
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Et oui pauvre Martin voilà la suite
Jack et son équipe s’arrêtaient maintenant sur le bord de la route. Ils descendirent de la voiture et décidèrent de marcher dans les bois afin de retrouver les otages. Au bout de quelques minutes, Vivian aperçut une jeune femme, elle interpella alors les autres agents. Jack cria en direction de la femme : « FBI ! » mais à peine avait-il terminé qu’il vit Kim Bauer et Danny à proximité. Il se précipita alors vers eux, suivi par les autres agents. Jack interpella Danny :
« Eh, comment vas-tu ? ».
« Ca va ! Content de te revoir, Jack ! » répondit Danny.
« Et vous ? » demanda t-il à Kim et Olivia.
« Ca va » répondirent simplement les deux jeunes femmes.
Sam intervint alors :
« Et Martin ! Où est-il ? »
« Je, euh, ils l’ont reprit » répondit, confus, Danny.
« Quoi ? Comment est-ce possible ?» demanda Sam.
« Martin est tombé et il m’a demandé de continuer sans lui » dit Danny qui culpabilisait.
« Et tu l’as fait ! Je croyais que tu étais son ami ! » cria t-elle.
« Je suis désolé, je suis si désolé Sam, crois-moi ! » lui dit Danny.
Mais elle s’était déjà éloignée. Jack, Vivian et Elena étaient désolés face à cette situation. Jack rompit le silence :
« Qui êtes-vous ? » demanda t-il à Olivia.
« Je suis l’amie d’un des terroristes mais j’ignorais ses activités ! » répliqua-t-elle.
« Oui, on verra ! Pour l’instant, vous allez nous amener d’où vous venez et nous donner le nom des terroristes, ok ! » lui dit Jack.
« Je vais vous aider » dit-elle.
« Jack, elle nous a aidé pour nous enfuir » expliqua Danny.
« Bon, alors elle va continuer, n’est-ce pas ? » continua Jack.
« Oui » balbutia la jeune femme.
Il n’y avait évidemment pas de place pour tout le monde dans la voiture. Jack demanda alors Elena et Vivian de rester avec Kim car une autre voiture arrivait. Elles pourraient rentrer au FBI ensemble tandis qu’eux tenteraient de retrouver Martin.
Jack et son équipe s’arrêtaient maintenant sur le bord de la route. Ils descendirent de la voiture et décidèrent de marcher dans les bois afin de retrouver les otages. Au bout de quelques minutes, Vivian aperçut une jeune femme, elle interpella alors les autres agents. Jack cria en direction de la femme : « FBI ! » mais à peine avait-il terminé qu’il vit Kim Bauer et Danny à proximité. Il se précipita alors vers eux, suivi par les autres agents. Jack interpella Danny :
« Eh, comment vas-tu ? ».
« Ca va ! Content de te revoir, Jack ! » répondit Danny.
« Et vous ? » demanda t-il à Kim et Olivia.
« Ca va » répondirent simplement les deux jeunes femmes.
Sam intervint alors :
« Et Martin ! Où est-il ? »
« Je, euh, ils l’ont reprit » répondit, confus, Danny.
« Quoi ? Comment est-ce possible ?» demanda Sam.
« Martin est tombé et il m’a demandé de continuer sans lui » dit Danny qui culpabilisait.
« Et tu l’as fait ! Je croyais que tu étais son ami ! » cria t-elle.
« Je suis désolé, je suis si désolé Sam, crois-moi ! » lui dit Danny.
Mais elle s’était déjà éloignée. Jack, Vivian et Elena étaient désolés face à cette situation. Jack rompit le silence :
« Qui êtes-vous ? » demanda t-il à Olivia.
« Je suis l’amie d’un des terroristes mais j’ignorais ses activités ! » répliqua-t-elle.
« Oui, on verra ! Pour l’instant, vous allez nous amener d’où vous venez et nous donner le nom des terroristes, ok ! » lui dit Jack.
« Je vais vous aider » dit-elle.
« Jack, elle nous a aidé pour nous enfuir » expliqua Danny.
« Bon, alors elle va continuer, n’est-ce pas ? » continua Jack.
« Oui » balbutia la jeune femme.
Il n’y avait évidemment pas de place pour tout le monde dans la voiture. Jack demanda alors Elena et Vivian de rester avec Kim car une autre voiture arrivait. Elles pourraient rentrer au FBI ensemble tandis qu’eux tenteraient de retrouver Martin.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Et voilà la suite
Pendant ce temps, les terroristes amenaient Martin dans un autre lieu que la maison dans laquelle il avait été détenu, en effet, ils se doutaient bien que le FBI allait venir y faire un tour. Ibrahim utilisa alors son gsm pour appeler un certain David, ils échangèrent quelques mots puis Ibrahim raccrocha. Il annonça alors à Khaled et John que tout était arrangé, David leur prêterait bien sa maison pour y garder Martin. Khaled déclara alors que c’était une chance qu’Ibrahim possède les clefs de la maison.
De leurs côtés, Jack, Danny et Sam aidés par Olivia faisaient le chemin qui les mènerait à la maison de Khaled. En cours de route, Olivia avait donné toutes les informations qu’elle savait à Jack. Celui-ci avait appelé le bureau pour que des recherches soient rapidement entreprises sur ces individus.
Au même moment, Vivian et Elena étaient en route pour ramener Kim à New-York. Fatiguée, Kim s’était endormie dans la voiture. Vivian et Elena, elles, avaient hâte d’arriver au bureau afin de pouvoir aider au maximum dans la recherche de Martin.
La voiture des terroristes arrivait à destination. Ibrahim obligea Martin à se baisser à l’arrière afin qu’il ne puisse pas être vu. Martin s’exécuta aussitôt. La voiture entra alors dans un garage, une fois la porte refermée, Martin pu se relever. Khaled sortit de la voiture accompagné par ses complices et leur otage, il poussa Martin à l’intérieur de la maison et l’obligea à s’asseoir sur une chaise de la cuisine. Puis, il lui parla :
« Nous allons t’exécuter dans peu de temps, tu seras vite libéré ! ».
« Oui, nous devons juste te filmer afin que le monde entier puisse voir ce qui va t’arriver » ajouta Ibrahim.
« Salauds » cria Martin.
Les trois hommes le descendirent alors dans une cave de la maison et lui attachèrent les mains dans le dos avec une corde. John le regarda puis ajouta :
« Tu ne vas plus attendre longtemps, ne t’en fais pas ! ».
Pendant ce temps, Jack et ses agents arrivaient dans la maison de Khaled. Après avoir vérifiés que personne n’était là, les agents pénétrèrent dans le bâtiment et procédèrent à une fouille. En revoyant la cave, Danny ne pu s’empêcher de frissonner non seulement parce qu’il avait passé de mauvais moments là-bas mais aussi parce qu’il savait que Martin en vivait encore pour l’instant. Sam, de son côté, était elle aussi très mal, elle ne pouvait s'interdire de penser que Martin allait peut-être mourir et cette idée l’a faisait souffrir. Danny s’approcha alors d’elle :
« Ca va aller » ? demanda t-il.
« Je ne vois pas en quoi ça t’intéresse ! » répliqua Sam en colère.
« Je sais ce que tu ressens. Je veux moi aussi retrouver Martin ».
« Alors tu aurais du l’aider au lieu de le laisser là ! » termina Sam tout en s’éloignant de Danny.
Le jeune agent vivait très mal la situation, il se sentait tellement responsable. Il quitta alors la maison pour respirer un peu d’air frais. Olivia avait évidemment remarqué la situation tendue entre les deux agents, elle décida donc de suivre Danny. Dehors, elle vit que le jeune homme était au plus mal. Elle s’approcha alors lentement de lui et lui demanda :
« Vous allez bien ? ».
Danny fut surpris et répondit :
« Oui, mais ce n’est pas moi qui compte, l’important c’est de retrouver Martin vivant ».
« Mais pour ça, il faut que vous puissiez nous aider ! ».
« Ca va aller, merci ».
« Danny, vous avez été formidable avec moi pendant votre détention, vous ne m’avez jamais reprochée quoi que ce soit, vous ne m’avez pas jugée alors c’est à moi de vous remercier et de vous aider maintenant ».
« C’est rien, c’est normal, vous êtes une fille bien, Olivia, vous ne méritiez pas ça ! ».
« La jeune femme blonde vous en veux n’est-ce pas ? »
« Sam, oui, mais je la comprends. J’aurais du attendre Martin ! ».
« Et vous seriez tout les deux au mains de Khaled, je ne vois pas en quoi ce serait mieux ! ».
Danny sourit puis ajouta :
« Martin est mon ami. Nous avons vécu beaucoup de choses ensembles, il a failli mourir une fois et je ne veux pas que ça recommence ! Tout allait si bien pour lui ses derniers temps, il était heureux avec Sam et par ma faute tout est fichu ! ».
« Cessez de vous torturer ! On va le retrouver ! ».
Olivia rentra alors dans la maison, Danny prit une grosse bouffée d’oxygène une dernière fois puis il l’imita.
Pendant ce temps, les terroristes amenaient Martin dans un autre lieu que la maison dans laquelle il avait été détenu, en effet, ils se doutaient bien que le FBI allait venir y faire un tour. Ibrahim utilisa alors son gsm pour appeler un certain David, ils échangèrent quelques mots puis Ibrahim raccrocha. Il annonça alors à Khaled et John que tout était arrangé, David leur prêterait bien sa maison pour y garder Martin. Khaled déclara alors que c’était une chance qu’Ibrahim possède les clefs de la maison.
De leurs côtés, Jack, Danny et Sam aidés par Olivia faisaient le chemin qui les mènerait à la maison de Khaled. En cours de route, Olivia avait donné toutes les informations qu’elle savait à Jack. Celui-ci avait appelé le bureau pour que des recherches soient rapidement entreprises sur ces individus.
Au même moment, Vivian et Elena étaient en route pour ramener Kim à New-York. Fatiguée, Kim s’était endormie dans la voiture. Vivian et Elena, elles, avaient hâte d’arriver au bureau afin de pouvoir aider au maximum dans la recherche de Martin.
La voiture des terroristes arrivait à destination. Ibrahim obligea Martin à se baisser à l’arrière afin qu’il ne puisse pas être vu. Martin s’exécuta aussitôt. La voiture entra alors dans un garage, une fois la porte refermée, Martin pu se relever. Khaled sortit de la voiture accompagné par ses complices et leur otage, il poussa Martin à l’intérieur de la maison et l’obligea à s’asseoir sur une chaise de la cuisine. Puis, il lui parla :
« Nous allons t’exécuter dans peu de temps, tu seras vite libéré ! ».
« Oui, nous devons juste te filmer afin que le monde entier puisse voir ce qui va t’arriver » ajouta Ibrahim.
« Salauds » cria Martin.
Les trois hommes le descendirent alors dans une cave de la maison et lui attachèrent les mains dans le dos avec une corde. John le regarda puis ajouta :
« Tu ne vas plus attendre longtemps, ne t’en fais pas ! ».
Pendant ce temps, Jack et ses agents arrivaient dans la maison de Khaled. Après avoir vérifiés que personne n’était là, les agents pénétrèrent dans le bâtiment et procédèrent à une fouille. En revoyant la cave, Danny ne pu s’empêcher de frissonner non seulement parce qu’il avait passé de mauvais moments là-bas mais aussi parce qu’il savait que Martin en vivait encore pour l’instant. Sam, de son côté, était elle aussi très mal, elle ne pouvait s'interdire de penser que Martin allait peut-être mourir et cette idée l’a faisait souffrir. Danny s’approcha alors d’elle :
« Ca va aller » ? demanda t-il.
« Je ne vois pas en quoi ça t’intéresse ! » répliqua Sam en colère.
« Je sais ce que tu ressens. Je veux moi aussi retrouver Martin ».
« Alors tu aurais du l’aider au lieu de le laisser là ! » termina Sam tout en s’éloignant de Danny.
Le jeune agent vivait très mal la situation, il se sentait tellement responsable. Il quitta alors la maison pour respirer un peu d’air frais. Olivia avait évidemment remarqué la situation tendue entre les deux agents, elle décida donc de suivre Danny. Dehors, elle vit que le jeune homme était au plus mal. Elle s’approcha alors lentement de lui et lui demanda :
« Vous allez bien ? ».
Danny fut surpris et répondit :
« Oui, mais ce n’est pas moi qui compte, l’important c’est de retrouver Martin vivant ».
« Mais pour ça, il faut que vous puissiez nous aider ! ».
« Ca va aller, merci ».
« Danny, vous avez été formidable avec moi pendant votre détention, vous ne m’avez jamais reprochée quoi que ce soit, vous ne m’avez pas jugée alors c’est à moi de vous remercier et de vous aider maintenant ».
« C’est rien, c’est normal, vous êtes une fille bien, Olivia, vous ne méritiez pas ça ! ».
« La jeune femme blonde vous en veux n’est-ce pas ? »
« Sam, oui, mais je la comprends. J’aurais du attendre Martin ! ».
« Et vous seriez tout les deux au mains de Khaled, je ne vois pas en quoi ce serait mieux ! ».
Danny sourit puis ajouta :
« Martin est mon ami. Nous avons vécu beaucoup de choses ensembles, il a failli mourir une fois et je ne veux pas que ça recommence ! Tout allait si bien pour lui ses derniers temps, il était heureux avec Sam et par ma faute tout est fichu ! ».
« Cessez de vous torturer ! On va le retrouver ! ».
Olivia rentra alors dans la maison, Danny prit une grosse bouffée d’oxygène une dernière fois puis il l’imita.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
bouhhhhh Danny qui culpabilise!!!!.... ça lui correspond bien!!
t'as juste envie d'aller le consoler , allez une suite?!!
t'as juste envie d'aller le consoler , allez une suite?!!
nady- Agent spécial
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Voilà la suite nady et quelqu'un va le consoler ne t'en fais pas (même si c'est pas toi )
De leur côté, Vivian et Elena arrivaient au FBI en compagnie de Kim. Elles se mirent tout de suite au travail en étudiant les informations données par Olivia. Ainsi, tous les appels téléphoniques de Khaled, Ibrahim et John furent analysés et Vivian remarqua quelque chose, elle décida d’en informer Jack.
« Jack, c’est Vivian, je viens de découvrir quelque chose d’intéressant, Ibrahim Alami a appelé un certain David Walsh et il a reçu également un appel de cet homme ».
« Oui, et ? » demanda Jack.
« Et bien, écoutes ça, David Walsh est policier dans un commissariat de New-York ! »
« Effectivement ça devient intéressant ! Elena et toi, allez le voir ».
Elena et Vivian quittèrent donc le bureau afin de rencontrer David Walsh. Kim Bauer, elle, reprenait ses esprits en attendant son père.
De son côté, Martin était toujours attaché dans la cave, attendant son exécution car, il en était sûr, il allait mourir. Il repensa à ce qu’était sa vie, son père avec qui il n’avait jamais su avoir une bonne relation, l’équipe du FBI dans laquelle il se sentait si bien, ses problèmes de drogues qui avaient bien failli le détruire et Sam évidemment qu’il aimait profondément et dont il pensait maintenant qu’il ne la reverrait plus jamais. Il ne pu s’empêcher de se laisser aller et il sanglota comme un enfant, cela faisait tellement longtemps que ça ne lui était plus arrivé.
Elena et Vivian arrivaient chez David Walsh, celui-ci laissa entrer les deux agents sans aucun problème mais on pouvait percevoir une certaine crispation sur son visage.
Vivian commença :
« Mr Walsh, connaissez-vous un certain Ibrahim Alami ? »
« Non, je suis désolé mais je ne le connais pas »
« Bien sûr mais c’est plutôt bizarre quand on sait qu’il vous a appelé et que vous aussi vous l’avez contacté »
« Je ne comprends pas ! »
« Il va pourtant falloir nous fournir une explication »
« Ah, oui, je pense me souvenir maintenant, un homme a fait un faux numéro, ça pourrait être ça ! »
« On peut dire que votre conversation a duré longtemps pour un faux numéro, Mr Walsh, une minute et 35 secondes pour être exact »
« Vous savez ce que c’est ! On doit répéter trois fois pour que certaines personnes comprennent qu’elles ont fait un faux numéro ! »
« Bien sûr et vous, vous avez même été jusqu’à rappelé cette personne ! » intervena Elena.
« Je n’ai rien d’autre à vous dire, je ne comprends pas ! »
« Alors, vous allez nous suivre jusqu’au bureau du FBI pour éclaircir tout ça ! » dit Vivian.
David Walsh fut donc emmené au FBI. Là-bas, son cas fut bien sûr analysé et ce que Vivian découvrit fut important. Elle contacta Jack pour l’informer :
« Jack, c’est Vivian. J’ai découvert un truc intéressant à propos de Walsh. Il avait une sœur qui est morte il y a 7 mois »
« Et en quoi c’est intéressant ? » demanda Jack.
« Attends ! Elle a été tuée par la CAT lors d’une descente dans un immeuble de Los Angeles. Ils pensaient que des terroristes y préparaient des attentats mais d’après le rapport, ils se sont trompés ! Les gens qui s’y trouvaient dont la sœur de Walsh n’avaient rien à se reprocher ! »
« Ca expliquerait que Walsh ait pu se lier avec des terroristes, il doit en vouloir à la CAT »
« Oui, et je vais aller le réinterroger car tout à l’heure, il a tout nié ! »
« Ok, tiens moi au courant »
De leur côté, Vivian et Elena arrivaient au FBI en compagnie de Kim. Elles se mirent tout de suite au travail en étudiant les informations données par Olivia. Ainsi, tous les appels téléphoniques de Khaled, Ibrahim et John furent analysés et Vivian remarqua quelque chose, elle décida d’en informer Jack.
« Jack, c’est Vivian, je viens de découvrir quelque chose d’intéressant, Ibrahim Alami a appelé un certain David Walsh et il a reçu également un appel de cet homme ».
« Oui, et ? » demanda Jack.
« Et bien, écoutes ça, David Walsh est policier dans un commissariat de New-York ! »
« Effectivement ça devient intéressant ! Elena et toi, allez le voir ».
Elena et Vivian quittèrent donc le bureau afin de rencontrer David Walsh. Kim Bauer, elle, reprenait ses esprits en attendant son père.
De son côté, Martin était toujours attaché dans la cave, attendant son exécution car, il en était sûr, il allait mourir. Il repensa à ce qu’était sa vie, son père avec qui il n’avait jamais su avoir une bonne relation, l’équipe du FBI dans laquelle il se sentait si bien, ses problèmes de drogues qui avaient bien failli le détruire et Sam évidemment qu’il aimait profondément et dont il pensait maintenant qu’il ne la reverrait plus jamais. Il ne pu s’empêcher de se laisser aller et il sanglota comme un enfant, cela faisait tellement longtemps que ça ne lui était plus arrivé.
Elena et Vivian arrivaient chez David Walsh, celui-ci laissa entrer les deux agents sans aucun problème mais on pouvait percevoir une certaine crispation sur son visage.
Vivian commença :
« Mr Walsh, connaissez-vous un certain Ibrahim Alami ? »
« Non, je suis désolé mais je ne le connais pas »
« Bien sûr mais c’est plutôt bizarre quand on sait qu’il vous a appelé et que vous aussi vous l’avez contacté »
« Je ne comprends pas ! »
« Il va pourtant falloir nous fournir une explication »
« Ah, oui, je pense me souvenir maintenant, un homme a fait un faux numéro, ça pourrait être ça ! »
« On peut dire que votre conversation a duré longtemps pour un faux numéro, Mr Walsh, une minute et 35 secondes pour être exact »
« Vous savez ce que c’est ! On doit répéter trois fois pour que certaines personnes comprennent qu’elles ont fait un faux numéro ! »
« Bien sûr et vous, vous avez même été jusqu’à rappelé cette personne ! » intervena Elena.
« Je n’ai rien d’autre à vous dire, je ne comprends pas ! »
« Alors, vous allez nous suivre jusqu’au bureau du FBI pour éclaircir tout ça ! » dit Vivian.
David Walsh fut donc emmené au FBI. Là-bas, son cas fut bien sûr analysé et ce que Vivian découvrit fut important. Elle contacta Jack pour l’informer :
« Jack, c’est Vivian. J’ai découvert un truc intéressant à propos de Walsh. Il avait une sœur qui est morte il y a 7 mois »
« Et en quoi c’est intéressant ? » demanda Jack.
« Attends ! Elle a été tuée par la CAT lors d’une descente dans un immeuble de Los Angeles. Ils pensaient que des terroristes y préparaient des attentats mais d’après le rapport, ils se sont trompés ! Les gens qui s’y trouvaient dont la sœur de Walsh n’avaient rien à se reprocher ! »
« Ca expliquerait que Walsh ait pu se lier avec des terroristes, il doit en vouloir à la CAT »
« Oui, et je vais aller le réinterroger car tout à l’heure, il a tout nié ! »
« Ok, tiens moi au courant »
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
GENIALE cette fic ! J'ai tout dévoré et j'espère que tu mettras bientot la suite ! vive martin !
histerik2Spidey- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Merci pour ton enthousiasme histerik2Spidey et voilà une suite!
Vivian arriva dans la salle d’interrogatoire :
« Mr Walsh, j’ai quelques questions à vous poser »
« Je ne comprends rien ! Que me voulez-vous encore ? »
« Je sais pour votre sœur, Carey »
« Quoi ? »
« Je sais qu’elle a été victime d’une bavure »
« Vous pouvez le dire ! Elle a été abattue comme un chien ! Carey n’avait rien fait et ses amis non plus. Leur seul tort a été d’être arabes ! Le petit ami de Carey était musulman et rien que pour cela la CAT a tué ma sœur et grièvement blessé son ami ! »
« Je suis désolée, croyez-moi ! Mais réfléchissez, l’agent Fitzgerald est entre les mains de vrais terroristes ! Il risque sa peau et lui aussi n’a rien fait ! Il fait partie du service des personnes disparues, il aide les gens à retrouver leurs proches, vous pouvez cautionner qu’il soit en danger ! »
L’homme réfléchit un instant puis lâcha :
« Bien sûr que non ! Je ne suis pas un salaud même si vous pensez le contraire ! »
« Alors dites-moi quels sont vos liens avec Ibrahim Alimi ? »
« Très bien, je l’ai rencontré à l’enterrement de ma sœur. Il était devant le cimetière et il m’a parlé. Il m’a dit que le gouvernement détestait les musulmans et que pour ça, il n’hésitait pas à tuer même des innocents ! J’étais paumé, son discours m’a séduit et j’ai voulu me venger ! Il m’a dit que je pourrais l’aider »
« Comment ? »
« Comme je suis policier, je pouvais lui fournir des informations facilement »
« L’appel que vous avez reçu, c’était pourquoi ? »
« Ibrahim voulait que je trouve quelque chose à propos du FBI, quelque chose pour les tenir »
« Et ? »
« J’ai découvert que l’agent Fitzgerald était le fils du directeur adjoint du FBI et j’ai pensé que c’était intéressant ! Et ils ont décidé de l’enlever lui car ça aurait plus de poids »
« Et maintenant, où sont-ils ? »
L’homme hésita un instant mais il savait qu’il n’aurait jamais du aider des terroristes, il expliqua alors à Vivian que les hommes avaient emmenés Martin chez lui.
Vivian quitta la pièce et alerta Jack. Celui-ci fut bien sûr ravi, il annonça la nouvelle à Danny et à Sam. Danny était tout sourire prêt à en découdre avec ces hommes tandis que Sam, elle, était bien sûr heureuse mais elle préférait être sûre de retrouver Martin vivant avant de laisser éclater sa joie.
Vivian arriva dans la salle d’interrogatoire :
« Mr Walsh, j’ai quelques questions à vous poser »
« Je ne comprends rien ! Que me voulez-vous encore ? »
« Je sais pour votre sœur, Carey »
« Quoi ? »
« Je sais qu’elle a été victime d’une bavure »
« Vous pouvez le dire ! Elle a été abattue comme un chien ! Carey n’avait rien fait et ses amis non plus. Leur seul tort a été d’être arabes ! Le petit ami de Carey était musulman et rien que pour cela la CAT a tué ma sœur et grièvement blessé son ami ! »
« Je suis désolée, croyez-moi ! Mais réfléchissez, l’agent Fitzgerald est entre les mains de vrais terroristes ! Il risque sa peau et lui aussi n’a rien fait ! Il fait partie du service des personnes disparues, il aide les gens à retrouver leurs proches, vous pouvez cautionner qu’il soit en danger ! »
L’homme réfléchit un instant puis lâcha :
« Bien sûr que non ! Je ne suis pas un salaud même si vous pensez le contraire ! »
« Alors dites-moi quels sont vos liens avec Ibrahim Alimi ? »
« Très bien, je l’ai rencontré à l’enterrement de ma sœur. Il était devant le cimetière et il m’a parlé. Il m’a dit que le gouvernement détestait les musulmans et que pour ça, il n’hésitait pas à tuer même des innocents ! J’étais paumé, son discours m’a séduit et j’ai voulu me venger ! Il m’a dit que je pourrais l’aider »
« Comment ? »
« Comme je suis policier, je pouvais lui fournir des informations facilement »
« L’appel que vous avez reçu, c’était pourquoi ? »
« Ibrahim voulait que je trouve quelque chose à propos du FBI, quelque chose pour les tenir »
« Et ? »
« J’ai découvert que l’agent Fitzgerald était le fils du directeur adjoint du FBI et j’ai pensé que c’était intéressant ! Et ils ont décidé de l’enlever lui car ça aurait plus de poids »
« Et maintenant, où sont-ils ? »
L’homme hésita un instant mais il savait qu’il n’aurait jamais du aider des terroristes, il expliqua alors à Vivian que les hommes avaient emmenés Martin chez lui.
Vivian quitta la pièce et alerta Jack. Celui-ci fut bien sûr ravi, il annonça la nouvelle à Danny et à Sam. Danny était tout sourire prêt à en découdre avec ces hommes tandis que Sam, elle, était bien sûr heureuse mais elle préférait être sûre de retrouver Martin vivant avant de laisser éclater sa joie.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Vite, vite, une suite! Ils vont arriver à temps, hein?
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
La suite est là et merci encore!
Au FBI, Jack Bauer et Erin Driscoll arrivaient. Jack vit sa fille et s’empressa de la rejoindre, il la serra dans ses bras, enchanté de la revoir saine et sauve. Erin Driscoll pris de son côté des nouvelles de la situation.
Jack, Danny, Sam et Olivia arrivaient chez David Walsh. Jack demanda à Olivia de rester dans la voiture, c’était trop dangereux. Les trois agents se déployèrent autour de la maison. Par la fenêtre, Danny distinguait les trois hommes qui l’avaient séquestré, il alerta Jack. Celui-ci voulait être sûr que Martin n’était pas à proximité avant de lancer l’assaut. Une fois la vérification faite, Jack ordonna à Danny et Sam de se tenir prêts, ils allaient pénétrer dans la maison. Jack entra par la porte arrière du jardin qui était bien plus simple à ouvrir que celle de l’entrée principale. Il tira dans la serrure pour la faire sauter, celle-ci céda et Jack pu s’introduire à l’intérieur suivi de Danny et Sam.
Bien sûr, les trois hommes, bien que surpris, réagirent immédiatement. Khaled saisit son arme qu’il avait posée sur la table basse et tira. Danny manqua d’être touché mais il se jeta à terre et évita de peu la balle. Sam tira sur Khaled et parvint à le toucher à l’épaule, l’homme lâcha son arme et s’écroula à terre. Il restait John et Ibrahim qui tiraient eux aussi. Jack vida son chargeur et il réussit à toucher Ibrahim dans la jambe. John, voyant qu’il était seul face à trois agents, ne riposta pas, il hurla qu’il se rendait. Jack lui demanda alors de jeter son arme, ce qu’il fit immédiatement. Danny et Sam se précipitèrent pour ôter les armes qui jonchaient le sol. Dans la pièce, une caméra était installée, les trois hommes étaient visiblement en train de la régler. Jack demanda alors à John où se trouvait Martin. Il répondit qu’il était à la cave et il tendit la clef à Danny.
Sam et Danny s’y précipitèrent. Danny ouvrit la porte et Sam se lança à l’intérieur. Martin se trouvait dans le fond de la cave, il était assis avec les mains attachées par de la corde. Son nez était enflé et il avait mal à la jambe mais la douleur s’apaisât quand il vit Sam et Danny. Sam se précipita vers lui, elle l’enlaça et sanglota. Martin ne pouvait pas non plus retenir ses larmes et au fond de lui, il pensait que décidemment, il avait bien plus pleuré depuis cette aventure que durant toute sa vie ! Danny, lui, se tenait à l’écart mais il sourit à Martin qui lui fit un petit clin d’oeil. Jack arriva alors à son tour. On enleva les liens de Martin et il pu se relever même si sa jambe le faisait souffrir. Sam l’aida à marcher jusqu’à l’étage. Là, il se laissa tomber dans le canapé, fatigué de toute cette histoire. Les renforts et les secours que Jack avait appelés arrivaient. Les trois terroristes furent emmenés tandis qu’une ambulance chargea Martin et Sam qui l’accompagna.
Le visage de Jack rayonnait, cette affaire se terminait bien finalement. La disparue avait été retrouvée vivante et ses agents s’en étaient sortis eux aussi. Danny était dans son coin réfléchissant à tout ce qui venait de se produire. Olivia, qui avait quitté la voiture s’approcha de lui et lui dit :
« Vous voyez, vous l’avez retrouvé ! »
Danny sourit puis il regarda la jeune femme et lui dit :
« Je crois que c’est moi qui doit vous remerciez maintenant. »
« Pourquoi ? »
« Vous avez su m’aider vous aussi. Vous m’avez donné la force de continuer et de me battre. Sans vous, je n’aurais pas pu retrouver Martin. »
« Merci, ça me touche beaucoup » répondit la jeune femme, troublée.
Danny s’approcha alors de son visage et déposa un baiser sur ses lèvres. Surprise, elle se laissa pourtant faire. Il faut dire qu’elle l’avait tout de suite trouvé mignon. Danny la regarda alors et lui dit :
« Je pense qu’on devrait se tutoyer maintenant, non ? »
« Oui » dit-il intimidée.
Les deux jeunes gens s’en allèrent donc ensemble pour retourner dans la voiture de Jack qui les observait avec un regard malicieux.
Au FBI, Jack Bauer et Erin Driscoll arrivaient. Jack vit sa fille et s’empressa de la rejoindre, il la serra dans ses bras, enchanté de la revoir saine et sauve. Erin Driscoll pris de son côté des nouvelles de la situation.
Jack, Danny, Sam et Olivia arrivaient chez David Walsh. Jack demanda à Olivia de rester dans la voiture, c’était trop dangereux. Les trois agents se déployèrent autour de la maison. Par la fenêtre, Danny distinguait les trois hommes qui l’avaient séquestré, il alerta Jack. Celui-ci voulait être sûr que Martin n’était pas à proximité avant de lancer l’assaut. Une fois la vérification faite, Jack ordonna à Danny et Sam de se tenir prêts, ils allaient pénétrer dans la maison. Jack entra par la porte arrière du jardin qui était bien plus simple à ouvrir que celle de l’entrée principale. Il tira dans la serrure pour la faire sauter, celle-ci céda et Jack pu s’introduire à l’intérieur suivi de Danny et Sam.
Bien sûr, les trois hommes, bien que surpris, réagirent immédiatement. Khaled saisit son arme qu’il avait posée sur la table basse et tira. Danny manqua d’être touché mais il se jeta à terre et évita de peu la balle. Sam tira sur Khaled et parvint à le toucher à l’épaule, l’homme lâcha son arme et s’écroula à terre. Il restait John et Ibrahim qui tiraient eux aussi. Jack vida son chargeur et il réussit à toucher Ibrahim dans la jambe. John, voyant qu’il était seul face à trois agents, ne riposta pas, il hurla qu’il se rendait. Jack lui demanda alors de jeter son arme, ce qu’il fit immédiatement. Danny et Sam se précipitèrent pour ôter les armes qui jonchaient le sol. Dans la pièce, une caméra était installée, les trois hommes étaient visiblement en train de la régler. Jack demanda alors à John où se trouvait Martin. Il répondit qu’il était à la cave et il tendit la clef à Danny.
Sam et Danny s’y précipitèrent. Danny ouvrit la porte et Sam se lança à l’intérieur. Martin se trouvait dans le fond de la cave, il était assis avec les mains attachées par de la corde. Son nez était enflé et il avait mal à la jambe mais la douleur s’apaisât quand il vit Sam et Danny. Sam se précipita vers lui, elle l’enlaça et sanglota. Martin ne pouvait pas non plus retenir ses larmes et au fond de lui, il pensait que décidemment, il avait bien plus pleuré depuis cette aventure que durant toute sa vie ! Danny, lui, se tenait à l’écart mais il sourit à Martin qui lui fit un petit clin d’oeil. Jack arriva alors à son tour. On enleva les liens de Martin et il pu se relever même si sa jambe le faisait souffrir. Sam l’aida à marcher jusqu’à l’étage. Là, il se laissa tomber dans le canapé, fatigué de toute cette histoire. Les renforts et les secours que Jack avait appelés arrivaient. Les trois terroristes furent emmenés tandis qu’une ambulance chargea Martin et Sam qui l’accompagna.
Le visage de Jack rayonnait, cette affaire se terminait bien finalement. La disparue avait été retrouvée vivante et ses agents s’en étaient sortis eux aussi. Danny était dans son coin réfléchissant à tout ce qui venait de se produire. Olivia, qui avait quitté la voiture s’approcha de lui et lui dit :
« Vous voyez, vous l’avez retrouvé ! »
Danny sourit puis il regarda la jeune femme et lui dit :
« Je crois que c’est moi qui doit vous remerciez maintenant. »
« Pourquoi ? »
« Vous avez su m’aider vous aussi. Vous m’avez donné la force de continuer et de me battre. Sans vous, je n’aurais pas pu retrouver Martin. »
« Merci, ça me touche beaucoup » répondit la jeune femme, troublée.
Danny s’approcha alors de son visage et déposa un baiser sur ses lèvres. Surprise, elle se laissa pourtant faire. Il faut dire qu’elle l’avait tout de suite trouvé mignon. Danny la regarda alors et lui dit :
« Je pense qu’on devrait se tutoyer maintenant, non ? »
« Oui » dit-il intimidée.
Les deux jeunes gens s’en allèrent donc ensemble pour retourner dans la voiture de Jack qui les observait avec un regard malicieux.
emimartin- Elève à Quantico
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
bouhhh elle en a de la chance cette olivia!!
en tout cas ça fini bien pour Martin comme pour Danny alors!
en tout cas ça fini bien pour Martin comme pour Danny alors!
nady- Agent spécial
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Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
OUaou! génial !
histerik2Spidey- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 02/05/2006
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Comme ça finit trop bien... Ah Martin et Sam
Pour cette super histoire !!!
DJMandarine- Nouvelle recrue
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Localisation : quelque part dans le monde
Date d'inscription : 26/09/2006
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
Ah! on peut dire que ça finit bien pour tout le monde
Encore bravo pour ta fic
Encore bravo pour ta fic
Mouchette- Directeur Adjoint
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Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Nouvelle fic: Etat de crise (complète)
C'est pas fini mais merci pour vos coms voilà la fin!
Une fois rentré, Danny se rendit à l’hôpital pour voir Martin. Dans le couloir, il rencontra Sam qui lui amenait un sandwich. Danny la regarda mais, ne sachant comment réagir, il ne dit rien. Elle s’approcha alors de lui :
« Eh, tu viens voir Martin ? »
« Oui, il va bien ? »
« Ca va, il s’en remettra. Il avait faim alors je lui ai pris un sandwich. Tu crois que ça ira ? » demanda t-elle en lui montrant le sandwich. Danny sourit puis ajouta :
« Oui, je crois que Marty va apprécier ! »
« Pourquoi tu ne lui donnerais pas toi-même ? »
« Tu crois ? »
« Ecoutes Danny, je veux m’excuser. Je n’ai pas été correcte avec toi. Martin m’a tout raconté et je sais que tu as fait ce qu’il fallait ! »
« C’est vrai ? »
« Bien sûr, pardonnes-moi, je crois juste que j’ai un peu perdu la raison et j’ai passé mes nerfs sur toi ! »
« C’est bon, je te pardonne » dit Danny en la prenant dans ses bras.
« Ah, au fait, Jack m’a dit qu’Olivia et toi, ça se passait bien, non ? » ajouta t-elle.
« Oui, c’est vrai. C’est une fille bien »
« Je te souhaites beaucoup de bonheur avec elle » termina Sam. Puis, elle tendit le sandwich à Danny.
Le jeune homme rentra alors dans la chambre de Martin. Il s’approcha de lui et lui donna un petit coup sur l’épaule. Les deux jeunes gens passèrent du temps ensemble à rire de tout et de rien, simplement heureux d’être là tout les deux.
Trois semaines plus tard :
Au bureau du FBI, les agents travaillaient sur la disparition d’une femme d’une vingtaine d’années. Jack Bauer rentra alors dans le bâtiment, accompagné de sa fille. Il s’approcha de Jack et l’interpella :
« Je voulais encore vous remercier pour ma fille et je voulais aussi remercier vos autres agents que je n’ai pas pu voir l’autre jour »
« Merci, je les appelle. Danny, Martin, venez une seconde SVP »
Les deux agents s’approchèrent. Jack Bauer leur serra la main puis leur dit :
« Merci pour tout ! Vous avez sauvé ma fille et je vous en serais reconnaissant toute ma vie ! »
« Oui, je vous remercie d’avoir fait autant pour moi » continua Kim.
« On a fait notre travail, c’est tout» répondit Martin, un peu gêné par tant de gentillesse.
« Oui, c’est vrai » confirma Danny et il ajouta : « Il y a une autre personne que vous pouvez remercier, elle s’appelle Olivia et sans elle, on n’aurait rien pu faire, croyez-moi ! »
« C’est vrai papa » reconnu Kim.
« Bien, j’irais donc personnellement remercier cette personne » termina Jack Bauer.
Jack et Kim quittèrent alors le bureau du FBI sous le regard des agents qui se remirent immédiatement au travail car la vie continuait avec son lot de disparitions.
~ FIN ~
Une fois rentré, Danny se rendit à l’hôpital pour voir Martin. Dans le couloir, il rencontra Sam qui lui amenait un sandwich. Danny la regarda mais, ne sachant comment réagir, il ne dit rien. Elle s’approcha alors de lui :
« Eh, tu viens voir Martin ? »
« Oui, il va bien ? »
« Ca va, il s’en remettra. Il avait faim alors je lui ai pris un sandwich. Tu crois que ça ira ? » demanda t-elle en lui montrant le sandwich. Danny sourit puis ajouta :
« Oui, je crois que Marty va apprécier ! »
« Pourquoi tu ne lui donnerais pas toi-même ? »
« Tu crois ? »
« Ecoutes Danny, je veux m’excuser. Je n’ai pas été correcte avec toi. Martin m’a tout raconté et je sais que tu as fait ce qu’il fallait ! »
« C’est vrai ? »
« Bien sûr, pardonnes-moi, je crois juste que j’ai un peu perdu la raison et j’ai passé mes nerfs sur toi ! »
« C’est bon, je te pardonne » dit Danny en la prenant dans ses bras.
« Ah, au fait, Jack m’a dit qu’Olivia et toi, ça se passait bien, non ? » ajouta t-elle.
« Oui, c’est vrai. C’est une fille bien »
« Je te souhaites beaucoup de bonheur avec elle » termina Sam. Puis, elle tendit le sandwich à Danny.
Le jeune homme rentra alors dans la chambre de Martin. Il s’approcha de lui et lui donna un petit coup sur l’épaule. Les deux jeunes gens passèrent du temps ensemble à rire de tout et de rien, simplement heureux d’être là tout les deux.
Trois semaines plus tard :
Au bureau du FBI, les agents travaillaient sur la disparition d’une femme d’une vingtaine d’années. Jack Bauer rentra alors dans le bâtiment, accompagné de sa fille. Il s’approcha de Jack et l’interpella :
« Je voulais encore vous remercier pour ma fille et je voulais aussi remercier vos autres agents que je n’ai pas pu voir l’autre jour »
« Merci, je les appelle. Danny, Martin, venez une seconde SVP »
Les deux agents s’approchèrent. Jack Bauer leur serra la main puis leur dit :
« Merci pour tout ! Vous avez sauvé ma fille et je vous en serais reconnaissant toute ma vie ! »
« Oui, je vous remercie d’avoir fait autant pour moi » continua Kim.
« On a fait notre travail, c’est tout» répondit Martin, un peu gêné par tant de gentillesse.
« Oui, c’est vrai » confirma Danny et il ajouta : « Il y a une autre personne que vous pouvez remercier, elle s’appelle Olivia et sans elle, on n’aurait rien pu faire, croyez-moi ! »
« C’est vrai papa » reconnu Kim.
« Bien, j’irais donc personnellement remercier cette personne » termina Jack Bauer.
Jack et Kim quittèrent alors le bureau du FBI sous le regard des agents qui se remirent immédiatement au travail car la vie continuait avec son lot de disparitions.
~ FIN ~
emimartin- Elève à Quantico
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