Amis-Amis (complète)
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Re: Amis-Amis (complète)
Raaa; tu sais que je t'adore toi? Peter mariano (après Jess Petrelli, bien vu)
Là, tu m'as toute acquise à ta cause! Ajoute Jude et je te voues un culte!
Et que dire de la façon dont tu le fais entrer en scène...
là; j'aai mouru, en bavant devant mon écran!
- Code:
En effet, le jeune homme arborait la tenue du parfait motard. Excepté le casque qu’il avait daigné abandonner aux vestiaires, toute la panoplie était bien là. En commençant par le pantalon en cuir, laissant deviner le galbe musclé de ses fesses, en passant par le polo noir à manches courtes, porté près du corps, qui faisait totalement contraste alors au costume chic que portait habituellement tous les fédéraux.
Ces yeux marrons, cette bouche qui se faisait pulpeuse et ce sourire des plus craquants l’envoûtaient totalement
Aaaaa qu'on m'apporte un ventilateur!
Par contre, l'autre grognasse pas touche! Elle peut baver devant mais c'est tout! Si tu fais quelque chose entre eux je te déclarerais maitresse de l'épouvante Non mais, la delgado n'a pas le droit au Mariano!
Et Danny jaloux, ça s'était fendard... mais la concurrence ça ne fera que le pousser à se rendre encore plus désirable!
La suite allez!
pativore- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
ah c'est quelqu'un d'une autre série ce mariano???
ben me faut une tof alors !!!
ben me faut une tof alors !!!
Re: Amis-Amis (complète)
Ralala les filles j'adore trop vos comm' merci à vous toutespativore a écrit:Aaaaa qu'on m'apporte un ventilateur!
ben pas vraiment , c'est un mix de 2 personnages fictifs joués par le même acteur alias Milo Ventimiglia . Il y a d'un côté, Peter Petrelli dans "Heroes" et Jess Mariano dans "Gilmore Girls". J'ai pompé l'idée de pativore , elle a un Jess Petrelli dans sa fic alors pour moi, ce sera Peter Marianonathaloche a écrit:ah c'est quelqu'un d'une autre série ce mariano???
Sur ce, voilà la tof qui m'a inspiré ce passage :
Ou sinon t'as la bann' de Clara et l'ava de pativore
Dernière édition par le Ven 17 Aoû - 4:33, édité 1 fois
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
oh mais c'est milo !!!! je suis en train de regarder les premiers zodes de Heroes et je l'aime bien !! d'ailleurs il joue le rôle du fils à Rocky balboa dans Rocky 6 !!!
mais j'avoue je préfère le charme ténébreux d'enrique !!!
mais j'avoue je préfère le charme ténébreux d'enrique !!!
Re: Amis-Amis (complète)
vi , faudrait d'ailleurs que je le mate ce film
ben, faudra me dire ce qu'il en reste , parce que je vois pas làmais j'avoue je préfère le charme ténébreux d'enrique !!!
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
ben, faudra me dire ce qu'il en reste , parce que je vois pas là
ben mets des lunettes
sa bouche, ses mains, ses yeux, son sourire
mais bon, si tu préfères désormais les blonds pas beaux cloppeurs.... c'est ton choix
moi je garde Enrique
Théana- Président des USA
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Amis-Amis (complète)
oulà j'ai réveillé le volcan du calme, les filles
Et vi, garde Enrique stp , moi ze prends Milo avec magic et pativore, on s'est mis d'accord pour la garde alternée
hé bé, z'en connais une qui va être contente Kiefou n'est pas MON choix ... quoique ... z'en veux bien un boutmais bon, si tu préfères désormais les blonds pas beaux cloppeurs.... c'est ton choix
Et vi, garde Enrique stp , moi ze prends Milo avec magic et pativore, on s'est mis d'accord pour la garde alternée
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Vous êtes trop les filles
Par contre Tweetie, quand l'image est appareue à l'écxran j'ai crié: "la vache" ....Il est tout mimi là....j'ai beaucoup ce garçon, il faudrait être aveugle pôur ne pas aimer ce joli minois...Le petit bémol, je trouyve qu'il fait encore ado à tout de même trente ans
Enrique....toujours aussi megnifique c'est vrai...mais beaucoup moins d'effet qu'avant
Quand aux blonds...moi z'aime pas trop ...
Comme disais mon bon Jean Jacques: "Je marche seul"
Merci pour cette photo en tout cas
clara- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Je soutiens Tweetie! Enrique c'est plus ce que c'était... moi je laisse!
Bon, les blonds c'est pas mon truc, excepté jude law, mais jude law c'est
Pour Milo, je crois qu'on peut le partager à deux, magic n'est plus là en ce moment... ça en fait plus pour nous
Mais c'est pas tout, elle est où la suite???
Bon, les blonds c'est pas mon truc, excepté jude law, mais jude law c'est
Pour Milo, je crois qu'on peut le partager à deux, magic n'est plus là en ce moment... ça en fait plus pour nous
Mais c'est pas tout, elle est où la suite???
pativore- Président des USA
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Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
et ben moi Enrique je garde
Théana- Président des USA
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Localisation : sous la couette, de préférence ...
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Re: Amis-Amis (complète)
Théana a écrit:et ben moi Enrique je garde
nataloche a écrit:me too !!!!
Et moi je vous le laisse!!
Sleepy Tinky- Directeur Adjoint
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Date d'inscription : 31/12/2006
Re: Amis-Amis (complète)
Théana a écrit:ben, faudra me dire ce qu'il en reste , parce que je vois pas là
ben mets des lunettes
sa bouche, ses mains, ses yeux, son sourire
mais bon, si tu préfères désormais les blonds pas beaux cloppeurs.... c'est ton choix
moi je garde Enrique
Pffff même pas mal ! Pas touche à mon Kiefou sinon...me venge sur Danny dans ma fic !
Merci Tweetie de me soutenir !
En noir :
Ou en couleur :
Moi je prends !
Sinon bah la suite était géniale et le nouveau venu va avoir du mal à se débarrasser du boulet !
Et pis bah, la suite !
Re: Amis-Amis (complète)
Pffff même pas mal ! Pas touche à mon Kiefou sinon...me venge sur Danny dans ma fic !
m'en fiche vous avez déjà dit trop de vilaines choses sur Danny
Tweety la suite !!!!
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Amis-Amis (complète)
On va finir en guerre des clans si ça continue!
Et puis qui sait, peut être que les prochains épisodes de wat nous ramènerons à la raison à propos de papy...
En attendant une suite avec Jess... enfin, non c'est Peter ici, je m'y perds et ave linchage de chose ça serait bien, enfin moi je dis ça mais...
Et puis qui sait, peut être que les prochains épisodes de wat nous ramènerons à la raison à propos de papy...
En attendant une suite avec Jess... enfin, non c'est Peter ici, je m'y perds et ave linchage de chose ça serait bien, enfin moi je dis ça mais...
pativore- Président des USA
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Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
c'est clair, quel débat en plus, c'était pas du tout mon intention ralala alors pour me faire pardonner, je retire publiquement tout ce que j'ai dit de méchant sur Danny ça te va, théana ? et pis, faut voir le bon côté des choses, ça te fait moins de concurrence il n'y a plus que toi et Nathaloche sur le coup nan sérieux, t'es pas fâchée, hein ?pativore a écrit:On va finir en guerre des clans si ça continue!
no soucy, coupine et merci à toi pour les tofs Rrrrrjenny a écrit:Merci Tweetie de me soutenir !
rah j'ADORE cette idéepativore a écrit:Pour Milo, je crois qu'on peut le partager à deux, magic n'est plus là en ce moment... ça en fait plus pour nous
rah tu as toujours le mot juste la miss je crois que ce sera le mot de la fin alorsclara a écrit:Comme disais mon bon Jean Jacques: "Je marche seul"
nan ce s'ra pas pour cette fois sorrypativore a écrit:En attendant une suite avec Jess... enfin, non c'est Peter ici, je m'y perds et ave linchage de chose ça serait bien, enfin moi je dis ça mais...
Dernière édition par le Sam 18 Aoû - 3:22, édité 1 fois
tweetie- Président des USA
- Nombre de messages : 7789
Date d'inscription : 04/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
- je vous en prie, entrez.
Rice accueillait chaleureusement le couple invité par Danny, à la porte de son appartement.
- quelle charmante maîtresse de maison, on peut dire que miss céréales sait recevoir !
Christian louchait sur les attributs avantageux de la jeune femme, tout sourire, alors que Frances avait le regard noir .
- chéri ?
Le chirurgien plasticien sortit de sa rêverie et laissa son manteau sur l’avant-bras de Rice.
- il est là le fédéral ?
- oui, dans la cuisine, il finit de préparer nos bons petits plats.
- vraiment ? Parce que ça sait faire la cuisine en plus ce genre d’individu ?
- oui, c’est un vrai cordon bleu.
- tu entends ça, bébé ? C’est lui que tu devrais épouser dans ce cas.
- ne sois pas bête, Christian, soupira l’intéressée d’un air gêné.
- si vous saviez, il n’attend que ça, murmura Rice.
- quoi ?
Le chirurgien plasticien avait froncé les sourcils.
- rien, rien. Venez, prenons place dans le salon.
- et bien, vous avez fait les choses en grand à ce que je vois, s’enthousiasma Frances à la vue de la table dressée.
- ouais, fais-moi penser à laisser un pourboire généreux.
- il plaisante, ajouta la fiancée de Christian devant la grimace de Rice.
- je suis sûr qu’elle avait compris.
Christian et Rice échangèrent un sourire poli avant de prendre tous les trois place à table.
- on attend quelqu’un d’autre ?
- je vous demande pardon ?
- et bien, je sais encore compter et il y a 6 couverts, ajouta Christian.
- oui, ils ne vont plus tarder maintenant, répondit Rice.
- décidément, c’est une habitude les retards chez vous.
- et chez vous, c’est quoi ? L’insolence, peut-être ?
- vous avez tout compris.
Rice et Christian se toisèrent du regard. La tension était palpable entre eux.
- très bien. Je vais voir comment se débrouille Danny aux fourneaux. N’en profitez pas pour vous entretuer, affirma Frances.
- non, on sera très sages. Alors Rice, dites-m’en un peu plus, vous êtes originaire d’où ?
La fiancée de Christian venait de quitter la pièce.
- de Seattle, j’y ai grandi. Mes parents …
- pourquoi vous ne m’avez pas rappelé ?
- quoi ?
- je vous ai donné mon numéro personnel, il y a presque deux semaines maintenant. J’ai cru que vous passeriez à la clinique, depuis le temps.
- c’est gentil à vous de m’avoir proposer cette opération gratuite, mais je ne veux rien refaire.
- vous avez raison. Il n’y a rien à changer. Votre tenue le confirme. Et si je peux permettre, votre poitrine a l'air resplendissante.
Ses yeux se faisaient coquins devant le décolleté plongeant de la belle rousse qui sentait le rouge lui grimper aux joues.
- mmmh …. et cette jupe … mini-jupe, maxi-vue, je dirais.
La fiancée de Christian, se tenait à l’embrasure de la porte de la cuisine. Elle affichait un sourire radieux devant le sérieux de Danny aux fourneaux.
- ça marche mieux comme ça ?
- quoi ?
Elle s’approcha du jeune agent, tout sourire.
- tu sais que tu sors la langue quand tu es concentré sur quelque chose ?
- non, je n’avais pas remarqué.
- rassure-toi, c’est mignon.
Ils échangèrent un regard complice.
- alors, tu t’en sors ?
- je crois bien. Tiens !
Il approcha la cuillère en bois de la jeune femme et lui fit goûter sa sauce.
- hum… c’est délicieux.
Ils étaient toujours perdus dans les yeux l’un de l’autre. Un moment interminable pour Danny qui se demandait si c’était l’instant propice pour faire un geste. Est-ce qu’il devait pencher la tête ou non ?
- je dérange peut-être ?
La voix contrariée du docteur Troy se fit entendre dans la pièce.
- non, chéri, je …Danny me faisait tester sa nouvelle recette, c’est tout.
- jolie métaphore ! C’est comme ça que tu expliques ce qui se passe ici, alors ?
- il ne se passe rien, je te dis que …
- je pense que je vais plutôt aller pisser dans une de vos plantes, Taylor ! S’exclama le docteur Troy.
- fond du couloir, 3ème porte à gauche !
Soutenant Danny du regard un court instant, Christian prit finalement la direction des toilettes.
- excuse-le, il est un peu …
- cru ?
- oui, on peut dire ça. Tu veux que je t’aide pour servir ?
- non, tu fais partie des invités. Alors retourne à ta place, je vous rejoins tout de suite.
- d’accord.
Les deux amis échangèrent un sourire. Quelques minutes plus tard, les plats étaient servis.
- c’est délicieux, affirma Rice.
- ouais, enfin, ça se mange, minimisa Christian.
Sa remarque aurait pu faire des étincelles si la lumière ne s’était pas éteinte soudainement à ce moment-là.
- Danny ?
Frances était surprise.
- c’est rien, il faut juste claquer des mains pour qu’elle se rallume.
Il exécuta ce dernier geste avec bonne humeur, imité par Rice et Frances. La lumière refit son apparition immédiatement.
- vous voyez ?
Le rire de Frances fusait dans la pièce mais pas celui de Christian.
- on est pas dans un cirque, ici ! Ce sera quoi, après ? On fera du trapèze ?
Les deux hommes se fusillaient du regard.
- quoique avec ma souplesse … tu confirmes, bébé ?
- Christian, soupira Frances, en posant délicatement une main sur son avant-bras.
Danny se mit à grincer des dents.
- qu’est-ce qu’il y a Taylor ? Quelque chose ne vous plaît pas ?
- tout va bien, merci.
Le jeune agent avait toujours la mâchoire crispée.
- allez, videz votre sac, je sens que vous en crevez d’envie ! Vous êtes chez vous, après tout !
- ah bon ? Vous êtes sûr ? Parce que j’ai plutôt l’impression que c’est vous qui faites la loi, ici !
- et oui, je suis comme ça ! Je préfère chier en société que de crever tout seul ! C’est mon côté emmerdeur !
Le chirurgien avait toujours le sourire aux lèvres. Danny ne supportait plus de se faire narguer ainsi, dans son propre appartement.
- vous n’êtes qu’une pauvre ordure, soupira-t-il.
Son regard se voulait froid, glacial.
- ordure peut-être, mais pas pauvre, sourit le docteur Troy.
Ce dernier leva fièrement sa coupe de champagne afin d’en boire une gorgée.
- santé !
Mais il recracha finalement le tout dans son assiette.
- non mais c’est quoi ce jus de chaussette ? Vous n’avez jamais entendu parler de Chardonnay ou de Don Pérignon ?
- sortez !
- je crois que je l’ai vexé là, tu crois pas chérie ?
- allez, viens, on y va, insista Frances.
- non, pourquoi ? Je m’amuse très bien, ici, moi ! Vous ne vous amusez pas, Rice ?
- je crois que vous feriez mieux de rentrer, répondit-elle simplement.
Christian se leva d’un bond, en secouant la tête, il sentait la colère monter petit à petit en lui.
- vous savez ce qui me débecte chez les mecs dans votre genre, Taylor ?
Danny se leva à son tour. Les hommes s’affrontaient du regard à présent.
- non, mais vous allez me le dire.
- ce ne sont que des faux-culs qui remuent la queue devant ma femme et qui ne sont même pas foutus d’avouer qu’ils voudraient bien la sauter !
L’agent Taylor se mit à soupirer. Quant au rire du docteur Troy, il se voulait sarcastique.
- parfait ! Vous le prenez comme ça ? Vous préférez nier ? Alors je suppose que ça ne vous fait rien de savoir que je la prends QUAND, OU et surtout COMME ça chante ! Par devant ! Par derrière ! Par tous les trous ! Et croyez-moi, elle aime la bite, cette chienne !
Le poing de Danny allait atterrir sur la figure de Christian, mais Frances le retint d’un bras.
- comment tu peux le laisser dire ça ? S’insurgea l’agent du FBI.
Il s’adressait à son amie d’enfance devant le sourire toujours triomphant de Christian .
- c’est parce qu’elle est folle de … commença le chirurgien plasticien.
- non, c’est parce qu’elle préfère s’en charger elle-même !
La jeune femme pleine de rage envoya une de ces gifles à son fiancé, que sa joue changea de couleur immédiatement et que sa tête fit un quart de tour.
- tu sais ce qu’elle te dit « la chienne » ? Que ce n’est pas TA pute, juste une salope qui te rendait service ! Mais à présent, c’est bien fini, crois-moi ! Je te souhaite bon courage pour toutes tes futures heures à t’astiquer le gardon, parce que moi j’ai eu ma dose !
La jeune femme se dirigea ensuite vers la sortie. Christian la regarda s’en aller, sans dire un mot.
- Frances, attends, la poursuivit Danny. Laisse-moi au moins te raccompagner.
- non, merci, je vais prendre …
Elle ouvrit brusquement la porte.
- salut tout le monde ! S’enthousiasma CJ.
- …. un taxi !
- hé !
Frances fonça dans la jeune technicienne avant de disparaître dans les couloirs.
- allez-y, installez-vous, je reviens, dit Danny, en suivant Frances dans la rue.
La jeune technicienne et son invité s’exécutèrent.
- qu’est-ce qui s’est passé ? Demanda CJ, piquée dans sa curiosité.
- et bien, c’est …c’est compliqué, bégaya Rice, gênée.
- non, c’est même très simple à résumer : il rattrape ma fiancée parce que je viens de la traiter de chienne.
- ah d’accord !
- bonsoir, Christian Troy, chirurgien plasticien.
- bonsoir. Celest Jane Andrews.
- c’est une blague ?
- non, ils sont obligés de retourner ma carte d’identité pour lire tous les noms, plaisanta-t-elle.
- et le pantalon baggy, c’est parce que ça fait plus classe ?
- et vous, le costard à 20 000 dollars, c’est parce que ça fait plus riche ?
- et passé de mode ?
- du calme ! Je crois que je ne vais pas y arriver si vous vous y mettez à deux.
- Celest, tu ne nous présentes pas ton ami ? Demanda Rice.
- si, bien sûr. Maurice, voilà Erica. Ma meilleure amie depuis le collège, elle n’a pas hésité une seconde à me faire pipi dessus quand je me suis fait piquer par une méduse en 5ème !
- effectivement, ça c’est de l’amitié ! Je sais que Sean ferait pareil pour moi ! Dites-nous, Maurice, vous faites quoi dans la vie ?
- officier de police, dans le 55ème district !
- un flic ? On peut dire que vous tombez bien !
- par contre, j’en dirais pas autant de vous, répondit ce dernier.
La tension était palpable entre les deux hommes. Danny arriva à cet instant précis.
- qu’est-ce que vous faites encore là ? Demanda-t-il, encore essoufflé par sa course.
- je fais connaissance avec vos charmants amis. Et vous ? Vous avez fini de courir, Forrest ? Le provoqua Christian.
- c’est ça, faites-le malin ! Mais plus pour longtemps, je vous le jure !
Il s’approcha de quelques pas dans le but de faire face à son adversaire et de l’intimider.
- écoutez-moi, bien. Frances est retournée toute seule à son hôtel et si j’étais vous, je ne chercherais pas à la revoir. Elle ne veut plus rien à voir affaire avec vous, Troy ! Jamais !
Le chirurgien fut pris d’un fou rire incontrôlable.
- quoi ? Parce que vous espérez avoir une chance, vous ?
- il ne s’agit pas de moi, répondit Danny, en éludant la question.
- vous avez raison. Il s’agit de Frances et moi. De nous deux et personne d’autre. Ce mariage ne tiendrait jamais à trois. Et comme j’ai envie qu’il tienne, je ferai tout pour, le menaça-t-il.
- j’ai bien peur que vous soyez tout seul maintenant.
- c’est ce que vous croyez, ricana Christian. Seulement, je la connais ma petite femme. Elle est peut-être furieuse ce soir mais demain, elle viendra me manger dans la main. Vous pouvez en être certain.
- c’est ce qu’on verra.
Les deux hommes se fusillaient du regard, aucun des deux ne voulant lâcher prise.
- quelqu’un veut un petit café ? J’ai ramené des langues de chat, comme ça, on pourra les tremper dedans !
- c’est gentil, CJ, sourit Danny. Allons-y.
Tous les invités se dirigèrent ainsi dans le salon.
- qu’est-ce que vous faites ?
Le regard curieux de l’agent du FBI se reposait à nouveau sur Christian.
- et bien, je vous suis. Vous voyez, ça me dit plutôt bien de poser confortablement mon cul sur une de vos chaises et de déguster ces langues de chat, sourit-il, fièrement.
- vous voyez ce meuble ?
Danny pointa du doigt une des commodes de son salon. Le chirurgien hocha la tête.
- il y a mon arme de service dans le 1er tiroir et je vous jure que si nous n’avez pas débarrassé le plancher dans cinq minutes, je vous abats d’une balle dans la tête.
Il ne clignait pas des yeux. Son regard se voulait froid, impassible.
- très drôle, Taylor !
- j’irais peut-être en prison mais au moins, Frances aura la paix.
Le docteur Troy semblait déstabilisé.
- est-ce que vous seriez prêt à prendre ce risque … juste pour elle ? Demanda-t-il.
- et vous ? Répondit Danny.
- …
- entre nous, c’est vous qui avez le plus à perdre. Toutes ces injections de botox sur votre visage ne serviront à plus rien une fois que vous serez à la morgue.
- si vous me prenez par les sentiments, Taylor.
Il recula de quelques pas et se dirigea sagement vers la sortie. Danny poussa un soupir de soulagement lorsqu’il entendit le bruit de la porte se refermer derrière lui.
- espèce d’enfoiré, dis plutôt que je t’ai fait peur, dit-il, en se parlant à lui-même.
Le sourire aux lèvres, il rejoignit les autres à table, plutôt satisfait de sa soirée. Frances avait souffert mais c’était pour son bien. Elle avait enfin pris conscience de l’ordure que son fiancé était. C’était à lui de jouer à présent. Il avait tous les cartes en main et il comptait bien s’en servir à bon escient.
vi, je sais, j'avoue que j'me suis un peu lâchée niveau langage mais ce sont les propos de ce cher Dr Troy héhéhé (gilem ) !
Rice accueillait chaleureusement le couple invité par Danny, à la porte de son appartement.
- quelle charmante maîtresse de maison, on peut dire que miss céréales sait recevoir !
Christian louchait sur les attributs avantageux de la jeune femme, tout sourire, alors que Frances avait le regard noir .
- chéri ?
Le chirurgien plasticien sortit de sa rêverie et laissa son manteau sur l’avant-bras de Rice.
- il est là le fédéral ?
- oui, dans la cuisine, il finit de préparer nos bons petits plats.
- vraiment ? Parce que ça sait faire la cuisine en plus ce genre d’individu ?
- oui, c’est un vrai cordon bleu.
- tu entends ça, bébé ? C’est lui que tu devrais épouser dans ce cas.
- ne sois pas bête, Christian, soupira l’intéressée d’un air gêné.
- si vous saviez, il n’attend que ça, murmura Rice.
- quoi ?
Le chirurgien plasticien avait froncé les sourcils.
- rien, rien. Venez, prenons place dans le salon.
- et bien, vous avez fait les choses en grand à ce que je vois, s’enthousiasma Frances à la vue de la table dressée.
- ouais, fais-moi penser à laisser un pourboire généreux.
- il plaisante, ajouta la fiancée de Christian devant la grimace de Rice.
- je suis sûr qu’elle avait compris.
Christian et Rice échangèrent un sourire poli avant de prendre tous les trois place à table.
- on attend quelqu’un d’autre ?
- je vous demande pardon ?
- et bien, je sais encore compter et il y a 6 couverts, ajouta Christian.
- oui, ils ne vont plus tarder maintenant, répondit Rice.
- décidément, c’est une habitude les retards chez vous.
- et chez vous, c’est quoi ? L’insolence, peut-être ?
- vous avez tout compris.
Rice et Christian se toisèrent du regard. La tension était palpable entre eux.
- très bien. Je vais voir comment se débrouille Danny aux fourneaux. N’en profitez pas pour vous entretuer, affirma Frances.
- non, on sera très sages. Alors Rice, dites-m’en un peu plus, vous êtes originaire d’où ?
La fiancée de Christian venait de quitter la pièce.
- de Seattle, j’y ai grandi. Mes parents …
- pourquoi vous ne m’avez pas rappelé ?
- quoi ?
- je vous ai donné mon numéro personnel, il y a presque deux semaines maintenant. J’ai cru que vous passeriez à la clinique, depuis le temps.
- c’est gentil à vous de m’avoir proposer cette opération gratuite, mais je ne veux rien refaire.
- vous avez raison. Il n’y a rien à changer. Votre tenue le confirme. Et si je peux permettre, votre poitrine a l'air resplendissante.
Ses yeux se faisaient coquins devant le décolleté plongeant de la belle rousse qui sentait le rouge lui grimper aux joues.
- mmmh …. et cette jupe … mini-jupe, maxi-vue, je dirais.
La fiancée de Christian, se tenait à l’embrasure de la porte de la cuisine. Elle affichait un sourire radieux devant le sérieux de Danny aux fourneaux.
- ça marche mieux comme ça ?
- quoi ?
Elle s’approcha du jeune agent, tout sourire.
- tu sais que tu sors la langue quand tu es concentré sur quelque chose ?
- non, je n’avais pas remarqué.
- rassure-toi, c’est mignon.
Ils échangèrent un regard complice.
- alors, tu t’en sors ?
- je crois bien. Tiens !
Il approcha la cuillère en bois de la jeune femme et lui fit goûter sa sauce.
- hum… c’est délicieux.
Ils étaient toujours perdus dans les yeux l’un de l’autre. Un moment interminable pour Danny qui se demandait si c’était l’instant propice pour faire un geste. Est-ce qu’il devait pencher la tête ou non ?
- je dérange peut-être ?
La voix contrariée du docteur Troy se fit entendre dans la pièce.
- non, chéri, je …Danny me faisait tester sa nouvelle recette, c’est tout.
- jolie métaphore ! C’est comme ça que tu expliques ce qui se passe ici, alors ?
- il ne se passe rien, je te dis que …
- je pense que je vais plutôt aller pisser dans une de vos plantes, Taylor ! S’exclama le docteur Troy.
- fond du couloir, 3ème porte à gauche !
Soutenant Danny du regard un court instant, Christian prit finalement la direction des toilettes.
- excuse-le, il est un peu …
- cru ?
- oui, on peut dire ça. Tu veux que je t’aide pour servir ?
- non, tu fais partie des invités. Alors retourne à ta place, je vous rejoins tout de suite.
- d’accord.
Les deux amis échangèrent un sourire. Quelques minutes plus tard, les plats étaient servis.
- c’est délicieux, affirma Rice.
- ouais, enfin, ça se mange, minimisa Christian.
Sa remarque aurait pu faire des étincelles si la lumière ne s’était pas éteinte soudainement à ce moment-là.
- Danny ?
Frances était surprise.
- c’est rien, il faut juste claquer des mains pour qu’elle se rallume.
Il exécuta ce dernier geste avec bonne humeur, imité par Rice et Frances. La lumière refit son apparition immédiatement.
- vous voyez ?
Le rire de Frances fusait dans la pièce mais pas celui de Christian.
- on est pas dans un cirque, ici ! Ce sera quoi, après ? On fera du trapèze ?
Les deux hommes se fusillaient du regard.
- quoique avec ma souplesse … tu confirmes, bébé ?
- Christian, soupira Frances, en posant délicatement une main sur son avant-bras.
Danny se mit à grincer des dents.
- qu’est-ce qu’il y a Taylor ? Quelque chose ne vous plaît pas ?
- tout va bien, merci.
Le jeune agent avait toujours la mâchoire crispée.
- allez, videz votre sac, je sens que vous en crevez d’envie ! Vous êtes chez vous, après tout !
- ah bon ? Vous êtes sûr ? Parce que j’ai plutôt l’impression que c’est vous qui faites la loi, ici !
- et oui, je suis comme ça ! Je préfère chier en société que de crever tout seul ! C’est mon côté emmerdeur !
Le chirurgien avait toujours le sourire aux lèvres. Danny ne supportait plus de se faire narguer ainsi, dans son propre appartement.
- vous n’êtes qu’une pauvre ordure, soupira-t-il.
Son regard se voulait froid, glacial.
- ordure peut-être, mais pas pauvre, sourit le docteur Troy.
Ce dernier leva fièrement sa coupe de champagne afin d’en boire une gorgée.
- santé !
Mais il recracha finalement le tout dans son assiette.
- non mais c’est quoi ce jus de chaussette ? Vous n’avez jamais entendu parler de Chardonnay ou de Don Pérignon ?
- sortez !
- je crois que je l’ai vexé là, tu crois pas chérie ?
- allez, viens, on y va, insista Frances.
- non, pourquoi ? Je m’amuse très bien, ici, moi ! Vous ne vous amusez pas, Rice ?
- je crois que vous feriez mieux de rentrer, répondit-elle simplement.
Christian se leva d’un bond, en secouant la tête, il sentait la colère monter petit à petit en lui.
- vous savez ce qui me débecte chez les mecs dans votre genre, Taylor ?
Danny se leva à son tour. Les hommes s’affrontaient du regard à présent.
- non, mais vous allez me le dire.
- ce ne sont que des faux-culs qui remuent la queue devant ma femme et qui ne sont même pas foutus d’avouer qu’ils voudraient bien la sauter !
L’agent Taylor se mit à soupirer. Quant au rire du docteur Troy, il se voulait sarcastique.
- parfait ! Vous le prenez comme ça ? Vous préférez nier ? Alors je suppose que ça ne vous fait rien de savoir que je la prends QUAND, OU et surtout COMME ça chante ! Par devant ! Par derrière ! Par tous les trous ! Et croyez-moi, elle aime la bite, cette chienne !
Le poing de Danny allait atterrir sur la figure de Christian, mais Frances le retint d’un bras.
- comment tu peux le laisser dire ça ? S’insurgea l’agent du FBI.
Il s’adressait à son amie d’enfance devant le sourire toujours triomphant de Christian .
- c’est parce qu’elle est folle de … commença le chirurgien plasticien.
- non, c’est parce qu’elle préfère s’en charger elle-même !
La jeune femme pleine de rage envoya une de ces gifles à son fiancé, que sa joue changea de couleur immédiatement et que sa tête fit un quart de tour.
- tu sais ce qu’elle te dit « la chienne » ? Que ce n’est pas TA pute, juste une salope qui te rendait service ! Mais à présent, c’est bien fini, crois-moi ! Je te souhaite bon courage pour toutes tes futures heures à t’astiquer le gardon, parce que moi j’ai eu ma dose !
La jeune femme se dirigea ensuite vers la sortie. Christian la regarda s’en aller, sans dire un mot.
- Frances, attends, la poursuivit Danny. Laisse-moi au moins te raccompagner.
- non, merci, je vais prendre …
Elle ouvrit brusquement la porte.
- salut tout le monde ! S’enthousiasma CJ.
- …. un taxi !
- hé !
Frances fonça dans la jeune technicienne avant de disparaître dans les couloirs.
- allez-y, installez-vous, je reviens, dit Danny, en suivant Frances dans la rue.
La jeune technicienne et son invité s’exécutèrent.
- qu’est-ce qui s’est passé ? Demanda CJ, piquée dans sa curiosité.
- et bien, c’est …c’est compliqué, bégaya Rice, gênée.
- non, c’est même très simple à résumer : il rattrape ma fiancée parce que je viens de la traiter de chienne.
- ah d’accord !
- bonsoir, Christian Troy, chirurgien plasticien.
- bonsoir. Celest Jane Andrews.
- c’est une blague ?
- non, ils sont obligés de retourner ma carte d’identité pour lire tous les noms, plaisanta-t-elle.
- et le pantalon baggy, c’est parce que ça fait plus classe ?
- et vous, le costard à 20 000 dollars, c’est parce que ça fait plus riche ?
- et passé de mode ?
- du calme ! Je crois que je ne vais pas y arriver si vous vous y mettez à deux.
- Celest, tu ne nous présentes pas ton ami ? Demanda Rice.
- si, bien sûr. Maurice, voilà Erica. Ma meilleure amie depuis le collège, elle n’a pas hésité une seconde à me faire pipi dessus quand je me suis fait piquer par une méduse en 5ème !
- effectivement, ça c’est de l’amitié ! Je sais que Sean ferait pareil pour moi ! Dites-nous, Maurice, vous faites quoi dans la vie ?
- officier de police, dans le 55ème district !
- un flic ? On peut dire que vous tombez bien !
- par contre, j’en dirais pas autant de vous, répondit ce dernier.
La tension était palpable entre les deux hommes. Danny arriva à cet instant précis.
- qu’est-ce que vous faites encore là ? Demanda-t-il, encore essoufflé par sa course.
- je fais connaissance avec vos charmants amis. Et vous ? Vous avez fini de courir, Forrest ? Le provoqua Christian.
- c’est ça, faites-le malin ! Mais plus pour longtemps, je vous le jure !
Il s’approcha de quelques pas dans le but de faire face à son adversaire et de l’intimider.
- écoutez-moi, bien. Frances est retournée toute seule à son hôtel et si j’étais vous, je ne chercherais pas à la revoir. Elle ne veut plus rien à voir affaire avec vous, Troy ! Jamais !
Le chirurgien fut pris d’un fou rire incontrôlable.
- quoi ? Parce que vous espérez avoir une chance, vous ?
- il ne s’agit pas de moi, répondit Danny, en éludant la question.
- vous avez raison. Il s’agit de Frances et moi. De nous deux et personne d’autre. Ce mariage ne tiendrait jamais à trois. Et comme j’ai envie qu’il tienne, je ferai tout pour, le menaça-t-il.
- j’ai bien peur que vous soyez tout seul maintenant.
- c’est ce que vous croyez, ricana Christian. Seulement, je la connais ma petite femme. Elle est peut-être furieuse ce soir mais demain, elle viendra me manger dans la main. Vous pouvez en être certain.
- c’est ce qu’on verra.
Les deux hommes se fusillaient du regard, aucun des deux ne voulant lâcher prise.
- quelqu’un veut un petit café ? J’ai ramené des langues de chat, comme ça, on pourra les tremper dedans !
- c’est gentil, CJ, sourit Danny. Allons-y.
Tous les invités se dirigèrent ainsi dans le salon.
- qu’est-ce que vous faites ?
Le regard curieux de l’agent du FBI se reposait à nouveau sur Christian.
- et bien, je vous suis. Vous voyez, ça me dit plutôt bien de poser confortablement mon cul sur une de vos chaises et de déguster ces langues de chat, sourit-il, fièrement.
- vous voyez ce meuble ?
Danny pointa du doigt une des commodes de son salon. Le chirurgien hocha la tête.
- il y a mon arme de service dans le 1er tiroir et je vous jure que si nous n’avez pas débarrassé le plancher dans cinq minutes, je vous abats d’une balle dans la tête.
Il ne clignait pas des yeux. Son regard se voulait froid, impassible.
- très drôle, Taylor !
- j’irais peut-être en prison mais au moins, Frances aura la paix.
Le docteur Troy semblait déstabilisé.
- est-ce que vous seriez prêt à prendre ce risque … juste pour elle ? Demanda-t-il.
- et vous ? Répondit Danny.
- …
- entre nous, c’est vous qui avez le plus à perdre. Toutes ces injections de botox sur votre visage ne serviront à plus rien une fois que vous serez à la morgue.
- si vous me prenez par les sentiments, Taylor.
Il recula de quelques pas et se dirigea sagement vers la sortie. Danny poussa un soupir de soulagement lorsqu’il entendit le bruit de la porte se refermer derrière lui.
- espèce d’enfoiré, dis plutôt que je t’ai fait peur, dit-il, en se parlant à lui-même.
Le sourire aux lèvres, il rejoignit les autres à table, plutôt satisfait de sa soirée. Frances avait souffert mais c’était pour son bien. Elle avait enfin pris conscience de l’ordure que son fiancé était. C’était à lui de jouer à présent. Il avait tous les cartes en main et il comptait bien s’en servir à bon escient.
vi, je sais, j'avoue que j'me suis un peu lâchée niveau langage mais ce sont les propos de ce cher Dr Troy héhéhé (gilem ) !
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
jevais faire cours mais ce bout est génial d'intensité !!
vi
espèce de gros proc c.... Il la mérite bien sa mandale et encore c'était pas assez
bravo à toi lamiss, tu m'as fait raler devant mon pc ce matin
encore !!!
je ferais avec
tu sais que tu sors la langue quand tu es concentré sur quelque chose ?
- non, je n’avais pas remarqué.
- rassure-toi, c’est mignon.
vi
parfait ! Vous le prenez comme ça ? Vous préférez nier ? Alors je suppose que ça ne vous fait rien de savoir que je la prends QUAND, OU et surtout COMME ça chante ! Par devant ! Par derrière ! Par tous les trous ! Et croyez-moi, elle aime la bite, cette chienne !
espèce de gros proc c.... Il la mérite bien sa mandale et encore c'était pas assez
bravo à toi lamiss, tu m'as fait raler devant mon pc ce matin
encore !!!
pativore a écrit:
On va finir en guerre des clans si ça continue!
c'est clair, quel débat en plus, c'était pas du tout mon intention ralala alors pour me faire pardonner, je retire publiquement tout ce que j'ai dit de méchant sur Danny ça te va, théana ?
je ferais avec
Théana- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Rooooooooooooooo, un superbe passage je trouve, j'était toute tendue tout le long en me demandant ce qui allait se passer
Spéciale le repas
Non mais, mais pour qui il se prend lui...comment y cause
Tiens bien dit, prends ca dans les dents
Rooo, Danny aux fourneaux...hummmm....
Alors il va courire après Frances et la ratrapper et lui dire qu'il l'aime et...la consoler
J'adore...encore
Spéciale le repas
Ho, le sa*****je vous ai donné mon numéro personnel, il y a presque deux semaines maintenant. J’ai cru que vous passeriez à la clinique, depuis le temps.
parfait ! Vous le prenez comme ça ? Vous préférez nier ? Alors je suppose que ça ne vous fait rien de savoir que je la prends QUAND, OU et surtout COMME ça chante ! Par devant ! Par derrière ! Par tous les trous ! Et croyez-moi, elle aime la bite, cette chienne !
Non mais, mais pour qui il se prend lui...comment y cause
et le pantalon baggy, c’est parce que ça fait plus classe ?
- et vous, le costard à 20 000 dollars, c’est parce que ça fait plus riche ?
Tiens bien dit, prends ca dans les dents
Ils étaient toujours perdus dans les yeux l’un de l’autre. Un moment interminable pour Danny qui se demandait si c’était l’instant propice pour faire un geste. Est-ce qu’il devait pencher la tête ou non ?
Rooo, Danny aux fourneaux...hummmm....
Alors il va courire après Frances et la ratrapper et lui dire qu'il l'aime et...la consoler
J'adore...encore
clara- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Mais quel passage!
C'était effectivement très intense. Et ma foi, Danny est tout de même resté très calme face à tout ça...
Quant au Christina, plus infecte et plus cru que jamais. Il aurait bien mérité un bon crochet du gauche!
J'adore, mais faut une suite avec Peter...
C'était effectivement très intense. Et ma foi, Danny est tout de même resté très calme face à tout ça...
Quant au Christina, plus infecte et plus cru que jamais. Il aurait bien mérité un bon crochet du gauche!
J'adore, mais faut une suite avec Peter...
pativore- Président des USA
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Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
extra ta suite avec ce Christian que je reconnais trop bien !
Ben maintenant que Frances l'a lâché, il va pouvoir foncer dans le tas Danny !
Suite géniale ! On rconnait tout de suite l'accro à Nip Tuck pour tes dial !
La suite !!!
le pire c'est que c'est tout à fait lui ça !- je pense que je vais plutôt aller pisser dans une de vos plantes, Taylor ! S’exclama le docteur Troy.
trop fort !Je préfère chier en société que de crever tout seul !
Roooo Christian ! Quelle vulagrité ! Venant de toi ça m'étonne !Alors je suppose que ça ne vous fait rien de savoir que je la prends QUAND, OU et surtout COMME ça chante ! Par devant ! Par derrière ! Par tous les trous ! Et croyez-moi, elle aime la bite, cette chienne !
vlan dans la gueule ! Il l'a pas volée celle-là !La jeune femme pleine de rage envoya une de ces gifles à son fiancé, que sa joue changea de couleur immédiatement et que sa tête fit un quart de tour.
j'imagine la miss vachement surprise !il rattrape ma fiancée parce que je viens de la traiter de chienne.
- ah d’accord !
tu l'as placé ton Bosco !Dites-nous, Maurice, vous faites quoi dans la vie ?
- officier de police, dans le 55ème district !
J'attendais une allusion ou une répartie de Troy mais non !- quelqu’un veut un petit café ? J’ai ramené des langues de chat, comme ça, on pourra les tremper dedans !
Ben maintenant que Frances l'a lâché, il va pouvoir foncer dans le tas Danny !
Suite géniale ! On rconnait tout de suite l'accro à Nip Tuck pour tes dial !
La suite !!!
Re: Amis-Amis (complète)
c'est vrai que maintenant que tu le dis jenny, les "langues de chat" c'était une bonne occasion pour en remettre une couche ralala en tout cas, je te remercie beaucoup tous pleins pour ton super comm' la miss et un grand MERCI à vous toutes les filles
@clara : trop fort le smiley de Danny aux fourneaux, j'adore contente que tu sois pas fâchée théana
Sur ce voilà la suite ... pativore :
- alors CJ, qu’est-ce que tu as pour nous ?
Peter lui offrit le plus beau des sourires mais la jeune femme fuit son regard immédiatement. Ce regard … si intense.
Dans ce costume noir chic, il avait enfin l’air d’un agent du FBI digne de ce nom, même si son refus du port de la cravate le distinguait des autres. Il leur avait préféré ses polos fins à manches longues et près du corps, qui ne l’empêchaient pas d’avoir une classe folle. Et puis, il avait toujours ce sourire à tomber et cette mèche rebelle qu’il réajustait sans cesse pour éviter qu’elle ne lui retombe devant les yeux.
CJ tentait tant bien que mal de rester concentrée sur son écran d’ordinateur, alors qu’elle sentait des frissons s’emparer de tout son corps. Ses mains étaient moites, son cœur battait la chamade. Elle avait des papillons dans le ventre.
- mmmmh … laisse-moi réfléchir. Pour toi ? Absolument rien, lui répondit-elle assez sèchement.
Le nouveau venu ne cacha pas son mécontentement en affichant un air grimaçant. Depuis leur rencontre, il ne comprenait pas pourquoi la jeune technicienne était aussi cassante avec lui.
- tu as réussi à récupérer l’enregistrement ?
Danny se posta devant elle, accoudé à son bureau comme à son habitude pendant que Peter restait en retrait.
- bien sûr, tu me connais, mon p’tit Dan, répondit-elle, cette fois, la mine enjouée.
L’agent Mariano en avait vraiment assez. Cela faisait plus de deux semaines qu’elle ne réservait ses plus beaux sourires qu’à son collègue et jamais à lui. Il laissa échapper un soupir d’exaspération.
- tu sais, personne ne te défend d’approcher, Pete. CJ n’a jamais mordu personne jusque-là, plaisanta Danny.
- tu es sûr ? Parce que ce n’est pas l’impression que j’ai.
Vexée par la remarque de ce dernier à son égard, CJ secoua la tête avant de lever les yeux au ciel. Peter ne broncha pas, préférant rester dans son coin.
- tiens, écoute.
CJ s’adressait à Danny mais ce sont les deux hommes qui tendirent l’oreille pour écouter attentivement l’enregistrement récupéré par cette dernière.
- c’est bon, avec ça, pas de doute, on le tient.
- ouais, je vais prévenir Jack.
Peter s’avança de quelques pas vers la sortie mais voyant que son collègue ne le suivait pas, il se retourna, la mine surprise.
- tu ne viens pas ?
- si, vas-y, je te rejoins dans quelques minutes, lui répondit Danny.
L’agent Mariano hocha la tête, tout en masquant sa contrariété. Il était sûr que CJ allait lui faire quelques petites confidences en privé et il aurait bien aimé y participer. Sans ajouter un mot de plus, il quitta la pièce, déçu.
- et bien, c’est pas trop tôt ! J’ai cru qu’il ne partirait jamais !
- pourquoi tu dis ça ? Demanda Danny, piqué dans sa curiosité.
- parce que je ne le supporte plus ! Vraiment je n’en peux plus ! Vivement qu’il s’en aille ! Je pourrai enfin dire : « bon débarras » !
Danny fit les gros yeux à son amie. Il demandait une explication qui tardait à venir, visiblement.
- non, mais ne me dis pas que tu n’as pas remarqué ? Monsieur est attentif aux désirs de tout le monde ! Il fait des sourires à qui en veut ! Il te ramasse tes affaires quand tu les fait tomber ! Et encore, j’en passe !
- oui, c’est vrai, c’est vraiment horrible ! Il faut vite l’enfermer ! Plaisanta-t-il.
- ne te moque pas de moi, je suis sérieuse, Dan, dit-elle, pourtant un brin amusée. Je te le dis, c’est louche d’être aussi gentil. Il doit sûrement cacher quelque chose.
- oui, peut-être un cadavre dans sa poche … qui sait ?
- mais arrête heu …
- ok, j’arrête.
- tu promets ?
- c’est promis, dit-il, en levant la main droite.
- en tout cas, j’ai hâte que Samie revienne, je te le dis !
- j’aimerais bien la revoir aussi mais contrairement à toi, la présence de Peter ne me dérange pas. En réalité, je l’aime plutôt bien.
- sans rire ?
- écoute, c’est un mec réglo, il fait son boulot correctement et il a l’air sympa, je trouve.
CJ laissa s’échapper un rire nerveux. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle venait d’entendre.
- et c’est toi, qui dis ça ? Mais c’est pas vrai ! Qu’est- ce que vous avez fait de mon p’tit Dan à moi ?
Elle le prit par le col et le secoua gentiment, toujours assise sur son siège en face de son ordinateur.
- Martin Fitzgerald, sors de ce corps ! Ajouta-t-elle.
Les deux amis échangèrent un sourire avant que CJ ne le lâche.
- ton p’tit Dan a fini par grandir. Voilà tout. C’est aussi simple que ça. Et puis, je t’assure que si tu faisais un petit effort, tu apprendrais à l’apprécier toi aussi.
- mouais, de toute façon, ça n’en vaut pas la peine, vu le peu de temps qu’il va rester !
- ben voyons !
- quoi ?
- il y a une minute, tu disais qu’il te cassait les pieds alors qu’il est là que depuis deux semaines et maintenant, tu trouves qu’il ne reste pas assez longtemps dans l’équipe à ton goût !
- n’importe quoi, tu n’as pas compris ce que …
- à moins que mademoiselle ait peur de trop s’attacher alors qu’elle sait qu’il finira par partir ?
- heu ..je … non ! Mademoiselle n’a peur de rien ! Et puis … et puis … tu me fais quoi là ? Tu joues les psys maintenant ? Je croyais que tu avais seulement réussi l’examen du barreau, pas que tu avais un diplôme en psychologie aussi !
- tu oublies que je suis un être polyvalent, ma belle, sourit-il.
Il lui adressa un clin d’œil complice au passage.
- arrête ça, tout de suite, dit-elle, l’air amusé.
- quoi donc ?
- je sais où tu m’emmènes là et je n’ai pas envie que tu dévies sur ce sujet.
- oui, je m’en doutais. Tu préfères qu’on continue de parler de ton Peter, hein ?
- laisse Peter où il est et dis-moi plutôt comment ça se passe entre toi et ta Frances.
Le visage de Danny se rembrunit aussitôt.
- ah bon, aussi mal que ça ?
- et encore, tu es loin de la vérité. On s’est vu pour déjeuner aujourd’hui et …
- et ?
- c’est reparti entre eux.
- QUOI ? C’est … c’est une blague ?
- oh que non ! Et crois-moi, j’aurais préféré !
- et alors, qu’est-ce que tu comptes faire ?
- qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Elle a pardonné à ce minable après ce qu’il a osé lui dire, je crois que ça se passe de commentaires.
- je suis désolé, Dan.
La jeune femme posa une main réconfortante sur l’épaule de son ami.
- c’est gentil, dit-il, en esquissant un léger sourire.
- tu sais ce qui te ferait du bien ? C’est une bonne soirée tranquille entre collègues à siroter un verre ou deux …
Danny lui fit les gros yeux.
- rassure-toi, des verres de jus d’orange … enfin pour toi ! Quant à Vivi et moi, ce s’ra vodka à volonté ! S’exclama-t-elle, tout sourire. Tu peux même dire au nouveau de se joindre à nous si tu veux.
Le jeune agent écarquilla les yeux sous l'effet de surprise.
- et oui, tu vois, je fais des efforts, hein ? Ça te fait plaisir, j’espère !
- très, mais ça ne va pas être possible …
- pourquoi ? Ah, je sais ! Tu t’es déjà trouvé un autre rencard, c’est ça ?
- non, pas moi, sourit-il.
- quoi ? Tu veux dire que Vivian trompe Marcus ? J’arrive pas à le croire !
- mais non ! Personne ne trompe personne ! Ce sont des adultes consentants, tous les deux célibataires …
CJ se mit à froncer les sourcils malgré elle. Si c’était vraiment ce à quoi elle pensait, cette idée ne l’enchantait guère.
Elle se remit à pianoter innocemment sur son clavier. Comme si de rien était. Après tout, elle s’en fichait de toutes ces histoires de bureau. Oui, elle s’en fichait. Complètement même.
- tu ne devines pas ? … CJ ?
- et bien, c’est plutôt facile. Si ce n’est pas toi …il reste Jacky ou Peter. Et ça m’étonnerait, que Lennie se branche aussi le patron !
Sa remarque déclencha le rire de Danny.
- bingo !
- vraiment ? Demanda -t-elle, en écarquillant les yeux.
- oui.
- ce soir, alors ?
Danny opina du chef.
- oui, c’est elle qui l’a invité.
- mmmmmmh bizarre, je ne croyais pas qu’il serait son genre.
- tous les hommes sont le genre d’Elena
- et tu es bien placé pour le savoir, n’est-ce pas ?
- évitons d’évoquer les mauvais souvenirs, si tu veux bien. Cette erreur appartient au passé désormais.
- désolée. Tu crois vraiment que ça peut marcher entre eux, alors ?
Elle continuait à récolter le plus d’informations possible, en feignant toujours l’indifférence.
- je n’en sais rien. Ils ont un enfant tous les deux, alors, qui sait ? Peut-être que c’est ça qui les a rapproché.
- quoi … tu veux dire ENSEMBLE ?
- non ! Sourit Danny. Peter a une fille de 5 ans, je crois.
- ah d’accord. Je ne savais pas.
- si tu avais vu ta tête …
- quoi ?
- quand tu croyais qu’ils avaient un enfant ensemble !
- oui, allez, c’est bon, file maintenant ! Dit-elle, en accompagnant ses paroles d’un petit geste de la main.
- mmmmh, ma p’tite Celest serait-elle pointilleuse à ce sujet ?
- tais-toi, Dan ! J’ai encore plein de travail et Peter doit sûrement t’attendre alors oust, hors de ma vue, Taylor !
- d’accord, j’y vais. Mais n’oublie pas ce que je t’ai dit, hein ?
Il leva son index tout en se dirigeant vers la sortie.
- tu sais, ce qu’on raconte sur les hommes qui aiment les femmes mystérieuses et distantes, ce ne sont que des conneries ! Crois-moi ! On aime la gentillesse, nous, les mâles !
- dis plutôt que vous aimez qu’on vous caresse dans le sens du poil.
- voilà ! T’as tout compris ! Dit-il, en lui adressant un clin d’œil au passage.
Il passa ensuite sa tête à travers la porte pour offrir un dernier sourire à la technicienne et s’en alla rejoindre ses collègues pour suivre leur affaire en cours.
A nouveau seule, CJ se laissa retomber sur son bureau, la tête la première et l’air complètement abattu. Mais pourquoi fallait-elle qu’elle soit si agressive à chaque fois, qu’un mec lui plaisait vraiment ?
Elle secoua la tête, avant de soupirer. Il fallait qu’elle trouve un remède à cette attitude … et vite. Cette peau de vache de Lennie ne lui laisserait pas le champ libre.Certainement pas.
@clara : trop fort le smiley de Danny aux fourneaux, j'adore contente que tu sois pas fâchée théana
Sur ce voilà la suite ... pativore :
- alors CJ, qu’est-ce que tu as pour nous ?
Peter lui offrit le plus beau des sourires mais la jeune femme fuit son regard immédiatement. Ce regard … si intense.
Dans ce costume noir chic, il avait enfin l’air d’un agent du FBI digne de ce nom, même si son refus du port de la cravate le distinguait des autres. Il leur avait préféré ses polos fins à manches longues et près du corps, qui ne l’empêchaient pas d’avoir une classe folle. Et puis, il avait toujours ce sourire à tomber et cette mèche rebelle qu’il réajustait sans cesse pour éviter qu’elle ne lui retombe devant les yeux.
CJ tentait tant bien que mal de rester concentrée sur son écran d’ordinateur, alors qu’elle sentait des frissons s’emparer de tout son corps. Ses mains étaient moites, son cœur battait la chamade. Elle avait des papillons dans le ventre.
- mmmmh … laisse-moi réfléchir. Pour toi ? Absolument rien, lui répondit-elle assez sèchement.
Le nouveau venu ne cacha pas son mécontentement en affichant un air grimaçant. Depuis leur rencontre, il ne comprenait pas pourquoi la jeune technicienne était aussi cassante avec lui.
- tu as réussi à récupérer l’enregistrement ?
Danny se posta devant elle, accoudé à son bureau comme à son habitude pendant que Peter restait en retrait.
- bien sûr, tu me connais, mon p’tit Dan, répondit-elle, cette fois, la mine enjouée.
L’agent Mariano en avait vraiment assez. Cela faisait plus de deux semaines qu’elle ne réservait ses plus beaux sourires qu’à son collègue et jamais à lui. Il laissa échapper un soupir d’exaspération.
- tu sais, personne ne te défend d’approcher, Pete. CJ n’a jamais mordu personne jusque-là, plaisanta Danny.
- tu es sûr ? Parce que ce n’est pas l’impression que j’ai.
Vexée par la remarque de ce dernier à son égard, CJ secoua la tête avant de lever les yeux au ciel. Peter ne broncha pas, préférant rester dans son coin.
- tiens, écoute.
CJ s’adressait à Danny mais ce sont les deux hommes qui tendirent l’oreille pour écouter attentivement l’enregistrement récupéré par cette dernière.
- c’est bon, avec ça, pas de doute, on le tient.
- ouais, je vais prévenir Jack.
Peter s’avança de quelques pas vers la sortie mais voyant que son collègue ne le suivait pas, il se retourna, la mine surprise.
- tu ne viens pas ?
- si, vas-y, je te rejoins dans quelques minutes, lui répondit Danny.
L’agent Mariano hocha la tête, tout en masquant sa contrariété. Il était sûr que CJ allait lui faire quelques petites confidences en privé et il aurait bien aimé y participer. Sans ajouter un mot de plus, il quitta la pièce, déçu.
- et bien, c’est pas trop tôt ! J’ai cru qu’il ne partirait jamais !
- pourquoi tu dis ça ? Demanda Danny, piqué dans sa curiosité.
- parce que je ne le supporte plus ! Vraiment je n’en peux plus ! Vivement qu’il s’en aille ! Je pourrai enfin dire : « bon débarras » !
Danny fit les gros yeux à son amie. Il demandait une explication qui tardait à venir, visiblement.
- non, mais ne me dis pas que tu n’as pas remarqué ? Monsieur est attentif aux désirs de tout le monde ! Il fait des sourires à qui en veut ! Il te ramasse tes affaires quand tu les fait tomber ! Et encore, j’en passe !
- oui, c’est vrai, c’est vraiment horrible ! Il faut vite l’enfermer ! Plaisanta-t-il.
- ne te moque pas de moi, je suis sérieuse, Dan, dit-elle, pourtant un brin amusée. Je te le dis, c’est louche d’être aussi gentil. Il doit sûrement cacher quelque chose.
- oui, peut-être un cadavre dans sa poche … qui sait ?
- mais arrête heu …
- ok, j’arrête.
- tu promets ?
- c’est promis, dit-il, en levant la main droite.
- en tout cas, j’ai hâte que Samie revienne, je te le dis !
- j’aimerais bien la revoir aussi mais contrairement à toi, la présence de Peter ne me dérange pas. En réalité, je l’aime plutôt bien.
- sans rire ?
- écoute, c’est un mec réglo, il fait son boulot correctement et il a l’air sympa, je trouve.
CJ laissa s’échapper un rire nerveux. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle venait d’entendre.
- et c’est toi, qui dis ça ? Mais c’est pas vrai ! Qu’est- ce que vous avez fait de mon p’tit Dan à moi ?
Elle le prit par le col et le secoua gentiment, toujours assise sur son siège en face de son ordinateur.
- Martin Fitzgerald, sors de ce corps ! Ajouta-t-elle.
Les deux amis échangèrent un sourire avant que CJ ne le lâche.
- ton p’tit Dan a fini par grandir. Voilà tout. C’est aussi simple que ça. Et puis, je t’assure que si tu faisais un petit effort, tu apprendrais à l’apprécier toi aussi.
- mouais, de toute façon, ça n’en vaut pas la peine, vu le peu de temps qu’il va rester !
- ben voyons !
- quoi ?
- il y a une minute, tu disais qu’il te cassait les pieds alors qu’il est là que depuis deux semaines et maintenant, tu trouves qu’il ne reste pas assez longtemps dans l’équipe à ton goût !
- n’importe quoi, tu n’as pas compris ce que …
- à moins que mademoiselle ait peur de trop s’attacher alors qu’elle sait qu’il finira par partir ?
- heu ..je … non ! Mademoiselle n’a peur de rien ! Et puis … et puis … tu me fais quoi là ? Tu joues les psys maintenant ? Je croyais que tu avais seulement réussi l’examen du barreau, pas que tu avais un diplôme en psychologie aussi !
- tu oublies que je suis un être polyvalent, ma belle, sourit-il.
Il lui adressa un clin d’œil complice au passage.
- arrête ça, tout de suite, dit-elle, l’air amusé.
- quoi donc ?
- je sais où tu m’emmènes là et je n’ai pas envie que tu dévies sur ce sujet.
- oui, je m’en doutais. Tu préfères qu’on continue de parler de ton Peter, hein ?
- laisse Peter où il est et dis-moi plutôt comment ça se passe entre toi et ta Frances.
Le visage de Danny se rembrunit aussitôt.
- ah bon, aussi mal que ça ?
- et encore, tu es loin de la vérité. On s’est vu pour déjeuner aujourd’hui et …
- et ?
- c’est reparti entre eux.
- QUOI ? C’est … c’est une blague ?
- oh que non ! Et crois-moi, j’aurais préféré !
- et alors, qu’est-ce que tu comptes faire ?
- qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Elle a pardonné à ce minable après ce qu’il a osé lui dire, je crois que ça se passe de commentaires.
- je suis désolé, Dan.
La jeune femme posa une main réconfortante sur l’épaule de son ami.
- c’est gentil, dit-il, en esquissant un léger sourire.
- tu sais ce qui te ferait du bien ? C’est une bonne soirée tranquille entre collègues à siroter un verre ou deux …
Danny lui fit les gros yeux.
- rassure-toi, des verres de jus d’orange … enfin pour toi ! Quant à Vivi et moi, ce s’ra vodka à volonté ! S’exclama-t-elle, tout sourire. Tu peux même dire au nouveau de se joindre à nous si tu veux.
Le jeune agent écarquilla les yeux sous l'effet de surprise.
- et oui, tu vois, je fais des efforts, hein ? Ça te fait plaisir, j’espère !
- très, mais ça ne va pas être possible …
- pourquoi ? Ah, je sais ! Tu t’es déjà trouvé un autre rencard, c’est ça ?
- non, pas moi, sourit-il.
- quoi ? Tu veux dire que Vivian trompe Marcus ? J’arrive pas à le croire !
- mais non ! Personne ne trompe personne ! Ce sont des adultes consentants, tous les deux célibataires …
CJ se mit à froncer les sourcils malgré elle. Si c’était vraiment ce à quoi elle pensait, cette idée ne l’enchantait guère.
Elle se remit à pianoter innocemment sur son clavier. Comme si de rien était. Après tout, elle s’en fichait de toutes ces histoires de bureau. Oui, elle s’en fichait. Complètement même.
- tu ne devines pas ? … CJ ?
- et bien, c’est plutôt facile. Si ce n’est pas toi …il reste Jacky ou Peter. Et ça m’étonnerait, que Lennie se branche aussi le patron !
Sa remarque déclencha le rire de Danny.
- bingo !
- vraiment ? Demanda -t-elle, en écarquillant les yeux.
- oui.
- ce soir, alors ?
Danny opina du chef.
- oui, c’est elle qui l’a invité.
- mmmmmmh bizarre, je ne croyais pas qu’il serait son genre.
- tous les hommes sont le genre d’Elena
- et tu es bien placé pour le savoir, n’est-ce pas ?
- évitons d’évoquer les mauvais souvenirs, si tu veux bien. Cette erreur appartient au passé désormais.
- désolée. Tu crois vraiment que ça peut marcher entre eux, alors ?
Elle continuait à récolter le plus d’informations possible, en feignant toujours l’indifférence.
- je n’en sais rien. Ils ont un enfant tous les deux, alors, qui sait ? Peut-être que c’est ça qui les a rapproché.
- quoi … tu veux dire ENSEMBLE ?
- non ! Sourit Danny. Peter a une fille de 5 ans, je crois.
- ah d’accord. Je ne savais pas.
- si tu avais vu ta tête …
- quoi ?
- quand tu croyais qu’ils avaient un enfant ensemble !
- oui, allez, c’est bon, file maintenant ! Dit-elle, en accompagnant ses paroles d’un petit geste de la main.
- mmmmh, ma p’tite Celest serait-elle pointilleuse à ce sujet ?
- tais-toi, Dan ! J’ai encore plein de travail et Peter doit sûrement t’attendre alors oust, hors de ma vue, Taylor !
- d’accord, j’y vais. Mais n’oublie pas ce que je t’ai dit, hein ?
Il leva son index tout en se dirigeant vers la sortie.
- tu sais, ce qu’on raconte sur les hommes qui aiment les femmes mystérieuses et distantes, ce ne sont que des conneries ! Crois-moi ! On aime la gentillesse, nous, les mâles !
- dis plutôt que vous aimez qu’on vous caresse dans le sens du poil.
- voilà ! T’as tout compris ! Dit-il, en lui adressant un clin d’œil au passage.
Il passa ensuite sa tête à travers la porte pour offrir un dernier sourire à la technicienne et s’en alla rejoindre ses collègues pour suivre leur affaire en cours.
A nouveau seule, CJ se laissa retomber sur son bureau, la tête la première et l’air complètement abattu. Mais pourquoi fallait-elle qu’elle soit si agressive à chaque fois, qu’un mec lui plaisait vraiment ?
Elle secoua la tête, avant de soupirer. Il fallait qu’elle trouve un remède à cette attitude … et vite. Cette peau de vache de Lennie ne lui laisserait pas le champ libre.Certainement pas.
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
on dirait bien que la CJ est fondu au chocolat devant ce peter !!!
bon j'avoue que j'aurai préféré un cj /danny...mais bon !!!
en tout cj et dan me font trop rire, leur complicité est trop marrante, tes répliques sont tordantes .....
et l'autre tartuffe de peter qui s'en va voir elena ....qui l'y reste du moment qu'elle ne vienne pas voir dan !!!
inon je peux pas encadré christian et en plus frances repart avec, c'est un goujat, un nul ....faut vraiment que dan lui marafle le tête !!!
la suite ...
Re: Amis-Amis (complète)
Raaa, en fait, il me faudrait carrément la clim!!! Je m'écouterais je citerais le passage en entier tant il était génial.
Tu sais que je suis définitivement fan???
Ouh, là j'ai fait un arrête cardiaque! Je ne sais pas comment tu fais, mais tu sais rendre notre homme à la mèche irrésistible!
C'est normal, c'est Peter!
Y'a de l'amour dans l'air là! Faut qu'elle se détende un peu, je suis sûre qu'il passerait alors à la vitesse supérieur le petit peter!
Et Danny qui l'aime bien! Je suis sûre que c'est parce que l'autre chose le drague!!! Come ça il est débarrassé!
Je ne savais pas que cette fic faisait aussi dans le gore!!! Non mais ça va pas ou quoi?!!! Pas de ça sinon j'arrête de te lire! argggghhh
J'allais presque oublier Danny vec tout ça! Il ferait mieux de lâcher l'affaire directement avec sa frances, parce qu'elle a l'air du genre à ne pas avoir beaucoup d'amour propre... Qu'il la laisse à Cristian et qu'il trouve mieux... enfin quoi que maintenant que CJ a des vues sur Peter c'est un peu foutu...
Bref c'est pas tout ça mais il y a une grosse urgence là (oh, urgences, les épisodes d'hier... du grand n'importe quoi ). IL FAUT LA SUITE!
Tu sais que je suis définitivement fan???
Peter lui offrit le plus beau des sourires mais la jeune femme fuit son regard immédiatement. Ce regard … si intense.
Dans ce costume noir chic, il avait enfin l’air d’un agent du FBI digne de ce nom, même si son refus du port de la cravate le distinguait des autres. Il leur avait préféré ses polos fins à manches longues et près du corps, qui ne l’empêchaient pas d’avoir une classe folle. Et puis, il avait toujours ce sourire à tomber et cette mèche rebelle qu’il réajustait sans cesse pour éviter qu’elle ne lui retombe devant les yeux.
Ouh, là j'ai fait un arrête cardiaque! Je ne sais pas comment tu fais, mais tu sais rendre notre homme à la mèche irrésistible!
Bah, elle craque de partout la miss là!CJ tentait tant bien que mal de rester concentrée sur son écran d’ordinateur, alors qu’elle sentait des frissons s’emparer de tout son corps. Ses mains étaient moites, son cœur battait la chamade. Elle avait des papillons dans le ventre.
C'est normal, c'est Peter!
L’agent Mariano en avait vraiment assez. Cela faisait plus de deux semaines qu’elle ne réservait ses plus beaux sourires qu’à son collègue et jamais à lui. Il laissa échapper un soupir d’exaspération.
- tu sais, personne ne te défend d’approcher, Pete. CJ n’a jamais mordu personne jusque-là, plaisanta Danny.
- tu es sûr ? Parce que ce n’est pas l’impression que j’ai.
Y'a de l'amour dans l'air là! Faut qu'elle se détende un peu, je suis sûre qu'il passerait alors à la vitesse supérieur le petit peter!
Et Danny qui l'aime bien! Je suis sûre que c'est parce que l'autre chose le drague!!! Come ça il est débarrassé!
- et bien, c’est plutôt facile. Si ce n’est pas toi …il reste Jacky ou Peter. Et ça m’étonnerait, que Lennie se branche aussi le patron !
Sa remarque déclencha le rire de Danny.
- bingo !
- vraiment ? Demanda -t-elle, en écarquillant les yeux.
- oui.
- ce soir, alors ?
Danny opina du chef.
- oui, c’est elle qui l’a invité.
- mmmmmmh bizarre, je ne croyais pas qu’il serait son genre.
- tous les hommes sont le genre d’Elena
Je ne savais pas que cette fic faisait aussi dans le gore!!! Non mais ça va pas ou quoi?!!! Pas de ça sinon j'arrête de te lire! argggghhh
J'allais presque oublier Danny vec tout ça! Il ferait mieux de lâcher l'affaire directement avec sa frances, parce qu'elle a l'air du genre à ne pas avoir beaucoup d'amour propre... Qu'il la laisse à Cristian et qu'il trouve mieux... enfin quoi que maintenant que CJ a des vues sur Peter c'est un peu foutu...
Bref c'est pas tout ça mais il y a une grosse urgence là (oh, urgences, les épisodes d'hier... du grand n'importe quoi ). IL FAUT LA SUITE!
pativore- Président des USA
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