Amis-Amis (complète)

gitem la miss mais vais pas changer la fin de mon histoire pour toi sinon la trame de ma fic n'a plus aucun sens

Bah tant pis alors. Je vais retourner au pays des GG (où on ne tue pas encore les Peter/Jess/Milo même si on les jette) et boycotter ta fic!
T'es qu'une vilaine pas belle méchante sadique! (ça faisait longtemps )

ben vi mais en même temps, je t'avais prévenue que la fin te plairait pas

Ah ouais? Bah moi je me souvenais pas d'une mise en garde disant que ça allait mal finir pour lui!

nan, je parlais de ce "special warning" :

d'ailleurs, pour ton bien , je te conseillerai d'arrêter la lecture ici parce que la suite ne va pas te plaire mais alors pas du tout

la meuf qui s'autocite

Décidément, cela ferait toujours partie de ces moments ironiques de la vie. Comme un décès qui rassemble les membres d’une même famille, il aura fallu un tel drame pour réunir à nouveau ces deux amis.

c'est tellement vrai !!!

et j'ai fondue avec cette suite D/CJ, tout était dit


la suite

My god, je rentre du boulot et là ça y est je vais aller me coucher et remonter les couvertures jusqu'aux oreilles....et pleurer

Décidément, cela ferait toujours partie de ces moments ironiques de la vie. Comme un décès qui rassemble les membres d’une même famille, il aura fallu un tel drame pour réunir à nouveau ces deux amis.

une phrase où tout est dit

Non mais qu'est ce que t'as fait à Peter , hein ???????
Alors comme Pativore un gros Pfffffff pour toi !

Par contre Danny /CJ

moi aussi j'ai donfu avec cette suite danny / CJ ... moi je reste convaincue qu'ils doivent être ensemble !!!!

m'enfin j'espère tout de me^me que peter va bien !!!!!

superbe suite surtout le passage final !!! magnifique et tellement réel !!

Ralala c'est trop beau entre eux 2 !
La hache de guerre est enterrée ça fait plaisir !

Sans plus tarder, il enleva son manteau, se posta juste derrière elle et la couvrit avec, en le posant sur ses frêles épaules. Il lui frotta un peu le long des bras avec ses deux mains pour la réchauffer. Ce simple geste la fit craquer. C’était celui de trop. Elle s’effondra en pleurs, toujours dos à lui, en essayant tant bien que mal de les étouffer, en mettant ses deux mains devant sa bouche. Danny la serra fort tout contre lui et l’entoura de ses bras.

magnifique c'était trop beau !!!

Donc, si je comprends bien, avec ce que tu as dis à Pati, ça va mal finir ?


Et le coup du "ouais c'est ça casse toi" j'étais !

Roooo mais nan Pati on t'aimeeeeeeeuuuu revient !

La suite !!!

ben oui patiii !!! reviens....tweetie elle dit cela pour t'embêter ...reviens parmi les tiens !!!

Sont mignons tous les deux...
Mais j'espère que Peter va bien.... nan ??
rooo faut tout le temps que ça vire mal ....

tweetie a écrit:nan, je parlais de ce "special warning" :

d'ailleurs, pour ton bien , je te conseillerai d'arrêter la lecture ici parce que la suite ne va pas te plaire mais alors pas du tout

la meuf qui s'autocite

Bah c'est dès le début de ta fic que tu aurais dû prévenir
J'attend de voir la suite avant de ressortir un nouveau lot de pfffff!

J'attend de voir la suite avant de ressortir un nouveau lot de pfffff!

je sais pas pourquoi, mais je sens qu'il ne va pas tarder
allez, voilà la suite et après plus que 2 passages à pondre et c la zone


Le chirurgien qui venait d’opérer Peter s'avança dans l’allée et fut immédiatement pris d’assaut par toute l’équipe de l’agent Malone, qui se jeta sur ce dernier.

- alors ?

Jack fut le plus prompt à demander de ses nouvelles.

- nous avons réussi à stopper l’hémorragie. Son état est stable.
- mais ses jours ne sont plus en danger, n’est-ce pas ? Demanda Danny, inquiet.
- non. L’opération s’est très bien passée. Il ne devrait pas avoir de séquelles.

Ils poussèrent tous un soupir de soulagement à l’annonce de cette excellente nouvelle.

- où est-il maintenant ? Se renseigna Vivian.
- en salle de réveil.
- est-ce qu’on peut le voir ?

La voix de CJ était encore toute tremblante. Elle avait du mal à se remettre de toutes ses émotions.

- vous êtes Sonya ?

La jeune technicienne fronça les sourcils aussitôt après la question du médecin.

- pourquoi ?
- il répète ce nom depuis qu’il est arrivé ici.
- non, je …

Elle n’en croyait pas ses yeux. Elle avait vu juste depuis le début. Elle s’apprêtait à lui dire qu’elle était prête à l’attendre, qu’il pourrait prendre tout le temps qu’il voulait mais cela ne servirait à plus rien à présent.
Il était bel et bien amoureux. Mais pas d’elle. Elle en avait enfin pris conscience. Même si cela lui brisait le cœur.
Elle sentit la main réconfortante de Danny se poser sur son épaule avant que sa bouche ne se faufile tout près de son oreille.

- ça ne veut rien dire, j’en suis sûr, dit-il, dans un murmure.

Elle lui adressa un sourire poli, peu convaincue.

- je vais l’appeler.

Elle sortit son portable de sa poche et commença à s’éloigner.

- CJ, soupira-t-il.
- elle a le droit de savoir, Dan et leur fille aussi. Elles pourront prendre le premier avion et être ici, auprès de lui, dès demain matin.

Elle se mordilla la lèvre. Elle n’aurait jamais pensé faire ça un jour.

- vous n’avez qu’à y aller, je vous rejoins.

Elle s’adressa à tout le groupe.

- tu es sûre ? Demanda Danny.
- je lui dois bien ça.
- ok, dit Jack.

Vivian, Elena, Martin et ce dernier se dirigèrent donc vers la chambre de Peter. Tous sauf Danny qui ne bronchait pas.

- quoi ?

Il restait debout à fixer CJ, sans dire un mot.

- il a de la chance de t’avoir.

Il lui adressa un sourire et elle en fit de même.

- allez, file.

Elle composa le numéro et finit sa conversation à l’extérieur. Mais contrairement à ce qui était prévu, elle ne revint pas. C’était trop dur. Le voir en sale état, tout ça par sa faute et devoir lui dire au revoir par la même occasion. Elle ne pouvait s’y résoudre.
Elle avait cru à leur histoire. Elle l’y avait vraiment cru.

I thought we’d be simple together
I thought we’d be happy together
Thought we’d be limitless together
I thought we’d be precious together

I thought we’d be genius together
I thought we’d be healing together
I thought we’d be growing together
Thought we’d be adventurous together

Thought we’d be exploring together
Thought we’d be inspired together
I thought we’d be flying together
Thought we’d be on fire together

I thought we’d be sexy together
Thought we’d be evolving together
I thought we’d have children together
I thought we’d be family together

But I was sadly mistaken


Deux semaines s’étaient écoulées depuis son accident, lorsque Peter fit enfin son grand retour dans les bureaux du FBI. Retour que CJ savait de très courte durée puisqu’elle avait entendu de la bouche même de ce cher Jacky, qu’il avait demandé son transfert à Los Angeles. La destination choisie ne la surprit pas. C’était son chez soi. La ville de son cœur. La ville de Pauleen. La ville de … Sonya.

- ah mais regardez qui voilà ! Le pro de la cascade ! Tu viens quand même nous dire au revoir alors ?

Martin donna une petite tape sur l’épaule de l’agent Mariano qui lui sourit en retour.

- tu as l’air en forme.
- merci Vivian, dit Peter.
- et comment va Pauleen ? Demanda Elena.
- bien. Très bien. Elle est contente que son papa rentre à la maison.

Le sourire radieux qui s’afficha sur son visage ne trompait pas. Il était le plus heureux des hommes rien qu’à la pensée de retrouver sa famille.

- appelle-nous pour nous dire si le vol s’est bien passé et donne-nous de tes nouvelles, d’accord ?

Tout sourire, Peter accepta la main tendue de Jack. Il avait passé d’agréables moments dans cette équipe. Les bons souvenirs ne manquaient pas.
Chacun le salua ensuite chaleureusement. Même Elena. La jeune femme ne serait jamais une grande amie mais il ne voulait laisser aucune rancœur derrière lui.

- Danny te demande de l’excuser. Il aurait voulu être là pour ton départ mais …
- je sais, Vivian. Je l’ai eu au téléphone hier. Le prince veut reconquérir sa belle, c’est ça ?

Les rires fusèrent dans la pièce après la remarque de Peter.

- bon et bien, je crois que cette fois, c’est l’heure.

Le sourire crispé et la voix tremblante, il salua tout le monde d’un signe de la main et se dirigea vers la sortie. Les départs n’étaient guère faciles mais il n’aurait jamais imaginé être si touché par ce dernier. Pour lui, quitter New -York était plus qu'un léger pincement au cœur. Ses collègues allaient vraiment lui manquer. Il trouvait seulement dommage que CJ ait brillé par son absence. Alors qu’elle était peut-être la personne la plus importante pour lui, ici. Celle qui avait compté le plus à ses yeux. Ils avaient encore tellement de choses à régler. Il subsistait tellement de non-dits entre eux.
Elle n’était pas venue le voir durant son séjour à l’hôpital et il avait pris cela comme un message des plus clairs. Elle l’avait rayé de sa vie, purement et simplement.
Les portes de l’ascenseur ne s’ouvraient toujours pas, il tapait nerveusement du pied. Il lui suffisait simplement de prendre le couloir de droite et de toquer. Elle se trouverait sûrement dans son local, comme d’habitude. Il inspira profondément et se décida à y aller.
Mais les portes s’ouvrirent juste à cet instant précis. Il prit cela pour un signe. C’était le destin. Il ne fallait pas qu’il aille la rejoindre. C’était peut-être mieux ainsi.
Il pénétra alors dans l’ascenseur, pressa le bouton 0 lorsqu’il entendit crier son nom. Elle se tenait là, debout, à seulement quelques mètres de lui. Il retint la porte avec une de ses béquilles. CJ se mit à sourire. C’est fou, même avec ces dernières, il restait le plus sexy des hommes.
Il fit les quelques pas restants pour se retrouver juste en face d’elle.

- tiens.

Il accepta bien volontiers l’objet qu’elle lui tendit.

- j’espère que Pauleen ne l’a pas celle-là.

Il s’amusait à retourner la boule à neige Titi qu’elle venait de lui offrir pour sa fille.

- merci.
- fais bon voyage.
- CJ … écoute …
- non, ne dis rien. Ça vaut mieux ainsi.

Elle baissa ensuite la tête. Elle ne résistait pas à son regard perçant.

- sache que je n’ai jamais voulu ça. Je croyais être prêt à passer à autre chose mais ce n’était pas le cas. Et je m’en veux de ne pas avoir été capable de m’en rendre compte plus tôt.
- on fait tous des erreurs.
- je ne considère pas que notre relation en était une. C’est ce dont j’avais besoin à ce moment-là. Tu m’as aidé à avancer. Tu as fait de moi quelqu’un de meilleur. Tu … tu es une femme formidable CJ. Et surtout, ne laisse jamais personne te dire le contraire.

Il souleva son menton et elle sentit les larmes monter au coin de ses yeux. Elle l’aimait. Elle l’aimait tellement.

- tu … je …
- oui ?
- si ta fille n’habitait pas Los Angeles, s’il n’y avait pas eu Sonya, est-ce que tu …non, finalement, je ne préfère pas savoir.
- oui. Je serais resté.

Seulement, elle savait qu’une partie de lui se trouvait à L.A., la plus importante.

- prends soin de toi, d’accord ?

Elle se mordilla la lèvre. Elle ne voulait pas craquer. Pas devant lui. Pas maintenant. Elle fuyait toujours son regard jusqu’à ce qu’elle sente sa main venir caresser sa joue du bout des doigts.

- seulement si tu me promets la même chose, chuchota-t-il.

Leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Elle avait une folle envie de l’embrasser. Une dernière fois.

- oh et puis merde !

Elle passa ses bras autour de son cou et se mit à dévorer sauvagement ses lèvres. Elle était folle de lui. De son corps, de ses fesses musclées qu’elle caressait maintenant avec envie. Il répondit à son baiser, les deux mains toujours fortement accrochées à ses béquilles.

- CJ.
- mmmh ?

Elle l’embrassait de plus belle.

- CJ ?
- quoi ?
- je dois y aller.
- ah oui ! C’est vrai !

Gênée, elle se passa une main sur le visage avant de se gratter l’arrière de la tête. Elle mit ensuite nerveusement ses mains dans les poches de son jean.

- je me suis laissée un peu emporter.
- j’ai vu ça, oui, dit-il, amusé.
- désolée.
- c’est rien. Tu vas me faire apprécier les au-revoir si ça continue.

Ils échangèrent un sourire gêné. L’heure du départ avait sonné. Ils le savaient bien.
Elle s’avança de quelques pas et ouvrit les bras comme si elle lui demandait cette fois la permission. Il hocha la tête et elle le serra fort tout contre elle. Elle sentit la main de Peter dans le creux de son dos, qui tenait en même temps sa béquille. Sa bouche se faufila ensuite contre son oreille. « Je t’aime ».Elle avait eu besoin de lui dire. Vraiment besoin. Même si ce n’était pas réciproque.
Une fois libérée de son étreinte, elle sentit l’émotion la gagner petit à petit. Il la regarda, gêné. Conscient de toute la peine que son départ pouvait lui causer.

- CJ, … commença-t-il.

Elle sourit et posa son index sur sa bouche avant de replacer une dernière fois, la mèche tombante de ses cheveux et qui cachait ses si beaux yeux.

- au revoir, dit-elle, dans un sourire triste.

Sa voix était tremblante. Elle ne pouvait pas rester une minute de plus devant cet ascenseur sous peine de fondre en larme. Elle s’éloigna alors rapidement vers son local laissant le jeune homme seul.

- au revoir … trésor, chuchota-t-il, comme s’il se parlait à lui-même.

Il pressa ensuite le bouton d’appel. Une autre vie l’attendait.

OH, MY GOD!!!!!!!!

[img:f8fd]http://smileys.sur-la-toile.com/repository/Grands_Smileys/3d-casquette-applaudir.gif[/img:f8fd]

Il ne me manquait plus que ça ce soir ...C'est cro, cro, cro beau

D'abord, le début, avec lui sur le lit d'hopital qui dit: "Sonya", je me suis dit: mais quel c**

Et puis nopn finalement, c'est vrai...c'est tellement dure tout ça, roooo, et puis la chanson, là j'ai mouru

Il s’amusait à retourner la boule à neige Titi qu’elle venait de lui offrir pour sa fille

J'en veux une

oh et puis merde !

sacrée CJ, là on la reconnais bien

Elle sourit et posa son index sur sa bouche avant de replacer une dernière fois, la mèche tombante de ses cheveux et qui cachait ses si beaux yeux.

là je me suis imaginée à sa place, oh, juste une petite seconde

Alors, ça y est, il est parti

bon moi fatiguée par semaine de folie donc moi pas tout comprendre

il la nem, elle le nem... Alors c'est quoi ce bordel ????


Pourquoi il s'en va ????


pffffffffffffffffff



la suite !!!!


En même temps, je la verrais bien dans les bras de Danny

Bon bah je me demande si t'aurais pas mieux fait de le tuer...
Pffffffffffff, et oui quand même!!!!

T'étais obligée de les séparer, hein??? Son ex elle pouvait pas être recasée, remariée et sans aucune envie de le voir redébarquer dans sa vie???

Et même si CJ à pu profiter une dernière fois de ses fesses musclées, bah pfffff! Et le happy end, alors???
J'espère que tu vas pas finir cette fic en CJ/Danny (Nataloche, on tape pas )! Non, non, non!

Pfff, je suis désespérée, voilà! C'est ça. M'en vais m'ampifrer de chocolat pour compenser...

Bon je suis désolée que Peter s'en aille parce que il est vraiment trop sexxxxxxxxxx

Mais maintenant ça laisse le champ libre pour Danny /CJ

Pfffffffff !!! Moi ça me déprime ...

- vous êtes Sonya ?

La jeune technicienne fronça les sourcils aussitôt après la question du médecin.

- pourquoi ?
- il répète ce nom depuis qu’il est arrivé ici.

Ca veut tout dire, malheureusement !

Le voir en sale état, tout ça par sa faute et devoir lui dire au revoir par la même occasion. Elle ne pouvait s’y résoudre.
Elle avait cru à leur histoire. Elle l’y avait vraiment cru.

tain mais c'est pas faute !

Le sourire radieux qui s’afficha sur son visage ne trompait pas. Il était le plus heureux des hommes rien qu’à la pensée de retrouver sa famille.

Ouais ouais ouais rajoutes en une couche !
Il a vite zappé la miss je trouve ! Pendant ces 2 semaines il a pas beaucoup insisté !

- je ne considère pas que notre relation en était une. C’est ce dont j’avais besoin à ce moment-là. Tu m’as aidé à avancer. Tu as fait de moi quelqu’un de meilleur. Tu … tu es une femme formidable CJ. Et surtout, ne laisse jamais personne te dire le contraire.

ça c'est de l'amour !

Elle passa ses bras autour de son cou et se mit à dévorer sauvagement ses lèvres. Elle était folle de lui. De son corps, de ses fesses musclées qu’elle caressait maintenant avec envie. Il répondit à son baiser, les deux mains toujours fortement accrochées à ses béquilles

Rrrrrrrrrrrr !!!

- CJ ?
- quoi ?
- je dois y aller.

C'est ce que je disais, il a vite zappé !

- au revoir … trésor, chuchota-t-il, comme s’il se parlait à lui-même.

Il pressa ensuite le bouton d’appel. Une autre vie l’attendait.

tain mon coeur se serre là !

Bon alors ? Il l'aime ou il l'aime pas ?! Parceque de son côté à elle c'est clair mais lui ...


Oh et puis c'est quoi la chanson ? Ca serait bien de faire une note en bas pour éviter de demander !

et après plus que 2 passages à pondre

Ca veut dire qu'après c'est finish ????!!!
Ah mais NON alors !!!

Fais revenir Peter hein ?

Wouahhhh , quel passage!!

c'etait magnifique!!!!!

Dommage quand meme qu'ils se separent, ils etaient mignons tout les deux!!

Et sinon Danny? Il est ou là??

oh c'éatit trop beau !!!
moi aussi quand à l'hôpital il a dit Sonya... je me suis dit mais gros lourdot !!!

mais en fait...ensuite j'ai eu ma larme ... dommage qu'il quitte le FBI ...c'était sympa avec lui...

bon j'avoue que je me réjouis un peu que CJ reste ici ... et je vais aller rechercher danny chez l'autre frances pour lui expliquer qu'elle est libre .... (pardon pativore !!! °

Sinon que dire d'autres que j'ai eu ma mini larme àl'oeil .... c'était touchant cesa dieux ... et laCJ qui lui saute aux lèvres, si je peux dire cela ainsi ...

sublime mais j'ai cru comprendre qu'il n'y a plus que 2 passages !!!!

excuses moi mais c'est quoi la zone ????

merci merci merci les filles beaucoup tous pleins

nathaloche a écrit:excuses moi mais c'est quoi la zone ????

c'était juste pour dire qu'après la fin de cette fic, je pourrai me reposer tranquille , "ce sera la zone" quoi
NB : la chanson c'est "simple together" d'Alanis Morissette Alanis, gitem ralala
allez, sur ce, voici l'avant-dernier passage :


Il arriva devant sa porte et prit une profonde inspiration avant de frapper. C’était maintenant ou jamais. Il allait tout lui avouer. Tout.

- Danny ?

L’effet de surprise passé, Frances lui fit signe d’entrer.

- qu’est-ce que tu fais là ?
- moi aussi, je suis ravi de te voir, plaisanta-t-il.

Elle lui adressa un sourire gêné puis l’invita à prendre place sur le divan.

- si ça ne te dérange pas, je préfère rester debout.
- che pasa ? Tu es bizarre.

Bizarre ? On le serait à moins. Il avait attendu ce moment depuis des années, il était si nerveux. Ses genoux jouaient des castagnettes. Son cœur battait la chamade.

- assieds-toi.

Il posa délicatement sa main sur l’avant-bras de la jeune femme qui se laissa guider jusqu’au fauteuil le plus proche. Danny s’agenouilla ensuite devant elle, faisant face au regard halluciné de Frances.

- mais qu’est-ce que tu …

Elle en resta bouche bée lorsqu’elle le vit sortir de sa veste un petit écrin en soie couleur émeraude. Il ouvrit ce dernier, laissant apparaître un diamant des plus somptueux.

- Danny, mais c’est …
- te quiero, Fran. Je t’ai aimé depuis le premier jour. Lorsque tu tentais vainement de m’expliquer le théorème de Pythagore et que ton crayon se perdait dans tes cheveux ou que tu t’amusais à le mastiquer dans ta bouche. J’ai toujours été nul en maths mais à la fin, c’est parce que je voulais être nul. Comment ne pas le vouloir avec une prof aussi sexy que toi ?

La jeune femme baissa les yeux, flattée. Elle sentait le rouge lui monter aux joues. Elle se souvenait de ces moments comme si c’était hier.

- écoute …
- non. Laisse-moi finir. Je sais que c’est soudain, qu’on a passé seulement une nuit ensemble. Mais c’était la plus belle de ma vie. Je sais qu’on pourrait être heureux tous les deux. Toi et moi, Fran. Laisse-nous une chance. Laisse-moi faire de toi la plus comblée de toutes les femmes. Épouse-moi.

Danny la toisa du regard. Le silence régnait dans la pièce. Elle semblait bien plus peinée que touchée.

- Fran ?
- je suis désolée.

Il fronça les sourcils. Il ne comprenait pas sa réaction jusqu’à ce qu’elle lève sa main à hauteur de son regard et qu’il ne voit à son annulaire, la bague de fiançailles qu’elle portait déjà. Pas la sienne.
Il ne put réprimer une grimace. Le monde venait de s’écrouler sous ses pieds. Il se releva immédiatement puis renifla pour se donner une contenance. Il sentait la colère s’emparer petit à petit de lui.

- ne me dis pas que ça a repris entre toi et cet enfoiré.

Son ton était froid. Sa voix métallique. Elle ne l’avait jamais vu avec un regard aussi noir.

- je comprends que …
- JE T’AI POSE UNE QUESTION ! Hurla-t-il.
- oui, c’est lui !
- tu l’aimes ?
- ça me semble évident, non ?
- alors, c’est ton genre ? Les types qui te traitent comme de la merde et toi, tu en redemandes !

Il parlait vite, bougeant ses mains dans tous les sens, prouvant son exaspération.

- ne dépasse pas les bornes, Danny. Tu es déçu et peiné, je le sais mais c’est ma décision. Christian n’a rien à voir là-dedans.
- c’est moi qui dépasse les bornes ? C’est la meilleure celle-là !
- on ferait mieux d’en parler une autre fois, une fois que tu seras calmé.
- non, je veux en discuter maintenant !

Il s’agitait dans tous les sens, furieux.

- dis-moi pourquoi !
- arrête. Ça ne sert à rien de t’infliger ça.
- dis-le moi ! Je veux savoir ! Pourquoi lui et pas moi ?
- Christian n’est pas le monstre que tu crois, Danny. Il a vécu des moments difficiles tout comme toi et qui font ce qu’il est aujourd’hui.
- le pauvre petit chou, j’imagine ! Il a pas eu de Lego pour son Noël, c’est ça ?

Elle secoua la tête, l’air agacé.

- sa mère l’a abandonné parce qu’il est né d’un viol. Quant à son père adoptif, il abusait de lui.
- je ne savais pas, dit-il, d’un ton compatissant.
- peu de gens le savent. Comme le fait qu’il a un fils adoptif et qu’il n’a pas hésité à l’élever sachant très bien que ce n’était pas le sien. Mais parce qu’il l’a aimé dès la première seconde où il a posé les yeux sur lui.
- qu’est-ce que tu en sais ? Il t’a peut-être menti à ce sujet aussi !
- Wilbur est noir.
- autre chose ? Ironisa-t-il.
- leur anesthésiste a été victime d’un trafic d’organe l’an dernier. On lui a volé un rein et l’autre ne fonctionnait plus. Et il n’a pas hésité une seconde à se proposer pour faire le test dans le but de voir s’il était compatible.
- laisse-moi deviner, il ne l’était pas !
- non, mais comme on dit, c’est le geste qui compte, n’est-ce pas ?
- je m’enfiche de tout ce qu’il a pu faire jusqu’à aujourd’hui, Fran ! L’important, c’est toi. Tu ne peux pas lui faire confiance. Mais ouvre les yeux, bon sang !
- Christian a ses faiblesses, comme tout le monde.
- et combien de fois, il t’a sorti cette excuse après avoir sauté une énième cliente ?
- je crois que tu n’as pas de leçon à donner de ce côté là !
- je ne me sers pas de femmes comme de simples mouchoirs, moi !
- c’est vrai que tu es au comble du bonheur avec ta « fiancée », c’est ça ? Comment elle s’appelle, déjà ? Erica ?

Danny la toisa du regard un moment, essayant tant bien que mal de cacher sa surprise. Elle savait. Il en était sûr.

- et oui ! Tu vois, il m’a tout dit !
- dans ce cas, il a aussi dû te dire qu’il se l’était tapée dans les toilettes de tous les bars de New- York aussi !
- il n’est pas entré dans les détails, mais oui, je suis au courant.
- et ça ne te fait rien ?
- il a compris que nous étions à égalité après notre petite aventure de l’autre soir.

Elle lui adressa un clin d’œil, ce qui le fit soupirer.

- nous avons fini par mettre les choses au clair et on a décidé de repartir de zéro. Tous les deux. Ensemble. Accepte-le Danny. C'est la seule chose à faire.
- comment j’ai pu être aussi aveugle ? Je me demande vraiment lequel d’entre vous deux, est le pire !
- qui se ressemblent, s’assemblent ...chéri, sourit-elle, fièrement.

Il ne la quitta plus des yeux et tomba enfin ses œillères. La femme qu’il avait en face de lui à présent, n’avait plus rien à voir avec celle dont il était tombé fou amoureux au lycée mais une pâle copie. Bien fade. Cet enfoiré de Troy l’avait totalement transformée et façonnée à son image. Il ne lui restait rien de son amie d’enfance. Juste des souvenirs.

- j’espère qu’il ne pleuvra pas ce jour-là, ironisa-t-il.

Il se dirigea tranquillement vers la porte de sortie. Il tenait déjà la clenche en main.

- gracias.

Elle lui adressa un sourire radieux et referma la porte derrière lui.
Une grimace s’afficha alors sur son visage, elle venait tout juste de comprendre que sa phrase de soutien déguisée comme telle, n’en était pas une.

Bah vraiment, c'est une bonne chose qu'elle lui ai dit non. Parce que c'est vriment pas une crème la Fran!
Enfin, chacun sa façon de voir sa relation sentimentale idéale. En attendant, papy a enfin ouvert les yeux. C'est pas trop tôt.
C'est son grand âge qui l'a rendu si lent???

Mais, moi je veux que Peter et ses fesses musclées se ramènent vite fait pour le dernier passage!!! Parce que tu peux pas finir de cette manière, hein???

Allez, je suis sûre que tu ne peux pas résister à l'appel de la musculature de Peter! vi vi vi!

La fin c'est pour ce soir???

Allez, je suis sûre que tu ne peux pas résister à l'appel de la musculature de Peter! vi vi vi!

si tu me prends par les sentiments

La fin c'est pour ce soir???

nan, g même pas commencé encore
merci pour ton comm' la miss

tweetie a écrit:

Allez, je suis sûre que tu ne peux pas résister à l'appel de la musculature de Peter! vi vi vi!

si tu me prends par les sentiments
)

Ca veut dire oui??? Oui je sais, je te laisse tranquille... 'était juste comme ça, une idée quoi... enfin bref, j'y vais.