Amis-Amis (complète)
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FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Les Créations des Fans :: Fanfictions :: Complètes :: Général
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Re: Amis-Amis (complète)
Tinky-Winky a écrit:Théana a écrit:je vais faire la faignasse, j'adore ta fic, j'ai kiffé cette suite et je veux la suite !!!
+1
J'aime trop quand tu fais la feignasse!!! Moi je la fais tout le temps!!
+2
milaya- Enquêtes internes
- Nombre de messages : 2111
Age : 48
Localisation : le mans
Date d'inscription : 21/01/2006
Re: Amis-Amis (complète)
oh ben non comment ils vont se réconcilier si tu fais partir danny en mission !!!
oh c'est vrai que la pauvre CJ est a un copain bien caractériel !!!
oh c'est vrai que la pauvre CJ est a un copain bien caractériel !!!
Re: Amis-Amis (complète)
et les "feignasses" aussi
Leur soirée avait été des plus agréables. Fran avait débouché une bonne bouteille de champagne pour fêter son nouveau partenariat avec une marque de renom pour sa boutique. La bonne-humeur était au rendez-vous et Danny partageait la joie de son amie de longue date. Pour lui, elle méritait amplement son succès.
- à toi, sourit-il.
- gracias.
Ils levèrent leur verre à la réussite de la jeune femme.
- comme quoi, les bonnes nouvelles arrivent toujours quand on les attend le moins.
Danny reposa sa coupe de jus d’orange sur la table basse, les yeux rivés sur celle qui était devenue sa colocataire depuis plus d’une semaine maintenant.
- oui, ça fait partie des surprises que nous réservent la vie. Et crois-moi, je sais de quoi je parle. Je n’aurais jamais cru que le destin t’envoie jusqu’à moi.
Il lui offrit le plus beau des sourires et elle en fit de même.
- voyons voir ce que nous réserve l’avenir alors !
- comment ça ? Tu lis dans les boules de cristal Madame Irma ? Plaisanta-t-il.
- donne-moi ta main !
Il ne broncha pas. Son regard se voulait toujours suspicieux.
- dame la mano, répéta-t-elle.
Il tendit finalement la main droite.
- ¡ No! La izquierda! Tu es droitier.
Il s’exécuta et sentit le bout des doigts de la jeune femme lui examiner les lignes de la main. Ce simple contact le troublait au plus haut point. Il tentait tant bien que mal de garder le contrôle même s’il se sentait de plus en plus à l’étroit dans son boxer.
- alors, qu’est-ce que tu vois ?
- mmmh.
Elle se mordilla la lèvre, pensive.
- quoi ?
- ta ligne de cœur s’incline vers la ligne de tête.
- et alors ? C’est pas bon signe ?
- ça veut tout simplement dire que ton cœur est dominé par ta raison.
Il fronça les sourcils, contrarié. Ses sentiments pour son amie d’enfance étaient tout ce qu’il y a de plus authentique. Il en était certain. Frances était bel et bien la femme de sa vie.
- quoi d’autre ?
- elle est aussi coupée par d’autres nervures. Tu vois, là et là.
Elle mêla le geste à la parole, en passant délicatement son index sur les nervures en question.
- ça veut dire quoi ?
- c’est synonyme de duperie ou de fourberie.
- mais c’est quoi, ces conneries ? Je ne trompe personne !
- ne t’énerve pas ! Dit-elle, l’air amusé.
Elle commençait à ressentir les premiers effets de l’alcool et se sentait comme sur un petit nuage.
- tu sais, ce n’est pas une science exacte. En fait, ce n’est pas une science du tout, expliqua-t-elle. Et puis, ce n’est pas forcément d’adultère ou d’inconstance dont il est question ici mais de mensonges ou de refus de se confier à l’autre. De ne pas s’investir totalement dans une relation et d’avoir peur de s’engager et de se livrer sans condition.
Il opina du chef, silencieux. Il devait reconnaître que de ce point de vue-là, il avait encore des efforts à fournir. Et pas qu’un peu.
- tu vois autre chose ?
Leurs visages se tenaient à quelques centimètres à peine, l’un de l’autre. Le parfum de Frances l’enivrait totalement à présent.
- oui. Une nuit torride. D’une seconde à l’autre.
Son cœur se mit à battre la chamade. Elle le fixait avec des yeux malicieux.
Elle devait plaisanter. Oui, c’est sûr. Ce n’était qu’une farce.
- Danny ?
- …
- Danny ?
- mmmh ?
Elle le vit enfin sortir de sa rêverie et lui fit signe d’approcher son visage encore plus près du sien. Il obtempéra même s’il n’arrivait toujours pas à y croire.
Elle posa ensuite ses bras autour de son cou et s’amusa à lui mordiller l’oreille d’une manière des plus sensuelles.
- mais qu’est-ce que …
- shhh. No ahora.
Elle posa son index sur la bouche de Danny pour le faire taire et n’y tenant plus, sa langue vint en titiller le contour jusqu’à finalement presser ses lèvres tout contre les siennes. Il n’eut pas le temps de savourer ce baiser des plus fougueux que déjà, elle s’était mise à genoux en face de lui et avait descendu la braguette de son jean. Il sentit ensuite sa main s’insinuer dans son boxer. Le regard coquin, elle entama un mouvement léger de va-et-vient, d’abord lent, très lent, histoire de faire durer le plaisir, puis elle accéléra au fur et à mesure.
It’s undeniable that we should be together
It’s unbelievable, how I used to say that I’d fall never
The basis is need to know
If you just don’t know how I feel
Then let me show you that now I’m for real
If all the things in time, time will reveal
Il bouillonnait de l’intérieur. Son excitation montait petit à petit. Elle jouait maintenant avec l’objet de son désir du bout de sa langue. Sa bouche s’activait. Elle avait remplacé sa main. Le souffle de Danny devenait rauque, preuve qu’il appréciait le savoir-faire de la jeune femme. Elle se retira finalement, provoquant le grognement étouffé de l’agent du FBI. Il retrouva vite le sourire lorsque se tenant debout devant lui, elle fit glisser petit à petit sa robe jusqu’au sol. Il voulut se lever du divan pour aller la rejoindre mais elle l’en dissuada d’une main ferme posée sur son torse. Ce soir-là, c’est elle qui menait le jeu. N’en demandant pas tant, il regagna sa place bien sagement.
It’s so incredible, the way things work themselves out
And all emotional, once you know what it’s all about, hey
And undesirable, for us to be apart
I never would’ve made it very far
’cause you know you got the keys to my heart
Elle se caressait maintenant la poitrine, titillant ses mamelons du bout de ses doigts. Il appréciait le spectacle, l’observant avec gourmandise. Sa main glissa ensuite au niveau de son bas ventre. Son doigt s’enfonçait de plus en plus. Elle commençait à onduler au rythme de ce dernier. Le désir grimpait. La voir prendre son pied ainsi l’excitait au plus haut point. Il se caressa à son tour. Ses mains à lui s’amusaient aussi. Elle ouvrit les yeux. Voir son sexe tendu la mettait en appétit. Elle n’y résistait plus. Elle s’avança alors de quelques centimètres et se mit à califourchon sur lui. Elle bougeait son bassin d’avant en arrière. Elle sentit ses mains puissantes s’accrocher à ses fesses. Sa cadence s’accéléra. Ses coups de reins étaient violents. Ils lui arrachèrent de petits cris. Sa main droite se posa sur son sein gauche. Leurs deux corps en sueur prenaient vie. Leur jouissance n’était plus très loin. Le cri de Frances était strident. Elle sentait la chaleur du souffle haletant de Danny dans le creux de son cou. Il poussa finalement un râle des plus rauques.
Say farewell to the dark of night
I see the coming of the sun
I feel like a little child, whose life has just begun
You came and breathed new life into this lonely heart of mine
You threw out the life line
Just in the nick of time
Ils échangèrent un sourire complice, tous les deux rassasiés. L’agent du FBI caressa la joue de son amie d’enfance du bout de ses doigts avant de venir l’embrasser à nouveau. Elle vint s’asseoir ensuite à ses côtés, passant sa main dans ses cheveux en pétard. Il prit le plaid jusqu’à côté de lui sur le coussin du canapé et couvrit la jeune femme jusqu’aux épaules. Il la dévorait maintenant du regard.
- bonne nuit, Fran.
- bonne nuit.
Il déposa un tendre baiser sur sa tempe et laissa reposer sa tête tout contre la sienne. Les yeux fermés, il ne vit pas les larmes qui roulaient encore sur les joues de sa colocataire.
1 … you’re like a dream come true
2 …just wanna be with you
3 … girl it’s plain to see
That you’re the only one for me and
4 … repeat steps 1 through 3
5 … make you fall in love with me
If ever I believe my work is done
Then I’ll start back at … 1.
Il était le plus heureux des hommes. Elle était la plus coupable des femmes.
Leur soirée avait été des plus agréables. Fran avait débouché une bonne bouteille de champagne pour fêter son nouveau partenariat avec une marque de renom pour sa boutique. La bonne-humeur était au rendez-vous et Danny partageait la joie de son amie de longue date. Pour lui, elle méritait amplement son succès.
- à toi, sourit-il.
- gracias.
Ils levèrent leur verre à la réussite de la jeune femme.
- comme quoi, les bonnes nouvelles arrivent toujours quand on les attend le moins.
Danny reposa sa coupe de jus d’orange sur la table basse, les yeux rivés sur celle qui était devenue sa colocataire depuis plus d’une semaine maintenant.
- oui, ça fait partie des surprises que nous réservent la vie. Et crois-moi, je sais de quoi je parle. Je n’aurais jamais cru que le destin t’envoie jusqu’à moi.
Il lui offrit le plus beau des sourires et elle en fit de même.
- voyons voir ce que nous réserve l’avenir alors !
- comment ça ? Tu lis dans les boules de cristal Madame Irma ? Plaisanta-t-il.
- donne-moi ta main !
Il ne broncha pas. Son regard se voulait toujours suspicieux.
- dame la mano, répéta-t-elle.
Il tendit finalement la main droite.
- ¡ No! La izquierda! Tu es droitier.
Il s’exécuta et sentit le bout des doigts de la jeune femme lui examiner les lignes de la main. Ce simple contact le troublait au plus haut point. Il tentait tant bien que mal de garder le contrôle même s’il se sentait de plus en plus à l’étroit dans son boxer.
- alors, qu’est-ce que tu vois ?
- mmmh.
Elle se mordilla la lèvre, pensive.
- quoi ?
- ta ligne de cœur s’incline vers la ligne de tête.
- et alors ? C’est pas bon signe ?
- ça veut tout simplement dire que ton cœur est dominé par ta raison.
Il fronça les sourcils, contrarié. Ses sentiments pour son amie d’enfance étaient tout ce qu’il y a de plus authentique. Il en était certain. Frances était bel et bien la femme de sa vie.
- quoi d’autre ?
- elle est aussi coupée par d’autres nervures. Tu vois, là et là.
Elle mêla le geste à la parole, en passant délicatement son index sur les nervures en question.
- ça veut dire quoi ?
- c’est synonyme de duperie ou de fourberie.
- mais c’est quoi, ces conneries ? Je ne trompe personne !
- ne t’énerve pas ! Dit-elle, l’air amusé.
Elle commençait à ressentir les premiers effets de l’alcool et se sentait comme sur un petit nuage.
- tu sais, ce n’est pas une science exacte. En fait, ce n’est pas une science du tout, expliqua-t-elle. Et puis, ce n’est pas forcément d’adultère ou d’inconstance dont il est question ici mais de mensonges ou de refus de se confier à l’autre. De ne pas s’investir totalement dans une relation et d’avoir peur de s’engager et de se livrer sans condition.
Il opina du chef, silencieux. Il devait reconnaître que de ce point de vue-là, il avait encore des efforts à fournir. Et pas qu’un peu.
- tu vois autre chose ?
Leurs visages se tenaient à quelques centimètres à peine, l’un de l’autre. Le parfum de Frances l’enivrait totalement à présent.
- oui. Une nuit torride. D’une seconde à l’autre.
Son cœur se mit à battre la chamade. Elle le fixait avec des yeux malicieux.
Elle devait plaisanter. Oui, c’est sûr. Ce n’était qu’une farce.
- Danny ?
- …
- Danny ?
- mmmh ?
Elle le vit enfin sortir de sa rêverie et lui fit signe d’approcher son visage encore plus près du sien. Il obtempéra même s’il n’arrivait toujours pas à y croire.
Elle posa ensuite ses bras autour de son cou et s’amusa à lui mordiller l’oreille d’une manière des plus sensuelles.
- mais qu’est-ce que …
- shhh. No ahora.
Elle posa son index sur la bouche de Danny pour le faire taire et n’y tenant plus, sa langue vint en titiller le contour jusqu’à finalement presser ses lèvres tout contre les siennes. Il n’eut pas le temps de savourer ce baiser des plus fougueux que déjà, elle s’était mise à genoux en face de lui et avait descendu la braguette de son jean. Il sentit ensuite sa main s’insinuer dans son boxer. Le regard coquin, elle entama un mouvement léger de va-et-vient, d’abord lent, très lent, histoire de faire durer le plaisir, puis elle accéléra au fur et à mesure.
It’s undeniable that we should be together
It’s unbelievable, how I used to say that I’d fall never
The basis is need to know
If you just don’t know how I feel
Then let me show you that now I’m for real
If all the things in time, time will reveal
Il bouillonnait de l’intérieur. Son excitation montait petit à petit. Elle jouait maintenant avec l’objet de son désir du bout de sa langue. Sa bouche s’activait. Elle avait remplacé sa main. Le souffle de Danny devenait rauque, preuve qu’il appréciait le savoir-faire de la jeune femme. Elle se retira finalement, provoquant le grognement étouffé de l’agent du FBI. Il retrouva vite le sourire lorsque se tenant debout devant lui, elle fit glisser petit à petit sa robe jusqu’au sol. Il voulut se lever du divan pour aller la rejoindre mais elle l’en dissuada d’une main ferme posée sur son torse. Ce soir-là, c’est elle qui menait le jeu. N’en demandant pas tant, il regagna sa place bien sagement.
It’s so incredible, the way things work themselves out
And all emotional, once you know what it’s all about, hey
And undesirable, for us to be apart
I never would’ve made it very far
’cause you know you got the keys to my heart
Elle se caressait maintenant la poitrine, titillant ses mamelons du bout de ses doigts. Il appréciait le spectacle, l’observant avec gourmandise. Sa main glissa ensuite au niveau de son bas ventre. Son doigt s’enfonçait de plus en plus. Elle commençait à onduler au rythme de ce dernier. Le désir grimpait. La voir prendre son pied ainsi l’excitait au plus haut point. Il se caressa à son tour. Ses mains à lui s’amusaient aussi. Elle ouvrit les yeux. Voir son sexe tendu la mettait en appétit. Elle n’y résistait plus. Elle s’avança alors de quelques centimètres et se mit à califourchon sur lui. Elle bougeait son bassin d’avant en arrière. Elle sentit ses mains puissantes s’accrocher à ses fesses. Sa cadence s’accéléra. Ses coups de reins étaient violents. Ils lui arrachèrent de petits cris. Sa main droite se posa sur son sein gauche. Leurs deux corps en sueur prenaient vie. Leur jouissance n’était plus très loin. Le cri de Frances était strident. Elle sentait la chaleur du souffle haletant de Danny dans le creux de son cou. Il poussa finalement un râle des plus rauques.
Say farewell to the dark of night
I see the coming of the sun
I feel like a little child, whose life has just begun
You came and breathed new life into this lonely heart of mine
You threw out the life line
Just in the nick of time
Ils échangèrent un sourire complice, tous les deux rassasiés. L’agent du FBI caressa la joue de son amie d’enfance du bout de ses doigts avant de venir l’embrasser à nouveau. Elle vint s’asseoir ensuite à ses côtés, passant sa main dans ses cheveux en pétard. Il prit le plaid jusqu’à côté de lui sur le coussin du canapé et couvrit la jeune femme jusqu’aux épaules. Il la dévorait maintenant du regard.
- bonne nuit, Fran.
- bonne nuit.
Il déposa un tendre baiser sur sa tempe et laissa reposer sa tête tout contre la sienne. Les yeux fermés, il ne vit pas les larmes qui roulaient encore sur les joues de sa colocataire.
1 … you’re like a dream come true
2 …just wanna be with you
3 … girl it’s plain to see
That you’re the only one for me and
4 … repeat steps 1 through 3
5 … make you fall in love with me
If ever I believe my work is done
Then I’ll start back at … 1.
Il était le plus heureux des hommes. Elle était la plus coupable des femmes.
tweetie- Président des USA
- Nombre de messages : 7789
Date d'inscription : 04/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
Oh My God!!!
Il fait chaud par içi!! lol!!
Comme quoi, ça ne peut pas faire de mal...bien au contraire...
Ben continues comme ça va!!
Il fait chaud par içi!! lol!!
Elle commençait à ressentir les premiers effets de l’alcool et se sentait comme sur un petit nuage.
Comme quoi, ça ne peut pas faire de mal...bien au contraire...
Ben continues comme ça va!!
nady- Agent spécial
- Nombre de messages : 1253
Age : 44
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 13/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
Et behhhhhhhhh !!!
Les petites séances de mas*** chez Danny ça donne chaud !
Et quelle "doigté" elle a la miss pou le rendre maboul !
Faut dire qu'elle l'allume un max la Fran !
Et puis les lignes de la main ...
Bon la suite maintenant !
Les petites séances de mas*** chez Danny ça donne chaud !
Et quelle "doigté" elle a la miss pou le rendre maboul !
J'adore cette phrase, style bombe à retardement !Il tentait tant bien que mal de garder le contrôle même s’il se sentait de plus en plus à l’étroit dans son boxer.
Faut dire qu'elle l'allume un max la Fran !
Et puis les lignes de la main ...
Naaaannn pas possible ?- ça veut tout simplement dire que ton cœur est dominé par ta raison.
Mais bien sûr !- c’est synonyme de duperie ou de fourberie.
- mais c’est quoi, ces conneries ? Je ne trompe personne !
Bah voilà, allumeuse !oui. Une nuit torride. D’une seconde à l’autre.
Coupable de quoi ? Troy n'est qu'un porc alrs pas la peine de culpabiliser !Il était le plus heureux des hommes. Elle était la plus coupable des femmes.
Bon la suite maintenant !
Re: Amis-Amis (complète)
OH MY GOD
Là je suis obligée de sortir ma casquette et d'applaudir tout simplement....
Il y a le passage plus que chaud, j'ai ouvert encore la fenètre là
Elle est torride la demoiselle , por le plus grand plaisir de Danny
le pauvre, tout de même heureusement il a pu se soulager
alors là je dis ces deux phrases m'ont coupé le souffle, elles sont simples, mais placé comme il faut, c'est...wouha, tout simplement...
Jenny dit:
Ca ça ne s'explique pas je crois...c'est vrai que sur le fond elle n'a pas à s'en vouloir, mais...enfin c'est comme ça quoi quelle explication n'est ce pas
Encore
Là je suis obligée de sortir ma casquette et d'applaudir tout simplement....
Il y a le passage plus que chaud, j'ai ouvert encore la fenètre là
Elle est torride la demoiselle , por le plus grand plaisir de Danny
Il tentait tant bien que mal de garder le contrôle même s’il se sentait de plus en plus à l’étroit dans son boxer
le pauvre, tout de même heureusement il a pu se soulager
Les yeux fermés, il ne vit pas les larmes qui roulaient encore sur les joues de sa colocataire.
Il était le plus heureux des hommes. Elle était la plus coupable des femmes.
alors là je dis ces deux phrases m'ont coupé le souffle, elles sont simples, mais placé comme il faut, c'est...wouha, tout simplement...
Jenny dit:
Coupable de quoi
Ca ça ne s'explique pas je crois...c'est vrai que sur le fond elle n'a pas à s'en vouloir, mais...enfin c'est comme ça quoi quelle explication n'est ce pas
Encore
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
Age : 43
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Amis-Amis (complète)
Ah yé!!!
Je suis revenue et j'ai rattrapé tout mon retard!
Il y en avait trop pour que je m'amuse à citer tout ce que j'ai aimé. Sinon on en a pour deux heures!
C'était génial. Il se passe plein de trucs. D'abord CJ/Peter... pas besoin de dire quoi que ce soit! C'est juste trop trop trop bon! Ahhh Peterrrrr.... je sais ce que je vais commander à Nöel
Ensuite Danny qui obtient ENFIN ce qu'il voulait avec Fran (qui a mon avis n'a pas tant envie que ça d'être avec lui) et qui se fache pas bien avec son meilleur pote Cj... ah que de rebondissements.
Bravo miss! J'adore j'adore j'adore!
Je suis revenue et j'ai rattrapé tout mon retard!
Il y en avait trop pour que je m'amuse à citer tout ce que j'ai aimé. Sinon on en a pour deux heures!
C'était génial. Il se passe plein de trucs. D'abord CJ/Peter... pas besoin de dire quoi que ce soit! C'est juste trop trop trop bon! Ahhh Peterrrrr.... je sais ce que je vais commander à Nöel
Ensuite Danny qui obtient ENFIN ce qu'il voulait avec Fran (qui a mon avis n'a pas tant envie que ça d'être avec lui) et qui se fache pas bien avec son meilleur pote Cj... ah que de rebondissements.
Bravo miss! J'adore j'adore j'adore!
pativore- Président des USA
- Nombre de messages : 6876
Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
ouh quel passage !!!
s'il veur revivre un moment intense commecelui ci, va falloir activer les recherches ...
s'il veur revivre un moment intense commecelui ci, va falloir activer les recherches ...
Re: Amis-Amis (complète)
merci merci merci merci merci les filles ptdr jenny
@clara : merci beaucoup tous pleins la miss et super ton explication j'adooooore trop trop trop ta bann' s'ils sont pas mimis tous les 2 je fonds
Le séjour de Danny et Jack dans la capitale ne fut pas de tout repos. La prise de contact avec leurs homologues en Floride avait été pour la moins délicate. Et l’implication de Christian Troy dans cette affaire ne leur facilitaient pas les choses. Bien au contraire.
Comme l’avait prévu l’agent Taylor depuis le début, la disparition de Frances avait tout à voir avec les magouilles de son « fiancé ». De son côté, l’agent Malone n’avait que peu apprécié le fait qu’on cache des informations essentielles à son équipe concernant l’enquête. Comme la demande de rançon faite au docteur Troy pour libérer sa fiancée.
Mais l’heure n’était plus aux reproches. La transaction allait s’effectuer d’une minute à l’autre. En pleine nuit. A la clinique McNamara et Troy.
- c’est bon, vous avez tout compris ? Répéta Jack.
- oui, maîtresse, sourit Christian.
Sa tentative pour détendre l’atmosphère n’eut pas l’effet escompté et il fit face à la grimace de l’agent Malone. Et le pire dans tout ça, c’est qu’il était peut-être encore plus angoissé que lui. Quoique les autres pouvaient en penser, il aimait Frances, à sa manière, mais c’était de l’amour. Et l’idée de la perdre, par sa faute qui plus est, lui était tout bonnement insupportable.
Le ravisseur de la jeune femme demandait un million pour quitter le pays et Troy n’avait pas hésité une seconde à hypothéquer ses parts de la clinique. L’argent pouvait être important en fin de compte, quand il servait à sauver des vies. Et surtout celle de l’être aimé.
- c’est quoi ces conneries ?
- fermez-la et mettez-le !
Danny tendit un micro au chirurgien plasticien qui ne bougeait pas d'un pouce.
- hors de question.
- allez-y !
Il haussa la voix et Troy prit en main l’objet en question avant de le laisser tomber au sol et de l’écraser d’un coup de pied ferme, ce qui manqua de casser les tympans de Jack et Danny.
- espèce de fumier !
L’agent Taylor agrippa le cou du chirurgien, en serrant de plus en plus fort.
- LÂCHE-LE !
Jack intervint avec succès pour séparer les deux hommes. Danny fusillait toujours du regard son adversaire.
- nan, mais t’as vu ce qu’il a fait ?
- c’est pas grave. Monsieur veut jouer les héros. Alors on se passera de micros.
Jack pointa un doigt menaçant envers Troy.
- mais que ce soit bien clair entre nous. S’il arrive quelque chose à mademoiselle Morales, je vous en tiendrai personnellement responsable … docteur.
Son ton se voulait moqueur. Christian ne broncha pas. Il toisait l’agent du FBI du regard. En silence. Il prit finalement le chemin de son bureau sans ajouter un seul mot.
Il attendait nerveusement maintenant la venue du ravisseur.
- Christian !
La voix apeurée de Frances se fit entendre dans la pièce. Le ravisseur la tenait en joug. Son fiancé se leva immédiatement de son siège afin de la rassurer de vive voix.
- du calme, bébé. Du calme. Il ne te fera rien, n'est-ce pas ?
- j’espère que t’es seul, mister Botox.
- tu peux toujours venir vérifier.
Le regard provocateur et le sourire aux lèvres, Christian ouvrit un bouton de son pantalon.
- t’as le fric ?
- lâche-la d’abord.
- mais c’est qu’il en a le doc’. Tu sais que si je veux, je vous tue tous les deux. Tu auras la gloire dont tu as toujours rêvé. Sauf qu’au lieu des pages people, tu seras dans les avis mortuaires.
- tant que Sean me choisit une belle photo. En plus, ça rend mieux en noir et blanc.
- la ferme ! Donne-moi ce putain de blé ou je la descends !
Il braqua Frances en pointant cette fois son arme sur sa tempe. La jeune femme déglutit difficilement. Ses jambes tremblaient de plus belle.
- LE BLÉ DUCON ! Cria le ravisseur.
Pris de panique, Christian déposa la valise ouverte et remplie de billets verts sur son bureau.
- y a le compte, j’espère.
- t’as ce que tu voulais, non ? Alors tire-toi !
Le regard du chirurgien se voulait noir mais le ravisseur refusait d’obtempérer.
- dis au revoir à ton fiancé, chérie.
Frances se mit à pleurer. Sa dernière heure avait sonné.
- FBI ! Cria Danny.
Sans se poser de questions, il défonça la porte et abattit le ravisseur d’une balle en plein coeur. Au bord de la crise de nerfs, Frances poussa un hurlement strident et courut immédiatement se réfugier dans les bras de Christian. Danny ne put s’empêcher d’en ressentir une pointe de jalousie alors que la situation ne s’y prêtait guère. Il s’agenouilla ensuite au niveau du cou du ravisseur afin de sentir son pouls.
- il est mort.
Jack hocha la tête avant de lui adresser un regard satisfait. Il avait parfaitement su gérer les choses alors qu’il était personnellement impliqué dans cette affaire.
- ça va ?
- mmmh.
Danny avait l’air ailleurs. Son regard restait figé sur Fran et Christian.
- tu ne vas pas la voir ? Lui demanda Jack, curieux.
- après. Je ne crois pas que …
- excuse-moi.
La sonnerie du téléphone portable de l’agent Malone retentit dans le bureau de Troy. Ce dernier s’éloigna quelque peu afin de répondre à cet appel.
- … ce soit le bon moment, chuchota Danny, comme s’il se parlait à lui-même.
Encore sous le choc des événements, Frances pleurait toutes les larmes de son corps dans les bras de Christian, qui la berçait et lui caressait délicatement les cheveux du bout des doigts pour la calmer. Cette vision du « couple » donnait des nausées à Danny. Les voir si tendres l’un envers l’autre le mettait carrément hors de lui. Il inspira profondément afin de chasser toutes ces mauvaises pensées de son esprit lorsque Jack vint le rejoindre.
- tu sais, je me disais que maintenant que cette affaire est finie, on pourrait en profiter quelques jours pour bronzer sur les plages, qu’est-ce que t’en dis ? J’ai prévu la chaise longue !
Le sourire qu’affichait Danny jusque-là disparut aussitôt à la vue de la mine grave et assombrie de son patron.
- qu’est-ce qui se passe ?
- je rentre en urgence. Mais tu peux toujours rester si tu veux.
- pourquoi ? C’était qui ?
- Vivian.
A l’annonce de la triste nouvelle, Danny déglutit difficilement. C’était une rude épreuve pour toute l’équipe et ils devraient la traverser tous ensemble. Etre unis. Plus que jamais.
Sa décision fut vite prise.
- je viens aussi.
- bien. Allons-y.
- et pour eux ?
Il pointa du doigt Christian et Frances. Toujours dans les bras l’un de l’autre, ils semblaient seuls au monde.
- appelle la police, qu’ils se chargent de tout.
Ni une, ni deux, Danny décrocha son téléphone tout en suivant son patron sur le parking. Il regrettait déjà d’avoir laissé Frances dans les bras de ce type mais il reviendrait bientôt et s’occuperait d’elle. Il s’en faisait la promesse.
vi maisjenny a écrit:Troy n'est qu'un porc alors pas la peine de culpabiliser
@clara : merci beaucoup tous pleins la miss et super ton explication j'adooooore trop trop trop ta bann' s'ils sont pas mimis tous les 2 je fonds
Le séjour de Danny et Jack dans la capitale ne fut pas de tout repos. La prise de contact avec leurs homologues en Floride avait été pour la moins délicate. Et l’implication de Christian Troy dans cette affaire ne leur facilitaient pas les choses. Bien au contraire.
Comme l’avait prévu l’agent Taylor depuis le début, la disparition de Frances avait tout à voir avec les magouilles de son « fiancé ». De son côté, l’agent Malone n’avait que peu apprécié le fait qu’on cache des informations essentielles à son équipe concernant l’enquête. Comme la demande de rançon faite au docteur Troy pour libérer sa fiancée.
Mais l’heure n’était plus aux reproches. La transaction allait s’effectuer d’une minute à l’autre. En pleine nuit. A la clinique McNamara et Troy.
- c’est bon, vous avez tout compris ? Répéta Jack.
- oui, maîtresse, sourit Christian.
Sa tentative pour détendre l’atmosphère n’eut pas l’effet escompté et il fit face à la grimace de l’agent Malone. Et le pire dans tout ça, c’est qu’il était peut-être encore plus angoissé que lui. Quoique les autres pouvaient en penser, il aimait Frances, à sa manière, mais c’était de l’amour. Et l’idée de la perdre, par sa faute qui plus est, lui était tout bonnement insupportable.
Le ravisseur de la jeune femme demandait un million pour quitter le pays et Troy n’avait pas hésité une seconde à hypothéquer ses parts de la clinique. L’argent pouvait être important en fin de compte, quand il servait à sauver des vies. Et surtout celle de l’être aimé.
- c’est quoi ces conneries ?
- fermez-la et mettez-le !
Danny tendit un micro au chirurgien plasticien qui ne bougeait pas d'un pouce.
- hors de question.
- allez-y !
Il haussa la voix et Troy prit en main l’objet en question avant de le laisser tomber au sol et de l’écraser d’un coup de pied ferme, ce qui manqua de casser les tympans de Jack et Danny.
- espèce de fumier !
L’agent Taylor agrippa le cou du chirurgien, en serrant de plus en plus fort.
- LÂCHE-LE !
Jack intervint avec succès pour séparer les deux hommes. Danny fusillait toujours du regard son adversaire.
- nan, mais t’as vu ce qu’il a fait ?
- c’est pas grave. Monsieur veut jouer les héros. Alors on se passera de micros.
Jack pointa un doigt menaçant envers Troy.
- mais que ce soit bien clair entre nous. S’il arrive quelque chose à mademoiselle Morales, je vous en tiendrai personnellement responsable … docteur.
Son ton se voulait moqueur. Christian ne broncha pas. Il toisait l’agent du FBI du regard. En silence. Il prit finalement le chemin de son bureau sans ajouter un seul mot.
Il attendait nerveusement maintenant la venue du ravisseur.
- Christian !
La voix apeurée de Frances se fit entendre dans la pièce. Le ravisseur la tenait en joug. Son fiancé se leva immédiatement de son siège afin de la rassurer de vive voix.
- du calme, bébé. Du calme. Il ne te fera rien, n'est-ce pas ?
- j’espère que t’es seul, mister Botox.
- tu peux toujours venir vérifier.
Le regard provocateur et le sourire aux lèvres, Christian ouvrit un bouton de son pantalon.
- t’as le fric ?
- lâche-la d’abord.
- mais c’est qu’il en a le doc’. Tu sais que si je veux, je vous tue tous les deux. Tu auras la gloire dont tu as toujours rêvé. Sauf qu’au lieu des pages people, tu seras dans les avis mortuaires.
- tant que Sean me choisit une belle photo. En plus, ça rend mieux en noir et blanc.
- la ferme ! Donne-moi ce putain de blé ou je la descends !
Il braqua Frances en pointant cette fois son arme sur sa tempe. La jeune femme déglutit difficilement. Ses jambes tremblaient de plus belle.
- LE BLÉ DUCON ! Cria le ravisseur.
Pris de panique, Christian déposa la valise ouverte et remplie de billets verts sur son bureau.
- y a le compte, j’espère.
- t’as ce que tu voulais, non ? Alors tire-toi !
Le regard du chirurgien se voulait noir mais le ravisseur refusait d’obtempérer.
- dis au revoir à ton fiancé, chérie.
Frances se mit à pleurer. Sa dernière heure avait sonné.
- FBI ! Cria Danny.
Sans se poser de questions, il défonça la porte et abattit le ravisseur d’une balle en plein coeur. Au bord de la crise de nerfs, Frances poussa un hurlement strident et courut immédiatement se réfugier dans les bras de Christian. Danny ne put s’empêcher d’en ressentir une pointe de jalousie alors que la situation ne s’y prêtait guère. Il s’agenouilla ensuite au niveau du cou du ravisseur afin de sentir son pouls.
- il est mort.
Jack hocha la tête avant de lui adresser un regard satisfait. Il avait parfaitement su gérer les choses alors qu’il était personnellement impliqué dans cette affaire.
- ça va ?
- mmmh.
Danny avait l’air ailleurs. Son regard restait figé sur Fran et Christian.
- tu ne vas pas la voir ? Lui demanda Jack, curieux.
- après. Je ne crois pas que …
- excuse-moi.
La sonnerie du téléphone portable de l’agent Malone retentit dans le bureau de Troy. Ce dernier s’éloigna quelque peu afin de répondre à cet appel.
- … ce soit le bon moment, chuchota Danny, comme s’il se parlait à lui-même.
Encore sous le choc des événements, Frances pleurait toutes les larmes de son corps dans les bras de Christian, qui la berçait et lui caressait délicatement les cheveux du bout des doigts pour la calmer. Cette vision du « couple » donnait des nausées à Danny. Les voir si tendres l’un envers l’autre le mettait carrément hors de lui. Il inspira profondément afin de chasser toutes ces mauvaises pensées de son esprit lorsque Jack vint le rejoindre.
- tu sais, je me disais que maintenant que cette affaire est finie, on pourrait en profiter quelques jours pour bronzer sur les plages, qu’est-ce que t’en dis ? J’ai prévu la chaise longue !
Le sourire qu’affichait Danny jusque-là disparut aussitôt à la vue de la mine grave et assombrie de son patron.
- qu’est-ce qui se passe ?
- je rentre en urgence. Mais tu peux toujours rester si tu veux.
- pourquoi ? C’était qui ?
- Vivian.
A l’annonce de la triste nouvelle, Danny déglutit difficilement. C’était une rude épreuve pour toute l’équipe et ils devraient la traverser tous ensemble. Etre unis. Plus que jamais.
Sa décision fut vite prise.
- je viens aussi.
- bien. Allons-y.
- et pour eux ?
Il pointa du doigt Christian et Frances. Toujours dans les bras l’un de l’autre, ils semblaient seuls au monde.
- appelle la police, qu’ils se chargent de tout.
Ni une, ni deux, Danny décrocha son téléphone tout en suivant son patron sur le parking. Il regrettait déjà d’avoir laissé Frances dans les bras de ce type mais il reviendrait bientôt et s’occuperait d’elle. Il s’en faisait la promesse.
tweetie- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
que dire d'autres que cetet suite était géante !!! je vois que Troy est toujours aussi prétentieux et nazbroque !!! bon il a été cherché sa belle mais là je crois que y a une fille encore plus nulle .... franchement ils vons superbement bien ensemble...proftes des autres et ensuite les laisses tomber comme de vieilles chaussettes !!!
Mon pauvre Danny chou, même pas un regard pour toi !!
il a bien raison de retourner voir Viviane, ce sera toujours plus interressant que de rester avec cette Francès...pas belle ... et puis là bas y a CJ qui sait ????
Mon pauvre Danny chou, même pas un regard pour toi !!
qu’est-ce qui se passe ?
- je rentre en urgence. Mais tu peux toujours rester si tu veux.
- pourquoi ? C’était qui ?
- Vivian.
il a bien raison de retourner voir Viviane, ce sera toujours plus interressant que de rester avec cette Francès...pas belle ... et puis là bas y a CJ qui sait ????
Re: Amis-Amis (complète)
Roooo, quelle suite encore une fois, y'avait de l'actuion là , j'étais à fond dedans
Bon Troy un brin beau parleur et prétencieux, mais bon c'est Troy non?
Par contrre Frances, ne pas se jetter dans les bras de Danny ouch, ouch, ouch ça fait mal ça
Mais ça se comprend....enfin c'est pas son fiancé officiel, enfin je veux dire que dans ces momùents là, c'est plus l'instinct qui parle ...enfin...bon je vais arrèter définitivement les explications ...
My god VIVI , au début j'ai cru qu'il était arrivé quelquechose à CJ , mais c'est pas mieux...pauvre Viviane
Encore
Ps: merci, contente que ma ban' te plaise
Bon Troy un brin beau parleur et prétencieux, mais bon c'est Troy non?
Par contrre Frances, ne pas se jetter dans les bras de Danny ouch, ouch, ouch ça fait mal ça
Mais ça se comprend....enfin c'est pas son fiancé officiel, enfin je veux dire que dans ces momùents là, c'est plus l'instinct qui parle ...enfin...bon je vais arrèter définitivement les explications ...
qu’est-ce qui se passe ?
- je rentre en urgence. Mais tu peux toujours rester si tu veux.
- pourquoi ? C’était qui ?
- Vivian.
My god VIVI , au début j'ai cru qu'il était arrivé quelquechose à CJ , mais c'est pas mieux...pauvre Viviane
Encore
Ps: merci, contente que ma ban' te plaise
clara- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
suite d'enfer mais si j'ai envie de frapper Frances, tellement elle
elle se fait traiter comme de la m.... et elle en redemande
et puis Vivi
tu vois bien qu'il nous faut la suite
elle se fait traiter comme de la m.... et elle en redemande
et puis Vivi
tu vois bien qu'il nous faut la suite
Théana- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
mais nan pourquoi ? Ze les aime bien moiclara a écrit:bon je vais arrèter définitivement les explications
sur ce, voilà la réponse :
I wanna make you smile whenever you're sad
Carry you around when your arthritis is bad
All I wanna do is grow old with you
I'll get your medicine when your tummy aches
Build you a fire if the furnace breaks
Oh it could be so nice, growing old with you
I'll miss you, kiss you
Give you my coat when you are cold
Need you, feed you
Even let you hold the remote control
CJ ne pouvait s’empêcher de sourire bêtement et d’être émue devant une des dernières scènes du film « Demain, on se marie.» La tête nichée dans le cou de Peter, elle se colla encore plus tout contre lui et posa sa main sur ses abdominaux.
So let me do the dishes in our kitchen sink
Put you to bed if you've had too much to drink
I could be the man who grows old with you
I wanna grow old with you
- c’est trop beau. Pourquoi tu me chantes jamais de chanson à moi ?
- je ne suis pas chanteur … trésor. Et puis, la guitare et moi, ça fait deux.
- et alors ? Adam Sandler, non plus, n’est pas chanteur et t’as vu la voix qu’il a ?
Peter secoua la tête, faussement agacé.
- t’as vu la vois qu’il a ? L’imita-t-il, en prenant une voix plus aiguë.
- mais … arrête heu !
Elle lui donna une petite tape sur l’épaule, ce qui le fit sourire de plus belle.
- j’adore cet acteur. J’ai vu tous ses films sauf « self-Control » avec Jack Nicholson. Mon cousin me l’a gravé mais je ne l’ai toujours pas regardé.
- et tu dis ça à un agent du FBI ?
- t’es pas flic à ce que je sache, nan ?
Il lui vola un rapide baiser en guise de réponse et en profita pour s’emparer de la télécommande qu’elle gardait toujours dans la main. Il commença à zapper sur toutes les chaînes.
- stop ! Ne touche plus à rien ! J’adore cette chanson !
Il laissa le clip en question passer sur la chaîne musicale et la jeune technicienne claqua immédiatement des doigts en rythme et se remua sur le divan aux premières notes de musique qui retentissaient dans son salon. Elle serra fort dans ses bras ensuite, le coussin qui se trouvait juste à sa gauche, sur son canapé et commença à chanter en play-back sur le refrain de la chanson. Les yeux fermés, elle se croyait en plein concert.
Do I ever cross your mind … anytime
Do you ever wake up reaching out for me
Do I ever cross your mind … anytime
I miss you
- j’adore la voix de ce type. J’en suis toute émoustillée.
- sympa pour moi, dit Peter, faussement jaloux.
- oh mais faut pas le prendre comme ça … trésor.
Elle posa une main sur son avant-bras avant de lui soulever le menton. Elle jouait maintenant avec le peu de cheveux situé derrière sa nuque.
- et puis, c’est pas pareil. Toi, je t’aime.
Elle avait dit cela le plus naturellement du monde, sans penser à mal. Mais la réaction de son compagnon la surprit. Il avait l’air gêné.
- je … heu … merci.
- merci ? S’étonna-t-elle.
- merci beaucoup.
Elle fronça les sourcils. Niveau goujaterie, ce type atteignait des sommets.
- oh mais je t’en prie ! Y a pas de mal ! Tu me connais, moi et ma générosité légendaire !
Elle se leva du canapé, furieuse. Il en fit de même.
- CJ, arrête. Ne le prends pas comme ça.
Ils «discutaient » maintenant face à face. CJ avait mis les bras en croix.
- et comment je devrais le prendre, hein ?
Il la toisa du regard. Il ne savait plus quoi dire. Il se passa nerveusement la main sur le visage. Il était coincé.
- je t’avoue mes sentiments et toi, qu’est-ce que tu dis ? MERCI ! Tu parles d’une claque en pleine figure ! Et si tu veux savoir, des merci, j’en ai plein les poches !
- je suis désolé.
- perdu ! C’est pas ce que j’avais envie d’entendre ! Ironisa-t-elle.
- je sais.
- alors pourquoi tu ne fais rien pour y remédier ? A part me faire quelques compliments par ci-par là, me dire que tu te sens bien avec moi, que tu trouves qu’on passe de bons moments ensemble, tu ne dis jamais ce que tu ressens vraiment.
- j’ai une fille, CJ. Je ne peux pas me permettre de m’engager à la légère.
- rassure-toi, le fait que tu me dises que tu tiens à moi, ne veut pas dire que demain je serai la belle-mère de Pauleen !
- non, bien sûr que non.
- bien ! On est d’accord ! Alors c’est quoi le problème ?
- mais il n’y a pas de problème.
- ok. Dans ce cas, emménage ici !
- quoi ?
Elle n’apprécia guère le ton moqueur de sa question.
- viens t’installer ici. De toute façon, tu restes quand même dormir presque toutes les nuits.
- …
- alors ? Qu’est-ce que tu en dis ?
- tu n’es pas sérieuse, là ?
CJ laissa s’échapper un soupir de frustration. C’était lui, l’homme de sa vie. Elle en était certaine. Peter n’était pas le meilleur choix. C’était le bon. Tout simplement. Elle n’en pouvait plus de cette situation de repli. De cette relation pleine de non-dits. Elle voulait être honnête avec lui. Elle avait tellement envie que ça devienne sérieux entre eux.
- je veux vivre avec toi, Peter. Plus que tout.
- …
- et toi ?
Il la toisa du regard, d’un air plutôt embarrassé.
- c’est non, c’est ça ?
- je suis désolé.
- pourquoi ?
- pour plein de raisons.
- merci, ça fait plaisir !
- excuse-moi, ce n’est pas ce que je voulais dire. Je ne suis pas prêt, c’est tout. Et puis, il y a Pauleen.
- les prochaines vacances scolaires sont dans quatre semaines. D’ici là, on aura eu tout le temps de lui faire la réplique exacte de la chambre 100% Titi qu’elle a chez toi, sourit-elle fièrement.
- il me faut plus de temps. Et puis, la mère de Pauleen ne vit avec personne.
La jeune technicienne fronça les sourcils à l’évocation de cette dernière. Visiblement, le passé de Peter se mettrait toujours entre eux.
- ma fille ne comprendrait pas que j’emménage avec quelqu’un qui ne soit pas sa mère.
- alors, c’est ça ? C’est à cause d’elle, n’est-ce pas ?
- oui, c’est …
Le visage de CJ se rembrunit aussitôt après sa réponse.
- non, non, non ! Je parlais de Pauleen, pas de Sonya !
- peu importe. Tu les aimes autant l’une que l’autre. Et non, ne dis surtout pas le contraire !
- j’aime Pauleen plus que tout, c’est vrai. Mais je n’ai que de la tendresse pour Sonya. C’est normal, elle reste la mère de ma petite fille.
- elle est beaucoup plus que ça et tu le sais très bien.
- tu te trompes, je te dis.
- je ne pense pas. Je croyais que ça pouvait marcher. Que ton passé ne reviendrait pas nous hanter. Mais encore une fois, je me suis trompée.
- mais qu’est-ce que tu racontes ? Je te demande seulement un peu de temps, CJ. C’est tout.
- ne te cherche pas d’excuse. Tu ne me veux pas maintenant dans ta vie et tu ne me voudras pas plus dans six semaines, six mois ou six ans. C’est pas moi que tu veux.
- si c’est vraiment ce que tu crois, pourquoi continuer à se battre alors ?
- tu as raison. Ça ne sert à rien.
- tu ne le penses pas vraiment. J’ai envie que ça marche, CJ. Toi et moi. Alors je t’en prie, sois patiente. Laisse-moi un peu de temps.
- si tu veux mon avis, on en a déjà assez perdu comme ça. Toi et moi.
- CJ, soupira-t-il.
- tu ferais mieux d’y aller.
- attends.
Il s’avança de quelques pas mais elle repoussa aussitôt le bras qu’il lui tendait.
- alors, c’est fini. C’est ça ?
Sa voix était tremblante. Il sentait l'émotion le gagner petit à petit.
De son côté, CJ fit la sourde oreille et se contenta d’aller chercher le casque du jeune agent sur la table de la cuisine. Lorsqu’elle revint, il l’attendait devant la porte.
- tiens.
- merci.
- sois prudent.
Il hocha vaguement la tête. Elle se mordilla la lèvre, attendant impatiemment qu’il franchisse la porte pour pouvoir craquer. Ses yeux la piquaient. Elle avait la gorge nouée. Elle souffla un bon coup pour se donner un peu de contenance.
Peter mit son casque sur la tête et elle éprouva immédiatement un sentiment de soulagement lorsque sa main attrapa la clenche. Il ouvrit la porte calmement et se retourna vers elle.
- c’est toi que je veux, CJ.
- …
Elle le toisa du regard. Il semblait sincère.
- j’espère que tu me crois. Il faut que tu me crois.
- à demain, Peter.
Le ton de sa voix était ferme. Il vit la porte de l’appartement de la jeune technicienne se refermer devant lui. Exaspéré, il sentit un sentiment d’injustice et de profonde frustration s’emparer de lui.
Une fois sur la route, il accéléra de plus en plus. Il ne se contrôlait plus. La colère l’avait envahie et il ne se rendait même plus compte qu’il ne respectait plus les limitations de vitesse en vigueur. C’est ainsi qu’il ne vit pas la voiture arriver à sa droite. Cette dernière percuta sa moto de plein fouet.
Le choc fut très violent.
NB : désolée, si la tournure de ma phrase vous a induite en erreur , je voulais seulement dire que c'est Vivian que Jack a eu au bout du fil .
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Re: Amis-Amis (complète)
Mais c'est quoi cette suite, mon dieu, mon dieu, non pas ça....
je … heu … merci.
- merci ? S’étonna-t-elle.
AIE, c'est vrai que ça ça fait mal...
les prochaines vacances scolaires sont dans quatre semaines. D’ici là, on aura eu tout le temps de lui faire la réplique exacte de la chambre 100% Titi qu’elle a chez toi, sourit-elle fièrement.
J'veux la même chambre
ne te cherche pas d’excuse. Tu ne me veux pas maintenant dans ta vie et tu ne me voudras pas plus dans six semaines, six mois ou six ans. C’est pas moi que tu veux.
bien lancé et je suis sûre qu'elle a raison, de toute façon c'est bien tous les mêmes
C’est ainsi qu’il ne vit pas la voiture arriver à sa droite. Cette dernière percuta sa moto de plein fouet.
Le choc fut très violent.
ET PAF, il ne méritait tout de même pas ça
clara- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Tout pareil!!!
Sadik!!!!!!!!!!!!
Sadik!!!!!!!!!!!!
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Re: Amis-Amis (complète)
TOUT PAREIL QUE CLARA
avec en prime le fait que tu arrives vraiment à nous faire passer par tous les sentiments à chaque suite
je t'ai déjà dit que je kiffais grave ta fic ?????
avec en prime le fait que tu arrives vraiment à nous faire passer par tous les sentiments à chaque suite
je t'ai déjà dit que je kiffais grave ta fic ?????
Théana- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
C'est vrai qu'on passe du à la ou bien à la
Frances dans les bras de Troy après ce qu'il lui a fait , elle est pas nette cette fille et puis après CJ et Peter avec à la fin un gros , un énorme
Frances dans les bras de Troy après ce qu'il lui a fait , elle est pas nette cette fille et puis après CJ et Peter avec à la fin un gros , un énorme
milaya- Enquêtes internes
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Re: Amis-Amis (complète)
Pfffffffffffff !!!!
Là, si Pati lis ça tu vas te faire trucider ma p'tite !
Bon ok Frances repart avec Troy et laisse un Danny plein de haine et de...enfin plein de trus quoi !
Raaa les répliques du monsieur sont devenues cultes pour moi, j'adore !
Et puis cette autre suite avec Peter et CJ...c'était mimi, ça commencait bien
Par contre, c'est jamais simple de sortir avec un mec divorcé et papa de surcroit !
Et franchement, il assure pas là, elle lui déballe carrément qu'elle veut vivre avec lui et lui non !
Et puis cette séparation ... à ça tu ajoutes l'accident....
Sadiqueeeee !!! Mais là elle va se rendre compte qu'il l'aimeet va accepte...si il survit !
Là, si Pati lis ça tu vas te faire trucider ma p'tite !
Bon ok Frances repart avec Troy et laisse un Danny plein de haine et de...enfin plein de trus quoi !
Raaa les répliques du monsieur sont devenues cultes pour moi, j'adore !
Et puis cette autre suite avec Peter et CJ...c'était mimi, ça commencait bien
Traduire par Tweetie à le dvd que son cousin lui a gravé ! C'est ça j'ai bon ?- j’adore cet acteur. J’ai vu tous ses films sauf « self-Control » avec Jack Nicholson. Mon cousin me l’a gravé mais je ne l’ai toujours pas regardé.
Par contre, c'est jamais simple de sortir avec un mec divorcé et papa de surcroit !
Et franchement, il assure pas là, elle lui déballe carrément qu'elle veut vivre avec lui et lui non !
- pourquoi ?
- pour plein de raisons.
- merci, ça fait plaisir !
Et puis cette séparation ... à ça tu ajoutes l'accident....
Sadiqueeeee !!! Mais là elle va se rendre compte qu'il l'aimeet va accepte...si il survit !
Re: Amis-Amis (complète)
Jenny a écrit:Pfffffffffffff !!!!
Là, si Pati lis ça tu vas te faire trucider ma p'tite !
OH ET PAS QU'UN PEU, TIENS!!!!!
Non mais c'est quoi ce BORDEL!!!!!! Pourquoi tu as fais ça??? Tweetie??? Tu es malade? Tu t'es pris un coup sur la tête??? Tu es une sadique en puissance???
Bon le passage avec Frances, ils l'ont récupéré sain et sauve, cool... mais j'avoue je m'en fou un peu et comme ça Danny ouvrira un peu les yeux! Elle est pas pour lui, point barre quoi!!!!
Mais ce dernier passage là, je m'en remets pas...
D'abord je voulais encore faire une vieille blague à cause de ça:
parce que y'a pas un passage où tu ne parles pas de se "physionomie"!posa sa main sur ses abdominaux.
Mais là, je peux plus! Elle nous pète un plomb la CJ ou quoi????
Ils sont pas ensemble depuis si longtemps que ça, si??? Bon, alors elle pouvait patienter un peu... parce que le coup de lui demander d'emménager, pour faire fuire un mec y'a pas mieux!
Non, mais sérieusement je suis énervée là! Comment t'as pu les séparer comme ça et laisser partir Peter comme ça??? Il avait l'air tout bouleversifié le choupinet... T'es qu'une grosse sadique, Hein??? C'est pour trouver une excuse pour rapprocher CJ/Danny???
Pffff je t'aime plus! Ca y'est c'est définitif! Et je te racontes même pas ce que ça va donner si tu le tues...
pativore- Président des USA
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Re: Amis-Amis (complète)
Qu'est-ce que je disais !
Pati...rapelles-toi...Isa...Danny...le taxIIIIIII !
Vengeance !!!
Pati...rapelles-toi...Isa...Danny...le taxIIIIIII !
Vengeance !!!
Re: Amis-Amis (complète)
c pas une vengeance, c t prévu depuis le début
- des nouvelles ? Demanda Jack, angoissé.
Il venait de débarquer à l’hôpital en compagnie de Danny. A peine descendus de leur hélicoptère, ils avaient tous les deux pris la direction de la Pitié.
- non. Il est toujours en salle d’opération, répondit Vivian, anxieuse.
On pouvait ressentir toute l’inquiétude dans le ton de sa voix.
- ce n’est pas forcément mauvais signe. Je suis resté des heures en chirurgie et je m’en suis finalement sorti, affirma Martin.
Depuis la nouvelle de l’arrivée prochaine de son bébé, il faisait preuve d’un optimisme sans faille. De son côté, Danny balayait toujours les lieux du regard, sans rien dire.
- où est-elle ?
- aller prendre l’air.
Vivian fut la plus prompte à lui répondre même s’ils avaient tous compris de qui il était question.
- essaie la cafétéria, sourit Martin.
Sur les conseils de son ami, Danny prit le couloir de droite et marcha dans la longue allée. Presque toutes les portes étaient ouvertes et il pouvait ainsi voir toute la détresse des malades dans leurs yeux. Il détourna la tête, ému par leur souffrance et pénétra dans la cafétéria.
Personne. Certaines tables étaient occupées mais il ne voyait toujours aucune CJ à l’horizon. Il prit alors l’initiative de remonter à l’étage et regagna l’ascenseur le plus proche jusqu’à ce qu’il tourne la tête de côté et aperçoive une silhouette de dos, sur le petit balcon à sa droite.
Appuyée sur la rambarde et le regard perdu dans le vide, elle semblait totalement absente. Il s’approcha à pas de loups et vint se poster sagement à ses côtés, les coudes aussi appuyés sur la rambarde. Il la toisa du regard un long moment mais elle ne tourna pas la tête, comme si elle avait senti que c’était lui. Ça ne pouvait être que lui.
Le silence s’installa alors. Ils avaient tous les deux le regard perdu vers l’horizon. Il savait qu’elle n’avait pas envie d’en parler et lui, contrairement aux autres, la connaissait assez bien pour ne pas lui en demander plus.
Au bout de quelques minutes, le vent commençait à être frais. Il la vit emmitoufler ses mains dans les manches de son pull fin. Elle tremblait. Sans plus tarder, il enleva son manteau, se posta juste derrière elle et la couvrit avec, en le posant sur ses frêles épaules. Il lui frotta un peu le long des bras avec ses deux mains pour la réchauffer. Ce simple geste la fit craquer. C’était celui de trop. Elle s’effondra en pleurs, toujours dos à lui, en essayant tant bien que mal de les étouffer, en mettant ses deux mains devant sa bouche. Danny la serra fort tout contre lui et l’entoura de ses bras.
- shhhhh. Je suis là.
Il la berçait maintenant délicatement et en déposant de temps à autre, de tendres et chastes baisers sur ses cheveux. Elle commençait à se calmer petit à petit et à retrouver une respiration normale. Elle prit une profonde inspiration et se mit à souffler.
Les mains de Danny encerclaient toujours sa taille pendant que CJ laissait reposer maintenant sa tête sur le torse du jeune homme. Leurs yeux étaient à nouveaux rivés vers l’horizon. Elle sentait le menton du jeune agent frôler sa tête.
- j’ai peur, chuchota-t-elle, la voix tremblante.
- je sais, ma puce. Je sais.
Il fut surpris en entendant le petit rire nerveux qu’elle avait laissé s’échapper. Elle s’expliqua sans qu’il ne demande quoique ce soit.
- ça m’avait manqué.
- quoi ?
- ça … toi.
- moi aussi.
Sa confidence lui fit un bien fou.
I could hold you in my arms
I could hold you forever
And I could hold you in my arms
I could hold on forever
Décidément, cela ferait toujours partie de ces moments ironiques de la vie. Comme un décès qui rassemble les membres d’une même famille, il aura fallu un tel drame pour réunir à nouveau ces deux amis.
héhéhé même po peur d'ailleurs, pour ton bien , je te conseillerai d'arrêter la lecture ici parce que la suite ne va pas te plaire mais alors pas du toutpativore a écrit:Et je te raconte même pas ce que ça va donner si tu le tues...
- des nouvelles ? Demanda Jack, angoissé.
Il venait de débarquer à l’hôpital en compagnie de Danny. A peine descendus de leur hélicoptère, ils avaient tous les deux pris la direction de la Pitié.
- non. Il est toujours en salle d’opération, répondit Vivian, anxieuse.
On pouvait ressentir toute l’inquiétude dans le ton de sa voix.
- ce n’est pas forcément mauvais signe. Je suis resté des heures en chirurgie et je m’en suis finalement sorti, affirma Martin.
Depuis la nouvelle de l’arrivée prochaine de son bébé, il faisait preuve d’un optimisme sans faille. De son côté, Danny balayait toujours les lieux du regard, sans rien dire.
- où est-elle ?
- aller prendre l’air.
Vivian fut la plus prompte à lui répondre même s’ils avaient tous compris de qui il était question.
- essaie la cafétéria, sourit Martin.
Sur les conseils de son ami, Danny prit le couloir de droite et marcha dans la longue allée. Presque toutes les portes étaient ouvertes et il pouvait ainsi voir toute la détresse des malades dans leurs yeux. Il détourna la tête, ému par leur souffrance et pénétra dans la cafétéria.
Personne. Certaines tables étaient occupées mais il ne voyait toujours aucune CJ à l’horizon. Il prit alors l’initiative de remonter à l’étage et regagna l’ascenseur le plus proche jusqu’à ce qu’il tourne la tête de côté et aperçoive une silhouette de dos, sur le petit balcon à sa droite.
Appuyée sur la rambarde et le regard perdu dans le vide, elle semblait totalement absente. Il s’approcha à pas de loups et vint se poster sagement à ses côtés, les coudes aussi appuyés sur la rambarde. Il la toisa du regard un long moment mais elle ne tourna pas la tête, comme si elle avait senti que c’était lui. Ça ne pouvait être que lui.
Le silence s’installa alors. Ils avaient tous les deux le regard perdu vers l’horizon. Il savait qu’elle n’avait pas envie d’en parler et lui, contrairement aux autres, la connaissait assez bien pour ne pas lui en demander plus.
Au bout de quelques minutes, le vent commençait à être frais. Il la vit emmitoufler ses mains dans les manches de son pull fin. Elle tremblait. Sans plus tarder, il enleva son manteau, se posta juste derrière elle et la couvrit avec, en le posant sur ses frêles épaules. Il lui frotta un peu le long des bras avec ses deux mains pour la réchauffer. Ce simple geste la fit craquer. C’était celui de trop. Elle s’effondra en pleurs, toujours dos à lui, en essayant tant bien que mal de les étouffer, en mettant ses deux mains devant sa bouche. Danny la serra fort tout contre lui et l’entoura de ses bras.
- shhhhh. Je suis là.
Il la berçait maintenant délicatement et en déposant de temps à autre, de tendres et chastes baisers sur ses cheveux. Elle commençait à se calmer petit à petit et à retrouver une respiration normale. Elle prit une profonde inspiration et se mit à souffler.
Les mains de Danny encerclaient toujours sa taille pendant que CJ laissait reposer maintenant sa tête sur le torse du jeune homme. Leurs yeux étaient à nouveaux rivés vers l’horizon. Elle sentait le menton du jeune agent frôler sa tête.
- j’ai peur, chuchota-t-elle, la voix tremblante.
- je sais, ma puce. Je sais.
Il fut surpris en entendant le petit rire nerveux qu’elle avait laissé s’échapper. Elle s’expliqua sans qu’il ne demande quoique ce soit.
- ça m’avait manqué.
- quoi ?
- ça … toi.
- moi aussi.
Sa confidence lui fit un bien fou.
I could hold you in my arms
I could hold you forever
And I could hold you in my arms
I could hold on forever
Décidément, cela ferait toujours partie de ces moments ironiques de la vie. Comme un décès qui rassemble les membres d’une même famille, il aura fallu un tel drame pour réunir à nouveau ces deux amis.
tweetie- Président des USA
- Nombre de messages : 7789
Date d'inscription : 04/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
Parce que tu te souviens encore de ça, Jenny???? Et moi qui pensait que depuis le temps, ça serait oublié....
Et puis pas de vengeance qui tienne! Moi je veux mon happy end avec CJ et Peter et pleins de câlins!
Alors Tweetie, tu sais ce qu'il te reste à faire!
Et puis pas de vengeance qui tienne! Moi je veux mon happy end avec CJ et Peter et pleins de câlins!
Alors Tweetie, tu sais ce qu'il te reste à faire!
pativore- Président des USA
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Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
tweetie a écrit::d'ailleurs, pour ton bien , je te conseillerai d'arrêter la lecture ici parce que la suite ne va pas te plaire mais alors pas du tout [/i]
Bah j'ai quand même lu et y'a qu'une seule chose que j'ai envie de te dire:
PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF....
Encore une raison qui fait que je viens plus beaucoup lire les fics ici! Que des sadiques!!!
Je t'aime plus du tout du tout du tout du tout! M'en vais, tiens!
pativore- Président des USA
- Nombre de messages : 6876
Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
ouais, c ça, casse-toi
mais nan, nan, reviens, je plaisante
mais nan, nan, reviens, je plaisante
tweetie- Président des USA
- Nombre de messages : 7789
Date d'inscription : 04/09/2006
Re: Amis-Amis (complète)
T'es trop vilaine pour ça!
pativore- Président des USA
- Nombre de messages : 6876
Age : 39
Localisation : Les pieds à Paris, la tête on ne sait où...
Date d'inscription : 25/09/2006
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