Sniper (PG13) (Complète)
+14
nonie1187
clairou74
Heidi
clara
Pandi
Baraboo
Sleepy Tinky
nathaloche
tre
clairounett
Mrs Fitzie
mamyita
Scully
Mouchette
18 participants
FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Les Créations des Fans :: Fanfictions :: Complètes :: Suspense
Page 1 sur 14
Page 1 sur 14 • 1, 2, 3 ... 7 ... 14
Sniper (PG13) (Complète)
J'y crois pas, je m'y remets... Bon, ça fait un moment que j'écris cette fic... Elle n'a plus rien à voir avec mon shot du même nom (à part justement le nom) .
C'est Marty tout plein, vous l'aurez deviné vous-même, mais je peux assurer les Tayloriennes qu'il y aura du Danny (le pauvre, d'ailleurs ). J'avais prévu de le mettre déjà dans le tout début, mais ça n'allait pas avec la suite (c'est dommage, d'ailleurs, j'avais soigné son portrait pour vous, j'en étais assez fière, je dois dire ), et je l'ai remplacé par Jack...
Bon, assez parloté!
********************
L’homme, couché sur le toit plat, regardait à travers le viseur de son arme. Il était concentré à sa tâche, inattentif aux petits cailloux écrasés sous son corps, mais pas à ce qui, aux alentours, aurait éventuellement pu être une mauvaise surprise pour lui. Il était le meilleur dans son domaine, c’était pourquoi son patron n’avait voulu que lui en renfort. L’homme pointait son arme en direction de la pièce où étaient réunis son patron et leur client. Pour l’instant, tout se passait bien, et il n’y avait pas de raison pour que cela se passe différemment. Mais ils ne pouvaient pas prendre le moindre risque, surtout avec un homme tel que leur client : impossible de lui faire confiance. L’homme eut un fantôme de sourire sur ses lèvres : faire confiance… Faire croire aux autres qu’on est digne de confiance… Tout un art dans leur domaine.
Les deux hommes discutaient dans le bureau, ils étaient les deux très détendus, apparemment, ils n’en étaient pas encore arrivés au sujet précis de leur rencontre. Leur client était quelqu’un qui aimait prendre son temps avec les gens qu’il estimait.
L’homme sentit le changement arriver avant même qu’il ne se produise : la porte du bureau s’ouvrit, laissant entrer la secrétaire de leur client. Elle semblait un peu nerveuse. Pourtant, elle n’était pas sensée être au courant des manœuvres en sous-main de son chef. L’homme comprit rapidement la raison de sa nervosité : deux hommes entrèrent sur ses talons. Pas de doutes à avoir, c’était des agents du FBI.
L’homme grimaça. Le FBI avait l’art d’arriver aux mauvais moments. Il regarda rapidement les réactions de son patron et de leur client. Il décela un frissonnement de surprise de la part de son chef, qui était pourtant maître dans l’art de cacher ses sentiments, émotions et réactions. Mais cela avait duré si peu de temps, et été si léger qu’il avait été le seul à le remarquer. Leur client ne cacha pas sa surprise en voyant les insignes du FBI, mais ne semblait aucunement nerveux, ni suspicieux. Apparemment, personne ne savait pourquoi ces deux agents étaient là, cela n’avait sûrement rien à voir avec leur affaire.
L’homme se concentra ensuite sur les deux agents. Il voyait bien celui qui était du côté de la fenêtre : de forte constitution, passé la quarantaine, un visage sérieux et sévère. Il ne devait pas faire bon de tenter de lui tenir tête. Il ne voyait pas bien le deuxième agent, un peu caché par son collègue. Mais quelque chose fit qu’il resta un peu plus longtemps sur lui : il y avait quelque chose en cet agent qui… L’homme ne comprenait pas, et regrettait de ne pas mieux le voir à travers le viseur de son arme. Il pouvait dire qu’il avait des cheveux courts, une prestance, un calme qui irradiait de sa personne.
L’homme se secoua. Il ne pouvait pas se permettre d’être déconcentré, il était là pour soutenir son patron en cas de coup dur. Il se reprit, raffermissant sa prise sur son arme, mais se jura de mener plus loin ces… sentiments, par rapport à cet agent.
-Monsieur Royal ? Agent Malone et voici l’agent Fitzgerald. Nous avons quelques questions à vous poser.
-Des questions ? En quoi puis-je être utile au FBI ?
-Vous connaissez cette femme ?
Jack tendit une photo à Royal.
-Mais, bien sûr, c’est Dana, la fiancée de mon frère. Il lui est arrivé quelque chose ?
Royal semblait réellement surpris et inquiet.
-Elle a disparu, répondit Martin. Votre frère pense que vous êtes impliqué dans sa disparition.
-Et pour quelle raison mon petit frère pense-t-il ça ?
-Il dit que Dana le trompait avec vous.
L’homme ne cacha pas un petit sourire amusé :
-Alors, il le savait…
-C’est donc vrai ?
-Oui, c’est vrai, Dana et moi nous amusons un peu quand il doit partir plusieurs jours pour son travail. Mais il n’y a rien de sérieux entre nous deux.
-Mais peut-être voulait-elle plus ? Et que vous n’avez pas apprécié son insistance ?
Royal fronça les sourcils, l’air sérieusement surpris qu’on puisse le croire coupable :
-Ecoutez, je n’ai rien fait à Dana. On s’amuse, c’est très clair pour les deux ; et puis, je l’aime bien, je ne pourrais jamais lui faire du mal.
-Où étiez-vous hier matin ?
-C’est hier matin qu’elle a disparu ? Et bien, je vais pouvoir prouver que je n’y suis pour rien. J’étais sur le port commercial, un de mes navires transportait une cargaison importante, et je me devais d’être là pour surveiller que tout se passe bien. Il y a des dizaines de personnes qui pourront vous le confirmer, et pas uniquement de mes employés.
-Nous vérifierons.
-Et mon cher petit frère… Est-il aussi sur la liste des suspects ? Puisqu’il sait que Dana et moi…
-On s’occupe de ça, répondit sèchement Martin.
Il n’en revenait pas : ils avaient devant eux un spécimen d’une famille vraiment formidable, où l’un trompe l’autre et où tout le monde se tire dans les pattes. Finalement, Martin et Jack se retirèrent, demandant à Royal de ne pas quitter la ville tant que son alibi n’était pas vérifié.
L’homme fixa son viseur sur les deux agents qui sortaient du bureau. A son plus grand désappointement, il ne put discerner le visage du deuxième agent, et se sentit frustré. Il avait une terrible envie de les suivre, mais il ne pouvait pas quitter son poste, ou son patron l’écorcherait vif en l’apprenant. De toute façon, ce n’était pas son genre de laisser tomber quelqu’un qui comptait sur lui. L’homme se reconcentra sur sa mission, et surveilla l’entretien que son patron et leur client avaient repris.
Avec un soupir de soulagement, l’homme roula sur le côté, et rangea son arme. Son patron avait enfin fini, il allait pouvoir passer à autre chose. A commencer par le questionner sur cet agent du FBI…
Les deux hommes se retrouvèrent au point de rendez-vous. Le patron était un peu pensif, et en voyant son employé, il comprit exactement ce qui le préoccupait. Mais il ne se laissa pas distraire par cela, il lui expliqua d’abord ce qui allait se passer dans leur affaire. L’homme l’écouta attentivement, notant tout dans sa tête, prévoyant déjà ce qu’il faudrait faire. Le chef appréciait sa capacité à mettre de côté les choses pour se concentrer sur le plus important, et à prévoir les dispositions futures. Finalement, ils parlèrent des deux agents du FBI. Le chef comprenait les sentiments de son employé, mais ce n’était vraiment pas le bon moment de faire ce qu’il avait en tête. C’était risqué de se mettre ainsi à découvert.
-Il faut vraiment que je le fasse, et je ne peux pas attendre, sinon, ça va me bouffer.
-Je comprends, et je ne t’empêcherai pas de le faire, car sinon tu n’auras pas la tête à la suite du boulot. Mais je te préviens : ne fais rien qui pourra mettre en danger notre opération, compris ?!
-Pas de soucis, chef, je sais être discret !
Un petit sourire souleva la bouche de l’homme : il partait en chasse dès à présent.
C'est Marty tout plein, vous l'aurez deviné vous-même, mais je peux assurer les Tayloriennes qu'il y aura du Danny (le pauvre, d'ailleurs ). J'avais prévu de le mettre déjà dans le tout début, mais ça n'allait pas avec la suite (c'est dommage, d'ailleurs, j'avais soigné son portrait pour vous, j'en étais assez fière, je dois dire ), et je l'ai remplacé par Jack...
Bon, assez parloté!
********************
L’homme, couché sur le toit plat, regardait à travers le viseur de son arme. Il était concentré à sa tâche, inattentif aux petits cailloux écrasés sous son corps, mais pas à ce qui, aux alentours, aurait éventuellement pu être une mauvaise surprise pour lui. Il était le meilleur dans son domaine, c’était pourquoi son patron n’avait voulu que lui en renfort. L’homme pointait son arme en direction de la pièce où étaient réunis son patron et leur client. Pour l’instant, tout se passait bien, et il n’y avait pas de raison pour que cela se passe différemment. Mais ils ne pouvaient pas prendre le moindre risque, surtout avec un homme tel que leur client : impossible de lui faire confiance. L’homme eut un fantôme de sourire sur ses lèvres : faire confiance… Faire croire aux autres qu’on est digne de confiance… Tout un art dans leur domaine.
Les deux hommes discutaient dans le bureau, ils étaient les deux très détendus, apparemment, ils n’en étaient pas encore arrivés au sujet précis de leur rencontre. Leur client était quelqu’un qui aimait prendre son temps avec les gens qu’il estimait.
L’homme sentit le changement arriver avant même qu’il ne se produise : la porte du bureau s’ouvrit, laissant entrer la secrétaire de leur client. Elle semblait un peu nerveuse. Pourtant, elle n’était pas sensée être au courant des manœuvres en sous-main de son chef. L’homme comprit rapidement la raison de sa nervosité : deux hommes entrèrent sur ses talons. Pas de doutes à avoir, c’était des agents du FBI.
L’homme grimaça. Le FBI avait l’art d’arriver aux mauvais moments. Il regarda rapidement les réactions de son patron et de leur client. Il décela un frissonnement de surprise de la part de son chef, qui était pourtant maître dans l’art de cacher ses sentiments, émotions et réactions. Mais cela avait duré si peu de temps, et été si léger qu’il avait été le seul à le remarquer. Leur client ne cacha pas sa surprise en voyant les insignes du FBI, mais ne semblait aucunement nerveux, ni suspicieux. Apparemment, personne ne savait pourquoi ces deux agents étaient là, cela n’avait sûrement rien à voir avec leur affaire.
L’homme se concentra ensuite sur les deux agents. Il voyait bien celui qui était du côté de la fenêtre : de forte constitution, passé la quarantaine, un visage sérieux et sévère. Il ne devait pas faire bon de tenter de lui tenir tête. Il ne voyait pas bien le deuxième agent, un peu caché par son collègue. Mais quelque chose fit qu’il resta un peu plus longtemps sur lui : il y avait quelque chose en cet agent qui… L’homme ne comprenait pas, et regrettait de ne pas mieux le voir à travers le viseur de son arme. Il pouvait dire qu’il avait des cheveux courts, une prestance, un calme qui irradiait de sa personne.
L’homme se secoua. Il ne pouvait pas se permettre d’être déconcentré, il était là pour soutenir son patron en cas de coup dur. Il se reprit, raffermissant sa prise sur son arme, mais se jura de mener plus loin ces… sentiments, par rapport à cet agent.
-Monsieur Royal ? Agent Malone et voici l’agent Fitzgerald. Nous avons quelques questions à vous poser.
-Des questions ? En quoi puis-je être utile au FBI ?
-Vous connaissez cette femme ?
Jack tendit une photo à Royal.
-Mais, bien sûr, c’est Dana, la fiancée de mon frère. Il lui est arrivé quelque chose ?
Royal semblait réellement surpris et inquiet.
-Elle a disparu, répondit Martin. Votre frère pense que vous êtes impliqué dans sa disparition.
-Et pour quelle raison mon petit frère pense-t-il ça ?
-Il dit que Dana le trompait avec vous.
L’homme ne cacha pas un petit sourire amusé :
-Alors, il le savait…
-C’est donc vrai ?
-Oui, c’est vrai, Dana et moi nous amusons un peu quand il doit partir plusieurs jours pour son travail. Mais il n’y a rien de sérieux entre nous deux.
-Mais peut-être voulait-elle plus ? Et que vous n’avez pas apprécié son insistance ?
Royal fronça les sourcils, l’air sérieusement surpris qu’on puisse le croire coupable :
-Ecoutez, je n’ai rien fait à Dana. On s’amuse, c’est très clair pour les deux ; et puis, je l’aime bien, je ne pourrais jamais lui faire du mal.
-Où étiez-vous hier matin ?
-C’est hier matin qu’elle a disparu ? Et bien, je vais pouvoir prouver que je n’y suis pour rien. J’étais sur le port commercial, un de mes navires transportait une cargaison importante, et je me devais d’être là pour surveiller que tout se passe bien. Il y a des dizaines de personnes qui pourront vous le confirmer, et pas uniquement de mes employés.
-Nous vérifierons.
-Et mon cher petit frère… Est-il aussi sur la liste des suspects ? Puisqu’il sait que Dana et moi…
-On s’occupe de ça, répondit sèchement Martin.
Il n’en revenait pas : ils avaient devant eux un spécimen d’une famille vraiment formidable, où l’un trompe l’autre et où tout le monde se tire dans les pattes. Finalement, Martin et Jack se retirèrent, demandant à Royal de ne pas quitter la ville tant que son alibi n’était pas vérifié.
L’homme fixa son viseur sur les deux agents qui sortaient du bureau. A son plus grand désappointement, il ne put discerner le visage du deuxième agent, et se sentit frustré. Il avait une terrible envie de les suivre, mais il ne pouvait pas quitter son poste, ou son patron l’écorcherait vif en l’apprenant. De toute façon, ce n’était pas son genre de laisser tomber quelqu’un qui comptait sur lui. L’homme se reconcentra sur sa mission, et surveilla l’entretien que son patron et leur client avaient repris.
Avec un soupir de soulagement, l’homme roula sur le côté, et rangea son arme. Son patron avait enfin fini, il allait pouvoir passer à autre chose. A commencer par le questionner sur cet agent du FBI…
Les deux hommes se retrouvèrent au point de rendez-vous. Le patron était un peu pensif, et en voyant son employé, il comprit exactement ce qui le préoccupait. Mais il ne se laissa pas distraire par cela, il lui expliqua d’abord ce qui allait se passer dans leur affaire. L’homme l’écouta attentivement, notant tout dans sa tête, prévoyant déjà ce qu’il faudrait faire. Le chef appréciait sa capacité à mettre de côté les choses pour se concentrer sur le plus important, et à prévoir les dispositions futures. Finalement, ils parlèrent des deux agents du FBI. Le chef comprenait les sentiments de son employé, mais ce n’était vraiment pas le bon moment de faire ce qu’il avait en tête. C’était risqué de se mettre ainsi à découvert.
-Il faut vraiment que je le fasse, et je ne peux pas attendre, sinon, ça va me bouffer.
-Je comprends, et je ne t’empêcherai pas de le faire, car sinon tu n’auras pas la tête à la suite du boulot. Mais je te préviens : ne fais rien qui pourra mettre en danger notre opération, compris ?!
-Pas de soucis, chef, je sais être discret !
Un petit sourire souleva la bouche de l’homme : il partait en chasse dès à présent.
Dernière édition par Mouchette le Mar 15 Juil - 19:45, édité 1 fois
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Oh vite la suite !!!!!!!
Scully- Président des USA
- Nombre de messages : 9198
Age : 47
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 05/02/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
sympa !!! mais cela demande une suite !!!!!
c'est bizarre mais je le sens pas pour Danny, ce pauvre d'ailleurs est de trop !!!!!C'est Marty tout plein, vous l'aurez deviné vous-même, mais je peux assurer les Tayloriennes qu'il y aura du Danny (le pauvre, d'ailleurs ).
mamyita- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 184
Age : 31
Localisation : je sais plus : le MONDE
Date d'inscription : 19/02/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Ah, chouette encore une nouvelle fic centrée sur Martin. On est gâtée ces derniers temps dis donc. Surtout que Danny va arriver aussi, le programme est vraiment très alléchant, dis-donc!
Un début très prometteur qui soulève déjà plein de questions chez moi. Déjà, c'est qui ce sniper? Et qu'est-ce qu'il leurs veut ? Je sais pas pourquoi mais j'ai vraiment de mauvais pressentiments à son égard.
J'attends la suite de pieds fermes.
Un début très prometteur qui soulève déjà plein de questions chez moi. Déjà, c'est qui ce sniper? Et qu'est-ce qu'il leurs veut ? Je sais pas pourquoi mais j'ai vraiment de mauvais pressentiments à son égard.
J'attends la suite de pieds fermes.
Mrs Fitzie- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 78
Age : 35
Localisation : La tête et le coeur à Disneyland; le reste à Bruxelles
Date d'inscription : 25/04/2007
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Jitem Mouchette !!!!!!!!!!!!!!
Je suis trop trop contente... je rentre chez moi et qu'est-ce que je vois ??? Ta fic enfin en ligne....
J'ai la banane ça y est je vais bien dormir cette nuit...
Bon sinon, ce sniper qui est louche par rapport à Martin... ça présage de bonnes choses...
Et sinon, tu m'as l'air bien sûre de toi que Danny va morfler... Tu sais bien que je préfère quand c'est Marty qui morfle.... (non tu le savais pas ??? )
raaaa je suis trop contente.. la suite dès demain bien sûr...
Je suis trop trop contente... je rentre chez moi et qu'est-ce que je vois ??? Ta fic enfin en ligne....
J'ai la banane ça y est je vais bien dormir cette nuit...
Bon sinon, ce sniper qui est louche par rapport à Martin... ça présage de bonnes choses...
Et sinon, tu m'as l'air bien sûre de toi que Danny va morfler... Tu sais bien que je préfère quand c'est Marty qui morfle.... (non tu le savais pas ??? )
raaaa je suis trop contente.. la suite dès demain bien sûr...
Re: Sniper (PG13) (Complète)
ca commence fort j'espère que tu va pa faire souffrir mon marty alors vite une suite si non
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
OH MOUCHETTE !! c'est trop génial que tu te relance et avec une fic qui va être géniale...bon moi j'aime bien quand dan morfle du moment que tu restes tout demême gentille pas de mort quoi en gros !!! je kiffe déjà de lire ta suite
je fais court car je suis au boulot mais comme tu t'en doutes j'attends l'arrivée de mon dan avec impatience
je fais court car je suis au boulot mais comme tu t'en doutes j'attends l'arrivée de mon dan avec impatience
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Merci beaucoup pour vos commentaires!
Bon, puisque j'ai passé une magnifique soirée avec Mark Knopfler hier soir et passé une bonne journée aujourd'hui, je me dis qu'il faut aussi que je fasse plaisir à mes lectrices: voici une suite.
****************************
Martin marchait lentement, profitant de l’air encore doux. Il était sorti une station de métro avant, afin de se changer un peu les idées avant de rentrer chez lui. Il était tard, mais il aimait faire comme ça après une enquête, c’était une façon de séparer les choses, de bien ancrer dans sa tête que cette enquête-là était finie, et que le lendemain il passerait à une autre.
Il était tard, mais ils avaient réussi à boucler l’enquête, qui s’était bien terminée. Ils avaient finalement appris que Dana était partie de son propre chef, sans avertir personne. Elle s’était payée un voyage à Hawaï, agacée d’être prise entre deux hommes qui finalement ne l’aimaient pas. Et elle n’était pas pressée de rentrer. Un agent du FBI qui était sur place avait pris sa déposition, et ils avaient pu finir leurs rapports. Martin sourit. Danny avait fait toute une histoire, en disant que c’était leur enquête, et que c’était à eux d’aller questionner leur disparue.
FLASH-BACK
-Allez, Jack, quoi, on ne peut pas faire le boulot à moitié. On doit aller là-bas pour la questionner, voir si tout va bien.
-Non, Danny, je ne t’enverrai pas là-bas aux frais du contribuable. Tu iras là-bas pour tes vacances si tu veux, et à tes frais
-Mais c’est pas pour le plaisir que je veux y aller ! C’est pour prouver que l’on mérite notre salaire, et que l’on travaille jusqu’au bout sur nos enquêtes.
-Si je te laisse y aller…
Danny ne put contenir un large sourire.
-… tu iras aussi en Alaska pour l’enquête de la deuxième équipe.
-Mais… Non ! Je… je n’ai rien à voir avec cette équipe ! Qu’ils aillent se les geler eux-mêmes, d’abord ! Non mais, tu sais quelle saison il fait là-bas ?!
Martin, Sam et Vivian jouissaient du spectacle, sachant à l’avance qui allait gagner.
-C’est comme ça, ça revient moins cher de payer ces deux billets pour la même personne.
-Ça, ça m’étonnerait ! bouda Danny. Mais… de toute façon, je ne pensais pas y aller seul à Hawaï, et donc la personne qui viendrait avec moi pourrait ensuite aller seule avec quelqu’un de la deuxième équipe ?
-Ah oui ? Et tu as un volontaire pour ça ?
-Ben oui, je sais que l’Alaska, c’est le genre de Martin.
-Martin ? demanda Jack en se tournant vers lui.
-Que veux-tu, j’ai été bercé par Jack London dans mon enfance, ça ne s’oublie pas. Mais bon, si je dois aller à Hawaï d’abords, ça risque de faire un sacré choc thermique.
-Effectivement, de ce point de vue-là, c’est embêtant. Bon, alors j’envoie un agent qui est déjà sur place questionner Dana, et Danny tu vas directement en Alaska.
Jack ferma son dossier et se leva, évitant négligemment de croiser le regard affligé de Danny. Ce dernier ne mit pas longtemps à abandonner la partie :
-Euh, Jack, euh… T’es pas sérieux, hein ?
-Si.
-Je…
-Je suis sérieux sur la première partie de ma phrase : c’est un agent déjà à Hawaï qui va questionner Dana. L’Alaska, c’est seulement si tu continues à insister.
Jack regardait son agent avec des yeux très sérieux, mais tout le reste de son corps démentait cette sévérité.
-Ok, Jack, t’as gagné. On peut finir cette réunion, maintenant que vous vous êtes tous bien marrés?
Danny secoua la tête en souriant, et fixa son regard sur Martin :
-Quand même, l’Alaska…
FIN DU FLASH-BACK
Martin sourit : il avait toujours rêvé de partir en Alaska, ou dans le Yukon, sur les traces des chercheurs d’or et d’aventures, accompagné par un attelage de chiens de traîneaux. Il en rêvait depuis qu’il avait lu « L’appel sauvage », et avait ensuite passé des heures dans la neige dans la forêt près de chez lui à conduire un attelage imaginaire. Son père n’aimait pas trop le voir rêver ainsi, mais sa mère lui procurait tous les livres sur le Grand Nord qu’elle pouvait trouver.
Martin se retourna soudainement, un peu inquiet. Perdu dans ses pensées, il avait senti une impression… presque imperceptible, et totalement impossible à décrire. Il s’était senti suivi, mais en même temps sans vraiment ressentir de danger. Il scruta la rue, mais rien ne lui sembla suspect ou inhabituel. Il reprit son chemin en secouant les épaules. Un bruit attira alors son attention. Il provenait de la petite ruelle à trois pas devant lui. Il entendit un cri étouffé, mais incontestablement de quelqu’un qui appelle à l’aide. Martin sortit son arme et se précipita à l’entrée de la ruelle. Elle était mal éclairée : juste quelques flaques de lumière, séparées par des mètres d’ombre.
Deux personnes se battaient, ou plutôt une femme se débattait face à un homme armé d’un couteau. Martin ouvrit la bouche, et au moment où il cria « FBI ! », il vit avec horreur le couteau glisser sur la gorge de la femme, il vit le trou béant, les yeux terrifiés, le sang qui gicle, il entendit les ultimes gargouillements… L’agresseur jeta la femme sur le côté, et se tourna vers Martin. Ils n’étaient séparés que de quelques mètres, et l’homme se tenait en plein centre d’une lumière. Le jeune agent inscrivit automatiquement les traits du visage dans son esprit, notant tout ce qu’il fallait. L’agresseur fit un pas en avant.
-Lâchez votre arme !
Mais soudain, l’homme fut sur lui : il s’était précipité, couteau en avant, profitant de la légère confusion de l’agent devant l’horrible spectacle. Martin sentit comme une brûlure au flan droit, il entendit le bruit d’une détonation, et comprit que sous le choc du contact avec l’agresseur, il avait pressé la détente de son arme. Son arme qui lui échappa des mains. Il devait lutter à mains nues face à un homme au moins trois fois plus lourd que lui, tout en muscles et sauvagerie, sachant manier le couteau. Martin comprit qu’il n’avait aucune chance. Un cri changea le cours des choses :
-Police !
Ne t'en fais pas, il y en aura pour tout le monde!clairounett a écrit:Et sinon, tu m'as l'air bien sûre de toi que Danny va morfler... Tu sais bien que je préfère quand c'est Marty qui morfle.... (non tu le savais pas ??? )
Bon, puisque j'ai passé une magnifique soirée avec Mark Knopfler hier soir et passé une bonne journée aujourd'hui, je me dis qu'il faut aussi que je fasse plaisir à mes lectrices: voici une suite.
****************************
Martin marchait lentement, profitant de l’air encore doux. Il était sorti une station de métro avant, afin de se changer un peu les idées avant de rentrer chez lui. Il était tard, mais il aimait faire comme ça après une enquête, c’était une façon de séparer les choses, de bien ancrer dans sa tête que cette enquête-là était finie, et que le lendemain il passerait à une autre.
Il était tard, mais ils avaient réussi à boucler l’enquête, qui s’était bien terminée. Ils avaient finalement appris que Dana était partie de son propre chef, sans avertir personne. Elle s’était payée un voyage à Hawaï, agacée d’être prise entre deux hommes qui finalement ne l’aimaient pas. Et elle n’était pas pressée de rentrer. Un agent du FBI qui était sur place avait pris sa déposition, et ils avaient pu finir leurs rapports. Martin sourit. Danny avait fait toute une histoire, en disant que c’était leur enquête, et que c’était à eux d’aller questionner leur disparue.
FLASH-BACK
-Allez, Jack, quoi, on ne peut pas faire le boulot à moitié. On doit aller là-bas pour la questionner, voir si tout va bien.
-Non, Danny, je ne t’enverrai pas là-bas aux frais du contribuable. Tu iras là-bas pour tes vacances si tu veux, et à tes frais
-Mais c’est pas pour le plaisir que je veux y aller ! C’est pour prouver que l’on mérite notre salaire, et que l’on travaille jusqu’au bout sur nos enquêtes.
-Si je te laisse y aller…
Danny ne put contenir un large sourire.
-… tu iras aussi en Alaska pour l’enquête de la deuxième équipe.
-Mais… Non ! Je… je n’ai rien à voir avec cette équipe ! Qu’ils aillent se les geler eux-mêmes, d’abord ! Non mais, tu sais quelle saison il fait là-bas ?!
Martin, Sam et Vivian jouissaient du spectacle, sachant à l’avance qui allait gagner.
-C’est comme ça, ça revient moins cher de payer ces deux billets pour la même personne.
-Ça, ça m’étonnerait ! bouda Danny. Mais… de toute façon, je ne pensais pas y aller seul à Hawaï, et donc la personne qui viendrait avec moi pourrait ensuite aller seule avec quelqu’un de la deuxième équipe ?
-Ah oui ? Et tu as un volontaire pour ça ?
-Ben oui, je sais que l’Alaska, c’est le genre de Martin.
-Martin ? demanda Jack en se tournant vers lui.
-Que veux-tu, j’ai été bercé par Jack London dans mon enfance, ça ne s’oublie pas. Mais bon, si je dois aller à Hawaï d’abords, ça risque de faire un sacré choc thermique.
-Effectivement, de ce point de vue-là, c’est embêtant. Bon, alors j’envoie un agent qui est déjà sur place questionner Dana, et Danny tu vas directement en Alaska.
Jack ferma son dossier et se leva, évitant négligemment de croiser le regard affligé de Danny. Ce dernier ne mit pas longtemps à abandonner la partie :
-Euh, Jack, euh… T’es pas sérieux, hein ?
-Si.
-Je…
-Je suis sérieux sur la première partie de ma phrase : c’est un agent déjà à Hawaï qui va questionner Dana. L’Alaska, c’est seulement si tu continues à insister.
Jack regardait son agent avec des yeux très sérieux, mais tout le reste de son corps démentait cette sévérité.
-Ok, Jack, t’as gagné. On peut finir cette réunion, maintenant que vous vous êtes tous bien marrés?
Danny secoua la tête en souriant, et fixa son regard sur Martin :
-Quand même, l’Alaska…
FIN DU FLASH-BACK
Martin sourit : il avait toujours rêvé de partir en Alaska, ou dans le Yukon, sur les traces des chercheurs d’or et d’aventures, accompagné par un attelage de chiens de traîneaux. Il en rêvait depuis qu’il avait lu « L’appel sauvage », et avait ensuite passé des heures dans la neige dans la forêt près de chez lui à conduire un attelage imaginaire. Son père n’aimait pas trop le voir rêver ainsi, mais sa mère lui procurait tous les livres sur le Grand Nord qu’elle pouvait trouver.
Martin se retourna soudainement, un peu inquiet. Perdu dans ses pensées, il avait senti une impression… presque imperceptible, et totalement impossible à décrire. Il s’était senti suivi, mais en même temps sans vraiment ressentir de danger. Il scruta la rue, mais rien ne lui sembla suspect ou inhabituel. Il reprit son chemin en secouant les épaules. Un bruit attira alors son attention. Il provenait de la petite ruelle à trois pas devant lui. Il entendit un cri étouffé, mais incontestablement de quelqu’un qui appelle à l’aide. Martin sortit son arme et se précipita à l’entrée de la ruelle. Elle était mal éclairée : juste quelques flaques de lumière, séparées par des mètres d’ombre.
Deux personnes se battaient, ou plutôt une femme se débattait face à un homme armé d’un couteau. Martin ouvrit la bouche, et au moment où il cria « FBI ! », il vit avec horreur le couteau glisser sur la gorge de la femme, il vit le trou béant, les yeux terrifiés, le sang qui gicle, il entendit les ultimes gargouillements… L’agresseur jeta la femme sur le côté, et se tourna vers Martin. Ils n’étaient séparés que de quelques mètres, et l’homme se tenait en plein centre d’une lumière. Le jeune agent inscrivit automatiquement les traits du visage dans son esprit, notant tout ce qu’il fallait. L’agresseur fit un pas en avant.
-Lâchez votre arme !
Mais soudain, l’homme fut sur lui : il s’était précipité, couteau en avant, profitant de la légère confusion de l’agent devant l’horrible spectacle. Martin sentit comme une brûlure au flan droit, il entendit le bruit d’une détonation, et comprit que sous le choc du contact avec l’agresseur, il avait pressé la détente de son arme. Son arme qui lui échappa des mains. Il devait lutter à mains nues face à un homme au moins trois fois plus lourd que lui, tout en muscles et sauvagerie, sachant manier le couteau. Martin comprit qu’il n’avait aucune chance. Un cri changea le cours des choses :
-Police !
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
vite la suite mon pauvre martty qui morfle
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Deux suites et notre Marty chéri est déjà blessé....
J'espère que c'estpas grave...
Trop contente d'avoir eu une suite.. mais faut attendre demain pour en avoir une autre ou y'a moyen de moyenner ???
J'espère que c'est
Trop contente d'avoir eu une suite.. mais faut attendre demain pour en avoir une autre ou y'a moyen de moyenner ???
Re: Sniper (PG13) (Complète)
je te ai clairounett
té méchante avec mon martty
té méchante avec mon martty
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Si tu veux monnayer... ça risque de te coûter cher!clairounett a écrit:Trop contente d'avoir eu une suite.. mais faut attendre demain pour en avoir une autre ou y'a moyen de moyenner ???
Et d'ailleurs, qui te dit qu'il y aura une suite demain, mmm? Parce que plus j'en mets beaucoup au début, plus il y a de risques de devoir attendre plus tard, malheureusement...
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
stp une toute petite suite
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Commence pas à négocier les suites.... c'est une par jour, un point c'est tout... c'est facile, il suffit de ne pas suivre mon exemple....Mouchette a écrit:Si tu veux monnayer... ça risque de te coûter cher!clairounett a écrit:Trop contente d'avoir eu une suite.. mais faut attendre demain pour en avoir une autre ou y'a moyen de moyenner ???
Et d'ailleurs, qui te dit qu'il y aura une suite demain, mmm? Parce que plus j'en mets beaucoup au début, plus il y a de risques de devoir attendre plus tard, malheureusement...
Nan mais tu sais à quel point je suis accro à tes fics...
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Rooo, ça c'est gentil Ou c'est juste pour avoir une suite?! Bon, dans le même temps, si tu veux vraiment des suites rapidement, c'est que ça doit être vrai un minimum...clairounett a écrit:Nan mais tu sais à quel point je suis accro à tes fics...
Donc, je ne remets pas de suite ce soir, j'ai bien compris?c'est une par jour, un point c'est tout
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
une toute petite sinon je me tu
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:Donc, je ne remets pas de suite ce soir, j'ai bien compris?c'est une par jour, un point c'est tout
Qui est l'imbécile qui à mis ça?!
Elle a pas du être traumatisé par mimi ...
Bref'...
Moi aussi j'ai beaucoup des fic!!! a doit être le manque de fic sur marty qui nous fais cet effet là mais remarque t'a un bon style... alors ça ne gache rien...
Et beh met une suite rapidement quand même...
Sleepy Tinky- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3302
Age : 32
Localisation : avec vous sur le forum^^'
Date d'inscription : 31/12/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
je sais que té en ligne alos une petite suite
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
salut tinki
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
tre a écrit:salut tinki
Alors c'est TOI qui lui a dis cette bêtise?! Vilaine va!!
Sleepy Tinky- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3302
Age : 32
Localisation : avec vous sur le forum^^'
Date d'inscription : 31/12/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:Rooo, ça c'est gentil Ou c'est juste pour avoir une suite?! Bon, dans le même temps, si tu veux vraiment des suites rapidement, c'est que ça doit être vrai un minimum...clairounett a écrit:Nan mais tu sais à quel point je suis accro à tes fics...Donc, je ne remets pas de suite ce soir, j'ai bien compris?c'est une par jour, un point c'est tout
Pfff tu dis ça juste pour me faire rager, tu sais que demain c'est dans deux heures ???
Et en plus tu mets en doute ma parole....
Pour te faire pardonner, c'est une suite ce soir... et une demain...
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Sleepy Tinky a écrit:tre a écrit:salut tinki
Alors c'est TOI qui lui a dis cette bêtise?! Vilaine va!!
mes kel bétise
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Comme je ne peux rien refuser à clairounette:
*********************************
L’homme avait facilement retrouvé la trace de l’agent Fitzgerald, puisque c’était ainsi qu’il s’était présenté à son patron et leur client. Il avait attendu devant l’immeuble du FBI, discrètement comme il savait si bien le faire. Il avait eu de la chance, l’agent était sorti à pied et avait pris le métro. Il avait été très impressionné en voyant son visage, même de si loin. En secouant la tête pour se concentrer, il l’avait suivi, et cela avait été très facile pour lui. Même s’il sentait son cœur battre la chamade, il restait concentré, mettant de côté cet étrange sentiment d’avoir enfin trouvé celui qu’il recherchait depuis toujours sans le savoir.
Il sortit du métro à la même station que Fitzgerald. Il ne pouvait pas le laisser s’éloigner, même s’il ne savait pas ce que tout cela donnerait. Il ne savait pas si c’était vraiment une bonne idée d’agir ainsi, mais il ne pouvait pas s’en empêcher. A un moment donné, il dut rapidement se mettre à couvert : Fitzgerald s’était brusquement retourné, comme s’il se sentait suivi. Mais il ne semblait pas vraiment inquiet, et l’homme prit cela comme un heureux présage.
L’homme ressentit comme un coup au cœur quand il crut avoir perdu la trace de l’agent. Il avait laissé trop d’espace ! Il jura entre ses dents, et accéléra le pas, au risque de se faire remarquer. Un coup de feu le fit sursauter, et il se précipita sans réfléchir dans une petite ruelle. Là, dans l’ombre, deux silhouettes luttaient en grognant, et il comprit que Fitzgerald était l’une d’elle, et qu’il allait avoir le désavantage. Il prit l’arme qui était dans son dos, et, sans réfléchir, cria la seule chose qui pouvait déconcentrer l’agresseur :
-Police !
L’agresseur réagit aussitôt. Il projeta violemment l’agent en direction de l’homme et s’enfuit dans la direction inverse. L’homme ne put pas tirer, car Fitzgerald se retrouva dans sa ligne de mire. Ce n’était pas le moment d’abattre la mauvaise personne, pensa l’homme. Il s’approcha du jeune agent, qui était à présent sur les genoux, une main tenant son flan droit, la respiration haletante, la tête baissée. L’homme eut un instant d’hésitation, ce n’était pas comme cela qu’il avait envisagé les choses pour le premier contact, mais finalement, il faisait sombre, Fitzgerald était affaibli et préoccupé par autre chose, alors il se décida à s’approcher.
-Ça va ? Tu es blessé ?
Fitzgerald répondit par un grognement quand il tenta de se relever.
-Ça va pour moi… Mais il y a une femme…
-Ne bouge pas, je vais voir.
L’agent du FBI n’avait pas relevé la tête, il n’avait donc rien remarqué. L’homme avait dû se maîtriser, il sentait sa respiration bloquée dans sa gorge par la proximité. Il se retourna dans la direction indiquée par Fitzgerald, localisant immédiatement la femme. Il s’approcha, et n’eut même pas besoin de se pencher pour comprendre : elle était morte. Poignardée sauvagement, les yeux fixant le vide.
-Elle est morte, indiqua-t-il froidement.
-Vous avez appelé des renforts ?
-Je vais le faire.
L’homme s’éloigna de quelques pas, faisant attention de toujours rester dans l’ombre, et sortit son téléphone. Les flics qui s’en mêlent, cela n’allait pas plaire à son patron !
L’homme rangea son téléphone dans sa poche, et s’approcha de Fitzgerald, toujours sur les genoux. Il l’avait observé durant son coup de fil, et il avait compris que l’agent était non seulement affligé par ce qu’il venait de se passer, mais qu’il était aussi blessé.
-Tu es blessé.
-Ce n’est pas grave.
-Si je t’aide, tu peux te relever ? Que je t’emmène en-dehors de cette rue.
Fitzgerald hocha la tête, et se releva avec l’aide de l’homme. Il n’avait toujours pas eu la force de relever la tête, ce qui soulageait l’homme. Mais il savait qu’il ne pourrait pas jouer longtemps ce petit jeu. Ils arrivèrent sur la rue principale en même temps que deux voitures de police et une ambulance. L’homme laissa Fitzgerald aux soins des ambulanciers, et ne put éviter de se faire accoster par un agent de police qui voulait l’interroger sur les événements. Son patron n’allait pas être content, question discrétion, il pouvait repasser !
Durant l’interrogatoire de l’agent de police, l’homme profita pour observer du coin de l’œil Fitzgerald : il était assis devant l’ambulance, la chemise ouverte sur un abdomen en sang. Une longue plaie lui barrait le flan droit. Il grimaçait un peu quand l’ambulancier lui passait une compresse probablement enduite de désinfectant. Un inspecteur l’interrogeait aussi, et un dessinateur était déjà là pour saisir les traits de l’agresseur.
-Monsieur ?
L’homme, surpris, regarda l’agent de police. Il s’était laissé distraire, et n’avait plus écouté les questions qu’il lui posait. Il s’excusa, et tenta de se concentrer, lui montrant son permis pour son arme. Il savait qu’il allait comparer sa déposition avec celle de l’agent Fitzgerald, et qu’il lui demanderait ensuite pourquoi il avait crié « Police ». Mais pour l’instant, il préférait en dire le moins possible.
*********************************
L’homme avait facilement retrouvé la trace de l’agent Fitzgerald, puisque c’était ainsi qu’il s’était présenté à son patron et leur client. Il avait attendu devant l’immeuble du FBI, discrètement comme il savait si bien le faire. Il avait eu de la chance, l’agent était sorti à pied et avait pris le métro. Il avait été très impressionné en voyant son visage, même de si loin. En secouant la tête pour se concentrer, il l’avait suivi, et cela avait été très facile pour lui. Même s’il sentait son cœur battre la chamade, il restait concentré, mettant de côté cet étrange sentiment d’avoir enfin trouvé celui qu’il recherchait depuis toujours sans le savoir.
Il sortit du métro à la même station que Fitzgerald. Il ne pouvait pas le laisser s’éloigner, même s’il ne savait pas ce que tout cela donnerait. Il ne savait pas si c’était vraiment une bonne idée d’agir ainsi, mais il ne pouvait pas s’en empêcher. A un moment donné, il dut rapidement se mettre à couvert : Fitzgerald s’était brusquement retourné, comme s’il se sentait suivi. Mais il ne semblait pas vraiment inquiet, et l’homme prit cela comme un heureux présage.
L’homme ressentit comme un coup au cœur quand il crut avoir perdu la trace de l’agent. Il avait laissé trop d’espace ! Il jura entre ses dents, et accéléra le pas, au risque de se faire remarquer. Un coup de feu le fit sursauter, et il se précipita sans réfléchir dans une petite ruelle. Là, dans l’ombre, deux silhouettes luttaient en grognant, et il comprit que Fitzgerald était l’une d’elle, et qu’il allait avoir le désavantage. Il prit l’arme qui était dans son dos, et, sans réfléchir, cria la seule chose qui pouvait déconcentrer l’agresseur :
-Police !
L’agresseur réagit aussitôt. Il projeta violemment l’agent en direction de l’homme et s’enfuit dans la direction inverse. L’homme ne put pas tirer, car Fitzgerald se retrouva dans sa ligne de mire. Ce n’était pas le moment d’abattre la mauvaise personne, pensa l’homme. Il s’approcha du jeune agent, qui était à présent sur les genoux, une main tenant son flan droit, la respiration haletante, la tête baissée. L’homme eut un instant d’hésitation, ce n’était pas comme cela qu’il avait envisagé les choses pour le premier contact, mais finalement, il faisait sombre, Fitzgerald était affaibli et préoccupé par autre chose, alors il se décida à s’approcher.
-Ça va ? Tu es blessé ?
Fitzgerald répondit par un grognement quand il tenta de se relever.
-Ça va pour moi… Mais il y a une femme…
-Ne bouge pas, je vais voir.
L’agent du FBI n’avait pas relevé la tête, il n’avait donc rien remarqué. L’homme avait dû se maîtriser, il sentait sa respiration bloquée dans sa gorge par la proximité. Il se retourna dans la direction indiquée par Fitzgerald, localisant immédiatement la femme. Il s’approcha, et n’eut même pas besoin de se pencher pour comprendre : elle était morte. Poignardée sauvagement, les yeux fixant le vide.
-Elle est morte, indiqua-t-il froidement.
-Vous avez appelé des renforts ?
-Je vais le faire.
L’homme s’éloigna de quelques pas, faisant attention de toujours rester dans l’ombre, et sortit son téléphone. Les flics qui s’en mêlent, cela n’allait pas plaire à son patron !
L’homme rangea son téléphone dans sa poche, et s’approcha de Fitzgerald, toujours sur les genoux. Il l’avait observé durant son coup de fil, et il avait compris que l’agent était non seulement affligé par ce qu’il venait de se passer, mais qu’il était aussi blessé.
-Tu es blessé.
-Ce n’est pas grave.
-Si je t’aide, tu peux te relever ? Que je t’emmène en-dehors de cette rue.
Fitzgerald hocha la tête, et se releva avec l’aide de l’homme. Il n’avait toujours pas eu la force de relever la tête, ce qui soulageait l’homme. Mais il savait qu’il ne pourrait pas jouer longtemps ce petit jeu. Ils arrivèrent sur la rue principale en même temps que deux voitures de police et une ambulance. L’homme laissa Fitzgerald aux soins des ambulanciers, et ne put éviter de se faire accoster par un agent de police qui voulait l’interroger sur les événements. Son patron n’allait pas être content, question discrétion, il pouvait repasser !
Durant l’interrogatoire de l’agent de police, l’homme profita pour observer du coin de l’œil Fitzgerald : il était assis devant l’ambulance, la chemise ouverte sur un abdomen en sang. Une longue plaie lui barrait le flan droit. Il grimaçait un peu quand l’ambulancier lui passait une compresse probablement enduite de désinfectant. Un inspecteur l’interrogeait aussi, et un dessinateur était déjà là pour saisir les traits de l’agresseur.
-Monsieur ?
L’homme, surpris, regarda l’agent de police. Il s’était laissé distraire, et n’avait plus écouté les questions qu’il lui posait. Il s’excusa, et tenta de se concentrer, lui montrant son permis pour son arme. Il savait qu’il allait comparer sa déposition avec celle de l’agent Fitzgerald, et qu’il lui demanderait ensuite pourquoi il avait crié « Police ». Mais pour l’instant, il préférait en dire le moins possible.
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
bon salut tout le monde et
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:Comme je ne peux rien refuser à clairounette
Bip bip !!!! Ouaiiiiiiiiiiiiiiiii....
Merci beaucoup Mouchette !!!!
Va falloir que tu éclaircisses vite fait certaines choses par contre, comme l'identité du mec et ce qu'il veut à Martin...
Enfin bref t'as compris, je demande encore une suite.. mais je veux bien attendre demain ce coup-ci...
Et Marty qui serre les dents parce qu'il a mal...
Page 1 sur 14 • 1, 2, 3 ... 7 ... 14
Sujets similaires
» Vin, you're a Tanner (complète) (PG13)
» Savin'me ( PG13 ) (complète)
» Brothers in arms (complète) (PG13)
» Les yeux fermés (PG13) - Complète -
» Effets secondaires (complète) (PG13)
» Savin'me ( PG13 ) (complète)
» Brothers in arms (complète) (PG13)
» Les yeux fermés (PG13) - Complète -
» Effets secondaires (complète) (PG13)
FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Les Créations des Fans :: Fanfictions :: Complètes :: Suspense
Page 1 sur 14
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum