Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
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Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Bon alors tout d'abord...je sais...vous allez me dire, si c'est un Shot, alors pourquoi " en cours" ? Tout simplement parce que je cale sur ma fin qui ne me satisfait que moyennement. Je poste donc en 2 parties et ça vous laissera le temps de cogiter...
A moins que certaines d'entre vous ne regardent la saison 5 de Grey's Anatomy puisque ce shot m'est venu en voyant un des derniers épisodes. Aussi, si certains d'entre-vous l'ont vu, je compte sur vous pour garder votre langue histoire de ménager le suspens...
Sur ce...bonne lecture.
CONTRE-COUPS
O’Donnell’s Pub
New-York
Ils étaient une nouvelle fois arrivés trop tard.
Accoudé au bar, Martin Fitzgerald avait le regard perdu dans son verre de bière, l’idée lancinante qu’ils n’avaient pas fait tout ce qu’ils pouvaient pour retrouver Petra Jansen ne voulant pas quitter son esprit.
Ils étaient arrivés trop tard de quelques minutes, ne découvrant plus qu’un cadavre au milieu des détritus de la décharge publique. Ça leur arrivait bien trop souvent à son goût ces temps-ci et la culpabilité refusait de lâcher prise. Il se sentait responsable même s’il savait qu’il n’était pas le seul en cause.
Quelques éclats de rire derrière lui attirèrent son attention et il se retourna brièvement vers la table voisine où étaient assis l’ensemble de ses collègues à l’exception de Viv, déjà rentrée chez elle. Comment faisaient-ils pour passer si vite à autre chose ? Il avait refusé de les accompagner boire un verre, préférant ressasser ses idées noires en solitaire mais ils avaient fini par atterrir dans le même pub. Avec tout ce que Manhattan comptait comme pubs, parlez de malchance ! Danny lui avait alors demandé de se joindre à eux mais il avait refusé. Il n’avait pas le cœur à socialiser.
Il prit une gorgée de sa bière et grimaça. Elle avait un goût amer…aussi amer que cette affaire qui se terminait mal. Pourquoi n’arrivait-il plus à passer à autre chose ? Ça n’était jamais facile d’oublier une personne que l’on était pas parvenu à retrouver vivante. Mais, depuis quelques mois, c’était devenu chose impossible pour Martin. En fait, c’était le cas depuis l’affaire Ariana Murphy et les vingt minutes qui lui avaient manquées. Il ne parvenait plus à faire en sorte de ne pas être affecté. Peut-être était-ce parce qu’il n’avait pas de vie en dehors du bureau et qu’il n’avait que ça à penser ?
Il soupira. Peut-être était-ce aussi cela le problème dans l’équipe en ce moment. Ses collègues avaient d’autres préoccupations que leur boulot et il avait souvent la sensation d’être le seul à se donner à 100%. Il lança un regard en biais vers la table. Tous les quatre semblaient passer un bon moment ensemble, inconscients des pensées sombres de leur collègue. « Oui, » pensa Martin pour lui-même, « ils ont autre chose en tête que leur boulot… »
Et c’était vrai.
Il n’y avait qu’à voir comment les choses se passaient au bureau. Les équipes étaient toujours les même : Danny et Elena d’un côté, Sam et Jack de l’autre. Quant à lui, il faisait parfois équipe avec Viv mais, la plupart du temps, il se retrouvait seul à gérer un interrogatoire ou des démarches sur le terrain. Il avait pensé au départ que c’était une volonté de Jack, une sorte de punition pour avoir failli lui prendre son poste à la tête de l’unité. Mais en définitive, il avait réalisé que c’était simplement dans l’ordre des choses. Les deux couples étaient trop accaparés les uns par les autres pour vraiment voir que les choses ne se passaient plus aussi bien. Martin avait par contre lui conscience qu’ils avaient perdu en efficacité. Travailler toujours avec le même binôme amenait une certaine routine dans leurs enquêtes qui n’était bonne ni pour eux, ni pour leurs disparus. Surtout pour leurs disparus. Mais il ne pouvait rien dire. Il n’était pas le boss après tout…Et, de toute façon, il préférait faire profil bas depuis l’affaire Medina…Autant éviter les complications.
Il descendit d’un trait le reste de son verre et déposa un billet sur le comptoir. Entendre les rires de ses collègues le mettait mal à l’aise et il avait subitement envie de retrouver la solitude de son appartement. Il savait qu’il ne dormirait pas cette nuit mais peu importe. Là-bas, il pourrait au moins tranquillement broyer du noir, à l’abri des regards indiscrets de ses collègues qu’il avait senti parfois peser sur lui au cours de la soirée.
Il enfila rapidement son manteau et se dirigea vers la porte sans un regard en arrière. Partir vite et sans se faire remarquer était son but. Il voulait à tout prix éviter d’avoir à s’expliquer…
Il poussa d’un coup sec la porte battante et son souffle se coupa quand l’air glacial le heurta de plein fouet. Il avait presque oublié qu’ils étaient en plein mois de janvier. D’un geste vif, il releva son col pour se protéger et s’engouffra dans la ruelle d’un pas rapide, la tête basse.
Il n’entendit pas les pas de course qui raisonnaient derrière lui aussi sursauta-t-il quand une main entra en contact avec son épaule.
- Hey, Martin.
Il se retourna vivement, prêt à riposter. Perdu dans ses pensées, il n’avait même pas reconnu la voix de Samantha. Quand son esprit légèrement embrumé par l’alcool la reconnu, il tituba de quelques pas en arrière, sur la défensive.
Que faisait-elle là ? Pourquoi n’était-elle pas restée bien au chaud avec les autres ?
Il la dévisagea, un air de défi sur le visage. Quelque soit le but de sa venue, il n’était pas prêt à lui faciliter les choses. Il réalisa alors qu’elle grelottait.
- Tu devrais rentrer. Tu vas attraper froid, lui dit-il d’un ton glacial avant de poursuivre sa route.
Sa voix lui parue dure, même à ses propres oreilles, mais ça lui était égal. Il n’aimait pas ce qu’il venait de voir dans ses yeux : de l’inquiétude et de la compassion. Un seul regard et elle était arrivée à le mettre dans une rage folle. Elle n’avait plus aucun droit de le regarder comme ça. Elle avait choisi Jack. Elle devait le laisser tranquille…
- Martin, insista Sam.
Il s’arrêta et se retourna vers elle, faisant quelques pas dans sa direction, prêt à lui dire le fond de sa pensée. Mais elle fut la plus rapide.
- Martin, je suis désolée que nous soyons arrivés trop tard. Mais ça n’est pas de ta faute. Tu ne peux pas laisser la culpabilité te ronger ainsi…
Martin se dégagea d’un coup sec de la main qu’elle avait posée sur son bras.
- Je n’ai pas besoin de ta pitié, ou bien que tu sois désolée, Sam. Je n’en ai pas besoin, dit durement Martin en se mettant à trembler de colère.
Il la fixait d’un regard si glacial que Sam fit un pas en arrière, déconcertée. Elle ne l’avait jamais vu si hors de lui. Il semblait comme possédé par une force surnaturelle qui se serait emparée de lui tandis que ses yeux semblaient la transpercer de reproches. Seulement, elle ne savait pas s’il lui en voulait à elle directement, pour l’affaire ou pour Jack, ou bien si c’était « simplement » l’affaire qui le mettait dans cet état.
- Très bien, bégaya-t-elle en reculant tandis qu’il s’avançait vers elle.
- Je n’en ai pas…besoin, martela Martin d’une voix tremblante de colère. Pas besoin.
- Ok, marmonna Sam tandis que son dos entrait en contact avec le mur derrière elle.
Elle jeta un bref regard vers l’entrée du pub, espérant presque qu’un des autres ne vienne à sa rencontre en voyant qu’elle tardait. Elle avait prit congé pour quelques minutes seulement, leur ayant dit qu’elle voulait juste s’assurer que Martin allait bien. En aucun cas, elle ne s’était attendue à une réaction d’une telle violence et elle cherchait maintenant un moyen de s’échapper.
Quand elle reporta son attention vers Martin, elle s’aperçut qu’il n’était qu’à quelques centimètres d’elle, sa silhouette la surplombant. Coincée entre le mur et lui, elle n’avait aucun moyen de partir sans user de la force s’il l’en empêchait. Elle déglutit avec difficulté sous son regard pénétrant et les yeux de Martin descendirent sur ses lèvres, les siennes laissant échapper un petit nuage de fumée à cause du froid. Elle l’entendit murmurer ce qu’elle devina être son prénom.
A suivre...
A moins que certaines d'entre vous ne regardent la saison 5 de Grey's Anatomy puisque ce shot m'est venu en voyant un des derniers épisodes. Aussi, si certains d'entre-vous l'ont vu, je compte sur vous pour garder votre langue histoire de ménager le suspens...
Sur ce...bonne lecture.
CONTRE-COUPS
O’Donnell’s Pub
New-York
Ils étaient une nouvelle fois arrivés trop tard.
Accoudé au bar, Martin Fitzgerald avait le regard perdu dans son verre de bière, l’idée lancinante qu’ils n’avaient pas fait tout ce qu’ils pouvaient pour retrouver Petra Jansen ne voulant pas quitter son esprit.
Ils étaient arrivés trop tard de quelques minutes, ne découvrant plus qu’un cadavre au milieu des détritus de la décharge publique. Ça leur arrivait bien trop souvent à son goût ces temps-ci et la culpabilité refusait de lâcher prise. Il se sentait responsable même s’il savait qu’il n’était pas le seul en cause.
Quelques éclats de rire derrière lui attirèrent son attention et il se retourna brièvement vers la table voisine où étaient assis l’ensemble de ses collègues à l’exception de Viv, déjà rentrée chez elle. Comment faisaient-ils pour passer si vite à autre chose ? Il avait refusé de les accompagner boire un verre, préférant ressasser ses idées noires en solitaire mais ils avaient fini par atterrir dans le même pub. Avec tout ce que Manhattan comptait comme pubs, parlez de malchance ! Danny lui avait alors demandé de se joindre à eux mais il avait refusé. Il n’avait pas le cœur à socialiser.
Il prit une gorgée de sa bière et grimaça. Elle avait un goût amer…aussi amer que cette affaire qui se terminait mal. Pourquoi n’arrivait-il plus à passer à autre chose ? Ça n’était jamais facile d’oublier une personne que l’on était pas parvenu à retrouver vivante. Mais, depuis quelques mois, c’était devenu chose impossible pour Martin. En fait, c’était le cas depuis l’affaire Ariana Murphy et les vingt minutes qui lui avaient manquées. Il ne parvenait plus à faire en sorte de ne pas être affecté. Peut-être était-ce parce qu’il n’avait pas de vie en dehors du bureau et qu’il n’avait que ça à penser ?
Il soupira. Peut-être était-ce aussi cela le problème dans l’équipe en ce moment. Ses collègues avaient d’autres préoccupations que leur boulot et il avait souvent la sensation d’être le seul à se donner à 100%. Il lança un regard en biais vers la table. Tous les quatre semblaient passer un bon moment ensemble, inconscients des pensées sombres de leur collègue. « Oui, » pensa Martin pour lui-même, « ils ont autre chose en tête que leur boulot… »
Et c’était vrai.
Il n’y avait qu’à voir comment les choses se passaient au bureau. Les équipes étaient toujours les même : Danny et Elena d’un côté, Sam et Jack de l’autre. Quant à lui, il faisait parfois équipe avec Viv mais, la plupart du temps, il se retrouvait seul à gérer un interrogatoire ou des démarches sur le terrain. Il avait pensé au départ que c’était une volonté de Jack, une sorte de punition pour avoir failli lui prendre son poste à la tête de l’unité. Mais en définitive, il avait réalisé que c’était simplement dans l’ordre des choses. Les deux couples étaient trop accaparés les uns par les autres pour vraiment voir que les choses ne se passaient plus aussi bien. Martin avait par contre lui conscience qu’ils avaient perdu en efficacité. Travailler toujours avec le même binôme amenait une certaine routine dans leurs enquêtes qui n’était bonne ni pour eux, ni pour leurs disparus. Surtout pour leurs disparus. Mais il ne pouvait rien dire. Il n’était pas le boss après tout…Et, de toute façon, il préférait faire profil bas depuis l’affaire Medina…Autant éviter les complications.
Il descendit d’un trait le reste de son verre et déposa un billet sur le comptoir. Entendre les rires de ses collègues le mettait mal à l’aise et il avait subitement envie de retrouver la solitude de son appartement. Il savait qu’il ne dormirait pas cette nuit mais peu importe. Là-bas, il pourrait au moins tranquillement broyer du noir, à l’abri des regards indiscrets de ses collègues qu’il avait senti parfois peser sur lui au cours de la soirée.
Il enfila rapidement son manteau et se dirigea vers la porte sans un regard en arrière. Partir vite et sans se faire remarquer était son but. Il voulait à tout prix éviter d’avoir à s’expliquer…
Il poussa d’un coup sec la porte battante et son souffle se coupa quand l’air glacial le heurta de plein fouet. Il avait presque oublié qu’ils étaient en plein mois de janvier. D’un geste vif, il releva son col pour se protéger et s’engouffra dans la ruelle d’un pas rapide, la tête basse.
Il n’entendit pas les pas de course qui raisonnaient derrière lui aussi sursauta-t-il quand une main entra en contact avec son épaule.
- Hey, Martin.
Il se retourna vivement, prêt à riposter. Perdu dans ses pensées, il n’avait même pas reconnu la voix de Samantha. Quand son esprit légèrement embrumé par l’alcool la reconnu, il tituba de quelques pas en arrière, sur la défensive.
Que faisait-elle là ? Pourquoi n’était-elle pas restée bien au chaud avec les autres ?
Il la dévisagea, un air de défi sur le visage. Quelque soit le but de sa venue, il n’était pas prêt à lui faciliter les choses. Il réalisa alors qu’elle grelottait.
- Tu devrais rentrer. Tu vas attraper froid, lui dit-il d’un ton glacial avant de poursuivre sa route.
Sa voix lui parue dure, même à ses propres oreilles, mais ça lui était égal. Il n’aimait pas ce qu’il venait de voir dans ses yeux : de l’inquiétude et de la compassion. Un seul regard et elle était arrivée à le mettre dans une rage folle. Elle n’avait plus aucun droit de le regarder comme ça. Elle avait choisi Jack. Elle devait le laisser tranquille…
- Martin, insista Sam.
Il s’arrêta et se retourna vers elle, faisant quelques pas dans sa direction, prêt à lui dire le fond de sa pensée. Mais elle fut la plus rapide.
- Martin, je suis désolée que nous soyons arrivés trop tard. Mais ça n’est pas de ta faute. Tu ne peux pas laisser la culpabilité te ronger ainsi…
Martin se dégagea d’un coup sec de la main qu’elle avait posée sur son bras.
- Je n’ai pas besoin de ta pitié, ou bien que tu sois désolée, Sam. Je n’en ai pas besoin, dit durement Martin en se mettant à trembler de colère.
Il la fixait d’un regard si glacial que Sam fit un pas en arrière, déconcertée. Elle ne l’avait jamais vu si hors de lui. Il semblait comme possédé par une force surnaturelle qui se serait emparée de lui tandis que ses yeux semblaient la transpercer de reproches. Seulement, elle ne savait pas s’il lui en voulait à elle directement, pour l’affaire ou pour Jack, ou bien si c’était « simplement » l’affaire qui le mettait dans cet état.
- Très bien, bégaya-t-elle en reculant tandis qu’il s’avançait vers elle.
- Je n’en ai pas…besoin, martela Martin d’une voix tremblante de colère. Pas besoin.
- Ok, marmonna Sam tandis que son dos entrait en contact avec le mur derrière elle.
Elle jeta un bref regard vers l’entrée du pub, espérant presque qu’un des autres ne vienne à sa rencontre en voyant qu’elle tardait. Elle avait prit congé pour quelques minutes seulement, leur ayant dit qu’elle voulait juste s’assurer que Martin allait bien. En aucun cas, elle ne s’était attendue à une réaction d’une telle violence et elle cherchait maintenant un moyen de s’échapper.
Quand elle reporta son attention vers Martin, elle s’aperçut qu’il n’était qu’à quelques centimètres d’elle, sa silhouette la surplombant. Coincée entre le mur et lui, elle n’avait aucun moyen de partir sans user de la force s’il l’en empêchait. Elle déglutit avec difficulté sous son regard pénétrant et les yeux de Martin descendirent sur ses lèvres, les siennes laissant échapper un petit nuage de fumée à cause du froid. Elle l’entendit murmurer ce qu’elle devina être son prénom.
A suivre...
Dernière édition par mimi le Ven 5 Déc - 21:07, édité 1 fois
mimi- Directeur du FBI
- Nombre de messages : 4074
Age : 51
Localisation : Aux MAA ( Martin's Addicted Anonyms )
Date d'inscription : 16/03/2006
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Tu as enfin mis ton shot!
Et j'adore! Ta description d'un Martin seul, puis furieux, est parfaite.
Et puis comme tu décris ce qui arrive à l'équipe, et bien je trouve que ça pourrait vraiment se passer ainsi...
J'espère que tu vas mettre très très très rapidement la suite, parce que je ne sais pas si j'aurai la patience d'attendre...
Disons... ce soir?
Et j'adore! Ta description d'un Martin seul, puis furieux, est parfaite.
Et puis comme tu décris ce qui arrive à l'équipe, et bien je trouve que ça pourrait vraiment se passer ainsi...
J'espère que tu vas mettre très très très rapidement la suite, parce que je ne sais pas si j'aurai la patience d'attendre...
Disons... ce soir?
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
tre- Elève à Quantico
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Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Mimi j'ai adoré ta première partie de shot, j'adore comment Martin y est.. sauf le dernier paragraphe mais je pense que tu sais pourquoi...
Maintenant, ne regardant pas Grey's Anatomy, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre pour la suite et la fin de ton shot..
Et donc, malgré ma méfiance, je l'attends avec impatience...
Maintenant, ne regardant pas Grey's Anatomy, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre pour la suite et la fin de ton shot..
Et donc, malgré ma méfiance, je l'attends avec impatience...
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
clairounett a écrit:Maintenant, ne regardant pas Grey's Anatomy, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre pour la suite et la fin de ton shot..
Et donc, malgré ma méfiance, je l'attends avec impatience...
Ne vous inquiétez pas...le truc de Grey's n'a pas vraiment à voir avec Grey's...disons que dans Grey's, ils ont perdu un patient à la place...
La suite quand elle sera finalisée...c'est à dire, quand elle me satisfera...et vu que ça fait une semaine que je me prends la tête dessus...
mimi- Directeur du FBI
- Nombre de messages : 4074
Age : 51
Localisation : Aux MAA ( Martin's Addicted Anonyms )
Date d'inscription : 16/03/2006
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
C'est pas grave ^^
C'est vrai que c'est vraiment super mais tu peux mettre une longue suite à Traquée pour te faire pardonner
J'attends vite les suite de partouuuut ^^
C'est vrai que c'est vraiment super mais tu peux mettre une longue suite à Traquée pour te faire pardonner
J'attends vite les suite de partouuuut ^^
Sleepy Tinky- Directeur Adjoint
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Localisation : avec vous sur le forum^^'
Date d'inscription : 31/12/2006
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Ce début de shot est super! bravo mimi
Je me demande ce que va faire martin il est tellement proche de sam hihi....( moi je les adore ces p'tits la quand ils sont transits l'un de l'autre ...bon j'arrête)
Vivement la deuxième partie!!!!
Je me demande ce que va faire martin il est tellement proche de sam hihi....( moi je les adore ces p'tits la quand ils sont transits l'un de l'autre ...bon j'arrête)
Vivement la deuxième partie!!!!
mélodie- Nouvelle recrue
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Age : 34
Date d'inscription : 22/04/2008
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
ah j'adore, super bien ecrit, j'aime bien la description de ce que pense Martin!!
vivemnt la suite
vivemnt la suite
elena77- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 122
Age : 35
Localisation : Chelles (77) ile de france mais dans mon esprit : fais le tour du monde!
Date d'inscription : 23/02/2007
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Whouah un Martin qui s'enerve contre Sam ... c'est pas courant .... Mais j'adore le rapprochement ....
bravo c'est un tres bon début
bravo c'est un tres bon début
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
J'adore Tu écris vraiment trop bien. Je regarde pas Greys donc le suspens est entier pr moi mdr.
Vivement la suite Mimi!
Vivement la suite Mimi!
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Bon, je ne suis toujours pas satisfaite de ma fin mais j'avoue que je sèche là...
*****
Martin était là, devant elle, devant cette femme qu’il avait tant aimé, semblant hésiter. Il la dévisageait en silence, comme si son inspection allait lui apporter les réponses qu’il cherchait. Il sentit alors une transformation s’opérer en lui et sa colère se changea soudain en une chose qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps : du désir. Un désir violent pour cette femme qui ne l’aimait pas et qu’il n’avait plus le droit de toucher.
Mu par une pulsion soudaine, il plaqua les épaules de Sam contre le mur avec ses mains et, avant qu’elle n’ai pu réagir, écrasa violemment sa bouche contre la sienne. Sans plus de cérémonie, il introduisit sa langue dans sa bouche, la fouillant sans retenue. D’abord surprise, Sam ne réagit pas mais, très vite, ses bras s’enroulèrent machinalement autour de son cou, l’attirant plus près.
Au loin, une sirène de police résonna mais ni l’un ni l’autre n’y prêta attention. Le silence de la ruelle contrastait avec le bruit de leurs souffles saccadés et les gémissements de l’un ou de l’autre. Martin ne réfléchissait plus et Sam n’y parvenait pas. Elle savait que tout ça ne signifiait rien et que c’était probablement simplement le contre-coup de cette affaire. Elle savait qu’elle devrait le repousser au lieu de lui répondre aussi passionnément. Mais son corps lui refusait ce que sa tête lui ordonnait. Pourtant, la culpabilité s’immisçait en elle. Elle regretterait forcément de le laisser faire, ce baiser ne servirait qu’à rouvrir des cicatrices qui avaient déjà été longues à se refermer. Mais sa volonté ne pesait pas lourd sous la bouche de Martin, surtout quand elle était aussi possessive et passionnée.
Quant à Martin, il faisait passer dans ce baiser toute sa frustration et sa fureur. Il ne savait pas pourquoi il faisait ça mais peu importait. Il avait suivit une pulsion et ça lui suffisait comme explication. Il avait trop bu, il était troublé par cette affaire et Sam était là. Pourquoi aurait-il du se contenir ?
Au fond de lui, il savait pourquoi mais il refusait de reconnaître la légitimité de la réponse. Comme pour chasser cette pensée, il approfondit le baiser et laissa glisser une de ses mains sur la poitrine de Sam, plaquant encore plus étroitement son corps contre le sien. Celle-ci gémit sous la caresse et en sentant le désir de Martin contre son ventre. Pour toute réponse, il lui mordilla la lèvre. Un léger goût de sang se répandit alors dans leurs bouches et, après une dernière légère pression sur ses lèvres, Martin s’éloigna.
Une de ses mains entourait le visage de Sam et il la regarda un instant avec une intensité quasiment insoutenable pour Sam. Interdit, il semblait être en train de réaliser ce qui venait de se passer. Il la dévisageait en silence, son regard glacial de plus tôt transformé en un regard emprunt d’une infinie tendresse. Le contraste ne manqua pas de troubler Sam qui, après lui avoir retourné son regard, baissa les yeux. Martin comprit alors que rien ne changerait jamais : ce léger mouvement de tête empli de culpabilité mettait un point final à tout ce qui avait été et tout ce qui aurait pu être.
La dévisageant toujours, Martin se recula de quelques pas, la respiration haletante. Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose mais rien ne lui semblait vraiment approprié. Sam le regardait sans un mot, attendant probablement qu’il parle le premier. Il savait qu’il devrait s’excuser, lui dire qu’il était désolé, qu’il n’aurait pas du…mais il n’en voyait pas l’utilité. A dire vrai, il ne voyait pas pourquoi il devrait s’excuser pour quelque chose qu’il ne regrettait pas.
Il lui lança un dernier regard rempli de tellement d’émotions différentes que Sam ne chercha même pas à les identifier, puis se détourna, enfouit les mains dans les poches de son manteau et reprit sa route la tête basse, comme si rien ne s’était passé, ses pas résonnant dans la ruelle désertée et sombre.
- Sam ?
La voix de Jack la fit sursauter et elle se retourna vivement vers lui, se demandant depuis quand il était là. Elle suivit son regard tandis qu’il observait Martin qui s’éloignait.
- Tout va bien ? demanda-t-il en s’approchant. Tu trembles…
- Oui, j’ai froid, mentit-elle.
Elle savait très bien qu’elle ne tremblait pas à cause du froid, une chaleur brûlante ayant envahie ses veines. Mais que pouvait-elle dire d’autre à Jack ? Celui-ci retira sa veste et la posa sur ses épaules.
- Martin est parti finalement ? demanda-t-il en faisant un signe de tête vers la silhouette qui s’éloignait dans la ruelle.
- Ouais. Toute cette affaire l’a secoué. Je n’ai pas réussi à le persuader de rester.
- Ça va lui passer, constata simplement Jack.
- Je l’espère.
- Tu saignes ? dit Jack en posant une main sur la lèvre inférieure de Sam.
Il la regarda d’un air interrogateur et Sam sentit malgré elle le rouge lui monter aux joues. Mal à l’aise, Sam porta sa main à sa lèvre.
- J’ai du me mordre.
Jack opina de la tête, semblant se contenter de la réponse.
- Aller, viens au chaud, ajouta-t-il en passant un bras autour de ses épaules pour l’attirer à lui.
Sam acquiesça et le suivit. Il la laissa entrer d’abord et, avant de refermer la porte derrière lui, Jack regarda une dernière fois en direction de la ruelle.
Il n’aimait pas ça…il n’aimait pas la distance de Martin depuis quelques mois…et il n’aimait pas les hésitations de Sam quand elle parlait parfois de lui. Il ne savait pas quoi exactement mais quelque chose se passait…Et que se soit professionnellement ou personnellement, il comptait bien garder l’œil ouvert.
Fin
*****
Martin était là, devant elle, devant cette femme qu’il avait tant aimé, semblant hésiter. Il la dévisageait en silence, comme si son inspection allait lui apporter les réponses qu’il cherchait. Il sentit alors une transformation s’opérer en lui et sa colère se changea soudain en une chose qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps : du désir. Un désir violent pour cette femme qui ne l’aimait pas et qu’il n’avait plus le droit de toucher.
Mu par une pulsion soudaine, il plaqua les épaules de Sam contre le mur avec ses mains et, avant qu’elle n’ai pu réagir, écrasa violemment sa bouche contre la sienne. Sans plus de cérémonie, il introduisit sa langue dans sa bouche, la fouillant sans retenue. D’abord surprise, Sam ne réagit pas mais, très vite, ses bras s’enroulèrent machinalement autour de son cou, l’attirant plus près.
Au loin, une sirène de police résonna mais ni l’un ni l’autre n’y prêta attention. Le silence de la ruelle contrastait avec le bruit de leurs souffles saccadés et les gémissements de l’un ou de l’autre. Martin ne réfléchissait plus et Sam n’y parvenait pas. Elle savait que tout ça ne signifiait rien et que c’était probablement simplement le contre-coup de cette affaire. Elle savait qu’elle devrait le repousser au lieu de lui répondre aussi passionnément. Mais son corps lui refusait ce que sa tête lui ordonnait. Pourtant, la culpabilité s’immisçait en elle. Elle regretterait forcément de le laisser faire, ce baiser ne servirait qu’à rouvrir des cicatrices qui avaient déjà été longues à se refermer. Mais sa volonté ne pesait pas lourd sous la bouche de Martin, surtout quand elle était aussi possessive et passionnée.
Quant à Martin, il faisait passer dans ce baiser toute sa frustration et sa fureur. Il ne savait pas pourquoi il faisait ça mais peu importait. Il avait suivit une pulsion et ça lui suffisait comme explication. Il avait trop bu, il était troublé par cette affaire et Sam était là. Pourquoi aurait-il du se contenir ?
Au fond de lui, il savait pourquoi mais il refusait de reconnaître la légitimité de la réponse. Comme pour chasser cette pensée, il approfondit le baiser et laissa glisser une de ses mains sur la poitrine de Sam, plaquant encore plus étroitement son corps contre le sien. Celle-ci gémit sous la caresse et en sentant le désir de Martin contre son ventre. Pour toute réponse, il lui mordilla la lèvre. Un léger goût de sang se répandit alors dans leurs bouches et, après une dernière légère pression sur ses lèvres, Martin s’éloigna.
Une de ses mains entourait le visage de Sam et il la regarda un instant avec une intensité quasiment insoutenable pour Sam. Interdit, il semblait être en train de réaliser ce qui venait de se passer. Il la dévisageait en silence, son regard glacial de plus tôt transformé en un regard emprunt d’une infinie tendresse. Le contraste ne manqua pas de troubler Sam qui, après lui avoir retourné son regard, baissa les yeux. Martin comprit alors que rien ne changerait jamais : ce léger mouvement de tête empli de culpabilité mettait un point final à tout ce qui avait été et tout ce qui aurait pu être.
La dévisageant toujours, Martin se recula de quelques pas, la respiration haletante. Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose mais rien ne lui semblait vraiment approprié. Sam le regardait sans un mot, attendant probablement qu’il parle le premier. Il savait qu’il devrait s’excuser, lui dire qu’il était désolé, qu’il n’aurait pas du…mais il n’en voyait pas l’utilité. A dire vrai, il ne voyait pas pourquoi il devrait s’excuser pour quelque chose qu’il ne regrettait pas.
Il lui lança un dernier regard rempli de tellement d’émotions différentes que Sam ne chercha même pas à les identifier, puis se détourna, enfouit les mains dans les poches de son manteau et reprit sa route la tête basse, comme si rien ne s’était passé, ses pas résonnant dans la ruelle désertée et sombre.
- Sam ?
La voix de Jack la fit sursauter et elle se retourna vivement vers lui, se demandant depuis quand il était là. Elle suivit son regard tandis qu’il observait Martin qui s’éloignait.
- Tout va bien ? demanda-t-il en s’approchant. Tu trembles…
- Oui, j’ai froid, mentit-elle.
Elle savait très bien qu’elle ne tremblait pas à cause du froid, une chaleur brûlante ayant envahie ses veines. Mais que pouvait-elle dire d’autre à Jack ? Celui-ci retira sa veste et la posa sur ses épaules.
- Martin est parti finalement ? demanda-t-il en faisant un signe de tête vers la silhouette qui s’éloignait dans la ruelle.
- Ouais. Toute cette affaire l’a secoué. Je n’ai pas réussi à le persuader de rester.
- Ça va lui passer, constata simplement Jack.
- Je l’espère.
- Tu saignes ? dit Jack en posant une main sur la lèvre inférieure de Sam.
Il la regarda d’un air interrogateur et Sam sentit malgré elle le rouge lui monter aux joues. Mal à l’aise, Sam porta sa main à sa lèvre.
- J’ai du me mordre.
Jack opina de la tête, semblant se contenter de la réponse.
- Aller, viens au chaud, ajouta-t-il en passant un bras autour de ses épaules pour l’attirer à lui.
Sam acquiesça et le suivit. Il la laissa entrer d’abord et, avant de refermer la porte derrière lui, Jack regarda une dernière fois en direction de la ruelle.
Il n’aimait pas ça…il n’aimait pas la distance de Martin depuis quelques mois…et il n’aimait pas les hésitations de Sam quand elle parlait parfois de lui. Il ne savait pas quoi exactement mais quelque chose se passait…Et que se soit professionnellement ou personnellement, il comptait bien garder l’œil ouvert.
Fin
mimi- Directeur du FBI
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Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Aah, tu as enfin mis la fin!
Je me suis d'abord dit que clairounett n'allait pas aimer ça Mais finalement, on se retrouve avec un Martin seul et probablement malheureux... J'aimais bien le voir furieux, moi: il aurait pu en dire plus à Sam...
C'était un superbe petit shot, mimi
C'est "marrant", mais tu finis (presque) toujours tes shots sur quelque chose où on se dit que tu pourrais faire une (très longue) suite. Et je me prends toujours à espérer que tu t'y remettras
Encore bravo et merci pour ce shot, et vivement le prochain!
Je me suis d'abord dit que clairounett n'allait pas aimer ça Mais finalement, on se retrouve avec un Martin seul et probablement malheureux... J'aimais bien le voir furieux, moi: il aurait pu en dire plus à Sam...
C'était un superbe petit shot, mimi
J'aime pas ça, Jack...Il ne savait pas quoi exactement mais quelque chose se passait…Et que se soit professionnellement ou personnellement, il comptait bien garder l’œil ouvert.
C'est "marrant", mais tu finis (presque) toujours tes shots sur quelque chose où on se dit que tu pourrais faire une (très longue) suite. Et je me prends toujours à espérer que tu t'y remettras
Encore bravo et merci pour ce shot, et vivement le prochain!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Mouchette a écrit:Aah, tu as enfin mis la fin!
Je me suis d'abord dit que clairounett n'allait pas aimer ça Mais finalement, on se retrouve avec un Martin seul et probablement malheureux... J'aimais bien le voir furieux, moi: il aurait pu en dire plus à Sam...
Alors Mouchette, tu as une partie raison et une partie tort... Mais ma conclusion, c'est que je me serai bien arrêtée à la première partie...
M/S pour moi c'est plus possible (sauf pour la traduc' que tu es en train de faire, mais c'est différent), et puis finir sur J/S, c'est pareil... Mais ce n'est pas grave, il en faut pour tous les goûts, et je continuerai de te lire avec plaisir...
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
Je savais que je tendais le bâton pour me faire battre avec Clairounett... Je vais mettre un warning spécialement pour toi maintenant au début des fics. Comme ça, tu ne seras plus obligée de lire...
LOl, c'est vrai...j'avais jamais remarqué. C'est probablement que je veux toujours garder un espoir...Ça a fait ça avec Le Triangle... Qui sait, quand je serai en manque d'inspiration, je me replongerai peut-être dans mes anciennes fics pour les "continuer"...
C'est "marrant", mais tu finis (presque) toujours tes shots sur quelque chose où on se dit que tu pourrais faire une (très longue) suite. Et je me prends toujours à espérer que tu t'y remettras
LOl, c'est vrai...j'avais jamais remarqué. C'est probablement que je veux toujours garder un espoir...Ça a fait ça avec Le Triangle... Qui sait, quand je serai en manque d'inspiration, je me replongerai peut-être dans mes anciennes fics pour les "continuer"...
mimi- Directeur du FBI
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Localisation : Aux MAA ( Martin's Addicted Anonyms )
Date d'inscription : 16/03/2006
Re: Contre-coups ( SHOT, tout public, terminé )
mimi a écrit:Je savais que je tendais le bâton pour me faire battre avec Clairounett... Je vais mettre un warning spécialement pour toi maintenant au début des fics. Comme ça, tu ne seras plus obligée de lire...
Oh mais il en faudra plus pour que j'arrête de te lire, c'est juste que j'aime moins quand c'est Smarty.. Après y'a toujours des passages pour se satisfaire... comme quand tu décris Marty....
Mais y'a pas de soucis, tous les goûts sont dans la nature..
A la prochaine fic !!
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