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clairounett- Enquêtes internes
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Nombre de messages : 2832
Age : 38
Localisation : dans un trou perdu....que j'adore
Date d'inscription : 28/12/2005 -
Re: Nell
nathaloche Dim 4 Nov - 20:49
allez une suite pour ce soir !! ca vole pas tr_s haut mais ça fait rien
-----
Le jeune agent partit rejoindre Maria à la cuisine et lui fait part de ses projets.
La gentille femme lui tapota la joue avec tendresse et l’aida à préparer ses ingrédients.
Danny souriait tout seul. Il était content de sa trouvaille et espérait que Nell en serait ravie aussi. Il se fichait à vrai dire totalement de ce que pourrait en penser les invités de Martin et comptait bien faire en sorte que cette soirée soit inoubliable pour sa Nell. Il rigola tout seul dans la pièce en imaginant ce quil avait prévu pour son ami.
« Danny ? qu’est ce qui peut bien te rendre si hilare, brother ?»
« tiens quand je pense au loup, j’en vois la queue… »
« Quoi ? »
« Rien, Fitzy, je me demandais de quelle manière j’allais te faire passer cette semaine sous mes ordres … »
« et dis moi, tu sembles tirer la sonnette d’alarme un peu vite, non ? je ne crois pas avoir eu mon gage !»
Danny ne put s’empêcher de sourire et donna une petite tape sur l’épaule à Martin.
«Tu tombes bien , dis moi tu m’aides à terminer tout ça ? »
Il y avait de la farine, des œufs, du sucre étalés partout à même la table.
« tu fais un gâteau ? »
« Oui, pour Nell…»
« pourquoi ?»
« C’est une surprise, une très grande surprise…je l’aide à concrétiser ses rêves d’enfant ! »
Danny avait le regard coquin ce qui n’échappa pas à Martin .
« Qu’est ce que tu mijotes encore ? »
« Oh non pour une fois, c’est très sérieux et tu vas m’aider à mettre l’ambiane… »
« Me dis pas que c’est mon gage, mettre l’ambiance pour quoi faire ? »
« Non, ce n’est pas ton gage, ne t’inquiètes donc pas comme cela, non je voudrais juste que tu m’aides un peu à faire en sorte que tout le monde participe… »
« allez vas y expliques-moi… »
Danny lui dicta ce qu’il comptait faire de ce gâteau et le sourire magnifique qui s’affichait sur ses lèvres ne put que convaincre Martin.
« C’est une belle idée, Danny, franchement je pense qu’elle va être avie. Et tu lui as prévu un petit cadeau ?»
« Oh que oui, et pas n’importe lequel… »
« C’est quoi ? »
« Désolé, mon Fitzy d’amour, mais ça c’est mon secret… »
Les deux hommes avaient remonté les manches de leur chemise et s’activaient à terminer le sompteux gâteau que Danny réservait à Nell. Maria les aida ensuite à le faire cuire et leur demanda de se tenir prêt dans la demi-heure suivante.
« Fitzy, on va faire un petit tour en attendant ? »
« Il fait rudement froid dehors, viens on va aller papoter dans le bureau de mon père »
« Papoter ? comme tu veux, miss Marty ! »
« Allez tais toi un peu et suis moi, c’est là-bas… »
Les deux garçons, après avoir prévenu leur invités de leur départ, partirent ensemble dans le bureau de Victor Fitzgerald. C’était un bureau à la hauteur de la réputation froide et distante du père de Martin. Des tableaux de la famille remplissaient les murs et le bureau semblait à lui seul un lieu dnudé de sentiments et de joie.
« Wahou ! c’est…un peu froid comme endroit, on dirait un tombeau sans les morts ! »
« Ils sont accrochés au murs ! »
« Oups ! »
« Non, t’inquiètes, là c’est mon arrière arrière grand-père…Victor Fitzgerald Sénior, puis ici mon grand-père…Victor Martin Fitzgerald… »
« Ils font dans l’original dans les prénoms au moins… »
Martin sourit. Il n’avait jamais aimé son prénom à cause de cela. Il avait eu toujours l’impression de devoir le porter fièrement pour un autre et qu’aucune erreur ne pourrait lui être ainsi pardonnée.
« Martin, c’est qui ça ? »
« C’est moi quand j’avais 10 ans… »
« Oh mais c’est qu’il est tout chou avec…c’était comme même pas un berumda et des chaussettes blanches remontées au mollet ? oh non, Marty, pas toi … »
« Si, à 10 ans tu choisis pas toujours la façon dont tu dois etre habillé… »
« et là c’est encore toi ? »
« Ouais, je dois avoir 15 ans… »
« 15 ans, j’ai aodré cet âge…les filles à foison, les conneries, les beuveries…T’aurais pu sourire pour le petit oiseau tout de même ! »
« Mes 15 ans n’ont pas été aussi rempli. Je m’ennuyais grave et je n’attendais qu’une seule chose, en avoir 18 pour partir prendre un peu ma liberté ! »
« Wahou, et moi qui pensait que tu ne rêvais que de gloire et de grandes choses ! »
Martin regarda Danny en souriant et lui passa son bras autour des épaules. Danny se tendit un peu à ce contact mais sachant qu’il n’avait rien à craindre de son ami se laissa faire.
« tu sais, Danny, des fois je me dis que ç’aurais été sympa d’avoir un …petit frêre comme toi à la maison… »
Danny resta silencieux. Ces simples mots venaient de le toucher bien plus qu’il ne voulait l’admettre. Il toussota pour cacher son émotion et regarda Martin.
« Ton père m’aurait hai…et puis j’aurais été trop petit, tu n’aurais pas voulu jouer avec moi… »
« Imagines que tu sois venu quand j’en avais 15 , tu aurais eu 9 ans…j’aurais aimé avoir un petit frère de 9 ans dans les pattes, crois moi, Danny… »
Le deux garçons s’asseyèrent confortablement dans le grand canapé de la pièce et danny déposa ses pieds sur la table basse qui trônait en face de lui.
« vas y Marty, y’a pas ton père… »
Martin ne put s’empêcher d’hésiter un instant et finit par prendre la même position.
« Je te plains, brother, t’as pas du t’amuser tous les jours dans cette pièce, la vache…entre papi et vieux papi… »
« Pas trop, si tu savais le nombre de fois où j’ai rêvé de lancer un balle de base ball à mon père dans cette pièce…je crois qu’il n’a jamais réellement prêté attention à moi… je me souviens, quand j’avais 10-11 ans, je venais ici, je m’asseyais sur le fauteuil en face de son bureau et j’attendais, ma balle à la main. J’attendais des fois une heure avnt qu’il ne décide de lever les yeux sur moi… »
« Il ne te parlait pas du tout ? »
« non, il travaillait et je devais attendre qu’il ait fini pour lui demander s’il voulait me suivre dehors 5 minutes pour me lancer une ou deux balles… »
« Et alors... ? »
« «il n’est jamais venu…je repartais le coeur gros et je partais jouer tout seul...je lançais ma balle et je faisais semblant d’être le champion de la ligue, je courais comme un dératé pour la rattraper… enfn c’était très pathétique…»
« et ta mère ? »
« Oh ma mère, tu connais le genre réunion tuperware !? »
« Oauis vaguement, c’est une réunion où tous les commères et mènagères de plus de 50 ans se réunissent pour parler tricot et compagnie ? »
« Oui si on veut, ma mère n’avait pas de temps à me consacrer , entre les expositions diverses auxquelle elle participait , les congrès de charité, ses préparation pour les grandes soirées et ses réuions tuperware… »
« putain, Marty, t’as du te sentir rudement seul au milieu de tout cela… »
«heureusement j’avais Tante Bonnie et mes cousines, je crois que ma vraie famille a touours été là bas ! »
Danny regarda un moment Martin comme pour le sonder et se pinça les lèvres.
« Mercipour cette soirée cafard, vieux frère…ben tu sais quoi, mon marty, j’ai une idée…imagines un instant que ton père ait décidé par le plus pur des hasards de prendre un pauvre gosse oublié au fond d’un insitution pour lui offrir des vacances dans une belle demeure près d ‘un lac…»
« Il n’aurait jamais fait cela… »
« Martin, tu connais la définiton du mot Imagines, tout de même !… »
« Et ? »
« Et pas de bol pour lui, ce gosse est un peu téméraire et a un sens de l’humour et de la bêtise assez prononcé… »
« Et ? tu veux en venir où Dan, ? »
« T’as pas une batte et un gant quelque part ? »
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a suivre ...
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Le jeune agent partit rejoindre Maria à la cuisine et lui fait part de ses projets.
La gentille femme lui tapota la joue avec tendresse et l’aida à préparer ses ingrédients.
Danny souriait tout seul. Il était content de sa trouvaille et espérait que Nell en serait ravie aussi. Il se fichait à vrai dire totalement de ce que pourrait en penser les invités de Martin et comptait bien faire en sorte que cette soirée soit inoubliable pour sa Nell. Il rigola tout seul dans la pièce en imaginant ce quil avait prévu pour son ami.
« Danny ? qu’est ce qui peut bien te rendre si hilare, brother ?»
« tiens quand je pense au loup, j’en vois la queue… »
« Quoi ? »
« Rien, Fitzy, je me demandais de quelle manière j’allais te faire passer cette semaine sous mes ordres … »
« et dis moi, tu sembles tirer la sonnette d’alarme un peu vite, non ? je ne crois pas avoir eu mon gage !»
Danny ne put s’empêcher de sourire et donna une petite tape sur l’épaule à Martin.
«Tu tombes bien , dis moi tu m’aides à terminer tout ça ? »
Il y avait de la farine, des œufs, du sucre étalés partout à même la table.
« tu fais un gâteau ? »
« Oui, pour Nell…»
« pourquoi ?»
« C’est une surprise, une très grande surprise…je l’aide à concrétiser ses rêves d’enfant ! »
Danny avait le regard coquin ce qui n’échappa pas à Martin .
« Qu’est ce que tu mijotes encore ? »
« Oh non pour une fois, c’est très sérieux et tu vas m’aider à mettre l’ambiane… »
« Me dis pas que c’est mon gage, mettre l’ambiance pour quoi faire ? »
« Non, ce n’est pas ton gage, ne t’inquiètes donc pas comme cela, non je voudrais juste que tu m’aides un peu à faire en sorte que tout le monde participe… »
« allez vas y expliques-moi… »
Danny lui dicta ce qu’il comptait faire de ce gâteau et le sourire magnifique qui s’affichait sur ses lèvres ne put que convaincre Martin.
« C’est une belle idée, Danny, franchement je pense qu’elle va être avie. Et tu lui as prévu un petit cadeau ?»
« Oh que oui, et pas n’importe lequel… »
« C’est quoi ? »
« Désolé, mon Fitzy d’amour, mais ça c’est mon secret… »
Les deux hommes avaient remonté les manches de leur chemise et s’activaient à terminer le sompteux gâteau que Danny réservait à Nell. Maria les aida ensuite à le faire cuire et leur demanda de se tenir prêt dans la demi-heure suivante.
« Fitzy, on va faire un petit tour en attendant ? »
« Il fait rudement froid dehors, viens on va aller papoter dans le bureau de mon père »
« Papoter ? comme tu veux, miss Marty ! »
« Allez tais toi un peu et suis moi, c’est là-bas… »
Les deux garçons, après avoir prévenu leur invités de leur départ, partirent ensemble dans le bureau de Victor Fitzgerald. C’était un bureau à la hauteur de la réputation froide et distante du père de Martin. Des tableaux de la famille remplissaient les murs et le bureau semblait à lui seul un lieu dnudé de sentiments et de joie.
« Wahou ! c’est…un peu froid comme endroit, on dirait un tombeau sans les morts ! »
« Ils sont accrochés au murs ! »
« Oups ! »
« Non, t’inquiètes, là c’est mon arrière arrière grand-père…Victor Fitzgerald Sénior, puis ici mon grand-père…Victor Martin Fitzgerald… »
« Ils font dans l’original dans les prénoms au moins… »
Martin sourit. Il n’avait jamais aimé son prénom à cause de cela. Il avait eu toujours l’impression de devoir le porter fièrement pour un autre et qu’aucune erreur ne pourrait lui être ainsi pardonnée.
« Martin, c’est qui ça ? »
« C’est moi quand j’avais 10 ans… »
« Oh mais c’est qu’il est tout chou avec…c’était comme même pas un berumda et des chaussettes blanches remontées au mollet ? oh non, Marty, pas toi … »
« Si, à 10 ans tu choisis pas toujours la façon dont tu dois etre habillé… »
« et là c’est encore toi ? »
« Ouais, je dois avoir 15 ans… »
« 15 ans, j’ai aodré cet âge…les filles à foison, les conneries, les beuveries…T’aurais pu sourire pour le petit oiseau tout de même ! »
« Mes 15 ans n’ont pas été aussi rempli. Je m’ennuyais grave et je n’attendais qu’une seule chose, en avoir 18 pour partir prendre un peu ma liberté ! »
« Wahou, et moi qui pensait que tu ne rêvais que de gloire et de grandes choses ! »
Martin regarda Danny en souriant et lui passa son bras autour des épaules. Danny se tendit un peu à ce contact mais sachant qu’il n’avait rien à craindre de son ami se laissa faire.
« tu sais, Danny, des fois je me dis que ç’aurais été sympa d’avoir un …petit frêre comme toi à la maison… »
Danny resta silencieux. Ces simples mots venaient de le toucher bien plus qu’il ne voulait l’admettre. Il toussota pour cacher son émotion et regarda Martin.
« Ton père m’aurait hai…et puis j’aurais été trop petit, tu n’aurais pas voulu jouer avec moi… »
« Imagines que tu sois venu quand j’en avais 15 , tu aurais eu 9 ans…j’aurais aimé avoir un petit frère de 9 ans dans les pattes, crois moi, Danny… »
Le deux garçons s’asseyèrent confortablement dans le grand canapé de la pièce et danny déposa ses pieds sur la table basse qui trônait en face de lui.
« vas y Marty, y’a pas ton père… »
Martin ne put s’empêcher d’hésiter un instant et finit par prendre la même position.
« Je te plains, brother, t’as pas du t’amuser tous les jours dans cette pièce, la vache…entre papi et vieux papi… »
« Pas trop, si tu savais le nombre de fois où j’ai rêvé de lancer un balle de base ball à mon père dans cette pièce…je crois qu’il n’a jamais réellement prêté attention à moi… je me souviens, quand j’avais 10-11 ans, je venais ici, je m’asseyais sur le fauteuil en face de son bureau et j’attendais, ma balle à la main. J’attendais des fois une heure avnt qu’il ne décide de lever les yeux sur moi… »
« Il ne te parlait pas du tout ? »
« non, il travaillait et je devais attendre qu’il ait fini pour lui demander s’il voulait me suivre dehors 5 minutes pour me lancer une ou deux balles… »
« Et alors... ? »
« «il n’est jamais venu…je repartais le coeur gros et je partais jouer tout seul...je lançais ma balle et je faisais semblant d’être le champion de la ligue, je courais comme un dératé pour la rattraper… enfn c’était très pathétique…»
« et ta mère ? »
« Oh ma mère, tu connais le genre réunion tuperware !? »
« Oauis vaguement, c’est une réunion où tous les commères et mènagères de plus de 50 ans se réunissent pour parler tricot et compagnie ? »
« Oui si on veut, ma mère n’avait pas de temps à me consacrer , entre les expositions diverses auxquelle elle participait , les congrès de charité, ses préparation pour les grandes soirées et ses réuions tuperware… »
« putain, Marty, t’as du te sentir rudement seul au milieu de tout cela… »
«heureusement j’avais Tante Bonnie et mes cousines, je crois que ma vraie famille a touours été là bas ! »
Danny regarda un moment Martin comme pour le sonder et se pinça les lèvres.
« Mercipour cette soirée cafard, vieux frère…ben tu sais quoi, mon marty, j’ai une idée…imagines un instant que ton père ait décidé par le plus pur des hasards de prendre un pauvre gosse oublié au fond d’un insitution pour lui offrir des vacances dans une belle demeure près d ‘un lac…»
« Il n’aurait jamais fait cela… »
« Martin, tu connais la définiton du mot Imagines, tout de même !… »
« Et ? »
« Et pas de bol pour lui, ce gosse est un peu téméraire et a un sens de l’humour et de la bêtise assez prononcé… »
« Et ? tu veux en venir où Dan, ? »
« T’as pas une batte et un gant quelque part ? »
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a suivre ...
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nathaloche- Directeur Adjoint
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Re: Nell
clairounett Dim 4 Nov - 21:04
Comment ça ?? ça ne vole pas très haut ??
En tout cas moi j'ai adoré cette suite, Martin et Danny en vrais brothers...
Et j'espère qu'ils vont jouer au baseball dans le bureau de Victor...
Et c'est quoi cette surprise pour Nell ???
En tout cas moi j'ai adoré cette suite, Martin et Danny en vrais brothers...
Et j'espère qu'ils vont jouer au baseball dans le bureau de Victor...
Et c'est quoi cette surprise pour Nell ???
clairounett- Enquêtes internes
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Re: Nell
clara Dim 4 Nov - 21:55
Roooooo, j'ai adoré ce passage moi 
Maria et Danny c'est pour la vie...j'aime bien cette dame moi
Moi j'ai hate de connaitre son secret
j'imagine la photo 
C'est tout à fait comme ça que j'imagine son bureau
Et toute cette scène avec Martin et Danny, un pur régal
Encore,encore et encore
Le jeune agent partit rejoindre Maria à la cuisine et lui fait part de ses projets.
La gentille femme lui tapota la joue avec tendresse et l’aida à préparer ses ingrédients.
Maria et Danny c'est pour la vie...j'aime bien cette dame moi
Désolé, mon Fitzy d’amour, mais ça c’est mon secret…
Moi j'ai hate de connaitre son secret
Oh mais c’est qu’il est tout chou avec…c’était comme même pas un berumda et des chaussettes blanches remontées au mollet ? oh non, Marty, pas toi
j'imagine la photo Les deux garçons, après avoir prévenu leur invités de leur départ, partirent ensemble dans le bureau de Victor Fitzgerald. C’était un bureau à la hauteur de la réputation froide et distante du père de Martin. Des tableaux de la famille remplissaient les murs et le bureau semblait à lui seul un lieu dnudé de sentiments et de joie.
C'est tout à fait comme ça que j'imagine son bureau
Et toute cette scène avec Martin et Danny, un pur régal
Encore,encore et encore
clara- Président des USA
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Localisation : sous la douche!
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Re: Nell
milaya Dim 4 Nov - 22:06
Danny et Martin ils sont chous c'est vrai les deux amis , surtout quand Danny l' asticote
La suite
La suite
milaya- Enquêtes internes
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Localisation : le mans
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Re: Nell
nathaloche Dim 4 Nov - 23:44
on allez la deuxième suite de la première ... merci les filles je pensais pas que vous alliez apprécier autant !!! ca fait zizir !!! suis toute émue moi maintenant!!! bon allez la suite..c'est aussi délire mais bon ..
-------
« Euh, si là bas dans le meuble, il doit y en avoir dans la collection de mon père…pourquoi ? »
Avant même que Martin ait eu le temps de réagir, Danny avait fait pété le verrou de l’armoire et sortait victorieux une batte, un gant et une balle de base-ball
« Signée des Yankees ? P…., t’en pas une comme cela signée des Mets par hasard ? »
« Non désolé, reposes ça, si mon père s’aperçoit que sa collecion a été touchée… »
« Lanceur ou batteur ? »
« quoi ? »
« Fitzy, tu es lanceur ou batteur ? »
« Non, dann on va pas jouer dans cette pièce on risque de casser quelque chose… »
« J’ai 11 ans fitzy et je m’en fout royalement, et toi tu en as 17 et tu rêves que d’une chose depuis des années, t’éclater un peu …alors cette partie on se l’a fait ? »
Marin hésita et finit par céder devant le regard attendrissant de son meilleur ami.
« Jamais je n’aurais du t’emmener ici, je le savais…Ok , je suis lanceur, mais tu fais attention ? »
« Ok, vas y »
Martin lança prudemment la pemière balle que Danny renvoya doucement à son tour. Les deux firent ce geste plusieurs fois mais se prirent peu à peu au jeu. Leurs mouvements devinrent très rapidement plus brusques, plus compétitifs, plus combatifs et de ce fait beaucoup moins prudents…et une véritable bataille débuta dans la pièce. Martin essayait du mieux qu’il pouvait de rattraper les balles fortes mais assez désorientées de Danny, renversant sur son passage les objets du bureau ou de la pièce. Des chaises tombèrent, une poubelle se renversa, et un effet de balle un peu trop appuyé de danny fit même tomber un des tableaux du mur.Les deux rigolaient, trop pris dans le jeu pour réellement se rendre compte de l’amplitude des dégâts.
Martin regardait tout de même d’un oeil despespéré ce que la maladresse de Danny à la batte engendrait comme dégât. Il en était sûr maintenant, danny n’avait pas du souvent jouer au base-ball…malgré son fanatisme pour les mets !
« tu veux pas plutôt faire le lanceur, Dan ? »
« Oh on je suis trop fort ! et puis ne t’inquiètes pas, on s’occupera de tout ça après, allez celle là si tu la loupes, elle va direct dans les carreaux… »
« Non, non, Danny, …j’en serais presque persuadé c’est ça le pire ! »
Martin rigolait autant qu’il était stressé. Ce mélange le rendait charmant. Si sam l’avait surpris à ce moment là elle n’aurait pu que craquer pour ce sourire rieur et si doux à la fois. Enfin c’est ce que danny pensa en voyant Martin si heureux, si détendu.
« Attention fitzy, la balle qui a fait perdre les yankees ! »
« Danny, les yankees n’ont jamais perdu un seul match contre les Mets… »
« et bien ce soir, ils vont le faire ! »
Danny secoua son bras d’avant en arrière, pencha son corps pour bien présenter sa batte et se concentra en attendant que Martin lance sa balle. Il lui fit arrêter brusquement son geste.
« attends, Martin, je sens que je risques de faire un strike ! et que tu vas vraiment avoir du mal à la rattraper alors je vais retirer ce vieux vase tout pourri d’ici »
Tout en joignant le geste à la parole, Danny se plaça derière Martin et s’approcha d’une sorte de gros vase en porcelaine épaisse, le défit de son déposoir et le posa un peu plus loin.
« c’est la première fois que je vois un vase avec un petit couvercle ! Sans te vexer , Brother, mais tes parents ont tout de même de drôle de goût et cette couleur vieillotte, mais quelle horreur… »
Danny était curieux et ne put s’empêcher de regarder à l’intérieur.
« Oh punaise et toi qui dit que les femmes de ménage font bien leur boulot, il est remplis de cochonneries grisâtres… »
Martin ne savait plus s’il devait rire ou rester prostré comme il l’était en ce moment mais le regard si incompréhensif et innocent de Danny à ce moment là le fit éclater de rire.
« C’est pas un vase… »
« Ah ouais , c’est quoi alors, un cendrier géant ? ben tu diras à ton père qu’il doit freiner sur la cigarette parce que punaise y’en a de la cendre là dedans… »
Martin n’osait plus regarder les tableaux accrochés au mur, notamment l’un d’entre eux. A vrai dire, il était hilare. Il savait que par respect il n’aurait pas du rire de cela mais c’était tellement naturel de la part de Danny qu’ il l’aurait presque embrasser d’être à ce point si ignorant des coutumes des familles riches !
« Danny, c’est une urne ! »
« Une urne ? »
Danny se figea avec les yeux écarquillés. Il releva rapidement le regard de l’ouverture qu’il essayait d’examiner depuis le début.
« Une urne ? comme un truc où tu mets les restes de la famille… »
« Oui c’est ce genre de truc… »
« Oh mon dieu, mais…mais c’est un blasphème, j’ai dérangé qui ?…»
Danny, dans son empressement à vouloir réparer son erreur, lâcha le vase dont le contenu s’étala sur le sol.
Martin se figea.
« Oh non les cendre de grand –père, mon père va me tuer !! »
« Oh je suis si désolé, oh marty, je te jure que je n’en savais rien... »
Danny était réellement dans l’embarras, rouge de confusion et essayait desesperement de ramasser les cendres éparpillées et de les replacer dans le vase, enfin dans l’une…
« Calmes toi danny, ce n‘est rien, ça devait arrivé un jour ou l’autre de toute manière… »
A vrai dire, Jamais une telle chose n’était arrivée dans cette maison. Le grand père trônait dans le calme absolu depuis deux générations et les recommandations de son père sur cet objet si précieux venaient de prendre toute leur grandeur dans l’esprit de Martin. Il regarda Danny qui ne savait plus ou se metre tellement la situation l’embarrassait et explosa de rire.Il était lui même confus vivi àvis de la mémoire de ce grand-père qu'il n'avait jamais connu mais de voir danny si gêné et si emprunt de confusion le laissait dans un tout autre état que celui où il aurait réellement du être par respect pour sa famille. Mais ce soir, il s'en foutait royalement.
« laisses tomber, on va aspirer le tout et tout remettre à l’intérieur ni vu ni connu… »
« Mais cet ton gand-père..enfin tu ne peux pas aspirer ton grand-père… c’est…»
« c’est ce que j’ai toujours rêvé qu’il arrive dans cette demeure depuis que j’ai 10 ans dan, et toi, et bien tu l’as fait…je… »
Martin attrapa Danny et le serra très fort dans ses bras.
« Oh là tout doux, frangin, … »
« allez, Danny, aides moi à tout nettoyer, je ne préfèrerais pas que Maria s’aperçoivent de ce dégât là … »
« Je m’en veux un peu… mais je préfère que tu le fasses, je me vois pas aspirer ton grand- Papi»
« Danny, on avait imaginé que l’on était de sale gosse, ben voilà ce qui peut arriver quand deux sales gosses comme nous décident de faire un match de base-ball… »
« Martin, rappelles moi de ne jamais te lancer un tel défi…n’empêche, quelle idée d’avoir un truc pareil posé sur un présentoir , après comment tu veux qu’on puisse jouer librement au base ball, bordel, tu feras part à ton père de mes protestations à ce sujet.. »
« Bon je vois que tu t’en remets rapidement tout de même ! »
Martin partit rapidement chercher l’aspirateur et commença à nettoyer le sol sous le regard médusé de Danny.
Les deux hommes finirent ensuite de tout ranger et de remettre en place les objets empruntés et soupirèrent, soulagés que tout se termine ainsi.
« On y va , je pense que mon gâteau va être prêt…en tous les cas, si j’avais lancé cette balle ce soir..les Mets auraient gagner.. »
« T’es vraiement un mauvais jouer, le problème c’est qu’on ne le sera jamais… »
« Oh que si ..mais franchement loin de ton grand-père… »
Martin rattrapa Danny par le bras et le stoppa dans sa marche.
« Dan, merci… »
« Euh merci de quoi, frangin, je viens de ruiner la moquette avec les restes de papi, Fitzy, et toi tu me remercies… »
« non, pauvre idiot, pour cette partie de base-ball…je…je n’avais jamais passé un si beau moment »
Martin avait les yeux qui brillaient. Les deux hommes se regadèrent un moment et reprirent leur chemin sans un mot, trop émus tous deux pour parler.
Danny n’osa pas à son tour le remercier de lui avoir offert aussi un moment de fraternité si fort. Il en avait presque réussi à croire que Martin et lui avait eu cette chance de naitre dans la même famille…Il soupira. Il aurait aimé un frêre posé et attentif comme Martin pouvait l’être. Il se ressaisit en voyant que son ami le regardait avec étonnement.
« A quoi tu penses, Dan ? »
« tu me parlais de ton plus beau moment…Et bien mon Marty, tu te trompes , c’est tout à l’heure que tu vas avoir la soirée la plus inoubliable de ta vie… »
Martin fronça légèrement les sourcils et soupira. Mettre l’ambiance pour la petite fête préparée par danny n’était pas des plus durs. Son rôle consistait à faire applaudir quand Nell aurait souffler ses bougies et réussir à obtenir un peu d’argent de chacun pour lui offrir un beau cadeau. Par contre, il ne comprenait pas pourquoi Danny ne lui avait pas dit ouvertement ce à quoi son gage consistait dans cette affaire.
Maria avait déjà tout préparé .
Martin pénétra dans la pièce où se tenaient ses invités. Il rougit légèrement de devoir parler ainsi en direct mais continua néamoins.
« Je souhaiterais que vous m’écoutiez un petit moment, ce soir, nous voudrions fêter un jeune femme qui a su apporter par ses sourires timides et sa gentillesse un brin de douceur à cette soirée... »
Maritn éteignit les lumières.
--- a suivre
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« Euh, si là bas dans le meuble, il doit y en avoir dans la collection de mon père…pourquoi ? »
Avant même que Martin ait eu le temps de réagir, Danny avait fait pété le verrou de l’armoire et sortait victorieux une batte, un gant et une balle de base-ball
« Signée des Yankees ? P…., t’en pas une comme cela signée des Mets par hasard ? »
« Non désolé, reposes ça, si mon père s’aperçoit que sa collecion a été touchée… »
« Lanceur ou batteur ? »
« quoi ? »
« Fitzy, tu es lanceur ou batteur ? »
« Non, dann on va pas jouer dans cette pièce on risque de casser quelque chose… »
« J’ai 11 ans fitzy et je m’en fout royalement, et toi tu en as 17 et tu rêves que d’une chose depuis des années, t’éclater un peu …alors cette partie on se l’a fait ? »
Marin hésita et finit par céder devant le regard attendrissant de son meilleur ami.
« Jamais je n’aurais du t’emmener ici, je le savais…Ok , je suis lanceur, mais tu fais attention ? »
« Ok, vas y »
Martin lança prudemment la pemière balle que Danny renvoya doucement à son tour. Les deux firent ce geste plusieurs fois mais se prirent peu à peu au jeu. Leurs mouvements devinrent très rapidement plus brusques, plus compétitifs, plus combatifs et de ce fait beaucoup moins prudents…et une véritable bataille débuta dans la pièce. Martin essayait du mieux qu’il pouvait de rattraper les balles fortes mais assez désorientées de Danny, renversant sur son passage les objets du bureau ou de la pièce. Des chaises tombèrent, une poubelle se renversa, et un effet de balle un peu trop appuyé de danny fit même tomber un des tableaux du mur.Les deux rigolaient, trop pris dans le jeu pour réellement se rendre compte de l’amplitude des dégâts.
Martin regardait tout de même d’un oeil despespéré ce que la maladresse de Danny à la batte engendrait comme dégât. Il en était sûr maintenant, danny n’avait pas du souvent jouer au base-ball…malgré son fanatisme pour les mets !
« tu veux pas plutôt faire le lanceur, Dan ? »
« Oh on je suis trop fort ! et puis ne t’inquiètes pas, on s’occupera de tout ça après, allez celle là si tu la loupes, elle va direct dans les carreaux… »
« Non, non, Danny, …j’en serais presque persuadé c’est ça le pire ! »
Martin rigolait autant qu’il était stressé. Ce mélange le rendait charmant. Si sam l’avait surpris à ce moment là elle n’aurait pu que craquer pour ce sourire rieur et si doux à la fois. Enfin c’est ce que danny pensa en voyant Martin si heureux, si détendu.
« Attention fitzy, la balle qui a fait perdre les yankees ! »
« Danny, les yankees n’ont jamais perdu un seul match contre les Mets… »
« et bien ce soir, ils vont le faire ! »
Danny secoua son bras d’avant en arrière, pencha son corps pour bien présenter sa batte et se concentra en attendant que Martin lance sa balle. Il lui fit arrêter brusquement son geste.
« attends, Martin, je sens que je risques de faire un strike ! et que tu vas vraiment avoir du mal à la rattraper alors je vais retirer ce vieux vase tout pourri d’ici »
Tout en joignant le geste à la parole, Danny se plaça derière Martin et s’approcha d’une sorte de gros vase en porcelaine épaisse, le défit de son déposoir et le posa un peu plus loin.
« c’est la première fois que je vois un vase avec un petit couvercle ! Sans te vexer , Brother, mais tes parents ont tout de même de drôle de goût et cette couleur vieillotte, mais quelle horreur… »
Danny était curieux et ne put s’empêcher de regarder à l’intérieur.
« Oh punaise et toi qui dit que les femmes de ménage font bien leur boulot, il est remplis de cochonneries grisâtres… »
Martin ne savait plus s’il devait rire ou rester prostré comme il l’était en ce moment mais le regard si incompréhensif et innocent de Danny à ce moment là le fit éclater de rire.
« C’est pas un vase… »
« Ah ouais , c’est quoi alors, un cendrier géant ? ben tu diras à ton père qu’il doit freiner sur la cigarette parce que punaise y’en a de la cendre là dedans… »
Martin n’osait plus regarder les tableaux accrochés au mur, notamment l’un d’entre eux. A vrai dire, il était hilare. Il savait que par respect il n’aurait pas du rire de cela mais c’était tellement naturel de la part de Danny qu’ il l’aurait presque embrasser d’être à ce point si ignorant des coutumes des familles riches !
« Danny, c’est une urne ! »
« Une urne ? »
Danny se figea avec les yeux écarquillés. Il releva rapidement le regard de l’ouverture qu’il essayait d’examiner depuis le début.
« Une urne ? comme un truc où tu mets les restes de la famille… »
« Oui c’est ce genre de truc… »
« Oh mon dieu, mais…mais c’est un blasphème, j’ai dérangé qui ?…»
Danny, dans son empressement à vouloir réparer son erreur, lâcha le vase dont le contenu s’étala sur le sol.
Martin se figea.
« Oh non les cendre de grand –père, mon père va me tuer !! »
« Oh je suis si désolé, oh marty, je te jure que je n’en savais rien... »
Danny était réellement dans l’embarras, rouge de confusion et essayait desesperement de ramasser les cendres éparpillées et de les replacer dans le vase, enfin dans l’une…
« Calmes toi danny, ce n‘est rien, ça devait arrivé un jour ou l’autre de toute manière… »
A vrai dire, Jamais une telle chose n’était arrivée dans cette maison. Le grand père trônait dans le calme absolu depuis deux générations et les recommandations de son père sur cet objet si précieux venaient de prendre toute leur grandeur dans l’esprit de Martin. Il regarda Danny qui ne savait plus ou se metre tellement la situation l’embarrassait et explosa de rire.Il était lui même confus vivi àvis de la mémoire de ce grand-père qu'il n'avait jamais connu mais de voir danny si gêné et si emprunt de confusion le laissait dans un tout autre état que celui où il aurait réellement du être par respect pour sa famille. Mais ce soir, il s'en foutait royalement.
« laisses tomber, on va aspirer le tout et tout remettre à l’intérieur ni vu ni connu… »
« Mais cet ton gand-père..enfin tu ne peux pas aspirer ton grand-père… c’est…»
« c’est ce que j’ai toujours rêvé qu’il arrive dans cette demeure depuis que j’ai 10 ans dan, et toi, et bien tu l’as fait…je… »
Martin attrapa Danny et le serra très fort dans ses bras.
« Oh là tout doux, frangin, … »
« allez, Danny, aides moi à tout nettoyer, je ne préfèrerais pas que Maria s’aperçoivent de ce dégât là … »
« Je m’en veux un peu… mais je préfère que tu le fasses, je me vois pas aspirer ton grand- Papi»
« Danny, on avait imaginé que l’on était de sale gosse, ben voilà ce qui peut arriver quand deux sales gosses comme nous décident de faire un match de base-ball… »
« Martin, rappelles moi de ne jamais te lancer un tel défi…n’empêche, quelle idée d’avoir un truc pareil posé sur un présentoir , après comment tu veux qu’on puisse jouer librement au base ball, bordel, tu feras part à ton père de mes protestations à ce sujet.. »
« Bon je vois que tu t’en remets rapidement tout de même ! »
Martin partit rapidement chercher l’aspirateur et commença à nettoyer le sol sous le regard médusé de Danny.
Les deux hommes finirent ensuite de tout ranger et de remettre en place les objets empruntés et soupirèrent, soulagés que tout se termine ainsi.
« On y va , je pense que mon gâteau va être prêt…en tous les cas, si j’avais lancé cette balle ce soir..les Mets auraient gagner.. »
« T’es vraiement un mauvais jouer, le problème c’est qu’on ne le sera jamais… »
« Oh que si ..mais franchement loin de ton grand-père… »
Martin rattrapa Danny par le bras et le stoppa dans sa marche.
« Dan, merci… »
« Euh merci de quoi, frangin, je viens de ruiner la moquette avec les restes de papi, Fitzy, et toi tu me remercies… »
« non, pauvre idiot, pour cette partie de base-ball…je…je n’avais jamais passé un si beau moment »
Martin avait les yeux qui brillaient. Les deux hommes se regadèrent un moment et reprirent leur chemin sans un mot, trop émus tous deux pour parler.
Danny n’osa pas à son tour le remercier de lui avoir offert aussi un moment de fraternité si fort. Il en avait presque réussi à croire que Martin et lui avait eu cette chance de naitre dans la même famille…Il soupira. Il aurait aimé un frêre posé et attentif comme Martin pouvait l’être. Il se ressaisit en voyant que son ami le regardait avec étonnement.
« A quoi tu penses, Dan ? »
« tu me parlais de ton plus beau moment…Et bien mon Marty, tu te trompes , c’est tout à l’heure que tu vas avoir la soirée la plus inoubliable de ta vie… »
Martin fronça légèrement les sourcils et soupira. Mettre l’ambiance pour la petite fête préparée par danny n’était pas des plus durs. Son rôle consistait à faire applaudir quand Nell aurait souffler ses bougies et réussir à obtenir un peu d’argent de chacun pour lui offrir un beau cadeau. Par contre, il ne comprenait pas pourquoi Danny ne lui avait pas dit ouvertement ce à quoi son gage consistait dans cette affaire.
Maria avait déjà tout préparé .
Martin pénétra dans la pièce où se tenaient ses invités. Il rougit légèrement de devoir parler ainsi en direct mais continua néamoins.
« Je souhaiterais que vous m’écoutiez un petit moment, ce soir, nous voudrions fêter un jeune femme qui a su apporter par ses sourires timides et sa gentillesse un brin de douceur à cette soirée... »
Maritn éteignit les lumières.
--- a suivre
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Re: Nell
clairou74 Lun 5 Nov - 0:05
Trop tordant ce chapitre, surtout le passage avec les cendre de papi fitzy, pas trop aidé la Danny tout de même, de ne pas se rendre compte qu'il sagit d'une urne!« Je souhaiterais que vous m’écoutiez un petit moment, ce soir, nous voudrions fêter un jeune femme qui a su apporter par ses sourires timides et sa gentillesse un brin de douceur à cette soirée... »
Maritn éteignit les lumières.
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les chippendales !les chippendales !les chippendales !les chippendales !
Vite la suite!
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Re: Nell
tweetie Lun 5 Nov - 0:20
ki sont chous tous les 2 d vrais gamins
trop sex un homme qui met la main à la pâte 
ça m'a encore plus fait rire parce que c EM junior et son père EM senior
cheeeeeeeeeeeeeeeese
en tout cas, c mouchette qui va être contente
d vrais gamins RrrrrLes deux hommes avaient remonté les manches de leur chemise et s’activaient à terminer le somptueux gâteau que Danny réservait à Nell.
trop sex un homme qui met la main à la pâte Victor Fitzgerald Sénior, puis ici mon grand-père…Victor Martin Fitzgerald… »
« Ils font dans l’original dans les prénoms au moins… »
ça m'a encore plus fait rire parce que c EM junior et son père EM senior quelle horreur, la dégainec’était comme même pas un bermuda et des chaussettes blanches remontées au mollet ? oh non, Marty, pas toi … »
T’aurais pu sourire pour le petit oiseau tout de même ! »
cheeeeeeeeeeeeeeeese si c pas mignonMartin rigolait autant qu’il était stressé. Ce mélange le rendait charmant. Si sam l’avait surpris à ce moment là elle n’aurait pu que craquer pour ce sourire rieur et si doux à la fois. Enfin c’est ce que danny pensa en voyant Martin si heureux, si détendu.
en tout cas, c mouchette qui va être contente
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Re: Nell
clara Lun 5 Nov - 15:29
J'ai déjà tout dit dans l'autre monde
Cette suite était magnifique et j'ai tellement ri Ca m''a détendu de partout
Encore,encore,encore
Cette suite était magnifique et j'ai tellement ri
Ca m''a détendu de partout Encore,encore,encore
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Re: Nell
Shaila Lun 5 Nov - 16:07
toutes ce ssuites étaient à tomber... la suite des confidences de nell ( c'était trop triste) 
marty et danny ! et l'urne j'en étais sûre que c'était ça ! ça me rappelle un film d'ailleurs, je sais pas quoi ma fiancée et moi ! non c'était très touchant et marty ! le pauvre, ça devait être dur son enfance !!! mais ça va là la suittttttteeeeeee
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Re: Nell
Hio-Tin-Vho Lun 5 Nov - 18:31
Bon donc je viens de rattrapper mon retard et je m'attarderais sur la dernière suite.
Hilarante le coup de l'urne et du match de baseball dans le bureau. C'est un coup classique mais toujours efficace et parfois cela arrive dans la réalité. Reste que j'espère qu'en aspirant papy ils ne l'ont pas mélangé à la poussière du nettoyage de Maria !
Un grand moment de fraternité et de bonheur donc. C'est tout chouette depuis un moment ton histoire alors que c'était dur jusque là. Mais dis moi je sens que tu vas tout faire sauter un moment donné avec Edward. J'ai pas tort n'est-ce pas ?
Hilarante le coup de l'urne et du match de baseball dans le bureau. C'est un coup classique mais toujours efficace et parfois cela arrive dans la réalité. Reste que j'espère qu'en aspirant papy ils ne l'ont pas mélangé à la poussière du nettoyage de Maria !
Un grand moment de fraternité et de bonheur donc. C'est tout chouette depuis un moment ton histoire alors que c'était dur jusque là. Mais dis moi je sens que tu vas tout faire sauter un moment donné avec Edward. J'ai pas tort n'est-ce pas ?
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Re: Nell
nathaloche Lun 5 Nov - 21:08
hio, hio !!! faut savoir que j'avance dans le noir total alors...je vois comme le vent me porte !!! :mrgreen:et j'nvente au jour le jour alors !!! je ne sais pas du tout ce que je vais faire ensuite
faut savoir que j'avance dans le noir total alors...je vois comme le vent me porte !!! :mrgreen:et j'nvente au jour le jour alors !!! je ne sais pas du tout ce que je vais faire ensuite
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Re: Nell
Mouchette Lun 5 Nov - 23:25
Oula, y en avait à rattraper! Mais c'est fait, et c'était superbe! Tous les passages étaient magnifiques, drôles et émouvants en même temps. Je devrais citer des passages que je ne pourrais pas, tellement il y en aurait!
Et puis du Martin!
Ah bon, et pourquoi?!
Je devrais citer des passages que je ne pourrais pas, tellement il y en aurait!Et puis du Martin!
tweetie a écrit:en tout cas, c mouchette qui va être contente
Ah bon, et pourquoi?!
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Re: Nell
nathaloche Mar 6 Nov - 0:36
merci les filles !! allez la suite...bon allez finis de rigoler maintenant !!!
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Danny pénétra dans un silence quasi religieux dans la salle. On pouvait voir son visage rayonné de bonheur en tenant un petit gâteau paré d’une dizaine de bougies allumées, qui vacillaient sous l’effet de ses mouvements.
Il toussa un peu, fit un signe à Martin qui rougit encore plus et se mit à chantonner avec lui.
« Happy Birthday tou you, Nellità, happy birthday to you Nellità, happy birthday to you nellità, happy birthday to you…» était-ce l’effet de leur voix grave et « sensuelle » ou simplement une envie commune , mais Jack et Samantha enchainèrent les paroles à leur tour, aussi émus que pouvaient l’être la pauvre Nell en ce moment même.
Candice elle aussi s’était laissée emportée par cette mabiance bonne enfant et tout en tenant son ventre, regardait avec tendresse la jeune femme toute tremblante, dont les yeux commençaient à briller.
La pauvre Nell était confuse. Elle avai rougi en entendant son prénom mais la surprise se lisait encore dans son regard. Elle gardait une main sur son torse, l’air de réellement se demander si cette surprise lui était réellement destinée.
Danny arriva à sa hauteur et déposa le gâteau sur la table, face à elle.
« Mais…Danny...ce…ce n’est pas mon anniversaire… »
« Je sais que c’est en janvier, le 7 même, mais là , Ma petite Nell, ce sont les 15 bougies qui ont manqué à ton bonheur...alors je me suis dit qu’ il serait peut-être maitenant temps de les souffler… »
Nell regarda Danny, étonnée tout d’abord et d’un coup , devant le regard si attendrissant et si charmeur de son ami, l’émotion la submerga. Elle le fixait, observant ses yeux rieurs, pétillants d’amour pour elle, la tête penchée sur le côté dans l’attente qu’elle souffle ses bougies. Elle ne pu retenir ses larmes. Elle était heureuse et cacha rapidement son émotion en se blottisant dans les bras protecteur de Danny. Il était touché, ému de cette réaction et se tourna à son tour vers le mur pour cacher l’émotion qui commençait à l’envahir.
« Oh danny, c’est la plus belle chose que l’on est plus m’offrir depuis si longtemps…je sais pas quoi dire..je suis trop…je… »
Nell se serra encore plus dans les bras de son amant.
« je croyais que c’était moi la plus belle chose qui te soit arrivé ? »
Nell rigola. Elle releva la tête vers Danny et essuya rapidement ses larmes.
« Merci, Danny… »
« Marty m’a aussi aidé à la préparation de ce gâteau… »
Elle se retrouna vers lui et le gratifia d’un joli sourire.
« ce n’est rien , Nell, c’était un vrai plaisir… »
Danny remit le gâteau un peu en face de Nell et la regarda.
« Faudrait peut –être songer à souffler tes bougies maintenant… »
« Oh non je peux pas , je ne vais pas y arriver.. »
« Je vais t’aider on va le faire ensemble, tu es d’accord ? »
Nell hocha la tête. Chacun attendait avec une certaine joie que Nell accomplisse ce grand moment. Elle souffla très timidement. Auncune des bougies ne s’éteignit.
« Oh je vois que tu as perdu l’habitude , allez ensemble à trois...1 ,2 , 3.. »
Et les bougies qui brillaient dans le regard mouillés d’émotion et d ‘amour de la jeune femme laissèrent place à un noir absolu dans la pièce.
« Martin, si tu pouvais allumer ! »
« Oh pardon excusez moi ! »
Tous rigolèrent. Nell se pinça les lèvres, elle était heureuse. Elle regarda rapidement l’assemblée qui avait commencé par applaudir timidement sous les premiers gestes de Martin et beaucoup plus rapidement et avec entrain quelques secondes plus tard.
Elle remercia, le regard baissé vers le sol, les invités et commença à découper le gâteau.
« Merci… »
« hop hop hop, attends Nell, avant toute chose, ton cadeau d’anniversaire ! »
Nell regarda Danny surprise. Il venait de placer une chaise au milieu de la pièce , sur laquelle il fit asseoir la pauvre jeune femme un peu perdue et alluma la stéréo.
Une musique des plus entrainante et néamoins sensuelle débuta.
Danny se mit debout sur la petite table du salon, imita un présentateur de télé et fixa la foule.
« Nell, pour toi, ce soir et sous les applaudissements et les hurlements de fans hystériques, allez les mecs, on joue le jeu… «
Martin fit donc comme Danny lui avait demandé, tapa dans ses mains, poussa quelques cris pour mettre une certaine ambiance, sous le regard tout de même un peu stupéfait de ses amis, qui finirent cependant par s’y mettre aussi.
« donc, je disais, pour vous ce soir, et tout spécialement pour toi, Nellità, …il est beau, musclé, sensuel, et ne sait pas encore qu’il va rendre les femmes de cette salle totalement aphone..pour toi, Nellità, parce qu’il sait que ce soir tout se joue dans ton regard, il va ôter sa cravate, sa chemise, son…rrrr à vous d’imaginer… sous des coups de reins et un déhanchement digne des plus beaux « chippendales » de notre pays, je vous demande d’acclamer notre ami… »
Martin se figea. Le regard de Danny venait explicitement, sans aucune ambiguité possible , de se poser sur lui. Il n’eut pas besoin de lire sur ses lèvres pour comprendre ce que Danny avait concocté depuis le début de cette soirée…cap ou pas cap, voilà les seuls mots qu’il arrivait désormais à lire dans le regard de défi de son meilleur ami.
Tous les regards étaient tournés vers lui. Danny n’avait pas eu besoin de prononcer son nom, ils avaient tous compris ce que Martin était censé faire…samantha fut la première à applaudir en hélant son nom, Nell écarquillait les yeux, amusées et totalement dans l’attente, Eleonor, Candice et Lisa, après une longue hésitation commençèrent à réclamer le fabuleux cadeau…
Seul Jack venait de comprendre leur petit manège et sur ce coup là , il devait admettre que Danny était un maître !
Martin avait cessé de respirer, il ne bougeait plus, fixant son regard sur Danny, et secouant la tête, effaré par ce qui était en train de se dérouler sous son propre toit.
Danny avait mis la musique à fond et avait déboutonné quelques boutons de sa propre chemise pour lui signifier qu’il était temps d’entrer en scène…
---
Edward, lui, ne perdait pas une miette de cette impertience qui rendait son jeune collègue si sûr de lui, si arrogant, si détestable…si délectable. Il avait su dès le début que ce serait lui et pas un autre. Il le toisa un moment, le regardant danser tranquillement près de Martin pour l’emmener jusqu’à Nell, et sourit. Il serait sa meilleure proie, difficilement domptable, difficilement pliable, un véritable jeu de face à face où il était certain d’en ressortir encore plus puissant …et plus riche…très riche…pas un gars paumé comme les autres, qui pleureraient et supllieraient dès le début, rendant le jeu bien moins attrayants, non un homme qui allait être prêt à tout pour se défendre, pour défendre celle qu’il aimait, quitte à devoir faire de terribles choix…tout était planifié …ses mentors lui avaient laissé carte blanche…il allait enfin vivre pleinement ses fantasmes, laissé libre court à son imagination, à ses perversités…son père avait eu tord de ne pas croire ce médecin il y a de nombreuses années, oui son fils avait un problème, mais dans les grandes familles, il est impossible d’ouvrir les yeux devant cette possibilité et Edward avait grandit avec cette envie qui le poussait aux pires vices… on lui avait refusé l’entrée aux beaux arts, mais il le savait, il aurait pu devenir un grand maître, trop…trop obscur, trop sale, trop dérangeant…son style voilà à quoi il avait réduit sa carrière de cinématographe…mais il avait trouvé une belle parade en entrant aux mœurs, toute la déchéance du monde à portée de main…il avait aimé se délecter de leurs cris, de leurs pleurs, les filmer et les voir mourir, captant leur dernier regard suppliant dans une simple pellicule.
Puis Il posa son regard quelque peu ivre sur la jeune Nell. Il avait bien remarqué qu’elle le regardait de temps à autres, comme si quelque chose en lui la dérangeait. Elle n’avait pas tord, il se connaissait depuis longtemps, enfin lui n’ avait pas oublié qu’elle lui avait échappé une fois…il ne put s’empepcher de passer sa langue sur ses lèvres en repensant à cette nuit là …elle avait tout gâché en leur échappant mais son amie avait connu un tout autre sort. Ce qu’il était certain c’est que Nell ne pouvait pas avoir oublié cette histoire, elle semblait en être ressorti quelque peu « amésique » mais où qu’elle se soit cachée, les cris de son amie devait lui rester en mémoire…Il posa alors son regard sur la forme de ses petit seins , ce visage si enfantin, ses cheveux qui se perdait dans son dos, il aurait voulu à cet instand même les toucher, les caresser, le sentir et soumettre ce jeune corps à ses moindres désirs.
Il remarqua le regard de Jack. Il regardait Danny avec tellement de tendresse paternelle malgré son apparente froideur qu’il savait que ce serait de lui qu’il devrait le plus se méfier. Ne rien laisser au hasard…surtout aucun indice qui permettrait de compendre …Ses mentors ne lui laisseraient pas une deuxième chance.
Puis les rires des jeunes femmes le firent revenir à la réalité.
Martin était encore inerte devant Nell, tandis que le jeune agent avait débuté un strip-tease des plus excitants pour ces demoiselles.
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Danny pénétra dans un silence quasi religieux dans la salle. On pouvait voir son visage rayonné de bonheur en tenant un petit gâteau paré d’une dizaine de bougies allumées, qui vacillaient sous l’effet de ses mouvements.
Il toussa un peu, fit un signe à Martin qui rougit encore plus et se mit à chantonner avec lui.
« Happy Birthday tou you, Nellità, happy birthday to you Nellità, happy birthday to you nellità, happy birthday to you…» était-ce l’effet de leur voix grave et « sensuelle » ou simplement une envie commune , mais Jack et Samantha enchainèrent les paroles à leur tour, aussi émus que pouvaient l’être la pauvre Nell en ce moment même.
Candice elle aussi s’était laissée emportée par cette mabiance bonne enfant et tout en tenant son ventre, regardait avec tendresse la jeune femme toute tremblante, dont les yeux commençaient à briller.
La pauvre Nell était confuse. Elle avai rougi en entendant son prénom mais la surprise se lisait encore dans son regard. Elle gardait une main sur son torse, l’air de réellement se demander si cette surprise lui était réellement destinée.
Danny arriva à sa hauteur et déposa le gâteau sur la table, face à elle.
« Mais…Danny...ce…ce n’est pas mon anniversaire… »
« Je sais que c’est en janvier, le 7 même, mais là , Ma petite Nell, ce sont les 15 bougies qui ont manqué à ton bonheur...alors je me suis dit qu’ il serait peut-être maitenant temps de les souffler… »
Nell regarda Danny, étonnée tout d’abord et d’un coup , devant le regard si attendrissant et si charmeur de son ami, l’émotion la submerga. Elle le fixait, observant ses yeux rieurs, pétillants d’amour pour elle, la tête penchée sur le côté dans l’attente qu’elle souffle ses bougies. Elle ne pu retenir ses larmes. Elle était heureuse et cacha rapidement son émotion en se blottisant dans les bras protecteur de Danny. Il était touché, ému de cette réaction et se tourna à son tour vers le mur pour cacher l’émotion qui commençait à l’envahir.
« Oh danny, c’est la plus belle chose que l’on est plus m’offrir depuis si longtemps…je sais pas quoi dire..je suis trop…je… »
Nell se serra encore plus dans les bras de son amant.
« je croyais que c’était moi la plus belle chose qui te soit arrivé ? »
Nell rigola. Elle releva la tête vers Danny et essuya rapidement ses larmes.
« Merci, Danny… »
« Marty m’a aussi aidé à la préparation de ce gâteau… »
Elle se retrouna vers lui et le gratifia d’un joli sourire.
« ce n’est rien , Nell, c’était un vrai plaisir… »
Danny remit le gâteau un peu en face de Nell et la regarda.
« Faudrait peut –être songer à souffler tes bougies maintenant… »
« Oh non je peux pas , je ne vais pas y arriver.. »
« Je vais t’aider on va le faire ensemble, tu es d’accord ? »
Nell hocha la tête. Chacun attendait avec une certaine joie que Nell accomplisse ce grand moment. Elle souffla très timidement. Auncune des bougies ne s’éteignit.
« Oh je vois que tu as perdu l’habitude , allez ensemble à trois...1 ,2 , 3.. »
Et les bougies qui brillaient dans le regard mouillés d’émotion et d ‘amour de la jeune femme laissèrent place à un noir absolu dans la pièce.
« Martin, si tu pouvais allumer ! »
« Oh pardon excusez moi ! »
Tous rigolèrent. Nell se pinça les lèvres, elle était heureuse. Elle regarda rapidement l’assemblée qui avait commencé par applaudir timidement sous les premiers gestes de Martin et beaucoup plus rapidement et avec entrain quelques secondes plus tard.
Elle remercia, le regard baissé vers le sol, les invités et commença à découper le gâteau.
« Merci… »
« hop hop hop, attends Nell, avant toute chose, ton cadeau d’anniversaire ! »
Nell regarda Danny surprise. Il venait de placer une chaise au milieu de la pièce , sur laquelle il fit asseoir la pauvre jeune femme un peu perdue et alluma la stéréo.
Une musique des plus entrainante et néamoins sensuelle débuta.
Danny se mit debout sur la petite table du salon, imita un présentateur de télé et fixa la foule.
« Nell, pour toi, ce soir et sous les applaudissements et les hurlements de fans hystériques, allez les mecs, on joue le jeu… «
Martin fit donc comme Danny lui avait demandé, tapa dans ses mains, poussa quelques cris pour mettre une certaine ambiance, sous le regard tout de même un peu stupéfait de ses amis, qui finirent cependant par s’y mettre aussi.
« donc, je disais, pour vous ce soir, et tout spécialement pour toi, Nellità, …il est beau, musclé, sensuel, et ne sait pas encore qu’il va rendre les femmes de cette salle totalement aphone..pour toi, Nellità, parce qu’il sait que ce soir tout se joue dans ton regard, il va ôter sa cravate, sa chemise, son…rrrr à vous d’imaginer… sous des coups de reins et un déhanchement digne des plus beaux « chippendales » de notre pays, je vous demande d’acclamer notre ami… »
Martin se figea. Le regard de Danny venait explicitement, sans aucune ambiguité possible , de se poser sur lui. Il n’eut pas besoin de lire sur ses lèvres pour comprendre ce que Danny avait concocté depuis le début de cette soirée…cap ou pas cap, voilà les seuls mots qu’il arrivait désormais à lire dans le regard de défi de son meilleur ami.
Tous les regards étaient tournés vers lui. Danny n’avait pas eu besoin de prononcer son nom, ils avaient tous compris ce que Martin était censé faire…samantha fut la première à applaudir en hélant son nom, Nell écarquillait les yeux, amusées et totalement dans l’attente, Eleonor, Candice et Lisa, après une longue hésitation commençèrent à réclamer le fabuleux cadeau…
Seul Jack venait de comprendre leur petit manège et sur ce coup là , il devait admettre que Danny était un maître !
Martin avait cessé de respirer, il ne bougeait plus, fixant son regard sur Danny, et secouant la tête, effaré par ce qui était en train de se dérouler sous son propre toit.
Danny avait mis la musique à fond et avait déboutonné quelques boutons de sa propre chemise pour lui signifier qu’il était temps d’entrer en scène…
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Edward, lui, ne perdait pas une miette de cette impertience qui rendait son jeune collègue si sûr de lui, si arrogant, si détestable…si délectable. Il avait su dès le début que ce serait lui et pas un autre. Il le toisa un moment, le regardant danser tranquillement près de Martin pour l’emmener jusqu’à Nell, et sourit. Il serait sa meilleure proie, difficilement domptable, difficilement pliable, un véritable jeu de face à face où il était certain d’en ressortir encore plus puissant …et plus riche…très riche…pas un gars paumé comme les autres, qui pleureraient et supllieraient dès le début, rendant le jeu bien moins attrayants, non un homme qui allait être prêt à tout pour se défendre, pour défendre celle qu’il aimait, quitte à devoir faire de terribles choix…tout était planifié …ses mentors lui avaient laissé carte blanche…il allait enfin vivre pleinement ses fantasmes, laissé libre court à son imagination, à ses perversités…son père avait eu tord de ne pas croire ce médecin il y a de nombreuses années, oui son fils avait un problème, mais dans les grandes familles, il est impossible d’ouvrir les yeux devant cette possibilité et Edward avait grandit avec cette envie qui le poussait aux pires vices… on lui avait refusé l’entrée aux beaux arts, mais il le savait, il aurait pu devenir un grand maître, trop…trop obscur, trop sale, trop dérangeant…son style voilà à quoi il avait réduit sa carrière de cinématographe…mais il avait trouvé une belle parade en entrant aux mœurs, toute la déchéance du monde à portée de main…il avait aimé se délecter de leurs cris, de leurs pleurs, les filmer et les voir mourir, captant leur dernier regard suppliant dans une simple pellicule.
Puis Il posa son regard quelque peu ivre sur la jeune Nell. Il avait bien remarqué qu’elle le regardait de temps à autres, comme si quelque chose en lui la dérangeait. Elle n’avait pas tord, il se connaissait depuis longtemps, enfin lui n’ avait pas oublié qu’elle lui avait échappé une fois…il ne put s’empepcher de passer sa langue sur ses lèvres en repensant à cette nuit là …elle avait tout gâché en leur échappant mais son amie avait connu un tout autre sort. Ce qu’il était certain c’est que Nell ne pouvait pas avoir oublié cette histoire, elle semblait en être ressorti quelque peu « amésique » mais où qu’elle se soit cachée, les cris de son amie devait lui rester en mémoire…Il posa alors son regard sur la forme de ses petit seins , ce visage si enfantin, ses cheveux qui se perdait dans son dos, il aurait voulu à cet instand même les toucher, les caresser, le sentir et soumettre ce jeune corps à ses moindres désirs.
Il remarqua le regard de Jack. Il regardait Danny avec tellement de tendresse paternelle malgré son apparente froideur qu’il savait que ce serait de lui qu’il devrait le plus se méfier. Ne rien laisser au hasard…surtout aucun indice qui permettrait de compendre …Ses mentors ne lui laisseraient pas une deuxième chance.
Puis les rires des jeunes femmes le firent revenir à la réalité.
Martin était encore inerte devant Nell, tandis que le jeune agent avait débuté un strip-tease des plus excitants pour ces demoiselles.
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Re: Nell
clairounett Mar 6 Nov - 0:49
Nathaloche ou l'art de casser l'ambiance ... 
Tu pouvias pas nous la mettre en deux parties cette suite ??? Nan parce que c'était du pur délire et là tu nous plombes avec l'autre détraqué du cerveau...
En tout cas, ce début était génial...
Mais j'ai peur pour la suite .....
HS : 'tain de touche de Merd... ça a effacé mon message d'origine, du coup je sais plus trop ce que j'avais marque donc ce sera bref...
Tu pouvias pas nous la mettre en deux parties cette suite ??? Nan parce que c'était du pur délire et là tu nous plombes avec l'autre détraqué du cerveau...
En tout cas, ce début était génial...
Mais j'ai peur pour la suite .....
HS : 'tain de touche de Merd... ça a effacé mon message d'origine, du coup je sais plus trop ce que j'avais marque donc ce sera bref...
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Re: Nell
clairou74 Mar 6 Nov - 1:25
yes exélent cette suite de fic! J'ai vraiment hate de lire la suite que tu nous concote! pauvre Danny et Nel je sens qu'il vont passer un très mauvais moment bientôt 
j'ai hate de lire! je sais je suis sadique parfois!
Bravo Nathaloche ta fic est vraiment bien!
J'ai vraiment hate de lire la suite que tu nous concote! pauvre Danny et Nel je sens qu'il vont passer un très mauvais moment bientôt j'ai hate de lire! je sais je suis sadique parfois!Bravo Nathaloche ta fic est vraiment bien!
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Re: Nell
tweetie Mar 6 Nov - 1:51
pinaise, le contraste entre le début et la fin du passage est ... saisissant 
c superbe et Marty en stripteaseur le pauv' Dan est vraiment sans pitié pour son "brother" sur ce coup-là
j'adore ce moment
et quel KDO pour Nell, c trop beau
ralala
zé peur pour la suite avec ce givré d'ED ze le sens mal 
c superbe et Marty en stripteaseur le pauv' Dan est vraiment sans pitié pour son "brother" sur ce coup-là Et les bougies qui brillaient dans le regard mouillés d’émotion et d ‘amour de la jeune femme laissèrent place à un noir absolu dans la pièce.
« Martin, si tu pouvais allumer ! »
« Oh pardon excusez moi ! »
j'adore ce moment et quel KDO pour Nell, c trop beau
ralala
zé peur pour la suite avec ce givré d'ED ze le sens mal
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Re: Nell
clara Mar 6 Nov - 15:34
Je fais court ici parce que j'ai déjà tout dit
Danny est raide dingue de sa tite Nell et je trouve ça super mimi
Le streap de Martin j'adore
Et ce Edward boudiou, boudiou, je vais me le faire lui
Encore,encore
Danny est raide dingue de sa tite Nell et je trouve ça super mimi
Le streap de Martin
j'adore Et ce Edward
boudiou, boudiou, je vais me le faire lui Encore,encore
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Re: Nell
Hio-Tin-Vho Mar 6 Nov - 16:46
Je sais ma très chère Nataloche que tu avances un peu dans le noir. Moi je dois dire qu'à part la fin et quelques scène d'avance je ne prévois pas grand chose non plus. Mais tout de même je me doutais que le Edward allait débarquer à nouveau.
Et là je dis bravo pour le retour. Alors que tout le monde est à la fête lui se montre encore plus barge et pervers qu'on ne l'avait crût. Un vrai bon méchant comme on les aime.
Bon j'ai déjà une petite idée de ce qui nous attend (ou alors je me fais des idées aussi c'est possible) mais je me laisser bercer par ton histoire qui cela dit en passant, même si elle est très, très est aussi très,très bien.
C'est un roman fleuve de qualité donc ce qui ne gâche rien.
Moi je veux désormais voir Edward à l'oeuvre. Je sens que cela va êre sanglant !!
Et là je dis bravo pour le retour. Alors que tout le monde est à la fête lui se montre encore plus barge et pervers qu'on ne l'avait crût. Un vrai bon méchant comme on les aime.
Bon j'ai déjà une petite idée de ce qui nous attend (ou alors je me fais des idées aussi c'est possible) mais je me laisser bercer par ton histoire qui cela dit en passant, même si elle est très, très est aussi très,très bien.
C'est un roman fleuve de qualité donc ce qui ne gâche rien.
Moi je veux désormais voir Edward à l'oeuvre. Je sens que cela va êre sanglant !!
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Re: Nell
nathaloche Mar 6 Nov - 19:38
merci hio !!
mais tu n'as pas tord pour la suite !!! enfin je ne sais pas encore, pi être qu'il va traverser le lac en faisant du patin et bye bye..
euh oui ça c'est sur car je suis nulle de nulle en suspense alors !!!!Bon j'ai déjà une petite idée de ce qui nous attend (ou alors je me fais des idées aussi c'est possible)
mais tu n'as pas tord pour la suite !!! enfin je ne sais pas encore, pi être qu'il va traverser le lac en faisant du patin et bye bye..
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Re: Nell
Hio-Tin-Vho Mar 6 Nov - 19:44
nathaloche a écrit:merci hio !!euh oui ça c'est sur car je suis nulle de nulle en suspense alors !!!!Bon j'ai déjà une petite idée de ce qui nous attend (ou alors je me fais des idées aussi c'est possible)
Petit conseil pour la suite.
- Spoiler:
- Thesis, c'est un film espagnol impressionnant.
Si tu veux trouver de l'inspiration.
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Re: Nell
Théana Mar 6 Nov - 22:27
bon t'es déjà tout dit dans l'autre monde, c'est toujours aussi top !!!
une suite ????
une suite ????
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Re: Nell
Mouchette Mar 6 Nov - 23:43
Trop bien, ce mélange d'humour, de tendresse, et de avec Edward!
Bon, question gage, y a comme qui dirait une sacrée différence de dificultée, mais moi je sais que Martin va réussir, pour mon plus grand plaisir!
Allez, une suite!
avec Edward!Bon, question gage, y a comme qui dirait une sacrée différence de dificultée, mais moi je sais que Martin va réussir, pour mon plus grand plaisir!
Allez, une suite!
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Re: Nell
Shaila Mer 7 Nov - 15:31
wahouuuhouuuuuuuu c'est chauuuuud !!! la question existentielle maintenant est de savoir... Cap ou pas cap mais je crois en marty !! et danny c'est tout simplement beau comment il aime sa nell... j'ai aDORé !!!!! et edward t'as l'art de passer du tout mimi au tout méchant qu'on a envie de défoncer 
mais je veux la suite maman nath ( et notre histoire avec tinky on l'a quand ??? 
)
c'est chauuuuud !!! la question existentielle maintenant est de savoir... Cap ou pas cap mais je crois en marty !! et danny c'est tout simplement beau comment il aime sa nell... j'ai aDORé !!!!! et edward t'as l'art de passer du tout mimi au tout méchant qu'on a envie de défoncer mais je veux la suite maman nath ( et notre histoire avec tinky on l'a quand ??? )
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