Effets secondaires (complète) (PG13)

ce bout est tout simplement géant, prenant !!!!

t'as pas encore une suite ????????

Merci!
Pour une suite, oui, j'en ai une, mais plein de rouge partout because pas trop sûre de moi, et puis après, il y aurait un trop grand vide avec la suivante qui est plus dans ma tête que sur "papier"...

Bah Mouchette....

Défi pour toi : la suite avant ce soir....
Parce que cette suite m'a mise en appétit.... Je sens que les ennuis vont arriver pour nos deux inséparables....

Ouaaaa.... Magnifique cette partie!!


J'adore

Vivement la suite!

oh mouchette
que du bonheur ta fic !!!

j'ai trop mal au coeur mon petit dan !!!

super cette alternance entre les trois ...jeVEUX LA SUITE ....je suis déjà à fond dedan !!!

je sens que tu nous réserve un truc louche !!!

j'ai bien aimé cette suite! allez vite une autre suite!!!

A y est!! Je viens enfin de lire ta fic

Oui je sais c'est honteux mais je n'arrivais pas a me prendre le temps pour commencer une autre fic! Mais voila c'est rectifié!!!

Et j'adore!!

Danny toujours aussi sensible

Une enquete difficile

Une complicité entre Danny et Martin

Ben je sens que ça promet!!


J'attends avec impatience la suite!!

My god, my god, cette suite est tout simpelment géantissime

Encore,encore et encore voilà ce qui faut

clairounett a écrit:Défi pour toi : la suite avant ce soir....

Défi relevé!
En fait, j'ai pas mal avancé aujourd'hui, et puis comme la semaine prochaine, ça risque d'être ceinture pour vous au niveau suites...
Encore merci à vous toutes pour vos super comm'!
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Vivian déposa Sam chez elle, lui souhaitant de prendre quelques heures de repos. Sam lui sourit tristement, et monta chez elle. Les deux femmes pensaient à ce qui s’était passé lors de l’interrogatoire de John Millers, et cherchaient à comprendre comment un homme pouvait être aussi abject, avec son propre frère, en plus !

FLASH-BACK

Sam et Vivian prirent quelques secondes pour observer John Millers à travers la vitre sans tain de la salle d’interrogatoire de la prison. Il avait les mains attachées à la table par une chaîne. Pour le directeur, c’était un homme beaucoup trop dangereux pour deux femmes, et il leur aurait refusé l’entrée de la salle sans cette mesure. Sam avait failli montrer au directeur ce dont était capable une pauvre et frêle femme désarmée. Mais ils n’avaient pas de temps à perdre, et elle s’était contentée d’un regard assassin. Vivian avait simplement secoué la tête, dit que les conditions étaient acceptées, et que maintenant, s’il vous plaît, ne perdons plus de temps. En le voyant ainsi, par la vitre sans tain, la description de Jack leur revint en mémoire : « un vrai caïd ». Il trônait carrément sur sa chaise, malgré la chaîne, et semblait s’emmerder royalement à attendre des crétins d’agents fédéraux qui, d’après lui, ne pourraient jamais lui tirer quoi que ce soit. Sam et Vivian se regardèrent, prêtes à lui en faire voir s’il le fallait. Mais peut-être que l’annonce de la mort de son frère allait-elle le rendre un peu plus… malléable. Mais elles en doutaient. John jeta un regard plein de mépris en direction de la porte qui s’ouvrait. Quand il vit Vivian, il lança un sifflement admiratif :

-Pas maaaaal, la vieille ! Dommage de la couleur, mais vu l’abstinence que l’on m’impose dans cet endroit, je ne ferai pas le difficile !

Vivian ne lui jeta pas un seul regard, mais prit calmement et professionnellement place sur une chaise. Quand John regarda en direction de l’agent qui avait suivi Vivian, ses yeux s’agrandirent et brillèrent de luxure, son sourire carnassier se fit sauvage.

-Putain, mais si on m’avait dit qu’il y avait de si belles nanas au FBI, je me serais fait arrêter plus souvent ! Alors, blondinette, on ne t’a sûrement pas enrôlée pour ton intelligence ! Tu dois être sacrément bonne au

Une prise violente de Sam sur le col de son habit l’empêcha de finir sa phrase. Elle serrait juste assez l’habit pour empêcher une bonne partie de l’air de passer dans la gorge du prisonnier.

-Tu n’es qu’un sale individu vulgaire frustré, et tes petits commentaires sur ma personne ne m’intéressent même pas. Mais je suis sûre que si on laisse circuler que tu n’aimes pas les Noirs, ta vie ici va soudainement se compliquer.

-Vous ne ferez pas ça.

-Et pourquoi ?

John ne répondit rien, son assurance entamée par la détermination et la rage qu’il lisait dans les yeux de Sam. Il avait du mal à respirer, Sam n’ayant pas lâché son pull. Il finit par baisser les yeux, ce qu’attendait la jeune femme pour enfin le lâcher.

-Bien, puisque tout est clair, on va enfin pouvoir commencer, commenta Vivian.

Sous l’apparente placidité de sa collègue, Sam sentait très bien la peine et la colère. Mais elle connaissait suffisamment Vivian pour cela, ce qui n’était pas le cas de John. Ce dernier était donc surpris, voir impressionné par la réaction de l’agent. Ce qui était tout à l’avantage des deux femmes. Elles avaient réussi à lui en remontrer dans les premières secondes, ce qui pourrait être une aide précieuse pour la suite de l’entretien.

-John Millers, nous sommes ici à propos de votre frère Stan.

-Putain, mais lâchez-moi avec ce crétin ! Je ne sais pas où il est. Qu’il se soit enfui, qu’on l’ait kidnappé ou assassiné, je n’en sais rien et je m’en fous royalement !

-Votre frère a été retrouvé. Mort.

-Eh ben voilà, maintenant vous savez où il est !

Sam observait l’homme qui n’avait pas flanché, pas cillé à l’annonce de la mort de son frère. Il souriait même à sa petite « plaisanterie ». Elle prit la suite :

-Ça ne nous fait pas sourire. Il a été assassiné.

-Ça lui apprendra à fréquenter les mauvaises personnes.

-Vous voulez dire que vous savez qui a fait ça ?

-Je ne veux rien dire. S’il s’est fait tué, c’est qu’il le méritait.

-Développez !

John se pencha en avant, fixant son regard dans celui de Sam.

-Il était trop gâté par nos parents. Il a sûrement voulu jouer dans la cour des grands, et il s’est fait brûler les ailes. Normal, c’était un crétin de première, qui ne connaissait rien à la vraie vie.

-Dites son nom !

-Quoi ?

-Dites le nom de votre frère ! Vous ne le prononcez jamais !

-Je n’ai pas besoin de prononcer son putain de nom. C’était un looser, et il ne méritait pas de vivre.

Sam ne put plus se contenir. Elle se leva de sa chaise, hurlant toute la haine et le dégoût que lui inspirait cet homme. John vacilla sous la colère de Sam. Quand enfin Sam se calma un peu, s’appuyant dos au mur, les bras croisés, Vivian intervint :

-Je pense que le seul responsable de la mort de Stan, c’est vous, John.

Vivian avait penché la tête sur le côté, fixant ses yeux calmes et froids sur ceux de John.

-Ah ouais ?! Et comment j’aurais fait ça ? D’un coup de baguette magique, avec une poupée vaudoue ?

-Bien sûr, vous en êtes la cause indirecte. Vos relations d’avant la prison avaient peut-être envie de vous envoyer un message ?

-Et ben si c’était le cas, ils ont loupé leur coup. S’en prendre à mon cher petit frère, ils ne pouvaient pas trouver mieux pour me faire plaisir.

Vivian secoua la tête. Cet homme était abject. Et elle aurait parié n’importe quoi qu’il ne jouait pas la comédie, et pensait vraiment tout ce qu’il disait.

-Si vous nous parliez de vos anciennes connaissances ?

-J’ai rien à vous dire là-dessus. De toute façon, je ne vois pas à quoi ça vous servirait, puisque sa mort n’a rien à voir avec moi.

-Ça, c’est à nous d’en juger.

-Rien à dire.

Et John se posa confortablement sur sa chaise, les défiant de le faire parler sur ce sujet. Vivian tenta une autre approche :

-Que pouvez-vous nous dire sur le meurtre de Miguel Cordova ?

-Un faible qui s’est retrouvé pris dans une bagarre. Dans ce genre d’endroit, c’est pas le genre d’homme qui fait long feu.

-Savez-vous que sa femme a disparu ?

-Et comment je le saurais ? Vous croyez peut-être que mes « anciennes connaissances » ont quelque chose à voir là-dedans ?

-C’est le cas ?

-Vous dites n’importe quoi.

Les deux agents remarquèrent que John se sentait mal à l’aise sur ce sujet, elles tentèrent de le pousser dans ses retranchements, de le faire craquer, mais ce fut peine perdue. Il y avait maintenant de la peur dans le regard du prisonnier, mais une peur de quelqu’un d’autre qu’elles. Elles n’obtinrent rien de plus.

FIN DU FLASH-BACK

Mouchette a écrit:

clairounett a écrit:Défi pour toi : la suite avant ce soir....

Défi relevé!
En fait, j'ai pas mal avancé aujourd'hui, et puis comme la semaine prochaine, ça risque d'être ceinture pour vous au niveau suites...

Défi relevé.... par contre pas de Martin....
Comment ça ceinture cette semaine !!!!!!

Vivement la suite !!!

Deux suites aujourd'hui je dis: MERCI en plus ça rime

Un Flash Back super de chez super par contre ce type est vraiment à vomir quel gougat

J'veux bien en savoir plus moi

Ceinture pendant une semaine? j'veux pas moi

C'est toujours aussi bien... Très puissant ce Flash Back! On se croirait dans un vrai episode

Bravo !

Pas de suite, ceinture cette semaine ??

Je commence le compte à rebours alors.....

LUNDI........ des patates ......

clairounett a écrit:Pas de suite, ceinture cette semaine ??

Je commence le compte à rebours alors.....

LUNDI........ des patates ......

MARDI........... des patates aussi .....


j'aimerais que mercredi (= aujourd'hui !!) on puisse manger du caviar...

heu, y'a pas de suite ???

heu, y'a pas de suite ???

Comme dirait clairounette: des patates...
Comme j'ai dit: ceinture!
Plus sérieusement, je suis vraiment désolée, mais j'ai pas trop le temps/la force d'écrire ou de corriger mes suites, mais je vais faire un effort, promis!

Je continue...

Mercredi...... des patates.....





Alé ma petite Mouchette... courage !!!

EUH MOUCHETTE MOI AUSSI JE VIENS RECLAMER MA SUITE !!!!
J4AI ADOR2 CE PASSAGE AVEC vIVANE ET sam ET CE TIMBRe de tolard !!!

je me joint aux autre pour réclamer la suite!

Bon, c'est bien parce que je vous aime Un minuscule petit bout pour vous faire patienter.
Désolée clairounette, même si ce ne sont plus des patates, ce ne sera quand même pas du caviar (pas de Martin )
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Danny avait parqué sa voiture à deux rues de chez lui, il marchait vite afin de se réchauffer, mais profitait de respirer un peu d’air frais. Il l’aperçut au dernier moment : elle l’attendait devant chez lui, assise sur les marches de son immeuble. Il hésita à revenir sur ses pas, mais il était trop tard, elle l’avait vu. Et puis, il voulait rentrer chez lui, ce n’était pas elle qui l’en empêcherait ! Danny s’avança, le visage fermé. Décidément, ce n’était pas une bonne journée.

-Qu’est-ce que vous faites là !?

C’était plus une attaque qu’une question. De toute façon, il savait pourquoi elle était là. La jeune femme eut un mouvement de recul, posant la main sur son ventre comme une protection, mais elle n’avait pas attendu aussi longtemps pour abandonner à cet instant :

-Vous y êtes aller ?

-Ça ne vous regarde pas.

-Ça me regarde plus que tout ! Vous devez le faire ! Pour

-Ça suffit ! Je ne veux rien avoir à faire avec vous ! J’ai tiré un trait là-dessus depuis longtemps !

-Je vous en prie !

Danny ne répondit rien, bouscula la jeune femme et entra dans son immeuble. La porte se referma avec un petit bruit sec devant le visage de la jeune femme, où une larme glissa sur sa joue. Mais Danny ne la vit pas.

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Pas taper! J'avais prévenu que c'était petit petit petit...

euuuuhhhhhh , non en fait c'était juste pour nous mettre l'eau à la bouche là !!! tu eux pas t'arrêter comme cela !!!

bon ben que dire que c'était alléchant et c'est comme si on venait de m'arracher un ga^teau au chocolat des mains !!!

superbe mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini mini suite !!!

j'ose même pas demander la suite...tu risques de nous mettre une ligne

ah enfin une suite !!! c'est vrai c'est pas du caviar par la longueur (et pas de Martin....) mais alors qu'est-ce que c'est que cette histoire avec Danny que tu nous inventes???? Ou alors j'ai mal suivi ta fic et j'ai loupé quelque chose... vé aller voir ça.... C'est une femme enceinte de lui ?? ou qui pense l'être ?? ... raa ça me turlupine, je retourne lire ta fic... (c'est de ta faute aussi... plus de trois jours sans suite, j'ai le cerveau qui bout maintenant...)
A demain pour une nouvelle suite....

heu mais c'est trop court! faut une suite !!! please

Roooo c'était tout court!!!!


Bien, mais tout court...

La suite, la suite

un bout plus que rikiki

Mais au moins ça met l'eau à la bouche pour la suite

Parce qu'il y aura une suite bientôt hein?