CPE

Et beh... suis un peu pour les photos... c'est du n'importe quoi...

personellement dans ma fac, il ne sais pas passé grand chose, juste une journée de bloquage, mais comme on fait partie de académie de rennes et que cela fais 6 semaine qu'il bloque nos examen risque d'etre décalé, et pas ratrappage, sa ces moins bien

Ca y est, je viens de rentrer... Non, paniquez pas, l'AG s'est terminée bien plus tôt

Blocage revoté à 1000 voix contre 600 et quelques...
L'AG s'est terminée vers 15h et des poussières. Enfin, non, le vote a été fait à cette heure là. Après, il y avait des discussions pour parler des actions à mener. D'habitude, vu que je suis passablement énervée, je pars et je n'assiste pas à ces discussions. Mais aujourd'hui, bien que plus énervée que d'habitude, je suis restée. Et bien ça valait le coup !
Je n'ai jamais entendu autant d'aberrations de ma vie...
Ils parlaient de la 'plate-forme' nationale, et des revendications qu'on devait ajouter au retrait du CPE ("sans négociations !" dixit un organisateur) : dans le désordre, ils ont évoqué le retrait du projet de loi qui veut ficher les enfants jusqu'à trois ans (no comment), les problèmes des sans papiers, l'amnistie qu'ils veulent accorder aux émeutiers de Novembre (sachant que les émeutiers incarcérés sont généralement des casseurs et autres brûleurs de voitures...),... On hallucinait tellement que j'hésitais entre arracher le micro et hurler, ou pleurer de rire...

Le summum, c'est quand un alcoolique sorti de je ne sais où (qui avait déjà donné son avis avant le vote, comme quoi il fallait bloquer les facs), la quarantaine, ouvrier (donc pas étudiant... ), nous a en gros annoncé qu'il faisait partie des casseurs qui avaient décroché les portes vitrées de la gare jeudi dernier, et qu'il en était fier. Il nous a dit que de toute façon, quand des manifestants se castagnaient entre eux, les CRS n'intervenaient jamais parce que c'était tout ce qu'ils attendaient. Que lui, quand il va aux manif, il porte son casque parce qu'on se prend toujours qq chose sur la tête. Et en gros, c'est bien de casser, c'est comme ça que le gouvernement comprend ( ). Il nous a même donné son nom, en nous disant qu'on pouvait aller voir la police et le leur donner, et que de toute façon il était connu de leurs services.

Le pire, c'est que quand il a fini de parler, tout le monde (sauf nous) a applaudi...

Je fais quoi ? Je me pends (désolée Ana si tu lis ce post, mais là...) ou je m'expatrie ?

Bah ptetre tu devrais prendre ton vol pour les USA un epu plus tot... ^^ Moi jme doute que dans ma fac ils ont pas repris les cours, j'appelle meme pas je vois pas pourquoi ils arreteraient maintenant au point ou ils en sont...

Stella a écrit:Bah ptetre tu devrais prendre ton vol pour les USA un epu plus tot... ^^

Je vais y songer...

Stella a écrit:Bah ptetre tu devrais prendre ton vol pour les USA un epu plus tot... ^^ Moi jme doute que dans ma fac ils ont pas repris les cours, j'appelle meme pas je vois pas pourquoi ils arreteraient maintenant au point ou ils en sont...

Il y a des facs où ils commencent à voter le débloquage. A Toulouse notamment j'en ai entendu parler... Mais tout reste très flou, je suppose qu'ils attendent la journée de mardi prochain.

Wouh... Des étudiants ont bloqué l'autoroute A6 ce matin, celle qui passe à Lyon

ils ont pas interet a la bloquer le 1er ou le 1à quand je vais et je reviens de vacances!

Jeudi 23 mars 2006, 10h43
Un report des examens universitaires n'est pas exclu


PARIS (Reuters) - Le ministre de l'Education nationale n'exclut pas un report des examens dans les universités où des grèves contre le contrat première embauche (CPE) ont perturbé les cours, parfois depuis cinq semaines.

"Le retard est préoccupant", a déclaré Gilles de Robien sur les ondes de RMC jeudi.

"Dans chaque université, en fonction des perturbations, il faut envisager soit de rattraper les cours ou bien, le cas échéant, dans les cas extrêmes, de décaler les examens, peut-être en septembre pour certains cas", a-t-il dit.

Le ministre a dit qu'il en avait "discuté avec certains présidents d'université" ajoutant qu'il refusait d'"envisager que l'année universitaire puisse être une année blanche".

Le président de la Conférence des présidents d'université (CPU), Yannick Vallée, tire lui aussi la sonnette d'alarme.

Dans un entretien au quotidien Le Parisien, il dit redouter que le problème des examens ne devienne "ingérable" si les actions anti-CPE se poursuivent au-delà de cette semaine.

"Les universités françaises n'ont pas été confrontées à pareille situation depuis mai 68", assure-t-il.

"Si le mouvement se poursuit encore deux semaines, voire un mois, la grève aura touché la moitié du programme. Cela rendrait le problème ingérable et nous ne répondrons de rien"!", prévient-il.

Ca vaut ce que ça vaut, mais voici un e-mail qui circule sur internet en ce moment...

Je sais que pour la plupart vous n'en avez rien à faire et vous ne
vous sentez pas concernés mais c'est important pour nous étudiants en fac... Je vous écris pour vous demander votre soutien aux étudiants qui se trouvent pris en otage par les manifestations actuelles mais aussi pour
vous exposer la réalité de notre situation bien loin de celle que les
médias comme à leur habitude déforme.

Je suis étudiante en master de droit des affaires à Paris X_ Nanterre et
je suis révoltée face au blocus des universités.

Premièrement il faut rétablir la vérité, la majorité des étudiants sont
contre ce blocus sauf que nous subissons des menaces et des intimidations alors peu d'entre nous osent prendre la parole. De plus, les médias font preuve d'une véritable manipulation dans leurs reportages et
oublient bien souvent de mentionner les moyens totalement anti-démocratiques utilisés par ces manifestants.

Tout d'abord, les assemblées générales qui ont été diffusées à la
télévision ne sont qu'une mascarade : ainsi lorsque le résultat d'une
première AG avait donné le non au blocus majoritaire, dès le lendemain
une seconde AG est organisée par une minorité de manifestants pour
revoter illégitimement le blocus, ne respectant pas la décision des
étudiants.

Enfin l'AG réunissant le plus grand nombre d'étudiants jeudi dernier
était un véritable scandale: nous étions majoritaires contre le blocus
alors ils nous ont d'abord imposé 3 heures de faux débats ( temps de
parole inégal et les intervenants autorisés étaient à 90% leurs partisans). Ils ont mené une véritable propagande anti-gouvernementale bien loin du problème du CPE et énoncé des abérrations telles que le CPE facilite le licenciement des femmes enceintes et permet de licencier pour une tenue vestimentaire non conforme en dehors des horaires de travail...
Le problème c'est que la plupart des jeunes (non juristes) le prenne pour
parole d'évangile!!!

D'autre part pendant cette assemblée la sécurité laisse des individus
circuler avec des foulards cachant leurs visages et manifestement
menaçants. Enfin le vote s'effectue à main levée avec des gens qui pour
la plupart ne sont absolument pas étudiants mais des syndicalistes ou
autres appelés en renfort: nous étions 2000, seulement 750 ont voté pour
le blocus et ils ont quand même déclaré que nous avions perdu!!!

Mais le plus grave ce sont les intimidations et la violence de ces gens
que les médias ne dénoncent pas: jeudi et vendredi lorsque des
étudiants ont voulu entrer dans leur faculté des bagarres ont éclaté à
coups de barres de fer, une jeune fille a été poussée dans les escaliers par des représentants de l'Unef et a été sérieusement blessée mais là encore personne ne dit rien ou ne se scandalise: non toute cette violence est légitimée par le droit de grève?!!!

Enfin lorsque les manifestants étaient minoritaires face aux vrais
étudiants qui voulaient accéder aux cours, ils ont fait appel à des
lycéens de nanterre arrivant en masse et criant. Ces jeunes n'étaient
là que pour nous intimider et n'ont trouvé rien de mieux que de se
prendre en photo avec leurs portables devant l'université en nous
narguant et chahutant démontrant leurs réelles motivations!!!

C'est donc un appel à l'aide que je vous adresse pour les vrais étudiants
qui veulent que leur droit à l'éducation et celui de ne pas faire grève
soient respectés. Les dirigeants de notre université étant
démissionnaires et les médias refusant de prendre en compte notre témoignage, je vous sollicite donc pour nous aider à rétablir la vérité et pour que l'Université française redevienne un lieu où les libertés individuelles peuvent s'exercer loin des propagandes et de la violence.

Je vous remercie de votre attention et d'essayer de diffuser au
maximum ce message.

Sophie

Leeloo -AFP a écrit:Le ministre de l'Education nationale n'exclut pas un report des examens dans les universités où des grèves contre le contrat première embauche (CPE) ont perturbé les cours, parfois depuis cinq semaines.

Le seul petit hic, c'est que le ministre n'a aucune compétence sur la gestion des exams par les universités qui sont totalement autonomes. Cela va dépendre des négociations qui sont en cours actuellement dans la plupart des facs bloquées... Chaque direction va gérer cela de façon discrétionnaire.

Maintenant, avec la moitié du programme, il faut bien comprendre que le diplôme est dévalué d'autant... Il ne vaut strictement rien. Moi qui voulais postuler notamment à Aix en Provence pour le M2 l'an prochain. Il n'y a eu aucun blocage dans cette fac. Je ne peux pas présenter mon dossier au vu des semaines 'portées disparues' dans ma fac. Je ne soutiens pas la comparaison avec ceux qui ont fait l'ensemble du programme...
Franchement, ils affirment se battre pour notre avenir, mais aussi l'avenir de beaucoup d'étudiants qu'ils foutent en l'air. J'apprécie modérément de voir toutes ces années d'études réduites à rien le dernier semestre qui importait

@ Holf : Ce mail me paraît quand même mêlé informations et désinformations... Il y a des faits qui existent, des intimidations, des insultes, des tensions, que l'on retrouve aussi à Grenoble : après tout, notre dernière AG a commencé à 9h et s'est achevé à 13h30 Debout dehors pendant tout ce temps, sous la pluie, dans le genre 'épuisons les contre blocus', c'était pas mal. Il y a des problèmes, c'est vrai. La légitimité des AG est pour moi nulle : 6000 étudiants sur 55000 étudiants grenoblois en tout... Avec prenant part au vote, des lycéens, des salariés...
Maintenant cette info notamment :

Mais le plus grave ce sont les intimidations et la violence de ces gens
que les médias ne dénoncent pas: jeudi et vendredi lorsque des
étudiants ont voulu entrer dans leur faculté des bagarres ont éclaté à
coups de barres de fer, une jeune fille a été poussée dans les escaliers par des représentants de l'Unef et a été sérieusement blessée mais là encore personne ne dit rien ou ne se scandalise: non toute cette violence est légitimée par le droit de grève?!!!

Je me souviens de la semaine dernière quand les médias en parlaient... Différentes versions ont été données. Alors je me contenterai de prendre avec des pincettes ces affirmations

Les dirigeants de notre université étant
démissionnaires et les médias refusant de prendre en compte notre témoignage,

Je suis assez d'accord. A Grenoble, notre présidence est portée disparue... Et je ne me souviens pas avoir entendu parler des dégradations des locaux, alors que les médias locaux comme nationaux ont parlé de la situation grenobloise... Si je ne vous avais pas montré les photos, sauriez-vous ce qu'il s'y passe vraiment ? Je ne crois pas.

( temps de parole inégal et les intervenants autorisés étaient à 90% leurs partisans). Ils ont mené une véritable propagande anti-gouvernementale bien loin du problème du CPE et énoncé des abérrations telles que le CPE facilite le licenciement des femmes enceintes et permet de licencier pour une tenue vestimentaire non conforme en dehors des horaires de travail...

D'accord sur cette dérive. J'ai entendu des tas d'inepties. Les 3 minutes de temps de paroles faisaient 5 minutes pour les pro-blocages, avec droit de réponse, et dépassaient jamais 2 minutes pour les contre.

Beaucoup mélangent et font beaucoup d'amalgames...

la majorité des étudiants sont
contre ce blocus sauf que nous subissons des menaces et des intimidations alors peu d'entre nous osent prendre la parole.

C'est plus chaud quand les AG sont dedans... Mais c'est vrai que durant les différentes AG auxquels j'ai pris part, je me suis fait traitée de collabo, on a proposé de me brûler vive, on nous a invité à aller se jeter dans l'Isère, on nous a traité de fascistes et de pro extrème droite...

Enfin bref, il y a une réalité qui est je crois inhérente à toute AG. J'avais déjà critiqué les médias dans des post précédents. Mais je conseille quand même de lire avec des pincettes et recul ce mail.

Mail recu ces dernières semaines...

Bonjour,

Je souhaite vous informer des dispositions suivantes, discutées ce matin en réunion exceptionnelle du Bureau de l'Université élargie aux Directeurs de Campus :

Dès la fin des mouvements sociaux, une réflexion sera menée et des décisions seront prises de manière collective et concertée (entre enseignants, personnels administratifs et étudiants) pour permettre :
- la tenue d'enseignements complémentaires (organisation et modalités de rattrapage des cours),
- l'organisation de la session d'examens du 2nd semestre (organisation et modalités d'aménagement des examens)
Meilleures salutations,

François LE POULTIER
Président de l'Université Nancy 2

POSITION DE LA CONFERENCE DES PRESIDENTS D’UNIVERSITE
Voté le 15.03.2006 à l’unanimité (moins 2 voix)


Les présidents d’université partagent l’inquiétude
des étudiants sur leur avenir :
ils souhaitent l’implication de tous dans la recherche d’une solution

1. Le phénomène actuel de mobilisation des étudiants contre le CPE n’est plus limité à quelques universités. Même si la situation est très évolutive, la tendance des deniers jours est à une extension du mouvement.
2. Dans ce contexte, les présidents constatent qu’existe une réelle inquiétude des étudiants sur leur avenir et ils la partagent. De fait, même si les diplômes facilitent l’insertion professionnelle, nos étudiants sont aussi touchés par les problèmes de chômage et de précarité. Ils ressentent le CPE comme un instrument d’aggravation de ces problèmes et de fragilisation de leurs formations. Les présidents d’université ne peuvent adhérer sans réserves à quelque mesure que ce soit qui entretiendrait cette inquiétude et mènerait à une dégradation de la reconnaissance des diplômes universitaires.
3. Par ailleurs, les présidents rappellent qu’ils sont responsables sur leur campus de la sécurité des personnes et des biens, de la liberté d’expression et de la pérennité des activités de formation et de recherche. Ils ont aussi le souci de sauvegarder la valeur des diplômes, premier facteur de l’insertion professionnelle. Ils ne peuvent donc être favorables au blocage des bâtiments.
4. Dans ce contexte, il leur apparaît absolument indispensable que le gouvernement prenne une initiative significative attendue par beaucoup dans la communauté universitaire et, afin de débloquer la situation, que la discussion soit relancée, Le retour à une situation normale suppose que soit renoué le dialogue avec les organisations syndicales concernées. Cette initiative peut concerner le texte même du CPE.
5. D’un point de vue pratique, la CPU rappelle que les présidents s’attacheront à rechercher toutes les mesures propres à permettre la validation correcte de l’année universitaire.

Voté par 46 votes pour et 2 contre (sur 49 présidents présents- 1 n’ayant pas pris part au vote).

Apparemment la manif' anti-CPE de Rouen s'est très mal finie...le centre-ville était encerclé par les CRS et ils poursuivaient des casseurs à priori dans les rues...
Ma mère est revenue de travailler abasourdie, elle n'avait jamais vu ça à Rouen...
On attend les infos régionales pour en savoir plus mais ça devient vraiment de pire en pire...

Voilà pourquoi j'hésite à aller aux manifestations...
J'attends les échos sur celle d'Angers, mais la semaine dernière, ça s'était plutôt bien passé...

J'ai l'impression que ça a dérapé un peu partout : Lyon, Marseille, Metz, Paris, tu parles de Rouen maintenant... Chaque personne que je croise sur le net rajoute une ville à la liste.

Villepin semble vouloir bouger. Peut-être va-t-il calmer les choses avant que ça devienne hors de contrôle ? Parce que là, c'est en train d'échapper complètement de la protestation initiale.

C'est plus chaud quand les AG sont dedans... Mais c'est vrai que durant les différentes AG auxquels j'ai pris part, je me suis fait traitée de collabo, on a proposé de me brûler vive, on nous a invité à aller se jeter dans l'Isère, on nous a traité de fascistes et de pro extrème droite...

Ah bien Heather , la liberté ne semble pas être la priorité de chacun sur ton campus !
Quand je pense que j'ai eu une conversationa vec une amie qui fait du droit aussi et qui se posait la question de savoir si elle votait la grève, sachant que ça entrainait le blocus alors qu'elle ne voulait pas empecher les autres de bosser, je me dis que les gens sont bien différents ...

Bon maintenant, c'est au gouvernement de céder (ah que j'ai horreur de ce mot) et d'aller vers les étudiants sinon ça va mal finir ...
J'ai horreur de cette manie "mai 68", on en est revenu, non ?
Sous les pavés, pas de plage ....

Le parallèle avec mai 68, dans la forme, peut s'expliquer, mais sur le fond... C'est un contexte comme qui dirait opposé.

Sinon, je viens d'entendre dans le journal de France 3 que les collectifs anti-blocage étaient proches de syndicats de droite.
Exaspérée

ça par contre c'est dégueulasse car ça crée des amalgammes
jeunes participant aux blocages= jeunes de droite alors que je connais des amis socialistes et communistes qui ont participé aux blocages de la fac de Reims.
Voila moi participation mardi...
qu'on ne dise pas que je fais la manif pour ne pas aller en cours car mardi aprés midi je n'ai pas cours (la prof de français vient nous soutenir ) et je fais 30 km (ville la plus proche de mon village) pour aller manifester.

loupiote a écrit:ça par contre c'est dégueulasse car ça crée des amalgammes
jeunes participant aux blocages= jeunes de droite alors que je connais des amis socialistes et communistes qui ont participé aux blocages de la fac de Reims.

Ce n'est pas ce que je dis loupiote
L'amalgame créé, c'est droite = anti-blocage. Gauche = pro-blocage.

Je refuse de me retrouver avec une étiquette parce que je m'oppose à voir mon année bousillée.

Simplement, on peut être de gauche, ne pas être d'accord avec le CPE, et être contre un blocage d'une université depuis plus de trois semaines.
(c'est Heather qui se décrit là )

Le blocage le jour d'une action nationale, d'accord. Le blocage non-stop depuis le début du mois -> non

loupiote il est l'heure d'aller se coucher

Blocage sauvage

Au delà du clivage pour ou contre le CPE, pour ou contre le blocage, nous ne pouvions rester insensibles aux dérives que nous avons pu constater à l'université Pierre Mendès France de Grenoble...

http://blokeursquatteur.blogourt.fr/

No Comment.

C'est hallucinant... Je n'ai jamais vu ça. Comment se fait-il que l'administration de l'université n'intervienne pas ?!

C'est vraiment désolant de voir tout cela...

Holf a écrit:C'est hallucinant... Je n'ai jamais vu ça. Comment se fait-il que l'administration de l'université n'intervienne pas ?!

La présidence de la fac considère que toute intervention de sa part serait vue comme une provocation. Elle a peur que ça vire à l'affrontement entre pro et contre le blocage. Au vu des heurts de cette semaine, je pense que l'on s'y dirige droit dedans.
Les pro-blocages sont crevés, les contre également. Tout le monde a les nerfs à fleur de peau...

J'attends de savoir les résultats de l'AG de ce matin...