Ma 1ère fanfic ... (je me lance ...) (compléte)

Oh la la vite une suite !!!!!

Sam cherchait un des indics de Bonnet Rouge qu’elle connaissait. Elle en trouva un : Steve, un simple agent de police qui avait été rétrogradé à cause d’une affaire louche. Elle l’interpella :
- Salut Steve ! Comment va ?
- Salut ! Ah ! Euh… vous êtes l’amie de Bonnet Rouge, c’est ça ?
- Oui, c’est tout à fait ça ! Je la cherche justement ! Je ne sais pas si vous l’avez vu récemment…
- Euh non… pourquoi ?
- Parce que… ça fait quelques jours que je ne l’ai pas vu et je commence à m’inquiéter.
- Vous l’avez bipé ?
- Oui ! Plusieurs fois, même ! Mais je n’ai toujours pas de réponses de sa part, c’est étonnant ! Je commence vraiment à trouver ça bizarre… je sais qu’elle traitait des affaires de… « haut vol » et très risqués ces derniers temps… et si elle avait été arrêtée par les flics ou qui que ce soit, je l’aurais su… je suis vraiment très inquiète…
- Alors, là ! Je n’peux pas vous aider ma p’tite dame ! Tout ce que je peux vous conseiller c’est d’aller voir à la 72ème rue, il y a un gars, Karnak, je crois savoir qu’elle allait souvent le consulter pour des infos ces derniers temps… peut-être qu’il pourra vous aider…
- Merci !
Sam reprit sa voiture et se dirigea vers la 72ème rue. Elle arriva à se garer, non sans mal. Elle demanda à un commerçant où elle pourrait trouver un certain « Karnak ».
- Karnak ? L’Albinos ?
- Euh… oui. Karnak…
- Vous voyez le grand homme blanc, cheveux blanc, là-bas, c’est lui. Faites attention, lui souffla le commerçant, il est très dangereux.
- Je vous remercie, dit simplement Sam avant de se diriger vers Karnak.
Elle se planta droite devant lui et lui demanda :
- Vous êtes Karnak ?
Il se tourna légèrement vers elle et la regarda en biais.
- Qu’est-ce que vous voulez à Karnak, répondit-il.
- C’est à propos de Bonnet Rouge, une amie, on m’a dit que vous pourriez m’aider. Ça fait plusieurs heures que je la bipe et je n’ai toujours pas de nouvelles. Je m’inquiète vraiment pour elle. D’habitude elle me rappelle, au pire, dans la demi-heure qui suit, mais là, toujours rien ! Il a du lui arriver quelque chose…
- Peut-être a-t-elle été arrêtée par la police, dit Karnak d’un ton très solennel.
- Non, je ne pense pas ! Sinon, ça aurait fait la une de tous les journaux… je pense que ça a à voir avec les affaires de très hautes envergures qu’elle traitait en ce moment…
Karnak se tourna lentement de chaque côté. Puis il invita Sam à le suivre dans une petite ruelle. Elle sentit soudain quelque chose dans son cou puis ce fut le noir total.

LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE

Une suite viiiiiitteeeee
quel suspense prenant...

Nos pauvres petits coeurs ne vont pas tenir longtemps... arghhhh je meurs..please, la suite !

Clairounett

La suite !

Sam se réveilla tout doucement. Elle se sentit attachée à une chaise. Elle ouvrit les yeux brusquement. La pièce dans laquelle elle se trouvait était très sombre à part une lumière qui éclairait un corps allongé sur une table, accroché plutôt, se dit-elle. Elle essaya de se dégager mais les liens étaient trop serrés. Ce faisant elle fit du bruit sans s’en rendre compte car elle faisait bouger la chaise.
- Sam, entendit-elle faiblement.
Celle-ci releva la tête et reconnu la personne sur la table. Bonnet Rouge… la petite-amie de Danny… l’amie de Vivian… la coéquipière de Sylvain…
- Clélia, dit simplement Sam, sous le choc. Qu’est-ce que… qu’est-ce que…
- Oh ! Rien… de simples petites tortures de rien du tout, dit Clélia d ‘une voix lasse et faible.
- Mais qu’est-ce qui se passe, demanda Sam, paniquée. Où est-on ?
- Je pensais bien te revoir bientôt, mais pas dans ces conditions-là, tenta de dédramatiser Clélia de sa petite voix.
- Mais où est-on ? Mais qui ? Qui, demanda Sam, tout effrayée, voyant le sang couler lentement de la table où son amie était allongée.
- Oh, c’est rien, ça… ils veulent savoir mes secrets mais je ne dirais rien… moi, tout ce que je veux, c’est savoir ceux de l’Autre…
- Clélia ! Tu te rends compte de ce que tu dis ? Ils vont finir par te tuer !
- Oh ! certainement… mais j’emporterai mes secrets dans ma tombe …
- Je suis sûre, dit Sam d’une voix haletante à cause de la peur, je suis sûre que mes collègues vont nous trouver ! Sylvain est avec eux ! Tu m’entends Clélia ? Danny et Vivian sont mes collègues ! Ils vont nous retrouver !
- Sylvain, Viv et Danny ?
- Oui !
- Et toi ? Qu’est-ce que tu fais là toute seule ?
- Je voulais attirer l’attention sur moi en cherchant Bonnet Rouge mais je ne pensais pas me retrouver avec toi…
- Ecoute, dit Clélia de sa voix faible, mais avec rapidité et autorité. Fais semblant de dormir encore ! Comme si tu n’étais pas encore réveillée ! Ils arrivent ! Pas un mot ! Pas un mouvement ! Sous aucun prétexte !
Sam ferma immédiatement les yeux avec angoisse et laissa tomber sa tête sur as poitrine. Elle entendit le cliquetis d’une serrure puis le grincement d’une porte métallique et enfin un claquement qui résonna dans toute la pièce. Elle entendit encore des pas, puis :
- Alors, dit une voix d’homme d’un ton ironique, vas-tu nous livrer tes petits secrets, « agent spécial Danann » ?
- Je n’ai rien à vous dire, dit la petite mais fière voix de Clélia.
- Quels sont tes secrets, dit une autre voix d’homme, beaucoup plus agressive que la première.
- Je ne vous dirai rien à vous ! Je ne veux parler qu’à l’Autre !
- Mais qu’est qu’elle est présomptueuse, cette garce, rugit l’un des deux hommes.
Sam entendit soudain hurler. Une voix de femme. Clélia !
- Non, cria-t-elle, arrêtez !
Elle vit alors les deux grands hommes, genre gorille, tourner vers elle avec des sourires sadiques.
- Mais c’est qu’elle est réveillée la petite Spade, dit celui à sa gauche avant d’éclater d’un rire de joie.
- Ouais, rétorqua l’autre type, on va pouvoir s’amuser un peu mieux avec celle-là…
Sam, effrayée, regarda Clélia. Elle était trempée de sueur et de sang. Elle regarda son amie et du plus fort qu’elle put malgré la douleur, lui dit :
- Je t’avais dit pas un mot…

LA SUITE LA SUITE LA SUITE !!!

Oh la la...C'est un suspense insoutenable...Vite une suite, c'est urgent!!!

Excellent, j'adore

La suite ! La suite !

trop trop bien ta fic !! j'adore limite accro ... j'viens de la lire !! et comme tout le monde je reclame la suite !!!!

- Bon, elle ne répond toujours pas, dit Jack. Il faut à tout prix retrouver cette Kimberley de malheur ! Si on la retrouve, on retrouvera Clélia et Sam !
- Si elles sont toujours vivantes, dit Danny d’une voix blanche.
- Clélia est une battante, dit Sylvain d’une voix qui se voulait convaincante et convaincue. Elle ne peut… elle n’a pas le droit de mourir ! Elle ne peut pas… elle n’a pas le droit…
- Sylvain, lui dit Vivian d’une voix douce en s’approchant de lui, on va la retrouver. Et on va la retrouver en vie ! Et Sam aussi !
- On a déjà envoyé toutes les photos de Kimberley partout dans New York, dit Elena. On peut peut-être aussi signaler la disparition de Sam et lancer un avis de recherche pour elle… et pour sa voiture…
- Bonne idée ! Allez ! Au boulot, tout le monde !
Vivian agita ses mains pour qu’ils se mettent tous à la recherche de Kimberley et de Sam. Elle s’approcha ensuite de Jack et murmura :
- Je pense que Sam a cru pouvoir approcher l’Autre grâce à Bonnet Rouge et qu’elle se sera fait kidnapper.
- Moi aussi, dit Jack dans un soupir.
- Tu l’aimes toujours ?
Jack regarda Vivian, il n’eut pas besoin de parler, la réponse était clairement inscrite dans ses yeux.
- On va la retrouver, dit Vivian d’un ton encourageant.
- Oui, répondit Jack au bout d’un instant, il regarda Danny et Sylvain, travaillant tous les deux, puis Martin : on va les retrouver toutes les deux ! J’espère juste qu’il ne leur ait rien arrivé…
- Moi aussi, Jack, moi aussi…

Génial ! La suite !

Extra cool!! Une suite STP

extra !! c'est vraiment tro tro bien
la suite ...

Lorsque Sam se réveilla la deuxième fois, elle avait mal partout. Ils l’avaient vraiment frappé comme des brutes, cette bande d’abrutis de la pire espèce ! Elle regarda autour d’elle comme elle put, mais elle avait mal à son œil gauche et celui-ci avait du mal à s’ouvrir. Elle put tout de même voir que sur la table, il n’y avait plus Clélia mais un couteau. Elle sentit que ses jambes étaient libres de mouvements, mes que ses mains étaient toujours attachées à la chaise. Elle se leva prudemment, embarquant la chaise avec elle ce qui lui provoqua une douleur atroce dans les épaules. Elle s’approcha du couteau en pleurant, mais en voulant l’attraper, elle le fit tomber. Elle se laissa alors tomber le plus près possible du couteau. Elle parvint au bout d’une interminable minute à l’attraper et commença à couper ses liens le plus lentement possible, la corde lui meurtrissant les poignets à chaque mouvement. Elle parvint finalement à se libérer après ce qui lui parut être une éternité. Depuis combien de temps était-elle ici ?
Elle se releva et sa tête lui tourna. Elle s’aperçut qu’elle avait perdu pas mal de sang à cause des ces grosses brutes. Elle frotta prudemment ses poignets douloureux puis s’approcha prudemment de la seule porte de la pièce qu’elle ouvrit facilement. Elle resta sur ses gardes en pénétrant dans cette nouvelle pièce. Personne. Juste une chaise avec son holster et son téléphone ! Elle se précipita dessus. Son holster était vide. Elle vérifia son téléphone.
- Evidemment, maugréa-t-elle, ils ont enlevé la batterie !
Elle se redressa découragée. Elle aperçut des vitres et s’en approcha. Elle était dans vieux hangar désaffecté comme de bien entendu. Il fallait qu’elle sorte d’ici le plus vite possible, qu’elle trouve un téléphone pour prévenir ses collègues qu’elle allait bien et surtout, surtout, retrouver Clélia avant qu’ils ne la tuent.
Elle se rua vers une autre porte.

J'ai hâte de lire la suite !

LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE

C'EST TROP COOL !!!!!

La suite, la suite !!

la suite! la suite! LA SUIIITEUH!!

Danny raccrocha son téléphone et se tourna vers ses collègues.
- J’ai enfin une bonne nouvelle, dit-il avec un pauvre petit sourire, la voiture de Sam a été retrouvée dans la 72ème rue !
- Dans la 72ème rue, s’étonna Jack. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien faire là-bas ?
- Elle cherchait un indic de Clélia, dit Sylvain d’une voix étrangement calme, elle a très bien pu faire les quatre coins de New York…
- Eh bah ! Bon ! Martin, Danny et Elena, vous venez avec moi, on va dans la 72ème rue ! Quelqu’un l’aura sûrement aperçue !
- Une si jolie femme, c’est sûr !
- On est parti, dit Jack d’un ton vexé.
Il se précipita vers la sortie, Martin, Danny et Elena sur ses talons.
Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent dans la 72ème rue. Ils se partagèrent le boulot. Danny et Martin feraient le trottoir de gauche tandis que Jack et Elena feraient celui de droite. Au bout d’une vingtaine de personnes interrogées, un commerçant s’écria :
- Je l’avais prévenu qu’il était dangereux !
- Qui ça, demanda Elena.
- L’Albinos ! Karnak, expliqua le commerçant devant leurs têtes dépitées, il est albinos…
- Et que lui voulait-elle ?
- Aucune idée ?
- Quand cela s’est-il passé, demanda Jack.
- Pff… en début d’après-midi, je crois… oui, oui, c’est ça !
Jack regarda sa montre : 16H47.
- Que s’est-il passé entre eux ?
- Ils ont discuté un peu dans la rue, répondit le commerçant peiné pour la belle jeune femme, et puis elle l’a suivi dans la ruelle…
- Et après ?
- Je ne les ai pas revus, ni l’un, ni l’autre…
- Vous pourriez nous le décrire pour un portrait robot ?
- Oh oui ! Il vient presque tous les jours, je peux, pour sûr !
Jack prit son téléphone portable et composa un numéro.
- Martin ?
- Oui, Jack, vous avez du nouveau ?
- Oui, on a un témoin qui a vu Sam discuter avec quelqu’un dans la rue, on l’emmène au bureau pour qu’il nous aide à faire un portrait-robot. Tu vois où on est ?
- Euh… oui, oui, je te vois !
- Elle a disparu avec le type en question dans la ruelle…
- Sur ta gauche ?
- Oui, c’est ça ! Je veux que toi et Danny la fouilliez !
- Ok !
Jack raccrocha, lui et Elena emmenèrent le commerçant au bureau du FBI. Martin avait prévenu Danny et ils étaient déjà en train de fouiller la ruelle. Ils ne tardèrent pas à découvrir le manteau de Sam. Danny y trouva son badge et son arme dans ses poches.
- Qu’est-ce que ça veut dire, demanda Martin, les larmes aux yeux.
- J’en sais rien, mon vieux, mais on ferait mieux de rentrer…
- T’as raison… on ferait… mieux…
Martin laissa couler ses larmes en allant jusqu’à la voiture. Il s’essuya les yeux avant de monter. Danny était plus à plaindre, se sermonna-t-il, sa petite-amie avait disparu et ils s’aimaient réciproquement. Mais lui et Sam ? Le saurait-il un jour ? Il se reprit avec beaucoup d’effort et les ramena au bureau du FBI.

Ohhhh pauvre martin , pauvre danny aussi...Pauvre tout le monde en fait!
Jattends la suite pour voir comment ça va se passer...

Jack venait tout juste d’afficher le portrait-robot de l’Albinos lorsque son téléphone sonna :
- Malone.
- Mr Malone, acceptez-vous un appel en P.C.V. de mademoiselle Samantha Spade, demanda une voix.
- Oui, bien sûr, répondit-il surpris et anxieux.
- Je vous mets en communication, dit encore la voix.
Jack avait pris un papier et un stylo et avait écrit : « localiser l’appel, urgent » et l’avait donné à l’agent le plus proche, Elena, qui partait en courant, lorsqu’il entendit sa voix :
- Jack ?
- Sam ? Où es-tu ? Comment vas-tu ?
- Je… ça va… ça va aller… je…
- Où es-tu ?
- Je vais bien… je ne sais pas… je ne sais pas où je suis… il y a plein de hangars, d’entrepôts mais il faut que je retrouve Clélia, ils vont finir par la tuer…
- Sam ! Sam ! Où es-tu ?
- Oh non, l’entendit-il murmurer.
- Sam ? Sam !
Jack entendit le combiné frapper contre la vitre de la cabine et des coups de feu, il hurla de plus belle :
- Sam ! Sam ! Réponds-moi ! Où es-tu ? Sam !
Le combiné fut raccroché. Jack était livide. Il regarda ses collègues tour à tous, ils avaient tous l’air très inquiet, il prit une grande bouffée d’air pour expliquer d’une voix blanche et lente :
- J’ai entendu des coups de feu… le combiné a été raccroché…
- Ça vient du port, s’écria Elena en revenant en courant, on a le quartier mais rien de précis…
- On y va tout de suite, ordonna Jack.
- Non, dit Sylvain d’une voix tranchante. Si c’est bien ce que je crois, l’Autre ne laisse jamais de témoin vivant. Il ou plutôt, elle organise des « chasses » pour ses subalternes, pour les récompenser de leurs bons et loyaux services. Bonnet Rouge y a déjà participé. En général, elle faisait semblant de le tuer et de le cacher, alors qu’en fait, je le récupérais pour le mettre à l’abri. Dans ce cas de figure, c’est Sam la proie. Et le subalterne doit n’être autre que l’Albinos qui lui a apporté.
- Alors, qu’est-ce qu’on fait, demanda Martin sous le choc.
- Attends, tu es en train de nous parler d’une chasse à l’homme en plein New York, demanda Vivian, atterrée.
- Exact, répondit Sylvain d’une voix triste. Sam est le gibier et celui qui a raccroché, doit être le chasseur, mais le problème, c’est que Sam va vouloir retrouver Clélia tout en étant poursuivie…
- Mais si elles ne sont pas au même endroit, demanda Danny, complètement décomposé.
Sa petite-amie, plus sa meilleure amie, ça faisait beaucoup pour lui. Sylvain le regarda du même regard triste et un pu perdu.
- L’Autre apprécie toujours d’assister à ce genre de spectacle, dit ce dernier. Si Kim est dans les parages, elle a du garder Clélia sous le coude, si je peux m’exprimer ainsi… pour lui faire du mal en l’obligeant à regarder son amie se faire chasser…
- Dans ce cas-là, dit Jack, il faut faire intervenir la brigade d’intervention ! Il faut boucler et évacuer le secteur. Préparez-vous, on se retrouve tous là-bas dans une demi-heure !

Sam courrait le plus vite qu’elle pouvait, malgré les douleurs, malgré son œil qui troublait son champ de vision. Elle courrait, elle courrait. Soudain, elle entendit un murmure :
- Sam ! Par ici, Sam…
Sans réfléchir, elle se précipita vers la porte entrouverte. En se retournant, elle vit Clélia qui refermait délicatement la porte.
- Suis-moi, dit Clélia de sa petite voix, sans laisser à Sam le temps de réagir.
Elle claudiqua doucement vers un escalier, Sam sur ses talons.
- C’est une chasse à l’homme, expliqua Clélia tout en commençant à monter, l’Autre ne laisse jamais un témoin vivant. J’ai réussi à m’échapper… trop facilement… Il y a plusieurs chasseurs et deux gibiers, nous deux, Sam. Mais pour l’instant, il faut bouger, alors suis-moi !
- Oui, mais…
- Tu peux m’aider à monter ?
Sam acquiesça et Clélia s’appuya sur elle.
- C’est toujours ici qu’ont lieu les chasses, continua à expliquer Clélia en arrivant en haut de l’escalier, je le sais car j’ai déjà participé à ces horreurs. Je connais très bien l’endroit, ils ne pourront pas nous retrouver… il faudra passer un coup de fil…
- C’est déjà fait, l’interrompit Sam, j’ai téléphoné à mon patron, ils ont du me localiser et ne devraient pas tarder à venir, j’en suis sûre.
- Ok ! Alors, on va essayer de rester en vie le plus longtemps possible !
- Je te le promets Clélia !
- On va encore monter…
- Ça va aller ?
- Oui… c’est ma jambe gauche, elle a juste un peu souffert… c’est tout.
- T’es sûre ? Tu es couverte de sang !
- Oui ! Ça va aller ! On va vivre, mais pour ça, il faut monter ce nouvel escalier !
Elles montèrent encore, puis un autre escalier, longèrent un long couloir, puis remontèrent encore d’un niveau.
- Le seul problème, dit Clélia en essayant de rire, c’est u’avec le sang que je perds, ils risquent de nous suivre à la trace …
- C’est vraiment pas drôle, objecta Sam.
- Je vais te faire un plan dans cette poussière pour t’expliquer où te cacher en attendant les secours pendant que je les éloignerai de toi…
- Non ! Clélia, on reste ensemble !
- Non ou ils nous tueront toutes les deux ! Tu vas te cacher et tu pourras leur dire que l’Autre est…
- Kimberley Browderhill ! On le sait déjà, ça Clélia ! Sylvain a réussi à passer ton mot de passe sur ta clé verte ! Et quand on a vu que tu faisais référence à cette femme alors qu’elle était censée être morte, on a fait des recherches et on en est arrivé à cette conclusion…