Une nouvelle affectation -complète-
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Mille excuses pour le retard... J'ai eu un petit imprévu...
Chapitre 15 :
Vivian signait quelques papiers administratifs à l’accueil de l’hôpital lorsque Danny l’y rejoignit.
« Danny ? Tu es encore là ? Je pensais que tu étais parti.
-Vraiment ?
-Non, avoua t-elle, je m’attendais bien à te trouver quelque part dans un couloir à m’attendre.
-Comment tu te sens ?
-Un petit mal de tête, mais ça va aller. E médecin dit lui-même que je vais bien.
-Je sais, j’ai parlé avec lui.
-Je vois… Dis moi, c’est mon état qui te rend si…
-Si quoi ?
-Je n’en sais rien, tu as un sourire inhabituel sur les lèvres.
-Quoi ? Moi ? Mais non ! Qu’est-ce que tu vas chercher !?
-Très bien, disons que le coup que j’ai reçut à la tête me joue quelques tours.
-Ca doit être ça !!! Bon, je te ramène chez toi ?
-Bonne idée, je ne resterai pas une minute de plus dans cet endroit. »
Danny entraîna sa collègue jusqu’à leur voiture garée dans le parking. La nuit était tombée depuis quelques temps déjà et Vivian commençait à ressentir les effets de la fatigue.
« Jack a prévenu ton mari tout à l’heure. Il doit t’attendre avec impatience chez toi.
-Je vais me prendre un sacré savon.
-Mais non ! Il t’aime, il a dû être très inquiet et…
-C’est bien ce que je dis, je vais me prendre un sacré savon. »
Le silence s’installa rapidement entre eux et Danny réalisa que son esprit revenait irrémédiablement sur ses retrouvailles avec Jenny. Et elles n’étaient pas pour lui déplaire. Il avait une chance d’être un peu heureux avec elle et il comptait bien la saisir. Il déposa sa collègue devant son appartement et attendit qu’elle soit rentrer chez elle pour partir. Le jeune homme se sentait libéré d’un poids, et peut être Jenny y était-elle pour quelque chose. Il n’avait jamais eu beaucoup de mal à plaire aux femmes, mais cette fois, il était lui-même avec elle. Depuis qu’il avait arrêté de boire, il avait toujours refusé de s’attacher de trop à une femme, hanté par son passé, par ses craintes. Aujourd’hui, il voulait vivre pleinement. Ce nouveau travail sous les ordres de Jack Malone lui avait fait prendre confiance en lui. Et il voulait goûter au bonheur à son tour et offrir tout le bien dont, finalement, il se sentait capable.
Le lendemain matin, en arrivant, il trouva son patron en grande discussion dans le couloir avec Paula Van Doran. Il décida de les laisser parler ensemble sans les interrompre et s’installa à son bureau.
Comme le tableau blanc était vide, il en conclut qu’aucune enquête n’avait débuté. Il se lança donc dans l’écriture de son rapport sur ce qu’il s’était passé la veille au soir jusqu’à ce que Jack le rejoigne.
« Bonjour.
-Salut Jack !
-Vivian ne viendra pas travailler aujourd’hui. Donc, nous ne sommes que tous les deux.
-On a une disparition aujourd’hui ?
-Pas pour l’instant. Paula vient de me faire comprendre qu’il n’était plus possible pour nous de continuer d’assurer ce service avec seulement trois agents. Il nous faut au moins une autre personne.
-tu pensais à quelqu’un ?
-Non, et c’est bien le problème. Ca devient dur de trouver des agents motivés pour ce poste.
-Tu es sérieux ?
-Tu n’imagines pas… Pourquoi ?
-Un service réputé comme celui là… je pensais qu’il y avait beaucoup de demandes…
-Tout le monde doit pense comme toi, je pense. Ce qui fait que les jeunes agents motivés n’osent pas postuler…
-Parce qu’ils pensent qu’ils n’ont aucune chance !
-Exactement. »
Danny regarda son collègue s’éloigner et se dit qu’il avait faillit passer à coté de cette formidable occasion de travailler avec cet homme. S’ils ne s’étaient pas rencontrés par hasard, le jeune homme n’aurait probablement jamais tenté de postuler pour les personnes disparues, pensant, à tort, il le savait maintenant, que trop de personnes s’intéressaient à ce poste.
Chapitre 15 :
Vivian signait quelques papiers administratifs à l’accueil de l’hôpital lorsque Danny l’y rejoignit.
« Danny ? Tu es encore là ? Je pensais que tu étais parti.
-Vraiment ?
-Non, avoua t-elle, je m’attendais bien à te trouver quelque part dans un couloir à m’attendre.
-Comment tu te sens ?
-Un petit mal de tête, mais ça va aller. E médecin dit lui-même que je vais bien.
-Je sais, j’ai parlé avec lui.
-Je vois… Dis moi, c’est mon état qui te rend si…
-Si quoi ?
-Je n’en sais rien, tu as un sourire inhabituel sur les lèvres.
-Quoi ? Moi ? Mais non ! Qu’est-ce que tu vas chercher !?
-Très bien, disons que le coup que j’ai reçut à la tête me joue quelques tours.
-Ca doit être ça !!! Bon, je te ramène chez toi ?
-Bonne idée, je ne resterai pas une minute de plus dans cet endroit. »
Danny entraîna sa collègue jusqu’à leur voiture garée dans le parking. La nuit était tombée depuis quelques temps déjà et Vivian commençait à ressentir les effets de la fatigue.
« Jack a prévenu ton mari tout à l’heure. Il doit t’attendre avec impatience chez toi.
-Je vais me prendre un sacré savon.
-Mais non ! Il t’aime, il a dû être très inquiet et…
-C’est bien ce que je dis, je vais me prendre un sacré savon. »
Le silence s’installa rapidement entre eux et Danny réalisa que son esprit revenait irrémédiablement sur ses retrouvailles avec Jenny. Et elles n’étaient pas pour lui déplaire. Il avait une chance d’être un peu heureux avec elle et il comptait bien la saisir. Il déposa sa collègue devant son appartement et attendit qu’elle soit rentrer chez elle pour partir. Le jeune homme se sentait libéré d’un poids, et peut être Jenny y était-elle pour quelque chose. Il n’avait jamais eu beaucoup de mal à plaire aux femmes, mais cette fois, il était lui-même avec elle. Depuis qu’il avait arrêté de boire, il avait toujours refusé de s’attacher de trop à une femme, hanté par son passé, par ses craintes. Aujourd’hui, il voulait vivre pleinement. Ce nouveau travail sous les ordres de Jack Malone lui avait fait prendre confiance en lui. Et il voulait goûter au bonheur à son tour et offrir tout le bien dont, finalement, il se sentait capable.
Le lendemain matin, en arrivant, il trouva son patron en grande discussion dans le couloir avec Paula Van Doran. Il décida de les laisser parler ensemble sans les interrompre et s’installa à son bureau.
Comme le tableau blanc était vide, il en conclut qu’aucune enquête n’avait débuté. Il se lança donc dans l’écriture de son rapport sur ce qu’il s’était passé la veille au soir jusqu’à ce que Jack le rejoigne.
« Bonjour.
-Salut Jack !
-Vivian ne viendra pas travailler aujourd’hui. Donc, nous ne sommes que tous les deux.
-On a une disparition aujourd’hui ?
-Pas pour l’instant. Paula vient de me faire comprendre qu’il n’était plus possible pour nous de continuer d’assurer ce service avec seulement trois agents. Il nous faut au moins une autre personne.
-tu pensais à quelqu’un ?
-Non, et c’est bien le problème. Ca devient dur de trouver des agents motivés pour ce poste.
-Tu es sérieux ?
-Tu n’imagines pas… Pourquoi ?
-Un service réputé comme celui là… je pensais qu’il y avait beaucoup de demandes…
-Tout le monde doit pense comme toi, je pense. Ce qui fait que les jeunes agents motivés n’osent pas postuler…
-Parce qu’ils pensent qu’ils n’ont aucune chance !
-Exactement. »
Danny regarda son collègue s’éloigner et se dit qu’il avait faillit passer à coté de cette formidable occasion de travailler avec cet homme. S’ils ne s’étaient pas rencontrés par hasard, le jeune homme n’aurait probablement jamais tenté de postuler pour les personnes disparues, pensant, à tort, il le savait maintenant, que trop de personnes s’intéressaient à ce poste.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
ah bah une tite suite !!
Ptit Dem Taylor- Agent spécial
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Scrattou j'adore ta fic..je suis accro....
Je demande la suite stp....
Je demande la suite stp....
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 16 :
Lorsque l’heure du déjeuner sonna, Jack et Danny n’avaient toujours pas d’enquête à se mettre sous la dent, ce qui permet au jeune agent de s’absenter une heure. Il en informa Jack et disparut de l’immeuble fédéral.
Il monta dans sa voiture, résolu à retrouver Jenny. Il ne savait pas son nom de famille et ne possédait même pas de numéros de téléphone d’elle, mais il en connaissait suffisamment sur elle pour réussir à la retrouver facilement.
Cette seule idée en tête, il se dirigea vers l’hôpital en espérant l’y trouver. Dans le pire des cas où il ne l’a trouverait pas, il lui laisserait un message pour qu’elle sache qu’il comptait ben la revoir.
A l’intérieur de l’hôpital, tout était calme. Quelques visiteurs traversaient le hall avec un bouquet de fleurs ou une boite de chocolat, d’autres repartaient les mains dans les poches et le regard dans le vide. Qu’est-ce qu’il pouvait détester cet endroit ! Il se força t à garder son calme et s’avança jusqu’à l’accueil où un jeune homme rangeait quelques dossiers.
« Excusez-moi.
-Oui ?
-Bonjour, voilà, je cherche une jeune femme qui est infirmière ici. Elle s’appelle Jenny.
-Dans quel servie travaille t-elle exactement s’il vous plait ?
-En chirurgie je crois.
-D’accord. Je vois de qui il s’agit. Attendez moi ici, je vais voir si elle est disponible.
-Je vous remercie. »
Danny s’adossa au comptoir de l’accueil et attendit en essayant de faire abstraction du fait qu’il était dans un hôpital. A chaque fois qu’il entrait dans ce genre d’endroit, il se revoyait enfant après l’accident de voiture qui avait coûté la vie à ses parents, accident dont il se sentait toujours responsable, même après toutes ces années. Il se rappelait très bien avoir erré dans les couloirs d’un hôpital, semblable à celui-ci, pendant que les médecins tentaient de réanimer ses parents. Personne n’avait alors fait attention à ce petit garçon qui pleurait en silence parce qu’il ne comprenait pas ce qu’il lui était arrivé, jusqu’à ce que Rafie arrive enfin plusieurs heures plus tard… C’est lui qui avait dû annoncer à son petit frère qu’ils ne reverraient jamais le sourire de leur mère.
Danny chassa ses idées sombres de son esprit et aperçut Jenny au loin. La jeune femme affichait un large sourire en s’approchant de lui.
« Agent Taylor !
-Bonjour ! Arrêtez de m’appeler comme ça s’il vous plait, je ne suis plus votre patient depuis longtemps.
-Très bien… Qu’est-ce que vous faites ici ?
-Je vous avais dit que je voulais vous revoir.
-Je ne pensais pas que vous iriez aussi vite !
-Je veux profiter de chaque instant. Vous avez le temps d’aller manger quelque chose ?
-Heu, oui, mais rapidement alors, mon service reprend dans trois quarts d’heure… Vous m’attendez ici, je vais chercher mes affaires.
-Je ne bouge pas. »
La jeune infirmière reparut sans tarder. Elle avait laissé sa blouse dans son casier, et balançait son sac à main d’impatience en sortant des vestiaires. Elle retrouva Danny où elle l’avait laissé et ils sortirent de l’hôpital.
« Si on se tutoyais, lança t-elle.
-J’allais te le proposer.
-Bon alors, puisque je n’ai pas beaucoup de temps et puisqu’il fait beau, on pourrait manger un hot dog…
-D’accord, ça me va.
-Il y a un vendeur pas loin d’ici.
-On a qu’à y aller à pied.
-Très bien. Au fait, comment va ta collègue ?
-Bien, elle est restée se reposer chez elle aujourd’hui.
-C’est ce qu’il faut faire dans ce genre de cas, parole de professionnelle ! Tu fais vraiment un métier dangereux…
-Il y a plus calme comme boulot, je te l’accorde, mais on a vu pire.
-Je te rappelle quand même que l’année dernière, tu as reçu une balle, et hier une de tes collègues a reçu un coup sur la tête.
-Je n’ai jamais dit qu’il n’y avait pas de risque, mais d’un autre coté, nous aidons des personnes qui en ont besoin, comme toi. Il faut bien des personnes pour faire le travail que je fais.
-Il faut du courage.
-Et il faut du courage aussi pour faire ce que tu fais chaque jour…
-Alors, on est à égalité, rit-elle.
-Voilà ! Bon, alors, on le mange ce hot dog ! »
Lorsque l’heure du déjeuner sonna, Jack et Danny n’avaient toujours pas d’enquête à se mettre sous la dent, ce qui permet au jeune agent de s’absenter une heure. Il en informa Jack et disparut de l’immeuble fédéral.
Il monta dans sa voiture, résolu à retrouver Jenny. Il ne savait pas son nom de famille et ne possédait même pas de numéros de téléphone d’elle, mais il en connaissait suffisamment sur elle pour réussir à la retrouver facilement.
Cette seule idée en tête, il se dirigea vers l’hôpital en espérant l’y trouver. Dans le pire des cas où il ne l’a trouverait pas, il lui laisserait un message pour qu’elle sache qu’il comptait ben la revoir.
A l’intérieur de l’hôpital, tout était calme. Quelques visiteurs traversaient le hall avec un bouquet de fleurs ou une boite de chocolat, d’autres repartaient les mains dans les poches et le regard dans le vide. Qu’est-ce qu’il pouvait détester cet endroit ! Il se força t à garder son calme et s’avança jusqu’à l’accueil où un jeune homme rangeait quelques dossiers.
« Excusez-moi.
-Oui ?
-Bonjour, voilà, je cherche une jeune femme qui est infirmière ici. Elle s’appelle Jenny.
-Dans quel servie travaille t-elle exactement s’il vous plait ?
-En chirurgie je crois.
-D’accord. Je vois de qui il s’agit. Attendez moi ici, je vais voir si elle est disponible.
-Je vous remercie. »
Danny s’adossa au comptoir de l’accueil et attendit en essayant de faire abstraction du fait qu’il était dans un hôpital. A chaque fois qu’il entrait dans ce genre d’endroit, il se revoyait enfant après l’accident de voiture qui avait coûté la vie à ses parents, accident dont il se sentait toujours responsable, même après toutes ces années. Il se rappelait très bien avoir erré dans les couloirs d’un hôpital, semblable à celui-ci, pendant que les médecins tentaient de réanimer ses parents. Personne n’avait alors fait attention à ce petit garçon qui pleurait en silence parce qu’il ne comprenait pas ce qu’il lui était arrivé, jusqu’à ce que Rafie arrive enfin plusieurs heures plus tard… C’est lui qui avait dû annoncer à son petit frère qu’ils ne reverraient jamais le sourire de leur mère.
Danny chassa ses idées sombres de son esprit et aperçut Jenny au loin. La jeune femme affichait un large sourire en s’approchant de lui.
« Agent Taylor !
-Bonjour ! Arrêtez de m’appeler comme ça s’il vous plait, je ne suis plus votre patient depuis longtemps.
-Très bien… Qu’est-ce que vous faites ici ?
-Je vous avais dit que je voulais vous revoir.
-Je ne pensais pas que vous iriez aussi vite !
-Je veux profiter de chaque instant. Vous avez le temps d’aller manger quelque chose ?
-Heu, oui, mais rapidement alors, mon service reprend dans trois quarts d’heure… Vous m’attendez ici, je vais chercher mes affaires.
-Je ne bouge pas. »
La jeune infirmière reparut sans tarder. Elle avait laissé sa blouse dans son casier, et balançait son sac à main d’impatience en sortant des vestiaires. Elle retrouva Danny où elle l’avait laissé et ils sortirent de l’hôpital.
« Si on se tutoyais, lança t-elle.
-J’allais te le proposer.
-Bon alors, puisque je n’ai pas beaucoup de temps et puisqu’il fait beau, on pourrait manger un hot dog…
-D’accord, ça me va.
-Il y a un vendeur pas loin d’ici.
-On a qu’à y aller à pied.
-Très bien. Au fait, comment va ta collègue ?
-Bien, elle est restée se reposer chez elle aujourd’hui.
-C’est ce qu’il faut faire dans ce genre de cas, parole de professionnelle ! Tu fais vraiment un métier dangereux…
-Il y a plus calme comme boulot, je te l’accorde, mais on a vu pire.
-Je te rappelle quand même que l’année dernière, tu as reçu une balle, et hier une de tes collègues a reçu un coup sur la tête.
-Je n’ai jamais dit qu’il n’y avait pas de risque, mais d’un autre coté, nous aidons des personnes qui en ont besoin, comme toi. Il faut bien des personnes pour faire le travail que je fais.
-Il faut du courage.
-Et il faut du courage aussi pour faire ce que tu fais chaque jour…
-Alors, on est à égalité, rit-elle.
-Voilà ! Bon, alors, on le mange ce hot dog ! »
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
moi aussi je veux bien un hot dog !!
La suiiitteeeuuuuuuu
La suiiitteeeuuuuuuu
Ptit Dem Taylor- Agent spécial
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 17 :
Danny se sentait réellement comme un gamin. Il n’avait passé que trois quarts d’heure en compagnie de Jenny, mais pour lui, c’était comme s’il la connaissait déjà. Il y avait quelque chose entre eux qui les unissait, un lien particulier qu’il n’arrivait pas à définir. De plus, il avait appris au cours de leur conversation qu’il avait entre autre un point en commun : un passé douloureux sur lequel ni l’un ni l’autre ne voulait s’étendre.
Flash Back :
« Tu as de la famille à New York ? demanda la jeune femme avant de mordre dans son hot dog.
-Je n’ai qu’un frère. Mais nous avons coupé les ponts peu après la mort de nos parents il y a vingt ans, »dit-il simplement, pour éviter à tout prix de rentrer dans les détails.
Jenny s’aperçut tout de suite qu’il était un peu mal à l’aise. Elle s’en voulut immédiatement d’avoir posé cette question. Elle aurait dû réfléchir. Elle avait d’ailleurs bien remarqué la première fois qu’ils s’étaient rencontrés lorsque Dany s’était fait tirer dessus que personne n’était venu le voir à l’hôpital mis à part quelques collègues de bureau.
« Je suis désolée, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise en te rappelant de mauvais souvenirs.
-Ce n’est pas ta faute, tu ne pouvais pas savoir.
-Tu devais être jeune quand tes parents sont morts… Ca a dû être dur pour toi.
-C’était il y a longtemps, dit-il tristement.
-Au moins, tu as des souvenirs d’eux… Je n’ai jamais connu les miens. J’ai vécu toute ma vie dans des orphelinats et des foyers.
-Je comprends mieux certaines choses alors.
-Qu’est-ce que tu comprends ?
-Ta vision des choses dans ton travaille.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Et bien tu m’as dit l’autre jour que tu acceptais l’éventualité de souffrir de la perte d’un patient auquel tu t’étais attaché pourvu que tu puisses lui accorder un minimum de réconfort. Et maintenant, je sais pourquoi tu fais ça. D’accord, tout le monde a le droit d’agir de la sorte, mais malheureusement, je crois que ce comportement ne vient pas naturellement. Toi, tu sais ce que c’est que de manquer d’affection…
-Et je ne suis pas la seule, n’est-ce pas ?
-Disons que je te comprends
-D’accord, nous devrions changer de sujet de conversation sinon, nous allons commencer à parler de toutes nos erreurs passées, et j’ai le sentiments que nous y passerions la nuit…
-C’est probable. ».
Danny la regarda avec une lueur de reconnaissance dans les yeux. Tous les deux se comprenaient, ils en avaient déjà beaucoup dit sur eux. Quand ils eurent fini de manger, ils continuèrent de marcher dans le jardin de l’hôpital en bavardant. L’ambiance avait totalement changé et tout deux riaient sans retenu.
Jenny regarda sa montre à contrecoeur et s’aperçut qu’elle allait devoir quitter Danny. Elle s’arrêta et se plaça devant lui.
« Il va falloir que je retourne travailler.
-Tes patients t’appellent.
-J’ai passé un très bon moment… »
Danny s’approcha lentement d’elle et déposa tendrement ses lèvres sur les siennes. La jeune femme le laissa faire et répondit doucement à ce baiser. Elle s’écarta ensuite lentement, toujours à contrecoeur.
« Moi aussi, j’ai passé un très bon moment, murmura Danny.
-J’aimerai rester avec toi, mais…
-Je dois y aller aussi. Qu’est-ce que tu fais ce soir ? On pourrait peut être aller dîner.
-Ce serait avec plaisir. »
Le jeune agent fut sortit de ses pensées par l’arrivée de Jack à ses cotés. Il tenait plusieurs dossiers sous le bras et semblait fatigué.
« Jack ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
-Je cherche une nouvelle recrue pour le service…
-Tu as trouvé quelqu’un…
-J’ai retenu plusieurs dossiers, il faut maintenant que je fasse passer les entretiens… On dirait que ça te rend heureux de me voir dans cet état !
-Qui ? Moi ? Mais non…
-Alors pourquoi est-ce que tu rigoles tout seul ?
-Mais je ne rigole pas…
-Tu veux que je t’amène un miroir ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, Jack s’éloigna en souriant.
Danny se sentait réellement comme un gamin. Il n’avait passé que trois quarts d’heure en compagnie de Jenny, mais pour lui, c’était comme s’il la connaissait déjà. Il y avait quelque chose entre eux qui les unissait, un lien particulier qu’il n’arrivait pas à définir. De plus, il avait appris au cours de leur conversation qu’il avait entre autre un point en commun : un passé douloureux sur lequel ni l’un ni l’autre ne voulait s’étendre.
Flash Back :
« Tu as de la famille à New York ? demanda la jeune femme avant de mordre dans son hot dog.
-Je n’ai qu’un frère. Mais nous avons coupé les ponts peu après la mort de nos parents il y a vingt ans, »dit-il simplement, pour éviter à tout prix de rentrer dans les détails.
Jenny s’aperçut tout de suite qu’il était un peu mal à l’aise. Elle s’en voulut immédiatement d’avoir posé cette question. Elle aurait dû réfléchir. Elle avait d’ailleurs bien remarqué la première fois qu’ils s’étaient rencontrés lorsque Dany s’était fait tirer dessus que personne n’était venu le voir à l’hôpital mis à part quelques collègues de bureau.
« Je suis désolée, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise en te rappelant de mauvais souvenirs.
-Ce n’est pas ta faute, tu ne pouvais pas savoir.
-Tu devais être jeune quand tes parents sont morts… Ca a dû être dur pour toi.
-C’était il y a longtemps, dit-il tristement.
-Au moins, tu as des souvenirs d’eux… Je n’ai jamais connu les miens. J’ai vécu toute ma vie dans des orphelinats et des foyers.
-Je comprends mieux certaines choses alors.
-Qu’est-ce que tu comprends ?
-Ta vision des choses dans ton travaille.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Et bien tu m’as dit l’autre jour que tu acceptais l’éventualité de souffrir de la perte d’un patient auquel tu t’étais attaché pourvu que tu puisses lui accorder un minimum de réconfort. Et maintenant, je sais pourquoi tu fais ça. D’accord, tout le monde a le droit d’agir de la sorte, mais malheureusement, je crois que ce comportement ne vient pas naturellement. Toi, tu sais ce que c’est que de manquer d’affection…
-Et je ne suis pas la seule, n’est-ce pas ?
-Disons que je te comprends
-D’accord, nous devrions changer de sujet de conversation sinon, nous allons commencer à parler de toutes nos erreurs passées, et j’ai le sentiments que nous y passerions la nuit…
-C’est probable. ».
Danny la regarda avec une lueur de reconnaissance dans les yeux. Tous les deux se comprenaient, ils en avaient déjà beaucoup dit sur eux. Quand ils eurent fini de manger, ils continuèrent de marcher dans le jardin de l’hôpital en bavardant. L’ambiance avait totalement changé et tout deux riaient sans retenu.
Jenny regarda sa montre à contrecoeur et s’aperçut qu’elle allait devoir quitter Danny. Elle s’arrêta et se plaça devant lui.
« Il va falloir que je retourne travailler.
-Tes patients t’appellent.
-J’ai passé un très bon moment… »
Danny s’approcha lentement d’elle et déposa tendrement ses lèvres sur les siennes. La jeune femme le laissa faire et répondit doucement à ce baiser. Elle s’écarta ensuite lentement, toujours à contrecoeur.
« Moi aussi, j’ai passé un très bon moment, murmura Danny.
-J’aimerai rester avec toi, mais…
-Je dois y aller aussi. Qu’est-ce que tu fais ce soir ? On pourrait peut être aller dîner.
-Ce serait avec plaisir. »
Le jeune agent fut sortit de ses pensées par l’arrivée de Jack à ses cotés. Il tenait plusieurs dossiers sous le bras et semblait fatigué.
« Jack ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
-Je cherche une nouvelle recrue pour le service…
-Tu as trouvé quelqu’un…
-J’ai retenu plusieurs dossiers, il faut maintenant que je fasse passer les entretiens… On dirait que ça te rend heureux de me voir dans cet état !
-Qui ? Moi ? Mais non…
-Alors pourquoi est-ce que tu rigoles tout seul ?
-Mais je ne rigole pas…
-Tu veux que je t’amène un miroir ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, Jack s’éloigna en souriant.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Mdr Jacko ! Tu veux un miroir ? Ta fic est comment dire......classe !
Mais ne prend pas trop ton temps ok ? Nan sérieusement continue !
Mais ne prend pas trop ton temps ok ? Nan sérieusement continue !
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Troopp bien !!!
L.A suite... ouai c'est pourrie je sais
L.A suite... ouai c'est pourrie je sais
Ptit Dem Taylor- Agent spécial
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 18 :
Danny avait beau tenter de s’occuper, il était difficile pour lui de penser à autre chose qu’à cette soirée avec Jenny qui approchait. N’ayant aucune enquête sur laquelle travailler, il s’était à borner à ranger son bureau et à taper des rapports.
Jack qui était obligé de passer ses entretiens n’était pratiquement pas sorti de son bureau. Danny surveillait malgré lui les allés et venues des agents qui souhaitaient intégrer leur équipe et qui venaient donc tenter leur chance auprès de Jack. Il ne pouvait s’empêcher de repenser au jour où c’était lui qui avait dû passer cet entretien, entretien qu’il n’aurait jamais tenté sans l’intervention de Vivian. Il lui devait beaucoup. Même après son intégration, elle avait toujours été là pour lui expliquer le fonctionnement du service et pour lui donner confiance. Jamais il ne l’oublierait.
La journée s’acheva enfin après toute une après midi d’attente. Le jeune agent rentra rapidement chez lui et commença à se préparer. Il ne pouvait s’empêcher de sourire en pensant à l’état d’excitation dans lequel il se trouvait, cela lui rappelait son premier grand rendez vous avec une fille.
Il prit une douche brûlante et s’habilla. Bien qu’il voulut apparaître élégant, il laissa de coté ses costumes. Un jean et une chemise feraient l’affaire.
Quand il fut habillé, il se laissa tomber sur son canapé et alluma la TV. Il était encore trop tôt pour passer prendre la jeune femme chez elle. Sans même jeter un coup d’œil à son poste de télévision, il sortit de sa poche un morceau de papier replié et relut une énième fois l’adresse que Jenny avait rapidement inscrite dessus avant de s’éclipser pour retourner auprès de ses patients après leur déjeuné. Il commença à tourner en rond dans son appartement en surveillant sa montre. Mais finalement, après de nombreuses hésitations, il éteignit son poste de télévision, attrapa sa veste, ses papiers et ses clefs.
Jenny habitait dans un petit immeuble au milieu d’un quartier tranquille de New York. Il monta plusieurs escaliers et frappa à la porte d’entrée de l’appartement de la jeune femme. Celle-ci l’ouvrit sans tarder et Danny l’admira quelques secondes sans bouger. Elle portait une jupe noire que l’on aurait dit taillée exactement à ses mesures et un cache-cœur bleu qui faisait ressortir ses yeux.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda t-elle, un peu inquiète.
-Rien, c’est juste que tu es… magnifique.
-Merci. Attends, je prends mon sac et mon manteau, et j’arrive.
-D’accord. »
La jeune femme attrapa ses affaires rapidement et quitta son appartement. Danny l’accueillit avec un grand sourire et tout deux sortirent de l’immeuble. Ils montèrent dans la voiture du jeune agent et ils se mirent en route.
« Où va-t-on ?
-Dans un petit restaurant tranquille que l’on m’a conseillé. »
Charmés par la soirée qu’ils venaient de passer ensembles, les deux jeunes gens quittèrent le restaurant main de la main. Danny ouvrit la portière devant Jenny, mais au lieu de s’asseoir dans la voiture, la jeune femme s’avança vers lui et l’embrassa. Puis elle se détacha de lui et monta finalement ans la voiture. Il l’imita coté conducteur, et mit le contact.
« J’ai passé une soirée très agréable, dit-elle.
-Moi aussi. »
Il se gara près de l’immeuble de la jeune femme, et ils sortirent de la voiture.
« Je t’accompagne jusqu’à ta porte, dit-il en souriant, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose. »
Pour toute réponse, Jenny sourit et lui prit la main. Ils montèrent l’escalier en riant et s’arrêtèrent devant la porte de l’appartement. Jenny hésita quelques secondes puis ouvrit sa porte. Elle se retourna ensuite vers Danny qui la regardait droit dans les yeux.
Ils s’embrassèrent tendrement, et Danny attendit que la jeune femme l’invite à entrer. Elle lui prit les mains et recula dans son appartement en l’attirant avec elle. Le jeune agent se laissa faire, franchit le seuil et referma la porte derrière lui. Il enlaça tendrement la jeune femme en l’embrassant. Elle lui retira se veste lentement et l’emmena dans sa chambre en riant. Danny n’avait d’yeux que pour elle. Rien ne semblait alors pouvoir gâcher son bonheur.
Même si elle ne faisait que naître, Danny avait le sentiment qu’il n’avait jamais eu de relation aussi sincère avec une femme. Il la laissa retirer sa chemise avec douceur tandis que son désir grandissait. Il l’embrassa et commença à son tour à la dévêtir.
C’est ainsi que tous deux ne virent pas la nuit passer.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
rrrrrrrrrrr !!!! ça me donne chaud tout ça ! Une suite please !
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Ah bah la suite bien sur !!!
Ptit Dem Taylor- Agent spécial
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 19 :
Danny fut réveillé par une douce odeur de café. Il ouvrit les yeux péniblement, fatigué par cette nuit blanche mais heureux. Il tourna la tête et s’aperçut qu’il était seul dans le lit. Le jeune agent se leva, enfila rapidement ses vêtements et quitta la chambre. Il trouva Jenny encore en peignoir, en train de souffler sur sa tasse de café brûlante.
Danny se posta derrière elle et l’entoura de ses bras.
« Hey !
-Salut.
-Tu as bien dormi ?
-Hum… Pas assez, mais oui.
-Tu aurais préféré dormir plus longtemps cette nuit ?
-Non, c’était parfais. »
Danny regarda sa montre sans conviction et réalisa qu’il allait devoir partir.
« Je suis désolé, mais je vais devoir m’en aller. Sinon, je vais être en retard au boulot et mon patron va m’attendre. Et je dois passer chez moi pour me changer et prendre une douche.
-Tu ne veux pas que je te fasse un café avant ?
-Je n’ai pas le temps.
-Alors bois le mien », dit-elle en souriant et en lui tendant sa tasse.
Le jeune homme posa ses mains sur celles de Jenny, but deux gorgées de café et embrassa tendrement la jeune femme.
« Merci.
-On se voit ce soir ?
-Bien sûr. Enfin, si tu es libre.
-Je le suis.
-Alors à ce soir. »
Il l’embrassa à nouveau, plus longtemps et avec plus d’intensité, ce qui fit frémir la jeune femme.
« A ce soir. »
Une heure plus tard, le jeune agent s’asseyait à son bureau en souriant. Jack s’avança vers lui une tasse de café dans la main.
« Tu as du retard aujourd’hui.
-Heu oui, excuse moi. Une disparition ?
-Non, toujours pas, New York nous laisse un petit moment de répit on dirait. Par contre, je crois avoir trouvé le nouvel agent qui intègrera cette équipe.
-Ha oui ?!
-En fait, j’hésite entre deux personnes, deux agents auxquels j’ai demandé de repasser aujourd’hui pour passer un autre entretien. L’un d’eux a de l’expérience et un bon dossier, mais quelqu’un d’autre m’a laissé une bonne impression, un jeune agent plutôt motivé et bien noté par ses supérieurs. Et comme Vivian revient demain, j’aimerai bien avoir pris une décision d’ici là.
-En attendant, j’ai encore un rapport à taper, je vais m’y mettre.
-Bonne idée. »
Jack disparut dans son bureau, et Danny décida de commencer par se faire un café avant de se mettre au travail. Il détestait ces journées où il devait rester enfermer à écrire des rapports. Persuadé qu’il y avait quelque part des personnes qui avaient besoin d’aide, il se sentait alors inutile. Mais il ne se plaignait pas. Il avait une bonne place dans une bonne équipe, avec un bon patron, et mise à part ces journées réservées à la paperasse, il servait à quelque chose, il était utile à quelqu’un.
En milieu de journée, Jack vînt le revoir alors qu’il relisait un dossier avec attention.
« Qu’est-ce que c’est ? Une nouvelle affaire ?
-Non, une ancienne affaire non résolue.
-Je vois. »
Jack préféra ne pas poser de question, chaque agent gardait en tête une affaire non résolu qui l’avait marqué. Lui-même avait plusieurs dossiers non résolus sur le coin de son bureau.
« Je voulais te dire que j’ai pris ma décision.
-Au sujet du nouvel agent ?
-Oui, il s’agit de l’agent Samantha Spade. Elle est dans mon bureau, je voudrais te la présenter puis qu’il n’y a pas d’urgence aujourd’hui. »
Les deux hommes se mirent en route en silence et Danny découvrit dans le bureau de son patron une jeune femme qui attendait en se frottant les mains. Elle se tourna vers eux à leur arrivée et sourit un peu nerveusement.
Danny fut réveillé par une douce odeur de café. Il ouvrit les yeux péniblement, fatigué par cette nuit blanche mais heureux. Il tourna la tête et s’aperçut qu’il était seul dans le lit. Le jeune agent se leva, enfila rapidement ses vêtements et quitta la chambre. Il trouva Jenny encore en peignoir, en train de souffler sur sa tasse de café brûlante.
Danny se posta derrière elle et l’entoura de ses bras.
« Hey !
-Salut.
-Tu as bien dormi ?
-Hum… Pas assez, mais oui.
-Tu aurais préféré dormir plus longtemps cette nuit ?
-Non, c’était parfais. »
Danny regarda sa montre sans conviction et réalisa qu’il allait devoir partir.
« Je suis désolé, mais je vais devoir m’en aller. Sinon, je vais être en retard au boulot et mon patron va m’attendre. Et je dois passer chez moi pour me changer et prendre une douche.
-Tu ne veux pas que je te fasse un café avant ?
-Je n’ai pas le temps.
-Alors bois le mien », dit-elle en souriant et en lui tendant sa tasse.
Le jeune homme posa ses mains sur celles de Jenny, but deux gorgées de café et embrassa tendrement la jeune femme.
« Merci.
-On se voit ce soir ?
-Bien sûr. Enfin, si tu es libre.
-Je le suis.
-Alors à ce soir. »
Il l’embrassa à nouveau, plus longtemps et avec plus d’intensité, ce qui fit frémir la jeune femme.
« A ce soir. »
Une heure plus tard, le jeune agent s’asseyait à son bureau en souriant. Jack s’avança vers lui une tasse de café dans la main.
« Tu as du retard aujourd’hui.
-Heu oui, excuse moi. Une disparition ?
-Non, toujours pas, New York nous laisse un petit moment de répit on dirait. Par contre, je crois avoir trouvé le nouvel agent qui intègrera cette équipe.
-Ha oui ?!
-En fait, j’hésite entre deux personnes, deux agents auxquels j’ai demandé de repasser aujourd’hui pour passer un autre entretien. L’un d’eux a de l’expérience et un bon dossier, mais quelqu’un d’autre m’a laissé une bonne impression, un jeune agent plutôt motivé et bien noté par ses supérieurs. Et comme Vivian revient demain, j’aimerai bien avoir pris une décision d’ici là.
-En attendant, j’ai encore un rapport à taper, je vais m’y mettre.
-Bonne idée. »
Jack disparut dans son bureau, et Danny décida de commencer par se faire un café avant de se mettre au travail. Il détestait ces journées où il devait rester enfermer à écrire des rapports. Persuadé qu’il y avait quelque part des personnes qui avaient besoin d’aide, il se sentait alors inutile. Mais il ne se plaignait pas. Il avait une bonne place dans une bonne équipe, avec un bon patron, et mise à part ces journées réservées à la paperasse, il servait à quelque chose, il était utile à quelqu’un.
En milieu de journée, Jack vînt le revoir alors qu’il relisait un dossier avec attention.
« Qu’est-ce que c’est ? Une nouvelle affaire ?
-Non, une ancienne affaire non résolue.
-Je vois. »
Jack préféra ne pas poser de question, chaque agent gardait en tête une affaire non résolu qui l’avait marqué. Lui-même avait plusieurs dossiers non résolus sur le coin de son bureau.
« Je voulais te dire que j’ai pris ma décision.
-Au sujet du nouvel agent ?
-Oui, il s’agit de l’agent Samantha Spade. Elle est dans mon bureau, je voudrais te la présenter puis qu’il n’y a pas d’urgence aujourd’hui. »
Les deux hommes se mirent en route en silence et Danny découvrit dans le bureau de son patron une jeune femme qui attendait en se frottant les mains. Elle se tourna vers eux à leur arrivée et sourit un peu nerveusement.
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Oh classe !! Tu sais ce que je veux !!
Ptit Dem Taylor- Agent spécial
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
enfin, me revoilà lol!
Chapitre 20 :
« Agent Spade ! Je vous présente l’agent Danny Taylor qui fait parti de notre équipe depuis un peu plus d’un an. Notre collègue, l’agent Johnson ne travaille pas aujourd’hui, elle sera de retour demain. Je vous la présenterai. Pour l’instant, Danny, je te laisse t’occuper de notre nouvelle collègue, j’ai un rendez-vous urgent et je suis déjà en retard.
-D’accord. »
Le jeune agent invita sa collègue à le suivre dans l’open space et lui indiqua un bureau vide.
« Ce sera ton bureau, le mien est ici, et voici celui de l’agent Johnson. Quand est-ce que tu dois commencer ?
-Dés demain.
-Alors bienvenue dans l’équipe. »
Le jeune homme lui lança un sourire rassurant en lui tendant la main. Elle l’a prit et soupira, un peu soulagée.
« Je vais vous laisser travailler maintenant Je dois aller ranger mes affaires.
-Une seule petite chose avant que tu partes, dans ce servie tout le monde se tutoie. C’est la règle.
-D’accord, je tâcherai de m’en souvenir.
-Bien, alors à demain.
-A demain. »
Danny regarda Samantha s’en aller et retourna à son bureau en pensant à la soirée avec Jenny qui l’attendait. De plus, cela faisait plusieurs jours qu’aucune affaire n’avait été confiée à leur service. Le temps commençait donc à y être long.
Il s’approcha de la cafetière et se servit un grand café noir puis retourna à son bureau.
Quand enfin l’heure de partir sonna, Danny ne perdit pas de temps. A peine avait-il monté dans sa voiture qu’il sortit son portable et composa le numéro de Jenny.
« Allô.
-Hey ! C’est Danny.
-Tiens !
-Comment tu vas ?
-Bien et toi ?
-Hum… La journée a été très longue… Que de la paperasse…
-Je vois.
-Et toi ?
-Débordée, comme chaque jour. Quand est-ce qu’on se voit ?
-Quand tu veux.
-Je fini ma garde dans une heure.
-Je passe te prendre si tu veux.
-Ca me va.
-D’accord, alors à bientôt. Je t’embrasse.
-Moi aussi. Bye. »
Le jeune agent reposa son téléphone, heureux et impatient. Il rentra chez lui tranquillement, prit une bonne douche et échangea ses vêtements de boulot contre un jean et une chemise plus décontractée.
Le lendemain matin, le jeune homme se réveilla doucement, et contrairement à la veille, il n’était pas seul. Jenny dormait encore paisiblement dans ses bras. Il la regarda quelques instants, en lui caressant l’épaule du bout des doigts, le sourire aux lèvres. Au bout de quelques minutes, il la repoussa tendrement et se redressa. Mais au moment où il allait se lever, il sentit une main se poser sur son dos. En se retournant, il vit que Jenny était à son tour éveillée. Elle lui souriait, avec un regard encore embrumé par le sommeil.
« Bonjour.
-Humm. »
Danny sourit et l’embrassa avant de finalement se décider à se lever.
« Déjà ?
-C’est l’heure. Je te fais un café ? »
La jeune femme acquiesça en baillant et s’enfouit la tête dans l’oreiller.
Chapitre 20 :
« Agent Spade ! Je vous présente l’agent Danny Taylor qui fait parti de notre équipe depuis un peu plus d’un an. Notre collègue, l’agent Johnson ne travaille pas aujourd’hui, elle sera de retour demain. Je vous la présenterai. Pour l’instant, Danny, je te laisse t’occuper de notre nouvelle collègue, j’ai un rendez-vous urgent et je suis déjà en retard.
-D’accord. »
Le jeune agent invita sa collègue à le suivre dans l’open space et lui indiqua un bureau vide.
« Ce sera ton bureau, le mien est ici, et voici celui de l’agent Johnson. Quand est-ce que tu dois commencer ?
-Dés demain.
-Alors bienvenue dans l’équipe. »
Le jeune homme lui lança un sourire rassurant en lui tendant la main. Elle l’a prit et soupira, un peu soulagée.
« Je vais vous laisser travailler maintenant Je dois aller ranger mes affaires.
-Une seule petite chose avant que tu partes, dans ce servie tout le monde se tutoie. C’est la règle.
-D’accord, je tâcherai de m’en souvenir.
-Bien, alors à demain.
-A demain. »
Danny regarda Samantha s’en aller et retourna à son bureau en pensant à la soirée avec Jenny qui l’attendait. De plus, cela faisait plusieurs jours qu’aucune affaire n’avait été confiée à leur service. Le temps commençait donc à y être long.
Il s’approcha de la cafetière et se servit un grand café noir puis retourna à son bureau.
Quand enfin l’heure de partir sonna, Danny ne perdit pas de temps. A peine avait-il monté dans sa voiture qu’il sortit son portable et composa le numéro de Jenny.
« Allô.
-Hey ! C’est Danny.
-Tiens !
-Comment tu vas ?
-Bien et toi ?
-Hum… La journée a été très longue… Que de la paperasse…
-Je vois.
-Et toi ?
-Débordée, comme chaque jour. Quand est-ce qu’on se voit ?
-Quand tu veux.
-Je fini ma garde dans une heure.
-Je passe te prendre si tu veux.
-Ca me va.
-D’accord, alors à bientôt. Je t’embrasse.
-Moi aussi. Bye. »
Le jeune agent reposa son téléphone, heureux et impatient. Il rentra chez lui tranquillement, prit une bonne douche et échangea ses vêtements de boulot contre un jean et une chemise plus décontractée.
Le lendemain matin, le jeune homme se réveilla doucement, et contrairement à la veille, il n’était pas seul. Jenny dormait encore paisiblement dans ses bras. Il la regarda quelques instants, en lui caressant l’épaule du bout des doigts, le sourire aux lèvres. Au bout de quelques minutes, il la repoussa tendrement et se redressa. Mais au moment où il allait se lever, il sentit une main se poser sur son dos. En se retournant, il vit que Jenny était à son tour éveillée. Elle lui souriait, avec un regard encore embrumé par le sommeil.
« Bonjour.
-Humm. »
Danny sourit et l’embrassa avant de finalement se décider à se lever.
« Déjà ?
-C’est l’heure. Je te fais un café ? »
La jeune femme acquiesça en baillant et s’enfouit la tête dans l’oreiller.
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
La suite please !!
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
Taintaintain ! Super Jenny fait du bien à Danny mimi ! Faut bien qu'il soit heureux un peu mamour !
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 21 :
Danny voyait maintenant Jenny depuis plus de trois mois, trois mois pendant lesquels les deux jeunes gens s’efforçaient de se voir le plus souvent possible.
Mais malgré le bonheur apparent dont ils jouissaient, une petite zone d’ombre noircissait le tableau. En effet ; Danny se posait de plus en plus de questions quant à sa relation avec Jenny, et à la regarder, il savait qu’elle aussi. Mais ni l’un ni l’autre n’osait en parler de peur de blesser l’autre. Ils se sentaient tellement bien ensemble qu’ils ne préféraient ne pas prendre de risque. Ils avaient tous les deux été assez triste jusqu’ici pour revendiquer un semblant de bonheur ensemble.
Danny n’avait jamais eu jusque là de relation avec une femme de plus deux semaines. Il ne voulait ni s’attacher ni que l’on s’attache trop à lui car il savait que tôt ou tard il ferai souffrir. Depuis son enfance, il avait vu souffrir tous ses proches autour de lui, il refusait que cela se reproduise. Il se surprenait parfois à penser qu’il avait changé, que les choses étaient différentes, qu’il pouvait entretenir des relations normales avec son entourage… mais il y avait toujours cette peur au fond de lui.
La nuit était tombée depuis longtemps lorsque l’équipe des personnes disparues put enfin quitter le bureau. Leur dernière enquête s’était soldée par la mort d’une jeune femme dans les bras de Sam et de Danny qui n’avaient pas réussi à la retrouver à temps.
Lorsqu’il rentra chez lui, le jeune agent se laissa tomber sur son canapé en repensant à cette dure journée, à cette jeune femme dont la vie s’était éteinte si jeune, trop jeune. Il revoyait encore le regard implorant qu’elle lui avait lancé lorsqu’il la tenait dans ses bras durant les dernières secondes de sa vie. A coté d’eux, Sam avait tenté tant bien que mal de garder la jeune femme en vie, mais ils n’avaient rien put faire, et lorsque l’ambulance était arrivée, la jeune femme ne respirait plus depuis plusieurs minutes.
Après cela, Danny s’était senti obligé de rassurer Sam. Il appréciait beaucoup sa nouvelle collègue et avait tout de suite vu qu’elle avait su mal à supporter ce traumatisme. Elle n’était dans ce service que depuis trois mois, et vivre une enquête si éprouvante devait être difficile à gérer pour elle. Etat passé par là, il savait ce qu’elle pouvait ressentir.
Il ne put s’empêcher de sourire en repensant à ce qu’il s’était passé peu de temps avant son départ du bureau une heure plus tôt. Il avait laissé Sam pour aller prendre ses affaires et rentrer chez lui, sachant que sa collègue allait mieux après avoir parlé. Et en se retournant pour lui dire bonne nuit de loin, il avait vu Jack à ses cotés, qui venait de passer un bras autour de la taille de Sam après que celle-ci ait posé la tête sur son épaule.
Danny était prêt à jurer qu’il ne s’était rien passé entre eux deux, cela se ferait sûrement. Et même si Jack était marié, ces histoires ne le regardaient pas. Il se disait juste heureux de voir que son amie se portait bien. Et pour ne pas la troubler, il décida de ne pas lui en parler, sauf si elle le désirait.
Le jeune homme finit par se lever de son canapé, prit une douche et alla se coucher. Il aurait voulu téléphoner à Jenny, mais il savait qu’il la dérangerait en agissant ainsi. La jeune femme enchaînait les gardes à l’hôpital depuis une semaine, et le peu de temps qui lui restait pour elle lui servait à se reposer. Alors, elle n’apprécierait peut être pas d’être réveillée à trois heures du matin, même s’il s’agissait de Danny.
Le lendemain, Danny se leva un peu plus tard que d’habitude, sur la permission de Jack. Il se fait un grand café et s’aperçut alors qu’il avait un message sur son répondeur qu’il n’avait pas vu en arrivant chez lui dans la nuit. Il reconnut avec plaisir la voix de Jenny.
« Salut Danny, c’est moi. Je téléphonais pour savoir comment tu allais, on ne se voit pas beaucoup en ce moment à cause du boulot… Voilà, ça serait bien qu’on se voit rapidement quand même… Enfin, je rappellerai plus tard, bye ! »
Le jeune homme resta un peu perplexe après l’écoute de ce message. Jenny avait vraiment une voix fatiguée et ne paraissait pas très sûre d’elle, ce qui ne lui ressemblait pas. Il regarda sa montre, et s’aperçut qu’il prenait du retard. Il l’appellerait en chemin vers le bureau pour en avoir le cœur net.
Il se prépara donc rapidement, et quitta son appartement. Il tenta plusieurs fois de contacter Jenny, mais n’eut aucun succès sur son portable et sur son fixe. Un peu inquiet, il décida d’appeler l’hôpital où une infirmière lui annonça que Jenny était très occupée en bloc opératoire, et qu’elle ne pourrait pas lui parler avant plusieurs heures.
Un peu frustré, Danny raccrocha et se concentra sur la route.
En arrivant à son bureau, il trouva Sam qui allumait son ordinateur.
« Salut ! Ca va mieux ? Demanda t-il.
-Oui, je te remercie, répondit-elle avec un grand sourire qui n’échappa pas à son collègue.
-Tu as passé une bonne nuit, on dirait…
-Oui, et toi ?
-J’ai dormi, de temps en temps, ça fait du bien, » dit-il en plaisantant.
La jeune femme préféra ignorer cette allusion et retourna à son travail sous l’œil amusé de Danny.
Danny voyait maintenant Jenny depuis plus de trois mois, trois mois pendant lesquels les deux jeunes gens s’efforçaient de se voir le plus souvent possible.
Mais malgré le bonheur apparent dont ils jouissaient, une petite zone d’ombre noircissait le tableau. En effet ; Danny se posait de plus en plus de questions quant à sa relation avec Jenny, et à la regarder, il savait qu’elle aussi. Mais ni l’un ni l’autre n’osait en parler de peur de blesser l’autre. Ils se sentaient tellement bien ensemble qu’ils ne préféraient ne pas prendre de risque. Ils avaient tous les deux été assez triste jusqu’ici pour revendiquer un semblant de bonheur ensemble.
Danny n’avait jamais eu jusque là de relation avec une femme de plus deux semaines. Il ne voulait ni s’attacher ni que l’on s’attache trop à lui car il savait que tôt ou tard il ferai souffrir. Depuis son enfance, il avait vu souffrir tous ses proches autour de lui, il refusait que cela se reproduise. Il se surprenait parfois à penser qu’il avait changé, que les choses étaient différentes, qu’il pouvait entretenir des relations normales avec son entourage… mais il y avait toujours cette peur au fond de lui.
La nuit était tombée depuis longtemps lorsque l’équipe des personnes disparues put enfin quitter le bureau. Leur dernière enquête s’était soldée par la mort d’une jeune femme dans les bras de Sam et de Danny qui n’avaient pas réussi à la retrouver à temps.
Lorsqu’il rentra chez lui, le jeune agent se laissa tomber sur son canapé en repensant à cette dure journée, à cette jeune femme dont la vie s’était éteinte si jeune, trop jeune. Il revoyait encore le regard implorant qu’elle lui avait lancé lorsqu’il la tenait dans ses bras durant les dernières secondes de sa vie. A coté d’eux, Sam avait tenté tant bien que mal de garder la jeune femme en vie, mais ils n’avaient rien put faire, et lorsque l’ambulance était arrivée, la jeune femme ne respirait plus depuis plusieurs minutes.
Après cela, Danny s’était senti obligé de rassurer Sam. Il appréciait beaucoup sa nouvelle collègue et avait tout de suite vu qu’elle avait su mal à supporter ce traumatisme. Elle n’était dans ce service que depuis trois mois, et vivre une enquête si éprouvante devait être difficile à gérer pour elle. Etat passé par là, il savait ce qu’elle pouvait ressentir.
Il ne put s’empêcher de sourire en repensant à ce qu’il s’était passé peu de temps avant son départ du bureau une heure plus tôt. Il avait laissé Sam pour aller prendre ses affaires et rentrer chez lui, sachant que sa collègue allait mieux après avoir parlé. Et en se retournant pour lui dire bonne nuit de loin, il avait vu Jack à ses cotés, qui venait de passer un bras autour de la taille de Sam après que celle-ci ait posé la tête sur son épaule.
Danny était prêt à jurer qu’il ne s’était rien passé entre eux deux, cela se ferait sûrement. Et même si Jack était marié, ces histoires ne le regardaient pas. Il se disait juste heureux de voir que son amie se portait bien. Et pour ne pas la troubler, il décida de ne pas lui en parler, sauf si elle le désirait.
Le jeune homme finit par se lever de son canapé, prit une douche et alla se coucher. Il aurait voulu téléphoner à Jenny, mais il savait qu’il la dérangerait en agissant ainsi. La jeune femme enchaînait les gardes à l’hôpital depuis une semaine, et le peu de temps qui lui restait pour elle lui servait à se reposer. Alors, elle n’apprécierait peut être pas d’être réveillée à trois heures du matin, même s’il s’agissait de Danny.
Le lendemain, Danny se leva un peu plus tard que d’habitude, sur la permission de Jack. Il se fait un grand café et s’aperçut alors qu’il avait un message sur son répondeur qu’il n’avait pas vu en arrivant chez lui dans la nuit. Il reconnut avec plaisir la voix de Jenny.
« Salut Danny, c’est moi. Je téléphonais pour savoir comment tu allais, on ne se voit pas beaucoup en ce moment à cause du boulot… Voilà, ça serait bien qu’on se voit rapidement quand même… Enfin, je rappellerai plus tard, bye ! »
Le jeune homme resta un peu perplexe après l’écoute de ce message. Jenny avait vraiment une voix fatiguée et ne paraissait pas très sûre d’elle, ce qui ne lui ressemblait pas. Il regarda sa montre, et s’aperçut qu’il prenait du retard. Il l’appellerait en chemin vers le bureau pour en avoir le cœur net.
Il se prépara donc rapidement, et quitta son appartement. Il tenta plusieurs fois de contacter Jenny, mais n’eut aucun succès sur son portable et sur son fixe. Un peu inquiet, il décida d’appeler l’hôpital où une infirmière lui annonça que Jenny était très occupée en bloc opératoire, et qu’elle ne pourrait pas lui parler avant plusieurs heures.
Un peu frustré, Danny raccrocha et se concentra sur la route.
En arrivant à son bureau, il trouva Sam qui allumait son ordinateur.
« Salut ! Ca va mieux ? Demanda t-il.
-Oui, je te remercie, répondit-elle avec un grand sourire qui n’échappa pas à son collègue.
-Tu as passé une bonne nuit, on dirait…
-Oui, et toi ?
-J’ai dormi, de temps en temps, ça fait du bien, » dit-il en plaisantant.
La jeune femme préféra ignorer cette allusion et retourna à son travail sous l’œil amusé de Danny.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
La suite please!!!
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Re: Une nouvelle affectation -complète-
rrrr je sens que je vais faire un malheur si tu les fais se séparer ! Une suite stp ma Scrattou !!!!
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Chapitre 22 :
Cette nouvelle journée de travail débutait avec une nouvelle affaire, ce qui avait laissé peu de temps à l’équipe de se remettre de l’enquête précédente, une occasion de se rattraper un peu selon Sam. Et sans qu’il se l’avoue, Danny ressentait la même chose.
Il s’agissait cette fois de retrouver un couple de jeunes mariés qui, à peine leur lune de miel achevée et leur retour à New York annoncé et réalisé, avait disparu dans la nature. Alors qu’ils devaient reprendre leurs travails chacun de leur coté, personne ne les avait vu arriver à leur bureau. Inquiets, les parents de la jeune mariée avaient décidé de donner l’alerte avec l’accord de la famille de l’époux.
A la demande de son patron, Danny était en train de vérifier la liste des appels que les deux jeunes mariés avaient reçut à leur retour à New York, quand il fut interrompu par la sonnerie de son portable.
« Taylor.
-Salut Danny, c’est Jenny.
-Hey ! Ta voix commençait à me manquer.
-Je sais, mais je suis très occupée en ce moment.
-Tu vas bien, tu avais une voix étrange sur mon répondeur.
-Ca va, je sis très fatiguée, c’est tout.
-Quand est-ce qu’on se voit ?
-Quand tu veux… Je dois te laisser, on est sur une enquête là, il faut que j’y aille.
-Moi aussi, je te rappelle plus tard pour savoir quand on peut se revoir. Je t’embrasse.
-Moi aussi. »
Peu convaincu par l’excuse de la fatigue que lui avait avancé Jenny pour justifier son comportement de plus en plus étrange de ces derniers temps, Danny raccrocha son téléphone, plein de perplexité. Mais il fut contraint de mettre tout cela de coté pour reprendre son travail.
Mais le soir même, dés qu’il eut fini, il retrouva Jenny chez elle. Elle -ci, ne l’attendant pas parut surprise de le découvrir sur le seuil de sa porte.
« Je ne te dérange pas ?
-Non, bien sûr que non. Entre.
-Ca faisait longtemps qu’on ne s’était pas retrouvé chez toi, remarqua t-il.
-C’est vrai. Je suis contente que tu sois venu. »
La jeune femme le regarda quelques secondes. Elle aurait voulu lui parler, mais finalement, devant le sourire de son ami, elle décida de mettre cette idée de coté.
« Tu as mangé ?
-Non, mais je meure de faim.
-Si on se commandait une pizza ? Mon frigo est vide.
-D’accord. »
Les deux jeunes gens dévorèrent la pizza dés qu’elle fut livrée en rigolant. Ils en oublièrent pour quelques temps leurs travails épuisants et leurs soucis. Tout ce qui comptait à cet instant, c’était eux et leurs éclats de rires. Danny aimait ces petits moments complices avec Jenny, et ces derniers temps, ils étaient devenus plutôt rares. Ils finirent la soirée devant un film en noir et blanc. Jenny était couchée sur le jeune homme et profitait de cet instant.
Quand le générique du film apparut à l’écran, elle se redressa, mais Danny la retint doucement.
« Qu’est-ce qu’il ne va pas, Jenny ? »
Au lieu de répondre, la jeune femme s’approcha de son amant et l’embrassa passionnément. La soirée avait été trop belle pour la gâcher maintenant. Elle voulait que tout se passe bien, rester ainsi. Elle glissa ses mains à l’intérieur de la chemise de Danny et l’embrassa de plus belle.
Le jeune homme vit bien là une tactique de la jeune femme pour ne pas répondre à la question, mais tant pis ! Sous les caresses de sa compagne, il l’embrassa et commença à la déshabiller.
C’était toujours plus facile d’esquiver les problèmes pour se laisser aller au plaisir. Pour quelques heures, ils n’étaient que tous les deux, le reste n’avait plus d’importance.
Cette nouvelle journée de travail débutait avec une nouvelle affaire, ce qui avait laissé peu de temps à l’équipe de se remettre de l’enquête précédente, une occasion de se rattraper un peu selon Sam. Et sans qu’il se l’avoue, Danny ressentait la même chose.
Il s’agissait cette fois de retrouver un couple de jeunes mariés qui, à peine leur lune de miel achevée et leur retour à New York annoncé et réalisé, avait disparu dans la nature. Alors qu’ils devaient reprendre leurs travails chacun de leur coté, personne ne les avait vu arriver à leur bureau. Inquiets, les parents de la jeune mariée avaient décidé de donner l’alerte avec l’accord de la famille de l’époux.
A la demande de son patron, Danny était en train de vérifier la liste des appels que les deux jeunes mariés avaient reçut à leur retour à New York, quand il fut interrompu par la sonnerie de son portable.
« Taylor.
-Salut Danny, c’est Jenny.
-Hey ! Ta voix commençait à me manquer.
-Je sais, mais je suis très occupée en ce moment.
-Tu vas bien, tu avais une voix étrange sur mon répondeur.
-Ca va, je sis très fatiguée, c’est tout.
-Quand est-ce qu’on se voit ?
-Quand tu veux… Je dois te laisser, on est sur une enquête là, il faut que j’y aille.
-Moi aussi, je te rappelle plus tard pour savoir quand on peut se revoir. Je t’embrasse.
-Moi aussi. »
Peu convaincu par l’excuse de la fatigue que lui avait avancé Jenny pour justifier son comportement de plus en plus étrange de ces derniers temps, Danny raccrocha son téléphone, plein de perplexité. Mais il fut contraint de mettre tout cela de coté pour reprendre son travail.
Mais le soir même, dés qu’il eut fini, il retrouva Jenny chez elle. Elle -ci, ne l’attendant pas parut surprise de le découvrir sur le seuil de sa porte.
« Je ne te dérange pas ?
-Non, bien sûr que non. Entre.
-Ca faisait longtemps qu’on ne s’était pas retrouvé chez toi, remarqua t-il.
-C’est vrai. Je suis contente que tu sois venu. »
La jeune femme le regarda quelques secondes. Elle aurait voulu lui parler, mais finalement, devant le sourire de son ami, elle décida de mettre cette idée de coté.
« Tu as mangé ?
-Non, mais je meure de faim.
-Si on se commandait une pizza ? Mon frigo est vide.
-D’accord. »
Les deux jeunes gens dévorèrent la pizza dés qu’elle fut livrée en rigolant. Ils en oublièrent pour quelques temps leurs travails épuisants et leurs soucis. Tout ce qui comptait à cet instant, c’était eux et leurs éclats de rires. Danny aimait ces petits moments complices avec Jenny, et ces derniers temps, ils étaient devenus plutôt rares. Ils finirent la soirée devant un film en noir et blanc. Jenny était couchée sur le jeune homme et profitait de cet instant.
Quand le générique du film apparut à l’écran, elle se redressa, mais Danny la retint doucement.
« Qu’est-ce qu’il ne va pas, Jenny ? »
Au lieu de répondre, la jeune femme s’approcha de son amant et l’embrassa passionnément. La soirée avait été trop belle pour la gâcher maintenant. Elle voulait que tout se passe bien, rester ainsi. Elle glissa ses mains à l’intérieur de la chemise de Danny et l’embrassa de plus belle.
Le jeune homme vit bien là une tactique de la jeune femme pour ne pas répondre à la question, mais tant pis ! Sous les caresses de sa compagne, il l’embrassa et commença à la déshabiller.
C’était toujours plus facile d’esquiver les problèmes pour se laisser aller au plaisir. Pour quelques heures, ils n’étaient que tous les deux, le reste n’avait plus d’importance.
Scrattounette- Elève à Quantico
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Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Une nouvelle affectation -complète-
Bien que le dernier passage soit très.... , fais gaffe à toi ma Scrattou parceque je sens que je vais pas être contente dans ta prochaine suite .
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