Une nouvelle affectation -complète-

Tu crois? (cen n'est que pure vengeance... , non je plaisante)

decidement j'adore vraiment toute les fanfics donc bravo c'est génial
la suite stp

encore!!!!!!!!!!!!!!!!!! please

une suite une suite une suite!!!!!!

Chapitre 23 :

Les jours se succédèrent les uns après les autres, et bien que conscient du doute qui planait encore dans son esprit, Danny vivait chaque instant avec Jenny sans se poser de question. Pour une fois dans sa vie, il avait droit au bonheur. Pourquoi tout gâcher ?
Son travail lui plaisait, il prenait de plus en plus confiance en lui, Jenny le comprenait comme personne, tout lui souriait. Alors pas question de tout risquer maintenant.
Ainsi, à la veille de fêter leur Septième mois de relation, Jenny décida qu’ils ne devaient plus se voiler la face. Elle appréciait énormément Danny, et pour rien au monde, elle n’aurait voulu le perdre. Il lui avait tellement apporté ! Mais elle savait que les choses ne pouvaient plus durer. S’ils continuaient de cette façon, ils allaient finir par se faire atrocement souffrir tous les deux. C’était évident.
Comme souvent, elle attendit Danny chez elle en regardant un film. Mais il mit plus de temps à la rejoindre que d’habitude. Elle commençait à s’inquiéter quand elle entendit la porte d’entrée vers 1h du matin. Elle se leva et aperçut Danny. Le jeune agent semblait absent. Jenny comprit tout de suite que quelque chose n’allait pas.
Inquiète, elle s’approcha de lui, mais il resta silencieux, et alla se servir un verre d’eau. Jenny le regarda faire, puis se décida à savoir ce qu’il lui arrivait.
« Dure journée ?
-Hum…
-Tu veux en parler ?
-J’en parle toute la journée, là, j’ai besoin de dormir… » Râla t-il.
Surprise par le ton qu’il avait employé avec elle, elle le regarda finir son verre d’eau et se diriger vers la chambre.
« Je voulais juste te proposer de t’aider parce que tu as l’air affecté, tu n’as pas à me répondre comme ça ! Pourquoi est-ce que tu es venu chez moi ce soir, si c’est pour m’envoyer paître comme ça ?
-Je suis désolé, excuse moi. »
Conscient du ton qu’il avait employé avec Jenny, il se senti coupable. Il n’aurait jamais du lui parler comme ça. Epuisé par sa journée, il s’assit sur le lit et se massa la nuque. Elle l’y rejoignit et lui caressa doucement les cheveux.
« Je suis là si tu as besoin de parler, je veux que tu le saches. C’est tout. Mais je ne te forcerai pas. »
Le jeune homme tourna ses yeux remplis de détresse et de fatigue et lui lança un timide sourire avant de l’embrasser.
« Qu’est-ce que je ferai sans toi. »
Il l’embrassa de plus belle, puis l’observa. Mais son regard changea soudain et devint sombre. Il repensait à la journée qu’il venait de vivre, à cette nouvelle affaire.
« Un petit garçon de 7 ans a disparus en allant à l’école. Au début, nous pensions à une fugue parce qu’il vit dans une famille difficile… Mais…
-Que s’est-il passé ?
-Nous savons qu’il a été enlevé par un pervers. Il est peut être déjà mort… Mais en regroupant plusieurs autres disparitions d’enfants ces derniers mois, nous nous sommes aperçut que ce gars n’en est à son coup d’essai ! Les enfants qu’il a enlevé auparavant n’on jamais été retrouvés. Personne ne sait ce qu’ils sont devenus ! »
Tout en parlant, Danny fixait un point imaginaire sur le mur devant lui. Jenny lui frottait doucement le dos pour lui montrer qu’il n’était pas seul, mais elle ne pouvait s’empêcher de penser en même temps à tous les enfants dont elle devait parfois aussi s’occuper à l’hôpital. Les choses étaient toujours plus dures à encaisser lorsque ces êtres chers étaient impliqués. Elle n’osait imaginer l’état dans lequel devaient se trouver les parents de ces enfants disparus.
« Jack nous a ordonné de rentrer chez nous dormir quelques heures avant de reprendre le boulot demain matin. Je ne voulais pas être seul ce soir…
-Tu as bien fait de venir. »
Elle déposa un léger baiser sur le front du jeune homme et les deux jeunes gens se couchèrent l’un contre l’autre. Pendant que Jenny s’endormait paisiblement, Danny ne cessa de se retourner dans le lit en passant en revu dans sa tête tout ce qu’il savait sur cette affaire. Il avait dû passer à coté de quelque chose ! Il fallait qu’il retrouve ce petit garçon. Il n’avait rien demandé à personne, il ne méritait pas de devenir un dossier de plus dans les affaires non résolues. Lui et sa famille avait droit à la vérité, à savoir ce qu’il s’était réellement passé.
Au petit matin quand le réveil de Jenny sonna, Danny avait déjà disparu. Il était déjà retourné à son travail après une nuit agitée.

J'ai pas ma dose ! Mets une suite très vite !

une suite please!!

Chapitre 24 :

Jack et Danny se tenaient debout l’un à coté de l’autre à l’entrée d’un petit jardin de banlieue. Il aurait pu paraître tout ce qu’il y a de plus banale, mais voilà, ce jardin état le reflet de toute la cruauté et la perversité dont un seul individu était capable. Cet homme que ses voisins décrivaient comme quelqu’un de discret mais de serviable était un monstre ! Un monstre que personne n’avait su voir jusqu’à aujourd’hui.
Tout deux avaient la nausée devant ce jardin d’apparence si paisible et si normale. Personne n’aurait pu deviner ce qu’il se cachait sous ces deux grands arbres. Quelques plantes avaient même avaient été plantée de ci de là, donnant une atmosphère d’apparente tranquillité à l’endroit. Après de longues minutes de cette morbide contemplation, les deux agents entendirent les hommes de la morgue qui arrivaient avec d’autres agents. Armés de pelles et après quelques hésitations, les agents commencèrent à creuser dans le jardin en plusieurs endroits. Bientôt les trous qu’ils formaient laissèrent apparaître devant eux des sacs plastiques, pour certains vieux de plusieurs années.
Tous les hommes présents savaient ce que ces sacs renfermaient et tous travaillaient en laissant leurs larmes couler sur leurs joues. Impossible de les retenir. Ces hommes formés pour arrêter les pires criminels, pour pouvoir affronter les crimes les plus abjects, se retrouvaient à genoux en train de pleurer. Comment devaient-ils réagir en pareille situation ? Certains d’entre eux ne pouvaient en supporter davantage et couraient dans un buisson pour vomir en pleurant comme des enfants. Personne ne pouvait les blâmer.
Après une heure de fouille dans le jardin, les agents avaient déterré au moins une dizaine de petits corps d’enfants grossièrement emballés dans des sacs plastiques. Jack et Danny les avaient regardé faire en silence. Eux aussi versaient des larmes en silence.
Puis les légistes emmenèrent les petits corps avec eux dans un silence presque religieux. Personne n’osait parler, seul les reniflements et les gémissements des agents se faisaient entendre.
Jack posa la main sur l’épaule de son collègue et le força à le suivre. Ils montèrent dans leur voiture pour rentrer au bureau, mais avant de démarrer, Jack voulut mettre certaines choses au point.
« J’ai dit aux autres que nous les avions retrouvés, mais je n’ai pas donné de détails, ils n’en ont pas besoin.
-D’accord. »
En effet, cette expérience était traumatisante pour n’importe quel agent. Et si Danny avait été forcé de voir cet alignement de petits cadavres, les autres membres de son équipe n’avaient pas besoin de connaître les détails de leur macabre découverte. Tous ces enfants, si innocents, si petits encore ! Comment un homme pouvait-il commettre autant d’atrocités envers eux ? Malgré son expérience professionnelle, Jack était lui aussi profondément choqué, et en colère aussi ! Il ne comprenait pas comment un tel monstre avait pu passer inaperçu jusque là. Après tous ces meurtres ! C’était incompréhensible.

Après leur retour au bureau, Jack avait permis à ses hommes de prendre le reste de leur journée, en particulier Danny. Leurs rapports attendraient. Le jeune homme retourna donc chez lui, mais il ne pouvait pas se reposer. A chaque fois qu’il se posait ou qu’il fermait les yeux, il revoyait ce jardin, ce cimetière d’enfants. Impossible d’effacer cette image. Même aux crimes violents, il n’avait jamais vu une telle horreur.
Par chance, il savait que Jenny avait pris son après midi, il se décida donc à aller la voir. Il avait besoin d’être avec elle, de ne pas être seul pour tourner la page dans la mesure du possible.
Il lui passa un rapide coup de file pour s’assurer qu’elle était bien chez elle et pour lui demander s’il pouvait passer. Quand e fut fait, il se rendit chez elle sans perdre une seconde.
Jenny l’attendait avec inquiétude lorsqu’il arriva. Il ne lui avait pas encore expliqué pourquoi il avait arrêté son travail si tôt, mais cela avait selon toute vraisemblance un rapport avec ce qu’il lui avait raconté la veille.
Elle vit tout de suite à son expression que Danny avait pleuré, pourtant elle ne l’avait jamais vu pleurer. Ils s’installèrent sur le canapé et Jenny s’aperçut que les larmes avaient recommencé à tomber en silence sur les joues de son ami.
« Ils n’avaient rien fait de mal, murmura t-il.
-Vous l’avez retrouvé ?
-Oui, son corps.
-Je suis désolée bébé.
-Tu ne comprends pas, il n’était pas seul…
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ils étaient si petits, si innocents. Comment on peut faire une chose pareille ? »
Les larmes roulaient sur ses joues sans discontinuer. Il revoyait devant lui tous les petits corps alignés au milieu du jardin retourné par les agents.
-Ce monstre… Il en avait enterré plus d’une dizaine dans son jardin ! Tous des gosses de moins de dix ans ! Ce monstre !
-Calme toi Danny ! Dis toi qu’au moins vous les avez retrouvés et qu’il va être jugés pour ces odieux crimes. C’est la meilleure chose que vous pouviez faire. Pense à tous ces parents qui vont pouvoir faire leur deuil en récupérant les corps de leurs enfants.
-Je sais, mais…
-Chut, ça va aller. »
Jenny le prit dans ses bras où il put laisser évacuer toute sa peine, tout son dégoût et sa colère par ses larmes. Jamais il n’avait pleuré comme ça. Jamais une affaire ne l’avait autant affecté.
Finalement, les larmes se firent plus rares et cessèrent de tomber. Il se redressa, un peu honteux d’avoir craquer à ce point. Mais la jeune femme lui lança un sourire si rassurant et si chaleureux qu’il reprit finalement le dessus sur ses émotions.
« Je suis désolé…
-Tu n’as pas à l’être. Personne ne pourrait supporter ce genre de chose. Je suis certaine que tous ceux qui ont vu ce que tu as vu aujourd’hui ont réagi comme toi. »
Le jeune agent sourit timidement et déposa un doux baiser sur les lèvres de Jenny.

Le jeune agent sourit timidement et déposa un doux baiser sur les lèvres de Jenny.

et RRRRRRRRRR !!!!!!
Bon ma Scrattou faut casser un couple aussi beau !!! Lui et moi c'est pour la vie !
Ta suite quand tu veux !

Toute mess excuses d'avance, cette semaine, je ne pense pas pouvoir mettre de suite à ma fic car je dois aller à la fac! et oui, il faut bien un jour...
Fini ls vac!
A très bientot j'espère!

Chapitre 25 :

Comment reprendre le travail comme auparavant après avoir ça ? Danny s’était souvent poser cette question les jours qui suivirent la découverte des cadavres des enfants. Bien que tout ceci l’eu choqué, Danny refusait d’en parler. Et son entourage acceptait ça, même si Jack aurait préféré qu’ils en parlent tous les deux mais il ne pouvait pas le forcer. Depuis qu’ils travaillaient ensemble, il avait compris que si Danny était ouvert aux problèmes des autres, il se refermait dés que ses sentiments ou sa vie personnelle étaient un peu trop mis en avant. Il l’avait donc laissé reprendre son travail, tout en essayant de le ménager un peu. Danny s’efforçait de paraître aussi naturel que de coutume, mais Jack sentait bien que ce n’était qu’une apparence. Qui pourrait rester insensible après avoir vu ce qu’ils avaient vu ?
Le jeune agent savait pertinemment que son patron le ménageait un peu. Il n’était pas d’accord avec ça, mais il ne disait rien, moins par peur de dire ce qu’il pensait à Jack que par refus de reparler de ce qu’ils avaient vu. Mieux valait tourner la page et essayer de ne plus penser à cette horreur. Jamais il n’oublierait cette vision épouvantable, comment oublier ça ? Mais il devait pouvoir mettre ça dans un coin de son esprit et passer à autre chose.
De la même manière que Jack le surveillait, Danny savait que Jenny faisait attention à lui depuis ce jour où il avait craquer dans ses bras. Il avait beau lui avoir comprendre qu’il s’était remis et que l’home qu’elle avait vu ce soir là n’était pas vraiment lui mais juste un agent poussé à bout et épuisé, un homme qui avait vu ce que personne n’aurait pu supporter de voir sans broncher.
Bien que les cauchemars aient commencés par envahir toutes ses nuits après ce drame, ils finirent par disparaître au fil des semaines. Cette affaire avait marqué le jeune agent plus qu’il n’aurait voulu l’admettre. Jenny le savait et comme son amant ne voulait pas en parler, elle n’abordait pas le sujet non plus. Et ils continuaient de se voir chaque semaine, le plus souvent possible même si leurs travails leur prenaient beaucoup de temps. Ils reprirent leurs petites habitudes, leurs soirées devant un bon film, leurs discussions sans fin. Peu à peu, le traumatisme engendré par cette affaire s’effaça jusqu’à n’être plus qu’un abominable souvenir de plus.

Un mois plus tard, Danny attendait Jenny chez lui devant sa TV. La jeune femme ne le rejoignit que tard dans la soirée. Elle paraissait soucieuse et mal à l’aise. Danny l’embrassa à son arrivée et devina tout de suite que la soirée n’allait pas se passer comme il l’avait prévu. Il n’aurait su l’expliquer, mais dés qu’il l’avait vu entrer, une angoisse l’avait envahi.
« Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Il faut qu’on parle Danny », dit-elle simplement.
Le jeune homme acquiesça et ils s’installèrent sur le canapé. Elle avait du mal à le regarder en face, parce qu’elle avait peur de ce qui allait se passer. Elle ne savait pas comment se lancer, mais elle n’avait que trop laissé les choses aller. Ils ne devaient plus se voiler la face. Cette fois-ci rien ne devait empêcher ce qui allait se passer. La dernière fois qu’elle avait voulu lui parler, il y avait cette affaire, et Danny était si affecté qu’elle ne s’était pas senti la force d’en rajouter. Elle avait donc attendu que le jeune homme se sente mieux. Il avait fallu du temps. Bien sûr, ce n’était pas un gros sacrifice pour elle, car elle tenait énormément à lui, et il était sans doute plus facile de se mentir. Mais aujourd’hui, elle n’avait plus aucune excuse.
« Danny, tu sais, nous le savons tous les deux que nous nous apprécions. Nous nous aimons même, mais… »
Le jeune agent avala douloureusement sa salive. Combien de fois il avait redouté ce moment, combien de fois il avait cru que cela arriverait. Maintenant, il y était.
« Mais…
-Mais, pas comme… »
Malgré toute sa bonne volonté, Jenny ne parvenait pas à trouver ses mots. Elle avait vu Danny se crisper dés le début de sa phrase, mais il ne paraissait pas surprix outre mesure.
« J’ai compris », dit-il.
Il savait que ce moment allait venir tôt ou tard. Ce qui les avait rapproché, c’était ce passé douloureux en commun, ce désir de vivre au jour le jour, et cette volonté de se racheter pour une faute que ni l’un ni l’autre n’avait commise. Elle, abandonnée enfant, se sentait responsable et avait décidé de passer sa vie dans un hôpital. Lui culpabilisait après la mort de ses parents et avait choisi d’intégrer le FBI.
Aujourd’hui, leur route se séparait.
« Pourquoi aujourd’hui ? »
Jenny regarda Danny, le cœur déchiré.
« Parce que nous ne pouvons plus attendre. Tu m’as tellement donné, tu es tellement de choses pour moi, mais plus nous attendrons, plus nous souffrirons. Tu le sais. Un jour, nous trouverons tous les deux quelqu’un pour lequel nous éprouverons des sentiments que nous n’aurons jamais entre nous. Et en même temps, tu auras toujours une place dans ma vie que personne ne pourra jamais prendre, je veux que tu le saches. »
Même si en apparence, la jeune femme était calme, elle était terrifiée à l’idée qu’elle pouvait le perdre. Tous les deux avaient une complicité irremplaçable.
Danny se leva du canapé, et marcha de long en large dans la pièce pour réfléchir. Il ne savait pas trop comment réagir. Après tout, il n’avait jamais eu de relation aussi longue avec une femme !

Nooooooooonnnnnnnnnnn !!!!!!!!!
Pourquoi tu me fais ça ?????????
Qu'est-ce que je t'ais fais ????????
ça va pas du tout ça !

Ah, ba non alors!!! C'est trop triste!
Mais ça ne peut présager que de grandes retrouvailles dans pas très longtemps, hein?!!!! J'espère, j'espère...

la suite stp !!

je dois etre un peu sadique mais je trouve l'idee interressante, ça merite une suite!!

en plus c'est tres bien ecrit , on s'y croirait!!

Je suis vraiment désolée d'avoir disparue ces derniers temps, mais avec les cours je n'ai vraiment plus le temps d'écrire! Ce week end, je me suis motivée, alors voilà!
je remercie tous ceux qui sont assez motivés pour reprendre la lecture après tout ce temps!

Chapitre 26 :

« Dis moi quelque chose Danny ! S’il te plait ! »
Il s’arrêta de marcher et s’installa de nouveau sur le canapé en se frottant les mains nerveusement.
« Je savais bien que ça arriverait un jour.
-Je sais. »
Il s’attendait à vivre cette scène depuis quelques temps déjà, mais il réalisa brusquement qu’elle avait attendu que le traumatisme de la découverte des cadavres des enfants fut atténué. Comment lu en vouloir après ça ? Elle s’était une fois de plus mise au second plan. Même si la jeune femme avait raison sur certains points, il ne voulait pas la perdre. Elle était trop importante à ses yeux.
« Et qu’est-ce qu’on va faire maintenant ?
-Je ne sais pas. Il vaudrait peut être mieux que nous ne nous voyons plus juste pendant quelques temps, sinon, j’ai peur que cela ne soit trop dur pour nous.
-Attend, si on fait ce que tu dis, on finira par ne plus se voir du tout, tu le sais. Et je ne veux pas de ça. Tu ne peux pas me demander ça.
-Cela vaut mieux, juste quelques temps. Sinon, nous finirons par essayer à nouveau et nous nous ferons du mal.
-Tu n’y crois plus du tout alors ?
-Arrête, s’il te plait, tu te fais du mal. »
Danny préféra garder le silence.
« Je ferais mieux d’y aller maintenant. »
La jeune femme se releva, prit sa veste et se dirigea lentement vers la sortie.
« Attend !
-Danny…
-C’est juste que… Je… Je ne veux pas que tu sortes complètement de ma vie. Tu comprends ?
-Oui, moi non plus. »
Danny se retrouva seul au milieu de son salon. La pilule était plutôt dure à digérer.

Le lendemain, lorsque Danny débarqua au bureau, tous ses collègues virent à son air qu’il avait passé une mauvaise nuit, mais dés qu’ils voulurent le questionner, le jeune homme se dérobait en blaguant. Pour lui, la vie suivait son cours, avec ses hauts et ses bas. Pas la peine d’épiloguer, il fallait tourner la page. Du moins, c’était sa philosophie. Il avait assez traversé d’épreuves dans sa vie pour savoir que rien n’était insurmontable.
Les jours suivants, le plus difficile pour lui était de ne pas céder à la tentation de téléphoner à Jenny. Mais comme elle l’avait dit elle-même, cela n’en aurait été que plus douloureux. Alors pour ne pas trop y penser, il se réfugiait dans son travail et enchaînait les enquêtes les unes après les autres sans broncher. Ainsi, son esprit était toujours concentré sur autre chose.
De cette manière, il tournait peu à peu la page. Et quand il n’y penserait plus du tout, il reprendrait un rythme normal.

« Aïe ! Ah mais c’est pas vrai ! »
Danny leva la tête de son bureau et pouffa de rire en voyant Sam qui rallait après avoir vidé la moitié de sa tasse de café sur sa chemise et sur le rapport qu’elle venait tout juste de finir.
« Y a qu’à moi que ça arrive ça ! Ravie de te faire rire Danny !
-Tu rirais aussi à ma place ! »
La jeune femme finit par sourire elle aussi devant le ridicule de la situation et disparu dans les toilettes. Danny se remettait à son rapport quand son patron apparut devant lui.
« Où est Sam ?
-Elle a eu des maux avec le café.
-Je vois.
-Je venais vous dire que vu l’heure tardive, vous pouviez rentrer chez vous. Vous finirez vos rapports demain matin.
-D’accord, je le dirais à Sam.
-Tu as entendu ce que j’ai dit Danny ? C’est valable pour toi aussi.
-Oui patron. J’attends que Sam réapparaisse des toilettes.
-D’accord. »
Le jeune agent se replongea dans son travail et Jack partit.

Il fut le dernier à quitter le bureau ce soir là. Il commençait à ressentir les effets de la fatigue accumulée depuis plusieurs jours et n’était pas mécontent de rentrer chez lui.
Il monta dans sa voiture, luttant contre le sommeil et le froid et se mit en route vers son domicile. Les rues qu’il empruntait étaient désertes et silencieuses à cette heure. Personne ne traînait dehors avec toute cette pluie qui ne cessait de tomber depuis deux jours. Danny ne put s’empêcher de bailler. Il tenta de se réveiller en se frottant les yeux, mais ce ne fut pas concluant. Il avait rarement vu les rues de New York aussi calmes, même la nuit. Il avait l’impression d’être tout seul. Il s’engagea dans une rue, comme à son habitude. Mais tout de suite, il s’aperçut que quelque chose n’allait pas. Il y avait cette voiture en face de lui, qui venait en sens inverse… Ses phares l’éblouissaient, et c’était comme si elle n’était pas sur la bonne file…
« Qu’est-ce que… »
Quand il fut certain que la voiture lui fonçait dessus, Danny tenta de freiner, mais la pluie accumulée sur la route déstabilisa sa voiture qui commença à faire des têtes à queue… Par réflexe, il tenta de tourner le volant de sa voiture dans l’autre sens en relâchant les freins, mais il n’avait plus aucun contrôle et sa voiture heurta de plein fouet un mur…
L’autre voiture passa son chemin.

C'est ce qui s'appelle finir un chapitre sur un moment fort! Tu ne peux vraiment pas nous laisser comme ça?!!! Il nous faut la suite!

serieux tu peux t'arreter comme ça, hein dis??!!


steulpléééééééééé!!!!!! pitiééééééééé!!!!!!!!!

donne nous quelque chose a nous mettre sous la dent la!!!!!!!!!!!

allez.....

faut la suite la !!!!!

Et moi qui suis plaquée tu peux pas t'arrêter comme ça !!!

pitite Scrattounette, il nous faut vraiment une suite, j'en peux plus d'attendre la !!!!!! des que je viens sur le forum , me dis qu'on aura peut etre droit a un ptit bout, un ptit quelque chose a se mettre sous la dent!!

signée une fan desesperée

Je vais essayer de vous mettre la suite le plus rapidement possible! c'est promis!

Je n'ai pas été trop longue! Enfin, j'espère!

Chapitre 27 :

Malgré la douleur, il parvînt à ouvrir les yeux. Chacune des images qui défilaient devant ses yeux étaient floues et insaisissables. Il distinguait cependant une vague silhouette devant lui, sans pouvoir la voir nettement. Il ne pouvait pas bouger, chaque respiration le faisait souffrir. Il se sentait ballotté de gauche à droite, des lumières rouges dansaient au dessus de lui. Il était probablement dans une ambulance. Mais il perdit conscience rapidement et se laissa envahir par l’obscurité reposante.

« Allez Jenny, rentre chez toi ! Tu ne tiens plus debout et tu as fini ton service depuis une heure ! Qu’est-ce que tu fais encore là ?
-Je donnais un coup de main à Mick avec un de ses patients, répondit la jeune femme avec un pâle sourire. Je dois encore descendre chercher un dossier aux urgences qu’on a oublié de nous transmettre et ensuite je m’en vais. »
Jenny laissa sa collègue et entra dans l’ascenseur de l’hôpital. Lorsqu’elle en ressortit quelques étages plus bas en plein milieu des urgences, le calme apparent fut interrompu par l’arrivée brusque par le sas réservé aux ambulanciers de plusieurs d’entres eux autour d’un brancard. Comme ils allaient dans le même couloir qu’elle, la jeune femme se poussa rapidement contre un mur pour ne pas les gêner.
C’est alors qu’elle reconnut l’homme allongé sur le brancard malgré tout le sang qui coulait à flot sur son visage. Paniquée, elle suivit les ambulanciers.
« Jeune homme de… accident de circulation… trouvé inconscient… »
C’est tout ce qu’elle entendit avant que Danny ne soit finalement mis dans une salle dans laquelle la jeune femme n’avait pas le droit d’entrer. Elle le savait, elle ne ferait que gêner ses collègues.
Elle n’avait pas revu Danny depuis leur rupture trois mois plus tôt, elle ne savait pas ce qu’il était devenu, s’il avait surmonté ça, ou tout simplement s’il allait bien.

Mais qui pouvait bien lui téléphoner à cette heure-ci ?! Au beau milieu de la nuit ?! Peut être le bureau pour le mettre sur une nouvelle enquête. L’esprit encore trop embrumé par le sommeil Jack Malone répondit à son portable dont la sonnerie venait de le tirer du lit.

« Jenny ! Mais qu’est-ce que tu fais encore là ? Je croyais que tu devais rentrer chez toi !
-L’un de mes amis a été admis aux urgences au moment où j’allais partir. Il est en salle d’opération en ce moment.
-Mais ça risque de prendre des heures. Tu ne peux rien faire pour lui pour l’instant, tu le sais mieux que quiconque. Rentre chez toi, tu as besoin de dormir.
-Je sais, mais c’est quelqu’un à qui je tiens beaucoup. Je ne peux pas partir maintenant.
-Je vois. Je te propose une chose. Si je te trouve un lit dans un coin tranquille, tu m promets d’aller dormir un peu. Comme ça, s’il se passe quelque chose pou ton ami, tu seras rapidement prévenue.
-D’accord. »

Ca faisait des heures qu’il patientait dans le couloir de l’hôpital en se rongeant les ongles. Jack n’avait pas osé appeler ses collègues, il ne le ferait que lorsqu’il aurait des nouvelles de Danny. Pour l’instant, tout ce qu’on avait bien voulu lui, c’était qu’il avait eu un accident de voiture tard dans la soirée et qu’il était encore au bloc opératoire.
Qu’avait-il bien pu se passer ? Il avait pourtant demandé à tous ses collègues de rentrer chez eux en laissant temporairement leurs rapports de coté. Pourquoi Danny rentrait-il si tard chez lui ? Jack savait qu’il aurait dû vérifier que le jeune agent parte quand il le lui avait dit !
Cette équipe se retrouve trop souvent à l’hôpital ! Constata t-il. Comment cela se faisait-il ? Qu’avait-il manqué ? Les choses devaient changées, et elles allaient changer ! Pas question de continuer ainsi !
Mais en attendant de changer quoi que ce soit, Jack n’avait toujours pas de nouvel de son collègue, ce qui commençait à être inquiétant. L’hôpital était, à cette heure de la nuit plongé dans un calme et un silence horriblement pesant. Seul quelques bruits de pas lointains se faisaient entendre, mais Jack ne percevait la plupart du temps que sa propre respiration et le tic tac de sa montre. N’y tenant plus sur son siège, Jack se leva brutalement et commença à faire les cent pas dans le couloir guettant le moindre bruit.
Enfin, brusquement un médecin apparut au fond du couloir. Il marcha droit vers Jack, le visage grave. Il alla à sa rencontre sans détour et s’arrêta à sa hauteur.
« Vous êtes ici pour Danny Taylor ?
…


(pas taper!)

Tu veux faire durer le suspense le plus longtemps possible, hein?! J'espère que ça ne sera pas trop longtemps quand même, car je veux les retrouvailles Danny Jenny!
Allez vite, la suite...

Et comment qu'on les veut ces retrouvailles (enfin surtout moi ) alors mets vite une suite stp !

toujours tres bien mais il nous faut une suite en urgence, la!!!!!!!!