1ère fic: indulgence! (complète) [GENERAL/ROMANCE]

RHooo arrêtez je vais rougir!!
En tout cas ça me fait plaisir de savoir que vous aimez, je vais réfléchir à une suite et essayer de ne pas trop vous faire attendre...

Ohhh voui une suite rapidement pleeease


Mais fait pas de mal a Danny,hein??? C'est moi la reine du sadisme, pas toi


Enfin bref I can't wait

ben elle est ou la suite ???

Ca vient, ça vient!
Bon, elle est courte, mais j'avais promis une suite (mais pas qu'elle serait longue...), donc la voilà.


***************





La pluie commençait à tomber, les lumières des gyrophares à s’éloigner tandis qu’il restait immobile, debout au milieu de la route. Les bras ballants, le regard perdu, et cet horrible sentiment de vexation, de frustration. Non, il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas pourquoi les choses avaient pris cette tournure. Le regard qu’elle lui avait lancé avant d’entrer dans la voiture l’avait totalement déstabilisé. Et puis ce rejet, avec un ton cassant, comme si elle lui rejetait toute la faute. C’était peut-être lui qui avait décidé de monter ce kidnapping ? Qui l’avait menacée avec une arme ?

OK, peut-être qu’il avait été maladroit, ou que sa réaction avait été trop « cowboy », mais ça lui était venu naturellement. Son instinct l’avait pousser à tout faire pour les protéger toutes les deux. Parce qu’il tenait à elles, tout simplement. Depuis le début il s’était attaché à Sophie, il tenait très à cœur son rôle « d’oncle », lui qui avait manqué de famille. Et Elena…il avait toujours ressenti quelque chose pour elle, même si leur relation au départ avait été chaotique. Au fur et à mesure ils avaient pris le temps de se chercher, de se connaitre, de s’apprivoiser. Il avait fait le premier pas par la suite car il était sûr de ses sentiments. Et Dieu sait qu’il n’était pas facile de mettre la main sur Danny Taylor…

…et tout avait basculé. A cause de cette fichue histoire, tout était remis en question.

Frustré, il resserra les pans de son manteau pour se réchauffer mais ne fit pas attention à la pluie qui commençait à imprégner ses cheveux. Il n’avait pas non plus apprécié la remarque de Jack.

Rentre chez toi…

A croire que tout le monde s’était donné le mot ? Non, il ne comprenait pas.

Il décida alors de regagner sa voiture, l’œil morne. Tous les autres étaient déjà partis depuis longtemps.

Assis au volant, il resta un instant sans allumer le contact, à ruminer. Il ne voulait pas rentrer chez lui. Non. Ca voudrait dire qu’il mettait en application la remarque de Jack, et implicitement qu’il reconnaissait qu’il avait eu tort. Or ce n’était pas du tout comme ça qu’il concevait les choses. Il avait agi comme ça parce qu’il avait cru bon de le faire. Point. Et si les autres pensaient que cela avait été stupide, tant pis pour eux. Point.

N’empêche maintenant il se retrouvait tout seul…



**


Elle s’assit sur son lit encore tout habillée, les épaules lourdes. Son maquillage était défait, ses yeux noircis ressemblaient comme le disait si bien Sophie à des yeux de raton-laveurs. Elle avait perdu toute notion du temps…il devait être très tard. Mais qu’importe, elle ne retournerait pas travailler de si tôt. Jack lui avait donné la semaine pour se remettre des évènements, et de toutes manières, elle ne lâcherait plus Sophie d’une semelle. Son petit bébé…qu’elle avait failli perdre. Carlos avait vraiment perdu la tête pour oser faire une chose pareille.

Des larmes de rage glissèrent contre ses joues et elle les balaya furieusement du revers de la main. Elle était complètement sous le choc. En colère aussi. Contre Carlos, qui avait osé mettre la vie de Sophie en danger, contre Danny qui avait voulu jouer le cowboy, contre elle-même aussi. Elle n’aurait jamais du laisser les choses s’envenimer. Elle n’aurait jamais du tomber amoureuse, elle n’aurait jamais du jouer avec le feu.

Elle s’était brûlée.

Elle entendit soudain un cri qui la fit sursauter. Sophie hurlait. Elle se précipita dans la chambre de sa fille. Elle se débattait, elle criait dans son sommeil. Elena la prit immédiatement dans ses bras.

« Sophie… Sophie réveille-toi. »

La petite fille ouvrit alors les yeux, tremblante et en sueur.

« Il est revenu ! Maman il est revenu ! » Sophie serra sa mère de toutes ses forces et posa sa tête contre sa poitrine.

Elena eut un pincement au cœur. Il lui faudrait énormément de temps pour arriver à lui faire oublier toute cette histoire. Ce n’était que le début d’une longue série de cauchemars, elle en était certaine. Elle se mordit la lèvre et lui caressa les cheveux.

« No, Sophie. Il est parti maintenant. Le méchant monsieur ne reviendra plus. C’est fini. C’est fini maintenant. Shh… »

Elle la berça longuement jusqu’à ce qu’elle se calme et qu’elle s’endorme à nouveau. Quand elle fut sûre qu’elle était endormie, elle l’allongea dans les draps, et lui embrassa le front. Elle resta ainsi quelques minutes à l’observer, elle semblait si fragile…

La jeune femme décida alors de se glisser dans les draps et de la tenir dans ses bras. Elle passerait toutes les nuits près d’elle s’il le fallait.

Elle se fit cette promesse juste avant de fermer les yeux.

oui c'était un peu court

mais j'ai beaucoup aimé la première partie, tu as parfaitement décrit ce que Danny avait pu ressentir !!!

quand à la2èmmme...no comment elle est vilaine avec mon Danny !! bouhhhh !!!


la suite !!!

Meuuu non elle n'est pas vilaine!! Elle est boulversée, pobrecita...


J'adore autant une partie que l'autre!! C'est tellement bien écrit!


Can't wait for more

Bonsoir! J'ai encore un petit bout pour ce soir...
Bonne petite lecture!

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« Il en fait une tête… » remarqua Sam en posant un gobelet de café sur le bureau de Martin.

Celui-ci hocha la tête en guise de remerciement et jeta un coup d’œil en direction de Danny, qui se tenait le menton, le regard perdu vers les gratte-ciels. Visiblement il n’ était pas d’humeur.

« Et ça dure en plus… » ajouta-t-il en prenant une pause. Il s’étira un instant pour décompresser sans perdre des yeux son collègue.

« Tu sais qu’est-ce qu’il a ? »

« J’ai ma petite idée… »

Il n’en dit pas plus, se contentant d’avaler une gorgée de son café brulant. Mais apparemment Samantha voulait connaitre la suite, elle s’assit sur le rebord du bureau et se pencha vers lui.

« C’est quoi ? Je sais pas moi, mais j’ai l’impression qu’il est comme ça depuis l’histoire de Sophie… »

Martin acquiesça avec un marmonnement inaudible. Une sorte de « hum hum » révélateur. Sam fit les yeux ronds.

« Tu veux dire que… ? »

Martin se contentant de répéter « hum hum » tout en sirotant sa boisson.

« Non ?! »

« Hé si… »

« Elena et Danny… ? » Elle ne finit pas sa phrase. Martin hocha la tête.

« J’arrive pas à y croire… »

Il jeta son gobelet dans la corbeille et leva lentement les yeux vers la jeune femme.

« Sam…Y’a que toi qui n’avais pas remarqué… »


Cette remarque la vexa. Elle pinça les lèvres et regarda en direction de Danny qui n’avait toujours pas bougé d’un pouce. Alors Elena et Danny… ça lui faisait quand même quelque chose. Elle ne savait pas trop quoi…Certes, elle était mal placée pour critiquer les relations au bureau, mais…elle n’imaginait pas que ça pouvait être vrai. Et intérieurement, elle sentait comme une pointe de jalousie. C’était stupide de sa part…Danny n’était qu’un ami. Voire un frère. Mais cette sensation désagréable s’insinuait en elle. Elle vit que Martin la regardait suspicieusement et haussa les épaules pour faire bonne figure. C’est à ce moment là que Vivian passa près d’eux et leur chuchota :

« Arrêtez de le regarder comme ça vous deux, on dirait qu’il est une attraction de foire. »

« On s’inquiète pour lui, c’est tout, Viv, » se justifia Martin.

« Je sais bien, mais soyez plus discrets, parce que le connaissant, je doute qu’il apprécie d’être surveillé comme ça. Croyez-moi, je sais de quoi je parle ! »

« Et à toi, il te parle ? »

« Non…mais ça lui passera, j’en ai aucun doute. D’ici quelques jours j’espère… »

« J’ai entendu dire que Jack l’avait collé aux rapports depuis ce matin. »

« Oui, il a laissé déteindre sa mauvaise humeur plusieurs fois et Jack a perdu patience…de toutes façons je doute qu’il soit en état sur le terrain. Heureusement que c’est plutôt calme de ce côté-là. »

Tout le monde acquiesça.

Sam décida quand même d’aller le voir. Elle s’approcha de son bureau, un gobelet de café à la main. En général, il ne disait jamais non à une dose de caféine.

« Salut… »

« Salut. »

Un mot lâché entre les dents, pas vraiment spontané, mais prononcé pour être poli. Pour autant, Danny ne quitta pas son papier des yeux.

« Heu…Un café ? »

Il ne répondit pas, toujours plongé dans sa paperasserie. Elle décida de le poser quand même sur le coin de la table.

« Bon, ben, au cas où… » Elle fit une pause avant de reprendre : « Tu sais, Danny… »

« Merci Sam, » coupa-t-il sèchement.

Ca signifiait « fin de la discussion ». Ou plutôt du monologue. La jeune femme allait tourner les talons quand elle s’interrompit et se retourna vers son collègue.

« Tu n’es pas obligé de réagir comme ça, tu sais. Je voulais simplement être gentille. »

« Oui, ben occupe-toi de tes affaires, là tu seras gentille. » Il avait lâché son papier et la regardait enfin. Son regard était dur, distant. « Mais arrêtez votre manège quoi ! Foutez-moi la paix ! J’ai pas le droit d’être tranquille et de faire la gueule, hum ?? A chaque fois que ça va pas, faut que je vous envoie un fax ?? »

Il avait crié, et tous les agents présents dans la pièce s’étaient interrompus pour regarder la scène avec étonnement. Danny jeta un coup d’œil autour de lui, il entendait des chuchotements, et certains le regardaient en coin. Il regarda finalement Sam qui restait immobile, les sourcils levés. Visiblement elle ne s’était pas attendue à une telle réaction. Martin lui faisait semblant de regarder son stylo et Vivian était la seule à le dévisager, les mains sur les hanches, en secouant la tête.

Samantha soupira et tourna les talons sans un mot de plus. Il se leva à son tour et partit en direction de l’ascenseur, la démarche rapide. Il étouffait ici.

ohoh oh!!

Pauvre Sam!!! Elle s'en prend plein la gueule..enfin surtout sacré Danny qui gueule sur tout le monde mdr.

C'est encore une fois excellement bien écrit, on s'y serait cru. J'adore!!

Sam est jalouse...je sais que ça va plaire a beaucoup d'entre vous, mais pas a moi ou bien si, ellepeut bien être jalouse si ça s'arrange en D.E quand même

Elle s'est fait Jack et Martin elle va quand même pas rajouter Danny


Mais j'aime vraiment beaucoup le fait qu'elle s'inquiète pour lui, et cette petite scene de groupe était géniale!!

C'était troo couuuuurt moi je pourrais passer des heures à te lire


vivement la suite

tu sembles avoir de l'inspi en ce moment...une petite suite pour very very soon?

Merki Marine! C'est pas particulièrement que j'aie de l'inspiration...J'écris au fur et à mesure que les idées me viennent... Voici une suite! enjoy!
Ah aussi, petit truc: je n'y connais rien à New-York, alors bon...j'ai dit que Central Park était juste à côté du bureau du FBI! lol! Et désolée si ce n'est pas le cas, on n'a qu'à faire comme si...

**********************


Cela faisait une bonne vingtaine de minutes que Danny fixait les pigeons de Central Park en train de picorer le sol. Autour de lui, quelques couples tendrement enlacés profitaient du soleil, tandis que des enfants jouaient bruyamment. Il soupira. Tout lui faisait décidemment penser à Elena. Ou à Sophie. Il se rendit compte qu’il ne s’était jamais autant pris la tête pour une femme. « Tu vieillis Taylor » se dit-il intérieurement. Il trouvait cela un peu pathétique.

« Tu comptes faire ami-ami avec les oiseaux longtemps ? Y’a de la paperasserie qui t’attend. »

La voix derrière lui ne pouvait appartenir qu’à une seule personne. Il ne répondit pas et ne se retourna pas. Il ne pouvait donc jamais être tranquille une seconde ?

Samantha prit place à côté de lui tranquillement. Elle regarda le paysage autour d’elle.

« Il fait beau aujourd’hui. Et pas si froid que ça…t’as raison, ça donne envie de se prélasser. » Elle releva ses lunettes de soleil sur sa tête. Danny n’avait toujours pas pipé mot.

« Jack a piqué une crise tout à l’heure en voyant que tu avais déserté… »

Un petit sourire s’esquissa sur ses lèvres. Son patron ne changerait donc jamais. Toujours à râler après lui…Sam reprit :

« Je suis pas venue pour te donner des leçons, Danny… Je sais que tu veux qu’on te foute la paix. Mais je voulais juste te dire que tu as encore du boulot qui t’attend… Je voulais t’appeler pour te le dire mais tu as laissé ton portable sur ton bureau. Et comme je savais où te trouver… »

Elle se releva.

« Dans cinq minutes ce sera Jack qui descendra alors je serais toi, je tarderais pas trop, ok ? »

Elle allait repartir quand Danny l’interpella.

« Sam. »

« Oui ? »

« Je suis désolé pour tout à l’heure. J’aurais pas du m’énerver, et crier après toi comme ça. Tu mérites pas ça. »

La jeune femme sourit. Elle trouvait adorable ce regard de chien battu qu’il avait, et il semblait sincère.

« Aucun problème. Mais tu sais…ma proposition tient toujours. Si t’as besoin de parler…je suis là. On se dit toujours tout de nos problèmes sentimentaux, pas vrai ? » Elle rajouta en plaisantant : « Et Dieu sait que les miens sont compliqués, alors…pour une fois, on pourrait inverser les rôles. »

Danny sourit franchement cette fois.

« C’est vrai. J’y réfléchirai. »

Sam hocha la tête et partit lentement vers le grand bâtiment, profitant encore un peu du soleil. Danny la regarda s’éloigner, avant de se dire qu’il était temps pour lui aussi de rentrer, ou il subirait encore les foudres de Jack Malone.

**


Les stores filtraient les rayons de soleil. La pièce était plongée dans une semi obscurité, ce que l’agent Delgado appréciait. Cela faisait maintenant trois jours qu’elle n’était pas sortie de son appartement. Trois jours qu’elle trainait à ne rien faire, totalement coupée du monde.

Elle était allongée sur son canapé nonchalamment et regardait la télévision d’un œil distrait. En réalité elle fixait les images mais ne retenait rien. Le journal annonçait encore des mauvaises nouvelles du Proche-Orient. Lasse, elle changea de chaîne. Cette fois elle avait droit à un dessin animé puérile avec des petites peluches mignonnes trouvant la mort dans des conditions à chaque fois horribles.

« Elena… »

Sa mère l’appela, quelque peu inquiète de voir sa fille végéter ainsi depuis plusieurs heures. Elle était venue passer quelques temps avec elle histoire de lui remonter le moral et de l’aider après tout ce qui s’était passé dernièrement. Sophie dormait dans sa chambre. Elle avait encore passé une nuit agitée, et elle venait à peine de trouver le sommeil. Isabel Delgado s’approcha de la fenêtre et ouvrit grands les stores. La jeune femme plissa les yeux, gênée par la lumière éblouissante qui apparut tout d’un coup.

« Maman ! Qu’est-ce que tu fais ?? »

« J’ouvre la fenêtre !! Ca fait des jours que tu traînes comme ça, tu crois que je vais te laisser continuer ? Il fait un soleil radieux dehors ! »

Elena râla et se redressa sur son divan.

« J’étais bien dans le noir… »

« Bien sûr ».

« Maman, tu peux me laisser tranquille un peu ? J’ai pas besoin que tu me dises ce que je dois faire ! Je t’ai jamais demandé de venir ok, alors… »

« Ca, oui ! Ca t’aurais tuée de me téléphoner pour te donner un coup de main alors que toi et Sophie vous êtes complètement sous le choc ! Non, il a fallu que je me déplace moi-même ! C’est toujours comme ça avec toi Elena ! Tu penses que tu peux te débrouiller toute seule, toujours avec…ta fierté mal placée ! Ca te coûte quoi, franchement de demander de l’aide ? hum ? »

Le ton de sa mère était dur, mais elle était remontée.

« Tu crois que c’est en restant cloîtrée chez toi que tu vas régler tes problèmes ? Tu crois que c’est comme ça que tu vas aider Sophie ? »

« Sophie a besoin de moi ! » protesta la jeune femme.

« Elle n’a pas besoin de voir sa mère complètement à l’ouest…non mais regarde-toi ! Tu es là à te morfondre sur ton canapé et à attendre que le temps passe ! C’est pas comme ça ma fille que tu vas t’en sortir ! »

Elena ne répondit pas, se contentant de regarder Lumpy le renne se faire écraser par un tronc d’arbre. Ce dessin animé la faisait vraiment rire. C’était atroce, mais tellement drôle.

« Maman…s’il te plait, arrête de me traiter comme une gamine. »

« Alors, arrête d’agir comme telle ! Réagis un peu, ma fille ! »

La jeune femme soupira et se leva, en direction de la salle de bains.

**

En prenant sa douche, elle songea qu’il serait peut-être temps de reprendre le travail. Au fond, sa mère s’occuperait de Sophie puisqu’elle y tenait tant, et pour ne plus l’avoir sur son dos, elle devrait bien sortir de chez elle.

Oui, demain, elle appellerait Jack.

pourquoi tu le fais souffrir comme ça mon ti danny ? pour cette....

Il trouvait cela un peu pathétique.

et il a raison

La jeune femme soupira et se leva, en direction de la salle de bains

.
je sais ce qu'il faut !!! un appreil électrique qui tombe dans la douche et hop c'est réglé


la suite (enfin si tu arrêtes de faire souffrir mon ti danny avec celle dont on ne prononce pas le nom )


nan je déconne.. la suite

Mais zenfin??

ahhh Théana, tu me fais vraiment

Woa quels propos chocants, Théana

Je refuse catégoriquement la mort d'un personnage de la série et surtout pas Elena

Rah la la, Jabamiah cétait....excellent comme a l'acoutumé!

La scene dans Central PArk était vraiment génial...( on s'en fou de la géographie mdr je sais pas plus que toi ou le parc se trouve...) J'ai vraiment adoré l'ambiance, on s'y serait cru!!! Le soleil, les pigeons....Danny sur un banc....

Sam est trop mignonne. J'aime beaucoup leur relation Frère/Soeur. ( oui oui, avec tous les Danny/Sam shiper autour de moi je préfère préciser amitié fraternelle mdr)

et pauvre Elena.... Elle a l'air d'aller mal... le dessin animé atroce m'a beaucoup fait rire c'était tres drole et a la fois touchant de la voir si affecté, je l'imagine tres bien dans cet état.

Enfin, ravie de savoir qu'elle va reprendre le travail et vivement la suite!!!

Encore bravo I looooooove this story

oh jabamiah j'ai adoré rattrapé tout mon retard !!! et ces passages avec danny sont sublimes kle puavre chou il souffre àcause de ... j'ai rien dit !!

et cette relation sam et dan j'adore !!! merci vite la suite

Bonsoir! Une nouvelle suite pour ce soir...enjoy.

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« Alors Fitzy, on se le fait ce casse-croûte ? »

Martin grimaça à l’évocation de ce nom. Il ne l’aimait pas du tout, et Danny le savait, ce qui ne l’empêchait pas pourtant de continuer à l’appeler ainsi pour l’agacer.

« Ramène ta fraise Taylor. J’espère que tu m’as pris ce que je t’ai demandé. »

Le jeune homme s’assit sur le rebord du bureau et jeta le sachet marron sur la table.

« Double burger sans oignon…c’est mieux pour la drague, hein ? »

Il lui donna un coup d’épaule et Martin ne put s’empêcher de secouer la tête, avec un sourire.

« T’as repris la forme à ce que je vois. »

« Ouais. Les rapports m’ont mis une pêche d’enfer ! Je me sens d’attaque aujourd’hui, je sais pas pourquoi…Tu sais quoi mon frère ? A partir de maintenant je crois que je vais arrêter de me prendre la tête pour rien… » Il mordit à pleines dents dans son hamburger avant d’ajouter : « ch’est che faire des cheveux blancs avant l’heure… mauvais pour le chex appeal… »

Martin le regarda, les sourcils levés. « C’est aussi mauvais pour le sex-appeal de parler la bouche pleine. »

Ils partagèrent un sourire complice.

Au même moment, Samantha passa devant eux.

« Hey les gars, vous avez une place pour moi ? Je trouve pas Vivian. »

« Alors boucles d’or vient squatter les oursons ? »

Martin et Sam se regardèrent en même temps.

« Hey Danny, tu as mangé un clown ce matin ou quoi ? » demanda la jeune femme, à la fois amusée et ravie de le voir d’humeur taquine.

Ce dernier haussa les épaules, l’air énigmatique.

« Je crois que j’ai bu trop de café, ça doit être ça. »

« Oui, je crois aussi. Bon laissez tomber, Vivian est revenue. A plus. »

La jeune femme s’éloigna rejoindre sa collègue.

« Au fait Marty, combien tu paries pour le match des Mets vendredi soir ? » demanda Danny.

« Laisse tomber, tu vas encore perdre… »

« Tu rigoles ou quoi ? »

« Mais si Danny… » Le regard de Martin dévia vers le couloir et tout d’un coup son sourire se figea. Elena venait d’arriver. Elle ne les regarda pas et se dirigea immédiatement vers le bureau de Jack.

« Alors, combien ? Tu vas encore… » Danny s’interrompit lorsqu’il jeta un coup d’œil dans la même direction que son collègue. Il vit la jeune femme frapper et entrer dans le bureau.

« Tu disais ? » reprit Martin.

« Je… » Il chercha ses mots une seconde, un peu perturbé. Il la vit refermer la porte derrière elle, puis finalement il haussa les épaules. « Tu vas mordre la poussière… »

**

« Assieds-toi », proposa Jack.

« Merci. »

La jeune femme s’assit et souffla un bon coup.

« Je te dis pas les embouteillages. C’est une horreur. » Elle croisa les jambes.

« Comment va Sophie? »

« Ca peut aller. Ce n’est que hier qu’elle a pu faire une nuit normale. Je serais bien restée la garder encore mais ma mère a débarqué…Plutôt mourir que de l’avoir sur mon dos. Donc du coup…me voilà !» Elle sourit.

Jack lui posa la question qu’elle redoutait :

« Et toi, comment tu vas ? »

« Ca va. »

Elle avait répondu d’une voix assurée. Mais visiblement il continuait à la sonder, de son regard imperturbable.

« T’en es sûre ? »

« Oui. »

« Tu sais, y’a la psychologue à l’étage… »

« Jack, coupa-t-elle. Ca va, je t’assure. J’ai pas besoin d’un psy. »

« Tu n’es pas la seule à avoir subi un traumatisme dans l’équipe. Sam est allée la voir quand elle s’est fait tirer dessus, et… »

« Jack. »

« Je dis ça pour toi. Ca peut te faire du bien d’en parler. »

« J’ai déjà ma mère comme psy à la maison. » Elle sourit. « Non, je plaisante. Je vois quelqu’un à l’extérieur, j’ai pas besoin de quelqu’un d’autre. »

« Comme tu veux. Mais c’est une proposition qui est valable à toute heure. Si tu ne te sens pas d’attaque… »

« Jack, je t’ai appelée ce matin, pour te dire que je suis prête à reprendre le boulot. Je dois me prendre en main, ça ne sert à rien de rester cloîtrée chez moi. Je dois bouger, sinon je vais perdre les pédales. »

Jack acquiesça, à moitié convaincu. « Bon… »

« J’t’assure ! » Elle sourit et hocha la tête, l’air déterminé. « Alors, on est sur quel cas aujourd’hui? »

Il la dévisagea encore quelques secondes avant de consentir à lui répondre.

**

« Ahh…je suis mort… » Martin s’étala sur sa chaise, repus.

« T’as un petit ventre Fitzy, tu fais pas le poids. »

« Parle pour toi. J’ai bien vu que tu commençais à caler vers la fin. »

Ils continuèrent à se chambrer jusqu’à ce que Jack vienne les interrompre.

« Martin, t’en es où des relevés téléphoniques ? »

Le jeune homme se redressa d’un coup histoire de prendre une posture plus présentable devant son supérieur.

« J’ai plusieurs appels vers un numéro de Virginie. Un certain médecin généraliste…comment il s’appelle déjà ? Victor Metland. »

« Très bien. Vérifie ça…demande à Elena de t’aider. »

Danny les regarda tour à tour. Il avait l’impression d’être transparent. « Heu…Je peux peut-être l’aider, moi, non ? »

C’est à peine si Jack le regarda. Il tourna les talons sans un mot, laissant le jeune homme abasourdi.

« Attends, j’hallucine ! Qu’est-ce qu’il me fait là ? »

Martin haussa les épaules.

« A mon avis…je crois que ton quota de rapports n’est pas encore atteint… »

Danny grommela un juron et marcha en direction de son bureau, en traînant les pieds. Au passage, il croisa Elena qui venait s’asseoir avec Martin. Au moment où elle passa tout près, il y eut comme un instant de flottement, où chacun devinait le regard en coin de l’autre. Mais finalement ils s’évitèrent, sans s’adresser la moindre parole.

Ce serait pour plus tard…

« Alors boucles d’or vient squatter les oursons ? »

ah il avait retrouvé la pêche, ça faisait zizir et il a fallu que ..... je dirais rien mais j'en pense pas moins .....

et Jack, il est vilain avec !!!!! Mais pourquoi faut toujours que ce soit Danny qui s'en prenne plein la tête ?? Tu dois aussi avoir un petit coté sadikkkk

la suite !!

Meuh non je suis pas sadique... J'ai déjà lu pire, hein, y'en a qui ne se sont pas gênées pour le tuer, alors...hum? Je fais dans le soft.

Et pour Elena, rho, allez Théana, un petit effort, pense au début de la fic où on la prenait pour un personnage lambda!

Je persiste, un jour vous allez l'aimer!!
IIIIIOOOOOO...

peut pas pas après le zode d'hier ou Jack et danny se disputent à cause d'elle

jabamiah a écrit:

Et pour Elena, rho, allez Théana, un petit effort, pense au début de la fic où on la prenait pour un personnage lambda!

Je persiste, un jour vous allez l'aimer!!

J'aime quand tu prêche la bonne parole mdr

Que dire de cette suite....Elle m'a fait sourire pour plein de raisons.

Danny/Martin avec l'humour a la Danny Taylor qu'on aime tant...et j'adore aussi quand Sam arrive. Jolie petite scène de groupe

Jack/Elena. Awww Il s'inquiète pour eeeellllllllle je les adore mdr.

Super scène a nouveau.

J'ai ADORE le fait que Martin s'avachisse dans son fauteuil je sais c'est un détail mais ça m'a fait beaucoup rire!

Bref cette suite était géniale et j'espère que la gêne un peu bizarre entre les deux latinos va tres vite s'atténuer


Bravo bravo bravo!!! Can't wait for more

oh j'ai adoré encore ce passage avec un danny trop drôle et qui malheureusement paie les frais avec Jack mais je sais qu'ils s'aiment forts tous les deux alors ... tout va s'arranger hein !!! et puis ce silence entre elena et danny est très bien décrit !!! superbe mais là il faut a suite de toute urgence car j'en veux encore moi des relations marty / dan aussi marrantes, des jack en maitre des lieux et ils vont bien se réconcilier nos deux tourtereaux !!!

Bon, voilà un dernier petit bout, j'espère qu'il vous plaira, je suis pas vraiment satisfaite... Pour celles qui s'attendent à une réconciliation...heu...
J'en vois une qui sautille de joie! Bonne lecture!


*************


« Bon à demain Danny, et ne fais pas trop de folies ce soir, hein ? » plaisanta Vivian. « J’ai entendu dire que tu avais pété la forme toute la journée… »

« Oui, maman …tu me connais !» répondit-il avec un sourire mutin. Elle le lui rendit et se dirigea vers l’ascenseur.

Il referma sa sacoche avant de remarquer que la lumière était toujours allumée dans la salle de repos. Il était sûr de la trouver là. Il bouillait depuis tout à l’heure d’avoir enfin un moment propice pour lui parler. Le moment était venu. Il n’en pouvait plus de rester comme ça, il fallait une explication. Qu’elle soit bien prise ou pas, tant pis. C’était comme ça avec Danny Taylor. On dit les choses telles qu’elles sont, que ça plaise ou non. Ca gueule sur le coup…les réconciliations ne seront que meilleures…Du moins, on essaierait de faire avec. Sinon tant pis. Il inspira un bon coup avant de s’avancer, le pas décidé.

Elle était en train de rincer sa tasse à café dans l’évier quand il franchit la porte. Depuis le temps qu’il cherchait à lui parler, elle avait toujours eu une bonne excuse pour éviter la confrontation. Ce soir c’était le moment de crever l’abcès. Il s’accola contre la table et la dévisagea sans un mot. Elle n’avait pas encore remarqué sa présence. Ou peut-être qu’elle feignait de ne rien voir… C’était comme ça avec Elena Delgado. Un jeu d’apparences. On ne savait jamais sur quel pied danser avec elle. Elle termina sa vaisselle et ferma le robinet. Danny se racla la gorge pour lui signaler qu’il était là. Elle se retourna et le dévisagea à peine une seconde avant de détourner le regard ailleurs. Un silence pesant régnait dans la pièce, chacun se demandant qui allait finir par engager la conversation.

« Je peux te parler ? » demanda Danny, les bras croisés.

« J’ai pas le temps, répondit la jeune femme sans même lui accorder un regard. Elle prit le torchon et s’essuya les mains.

« La journée est terminée, t’as bien du temps maintenant, non ? »

« Ecoute Danny, je t’ai dit pas maintenant. »

Mais il ne voulut pas laisser passer cette occasion et s’approcha d’elle. Il lui fit face et la força à soutenir son regard.

« Quoi ? » s’impatienta-t-elle.

« Tu crois pas que ce petit jeu a assez duré ? Il est temps de mettre les choses au point. »

« Quelles choses ? Y’a rien à dire Danny. » Elle le repoussa.

Elle commençait à l’énerver à jouer les insolentes. Comment pouvait-elle encore agir comme ça ?
Elle détourna nonchalamment la tête comme pour nier l’évidence et enfila son manteau.

« OK, Danny. Tu veux qu’on discute ? OK. Je t’écoute. Qu’est-ce que tu veux ? »

Elle avait repris ce ton froid et agressif, comme lorsqu’elle était sur la défensive. Il ne se laissa pas pour autant démonter.

« Tu le sais très bien…Depuis cette histoire…cette histoire avec Sophie. Tu m’ignores complètement ! Pire, j’ai l’impression que tu m’en veux d’avoir… »

« D’avoir voulu tuer Carlos peut-être ? » coupa-t-elle, d’un ton qui ne cachait nullement son reproche.

Ca y est, elle l’avait dit. Elle jaugea maintenant sa réaction. Il avait l’air un peu surpris, au vu du regard qui lui lançait. Il voulait une explication, maintenant c’était chose faite.

« Attends…il te menaçait avec un flingue… » Il pressentait qu’elle lui en voulait pour ça, mais il ne le comprenait pas. Elle secoua la tête avec véhémence :

« Il était simplement bouleversé, ok ? Et je maîtrisais la situation, j’étais arrivée à le calmer. Et toi tu croyais quoi ? Tu arrivais sur tes grands chevaux, tu voulais faire quoi ? Jouer au héros ? »

Elle débitait ses phrases à toute vitesse, sans lui laisser le temps de répliquer.

« Excuse-moi d’avoir voulu vous protéger, Sophie et toi ! protesta-t-il.

« Oh, arrête. C’était carrément stupide. Et ridicule. Tu aurais eu l'air de quoi après, hein? »

Danny fulminait.

« Pourquoi tu prends encore sa défense après ce qu’il a osé faire ? »

« Il voulait me faire comprendre qu’il souffrait, Danny, ok ? Il n’était pas dans son état normal, c’est tout. Lui aussi a besoin de sa fille, je te l’ai déjà dit non ? »

Elle referma les boutons de son manteau en soupirant. Cette discussion l’agaçait. Elle voulait partir au plus vite, fuir. Les mains dans les poches, Danny leva la tête vers elle, le regard sombre.

« Je ne sais pas ce que tu attends de moi exactement. Je sais plus avec toi. »

Elena secoua la tête.

« Ecoute…déjame, ok ? Juste…laisse tomber. »

Il sourit amèrement avant de lui lancer :

« T’as raison. »

Puis il s’éloigna sans lui laisser le temps de répliquer. Elena le regarda lui tourner le dos, ravalant ses larmes. C’était mieux ainsi de toutes façons. Elle attrapa ses clés et partit dans la direction opposée.

( en fait je viens de remarquer qu'y a plein de smileys tristes mdr)

Bon d'accord, Elena a été très agressive sur ce coup, mais c'est aussi pour de bonne raison...même si je pense pas que dans la série ça lui aurait fait quelquechose que Carlos soit tué... en tous cas belle altercation entre les deux lol.

Maintenant je pense avoir compris que c'était mort entre eux? Et connaissant les autres lectrices, tu va mettre du Sam/Danny, hein?

SNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIF lol mais tu fais ce que tu veux après tout mdr.

J'ai quand même hate a la suite, et puis apres tout Danny l'a trop dans la peau pour la zapper comme ça j'ai pas raison?

OOH..."mort", tout de suite les grands mots!!
Bah...je ne sais pas ce qui va se passer ensuite... Le temps nous le dira!

déjà je l'aimais pas .... la je la déteste j''espère qu'il va définitivement laissé tombé l'affaire et regarder ailleurs.. vers Sam par exemple


la suite vite !!!!

Tsssss...pourquoi tant de haine?
Je suis sûre que si elle s'appelait pas Elena, vous ne feriez pas tant d'histoire!


Bon la suite n'est pas encore à l'ordre du jour...