Les yeux fermés (PG13) - Complète -
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Mais qu'est-ce que tu fais faire à Martin?! Il ne peut pas replonger!
J'espère que tu mettras vite une suite!
J'espère que tu mettras vite une suite!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Elle est où la deuxième suite de la journée ????
Allez vivement la suite
Allez vivement la suite
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
j'aime beaucoup et martin qui replonge mais je me doute que mon danny va l'aider
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Peut-être, peut-être pas... En fait je n'en sais rien pour le moment !
Une toute petite suite pour ce soir, parce que moi avoir très très très envie de pour !!!
Danny regarda Martin tandis qu'il revenait des toilettes. Il observa sa démarche pressée, son visage tendu, ses yeux cernés et injectés de sang, son corps amaigrit.
Danny : Ca va Martin ?
Martin : Sans problème, j'avais... juste besoin d'une pause.
Danny : Tu as pourtant l'air...
L'agent n'eut pas le temps de finir sa phrase. Son téléphone sonna. Tandis qu'il décrochait, il se dit qu'il en reparlerait à son ami plus tard. Mais il était loin de s'imaginer que ce serait bien plus tard... Peut-être un peu trop. Peut-être.
Martin en profita pour s'éclipser et se remettre au travail. En apparence tout du moins. Car en réalité, le jeune agent commençait à sentir en lui l'effet des analgésiques. Il avait l'impression de se déconnecter progressivement de la réalité, emporté par les pilules. Et déjà, il ressentait le besoin de vider la boîte, de prendre plus de pilules, encore plus, pour assouvir cette envie grandissante que lui criait son corps tout entier.
Jack : Inspecteur Travis ?
I. Travis : Que puis-je pour vous ?
Jack : Agents Jack Malone et Vivian Johnson, FBI. Nous aurions quelques questions à vous poser au sujet d'une de vos anciennes affaires.
I. Travis : Laquelle ?
Vivian : René Mayer.
I. Travis : Oh... Triste affaire n'est-ce pas ?
Jack : A vous de nous le dire.
I. Travis : Suivez-moi ; on sera mieux dans mon bureau.
Les deux agents suivirent donc le policier dans de nombreux couloirs, avant d'arriver enfin à un petit bureau assez confortable, où ils s'installèrent.
Jack : Alors, que pouvez-vous nous dire sur l'affaire René Mayer ?
I. Travis : René Mayer enseigne la musique dans la région de New-York depuis 25 ans. Il n'avait jamais eu de problèmes jusqu'à l'année dernière. Mais un jour, une jeune fille est venue nous voir pour porter plainte contre lui. Pour attouchements sexuels.
Vivian : Julie Hearn...
I. Travis : Exactement. Deux autres adolescentes l'ont suivie. Mais face à un adulte respecté, la parole de trois adolescentes ne vaut tout simplement rien. Tout le monde les croyait, un interrogatoire nous avait suffit pour nosu rendre compte de la culpabilité de Mayer... Mais légalement, il nous manquait le principal ; il nous manquait les preuves.
Jack : Donc il s'en est tiré...
I. Travis : Croyez-moi, j'aurais préféré le coffrer et l'envoyer à l'ombre quelques années.
Jack : Je n'en doute pas.
I. Travis : Je peux vous demander pourquoi vous vouliez des détails sur l'affaire Mayer ?
Vivian : Julie Hearn a disparu. René Mayer est le principal suspect.
Je crois que je ferais mieux de m'en aller avant de me faire ! Deux chapitres tous courts !
Une toute petite suite pour ce soir, parce que moi avoir très très très envie de pour !!!
Danny regarda Martin tandis qu'il revenait des toilettes. Il observa sa démarche pressée, son visage tendu, ses yeux cernés et injectés de sang, son corps amaigrit.
Danny : Ca va Martin ?
Martin : Sans problème, j'avais... juste besoin d'une pause.
Danny : Tu as pourtant l'air...
L'agent n'eut pas le temps de finir sa phrase. Son téléphone sonna. Tandis qu'il décrochait, il se dit qu'il en reparlerait à son ami plus tard. Mais il était loin de s'imaginer que ce serait bien plus tard... Peut-être un peu trop. Peut-être.
Martin en profita pour s'éclipser et se remettre au travail. En apparence tout du moins. Car en réalité, le jeune agent commençait à sentir en lui l'effet des analgésiques. Il avait l'impression de se déconnecter progressivement de la réalité, emporté par les pilules. Et déjà, il ressentait le besoin de vider la boîte, de prendre plus de pilules, encore plus, pour assouvir cette envie grandissante que lui criait son corps tout entier.
Jack : Inspecteur Travis ?
I. Travis : Que puis-je pour vous ?
Jack : Agents Jack Malone et Vivian Johnson, FBI. Nous aurions quelques questions à vous poser au sujet d'une de vos anciennes affaires.
I. Travis : Laquelle ?
Vivian : René Mayer.
I. Travis : Oh... Triste affaire n'est-ce pas ?
Jack : A vous de nous le dire.
I. Travis : Suivez-moi ; on sera mieux dans mon bureau.
Les deux agents suivirent donc le policier dans de nombreux couloirs, avant d'arriver enfin à un petit bureau assez confortable, où ils s'installèrent.
Jack : Alors, que pouvez-vous nous dire sur l'affaire René Mayer ?
I. Travis : René Mayer enseigne la musique dans la région de New-York depuis 25 ans. Il n'avait jamais eu de problèmes jusqu'à l'année dernière. Mais un jour, une jeune fille est venue nous voir pour porter plainte contre lui. Pour attouchements sexuels.
Vivian : Julie Hearn...
I. Travis : Exactement. Deux autres adolescentes l'ont suivie. Mais face à un adulte respecté, la parole de trois adolescentes ne vaut tout simplement rien. Tout le monde les croyait, un interrogatoire nous avait suffit pour nosu rendre compte de la culpabilité de Mayer... Mais légalement, il nous manquait le principal ; il nous manquait les preuves.
Jack : Donc il s'en est tiré...
I. Travis : Croyez-moi, j'aurais préféré le coffrer et l'envoyer à l'ombre quelques années.
Jack : Je n'en doute pas.
I. Travis : Je peux vous demander pourquoi vous vouliez des détails sur l'affaire Mayer ?
Vivian : Julie Hearn a disparu. René Mayer est le principal suspect.
Je crois que je ferais mieux de m'en aller avant de me faire ! Deux chapitres tous courts !
Heidi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
T'as raison, vas nous faire un gros dodo pour nous mettre une très grosse suite demain....
ça vaut le coup, continue !!
ça vaut le coup, continue !!
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Pauvre Martin, rien ne s'arrange pour lui. J'espère que tu passes une bonne nuit et que la suite va t'apparaître dans tes rêves...
Pandi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
trop sympa !!! c'est super beau et puis il y a Super Danny qui remarque toujours que il y a quelque chose qui ne va pas !!! BRAVO
mamyita- Nouvelle recrue
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Voir Martin comme ça, ça me déchire le coeur. Même si dans les profondeurs de ma perversion, j'adore le voir souffrir. Il faut toujours quelqu'un pour le remettre d'aplomb, non?
J'espère que tu as passé une bonne nuit et que tu nous reviens en forme avec une toute grosse suite pour ce soir.
J'espère que tu as passé une bonne nuit et que tu nous reviens en forme avec une toute grosse suite pour ce soir.
Mrs Fitzie- Nouvelle recrue
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Date d'inscription : 25/04/2007
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
J'adore! Mais... il n'y a pas de suite aujourd'hui?!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Désolée, je n'ai pas eu beaucoup de temps libre aujourd'hui... J'essayerai de vous mettre une suite demain, si je trouve un moment. Toutes mes excuses, je ferai mon maximum ! Promis !
Heidi- Elève à Quantico
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Localisation : Probablement là où je me trouve...
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Me voilà de retour ! Je vous met une suite aujourd'hui parce que j'ai un petit peu de temps, peut-être une autre d'ici à dimanche, mais après je pars cinq jours au Mont St Michel ( ), et j'enchaîne avec le mariage de ma soeur. Conclusion : il va y avoir un gros trou...
Jack et Vivian revinrent au bureau une heure plus tard.
Jack : Bon, je sais que vous commencez tous à être épuisés, à en avoir assez, mais personne ne rentre chez lui tant que Julie Hearn est portée disparue, c'est clair ? Alors tout le monde au travail. Danny, trouve-moi René Mayer tout de suite. On va lui rendre une petite visite.
Cinq minutes plus tard, ils avaient localisé le suspect à son domicile.
Jack : On y va tous. Il faudra qu'on fouille sa maison pendant qu'on l'interrogera. Vivian, tu prends la place de Sam. On te laisse ici.
Martin : Partez devant, j'ai un truc à vérifier. Je vous rejoins dans deux minutes au parking.
Jack : OK.
Martin attendit que chacun soit hors de vue pour sortir la boîte cylindrique de sa poche. La phrase de Jack résonnait dans sa tête. personne ne rentre chez lui tant que Julie Hearn est portée disparue
A bout de forces, le jeune agent ouvrit la boîte, et avala de nouveau cinq pilules. Les larmes aux yeux, il en reprit cinq autres. Puis il la ferma, la remit dans sa poche, et descendit rejoindre ses collègues au parking.
Arrivés chez René Mayer, l'équipe sonna. Il ouvrit rapidement la porte.
R Mayer : Oui ?
Jack : Bonjour monsieur Mayer. Jack Malone, FBI. Voici les agents Spade, Taylor et Fitzgerald. Nous avons des questions à vous poser au sujet de Julie Hearn.
Au nom de la jeune fille, le corps de l'homme se raidit, et son visage se ferma.
R Mayer : Elle a encore porté plainte contre moi ?
Danny : Pourquoi, elle aurait dû ?
Jack : Danny ! Pouvons-nous entrer ?
René Mayer ne répondit pas, mais ouvrit un peu plus la porte. Les agents entrèrent alors dans la maison.
Jack : Sam, tu fouilles le rez-de-chaussée et le sous-sol. Martin, tu t'occupes de l'étage. Danny, vois ce que tu peux tirer de l'ordinateur et du téléphone.
R Mayer : Attendez là ! Qu'est-ce que vous faîtes ? Pourquoi vous fouillez ma maison ?
Jack : Monsieur Mayer, où étiez-vous lundi aux environs de 17h ?
R Mayer : A mon école de musique, je rangeais après mes cours, pourquoi ?
Jack : Est-ce que quelqu'un peut le confirmer ?
R Mayer : Non, j'étais seul ! Pourquoi ?!
Jack : Votre ancienne élève Julie Hearn a disparu. Nous pensons qu'elle a été enlevée, et vous êtes notre suspect numéro un.
A l'étage, Martin fouillait toutes les pièces à la recherche du moindre indice. Il arriva dans la chambre de René Mayer et de ce qui semblait être sa compagne. Sur un mur était accroché un cadre à l'intérieur duquel on voyait René Mayer entouré d'une grande foule. Pour avoir observé sa photo des heures durant, Martin n'eut aucun mal à reconnaître Julie Hearn parmi tous les gens, même si elle semblait un peu plus jeune. Soudain, il fut pris de vertiges. Il s'appuya alors contre le mur, et se laissa glisser lentement à terre, se prenant la tête entre les mains. Il étouffa un sanglot, et décida d'avaler encore plusieurs pilules. Sa main tremblait, et il renversa la boîte par terre avant de parvenir à son but. Il prit quelques minutes pour calmer son corps ébranlé, et se releva doucement, l'âme vide, un noeud dans la ventre, un poids dans la poitrine.
Jack et Vivian revinrent au bureau une heure plus tard.
Jack : Bon, je sais que vous commencez tous à être épuisés, à en avoir assez, mais personne ne rentre chez lui tant que Julie Hearn est portée disparue, c'est clair ? Alors tout le monde au travail. Danny, trouve-moi René Mayer tout de suite. On va lui rendre une petite visite.
Cinq minutes plus tard, ils avaient localisé le suspect à son domicile.
Jack : On y va tous. Il faudra qu'on fouille sa maison pendant qu'on l'interrogera. Vivian, tu prends la place de Sam. On te laisse ici.
Martin : Partez devant, j'ai un truc à vérifier. Je vous rejoins dans deux minutes au parking.
Jack : OK.
Martin attendit que chacun soit hors de vue pour sortir la boîte cylindrique de sa poche. La phrase de Jack résonnait dans sa tête. personne ne rentre chez lui tant que Julie Hearn est portée disparue
A bout de forces, le jeune agent ouvrit la boîte, et avala de nouveau cinq pilules. Les larmes aux yeux, il en reprit cinq autres. Puis il la ferma, la remit dans sa poche, et descendit rejoindre ses collègues au parking.
Arrivés chez René Mayer, l'équipe sonna. Il ouvrit rapidement la porte.
R Mayer : Oui ?
Jack : Bonjour monsieur Mayer. Jack Malone, FBI. Voici les agents Spade, Taylor et Fitzgerald. Nous avons des questions à vous poser au sujet de Julie Hearn.
Au nom de la jeune fille, le corps de l'homme se raidit, et son visage se ferma.
R Mayer : Elle a encore porté plainte contre moi ?
Danny : Pourquoi, elle aurait dû ?
Jack : Danny ! Pouvons-nous entrer ?
René Mayer ne répondit pas, mais ouvrit un peu plus la porte. Les agents entrèrent alors dans la maison.
Jack : Sam, tu fouilles le rez-de-chaussée et le sous-sol. Martin, tu t'occupes de l'étage. Danny, vois ce que tu peux tirer de l'ordinateur et du téléphone.
R Mayer : Attendez là ! Qu'est-ce que vous faîtes ? Pourquoi vous fouillez ma maison ?
Jack : Monsieur Mayer, où étiez-vous lundi aux environs de 17h ?
R Mayer : A mon école de musique, je rangeais après mes cours, pourquoi ?
Jack : Est-ce que quelqu'un peut le confirmer ?
R Mayer : Non, j'étais seul ! Pourquoi ?!
Jack : Votre ancienne élève Julie Hearn a disparu. Nous pensons qu'elle a été enlevée, et vous êtes notre suspect numéro un.
A l'étage, Martin fouillait toutes les pièces à la recherche du moindre indice. Il arriva dans la chambre de René Mayer et de ce qui semblait être sa compagne. Sur un mur était accroché un cadre à l'intérieur duquel on voyait René Mayer entouré d'une grande foule. Pour avoir observé sa photo des heures durant, Martin n'eut aucun mal à reconnaître Julie Hearn parmi tous les gens, même si elle semblait un peu plus jeune. Soudain, il fut pris de vertiges. Il s'appuya alors contre le mur, et se laissa glisser lentement à terre, se prenant la tête entre les mains. Il étouffa un sanglot, et décida d'avaler encore plusieurs pilules. Sa main tremblait, et il renversa la boîte par terre avant de parvenir à son but. Il prit quelques minutes pour calmer son corps ébranlé, et se releva doucement, l'âme vide, un noeud dans la ventre, un poids dans la poitrine.
Heidi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Oh mon Martychou qui se sent mal.....
J'adore en fait...
La suite ?? encore une stp avant ton long week-end, pense à nous qui restons à attendre la suite...
J'adore en fait...
La suite ?? encore une stp avant ton long week-end, pense à nous qui restons à attendre la suite...
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Pauvre Choupi. On sent vraiment bien sa détresse, il y a pas à dire. Il va faire une overdose à ce train-là ceci-dit parce qu'il en ait déjà à quoi 15 pillules alors que c'était maximum 10 si mes souvenirs sont bons.
Et je me joins à Claiounett pour supplier une longue suite pour le WE.
Et je me joins à Claiounett pour supplier une longue suite pour le WE.
Mrs Fitzie- Nouvelle recrue
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Exactement comme clairounette!clairounett a écrit:Oh mon Martychou qui se sent mal.....
J'adore en fait...
La suite ?? encore une stp avant ton long week-end, pense à nous qui restons à attendre la suite...
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
c'est vrai que la Marty n'a l'air pas bien du tout !!! c'est chou, continues !!!!
mamyita- Nouvelle recrue
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Pauvre Martin! Il est dans un sale état! Il me fait pitié. J'adore ta fic! Passe un bon congé et profite s'en pour réfléchir à la suite...
Pandi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Vu la tonne de choses qu'il me reste à faire, je crois que je vais devoir vous faire attendre...
Je ne pourrai mettre la suite que lundi prochain au plus tôt
Non sérieusement, toutes mes excuses à ceux qui suivent le début de ma fic...
A la semaine prochaine, et à moi le Mont St Michel !!!
Je ne pourrai mettre la suite que lundi prochain au plus tôt
Non sérieusement, toutes mes excuses à ceux qui suivent le début de ma fic...
A la semaine prochaine, et à moi le Mont St Michel !!!
Heidi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Me voilà de retour ! Après de super vacances, j'espère ne pas vous décevoir !
Martin descendit les escaliers en s'accrochant à la rambarde. Quand ses jambes cessèrent de trembler, il prit le chemin du séjour où l'interrogatoire se terminait.
Jack : M. Mayer, nous allons devoir vous emmener aux bureaux du FBI afin de poursuivre l'interrogatoire. Si vous désirez prendre un avocat, vous aurez la possibilité d'en appeler un à votre arrivée, sinon nous vous en commettrons un d'office par la suite, si nécessaire évidemment.
R Mayer : Je vous assure que je ne comprends rien.
Sam : Jack ! Je n'ai rien trouvé.
Martin : Moi non plus. Rien de spécial.
Danny : J'ai fait venir les gars de l'équipe technique. Ils ont embarqué l'ordinateur. Ils nous diront ce qu'ils ont trouvé dans quelques heures, ils viennent de partir.
Jack : Parfait. On remballe et on rentre.
Les agents arrivèrent une heure plus tard au bureau du FBI. René Mayer fut tout de suite conduit dans la salle d'interrogatoire par Danny, puis il attendit, nerveux.
Jack : Vivian, dis-moi que tu as quelque chose !
Vivian : Désolée Jack, mais je n'ai rien de terrible pour vous. J'ai simplement pensé qu'on pourrait interroger les amis de Julie Hearn qui l'ont vue en dernier... J'ai leurs noms et coordonnées.
Jack : Excellente idée. Martin, Danny, je vous laisse interroger notre suspect. Sam, Vivian, on s'occupe des jeunes. Appelez leurs parents et demandez-leur de les amener le plus vite possible. Allez, au travail.
Danny : Tu l'interroges et je reste derrière la vitre d'accord ? Je jouerai le flic gentil si nécessaire, mais pour l'instant je crois qu'il a besoin d'être secoué un bon coup.
Martin : Ca marche.
Le jeune agent entra dans la salle rectangulaire. Il prit une chaise et s'assit dessus à l'envers, face au dossier et au suspect. Celui-ci était de plus en plus nerveux.
Martin : Tout à l'heure j'ai fouillé votre chambre. J'ai trouvé cette photo où vous êtes accompagné de tous vos élèves. Quand je dis tous, ça veut dire qu'il y avait Julie Hearn bien sûr. Ca ne vous rend pas malade de voir son visage tous les jours après ce que vous lui avez fait ?
R Mayer : J'ai été reconnu innocent !
Martin : Je vous en prie, on sait tous les deux que vous étiez coupable ! En tout cas, depuis le début de l'enquête, j'ai pu la voir un certain nombre de fois en photo et... Vous l'avez bien choisie... Jeune, sexy, bien formée, sans défenses... Ca devait être facile d'abuser d'elle pendant les cours de piano.
L'homme tourna la tête, comme s'il refusait d'entendre ce que lui disait l'agent, qui ne cessait de le fixer. Martin ouvrit alors un dossier qu'il avait devant lui.
Martin : J'ai là la déposition qu'elle a faite quand elle a porté plainte contre vous. Vous aviez vraiment l'air de vous éclater avec elle. Je suis d'ailleurs surpris que vous n'ayez jamais eu envie d'aller plus loin...
R Mayer : Taisez-vous.
Martin : C'est peut-être pour ça que vous l'avez enlevée ! Pour en faire encore plus avec elle ! Pour lui faire des choses qu'on n'a pas le temps de faire en une heure de cours !
R Mayer : Taisez-vous !
Martin : Ou alors c'est peut-être par vengeance ? Vous lui en vouliez d'avoir porté plainte contre vous. Vous étiez en colèreaprès avoir passé deux jours en garde à vue, après le procès... Vous la teniez pour responsable de la fermeture de vos écoles de musique, de votre réputation de pédophile dans New-York... Alors vous l'avez enlevée ! Vous avez enlevé Julie Hearn par vengeance !
R Mayer : TAISEZ-VOUS !
En disant cela, René Mayer s'était levé et avait propulsé sa chaise contre le mur. Martin se leva à son tour.
Martin : Où est Julie M. Mayer ? Qu'est-ce que vous avez fait d'elle ? Vous l'avez tuée ? Ou bien vous la gardez enfermée pour pouvoir la violer à volonté ? Ou peut-être que vous l'avez abandonnée quelque part pour qu'elle meure lentement et douloureusement ?
R Mayer : Arrêtez !
Martin : Dites-moi ! Dites-moi où est Julie !
René Mayer s'était remis assis, les pieds sur le rebord de sa chaise, les bras autour des genoux. Il sanglotait comme un enfant, poussé à bout par un interrogatoire bouleversant.
R Mayer : Je sais pas ! Je sais pas où elle est ! La dernière fois que je l'ai vue, c'était au procès ! Oui, c'est vrai, j'ai abusé d'elle, et des autres aussi ! Elles ont toutes dit la vérité, j'avoue ! Mais je n'ai rien fait à Julie !
Martin : Rien ?!? Abuser d'elle pendant des mois, des mois de silence, vous appelez ça rien ? Vous ne vous êtes jamais demandé combien elle pouvait souffrir de vos actes monstrueux ? Vous pleurez, mais c'est vous le responsable de cette horreur ! C'est vous le pervers qui avez profité de la pureté de vos élèves ! Et le pire, c'est que avez été jusqu'à démentir leurs accusations tout en ayant juré de dire la vérité face au juge ! Où s'arrête votre perversité M. Mayer ? Où sont donc les limites de votre conscience ? Après avoir fait subir toutes ces horreurs à de pauvres innocentes, qu'est-ce qui me dit que vous n'avez pas été plus loin ? Qu'est-ce qui me dit que vous n'avez pas enlevé Julie Hearn ?
René Mayer pleurait toujours face à une vérité criée, hurlée même par le jeune agent.
Martin : Je vous laisse avec votre conscience. Vous avez 30 minutes pour réfléchir et nous révéler où vous détenez Julie Hearn.
R Mayer : Je suis innocent.
Martin : Tout dépend de la notion d'innocence...
Martin descendit les escaliers en s'accrochant à la rambarde. Quand ses jambes cessèrent de trembler, il prit le chemin du séjour où l'interrogatoire se terminait.
Jack : M. Mayer, nous allons devoir vous emmener aux bureaux du FBI afin de poursuivre l'interrogatoire. Si vous désirez prendre un avocat, vous aurez la possibilité d'en appeler un à votre arrivée, sinon nous vous en commettrons un d'office par la suite, si nécessaire évidemment.
R Mayer : Je vous assure que je ne comprends rien.
Sam : Jack ! Je n'ai rien trouvé.
Martin : Moi non plus. Rien de spécial.
Danny : J'ai fait venir les gars de l'équipe technique. Ils ont embarqué l'ordinateur. Ils nous diront ce qu'ils ont trouvé dans quelques heures, ils viennent de partir.
Jack : Parfait. On remballe et on rentre.
Les agents arrivèrent une heure plus tard au bureau du FBI. René Mayer fut tout de suite conduit dans la salle d'interrogatoire par Danny, puis il attendit, nerveux.
Jack : Vivian, dis-moi que tu as quelque chose !
Vivian : Désolée Jack, mais je n'ai rien de terrible pour vous. J'ai simplement pensé qu'on pourrait interroger les amis de Julie Hearn qui l'ont vue en dernier... J'ai leurs noms et coordonnées.
Jack : Excellente idée. Martin, Danny, je vous laisse interroger notre suspect. Sam, Vivian, on s'occupe des jeunes. Appelez leurs parents et demandez-leur de les amener le plus vite possible. Allez, au travail.
Danny : Tu l'interroges et je reste derrière la vitre d'accord ? Je jouerai le flic gentil si nécessaire, mais pour l'instant je crois qu'il a besoin d'être secoué un bon coup.
Martin : Ca marche.
Le jeune agent entra dans la salle rectangulaire. Il prit une chaise et s'assit dessus à l'envers, face au dossier et au suspect. Celui-ci était de plus en plus nerveux.
Martin : Tout à l'heure j'ai fouillé votre chambre. J'ai trouvé cette photo où vous êtes accompagné de tous vos élèves. Quand je dis tous, ça veut dire qu'il y avait Julie Hearn bien sûr. Ca ne vous rend pas malade de voir son visage tous les jours après ce que vous lui avez fait ?
R Mayer : J'ai été reconnu innocent !
Martin : Je vous en prie, on sait tous les deux que vous étiez coupable ! En tout cas, depuis le début de l'enquête, j'ai pu la voir un certain nombre de fois en photo et... Vous l'avez bien choisie... Jeune, sexy, bien formée, sans défenses... Ca devait être facile d'abuser d'elle pendant les cours de piano.
L'homme tourna la tête, comme s'il refusait d'entendre ce que lui disait l'agent, qui ne cessait de le fixer. Martin ouvrit alors un dossier qu'il avait devant lui.
Martin : J'ai là la déposition qu'elle a faite quand elle a porté plainte contre vous. Vous aviez vraiment l'air de vous éclater avec elle. Je suis d'ailleurs surpris que vous n'ayez jamais eu envie d'aller plus loin...
R Mayer : Taisez-vous.
Martin : C'est peut-être pour ça que vous l'avez enlevée ! Pour en faire encore plus avec elle ! Pour lui faire des choses qu'on n'a pas le temps de faire en une heure de cours !
R Mayer : Taisez-vous !
Martin : Ou alors c'est peut-être par vengeance ? Vous lui en vouliez d'avoir porté plainte contre vous. Vous étiez en colèreaprès avoir passé deux jours en garde à vue, après le procès... Vous la teniez pour responsable de la fermeture de vos écoles de musique, de votre réputation de pédophile dans New-York... Alors vous l'avez enlevée ! Vous avez enlevé Julie Hearn par vengeance !
R Mayer : TAISEZ-VOUS !
En disant cela, René Mayer s'était levé et avait propulsé sa chaise contre le mur. Martin se leva à son tour.
Martin : Où est Julie M. Mayer ? Qu'est-ce que vous avez fait d'elle ? Vous l'avez tuée ? Ou bien vous la gardez enfermée pour pouvoir la violer à volonté ? Ou peut-être que vous l'avez abandonnée quelque part pour qu'elle meure lentement et douloureusement ?
R Mayer : Arrêtez !
Martin : Dites-moi ! Dites-moi où est Julie !
René Mayer s'était remis assis, les pieds sur le rebord de sa chaise, les bras autour des genoux. Il sanglotait comme un enfant, poussé à bout par un interrogatoire bouleversant.
R Mayer : Je sais pas ! Je sais pas où elle est ! La dernière fois que je l'ai vue, c'était au procès ! Oui, c'est vrai, j'ai abusé d'elle, et des autres aussi ! Elles ont toutes dit la vérité, j'avoue ! Mais je n'ai rien fait à Julie !
Martin : Rien ?!? Abuser d'elle pendant des mois, des mois de silence, vous appelez ça rien ? Vous ne vous êtes jamais demandé combien elle pouvait souffrir de vos actes monstrueux ? Vous pleurez, mais c'est vous le responsable de cette horreur ! C'est vous le pervers qui avez profité de la pureté de vos élèves ! Et le pire, c'est que avez été jusqu'à démentir leurs accusations tout en ayant juré de dire la vérité face au juge ! Où s'arrête votre perversité M. Mayer ? Où sont donc les limites de votre conscience ? Après avoir fait subir toutes ces horreurs à de pauvres innocentes, qu'est-ce qui me dit que vous n'avez pas été plus loin ? Qu'est-ce qui me dit que vous n'avez pas enlevé Julie Hearn ?
René Mayer pleurait toujours face à une vérité criée, hurlée même par le jeune agent.
Martin : Je vous laisse avec votre conscience. Vous avez 30 minutes pour réfléchir et nous révéler où vous détenez Julie Hearn.
R Mayer : Je suis innocent.
Martin : Tout dépend de la notion d'innocence...
Heidi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
chouette, on a eu droit à une suite longue et Martinienne
Encore, encore !!
Encore, encore !!
Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
j'adore mon martyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy dans cet état aussi bien mal en point que ''professionel''
la suite s'inpose
la suite s'inpose
tre- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Je n'ai qu'un mot pour décrire cette suite: wahoo. J'aurai pas aimé être en face de Martin sur le coup. . Bon, en même temps, l'autre l'a bien mérité mais , il y va pas par quatre chemins le coco.
La suite, évidemment dès que tu peux en espérant que tu te soies bien amusée en vacances.
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Mrs Fitzie- Nouvelle recrue
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
oule, le beau goss flic mechant !!! j'adore c'est super !!! mais j'ai l'impression que notre Marty est un peu sous tension !!!
moi aussi je suis 100% d'accord une suite est a prevoir !!!
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mamyita- Nouvelle recrue
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Super, une suite avec un Martin en méchant flic! Même si dans la situation, c'est compréhensible, je suppose que les médocs y sont aussi pour beaucoup.
Vivement la suite!
Vivement la suite!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Très intéressant comme suite. Est-ce que Martin va bientôt craquer? Une autre suite?
Pandi- Elève à Quantico
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Re: Les yeux fermés (PG13) - Complète -
Merci beaucoup pour toutes vos réponses ! A vrai dire il y a un peu de vécu dans cette histoire, et je rêvais depuis très longtemps de cette scène d'interrogatoire assez musclée où le pervers s'en prend plein la g....e ! Alors voilà, c'est fait ! Et maintenant, place à la suite...
Martin sortit de la salle d'interrogatoire. Danny le fixa, l'air surpris, choqué même. Il n'avait jamais vu son collègue dans cet état face à un suspect. Martin commença à s'éloigner sans attendre son ami. Danny dut alors courir pour le rattrapper.
Danny : Martin attends ! On peut savoir ce qui t'arrive ?!
Martin : Tu l'as dit toi-même, il avait besoin d'être secoué un bon coup. C'est fait.
Danny : Par "secouer", je ne voulais pas spécialement dire "détruire mentalement"...
Martin : En attendant avec un peu de chances, d'ici 30 minutes, on aura la réponse à notre enquête. C'est le principal non ?
Danny : Martin...
Le jeune agent continuait sa course dans le long couloir. Danny lui attrappa alors le bras pour le forcer à rester en face de lui.
Danny : Martin ! Qu'est-ce qui se passe ?!
Martin : Comment ça ? Il ne se passe rien Danny ! Rien du tout. J'ai juste envie de rentrer chez moi, comme tout le monde ici.
Danny : Je ne suis pas aveugle Martin ! Depuis le début de cette enquête il y a quelque chose qui ne va pas ! Tu sais que tu peux tout me dire, je suis là pour t'écouter...
Martin : Non, tu es là pour faire ton boulot, à savoir retrouver des disparus. Je n'ai pas disparu, tu ne peux rien faire pour m'aider. C'est aussi simple que ça.
Danny : Tu n'as jamais été aussi violent Martin, je me fais du soucis pour toi. Je ne sais pas comment, mais je veux t'aider. Et j'y parviendrai.
Martin : Ecoute-moi bien Danny ! Je vais bien, tout le monde va bien, et on pourra bientôt tous rentrer chez nous ! Alors fous-moi la paix !
Le jeune homme dégagea immédiatement son bras de l'emprise de Danny, et s'éloigna d'un pas pressé vers l'autre bout du couloir. Danny, quant à lui, restait figé, immobile, au milieu des salles d'interrogatoire.
Sam : Jack ! Les amis de Julie viennent d'arriver.
Jack : Ils sont combien ?
Sam : Cinq. On les a mis dans des salles séparées.
Jack : Très bien. Je prends le premier.
Vivian : Anthony Benoît, 16 ans. C'est son ex petit-ami.
Jack : Jocker. Je prends le deuxième.
Sam : Lise Becker, 16 ans. C'est sa meilleure amie.
Jack : Très bien. Je m'en charge. Vous vous occupez des autres ?
Vivian : Pas de soucis.
Jack jeta un coup d'oeil au dossier qu'il tenait dans sa main, poussa un long soupir, et entra dans la salle d'interrogatoire. Il posa un verre d'eau sur la table.
Jack : Bonjour Lise, c'est bien ça ?
Lise : Oui.
Jack : Bien. Je suis l'agent Jack Malone.
La jeune fille n'osait pas le regarder, elle semblait terrorisée.
Jack : Le verre d'eau est pour toi, moi je marche au café.
Face au sourire de l'agent, l'adolescente prit finalement le gobelet et en bu presque l'intégralité.
Jack : On peut commencer ?
Lise : Oui.
Jack : Parfait. Tu sais pourquoi tu es là Lise ?
Lise : Pas trop... La police a dit à mes parents que le FBI devait m'interroger au sujet de mon amie Julie mais c'est tout ce que je sais...
Jack : Je suis désolé, mais si tu es là, c'est parce que Julie a disparu hier soir, en sortant du lycée. Elle a probablement été enlevée.
Lise : Qu'est-ce que vous voulez savoir ?
Jack : Tu connais Julie depuis longtemps ?
Lise : On est dans la même classe depuis la quatrième. On est tout de suite devenues très amies, et depuis on ne se quitte plus...
Jack : Vous êtes très proches ?
Lise : Oui, on se dit tout. Quand l'une ne va pas bien, elle sait qu'elle peut compter sur l'autre.
Jack sortit une photo du dossier qu'il avait déposé sur la table.
Jack : Lise, je voudrais que tu regardes très attentivement cette photo et que tu me dises si ce visage te rappelle quelqu'un.
Lise : Non, désolée. Ca ne me dit rien du tout.
Jack : Tu en es certaine ? Cet homme s'appelle René Mayer. Julie prenait des cours de piano chez lui l'année dernière.
Lise : Alors c'est lui qui lui a fait tant de mal ?
Jack : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Lise : Je ne l'ai jamais vu mais Julie m'a beaucoup parlé de lui ! Elle m'a dit tout ce qu'il lui faisait pendant ses cours ! Il...
Jack : Je sais... Je sais... Mais tu ne l'as jamais vu ?
Lise : Non... Jamais.
Sam entra dans une salle. Un adolescent l'attendait nerveusement.
Sam : Bonjour Anthony. Je suis l'agent Samantha Spade. J'ai quelques questions à te poser au sujet de ton amie Julie Hearn.
Anthony : Qu'est-ce que la police lui veut ?
Sam : La police, rien du tout. Je travaille pour le FBI. Nous recherchons Julie parce que personne ne l'a vue depuis hier soir, à la sortie des cours. Toi et tes amis, vous êtes donc les dernières personnes à l'avoir vue.
Anthony : Comment ça ? Elle a disparu ?
Sam : Oui. Tu veux bien qu'on commence ?
Anthony : D'accord.
Sam : Bien. Tu connais Julie depuis longtemps ?
Anthony : Non. Je ne vis à New-York que depuis la rentrée. Avant on habitait à Philadelphie.
Sam : Oh ! Mais pourtant tu as l'air très proche d'elle !
Anthony : On vit dans le même quartier et on est dans le même lycée. Enfin, on vivait dans le même quartier... Sa famille d'accueil est un peu plus loin.
Sam : Et c'est quoi exactement pour toi Julie ?
Anthony : C'était ma... ma petite amie.
Sam : C'était ?
Anthony : Elle a rompu il y a trois mois. Elle m'a dit qu'elle ne m'aimait pas vraiment et qu'elle ne voulait pas me faire souffrir.
Sam : Désolée.
Il y eut un petit silence.
Sam : Tu l'aimes toujours n'est-ce pas ?
Anthony la regarda avec un petit sourire qui en disait bien plus que toutes les paroles du monde.
Sam : Alors, pour qu'on la retrouve plus vite, tu pourrais me dire si tu l 'as trouvée étrance hier soir ? Comme s'il y avait quelque chose d'anormal ?
Anthony : Non, elle avait l'air bien. Je n'ai rien vu de spécial...
Sam : D'accord. C'est pas grave. Est-ce que tu reconnais l'homme sur cette photo ?
Anthony : Non, vraiment désolé...
Vivian : Bonjour Simon. Je me présente, je suis l'agent Vivian Johnson. Je fais partie de l'équipe qui est chargée de retrouver ton amie Julie, qui a disapru depuis hier soir. C'est pour ça que j'ai besoin de te poser quelques questions. Tu veux bien y répondre ?
Simon : Oui.
Vivian : Très bien. Je vais être brève. Tu as remarqué quelque chose de spécial juste avant que Julie ne quitte le lycée ?
Simon : Non... On sortait de TP de chimie. On rigolait en parlant de notre prof qui l'avait encore embêtée parce qu'elle veut faire Littéraire alors qu'il voudrait qu'elle fasse scientifique... On est arrivés sur le parking, on a discuté deux minutes et elle est partie rejoindre Marion.
Vivian : Marion ?
Simon : C'est l'assistante maternelle qui s'occupe d'elle, la mère de sa famille d'accueil si vous préférez.
Vivian : D'accord. C'est presque fini. Je voudrais juste savoir si tu reconnais l'homme sur cette photo ?
Simon : Il s'appelle comment ?
Vivian : René Mayer. Tu le reconnais ?
Simon : Oui, c'était le prof de piano qui abusait de Julie.
Vivian : Et tu l'as déjà vu ?
Simon : Une seule fois, il y a environ une semaine. On était sur le chemin entre la cantine et le lycée. Il est passé de l'autre côté de la route. Julie était assez secouée après ça...
Vivian : Très bien. Je te remercie Simon. Tu viens de beaucoup nous aider.
Simon : Agent Johnson ? Retrouvez Julie. S'il vous plaît.
Surprise, la jeune femme jeta à l'adolescent bouleversé un regard compatissant et lui murmura : "C'est promis."
Jack était à son bureau, en train de poser des dossiers sur une pile déjà dangereusement haute. Danny arriva vers lui.
Danny : Jack, je peux te parler ?
Jack : Bien sûr, je t'écoute.
Danny : Pas ici, trop de monde peut nous entendre...
Les deux agents s'éloignèrent alors vers la cage d'escaliers.
Martin sortit de la salle d'interrogatoire. Danny le fixa, l'air surpris, choqué même. Il n'avait jamais vu son collègue dans cet état face à un suspect. Martin commença à s'éloigner sans attendre son ami. Danny dut alors courir pour le rattrapper.
Danny : Martin attends ! On peut savoir ce qui t'arrive ?!
Martin : Tu l'as dit toi-même, il avait besoin d'être secoué un bon coup. C'est fait.
Danny : Par "secouer", je ne voulais pas spécialement dire "détruire mentalement"...
Martin : En attendant avec un peu de chances, d'ici 30 minutes, on aura la réponse à notre enquête. C'est le principal non ?
Danny : Martin...
Le jeune agent continuait sa course dans le long couloir. Danny lui attrappa alors le bras pour le forcer à rester en face de lui.
Danny : Martin ! Qu'est-ce qui se passe ?!
Martin : Comment ça ? Il ne se passe rien Danny ! Rien du tout. J'ai juste envie de rentrer chez moi, comme tout le monde ici.
Danny : Je ne suis pas aveugle Martin ! Depuis le début de cette enquête il y a quelque chose qui ne va pas ! Tu sais que tu peux tout me dire, je suis là pour t'écouter...
Martin : Non, tu es là pour faire ton boulot, à savoir retrouver des disparus. Je n'ai pas disparu, tu ne peux rien faire pour m'aider. C'est aussi simple que ça.
Danny : Tu n'as jamais été aussi violent Martin, je me fais du soucis pour toi. Je ne sais pas comment, mais je veux t'aider. Et j'y parviendrai.
Martin : Ecoute-moi bien Danny ! Je vais bien, tout le monde va bien, et on pourra bientôt tous rentrer chez nous ! Alors fous-moi la paix !
Le jeune homme dégagea immédiatement son bras de l'emprise de Danny, et s'éloigna d'un pas pressé vers l'autre bout du couloir. Danny, quant à lui, restait figé, immobile, au milieu des salles d'interrogatoire.
Sam : Jack ! Les amis de Julie viennent d'arriver.
Jack : Ils sont combien ?
Sam : Cinq. On les a mis dans des salles séparées.
Jack : Très bien. Je prends le premier.
Vivian : Anthony Benoît, 16 ans. C'est son ex petit-ami.
Jack : Jocker. Je prends le deuxième.
Sam : Lise Becker, 16 ans. C'est sa meilleure amie.
Jack : Très bien. Je m'en charge. Vous vous occupez des autres ?
Vivian : Pas de soucis.
Jack jeta un coup d'oeil au dossier qu'il tenait dans sa main, poussa un long soupir, et entra dans la salle d'interrogatoire. Il posa un verre d'eau sur la table.
Jack : Bonjour Lise, c'est bien ça ?
Lise : Oui.
Jack : Bien. Je suis l'agent Jack Malone.
La jeune fille n'osait pas le regarder, elle semblait terrorisée.
Jack : Le verre d'eau est pour toi, moi je marche au café.
Face au sourire de l'agent, l'adolescente prit finalement le gobelet et en bu presque l'intégralité.
Jack : On peut commencer ?
Lise : Oui.
Jack : Parfait. Tu sais pourquoi tu es là Lise ?
Lise : Pas trop... La police a dit à mes parents que le FBI devait m'interroger au sujet de mon amie Julie mais c'est tout ce que je sais...
Jack : Je suis désolé, mais si tu es là, c'est parce que Julie a disparu hier soir, en sortant du lycée. Elle a probablement été enlevée.
Lise : Qu'est-ce que vous voulez savoir ?
Jack : Tu connais Julie depuis longtemps ?
Lise : On est dans la même classe depuis la quatrième. On est tout de suite devenues très amies, et depuis on ne se quitte plus...
Jack : Vous êtes très proches ?
Lise : Oui, on se dit tout. Quand l'une ne va pas bien, elle sait qu'elle peut compter sur l'autre.
Jack sortit une photo du dossier qu'il avait déposé sur la table.
Jack : Lise, je voudrais que tu regardes très attentivement cette photo et que tu me dises si ce visage te rappelle quelqu'un.
Lise : Non, désolée. Ca ne me dit rien du tout.
Jack : Tu en es certaine ? Cet homme s'appelle René Mayer. Julie prenait des cours de piano chez lui l'année dernière.
Lise : Alors c'est lui qui lui a fait tant de mal ?
Jack : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Lise : Je ne l'ai jamais vu mais Julie m'a beaucoup parlé de lui ! Elle m'a dit tout ce qu'il lui faisait pendant ses cours ! Il...
Jack : Je sais... Je sais... Mais tu ne l'as jamais vu ?
Lise : Non... Jamais.
Sam entra dans une salle. Un adolescent l'attendait nerveusement.
Sam : Bonjour Anthony. Je suis l'agent Samantha Spade. J'ai quelques questions à te poser au sujet de ton amie Julie Hearn.
Anthony : Qu'est-ce que la police lui veut ?
Sam : La police, rien du tout. Je travaille pour le FBI. Nous recherchons Julie parce que personne ne l'a vue depuis hier soir, à la sortie des cours. Toi et tes amis, vous êtes donc les dernières personnes à l'avoir vue.
Anthony : Comment ça ? Elle a disparu ?
Sam : Oui. Tu veux bien qu'on commence ?
Anthony : D'accord.
Sam : Bien. Tu connais Julie depuis longtemps ?
Anthony : Non. Je ne vis à New-York que depuis la rentrée. Avant on habitait à Philadelphie.
Sam : Oh ! Mais pourtant tu as l'air très proche d'elle !
Anthony : On vit dans le même quartier et on est dans le même lycée. Enfin, on vivait dans le même quartier... Sa famille d'accueil est un peu plus loin.
Sam : Et c'est quoi exactement pour toi Julie ?
Anthony : C'était ma... ma petite amie.
Sam : C'était ?
Anthony : Elle a rompu il y a trois mois. Elle m'a dit qu'elle ne m'aimait pas vraiment et qu'elle ne voulait pas me faire souffrir.
Sam : Désolée.
Il y eut un petit silence.
Sam : Tu l'aimes toujours n'est-ce pas ?
Anthony la regarda avec un petit sourire qui en disait bien plus que toutes les paroles du monde.
Sam : Alors, pour qu'on la retrouve plus vite, tu pourrais me dire si tu l 'as trouvée étrance hier soir ? Comme s'il y avait quelque chose d'anormal ?
Anthony : Non, elle avait l'air bien. Je n'ai rien vu de spécial...
Sam : D'accord. C'est pas grave. Est-ce que tu reconnais l'homme sur cette photo ?
Anthony : Non, vraiment désolé...
Vivian : Bonjour Simon. Je me présente, je suis l'agent Vivian Johnson. Je fais partie de l'équipe qui est chargée de retrouver ton amie Julie, qui a disapru depuis hier soir. C'est pour ça que j'ai besoin de te poser quelques questions. Tu veux bien y répondre ?
Simon : Oui.
Vivian : Très bien. Je vais être brève. Tu as remarqué quelque chose de spécial juste avant que Julie ne quitte le lycée ?
Simon : Non... On sortait de TP de chimie. On rigolait en parlant de notre prof qui l'avait encore embêtée parce qu'elle veut faire Littéraire alors qu'il voudrait qu'elle fasse scientifique... On est arrivés sur le parking, on a discuté deux minutes et elle est partie rejoindre Marion.
Vivian : Marion ?
Simon : C'est l'assistante maternelle qui s'occupe d'elle, la mère de sa famille d'accueil si vous préférez.
Vivian : D'accord. C'est presque fini. Je voudrais juste savoir si tu reconnais l'homme sur cette photo ?
Simon : Il s'appelle comment ?
Vivian : René Mayer. Tu le reconnais ?
Simon : Oui, c'était le prof de piano qui abusait de Julie.
Vivian : Et tu l'as déjà vu ?
Simon : Une seule fois, il y a environ une semaine. On était sur le chemin entre la cantine et le lycée. Il est passé de l'autre côté de la route. Julie était assez secouée après ça...
Vivian : Très bien. Je te remercie Simon. Tu viens de beaucoup nous aider.
Simon : Agent Johnson ? Retrouvez Julie. S'il vous plaît.
Surprise, la jeune femme jeta à l'adolescent bouleversé un regard compatissant et lui murmura : "C'est promis."
Jack était à son bureau, en train de poser des dossiers sur une pile déjà dangereusement haute. Danny arriva vers lui.
Danny : Jack, je peux te parler ?
Jack : Bien sûr, je t'écoute.
Danny : Pas ici, trop de monde peut nous entendre...
Les deux agents s'éloignèrent alors vers la cage d'escaliers.
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