Sniper (PG13) (Complète)

Ben on est demain, elle est où la suite ?????
Je sais je charrie... mais ce soir c'est obligé.. hein ??

c'est obligé

Ben vous êtes matinales, les filles! Et couche-tard aussi...
Bon, un petit bout pour ne pas me faire taper
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Martin était rentré chez lui, mais n’avait pas pris le temps de prendre une douche ; il avait simplement mis des habits chauds et confortables. Sa résolution n’avait pas faibli, il avait quelque chose à faire, et il le ferait. Il prit son téléphone, hésita un instant, mais il devait leur laisser une trace, si cela tournait vraiment mal ; tenant dans sa main l’objet trouvé sur le quai, il appela Lucy, au service des techniciens.

-Lucy, c’est Fitzgerald, je… Oui, moi ça va… Ecoutes, j’ai besoin de renseignements… Oui, maintenant.

Martin expliqua à la technicienne ce dont il avait besoin.

-J’attends.

Martin attendit quelques minutes que Lucy fasse les recherches sur l’ordinateur. Il était nerveux. Il devait se focaliser sur ce qu’il avait à faire, sans donner de soupçons à ses collègues, sans penser à Danny ni à Vin. Il dut réfréner un hoquet de douleur quand ses pensées se perdirent dans cette direction. Non, il devait, pour un temps, les chasser de son esprit.

Lucy lui transmit enfin les renseignements qu’il attendait. Il raccrocha et se dirigea vers la sortie. Il hésita à laisser son arme chez lui, à régler cela de façon plus… primaire. Mais il abandonna rapidement l’idée : il se devait de garder le moindre des protocoles. Il attacha l’étui de son arme à sa ceinture, et partit sans plus attendre. Ses collègues allaient probablement bientôt le rechercher, et ce qu’il venait de faire allait rapidement les mener sur ses traces. S’il voulait régler cela à sa façon, il devait se dépêcher.




Jack sortit le sourire aux lèvres de la chambre de Danny. Il était rassuré sur son état, et son agent lui avait même sorti quelques gags, plutôt involontaires de sa part, mais drôles pour ceux qui étaient autour de lui. Jack nota mentalement de ressortir à Danny quelques-unes de ses phrases lorsqu’il serait un peu trop « embêtant » au bureau : la morphine avait vraiment un drôle d’effet sur le jeune agent ! Il avait apparemment été très marqué par la visite de Martin en tenue de « pyjama de médecin », et n’arrêtait pas depuis lors de faire une collecte pour acheter des habits à son « pauvre frère dans le besoin ».

Jack perdit son sourire lorsqu’il entra dans la chambre de Vin. C’était très perturbant de voir ce jeune homme, relié aux machines, le visage très pâle, les lèvres bleues, un bandage sur la tête. Jack le voyait pour la première fois, et s’il n’avait pas été averti, il aurait pu croire que c’était Martin dans ce lit. Il jeta un regard de compassion à Chris, qui n’avait pas bougé de sa place auprès de son jeune agent.

-Danny va bien ? questionna l’agent de l’ATF.

-Oui, à part les nausées post-opératoires… et les délires morphiniques. Je voulais vous remercier de l’avoir sorti de là.

Chris souleva les épaules avant de répondre lentement :

-On ne laisse jamais personne derrière nous…

Il y eut un instant de silence, puis il reprit :

-C’est de ma faute s’il était là-dedans. Je suis désolé de vous avoir entraînés dans cette opération.

-Vous ne pouvez pas tout contrôler dans ce genre d’opération. Vous vouliez même tout annuler, vu les moyens que vos chefs vous ont donné, mais ils vous ont forcé. Je ne pense pas que vous soyez celui qui soit à blâmer.

-J’aurais dû m’en tenir à ma résolution, et tout annuler.

Jack secoua la tête. Il comprenait très bien ce que ressentait Chris Larabee, mais il savait aussi que ses chefs ne lui avaient laissé aucune autre possibilité.

-Ceux qui sont à blâmer sont ceux qui ont ordonné de faire cette opération avec si peu de moyens… et qui n’étaient bien sûr même pas sur place.

Chris eut un rire sans joie :

-On sait pourquoi ils sont derrière des bureaux. Malheureusement, ils sont aussi dangereux à cet endroit que s’ils portaient une arme dans la rue.

Jack hocha la tête. Il était entièrement d’accord avec Chris, et ils savaient tous les deux que rien ne pouvait changer cet état de fait. Pour le plus grand danger des agents de terrain.

-Martin n’est pas ici ?

-Non, je l’ai envoyé chez lui se réchauffer et se changer dès qu’il aurait vu Danny.

-Et il vous a obéi ?

Chris fronça les sourcils. C’est vrai qu’il s’était attendu à plus de résistance de la part de l’agent du FBI, en pensant qu’il avait le même caractère que Vin. Mais quand Martin avait accepté sans autre, il n’avait pas vraiment fait attention, heureux de ne pas avoir à ordonner.

-Je vais lui téléphoner, voir s’il va bien.

Jack sortit de la chambre, et tenta de contacter son agent. Il tomba sur le répondeur du portable, ainsi que celui du fixe. Il n’aimait pas cela. Il téléphona au bureau, où Sam était retournée après avoir rendu visite à Danny.

-Sam ? C’est Jack. Est-ce que tu as des nouvelles de Martin ?

-Non, aucune. Pourquoi ?

-Il était censé rentrer chez lui, mais je n’arrive pas à l’atteindre.

-Il est peut-être sous la douche.

-Peut-être…

Jack n’était pas convaincu, Sam le comprit à sa voix. Elle sentit une certaine angoisse s‘insinuer dans sa tête. Martin n’avait pas vraiment eu le temps de réagir aux événements, il s’était laissé porté par eux, accumulant les émotions sans vraiment pouvoir les exprimer. En se retrouvant tout seul, comment avait-il réagi ?

-Ecoute, Jack, je vais voir si d’autres agents ont de ses nouvelles, peut-être que Martin est revenu d’abord ici pour… pour… quelque chose, je ne sais pas. Je te rappelle.

Jack n’eut même pas le temps de ranger son téléphone dans sa poche que Sam le rappela :

-Jack, je crois qu’on a un problème.

ELLE EST BIEN TA FIC ALORS JE T4ENCOURAGE A CONTINUER

Ben je suis toujours fan tu le sais bien...mais où ça va nous mener tout cela

heu...il faudrait une suite d'urgence là non, tu crois pas????

OMG, what kind of problems ???? lol il faut une suite .... tu peux pas nous laisser comme cela, c'est ...impenssable, inhumain, horrible (bon le j'exaggere !!!!)

Tiens notre chère Lucy fait son apparition...

Et qu'est-ce qu'il va trafiquer notre chéri ????

T'as pas une autre suite ???

A vrai dire je voudrais bien des nouvelles de Martin, ce qui implique... UNE SUITE !!!

C'est encore une fois, une très bonne partie, mais où est donc Martin? Tu as prévu une petite suite rapidement, j'espère? On ne peut quand même pas le laisser sans surveillance trop longtemps! Toi seule sait de quoi il est capable...

quoi ???? tu t'arrêtes comme cela alors que j'étais à fond à écouter jack se demander où était Martin !! je te jure ca m'a mis des frissons

mais heureusement j'ai eu un moment de four rire en iimaginant encore les frasques de danny sous morphine

franchement tes suites sont courtes mais géantes alros manque plus qu'une autre suite

clara a écrit:Ben je suis toujours fan tu le sais bien...mais où ça va nous mener tout cela

Ben, euh... je sais pas Enfin, un peu, si quand même, sauf que je ne sais pas comment je vais être capable de le retranscrire (=rire nerveux)...
Petite suite pour vous faire patienter... et vous remercier de vos comm'
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Martin releva le col de sa veste. Il n’avait toujours pas réussi à se réchauffer, et l’air de la nuit était glacial. Mais cela ne le ferait pas fléchir. Il était là depuis plusieurs minutes, dans l’ombre, derrière les poubelles d’un pub bruyant et mal fréquenté. Il savait qu’il était là. Il avait donné un peu d’argent à un clochard pour qu’il jette un œil dans le pub. Le pauvre vieux n’avait pas fait long avant de se faire mettre dehors, mais il lui avait appris ce qu’il avait besoin de savoir. Martin n’était pas fier de l’avoir utilisé ainsi, mais le vieil homme l’avait bien vite rassuré, entre deux hoquets de rire : il s’était senti comme un agent secret, ce qu’il rêvait d’être toutes les nuits depuis qu’il avait fini dans la rue, 20 ans plus tôt. Il était content d’avoir pu, d’une certaine façon, réaliser son rêve ; et si en plus il avait pu aider quelqu’un d’aussi gentil et triste que Martin, il en était heureux.

Le jeune agent l’avait regardé partir, un sourire au coin des lèvres. Puis il s’était mis là où il pouvait voir les entrées et sorties, sans être lui-même trop visible. Il espérait que l’homme ne ferait pas trop long à l’intérieur, car Jack devait sûrement être déjà en train de le chercher. De toute façon, l’homme ne pouvait probablement pas rester dans ce genre d’endroit très longtemps, une nuit comme celle-ci. Il n’allait donc pas devoir attendre trop longtemps.

Martin mit ses mains dans ses poches, et sentit l’objet qui l’avait mené jusque-là. Il le sortit, et regarda le paquet d’allumettes, portant le nom du pub devant lequel il attendait. Ce paquet qu’il avait trouvé sur le quai, alors qu’il laissait la place aux ambulanciers auprès de Vin. Il ne savait pas pourquoi, mais il l’avait automatiquement relié à l’homme qui avait tiré sur l’agent de l’ATF. Et il avait eu raison.

Ses pensées restèrent fixées sur ce qui s’était passé durant la journée. Sur Vin et sur Danny. Tous les deux si mal en point, sur ce bord de quai. Martin sentit une boule se former dans sa gorge. Il n’avait pas craqué jusqu’à présent, trop pris par le tourbillon des événements, trop en attente de ce qu’il pouvait arriver ou non. Mais maintenant… Seul, ici ; avec les affirmations des médecins ; il avait été si près de perdre tout, et encore si près de perdre un frère… Martin eut un haut-le-cœur, il dû se retenir au mur. Il devait se maîtriser, il ne pouvait pas se permettre de baisser la garde maintenant, c’était trop dangereux.




Ben avala d’un coup son verre, et le posa rageusement sur le comptoir. La journée avait été catastrophique, et tuer ce flic n’avait pas amadoué son humeur. Aujourd’hui, il avait probablement perdu son job, et était doublement recherché : d’abord pour le meurtre de cette fouineuse, et maintenant pour le flic. Ce n’était pas qu’il regrettait ses actes, loin de là, mais il était dans une mauvaise situation, et il avait besoin de se calmer les nerfs sur quelqu’un. Il avait d’abord songé à provoquer une bonne bagarre dans ce bar, de sortir au hasard son couteau, de l’utiliser de façon appropriée, puis de s’éclipser. Mais cela aurait été jouer avec le feu, cela lui amènerait trop facilement les flics au cul.

Et d’ailleurs, il n’aurait pas dû venir ici. Si des gars de Royal arrêtés aujourd’hui parlaient… Certains connaissaient son penchant à venir dans cette boîte. Il ferait mieux de partir. Ben se leva, paya et se fraya un chemin dans la foule, bousculant violemment ceux qui ne lui cédaient pas assez vite le passage.

Une fois dehors, il se demanda ce qu’il pouvait bien faire. Il n’avait plus de patron qui pouvait lui dire quoi faire, et il n’aimait pas ça. Il avait l’habitude d’obéir aux ordres, pas de se retrouver seul dans la nature. Cette incapacité à se débrouiller seul, il n’aimait pas l’avouer. Cela l’énervait toujours au plus haut point. Et ce soir, il était déjà bien assez nerveux, furieux et…

Des bruits lui firent tourner la tête. Il vit un homme penché derrière les poubelles, visiblement en train de se sortir les boyaux. Il avait probablement trop picolé. L’homme sourit. Il avait trouvé un bouc émissaire. Une proie facile. Qui aurait que le temps d’avoir peur, de savoir qu’elle allait mourir, mais sans savoir pourquoi. L’homme adorait quand il pouvait lire, dans les yeux de ses victimes, l’horreur et la compréhension de ce qui allait arriver.

L’homme s’approcha, un sourire carnassier déformant son visage, son couteau à la main.

C'est pas Martin qui dégueule ses boyaux ???
Bah si c'est lui, il a de quoi se défendre...

Mais de toute façon, Jack va arriver à temps.. enfin j'espère... je sais pas pourquoi, je sens qu'il va être amoché Marty..

C'est l'horreur de faire une pause à cet endroit! Pauvre Martin, ses pensées sont toujours aussi sombre... J'espère pouvoir te lire à nouveau bientôt!

oui l'horreur de faire une pause à cet endroit, t'as pas honte!

on veux la suite! on veux la suite

Heeeee!!!!! nooonnn!! tu vas pas faire de mal à Martin????

Toi??? alors là se serait du grand sadisme

Tu va pas faire ça hein???

Non, Jack va arriver en sauveur et tout et tout!!!

Encore un bout parce que celui là il était trop tit

ho c'est injuste
bref tans pis j'ai hate de lire la suite franchement elle est trop bien ta fic

punaise ca m'a jeté un froid grave !! allez tu vas pas luifaire du mal à ton ti marty là punaise ca prend aux tripes une telle suite

wahou là tu ne peux pas nous laisser ainsi

Hep hep hep , elle est où la suite ????

Hep hep hep , elle est où la suite ????

Elle est là, elle est là! Mais je crains qu'il va falloir apprendre la patience... et la patience... pour la suite de cette suite
Merci bien sûr toujours pour vos comm'
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Martin sourit. L’homme était vraiment un fou furieux, qui semblait vouloir tuer tout ce qui bougeait autour de lui. Il s’avançait vers lui, sûr de trouver une proie facile. Il allait maintenant apprendre qu’il pouvait tomber sur quelqu’un qui allait lui donner une bonne leçon. Martin feignit à nouveau de vomir, afin de faire baisser définitivement la garde de l’homme.

Le jeune agent réagit au dernier moment, prenant son agresseur totalement par surprise. Un violent coup du plat de la main pour le désarmer, un cou de coude dans le visage afin de lui éclater le nez… Martin sourit à nouveau en entendant le grognement de douleur. Il sortit son arme, enleva la sécurité et la pointa sur la tête de l’homme maintenant à genoux. Il était satisfait de ce qu’il lisait dans ses yeux : surprise, peur, douleur. C’était peu payé pour ce qu’il avait fait… et aurait probablement continué de faire en toute impunité si Martin n’était pas intervenu.

Bien sûr qu’il avait envie de presser la détente, mais il se contrôlait encore assez pour comprendre que cela aurait été trop facile. L’homme devait payer pour ses crimes, mais ce n’était pas à Martin de décider de sa peine. Lui, il était juste là pour lui apprendre ce que c’était que de se retrouver de l’autre côté de l’arme et du pouvoir. Mais l’homme ne pouvait pas savoir qu’il n’allait pas tirer, et c’était ce que Martin voulait : qu’il croit jusqu’au bout qu’il allait le tuer.

-Martin !

Martin ne bougea pas d’un pouce. Jack avait un bon timing, cela allait lui être utile pour la suite de sa petite vengeance.

-Martin, c’est bon, on le tient, tu nous le laisses maintenant.

Martin ne répondit rien, ne bougea pas, resta les yeux fixés sur l’homme.

-Tu baisses ton arme maintenant, et tu nous laisses régler ça.

-Faites quelque chose ! cria Ben. Il va me tuer !

-Martin…

Jack tenait son arme légèrement baissée. S’il avait respecté le protocole, il aurait dû la tenir contre Martin, tandis que les autres agents tenaient en joue l’homme à genoux. Mais Jack ne voulait pas menacer son agent de son arme, c’était hors de question. Il ne l’avait jamais vu agir comme il était en train de le faire, mais il était vrai qu’il avait vécu beaucoup de choses en peu de temps, et qu’il devait faire face à de grandes émotions. Et puis, malgré le nez en sang de l’homme, malgré l’arme que Martin pointait sur lui, Jack sentait que son agent ne tirerait jamais sur quelqu’un sans raison vitale. Il misait plutôt sur une savante mise en scène. Dangereuse, mais Martin avait probablement encore toutes ses facultés.

-Martin, tu l’as bien arrangé, maintenant tu nous laisses nous occuper de ça.

-C’est lui qui a tué Fran Hillerman.

-Je sais.

-Il a tiré sur Vin. Et l’a jeté à l’eau.

-Je te crois. Mais maintenant, il va être arrêté, et toi tu pourras retourner à l’hôpital voir Vin et Danny.

Martin raffermit sa prise sur son arme en entendant le nom de ses… frères.

-Il doit payer.

Martin sourit intérieurement en voyant une terreur sans nom se peindre sur le visage de l’homme. Il savait qu’il jouait un jeu dangereux, mais cela en valait la peine… et puis, il faisait confiance à Jack pour déchiffrer correctement la situation.

-Il va payer. Mais maintenant, tu lâches ton arme, c’est un ORDRE !

Martin secoua la tête. Pas encore.

-Eh ! ce gars est un flic ?! Vous n’avez pas le droit, c’est de la brutalité policière !

Ben eut un sursaut de courage en comprenant que l’homme qui était en train de le menacer était un flic. Il avait une chance de s’en sortir, en plus avec les excuses de la police pour avoir été brutalisé lors de son arrestation ! Il sourit malgré son nez cassé : il allait s’en sortir !

-Ta gueule !

Deux voix létales s’étaient exprimées en même temps. L’homme perdit son sourire, à nouveau terrorisé. Il comprit qu’il ne s’en tirerait pas si facilement.

Martin jeta un coup d’œil en direction de la voix qui s’était exprimée de la même manière que lui. C’était Chris, il avait son arme pointée en direction de l’assassin. Martin eut peur : pourquoi le leader avait-il quitter le chevet de Vin ? Est-ce que Vin était… Chris sembla comprendre ce qu’il se passait dans la tête de Martin, et le rassura :

-Ne t’en fais pas, Martin, Ezra et Buck sont avec lui. J’avais aussi besoin de m’occuper de celui qui lui a fait ça. Et comme Jack était sûr que tu étais parti en expédition punitive, je me suis dit que je pouvais venir t’aider.

-Vous… vous n’avez pas le droit… vous…

Un regard de Chris fit taire l’homme.

-Vous m’avez trouvé comment ? demanda Martin.

-En suivant les traces que tu as bien voulu laisser derrière toi, petit malin.

Martin cacha son sourire à son patron. Il savait qu’il n’était pas content qu’il se soit occupé de ça tout seul, mais en même temps, Jack le comprenait et le couvrirait. Martin avait fait exprès de laisser une trace grande comme une autoroute pour qu’on puisse le retrouver, il avait simplement misé sur le temps que ses collègues mettraient pour s’inquiéter de son absence et trouver la bonne personne qui pourrait les renseigner. Il devait dire qu’il avait bien analysé la situation, ses collègues étaient intervenus exactement au moment qu’il fallait.

-Lucy a entendu une conversation téléphonique entre Sam et moi, continua Jack, et elle a pu nous dire que tu lui avais demandé des renseignements sur ce bar… Ça n’a pas été plus difficile que ça.

-Martin, j’aimerais bien que tu retournes voir Vin pendant que je « discute » avec cet assassin.

Le jeune agent regarda Chris. Les deux hommes se fixèrent dans les yeux. Martin hocha la tête. Il avait eu ce qu’il voulait, c’était maintenant à Chris de faire comprendre à cet homme qu’il avait eu terriblement tort de s’en prendre à l’un de ses agents. Et après seulement, il irait répondre de ses actes devant la justice.

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tu vas pas faire de mal à Martin????

Ben non... pas encore

C'est... GENIAL !!!
Mais par contre je ne suis pas sûre de pouvoir attendre la suite trop trop trop longtemps...

tout a fait d'accort avec heidi mais je vais rajouter une suite ilico presto

Mouchette a écrit:

Hep hep hep , elle est où la suite ????

Elle est là, elle est là! Mais je crains qu'il va falloir apprendre la patience... et la patience... pour la suite de cette suite

Je connais pas ce mot, tu pourras m'en donner une définition un jour ????

Mouchette a écrit:
Martin sourit. L’homme était vraiment un fou furieux, qui semblait vouloir tuer tout ce qui bougeait autour de lui. Il s’avançait vers lui, sûr de trouver une proie facile. Il allait maintenant apprendre qu’il pouvait tomber sur
quelqu’un qui allait lui donner une bonne leçon. Martin feignit à nouveau de vomir, afin de faire baisser définitivement la garde de l’homme.

il est trop fort Martin...

Mouchette a écrit:
Bien sûr qu’il avait envie de presser la détente, mais il se contrôlait encore assez pour comprendre que cela aurait été trop facile. L’homme devait payer pour ses crimes, mais ce n’était pas à Martin de décider de sa peine. Lui, il était juste là pour lui apprendre ce que c’était que de se retrouver de l’autre côté de l’arme et du pouvoir. Mais l’homme ne pouvait pas savoir qu’il n’allait pas tirer, et c’était ce que Martin voulait : qu’il croit jusqu’au bout qu’il allait le tuer.

oh ben non, il va pas faire de connerie ....Sacré Martin, nous faire peur comme ça....

Mouchette a écrit:
Martin raffermit sa prise sur son arme en entendant le nom de ses… frères.

C'est vrai ça penses à tes frères quoi, mets lui au moins une balle dans le genou...

Mouchette a écrit:
-Ta gueule !

Deux voix létales s’étaient exprimées en même temps. L’homme perdit son sourire, à nouveau terrorisé. Il comprit qu’il ne s’en tirerait pas si facilement.

Martin jeta un coup d’œil en direction de la voix qui s’était exprimée de la même manière que lui. C’était Chris, il avait son arme pointée en direction de l’assassin. Martin eut peur : pourquoi le leader avait-il quitter le chevet de Vin ? Est-ce que Vin était… Chris sembla comprendre ce qu’il se passait dans la tête de Martin, et le rassura :

-Ne t’en fais pas, Martin, Ezra et Buck sont avec lui. J’avais aussi besoin de m’occuper de celui qui lui a fait ça. Et comme Jack était sûr que tu étais parti en expédition punitive, je me suis dit que je pouvais venir t’aider.

C'est bon, j'imagine bien le "ta gueule" dit en même temps par Martin et Chris....

Mouchette a écrit:

tu vas pas faire de mal à Martin????

Ben non... pas encore

Oui, mais vite quand même ...... tu sais bien que j'attends que ça....
Allez, je t'envoies plein de bonnes ondes pour qu'on ait une suite assez rapidement quand même...

j'adore quoi...mais il me semble que je l'ai déjà dit mais c'est pas grave je me répète tu sais avec l'âge

Rhooo en tout cas une suite où le tit Martin a encore une fois super bien assuré je trouve

Même si il a été à deux doigts de faire une bêtise mais il est pro comme un dieu alors

Géniale suite encore une fois, j'espère aussi qu'il ne va pas falloir attendre trop longtemps y'a un mot que j'ai pas compris "Patience" qu'est ce que ça veut dire!!!!

merveilleux, trop bien !!! mais Martin aurait du aller au bout de son envie , tuer ce S****d !!!!!! LOL

Mouchette a écrit:


tu vas pas faire de mal à Martin????

Ben non... pas encore

oulala, je crains le poire !!! mais une suite s'impose !!!

comme elle est trop prenante cette histoire. Je coirs que je vais être dans l'obligation de te demander une suite car là c'est je peus pas dire. Je vais mourir si je lis pas une suite c'est dingue. Je crois que je suis devenu accro. Mon dieu il faut que je me soigne je parle toute seule...