Sniper (PG13) (Complète)
+14
nonie1187
clairou74
Heidi
clara
Pandi
Baraboo
Sleepy Tinky
nathaloche
tre
clairounett
Mrs Fitzie
mamyita
Scully
Mouchette
18 participants
FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Les Créations des Fans :: Fanfictions :: Complètes :: Suspense
Page 10 sur 14
Page 10 sur 14 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11, 12, 13, 14
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Merci beaucoup pour vos comm'!
Bon, la suite tant attendue par certaine (pas très grande, finalement)...
*********************
Martin, sur le ventre, les coudes lui relevant légèrement le torse, cracha le sang qui emplissait sa bouche. Un point était clair maintenant : ce gars n’appréciait pas l’humour. A sa décharge, Martin devait avouer que le gag n’était pas très bon, mais il n’avait pas trouvé mieux. Il faut dire que la situation n’était pas propice à cela. A peine mis en contact avec le « patron », Martin avait subi une correction qui l’avait laissé pantelant. L’homme s’était visiblement amusé à le frapper à coups de poings et de pieds dans le ventre et le dos. Difficile de se défendre quand vos poignets sont liés. La correction avait fini par un violent coup de pied sur la cuisse, le clouant au sol dans un étau, le faisant hurler de douleur pour la première fois. L’un des sous-fifres l’avait ensuite relevé, alors qu’il tentait de retrouver son souffle. Le « patron » lui avait alors expliqué ce qu’il attendait de lui… Enfin, en restant assez sibyllin :
-On m’a payé pour t’amener ici. Et plutôt bien. On m’offre le double si tu parles avant que mon commanditaire n’arrive. Alors tu vas gentiment me dire tout ce que tu sais, et à qui tu en as parlé.
Martin avait gardé une expression de totale incompréhension sur le visage.
-Je ne sais pas de quoi v
Cette fois, pour la première fois depuis leur rencontre, le « patron » l’avait frappé au visage. Martin avait chancelé, mais avait repris rapidement pied, plantant son regard dans celui de son tortionnaire.
-Ne joue pas au plus malin. Je veux ce doublement de prime, et j’ai les moyens de l’obtenir. Tu n’aimeras pas ça, si tu t’entêtes à ne rien dire.
Martin avait cligné des yeux, le silence s’était installé.
-Dis-moi ce que tu sais.
-Et bien… Je sais extraire les racines carrées et cubiques de tous les nombres jusqu’à
C’est là qu’il se retrouva au sol, crachant le sang suite à un nouveau coup de poing au visage.
Non, franchement, c’était un mauvais gag, il était d’accord, mais était-ce une raison pour le frapper? Si lui-même avait réagi de la même façon à chaque mauvais gag de Danny, le pauvre n’aurait actuellement plus du tout l’embarras du choix pour ses conquêtes et porterait un dentier. Ce n’était vraiment pas une façon de réagir.
Martin grogna quand il se sentit relevé par des mains brutales. Il sentit ses jambes trembler, ses yeux roulèrent dans leurs orbites et il s’effondra. Une ultime vision passa dans son cerveau avant que tout ne devienne noir et oubli.
FLASH-BACK
L’homme qui entrouvrit la porte, laissant la chaîne de sécurité, était âgé. Il fronça les sourcils en voyant le jeune homme devant sa porte :
-Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Martin Fitzgerald. Je
Martin se tut, conscient que l’homme avait reconnu son nom. Ce n’était pas parce que son père était actuellement connu, non, cette connaissance était beaucoup plus vieille : elle datait de presque trente ans à présent. Martin avait enfin trouvé !
-Je sais que j’aurais dû téléphoner, mais je me suis dit que ce serait plus simple de passer.
Plus simple pour lui, mais pas pour son interlocuteur. Martin avait pensé qu’il était plus facile de raccrocher le téléphone que de fermer la porte au nez de quelqu’un. Ces derniers temps, un grand nombre de personnes lui avait raccroché au nez, alors, quand il avait pu trouver l’adresse de ce Roger Holm, et vu qu’il habitait à New York, il n’avait pas hésité.
L’homme sembla hésiter, puis il ferma lentement la porte. Le cœur de Martin se serra, jusqu’à ce qu’il entende le bruit caractéristique de la chaîne qu’on ôte. La porte se rouvrit et Martin put entrer. Son cœur battait fort, il sentait qu’il allait enfin avancer.
FIN DU FLASH-BACK
********************
C'est même tout petit
Pour la suite... Patience!
Bon, la suite tant attendue par certaine (pas très grande, finalement)...
*********************
Martin, sur le ventre, les coudes lui relevant légèrement le torse, cracha le sang qui emplissait sa bouche. Un point était clair maintenant : ce gars n’appréciait pas l’humour. A sa décharge, Martin devait avouer que le gag n’était pas très bon, mais il n’avait pas trouvé mieux. Il faut dire que la situation n’était pas propice à cela. A peine mis en contact avec le « patron », Martin avait subi une correction qui l’avait laissé pantelant. L’homme s’était visiblement amusé à le frapper à coups de poings et de pieds dans le ventre et le dos. Difficile de se défendre quand vos poignets sont liés. La correction avait fini par un violent coup de pied sur la cuisse, le clouant au sol dans un étau, le faisant hurler de douleur pour la première fois. L’un des sous-fifres l’avait ensuite relevé, alors qu’il tentait de retrouver son souffle. Le « patron » lui avait alors expliqué ce qu’il attendait de lui… Enfin, en restant assez sibyllin :
-On m’a payé pour t’amener ici. Et plutôt bien. On m’offre le double si tu parles avant que mon commanditaire n’arrive. Alors tu vas gentiment me dire tout ce que tu sais, et à qui tu en as parlé.
Martin avait gardé une expression de totale incompréhension sur le visage.
-Je ne sais pas de quoi v
Cette fois, pour la première fois depuis leur rencontre, le « patron » l’avait frappé au visage. Martin avait chancelé, mais avait repris rapidement pied, plantant son regard dans celui de son tortionnaire.
-Ne joue pas au plus malin. Je veux ce doublement de prime, et j’ai les moyens de l’obtenir. Tu n’aimeras pas ça, si tu t’entêtes à ne rien dire.
Martin avait cligné des yeux, le silence s’était installé.
-Dis-moi ce que tu sais.
-Et bien… Je sais extraire les racines carrées et cubiques de tous les nombres jusqu’à
C’est là qu’il se retrouva au sol, crachant le sang suite à un nouveau coup de poing au visage.
Non, franchement, c’était un mauvais gag, il était d’accord, mais était-ce une raison pour le frapper? Si lui-même avait réagi de la même façon à chaque mauvais gag de Danny, le pauvre n’aurait actuellement plus du tout l’embarras du choix pour ses conquêtes et porterait un dentier. Ce n’était vraiment pas une façon de réagir.
Martin grogna quand il se sentit relevé par des mains brutales. Il sentit ses jambes trembler, ses yeux roulèrent dans leurs orbites et il s’effondra. Une ultime vision passa dans son cerveau avant que tout ne devienne noir et oubli.
FLASH-BACK
L’homme qui entrouvrit la porte, laissant la chaîne de sécurité, était âgé. Il fronça les sourcils en voyant le jeune homme devant sa porte :
-Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Martin Fitzgerald. Je
Martin se tut, conscient que l’homme avait reconnu son nom. Ce n’était pas parce que son père était actuellement connu, non, cette connaissance était beaucoup plus vieille : elle datait de presque trente ans à présent. Martin avait enfin trouvé !
-Je sais que j’aurais dû téléphoner, mais je me suis dit que ce serait plus simple de passer.
Plus simple pour lui, mais pas pour son interlocuteur. Martin avait pensé qu’il était plus facile de raccrocher le téléphone que de fermer la porte au nez de quelqu’un. Ces derniers temps, un grand nombre de personnes lui avait raccroché au nez, alors, quand il avait pu trouver l’adresse de ce Roger Holm, et vu qu’il habitait à New York, il n’avait pas hésité.
L’homme sembla hésiter, puis il ferma lentement la porte. Le cœur de Martin se serra, jusqu’à ce qu’il entende le bruit caractéristique de la chaîne qu’on ôte. La porte se rouvrit et Martin put entrer. Son cœur battait fort, il sentait qu’il allait enfin avancer.
FIN DU FLASH-BACK
********************
C'est même tout petit
Pour la suite... Patience!
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
je suite je suis au change trés petite mais je suis quand même au ange j'ai hate d'en lire plus
Re: Sniper (PG13) (Complète)
whou alors déjà la suite qui memanquait avec l'interrogatoire musclé de dan et vin !! c'était sublime et ca m'a mis la pession et l'enervement !!! jai kiffé on se serrait cru dans la pice et ce passage où le pauvre marty s'en prend plein la tête la vache j'avais un peu le cgout du sans qui me remontait !! pauvre marty tu ne l'épargne pas du tout en tous les cas la suuiiiitteeeeeeeeeeeee
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Nannnnn deux suites en deux jours ????
Coool.. ça fait plaisir de te lire plus souvent...
Par contre j'ai pas compris le flash-back.. je vais retourner lire la suite... lol
Et on en aura d'autres de suites dans la semaine ???
Coool.. ça fait plaisir de te lire plus souvent...
Par contre j'ai pas compris le flash-back.. je vais retourner lire la suite... lol
Et on en aura d'autres de suites dans la semaine ???
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Petite suite,mais grandement apprécié. Le flash-back apporte beaucoup de questions. Et pauvre Martin, dans quel état ils vont le retrouver? Bravo! J'adore toujours autant!
Pandi- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 222
Age : 50
Localisation : Québec
Date d'inscription : 07/04/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Toi, tu nous aimes !!! Ca se voit !!! Merci merci merci merci merci pour cette suite magistrale !!!
Heidi- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 359
Age : 35
Localisation : Probablement là où je me trouve...
Date d'inscription : 01/04/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Petit oui mais avec un Flash Back J'adoooore!
Bon là en lisant ce passage je me demande si tu aimes vraiment Martin , mais je sais que oui, parce que qui aime bien chatit bien c'est ça alors toi tu dois en être folle amoureuse
Superbe suite comme d'hab, je ne suis jamais déçue par tes suites! mais le pauvre Matin, il m'a fait mal au coeur
Encore
Bon là en lisant ce passage je me demande si tu aimes vraiment Martin , mais je sais que oui, parce que qui aime bien chatit bien c'est ça alors toi tu dois en être folle amoureuse
Superbe suite comme d'hab, je ne suis jamais déçue par tes suites! mais le pauvre Matin, il m'a fait mal au coeur
Encore
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
Age : 44
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
toi tu nous aime c'est sure 2 suite d'affilé que demandé de plus ?
AH SI UNE SUITE DE TOUTE URGENCE
AH SI UNE SUITE DE TOUTE URGENCE
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Tu me vexerais presque, là A ta décharge, vu le temps d'attente entre les suites, c'est pardonnable... Et puis d'un autre côté, j'avais peur d'être trop compréhensible sur ce coup-là, donc ça me rassure!Par contre j'ai pas compris le flash-back.. je vais retourner lire la suite...
Maieueueuh!Bon là en lisant ce passage je me demande si tu aimes vraiment Martin ?!?
mais je sais que oui, parce que qui aime bien chatit bien c'est ça
alors toi tu dois en être folle amoureuse
Ben bien sûr, et j'adore tous vos comm!Toi, tu nous aimes !!!
Merci à toutes et................ allez, c'est fête ces jours! Une petite suite!
*********************
Vin était à nouveau en train de tourner comme un lion en cage dans une des salles des familles. Il sentait son impuissance et sa colère augmenter à chaque pas. Pourquoi avait-il accepté de rester dans ce bâtiment, au lieu d’aller sur le terrain pour aider à chercher… non… retrouver son frère ? Un petit rire nerveux sortit de ses lèvres. Il n’était resté ici que parce que l’agent Vivian Johnson le lui avait demandé. Pas ordonné, non. Mais bien demander. Et gentiment, encore. Vin n’en revenait toujours pas d’avoir accepté. Il avait dû être hypnotisé par ces yeux concernés et maternels, ce n’était pas possible autrement. Il avait aidé Vivian à contrôlé les appels de Martin durant un moment, puis avait dû venir dans cette salle pour tenter de se calmer, de se recentrer. Mais maintenant, il ne se laisserait plus faire comme ça ! Il releva fièrement le menton. Il allait rejoindre Jack et les autres ! Il se tourna en direction de la porte… et ouvrit grand les yeux de surprise. En face de lui venaient six hommes à l’air décidé ; les gens leur laissaient le passage sans protester, pratiquement en baissant les yeux. Ces six hommes semblaient prêts à tout. Ils s’arrêtèrent devant la porte, empêchant Vin de sortir de la pièce.
-Tu pensais aller quelque part, cow-boy ?
Vin n’en revenait pas. Devant lui se tenaient tous les membres de son équipe.
-Qu’est-ce que… Comment… ?
-Jack et Danny ont pensé que tu aurais besoin de nous, expliqua Buck.
Vin en aurait presque rougi. Il n’avait pas du tout songé à avertir ses coéquipiers de la situation. Ils avaient leur boulot à Denver, il n’avait même pas pensé qu’ils pourraient se libérer. Et il n’avait pas voulu ajouter une angoisse à leur stress quotidien, puisque de toute façon ils n’auraient rien pu faire depuis là-bas. Mais Jack et Danny avaient pensé qu’il aurait besoin d’eux – ce qui était tellement vrai – et ils avaient averti son équipe. Et ils étaient venus. Vin ne savait pas ce qu’il avait fait pour mériter pareille amitié. Il nota de bien remercier les deux agents du FBI.
-Tu peux compter sur nous pour vous aider à retrouver ton frérot, rajouta Buck.
-Arrête de dire « frérot », intervint JD. Je suis sûr que c’est Vin qui est le plus jeune.
JD se figea, évitant le regard perçant de Vin.
-Enfin… je… Sans offense, hein, Vin…
-Moi je tiens toujours le pari, sourit Ezra.
-Vous avez parié sur… lequel de Martin ou moi est né en premier ?
Vin, incrédule, fixa tour à tour ses collègues.
-Pour moi il n’y a pas de doute, tu es le plus âgé.
-Plus jeune.
-Plus jeune.
-Plus âgé ! De trois minutes.
Vin s’étrangla presque.
-Vous avez aussi parié sur les minutes qui nous séparent ?!
Cinq de ses collègues cachèrent leurs sourires en regardant qui leurs pieds, qui les murs. Vin se tourna vers Chris, afin d’obtenir un peu de soutien et de bon sens de la part de quelqu’un. Mais la lueur espiègle qu’il lut dans les yeux verts de son patron lui fit secouer la tête. Ils étaient impayables ! Mais cela faisait du bien de les avoir près de soi. Alors, juste pour quelques minutes de plus de relative relaxation, Vin entra dans leur jeu :
-Moi, je trouve que ma plus grande maturité et ma sagesse plus profonde montrent que je suis le plus âgé. Je
Les rires de ses collègues couvrirent ses derniers mots. Mais ce ne fut pas à cause de ça que Vin s’interrompit. Il fronça les sourcils, puis pâlit quand la réalisation le frappa. Seul Chris vit le changement sur son visage, mais avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, Vin bouscula ses collègues et se précipita vers Vivian.
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
y'a pas de Martinnnnnnnnnn
C'est cool toutes ces suites dis moi...
Par contre t'arrêter comme ça, ça se fait pas....
Demain la suite ??
C'est cool toutes ces suites dis moi...
Par contre t'arrêter comme ça, ça se fait pas....
Demain la suite ??
Re: Sniper (PG13) (Complète)
tu nous gate avec cette suite mais on veut des nouvelle de martin et quel nouvelle va annoncés viviane hein
une suite s'il te plai
une suite s'il te plai
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
J'ai loupé l'avant dernière suite mais je me ratrappe
Le premier passage j'avais envie de dire "Danny sors de ce corps !!"
Martin n'est pas épargné
Le deuxième une dose d'humour dans ce monde de tristesse... mais c'est quoi qu'il apprend??
Le premier passage j'avais envie de dire "Danny sors de ce corps !!"
Martin n'est pas épargné
Le deuxième une dose d'humour dans ce monde de tristesse... mais c'est quoi qu'il apprend??
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Nooon j'ai lu 16 pages non stop, pour en rester plus que sur ma faim. Mais qu'est ce qu'il a bien pu comprendre? Une suite pour savoir stp sinon elle est super bien écrite ta fic, et j'avoue que plus d'une fois je me suis retrouvée seule à rire devant mon écran, surtout lors des petites vannes de Danny alala. Une suite stp
Re: Sniper (PG13) (Complète)
trop bein cette suite pas de martin c'est triste mais génial cette idée de pari
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Yes, c'est trop beau, ça que ses amis et coéquipiers viennent lui tenir main forte!
Commeles filles, je demande la suiteuuuuu
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
Age : 44
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
je lu ta fic d'un seul trait et je n'aurais qu'un seul reproche a te faire
il n'y a pas de suite ...elle est ou la suite
je l'attend avec impatience
il n'y a pas de suite ...elle est ou la suite
je l'attend avec impatience
cashgirl- Nouvelle recrue
- Nombre de messages : 24
Age : 40
Date d'inscription : 17/06/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
oh làlà même si pas de martin et de ce qu'il est en train de subir , c'est toujours aussi génial ... mais tu aimes nous laisser dans le doute hien ?? il est trop cool ce ti vin !!!
encooorrreeeeeee
encooorrreeeeeee
Re: Sniper (PG13) (Complète)
toujours pas de suite je suis vraiment décu puisque c'est comme sa se soir je vais allez noyer mon chagrin à la fête de la musique
Re: Sniper (PG13) (Complète)
la suite
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Merci les filles!
Suite écrite rapidement, donc pas vraiment bien relue et tout... et en plus sans Martin , mais la suivante vous contentera à ce niveau-là, promis Et ce sera peut-être pour aujourd'hui ou demain...
****************************************
Jack et Victor Fitzgerald se toisaient, sous les yeux gênés des agents de police et sous les regards impatients de Sam et Danny. Victor ne semblait pas vouloir expliquer ce qu’il faisait là, sur le lieu où la voiture de son fils était apparemment sortie de la route. Son fils qui avait disparu depuis plusieurs longues heures. Danny n’avait qu’une envie : aller secouer le vieux lion, lui crier en face qu’ils n’avaient pas le temps de jouer à ça. Mais Sam avait réussi à le convaincre de laisser faire Jack. Danny espérait juste que leur patron obtiendrait rapidement des réponses, car il crevait d’angoisse. Ils avaient trouvé le téléphone et la veste de Martin dans la voiture, mais de lui, aucune trace. Et il n’arrivait pas à dire si c’était une bonne chose ou non.
-Victor, tu dois nous dire ce que tu fais ici. Martin a disparu. Quelqu’un a vu trois hommes armés le forcer à monter dans sa voiture. Et maintenant on te retrouve ici, à côté de sa voiture accidentée. Et toujours pas de Martin…
Victor ne répondit pas, continuant de toiser Jack. Mais ce dernier le connaissait assez pour sentir que le Deputy-Director ne se sentait pas aussi sûr de lui que d’habitude. Il devait le secouer pour le faire parler.
-Si tu ne me réponds pas ici, je vais devoir t’arrêter et t’interroger dans une salle du FBI.
-Tu ne peux pas faire ça.
-Oh que si, je le peux ! Et je ne me gênerai pas, s’il faut ça pour que tu parles. Mais j’aimerais que tu comprennes que tu ferais mieux de parler maintenant, pour Martin…
Victor baissa la tête.
-Qu’est-ce que vous savez sur la disparition de mon fils ?
-Rien, à part pour ces trois types. On a besoin de toi.
Il y avait comme une supplication dans la voix de Jack. Victor hésita encore, puis se décida.
-Ils voulaient 500’000$.
Jack leva un sourcil, mais resta silencieux, attendant que Victor s’explique.
-J’ai reçu un téléphone d’un type qui disait détenir mon fils. Il voulait 500’000$ pour le libérer. Je me suis renseigné discrètement, et j’ai compris que vous le recherchiez officieusement. Alors j’ai réuni l’argent et je suis allé au lieu de rendez-vous.
-Ici ?
-Non, c’était en ville. Quand j’ai donné l’argent au type qui est venu au rendez-vous, il m’a dit de venir ici pour mon fils. Mais Martin n’était pas là.
Les épaules de Victor s’affaissèrent. Il semblait désespéré, pour la première fois depuis le début de la conversation.
-Pourquoi n’avoir rien dit à personne ?
Jack avait tenté de maîtriser sa voix, mais en voyant le regard que lui lança Victor, il comprit qu’il n’avait pas vraiment réussi.
-Je ne devais rien dire à personne si je voulais revoir Martin vivant. Tu sais comment ça se passe, on
-Non, TU sais comment ça se passe ! Tu aurais dû nous avertir, on aurait pu faire quelque chose, on aurait eu une piste ! Tu sais très bien qu’on ne peut rien faire seul dans ce genre de situation !
-Je n’allais pas mettre la vie de Martin en danger pour plaire aux règles du FBI !
-Tu as payé et tu n’as rien eu en échange. Bravo, on peut dire que ta façon de faire était parfaite !
Les deux hommes se toisèrent à nouveau, la colère brillant dans leurs yeux. Finalement, ce fut à nouveau Victor qui capitula.
-Je pensais bien faire…
Jack soupira. Il n’en voulait pas vraiment à Victor, lui-même aurait probablement agi de la même façon pour ses filles. Mais c’était rageant de ne pas avoir été là, ils auraient peut-être eu plus d’indices, une piste sérieuse…
-Est-ce qu’ils ont dit pourquoi ?
-Quoi ?
-Est-ce qu’ils ont dit pourquoi ils avaient enlevé Martin, pourquoi ils voulaient cet argent ?
-Et bien… je suppose qu’ils ont enlevé Martin parce qu’ils savent que j’ai de l’argent.
-Donc ils n’ont rien dit d’autre ?
-Non.
Victor était affirmatif. Peut-être trop au goût de Jack. Il sentait qu’il y avait plus, mais quoi ? Comment faire parler Victor ?
-Tu vas venir avec nous au bureau pour faire une déposition. Il faudra que tu nous décrives le coup de fil, la voix, le type qui est venu chercher l’argent.
Victor hocha la tête.
Vivian, Vin, Chris et JD étaient accrochés à leur téléphone. Vin s’en voulait de ne pas avoir pensé à ça plus vite. Quelle perte de temps ! Il savait pourtant à quoi Martin passait le plus clair de son temps libre ! Bien sûr, qui pourrait imaginer que sa quête de leur passé, à lui et à Vin, pouvait amener à ça ? Cette fois, Vin en était sûr, ils tenaient la raison de tout ça. Mais ils devaient encore trouver le comment et le pourquoi.
Il jeta un coup d’œil à ses collègues, cherchant dans leur expression s’ils tenaient quelque chose ou pas. Mais pour l’instant, ça ne donnait pas grand-chose. Nathan, Buck et Josiah étaient partis questionner quelques personnes qui avaient refusé de répondre au téléphone. Plusieurs équipes de police s’occupaient de cela aussi. Martin avait fait de nombreux téléphones à des gens peu enclins à parler. Peut-être était-il tombé sur quelqu’un qui n’avait pas du tout apprécié ses questions.
Vin appelait pour la troisième fois le même numéro, mais il n’obtenait toujours pas de réponse. Il raccrocha, fronçant les sourcils. Il ne savait pas pourquoi il se fixait sur ce numéro, mais il avait un pressentiment. Martin avait composé ce numéro la veille de sa disparition. Personne n’avait répondu. Ou plutôt, Martin n’avait pas laissé assez de temps à la personne pour répondre. Il avait raccroché, comme s’il s’était rendu compte qu’il avait fait un mauvais numéro. Ou peut-être qu’il en avait eu marre de se faire toujours raccrocher au nez, et avait-il décidé d’aller directement sur place ? C’est en tout cas ce qu’aurait fini par faire Vin, et il savait que son frère et lui se ressemblaient assez pour penser de la même façon. Vin se décida à appeler la police locale du petit patelin près de New York où habitait le propriétaire de ce numéro, Roger Holm.
On lui transmit le commandant de police, qui écouta l’histoire très résumée sans faire de commentaires. Quand Vin lui demanda d’envoyer une patrouille sur les lieux, le commandant se mit enfin à parler.
-Vous pourriez me redonner la description du gars que vous rechercher ?
Vin fronça les sourcils, mais s’exécuta, une légère impatience dans la voix.
-Et vous dites qu’il a disparu depuis ce matin ?
-Oui, articula lentement Vin qui tentait de rester calme.
-Comme par hasard…
Vin se leva de sa chaise d’un bon, et parla d’une voix claire et menaçante.
-Qu’est-ce que vous insinuez ?
-Roger Holm a été trouvé ce matin assassiné chez lui.
Vin ouvrit la bouche, la referma. Cela ne lui arrivait pas souvent de rester sans voix, il était extrêmement doué pour cacher ses émotions ou ses surprises, mais là, il était incapable de sortir un mot. Qu’est-ce que tout cela signifiait ? Dans quoi Martin avait-il mis les pieds ? Car ce ne pouvait pas être un hasard. Vin ne voyait plus rien autour de lui, il n’était même pas conscient des regards inquiets de ses collègues, qui tentaient de comprendre ce qu’il se passait.
Le commandant reprit :
-Un homme qui correspond à la description de votre gars disparu a été vu hier soir alors qu’il sortait de chez Roger Holm. Et ce matin, sa voisine retrouve ce dernier, mort d’une balle dans le cœur. Facile de savoir pourquoi votre homme à disparu…
-Vous avez intérêt à retirer ce que vous venez de dire. Le médecin-légiste a-t-il déjà fait une autopsie? A-t-il donné une heure pour la mort de Roger Holm ? Non, n’est-ce pas ? Vous bâclez votre travail, trop heureux d’avoir un suspect déjà coupable pour vous. Vous pensez déjà que vous allez pouvoir rentrer chez vous à 18h, vous mettre devant la télé pour le premier talk-show de la soirée, n’est-ce pas ? L’homme qui a disparu est un agent du FBI. Il a été enlevé par trois hommes ce matin. Et si j’apprends que votre manque de conscience professionnelle a ralenti notre enquête, je veillerai personnellement à ce que vous vous retrouviez muté à Pétaouchnoc. Je
Vin en resta à nouveau sans voix. Son patron venait de lui retirer le téléphone des mains, et s’entretenait maintenant avec le commandant. Il voulut protester, mais Vivian le retint gentiment. Il baissa les yeux, honteux de s’être emporté, mais il n’avait pas pu supporter d’entendre ce type considérer Martin comme coupable d’un meurtre. Bien sûr, c’était normal que le commandant ait eu cette hypothèse, mais ce qu’il avait entendu dans la voix du commandant l’avait fait sauter. Vin y était allé un peu fort, mais finalement, tout ce qu’il lui avait dit, c’était tout ce qu’il avait ressenti dans la voix du commandant.
Vin eut un maigre sourire en voyant le visage de Chris. Finalement, le commandant n’avait sûrement pas gagné au change en devant parler avec le chef de l’équipe 7 de l’ATF.
Suite écrite rapidement, donc pas vraiment bien relue et tout... et en plus sans Martin , mais la suivante vous contentera à ce niveau-là, promis Et ce sera peut-être pour aujourd'hui ou demain...
****************************************
Jack et Victor Fitzgerald se toisaient, sous les yeux gênés des agents de police et sous les regards impatients de Sam et Danny. Victor ne semblait pas vouloir expliquer ce qu’il faisait là, sur le lieu où la voiture de son fils était apparemment sortie de la route. Son fils qui avait disparu depuis plusieurs longues heures. Danny n’avait qu’une envie : aller secouer le vieux lion, lui crier en face qu’ils n’avaient pas le temps de jouer à ça. Mais Sam avait réussi à le convaincre de laisser faire Jack. Danny espérait juste que leur patron obtiendrait rapidement des réponses, car il crevait d’angoisse. Ils avaient trouvé le téléphone et la veste de Martin dans la voiture, mais de lui, aucune trace. Et il n’arrivait pas à dire si c’était une bonne chose ou non.
-Victor, tu dois nous dire ce que tu fais ici. Martin a disparu. Quelqu’un a vu trois hommes armés le forcer à monter dans sa voiture. Et maintenant on te retrouve ici, à côté de sa voiture accidentée. Et toujours pas de Martin…
Victor ne répondit pas, continuant de toiser Jack. Mais ce dernier le connaissait assez pour sentir que le Deputy-Director ne se sentait pas aussi sûr de lui que d’habitude. Il devait le secouer pour le faire parler.
-Si tu ne me réponds pas ici, je vais devoir t’arrêter et t’interroger dans une salle du FBI.
-Tu ne peux pas faire ça.
-Oh que si, je le peux ! Et je ne me gênerai pas, s’il faut ça pour que tu parles. Mais j’aimerais que tu comprennes que tu ferais mieux de parler maintenant, pour Martin…
Victor baissa la tête.
-Qu’est-ce que vous savez sur la disparition de mon fils ?
-Rien, à part pour ces trois types. On a besoin de toi.
Il y avait comme une supplication dans la voix de Jack. Victor hésita encore, puis se décida.
-Ils voulaient 500’000$.
Jack leva un sourcil, mais resta silencieux, attendant que Victor s’explique.
-J’ai reçu un téléphone d’un type qui disait détenir mon fils. Il voulait 500’000$ pour le libérer. Je me suis renseigné discrètement, et j’ai compris que vous le recherchiez officieusement. Alors j’ai réuni l’argent et je suis allé au lieu de rendez-vous.
-Ici ?
-Non, c’était en ville. Quand j’ai donné l’argent au type qui est venu au rendez-vous, il m’a dit de venir ici pour mon fils. Mais Martin n’était pas là.
Les épaules de Victor s’affaissèrent. Il semblait désespéré, pour la première fois depuis le début de la conversation.
-Pourquoi n’avoir rien dit à personne ?
Jack avait tenté de maîtriser sa voix, mais en voyant le regard que lui lança Victor, il comprit qu’il n’avait pas vraiment réussi.
-Je ne devais rien dire à personne si je voulais revoir Martin vivant. Tu sais comment ça se passe, on
-Non, TU sais comment ça se passe ! Tu aurais dû nous avertir, on aurait pu faire quelque chose, on aurait eu une piste ! Tu sais très bien qu’on ne peut rien faire seul dans ce genre de situation !
-Je n’allais pas mettre la vie de Martin en danger pour plaire aux règles du FBI !
-Tu as payé et tu n’as rien eu en échange. Bravo, on peut dire que ta façon de faire était parfaite !
Les deux hommes se toisèrent à nouveau, la colère brillant dans leurs yeux. Finalement, ce fut à nouveau Victor qui capitula.
-Je pensais bien faire…
Jack soupira. Il n’en voulait pas vraiment à Victor, lui-même aurait probablement agi de la même façon pour ses filles. Mais c’était rageant de ne pas avoir été là, ils auraient peut-être eu plus d’indices, une piste sérieuse…
-Est-ce qu’ils ont dit pourquoi ?
-Quoi ?
-Est-ce qu’ils ont dit pourquoi ils avaient enlevé Martin, pourquoi ils voulaient cet argent ?
-Et bien… je suppose qu’ils ont enlevé Martin parce qu’ils savent que j’ai de l’argent.
-Donc ils n’ont rien dit d’autre ?
-Non.
Victor était affirmatif. Peut-être trop au goût de Jack. Il sentait qu’il y avait plus, mais quoi ? Comment faire parler Victor ?
-Tu vas venir avec nous au bureau pour faire une déposition. Il faudra que tu nous décrives le coup de fil, la voix, le type qui est venu chercher l’argent.
Victor hocha la tête.
Vivian, Vin, Chris et JD étaient accrochés à leur téléphone. Vin s’en voulait de ne pas avoir pensé à ça plus vite. Quelle perte de temps ! Il savait pourtant à quoi Martin passait le plus clair de son temps libre ! Bien sûr, qui pourrait imaginer que sa quête de leur passé, à lui et à Vin, pouvait amener à ça ? Cette fois, Vin en était sûr, ils tenaient la raison de tout ça. Mais ils devaient encore trouver le comment et le pourquoi.
Il jeta un coup d’œil à ses collègues, cherchant dans leur expression s’ils tenaient quelque chose ou pas. Mais pour l’instant, ça ne donnait pas grand-chose. Nathan, Buck et Josiah étaient partis questionner quelques personnes qui avaient refusé de répondre au téléphone. Plusieurs équipes de police s’occupaient de cela aussi. Martin avait fait de nombreux téléphones à des gens peu enclins à parler. Peut-être était-il tombé sur quelqu’un qui n’avait pas du tout apprécié ses questions.
Vin appelait pour la troisième fois le même numéro, mais il n’obtenait toujours pas de réponse. Il raccrocha, fronçant les sourcils. Il ne savait pas pourquoi il se fixait sur ce numéro, mais il avait un pressentiment. Martin avait composé ce numéro la veille de sa disparition. Personne n’avait répondu. Ou plutôt, Martin n’avait pas laissé assez de temps à la personne pour répondre. Il avait raccroché, comme s’il s’était rendu compte qu’il avait fait un mauvais numéro. Ou peut-être qu’il en avait eu marre de se faire toujours raccrocher au nez, et avait-il décidé d’aller directement sur place ? C’est en tout cas ce qu’aurait fini par faire Vin, et il savait que son frère et lui se ressemblaient assez pour penser de la même façon. Vin se décida à appeler la police locale du petit patelin près de New York où habitait le propriétaire de ce numéro, Roger Holm.
On lui transmit le commandant de police, qui écouta l’histoire très résumée sans faire de commentaires. Quand Vin lui demanda d’envoyer une patrouille sur les lieux, le commandant se mit enfin à parler.
-Vous pourriez me redonner la description du gars que vous rechercher ?
Vin fronça les sourcils, mais s’exécuta, une légère impatience dans la voix.
-Et vous dites qu’il a disparu depuis ce matin ?
-Oui, articula lentement Vin qui tentait de rester calme.
-Comme par hasard…
Vin se leva de sa chaise d’un bon, et parla d’une voix claire et menaçante.
-Qu’est-ce que vous insinuez ?
-Roger Holm a été trouvé ce matin assassiné chez lui.
Vin ouvrit la bouche, la referma. Cela ne lui arrivait pas souvent de rester sans voix, il était extrêmement doué pour cacher ses émotions ou ses surprises, mais là, il était incapable de sortir un mot. Qu’est-ce que tout cela signifiait ? Dans quoi Martin avait-il mis les pieds ? Car ce ne pouvait pas être un hasard. Vin ne voyait plus rien autour de lui, il n’était même pas conscient des regards inquiets de ses collègues, qui tentaient de comprendre ce qu’il se passait.
Le commandant reprit :
-Un homme qui correspond à la description de votre gars disparu a été vu hier soir alors qu’il sortait de chez Roger Holm. Et ce matin, sa voisine retrouve ce dernier, mort d’une balle dans le cœur. Facile de savoir pourquoi votre homme à disparu…
-Vous avez intérêt à retirer ce que vous venez de dire. Le médecin-légiste a-t-il déjà fait une autopsie? A-t-il donné une heure pour la mort de Roger Holm ? Non, n’est-ce pas ? Vous bâclez votre travail, trop heureux d’avoir un suspect déjà coupable pour vous. Vous pensez déjà que vous allez pouvoir rentrer chez vous à 18h, vous mettre devant la télé pour le premier talk-show de la soirée, n’est-ce pas ? L’homme qui a disparu est un agent du FBI. Il a été enlevé par trois hommes ce matin. Et si j’apprends que votre manque de conscience professionnelle a ralenti notre enquête, je veillerai personnellement à ce que vous vous retrouviez muté à Pétaouchnoc. Je
Vin en resta à nouveau sans voix. Son patron venait de lui retirer le téléphone des mains, et s’entretenait maintenant avec le commandant. Il voulut protester, mais Vivian le retint gentiment. Il baissa les yeux, honteux de s’être emporté, mais il n’avait pas pu supporter d’entendre ce type considérer Martin comme coupable d’un meurtre. Bien sûr, c’était normal que le commandant ait eu cette hypothèse, mais ce qu’il avait entendu dans la voix du commandant l’avait fait sauter. Vin y était allé un peu fort, mais finalement, tout ce qu’il lui avait dit, c’était tout ce qu’il avait ressenti dans la voix du commandant.
Vin eut un maigre sourire en voyant le visage de Chris. Finalement, le commandant n’avait sûrement pas gagné au change en devant parler avec le chef de l’équipe 7 de l’ATF.
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
on veus avoir des nouvelles de martyyyyyyyyyyyyyyyyy
tre- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 408
Age : 34
Localisation : avec mon mmmmmarttttttttyyyy
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Il est où Marty, maman est très inquiète , j'adore comment Vin s'echauffe euh... une suite
Page 10 sur 14 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11, 12, 13, 14
Sujets similaires
» Savin'me ( PG13 ) (complète)
» Vin, you're a Tanner (complète) (PG13)
» Les yeux fermés (PG13) - Complète -
» Effets secondaires (complète) (PG13)
» Peurs d'enfance (complète) (PG13)
» Vin, you're a Tanner (complète) (PG13)
» Les yeux fermés (PG13) - Complète -
» Effets secondaires (complète) (PG13)
» Peurs d'enfance (complète) (PG13)
FBI : PORTES DISPARUS { Without a trace } :: Les Créations des Fans :: Fanfictions :: Complètes :: Suspense
Page 10 sur 14
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum