Sniper (PG13) (Complète)
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
Quelle question... bien sûr qu'il y a des intéressées....
(et avec du Marty ??? )
(et avec du Marty ??? )
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Avec plein de Marty pour toi, et du flash-back pour clara
Une longue suite en plus...
Une longue suite en plus...
Mouchette- Directeur Adjoint
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Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:Avec plein de Marty pour toi, et du flash-back pour clara
Une longue suite en plus...
Merci merci merci !!
Je suis sage promis en attendant la suite...
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Bon, une longue suite pour la semaine qui vient
**********************
Eli Joe était nerveux. Il ne savait pas vraiment ce qu’il allait faire, mais sa vengeance ne pouvait plus attendre. Aujourd’hui était le bon jour. Il savait que Fitzgerald devait aller chercher Tanner à l’aéroport, mais l’agent du FBI n’était toujours pas sorti de chez lui. Il semblait être en retard… Ou les arrangements entre les deux frères avaient changé. Eli Joe secoua la tête. Non, ça ne pouvait pas être ça. Il n’avait pas de plan, pas d’idée précise, mais il ne voulait pas remettre à plus tard. C’était maintenant qu’il voulait faire souffrir Tanner, et cela passait par s’occuper de Fitzgerald. Maintenant.
Martin se dirigea à pas pressés vers sa voiture. Il n’était pas vraiment en retard, mais à cette heure-ci, il valait mieux prévoir le coup avec les embouteillages. Il ne voulait pas faire attendre Vin à l’aéroport. Martin était un peu perdu dans ses pensées, il avait beaucoup de chose à dire à son jumeau, et il ne savait pas trop comment le faire. Bien qu’il sache qu’il ne devait pas avoir de soucis avec lui, car Vin et lui se comprenaient très bien, mais le sujet était sensible, les nouvelles délicates. Le jeune agent ne faisait pas vraiment attention à ce qui l’entourait, il sortit les clés de sa voiture, la déverrouilla. Au moment où il allait ouvrir la porte, quelqu’un l’interpella gentiment :
-Monsieur Fitzgerald ?
Martin leva la tête vers l’homme qui se trouvait sur le trottoir. Il était un peu surpris, il ne connaissait pas cet homme :
-Je peux faire quelque chose pour vous ?
Martin n’eut pas le temps d’en dire plus, il se sentit violemment poussé en avant, contre la voiture. Une exclamation de surprise sortit de ses lèvres, mais il se figea très vite : il sentit ce qui était incontestablement le canon d’une arme entre ses côtes.
-Oui, vous pouvez monter à l’arrière de votre voiture. Nous allons faire une petite promenade ensemble.
-Et si je refuse ?
-Vous finissez sur le pavé, une balle dans le dos, une autre dans la tête, pour être sûr que vous ne vous releviez plus jamais.
Martin jeta un regard à l’homme, cachant profondément sa peur sous un masque de froideur. Il ne répondit rien, mais se laissa enlever son arme par l’homme qui le menaçait derrière lui, et entra docilement dans sa propre voiture quand une troisième personne lui ouvrit la porte arrière. Il se retrouva vite au milieu de la banquette, entouré par deux hommes armés, solides et à l’air de tueur. Le premier homme, celui qui l’avait interpellé, se mit au volant et démarra. Martin respirait profondément. Ce n’était pas le moment de paniquer, il devait rester calme, réfléchir aux moyens de se sortir de là ou d’avertir quelqu’un. Vin allait l’attendre à l’aéroport, et s’inquiéter assez vite de son absence. Il avait son téléphone allumé, on pourrait rapidement le localiser. Sauf que si Vin tentait de le joindre, la sonnerie du téléphone allait bien vite rappeler à ses kidnappeurs leur négligence.
Ils sortaient de la ville, ce qui n’était pas pour rassurer Martin. Les trois hommes ne disaient rien, mais ne relâchaient pas leur surveillance sur l’agent. Martin respira un bon coup, et décida qu’il devait essayer de les faire parler :
-Trois gars armés pour moi, je ne savais pas que j’étais si redoutable.
-Ce n’est pas toi qui est redoutable, c’est notre patron. Pas question de rater notre coup, on a mis toutes les chances de notre côté.
-Oh, la vie ne doit pas être facile, quand on a peur de son patron.
-On le respecte, on connaît les règles et on les accepte. Toi, par contre, je te conseille de le craindre.
-M’étonnerait qu’il soit pire que le mien.
-Tu ne conn
-Ça suffit ! intervint froidement l’homme qui conduisait. Interdiction de lui faire la conversation ! Qu’il garde sa salive pour le patron.
Martin déglutit. Apparemment, le « patron » voulait le faire parler, mais de quoi ? Et surtout, l’agent doutait fortement que la « conversation » soit… civilisée.
Le reste du trajet se fit en silence. Martin ne connaissait pas cette région, mais il notait tous les repères possibles dans sa tête. Finalement, le conducteur tourna pour prendre un chemin étroit, qui se perdait dans un petit bois. Martin sentit son estomac se contracter. Etaient-ils arrivés ? Où ? Qu’allait-il se passer ? Que lui voulaient-ils ? Les questions tournaient dans sa tête, enrobées d’une forte angoisse.
L’homme à sa droite le prit par le bras pour le faire descendre de voiture, le poussa contre la carrosserie et lui fouilla les poches. Cette fois, il lui retira son téléphone, qu’il jeta sur le siège de la voiture. Martin commençait à transpirer, ces hommes savaient ce qu’ils faisaient et ils le faisaient de manière froide et méthodique.
Une voiture noire était parquée un peu plus loin, invisible depuis la route. L’homme le dirigea vers elle. Les deux autres gars attendaient là, le coffre était ouvert.
-Monte.
Martin sentit son corps se figer totalement. Ils voulaient le faire monter dans le coffre ! Une peur lointaine, qu’il avait réussie à enfouir il y avait si longtemps refit violemment surface, comme une vague scélérate emporte un cargo en une fraction de seconde. Il ferma les yeux, pour tenter de maîtriser cette peur, mais elle était trop forte, trop brutale, et des images de son enfance l’envahir.
FLASH-BACK
Martin, du haut de ses 10 ans, n’hésita pas un instant quand il vit John, 14 ans, s’en prendre à son voisin Eric. Ce dernier avait son âge, il ne pouvait rien faire tout seul face à la brute qui le frappait. La tête remplie de ses romans de mousquetaires, le slogan «tous pour un et un pour tous» sur les lèvres, Martin encouragea ses deux nouveaux amis à le suivre et à aider Eric. Leurs forces réunies, les trois garçons réussirent à soustraire le pauvre Eric des coups de John.
Cela faisait une semaine que Martin était dans ce quartier, ayant une nouvelle fois déménagé avec ses parents. Il s’était fait rapidement des amis, et avait appris très vite que la peur régnait chez eux face à John et sa bande. Les adultes n’étaient pas au courant, pourtant, John pouvait être très méchant. Mais quand il frappait, c’était toujours les parties cachées par les habits ; il savait instiller la peur par ses menaces verbales, et aucun jeune n’avait encore osé se plaindre. Ils évitaient le plus possible de sortir seul, et tentaient de trouver refuge près d’adultes quand il le voyait arriver avec ses copains. Mais ils ne disaient rien. Martin avait vite pris ces habitudes, mais voir Eric se faire frapper lui était inacceptable. C’était le meilleur ami qu’il avait eu depuis longtemps, même s’il ne se connaissait que depuis une semaine. Il devait l’aider, et cela passait par une coalition des jeunes de 10 ans.
Durant une semaine après le « sauvetage » d’Eric, les tous jeunes du quartier restèrent ensemble, vigilants. Mais comme rien ne se passa, qu’aucune représaille n’arriva, la nature enfantine reprit rapidement le dessus, d’autant plus insouciante. Martin et ses amis reprirent le contrôle de la rue par leurs jeux et leurs rires.
Cela faisait deux semaines que John avait été mis en déroute ; les jeunes enfants étaient en plein jeu de leur invention, mélange de cache-cache, chasse au trésor et « 1, 2, 3 robinet coule ». Martin savait qu’il allait être en retard pour le repas, ce qui n’était jamais une bonne idée quand son père avait prévu d’être là. Mais il était sûr de savoir où était le troisième trésor, et il voulait absolument le trouver. Il n’avait besoin que de quelques minutes de plus. Martin baissa vivement la tête et s’accroupit derrière une voiture : Greg était au bout de la rue, l’empêchant de traverser sans qu’il ne le voie. Martin sourit quand Greg continua son chemin, lui laissant le champ libre. Il se remit debout et s’apprêta à s’élancer…
Une main serra violemment son épaule, le retournant pour faire face. Martin déglutit. John et trois de ses amis étaient là, souriant méchamment. Trop absorbé par le jeu, il ne les avait pas entendus s’approcher en catimini.
-Tiens, tiens. Qui voilà ?! Le petit meneur de ces crotales de bébés.
-Bébés ?! ne put s’empêcher de s’exlamer Martin. Ces bébés, comme tu dis, ont réussi à te faire détaler !
Il savait qu’il aurait mieux fait de se taire. Le visage de John se fit encore plus méchant.
-Ouais, peut-être, mais maintenant c’est moi qui suis en position de force. Et tu sais ce qu’on fait avec les crotales qui gênent ? On leur coupe la tête !
Martin ne répondit rien, cachant sa peur derrière un regard de défiance.
-Et d’après ce que j’ai vu, c’est toi la tête de tous ces gamins. Quand j’en aurai fini avec toi, plus aucun de tes petits amis n’aura envie de me résister.
John tira violemment Martin en direction d’une voiture noire de sport.
-Ouvre le coffre, Mat !
Il lança un trousseau de clé au dénommé Mat, qui s’exécuta en souriant.
-Ma mère ne va pas utiliser sa voiture avant plusieurs jours. Tu auras l’occasion d’apprécier son confort… Monte !
John poussa Martin vers le coffre, mais ce dernier se mit à ruer, lancer coups de poings et de pieds, mordre, crier… Mais cela ne dura que quelques secondes avant qu’une main ne se plaque contre sa bouche et que des bras le saisissent, le soulèvent et le projettent dans le coffre. Sa tête cogna durement contre quelque chose, il vit le ciel s’effacer, puis les visages hilares des quatre garçons… et ce fut la nuit dans un claquement sec. Le coffre était fermé. La peur et la douleur se liguèrent pour entraîner Martin dans l’inconscience.
Martin se réveilla en sursaut. Il faisait nuit, chaud. Il avait mal à la tête, il transpirait, avait du mal à respirer, il sentait un liquide poisseux (son sang !) couler de son front. Tout lui revint alors en mémoire, et sa respiration se fit encore plus saccadée, la panique envahissant son esprit. Il n’avait jamais aimé les lieux étroits, mais là, c’était un de ses pires cauchemars qu’il était en train de vivre. Il se mit à crier et frapper autour de lui, par panique, sans vraiment penser que quelqu’un puisse l’entendre.
Il ne savait pas depuis combien de temps cela durait. Il ne put jamais dire ensuite ce qu’il se passa exactement. Il ne se souvenait que de flashes : une vive lumière ; des bras qui le saisissent doucement ; des voix qui crient ; une voix douce qui le supplie de respirer calmement, qui lui dit qu’il est sauf maintenant (sa mère, c’est elle !) ; l’ambulance ; l’odeur de l’hôpital.
Quand il revint à la maison deux jours plus tard, John et sa famille avaient déménagé. Bien des années plus tard, Martin comprit que son père avait dû faire pression sur la famille pour qu’ils s’en aillent.
FIN DU FLASH-BACK
Martin sentit l’arrière de son crâne exploser.
**********************
Eli Joe était nerveux. Il ne savait pas vraiment ce qu’il allait faire, mais sa vengeance ne pouvait plus attendre. Aujourd’hui était le bon jour. Il savait que Fitzgerald devait aller chercher Tanner à l’aéroport, mais l’agent du FBI n’était toujours pas sorti de chez lui. Il semblait être en retard… Ou les arrangements entre les deux frères avaient changé. Eli Joe secoua la tête. Non, ça ne pouvait pas être ça. Il n’avait pas de plan, pas d’idée précise, mais il ne voulait pas remettre à plus tard. C’était maintenant qu’il voulait faire souffrir Tanner, et cela passait par s’occuper de Fitzgerald. Maintenant.
Martin se dirigea à pas pressés vers sa voiture. Il n’était pas vraiment en retard, mais à cette heure-ci, il valait mieux prévoir le coup avec les embouteillages. Il ne voulait pas faire attendre Vin à l’aéroport. Martin était un peu perdu dans ses pensées, il avait beaucoup de chose à dire à son jumeau, et il ne savait pas trop comment le faire. Bien qu’il sache qu’il ne devait pas avoir de soucis avec lui, car Vin et lui se comprenaient très bien, mais le sujet était sensible, les nouvelles délicates. Le jeune agent ne faisait pas vraiment attention à ce qui l’entourait, il sortit les clés de sa voiture, la déverrouilla. Au moment où il allait ouvrir la porte, quelqu’un l’interpella gentiment :
-Monsieur Fitzgerald ?
Martin leva la tête vers l’homme qui se trouvait sur le trottoir. Il était un peu surpris, il ne connaissait pas cet homme :
-Je peux faire quelque chose pour vous ?
Martin n’eut pas le temps d’en dire plus, il se sentit violemment poussé en avant, contre la voiture. Une exclamation de surprise sortit de ses lèvres, mais il se figea très vite : il sentit ce qui était incontestablement le canon d’une arme entre ses côtes.
-Oui, vous pouvez monter à l’arrière de votre voiture. Nous allons faire une petite promenade ensemble.
-Et si je refuse ?
-Vous finissez sur le pavé, une balle dans le dos, une autre dans la tête, pour être sûr que vous ne vous releviez plus jamais.
Martin jeta un regard à l’homme, cachant profondément sa peur sous un masque de froideur. Il ne répondit rien, mais se laissa enlever son arme par l’homme qui le menaçait derrière lui, et entra docilement dans sa propre voiture quand une troisième personne lui ouvrit la porte arrière. Il se retrouva vite au milieu de la banquette, entouré par deux hommes armés, solides et à l’air de tueur. Le premier homme, celui qui l’avait interpellé, se mit au volant et démarra. Martin respirait profondément. Ce n’était pas le moment de paniquer, il devait rester calme, réfléchir aux moyens de se sortir de là ou d’avertir quelqu’un. Vin allait l’attendre à l’aéroport, et s’inquiéter assez vite de son absence. Il avait son téléphone allumé, on pourrait rapidement le localiser. Sauf que si Vin tentait de le joindre, la sonnerie du téléphone allait bien vite rappeler à ses kidnappeurs leur négligence.
Ils sortaient de la ville, ce qui n’était pas pour rassurer Martin. Les trois hommes ne disaient rien, mais ne relâchaient pas leur surveillance sur l’agent. Martin respira un bon coup, et décida qu’il devait essayer de les faire parler :
-Trois gars armés pour moi, je ne savais pas que j’étais si redoutable.
-Ce n’est pas toi qui est redoutable, c’est notre patron. Pas question de rater notre coup, on a mis toutes les chances de notre côté.
-Oh, la vie ne doit pas être facile, quand on a peur de son patron.
-On le respecte, on connaît les règles et on les accepte. Toi, par contre, je te conseille de le craindre.
-M’étonnerait qu’il soit pire que le mien.
-Tu ne conn
-Ça suffit ! intervint froidement l’homme qui conduisait. Interdiction de lui faire la conversation ! Qu’il garde sa salive pour le patron.
Martin déglutit. Apparemment, le « patron » voulait le faire parler, mais de quoi ? Et surtout, l’agent doutait fortement que la « conversation » soit… civilisée.
Le reste du trajet se fit en silence. Martin ne connaissait pas cette région, mais il notait tous les repères possibles dans sa tête. Finalement, le conducteur tourna pour prendre un chemin étroit, qui se perdait dans un petit bois. Martin sentit son estomac se contracter. Etaient-ils arrivés ? Où ? Qu’allait-il se passer ? Que lui voulaient-ils ? Les questions tournaient dans sa tête, enrobées d’une forte angoisse.
L’homme à sa droite le prit par le bras pour le faire descendre de voiture, le poussa contre la carrosserie et lui fouilla les poches. Cette fois, il lui retira son téléphone, qu’il jeta sur le siège de la voiture. Martin commençait à transpirer, ces hommes savaient ce qu’ils faisaient et ils le faisaient de manière froide et méthodique.
Une voiture noire était parquée un peu plus loin, invisible depuis la route. L’homme le dirigea vers elle. Les deux autres gars attendaient là, le coffre était ouvert.
-Monte.
Martin sentit son corps se figer totalement. Ils voulaient le faire monter dans le coffre ! Une peur lointaine, qu’il avait réussie à enfouir il y avait si longtemps refit violemment surface, comme une vague scélérate emporte un cargo en une fraction de seconde. Il ferma les yeux, pour tenter de maîtriser cette peur, mais elle était trop forte, trop brutale, et des images de son enfance l’envahir.
FLASH-BACK
Martin, du haut de ses 10 ans, n’hésita pas un instant quand il vit John, 14 ans, s’en prendre à son voisin Eric. Ce dernier avait son âge, il ne pouvait rien faire tout seul face à la brute qui le frappait. La tête remplie de ses romans de mousquetaires, le slogan «tous pour un et un pour tous» sur les lèvres, Martin encouragea ses deux nouveaux amis à le suivre et à aider Eric. Leurs forces réunies, les trois garçons réussirent à soustraire le pauvre Eric des coups de John.
Cela faisait une semaine que Martin était dans ce quartier, ayant une nouvelle fois déménagé avec ses parents. Il s’était fait rapidement des amis, et avait appris très vite que la peur régnait chez eux face à John et sa bande. Les adultes n’étaient pas au courant, pourtant, John pouvait être très méchant. Mais quand il frappait, c’était toujours les parties cachées par les habits ; il savait instiller la peur par ses menaces verbales, et aucun jeune n’avait encore osé se plaindre. Ils évitaient le plus possible de sortir seul, et tentaient de trouver refuge près d’adultes quand il le voyait arriver avec ses copains. Mais ils ne disaient rien. Martin avait vite pris ces habitudes, mais voir Eric se faire frapper lui était inacceptable. C’était le meilleur ami qu’il avait eu depuis longtemps, même s’il ne se connaissait que depuis une semaine. Il devait l’aider, et cela passait par une coalition des jeunes de 10 ans.
Durant une semaine après le « sauvetage » d’Eric, les tous jeunes du quartier restèrent ensemble, vigilants. Mais comme rien ne se passa, qu’aucune représaille n’arriva, la nature enfantine reprit rapidement le dessus, d’autant plus insouciante. Martin et ses amis reprirent le contrôle de la rue par leurs jeux et leurs rires.
Cela faisait deux semaines que John avait été mis en déroute ; les jeunes enfants étaient en plein jeu de leur invention, mélange de cache-cache, chasse au trésor et « 1, 2, 3 robinet coule ». Martin savait qu’il allait être en retard pour le repas, ce qui n’était jamais une bonne idée quand son père avait prévu d’être là. Mais il était sûr de savoir où était le troisième trésor, et il voulait absolument le trouver. Il n’avait besoin que de quelques minutes de plus. Martin baissa vivement la tête et s’accroupit derrière une voiture : Greg était au bout de la rue, l’empêchant de traverser sans qu’il ne le voie. Martin sourit quand Greg continua son chemin, lui laissant le champ libre. Il se remit debout et s’apprêta à s’élancer…
Une main serra violemment son épaule, le retournant pour faire face. Martin déglutit. John et trois de ses amis étaient là, souriant méchamment. Trop absorbé par le jeu, il ne les avait pas entendus s’approcher en catimini.
-Tiens, tiens. Qui voilà ?! Le petit meneur de ces crotales de bébés.
-Bébés ?! ne put s’empêcher de s’exlamer Martin. Ces bébés, comme tu dis, ont réussi à te faire détaler !
Il savait qu’il aurait mieux fait de se taire. Le visage de John se fit encore plus méchant.
-Ouais, peut-être, mais maintenant c’est moi qui suis en position de force. Et tu sais ce qu’on fait avec les crotales qui gênent ? On leur coupe la tête !
Martin ne répondit rien, cachant sa peur derrière un regard de défiance.
-Et d’après ce que j’ai vu, c’est toi la tête de tous ces gamins. Quand j’en aurai fini avec toi, plus aucun de tes petits amis n’aura envie de me résister.
John tira violemment Martin en direction d’une voiture noire de sport.
-Ouvre le coffre, Mat !
Il lança un trousseau de clé au dénommé Mat, qui s’exécuta en souriant.
-Ma mère ne va pas utiliser sa voiture avant plusieurs jours. Tu auras l’occasion d’apprécier son confort… Monte !
John poussa Martin vers le coffre, mais ce dernier se mit à ruer, lancer coups de poings et de pieds, mordre, crier… Mais cela ne dura que quelques secondes avant qu’une main ne se plaque contre sa bouche et que des bras le saisissent, le soulèvent et le projettent dans le coffre. Sa tête cogna durement contre quelque chose, il vit le ciel s’effacer, puis les visages hilares des quatre garçons… et ce fut la nuit dans un claquement sec. Le coffre était fermé. La peur et la douleur se liguèrent pour entraîner Martin dans l’inconscience.
Martin se réveilla en sursaut. Il faisait nuit, chaud. Il avait mal à la tête, il transpirait, avait du mal à respirer, il sentait un liquide poisseux (son sang !) couler de son front. Tout lui revint alors en mémoire, et sa respiration se fit encore plus saccadée, la panique envahissant son esprit. Il n’avait jamais aimé les lieux étroits, mais là, c’était un de ses pires cauchemars qu’il était en train de vivre. Il se mit à crier et frapper autour de lui, par panique, sans vraiment penser que quelqu’un puisse l’entendre.
Il ne savait pas depuis combien de temps cela durait. Il ne put jamais dire ensuite ce qu’il se passa exactement. Il ne se souvenait que de flashes : une vive lumière ; des bras qui le saisissent doucement ; des voix qui crient ; une voix douce qui le supplie de respirer calmement, qui lui dit qu’il est sauf maintenant (sa mère, c’est elle !) ; l’ambulance ; l’odeur de l’hôpital.
Quand il revint à la maison deux jours plus tard, John et sa famille avaient déménagé. Bien des années plus tard, Martin comprit que son père avait dû faire pression sur la famille pour qu’ils s’en aillent.
FIN DU FLASH-BACK
Martin sentit l’arrière de son crâne exploser.
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
Bon la première phrase m'a fait grogner parce que j'ai pas envie d'attendre très longtemps une autre suite...
Et puis vient mon Marty... et tu le mets dans une situation bien embarrassante qui laisse penser que ça ne va pas être une partie de plaisir pour lui... à ma plus grande joie...
Mets nous une suite le plus vite possible stp...
Et puis vient mon Marty... et tu le mets dans une situation bien embarrassante qui laisse penser que ça ne va pas être une partie de plaisir pour lui... à ma plus grande joie...
Mets nous une suite le plus vite possible stp...
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Je pensais bien que c'était le genre de situation qui te plairait
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
Rhaaaaaa, je suis fan, je suis fan, je suis, fan surtout de ce genre de passage en plus avec un grand et super Flash Back!!!! Merci
C'est vrai ce que j'adore avec les flash back, c'est l''explication du présent et celui là en est la preuve pure et dure! Martin qui a une angoisse terrible avant de monter dans ce coffre!!! ralalal trop bien mené madame!
Et ces types qui enlèvent Martin qu'est ce que c'est????
Ha oui il y a ce passage qui m'a fait rire:
Oh, la vie ne doit pas être facile, quand on a peur de son patron.
-On le respecte, on connaît les règles et on les accepte. Toi, par contre, je te conseille de le craindre.
-M’étonnerait qu’il soit pire que le mien.
-Tu ne conn
Jack est aussi effrayant que ça???
Super passage grand, avec tout ce qu'il faut à l'intérieur, je demanderais bien du rab moi
Encore,encore,encore
clara- Président des USA
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
aaahhhhlàlà moi je suis une fana total des flash back enfant sur nos cocos et là tu nous as trop gâté !!!! pauvre ti amrtin ...par contre marty chou enlevé my go mais ca va pas dans ta tête
franchement c'est trop top
franchement c'est trop top
Re: Sniper (PG13) (Complète)
j'adore franchement, ce petit retour dans l'enfance de Martin ma laisser tous chose . Nan sérieusement c'était génial bon que Marty se fasse enlever sa c trés triste car y faus pas touchr a mon petit Martin. Aller bonne soirée
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:Je pensais bien que c'était le genre de situation qui te plairait
Oh que oui !!!!
Mais j'attends la suite avec impatience aussi, tu le sais ça ???
Re: Sniper (PG13) (Complète)
@clara:
Quand j'arriverai à écrire la suite, il y aura encore 1-2 flash-back (presque) rien que pour toi
@nathaloche:
@nonie:
@clairounett:
Merci pour vos comm' , désolée si vous pensiez voir une suite et j'espère ne pas vous faire attendre trop longtemps...
Mais c'est qu'on ne serait jamais contente!je demanderais bien du rab moi
Quand j'arriverai à écrire la suite, il y aura encore 1-2 flash-back (presque) rien que pour toi
@nathaloche:
C'est la meilleure qui cause, tiens: est-ce que tu te souviens de toutes les horribles situations dans lesquelles tu mets Danny?!marty chou enlevé my go mais ca va pas dans ta tête
@nonie:
je crains que tu ne vas pas aimer la suite, alorsbon que Marty se fasse enlever sa c trés triste
@clairounett:
Oui oui, je le sais! Mais voilà, sûrement pas le temps d'écrire cette semaine, et là il y a un grand trou blanc devant moi (pire qu'un emmental, ma fic ), en plus il faudra vraiment que je n'oublie rien, c'est un peu compliqué...Mais j'attends la suite avec impatience aussi, tu le sais ça ???
Merci pour vos comm' , désolée si vous pensiez voir une suite et j'espère ne pas vous faire attendre trop longtemps...
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
Alors bon courage et retrouve vite l'inspiration.
Baraboo- Stagiaire au FBI
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
Cela fait un baille que je n'ai pas laisssé de message, et bah moi je dis super ta fic (comme toujours !!!) et puis il faut une suite des que ton inspiration revient !!!!
mamyita- Nouvelle recrue
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Re: Sniper (PG13) (Complète)
mouuuuccchetttettttteeeeee !! alors cette suite ???? toujours pas !! bon on attend alors
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Mouchette a écrit:
@clairounett:Oui oui, je le sais! Mais voilà, sûrement pas le temps d'écrire cette semaine, et là il y a un grand trou blanc devant moi (pire qu'un emmental, ma fic ), en plus il faudra vraiment que je n'oublie rien, c'est un peu compliqué...Mais j'attends la suite avec impatience aussi, tu le sais ça ???
j'adore le coup de l'emmental..
Bon sinon, après une semaine de diète forcée, tu crois que ce week-end ça va être possible ???
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Je vous adore, les filles! Je vous jure que ça me pousse à écrire... Même si ces temps, ben j'ai pas trop le temps... J'espère ne pas vous faire attendre encore trop longtemps.
Mouchette- Directeur Adjoint
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Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Bon, je vous mets le tout petit bout que j'ai pu écrire ce week-end Ça risque de ne pas vous satisfaire, mais c'est sûrement mieux que rien, non?
************************************
Vin sortit soulagé de l’avion. Ils avaient atterri avec presque une heure de retard, l’avion tournant en rond au-dessus de l’aéroport, ne pouvant atterrir pour cause d’un accident sur une des pistes. Vin chercha son frère du regard, mais il ne le vit nulle part. Avait-il dû déjà repartir, à cause de son travail ? Vin alluma son téléphone, et sentit une petite angoisse : il n’avait pas de message, ni d’appel en absence. Ce n’était pas le genre de Martin de ne pas être là où on l’attendait, surtout sans avertissement. Vin était à l’endroit habituel où ils se retrouvaient quand il arrivait à NY. Il cherchait du regard, tenant d’une main son téléphone, se frottant l’arrière de son crâne douloureux de l’autre. Au bout de 5 minutes d’attente, il appela son frère. Mais il n’obtint pas de réponse. 10 minutes plus tard, après un nouvel appel, il décida de prendre les choses autrement. Il fit rapidement un autre numéro, sa main gauche tapant nerveusement sur sa cuisse.
-Taylor.
-Danny, c’est Vin.
-Hey Vin ! Comment ça va ? Martin vous a ramené sain et sauf chez lui ? On se voit ce soir, comme prévu ?… Vin ?
-Martin n’est pas au travail ?
-Euh… Tu veux dire qu’il n’est pas avec toi, là ?
-Non. L’avion a atterri avec une heure de retard, j’attends à l’endroit habituel, mais Martin n’est pas là. Il n’a pas laissé de message et ne répond pas au téléphone. Je pensais qu’il avait dû repartir pour le travail…
Danny sentit l’angoisse dans la voix de Vin. C’est vrai que ce n’était pas le genre de Martin d’être en retard et de ne pas donné de nouvelles. Mais il y avait sûrement une bonne explication… Bien qu’il ne pouvait pas en donner une à l’heure actuelle.
-Ecoute, Vin. Je suis sûr qu’il y a une explication simple à son absence… Est-ce que tu veux que je vienne te chercher à l’aéroport ? On passera ainsi ensemble chez lui.
-Non, je vais prendre un taxi jusque chez Martin, merci. Mais… j’aimerais que tu essaies de le trouver… tu sais… avec les moyens du FBI…
-Vin, tu sais bien que je ne peux pas les utiliser comme ça. Il faudrait vraiment avoir une bonne raison pour tenter de le tracer.
-Une bonne raison… Danny, est-ce que Martin t’a expliqué ce qu’il a ressenti quand je me suis fait tirer dessus et jeter à l’eau ?
-Et bien… oui. Il a dit qu’il avait eu l’impression qu’on lui avait tiré dessus, qu’il était blessé à la tête. Et puis il avait eu terriblement froid… Il affirme qu’il a ressenti ce que toi tu as ressenti, même si c’était en moins violent.
-Et tu l’as cru ?
-… Je… Il paraît que les jumeaux ont parfois des… « connexions » étranges et complexes… Alors… C’est un peu étrange pour moi, mais s’il pense qu’il a vraiment ressenti ça, oui, je le crois.
-Très bien. Alors je vais te dire pourquoi j’angoisse pour une « simple » absence qui pourrait s’expliquer par une centaine de bonnes manières. En fait, je n’angoisse pas seulement parce qu’il n’est pas là, mais aussi parce que je sens une peur étrangère à la mienne, et je sais que c’est celle de Martin. Et ma tête… j’ai mal à l’arrière de mon crâne et je sais que ce n’est pas ma douleur. Ça peut paraître fou ou étrange, mais je sens, je sais que Martin est en danger.
Danny sentit une vague glacée le parcourir. Il ne savait pas pourquoi ni comment les deux jumeaux pouvaient ressentir de telles choses, mais il leur faisait assez confiance pour les croire sur parole. Même si dans le cas présent, c’était très inquiétant.
-Ok… Je mets Vivian sur le coup ici au bureau, et toi et moi on se retrouve à l’appartement de Martin.
-Merci, Danny.
************************************
Vin sortit soulagé de l’avion. Ils avaient atterri avec presque une heure de retard, l’avion tournant en rond au-dessus de l’aéroport, ne pouvant atterrir pour cause d’un accident sur une des pistes. Vin chercha son frère du regard, mais il ne le vit nulle part. Avait-il dû déjà repartir, à cause de son travail ? Vin alluma son téléphone, et sentit une petite angoisse : il n’avait pas de message, ni d’appel en absence. Ce n’était pas le genre de Martin de ne pas être là où on l’attendait, surtout sans avertissement. Vin était à l’endroit habituel où ils se retrouvaient quand il arrivait à NY. Il cherchait du regard, tenant d’une main son téléphone, se frottant l’arrière de son crâne douloureux de l’autre. Au bout de 5 minutes d’attente, il appela son frère. Mais il n’obtint pas de réponse. 10 minutes plus tard, après un nouvel appel, il décida de prendre les choses autrement. Il fit rapidement un autre numéro, sa main gauche tapant nerveusement sur sa cuisse.
-Taylor.
-Danny, c’est Vin.
-Hey Vin ! Comment ça va ? Martin vous a ramené sain et sauf chez lui ? On se voit ce soir, comme prévu ?… Vin ?
-Martin n’est pas au travail ?
-Euh… Tu veux dire qu’il n’est pas avec toi, là ?
-Non. L’avion a atterri avec une heure de retard, j’attends à l’endroit habituel, mais Martin n’est pas là. Il n’a pas laissé de message et ne répond pas au téléphone. Je pensais qu’il avait dû repartir pour le travail…
Danny sentit l’angoisse dans la voix de Vin. C’est vrai que ce n’était pas le genre de Martin d’être en retard et de ne pas donné de nouvelles. Mais il y avait sûrement une bonne explication… Bien qu’il ne pouvait pas en donner une à l’heure actuelle.
-Ecoute, Vin. Je suis sûr qu’il y a une explication simple à son absence… Est-ce que tu veux que je vienne te chercher à l’aéroport ? On passera ainsi ensemble chez lui.
-Non, je vais prendre un taxi jusque chez Martin, merci. Mais… j’aimerais que tu essaies de le trouver… tu sais… avec les moyens du FBI…
-Vin, tu sais bien que je ne peux pas les utiliser comme ça. Il faudrait vraiment avoir une bonne raison pour tenter de le tracer.
-Une bonne raison… Danny, est-ce que Martin t’a expliqué ce qu’il a ressenti quand je me suis fait tirer dessus et jeter à l’eau ?
-Et bien… oui. Il a dit qu’il avait eu l’impression qu’on lui avait tiré dessus, qu’il était blessé à la tête. Et puis il avait eu terriblement froid… Il affirme qu’il a ressenti ce que toi tu as ressenti, même si c’était en moins violent.
-Et tu l’as cru ?
-… Je… Il paraît que les jumeaux ont parfois des… « connexions » étranges et complexes… Alors… C’est un peu étrange pour moi, mais s’il pense qu’il a vraiment ressenti ça, oui, je le crois.
-Très bien. Alors je vais te dire pourquoi j’angoisse pour une « simple » absence qui pourrait s’expliquer par une centaine de bonnes manières. En fait, je n’angoisse pas seulement parce qu’il n’est pas là, mais aussi parce que je sens une peur étrangère à la mienne, et je sais que c’est celle de Martin. Et ma tête… j’ai mal à l’arrière de mon crâne et je sais que ce n’est pas ma douleur. Ça peut paraître fou ou étrange, mais je sens, je sais que Martin est en danger.
Danny sentit une vague glacée le parcourir. Il ne savait pas pourquoi ni comment les deux jumeaux pouvaient ressentir de telles choses, mais il leur faisait assez confiance pour les croire sur parole. Même si dans le cas présent, c’était très inquiétant.
-Ok… Je mets Vivian sur le coup ici au bureau, et toi et moi on se retrouve à l’appartement de Martin.
-Merci, Danny.
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Tu veux devenir la reine du suspens et de l'angoisse toi non?
Parce que là tu es sur la bonne voie
C'est pas possible, il est où martin? qu'est ce qu'il fait???
J'ai adoré ce petit passage Vin/Danny merci madame
Encore,encore,encore
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
Age : 44
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
clara a écrit:
Tu veux devenir la reine du suspens et de l'angoisse toi non?
Parce que là tu es sur la bonne voie
C'est pas possible, il est où martin? qu'est ce qu'il fait???
J'ai adoré ce petit passage Vin/Danny merci madame
Encore,encore,encore
Reine du suspens et de l'angoisse? ça va être dur avec certaines d'entre vous qui êtes bien pires (enfin, meilleures) que moi!
Où est Martin?! Ben, à mon avis, dans le coffre d'une voiture! (désolée, pas pu m'en empêcher )
Service madame
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Sniper (PG13) (Complète)
J'adore franchemet courtes mais génial. Hé Marty j'espére qu'il va bien...
Bon courage pour la suite
Bon courage pour la suite
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Quel humour Mouchette !!!
Bon sinon, très contente de t'avoir lue, et puis tu mets un peu de piment, alors tout va bien...
Bon maintenant, on attend la suite mais tu le sais déjà..
Bon sinon, très contente de t'avoir lue, et puis tu mets un peu de piment, alors tout va bien...
Bon maintenant, on attend la suite mais tu le sais déjà..
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Vin qui ressent la douleur de Martin! Pauvre Martin, heureusement pour lui l'équipe Vin & Danny est en route! J'espère savoir rapidement se qui se passe dans la tête de Martin!
Pandi- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 222
Age : 50
Localisation : Québec
Date d'inscription : 07/04/2008
Re: Sniper (PG13) (Complète)
Je viens de me faire 13 pages de ... lectures
On va faire court...
Danny + morphine = attention un monstre shooté débarque (je rigole)
Au moins, Jack a trouvé son moyen de pression
Vin et Martin sont so cute en frères jumeaux
Le pauvre Martin, le fais pas trop souffrir, maman t'en conjure
On va faire court...
Danny + morphine = attention un monstre shooté débarque (je rigole)
Au moins, Jack a trouvé son moyen de pression
Vin et Martin sont so cute en frères jumeaux
Le pauvre Martin, le fais pas trop souffrir, maman t'en conjure
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