Fanfic M7 - (G) - Aller de l'avant [Terminée]

mimi a écrit:

Mouchette a écrit:Pour moi, c'est même pas une question de temps, mais je n'arrive pas à faire ce que je veux avec une scène, et ça commence à m'énerver

Keep cool baby. Moi aussi je bloque sur le final de mon shot...Auraient-ont toute quelque chose en tête qui nous perturbe ces temps-ci ?

**soupir**

Tiens, pour changer les idées, je lirais bien une suite de clairounett Ok, je

Merci à toutes les deux d'être si patientes, voilà une suite...

A vous deux : héhé, toutes trois bloquées en même temps, comme vous dites, ça ne peut pas être qu'une coÏncidence..

Pour le reste, je suis désolée, j'ai pas le temps en ce moment, c'est la faute aux mômes, ils me fatiguent... Non je déconne, je suis surtout bien occupée..

J'espère que cela vous plaira, c'est pas relu..

***********************


Plus tard.

Des secousses tirèrent brusquement Chris de son sommeil.

« Qu’est-ce qui se passe ? » demanda Chris en se relevant dans son lit.

Martin, qui venait de monter sur le lit, sursauta et pris ses jambes à son cou.

« Attends, ne pars pas, je ne voulais pas te faire peur. »

Martin fit alors demi-tour et revint doucement vers Chris.

« Tu t’appelles comment ? »

« Martin » dit l’enfant intimidé.

« Moi, c’est … »

« Chris » finit Martin sous les yeux médusés de Chris.

« Mais comment tu sais ça ? » demanda Chris, intrigué.

« C’est Buck qui me l’a dit. » avoua l’enfant en rougissant.

« Buck ? »

« Ben oui… »

Un silence stoppa la discussion entre Chris et Martin. Chris posa sa tête dans ses mains, se sentant soudainement faible.

« Chris ? Pourquoi tu ne parles plus ? Tu es fâché ?

« Non, non. Tout va bien. » dit-il en relevant la tête. Il tenta de faire bonne figure mais cela n’échappa pas au petit Martin.

« Tu veux que j’appelle le Docteur ? » demanda l’enfant en posant sa main sur Chris.

« Non merci, ça ira. »

« Mais tu es tout blanc, tu me fais un peu peur comme ça tu sais. »

« C’est vrai ? » dit Chris en scrutant les alentours. « Alors comme ça, tu connais mes amis ? »

« Oh oui ! Ils sont gentils. »

« Et tu sais où ils sont ? » demanda Chris, luttant contre ses vertiges.

« Oui, ils sont dehors. »

« Tu pourrais aller les chercher ? »

« Ben non, parce que je n’ai pas le droit de sortir tout seul. »

« C’est vrai, je suis idiot. »

« Je vais chercher une infirmière alors ? »

« Qui ? »

« Une infirmière. »

« C’est qui une infirmière ? »

« C’est la dame en blanc. Tu sais, celle qui soigne les bobos. »

Chris fit signe à Martin qu’il était d’accord puis se rallongea, espérant que la tête lui tournerait moins, mais rien n’y changea.
Rapidement, Martin revint accompagné d’une femme, toute vêtue de blanc.

« Vous ne vous sentez pas bien Monsieur Larabee ? »

« Non, je… j’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes. »

« Avez-vous bu ou mangé quelque chose depuis que vous êtes réveillé ? »

« Non, enfin pas à mon souvenir. »

« D’accord, ne faites surtout aucun effort, je vais vous chercher à manger. »

« Mais je n’ai pas faim. »

« Cela arrive souvent dans ces cas là, mais je suis quasiment certaine de ce qui vous arrive. »

« Si vous le dites. »

« Je le dis »

L’infirmière lui sourit et se dirigea vers Martin pour lui parler à l’oreille, puis elle partit rapidement à la recherche de nourriture pour Chris.

« Qu’est-ce qu’elle t’a dit ? » demanda Chris à Martin qui s’approchait du lit.

« Elle m’a dit qu’il fallait pas que tu te rendormes, alors il faut que je te parle. » répondit en souriant le garçonnet.

La bonne humeur de Martin était communicative et, Chris, malgré son état, se força à rester éveillé pour parler avec l’enfant.

Lorsque l’infirmière revint, elle trouva Martin assis sur le lit de Chris, en train de lui parler. A la demande de l’infirmière, Martin les laissa tous les deux à contrecoeur. Elle releva Chris avec des coussins, puis commença à préparer les aliments. D’abord réticent à l’idée d’être dépendant au point qu’une infirmière l’aide à manger, il se rendit compte que son corps ne lui répondait presque plus et ne broncha pas. Voyant son malaise, l’infirmière su trouver les mots pour le rassurer quant à son état de santé, lui expliquant qu’il devait accepter l’aide des autres quelques temps, même si c’était difficile à vivre.

Une fois son repas avalé, l’infirmière laissa Chris se reposer. Une heure plus tard, il se réveilla et découvrit Martin suçant son pouce près de lui. Celui-ci sortait tout juste de sa sieste, et Chris jeta un regard attendri à l’enfant avant de l’inviter à s’asseoir sur son lit. Ils parlèrent un long moment tous les deux, oubliant ce qui se passait autour d’eux, et ne virent pas les trois hommes dans le couloir qui les observaient discrètement.


******************
A suivre..

Et comment, que ça me plaît! Passage tout mignon, avec un petit Martin que je n'ai aucun mal à imaginer

et découvrit Martin suçant son pouce près de lui.

Hihi, c'est mignon comme tout!

ne virent pas les trois hommes dans le couloir qui les observaient discrètement

Ils doivent se sentir rassurés, de voir que Chris est si à l'aise avec le petit Martin.

Je me demande où tu vas nous emmener et si Martin et Chris vont rester ensemble...

AHAH Mimi that is the question..

@ Mouchette : tu crois vraiment que ce sont nos amis qui surveillent Chris et Martin ??? Je serai toi je me méfierai... c'est étonnant que tu sois si confiante, d'habitude t'es plutôt en train de te demander ce que j'ai encore fait pour le faire souffrir..
Ok ok, alors en voilà plus sur ces trois mystérieux hommes :

Spoiler:

Moi qui voulais rester confiante et optimiste, pour une fois Mais j'avais à peine fini de taper cette phrase que je me suis bien doutée que tu allais réagir... exprès pour me faire douter
Mais non, je reste persuadée jusqu'au bout que ce sont ses amis! Et plus tu tardes à poster la suite, plus je resterai confiante! (on y croit, on y croit)

Quant à ton spoiler...: je crois que je ne vais aller poster un message dans ma fic... mais sans mettre de suite (qui est prête) Na!

Bon, ok, ce ne sont que des paroles en l'air, je sais que je ne vais pas pouvoir mettre ma menace à exécution...

Même punition que pour M'ame Mouchette...

On peut compter sur une petite suite bientôt ? ( tu as vu...j'ai mis petite hein... )

mimi a écrit:Même punition que pour M'ame Mouchette...

On peut compter sur une petite suite bientôt ? ( tu as vu...j'ai mis petite hein... )

C'est quoi, ma punition?! Faut que j'aille voir ça sur le champ... Quoi qu'il en soit, je suis sûre que je suis d'accord avec la punition de mimi en ce qui concerne clairounett... Mais pas sûre d'être d'accord en ce qui me concerne

EDIT: ok, si j'ai bien compris, la punition est simplement la demande

J'avais complètement oublié que j'avais une fic....



Faut que je m'y remette on dirait...

En tout cas, merci à mes deux lectrices pour tous les petits mots..

La revoilou !!!

clairounett a écrit:J'avais complètement oublié que j'avais une fic....

Oublié?! Allez, au boulot!

Oh la la la la, que j'ai honte...

Bon voilà une longue suite pour mes deux lectrices, avec toutes mes excuses pour l'abandon dont vous avez été victimes...

Et j'en profite pour vous souhaiter de Joyeuses Fêtes si on ne se reparle pas d'ici là...

Et vive les M7 (à poil Chris !!! oui euh, vous avez vu l'heure, je suis toute excusée..)

Bon sinon, c'est pas relu, donc...

**********************************

Les hommes finirent par entrer dans la pièce, approchant de Chris et Martin, le sourire aux lèvres.
Alors que Martin quittait la pièce sentant qu’il était de trop, Vin lança la discussion.

« Vous avez été longtemps à vous parler tous les deux. »

« C’était intéressant » répondit Chris, sur ses gardes.

« De quoi peut te parler un enfant de trois ans ? »

« Il est très éveillé, mais il se pose des questions qui ne devraient même pas lui effleurer l’esprit à son âge. »

« Il t’a raconté son histoire ? »

Chris hocha la tête pour toute réponse.

« Et ? »

« Et aucun enfant ne devrait vivre ce genre de choses. »

« Comme aucun parent ne devrait perdre son enfant et la personne qu’il aime. »

Vin regretta aussitôt sa phrase, voyant qu’il n’avait fait que mettre Chris sur la défensive. Mais Nathan vola rapidement à son secours en relançant la discussion.

« Tu sais que depuis que tu es là, il vient régulièrement te voir ? »

« Il me l’a dit. » répondit Chris, sceptique.

« Il y a quelque chose entre vous deux, le gamin ne vient que pour toi. »

« Je dois lui rappeler son père c’est tout. »

« Je ne crois pas Chris, on sent que tu l’attires. »

« Mais je ne fais rien pour qu’il vienne vers moi.. » s’indigna Chris.

« Ce n’est pas ce que je voulais dire, tu n’y es pour rien, mais on a l’impression qu’il y a une force invisible qui le pousse vers toi. Comme si c’était évident que vous soyez ensemble. »

« Et pourquoi ce serait évident qu’on se retrouve ensemble ?? Parce qu’il est orphelin et que moi je suis un paumé ? »

« Dis pas ça Chris, tu sais très bien que ce n’est pas ce que Nathan a voulu dire. » dit Vin.

« Vous le pensez tous, arrêtez de faire vos lèche-bottes… » grogna Chris.

« Tu sais quoi Chris, tu nous fatigue à toujours de plaindre ! » rétorqua Buck.

« Mais c’est vous qui êtes sans arrêt en train de me parler de choses que j’aimerai oublier. »

« Mais vous n’allez pas remettre ça sur le tapis tous les deux » gémit Nathan.

« Ne joue pas avec les sentiments du gosse Chris, ni avec les tiens. » le prévint Buck en sortant brusquement, laissant les trois hommes dans un silence pesant. Et une nouvelle fois, Chris se renferma sur lui, le regard empli de mélancolie. Nathan et Vin ne purent que constater que l'état de Chris n'allait pas en s'améliorant.


************

Deux jours s’étaient écoulés, Chris était toujours en soins en compagnie de ses amis et du petit Martin, mais le départ était imminent et une question restait omniprésente dans les pensées de chacun.

Le médecin fut le premier à parler ouvertement du problème qui viendrait à se poser.

« Vous allez partir sous peu, et je m’aperçois que le petit Martin a commencé à tisser des liens avec vous, particulièrement forts en ce qui concerne Monsieur Larabee, même si c’est Martin qui le souhaite le plus. Il a vécu des choses terribles, je ne veux pas qu’il revive cela et je sens que notre situation va se terminer par une séparation douloureuse. Il est hors de question de lui faire subir ça. »

« Je suppose que vous avez quelque chose à nous proposer. »

« Oui… »

« Dites. » répondit Nathan. Il regarda discrètement Chris, scrutant ses réactions, mais celui-ci le surprit et détourna le regard pour tenter de cacher son malaise.

Le médecin parla sans détours :
« Voulez-vous donner une deuxième chance à Martin d’avoir une famille ? »

Chris sentit son cœur rater un battement en entendant la demande formulée par le médecin. Il avait encore la bouche entrouverte de surprise quand tous se tournèrent vers lui.

« Quoi ? » dit Chris en haussant les épaules, pour tenter de leur faire croire que cette histoire ne l’intéressait pas.

« Admettons qu’on l’emmène, on fait quoi ensuite ? » demanda Buck au médecin.

« On peut faire des papiers pour que Martin soit sous la responsabilité de l’un d’entre-vous, jusqu’à sa majorité. Il n’a plus de famille, je ne peux pas le garder éternellement dans mes murs, il finira dans un orphelinat. »

« Vous voulez que l’on devienne ses parents d’adoption ? » comprit Nathan.

« C’est à ça que je pense. Si vous êtes d’accord bien entendu. Je connais bien Mary, votre amie, et je sais que dans votre village, Martin sera entre de bonnes mains. Et sans attendre la question qui vous brûle les lèvres, je pense que Monsieur Larabee est la personne idéale pour cet enfant… Maintenant que vous avez mon avis, je vous laisse et j’attends votre réponse concernant cette proposition. »

Nathan, Vin et Buck laissèrent le temps à Chris d’encaisser les paroles du médecin. Les yeux fixant au loin un point invisible, Chris semblait perdu dans ses pensées, tiraillé par des sentiments contradictoires : l’envie d’en finir avec la vie, l’envie d’être seul, mais aussi cette petite lueur d’espoir qui renaît en lui lorsqu’il croise le regard de Martin.

S’apercevant que Chris l'esprit torturé, Vin relança le débat.

« Tu en penses quoi Chris de cette proposition ? »

Mais face à une situation qu’il ne maîtrisait pas, et pris au dépourvu par son ami, Chris se braqua et n’écoutant à présent que son orgueil d’homme meurtri, il répondit sèchement :
« Tout ça c’est pas une vie pour moi, vous faîtes ce que vous voulez du gosse. »

« Ecoute Chris, prends le temps de récupérer de ta blessure, de connaître cet enfant, de réfléchir à ce que tu veux vraiment faire de ta vie…. avec lui, et puis tu es toujours notre chef non ? »

« Je ne suis jamais là, et quand je suis là on ne peut pas dire que ce soit sans danger pour un gamin d’être à mes côtés. Que voulez-vous que je fasse d’un enfant ? »

« Tu vas t’en occuper, lui apprendre des tas de choses… » tente Buck qui a trouvé une faille dans le discours négatif de son ami.

« Et je fais quoi moi si je ne suis pas capable de l’élever ce gosse ? » s’énerva Chris. « Je l’abandonne ?? »

« Depuis quand tu n’es pas capable d’élever un enfant ? »

« Depuis que le mien est mort !!! » balança Chris, les larmes aux yeux, le corps pris de tremblements.

De longues minutes d’un silence pesant s’installèrent, pendant que Chris tentait de se calmer et de lutter contre ce corps qu’il n’arrivait pas à contrôler. Les personnes présentes restaient figées devant la révélation inhabituelle des sentiments de Chris et par la violence des derniers mots employés.

« Vous ne croyez pas qu’il a assez souffert ce môme pour hériter d’un mec aigri comme moi ? Je n’ai rien à lui offrir à ce gosse » reprit enfin Chris dans un murmure lorsqu’il se fut remis assis sur son lit, se passant les mains sur le visage.

« Tu peux lui apporter plein de choses, tu as une maison, il aura des tontons, un copain, de l’amour… » essaya Nathan.

« Ne prononce plus jamais ce mot en ma présence. » le coupa Chris qui avait repris de l'assurance. « Il n’a plus de signification pour moi depuis longtemps. »

« Chris ne dis pas ça, tu as revu des femmes depuis la mort de Sarah » tenta Buck.

« Désolé mais coucher avec une femme, ça ne veut pas dire qu’il y ait de l’amour, vous le savez autant que moi.»

« Ok ok t’as raison. Je me suis emballé. Mais quand même, il te fait un petit quelque chose Martin, tu ne peux pas nier ça. »

« Oui il me fait quelque chose, comme tous les enfants. »

« Comme tous les enfants, oui, mais franchement, je pense que c’est un signe, cet enfant n’est pas là par hasard. Il est venu directement vers toi alors que tu étais inconscient, il ne demande qu’une chose, c’est que tu le prennes sous ton aile. Tu aurais dû mourir de cette infection, pourtant tu es là. Tu ne crois pas que ça fait beaucoup de coïncidences ? »

« Non. » répond Chris qui n’a justement pas envie de réfléchir à toutes ces coïncidences.

Vin sentant que la réponse était trop rapide pour être franche, décida de jouer sur la corde sensible de Chris.

« On t’a observé des derniers temps Chris, que tu le veuilles ou non. On sait que tu essaies de nous cacher ce que tu ressens. Et pour nous Martin est actuellement la seule personne qui te donne encore le goût de vivre, nous on a réussi auparavant mais tu le sais autant que nous, on n’arrive plus à combler ce vide immense qu’il y a au fond de toi. On est amis et on le restera toujours, mais il te faut à présent plus que tes amis que nous sommes. Et moins d’alcool, parce que ça n’arrange rien à ta douleur, au contraire. »

« Chris, tu as encore un peu plus d’une journée pour y réfléchir. » continua Nathan.

« J’ai réfléchi et c’est non. » dit Chris, sous le regard médusé de ses trois compagnons qui ne s’attendaient pas à une réponse aussi rapide, et de surcroît négative.

« Alors c’est vrai, tu ne veux pas de moi ? »

Chris sursauta et se retourna vivement vers la petite voix qui venait de prononcer ces mots, et ne croisa que le regard blessé du petit Martin.

Buck déçu que Chris ne réponde pas, se lança à la poursuite de l’enfant qui était parti en courant.

Une demi-heure plus tard, alors que tout le monde était sorti, Buck revint avec Martin dans ses bras, endormi.

« J’ai eu du mal à le calmer…T’imagines même pas le mal que tu lui a fait à cet enfant. »

« Mais je n’ai rien demandé ! » rétorqua Chris à nouveau tendu.

« Tu connaissais son histoire, et tu n’as rien fait pour l’empêcher de s’attacher à toi. Ca veut dire que quelque part, tu as envie d’aider ce môme. »

« Fous moi la paix Buck. » lui lança Chris dans un regard noir.

« Tu sais quoi ? Tu vas lui annoncer ta décision quand il se réveillera !

Buck, furieux, déposa alors l’enfant endormi sur le lit de Chris et sortit de la pièce, laissant Chris une nouvelle fois seul.

Mais contrairement aux autres fois où la solitude lui avait fait du bien, un mélange d’images se mit à défiler dans l’esprit de Chris, l’empêchant de réfléchir : Sarah et Adam lui souriant, ses amis, des flammes, sa maison détruite, les deux tombes avec cette douleur qu’il connaissait tant, et puis ses amis une nouvelle fois, et enfin Martin, Martin dans une maison en flammes. Martin qui allait mourir s’il ne faisait pas quelque chose pour le sauver. Toutes ces images le terrifiaient, au bout d’un moment, Chris sentit qu’il ne distinguait plus le réel de son imaginaire, la peur se mélangeant à la tristesse et à une douleur qu’il ne savait plus si elle était morale ou physique. Il se laissa emporter par l’angoisse qui s’insinuait de plus en plus en lui avec la sensation de devenir fou et de ne plus rien contrôler. Finalement sans s’en rendre compte, il attira l’attention autour de lui par son agitation. Enfin, il sentit une présence auprès de lui et quelque chose de piquant entrer dans son avant-bras, libérant une substance froide dans ses veines et toutes ces images finirent par disparaître dans le noir, lui laissant juste le temps de lâcher un gémissement du bout des lèvres.

« Non… »


************
Mon pauvre chouchou... J'espère qu'il n'y a pas trop de Chris pour vous, mais vous étiez prévenues..

Merci pour cette longue suite qui arrive à point nommé avant que je parte...

Mais je n'aurais qu'une chose à dire : Quelle tête de mule ce Chris !!!

Tout le monde se met en 4 pour l'aider et Môssieur fait la tête...

J'te jure, y'en a un qui mériterait une bonne fessée...

Je veux bien lui donner la fessée alors.. Je te laisse Vin..

Plus sérieusement, je pense que Chris dans ma fic est tellement meurtri qu'il n'arrive plus à discerner ce qui est bon pour lui (la présence de ses amis, le petit Martin...) de ses pensées négatives... Il refoule tout ce qu'il apprécie et s'isole de plus en plus... et je ne pense pas que ses amis s'y prennent bien avec lui (lol, la fille qui cherche les embrouilles dans sa fic), car ils finissent toujours par se prendre la tête.. du coup ils sont impuissants face à la situation de Chris, et Chris continue de s'enfoncer dans sa spirale négative... et je pense que c'est aussi comme ça dans la vraie vie, malgré notre bonne volonté à faire bien, on fait des erreurs... Pour moi, Chris est défendable bien qu'un peu tête de mule comme tu le dis, en tout cas j'ai envie de le prendre dans mes bras pour le consoler.. (je sais je suis un peu dérangée comme fille)

J'attends la réaction de Mouchette, savoir si elle pense comme toi, ou si elle est un peu d'accord avec ce que je veux faire passer.. ou si elle est d'accord avec nous deux.. Mais il est vrai qu'on ne réagit pas toutes de la même façon face à une lecture, surtout que toi tu lis et moi j'écris, et puis on n'a pas les mêmes chouchous alors..

Je suis d'accord, Chris est une vraie tête de mule! Mais je suis aussi d'accord que les autres ne s'y prennent pas spécialement bien. Et je trouve encore qu'ils ont tous des circonstances atténuantes!

J'étais vraiment contente de voir que tu avais enfin posté une suite à ta fic, et encore plus contente en voyant la longueur de cette suite!
Beaucoup de Chris, mais c'est normal puisque c'est ton chouchou Et puis, je l'aime bien aussi, donc tout va bien (mais il me semble que ça fait longtemps que tu ne l'as plus déshabillé, non? )
J'espère que Chris va se reprendre assez vite, qu'il va accepter de prendre le petit Martin ( ) avec lui, et pas trop tard!

Tu as bien sûr prévu une suite pour tout bientôt, hein?

Mouchette a écrit:Je suis d'accord, Chris est une vraie tête de mule! Mais je suis aussi d'accord que les autres ne s'y prennent pas spécialement bien. Et je trouve encore qu'ils ont tous des circonstances atténuantes!

J'étais vraiment contente de voir que tu avais enfin posté une suite à ta fic, et encore plus contente en voyant la longueur de cette suite!
Beaucoup de Chris, mais c'est normal puisque c'est ton chouchou Et puis, je l'aime bien aussi, donc tout va bien (mais il me semble que ça fait longtemps que tu ne l'as plus déshabillé, non? )
J'espère que Chris va se reprendre assez vite, qu'il va accepter de prendre le petit Martin ( ) avec lui, et pas trop tard!

Tu as bien sûr prévu une suite pour tout bientôt, hein?

pour l'ensemble de ton oeuvre...

Oui oui, ils ont tous des circonstances atténuantes..

C'est vrai, ça fait longtemps qu'on l'a pas vu à poil le chouchou, dis-donc c'est quoi cette demande de le mettre encore à poil ??? Mais je ne vois pas trop comment l'intégrer à poil dans la suite (et bientôt fin) de ma fic..

Bon fini de taper la discute, voilà une petite suite :

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Dans la soirée, Chris était toujours sous l’effet des drogues qu’on lui avait injecté, le médecin tenu au courant de ce qui s’était passé, alerta Nathan, Vin et Buck, et leur indiqua qu’ils avaient trouvé Chris en pleine crise d’angoisse et qu’ils avaient dû avoir recourt à la manière forte pour le soulager.

« Il a refusé le contact de l’enfant, ce n’est pas très bon. » constata le médecin.

« Il va changer d’avis, c’est une tête de mule qui refuse d’exprimer ce qu’il ressent depuis la mort de sa femme et de son fils, mais il s’est attaché à ce môme, il ne veut juste pas l’admettre. »

« Je veux bien vous croire Monsieur Wilmington, mais on court droit à la catastrophe si cela ne marche pas, on ne peut pas se permettre de faire subir une nouvelle séparation au petit Martin. Moi je suis pour qu’il parte avec vous, mais vous devez me promettre que cet enfant sera bien entouré. »

« Il le sera, et si ce n’est pas avec Chris, ce sera avec nous autres, et je m’en porte garant. » promit Buck.

« Très bien » répondit le médecin en serrant la main de chaque homme. « Je vais annoncer la nouvelle à Martin. »



Deux jours plus tard, les mercenaires étaient enfin de retour à leur village, ils avaient évité de croiser des bandits sur leur chemin grâce aux qualités d’éclaireur de Vin. En temps normal, ils n’auraient pas hésité à se confronter à eux, mais avec Chris convalescent et Buck qui s’occupait du petit Martin, il valait mieux jouer la carte de la sagesse. L’enfant découvrait émerveillé un nouvel univers, passant son temps entre la diligence où il passait un peu de temps avec Chris, et le cheval de Buck. Chris se faisait petit à petit à l’idée que Martin faisait dorénavant parti des leurs, il avait fait des efforts depuis sa dispute avec ses amis, et Martin profitait de cette accalmie pour passer de bons moments en sa compagnie. L’enfant dormait à présent bien mieux depuis qu’il se lovait dans les bras musclés de Chris, même si celui-ci était encore faible.

La nouvelle de leur arrivée imminente les avait précédé, grâce au télégraphe reçu par Mary, mais les gens restaient méfiants au passage de la diligence, ne voyant pas Chris parmi les hommes qui revenaient. La rumeur commençait à se répandre que Chris Larabee ne récupérerait pas tous ses moyens malgré le discours rassurant de ses amis. Pendant leur absence, le village avait été la cible de plusieurs attaques, et même si Josh, Ezra et JD les avaient admirablement repoussées aidés par d’autres villageois, tout le monde commençait à penser que le village n’était plus sûr et les moins téméraires avaient déjà plié bagages. Mais le plus étonnant pour eux était de découvrir cet enfant monté sur le cheval de Buck. Celui-ci se rendit compte qu’il était la cible de nombreux questionnements en voyant les gens parler tout bas et le regarder à la dérobée, et il se dissimula le plus possible dans les bras de Buck, qui, attentif au petit garçon, lui cacha le visage avec sa main. Les hommes avaient tout organisé depuis la veille et c’est d’un pas décidé qu’ils allèrent directement dans la chambre médicale de Nathan, afin d’emmener Chris dans un endroit calme et où Martin pourrait venir à sa guise. Vin et Ezra portèrent Chris tandis que Buck avait Martin dans ses bras et lui expliquait certaines choses. Il installa rapidement une couchette pour Martin auprès du lit où Chris venait d’être installé, et tous les laissèrent se reposer de leur long voyage. Mary les avait rejoint au saloon, Nathan, Vin et Buck firent le récit de leur voyage et expliquèrent la présence de Martin. Ils prirent soin d’omettre certains détails concernant Chris pour ne pas inquiéter Mary.

Il fallu encore une semaine à Chris pour retrouver toutes ses forces et sortir enfin dehors. Il ne vit pas beaucoup Martin pendant cette période, Buck, avec son accord, emmenait régulièrement l’enfant en dehors du village pour l’éloigner de toute l’agitation qui se créait autour de sa présence. Chris avait senti que Martin ne se sentait pas bien et malgré les protestations et les pleurs de l’enfant, ils pensaient tous que c’était la meilleure solution. Et puis Martin s’y était fait, acceptant la situation comme elle était, et il avait fait la connaissance de Billy qui était vite devenu son ami. De son côté, Chris prenait le temps de réfléchir, comme le lui avaient demandé ses amis au sujet de Martin. Mais il finissait toujours par la même conclusion : il ne pouvait pas garder Martin auprès de lui. Il n’y arriverait jamais...

******************

Désolée, c'est court, mais c'était le meilleur moment pour couper l'histoire...
Allez à la prochaine !!

C'est court, mais ça me rassasie... pour un petit moment

dans les bras musclés de Chris

No comment!

ils avaient évité de croiser des bandits sur leur chemin grâce aux qualités d’éclaireur de Vin

Il est fort, mon Vin!

Mais il finissait toujours par la même conclusion : il ne pouvait pas garder Martin auprès de lui. Il n’y arriverait jamais...

Il va finir par m'énerver, ton Chris! Non mais, qu'il se bouge les (belles) fesses, et qu'il accepte ce gosse! Oups, je m'énerve, là Allez, je compte sur toi pour qu'il agisse bien!
Vivement la suite... cette année encore!

Tout pareil que ma coupine Mercenaire

Mais bon, attention Chris... Si tu te décides pas bientôt à prendre sous ton aile le petit Martin...m'en vais te botter tes six heures... ( et pour ça...attention...faudra tomber le pantalon... )

mimi a écrit:m'en vais te botter tes six heures... ( et pour ça...attention...faudra tomber le pantalon... )

Je connaissais pas cette expression... et toujours cette histoire de le foutre à poil.. rooo les filles..

Bon sinon merci mes deux fidèles lectrices, déjà de continuer à me lire, et puis de mettre des commentaires toujours aussi sympas..

J'essaie de vous faire attendre le moins possible pour la suite..

Quelques heures d'attente entre deux suites, ça faisait un bail....

allez bonne lecture.. on arrive à la fin...

******************

Les jours passant, il sentait que ce questionnement éternel était en train de l’étouffer et ses premiers pas au grand air lui firent un bien fou. Mais bien vite, il se rendit compte que les gens le regardaient d’un air suspicieux. Vin remarqua que le comportement de Chris était en train de changer et il lui trouva un endroit calme et à l’abri des regards indiscrets pour qu’il récupère de ses efforts. En effet, la marche qu’ils avaient faite, bien que courte, l’avait considérablement fatigué.

« J’aimerai rentrer. » demanda Chris.

« On va rentrer si tu le souhaites, mais je veux que tu récupères un peu avant. Ça marche ? »

« Oui… » soupira Chris.

« Qu’est-ce qui t’arrive Chris ? Il y a autre chose que la fatigue qui te tracasse ? »

« Je ne me sens pas à l’aise ici, c’est désagréable d’être sans arrêt dévisagé. J’ai l’impression d’être une bête de foire. »

« Ils sont inquiets plus que méchants, ne t’en fais pas pour ça, tu es apprécié ici et tu le sais, ça va leur passer. »

« J’espère, parce qu’ils font aussi du mal au gosse, et ça je supporte pas. » dit Chris en grinçant des dents.

« J’aime bien quand tu réagis comme ça, je retrouve le Chris que je connais.. »

Chris sourit pour la première fois depuis longtemps.

« Je me sens mieux depuis que je suis rentré, c’est un peu grâce à vous.. »

Chris fit une pause dans son discours.

« Et je suis désolé de tout ce qui est arrivé. » finit-il en baissant les yeux.

« Chris, ce qui s’est passé est malheureux mais c’est déjà du passé. On n’a pas su voir que tu allais si mal, et je crois que ça nous a servi à tous de leçon, à présent on fera plus attention à ceux qui nous entourent. Tous, y compris les durs à cuire comme toi. Par contre je prends note de ta phrase et je la dirais aux autres, car je suis pas certain qu’elle sorte une deuxième fois de ta bouche, te connaissant ça a dû te coûter pas mal d’orgueil.. »




Deux semaines après les excuses de Chris à Vin, la vie avait repris son cours normalement dans le village des mercenaires. Chris, totalement rétabli, passait de longs moments avec ses amis et Martin, leur joie de vivre était évidente, et malgré certaines réflexions déplacées, les gens avaient accepté que Chris prenne du recul par rapport à son rôle dans le village pour se consacrer à sa nouvelle vie. Car c’était ça la révolution du moment, Chris, si sombre et solitaire auparavant, avait décidé que la priorité de sa vie, serait de s’épanouir auprès de ses amis qui lui avaient donné une deuxième chance. Cette deuxième chance, il commençait à la donner aussi à Martin même s’il continuait à garder une certaine distance entre eux. Ses amis n’étaient jamais bien loin, jouant leur rôle d’intermédiaires à merveille.

« Tout va bien messieurs ? » demanda une voix féminine à Vin et Buck qui se tenaient à l’écart du groupe.

« Très bien Mary, et vous ? »

« On ne peut mieux, il fait beau, les enfants sont heureux, et les affaires marchent bien. »

« Tant mieux alors, parce que je vous sens soucieuse, me trompe-je ? » demanda Buck malicieux.

« Je viens de recevoir un télégraphe du médecin qui a soigné Chris, il me demande des nouvelles. »

« Et vous lui avez répondu quoi ? » demanda Vin.

« Je ne lui ai pas répondu, je ne sais pas quoi lui répondre, mais je ne veux pas lui mentir non plus. »

« Et bien dites lui la vérité. » proposa Vin.

Voyant la moue affichée par Mary, Buck continua.

« Vous savez, Chris s’occupe très bien de Martin mais pour l’instant c’est auprès de ses tontons qu’il trouve de l’affection. Chris n’arrive pas à franchir ce cap, et il fait le strict minimum pour montrer les sentiments qu’il éprouve pour Martin. »

« Mais pourquoi ? Ce n’est pas dégradant pour un homme de montrer son affection à quelqu’un.. Je ne comprends pas. Vous qui le connaissez bien, expliquez-moi. »

« Je pense qu’il a peur de s’attacher à cet enfant, parce qu’il a peur de le perdre comme il a perdu ceux qu’il aimait. » dit calmement Vin.

« Par contre, Chris a cette volonté de le mettre à sa place de petit garçon, je retrouve un peu Chris tel qu’il était avec Adam, à lui faire découvrir mille et une choses, à lui redonner un regard émerveillé. Ça fait plaisir de le retrouver si patient et attentif aux réactions du petit, j’attends juste le déclic qui fera que Chris acceptera Martin comme son enfant. » la rassura Buck.

« Et vous pensez que ça arrivera un jour ? » les questionna Mary.

« Bien sûr, Chris est quelqu’un de bien, quand il ouvrira à nouveau son cœur, ce sera pour lui une délivrance et tout son entourage en sera bénéficiaire, Martin le premier… et puis comment résister à ce môme, avec sa bouille d’ange et ses yeux bleus si expressifs ? »

« Oui, effectivement. » répondit-elle, pensive.

Vin la tira de ses pensées.

« Mary, je peux me permettre de vous donner un conseil ? »

« Hum, oui, bien sûr. »

« Essayez d’être plus proche de Chris. »

Mary secoua la tête comme si cette requête était inconcevable.

« Ce n’est pas possible entre nous… »

« Pourquoi ? »

« Parce qu’on ne s’entend pas… »

« Vous n’avez jamais parlé tous les deux » se moqua gentiment Vin.

« Si… »

« Non. »

« Si. » s’impatienta Mary.

« D’accord, vous avez parlé tous les deux… autant que moi je sais écrire. » rigola Vin. « Je ne sais pas écrire, mais je ne suis pas aveugle, je le vois à votre regard que Chris vous plait Mary. »

« Vous vous trompez Vin… » répondit sérieuse Mary, alors que les deux compères se donnaient des coups de coude en rigolant. « Et puis, vous mentez Vin, vous commencez à bien écrire. »

« Merci Mary, je suis touché par ce compliment de votre part… Et si je peux vous donner à nouveau un conseil, commencez à lui parler…comme moi j’ai commencé à écrire.. » répondit-il le sourire aux lèvres.

« Pourquoi ? »

« Mary, vous êtes inquiète dès qu’il part, vous demandez discrètement comment il va, je ne veux pas vous offenser, mais Chris vous plaît bien plus que vous ne voulez bien l’avouer… » dit Buck, en prenant le menton de Mary avec sa main pour relever doucement son visage et croiser son regard.

« Chris à vos faveurs à notre grand regret d’ailleurs » dit Vin en lui lançant un regard blessé, puis souriant à Buck voyant que Mary se détendait sous l’effet des taquineries dont elle faisait l’expérience.

« Et même si Chris ne dévoile pas ses sentiments facilement, je sais aussi qu’il a besoin de refaire sa vie et d’enfin oublier sa vie passée. Et quelque chose me dit que vous ne le laissez pas indifférent
» conclut Buck, le regard pétillant.

« Ok, j’irai lui parler. » capitula Mary.

« Allez-y maintenant en lui portant un café. Vous savez que c’est la meilleure façon d’entamer la discussion avec lui. »

« Je ne peux pas, je dois envoyer le télégraphe au médecin rapidement, je lui ai promis. »

« Ah non, vous n’allez pas vous défiler. » gronda Buck. « Je vais m’en occuper moi-même de ce télégraphe… et je vous promets que je ne mentirai pas au médecin. »

« Allez, en route. » dit Vin en la poussant légèrement vers l’avant.

Les deux compères regardèrent la scène se dérouler sous leurs yeux, le sourire aux lèvres : Chris et Mary parlèrent quelques minutes, gênés autant l’un que l’autre. Le dialogue entre les deux fut bref, mais ce fut aussi le plus long qu’ils n’aient jamais eu…




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J'ai pas résisté, je vous ai remis des avas que j'avais fait il y a quelques temps, car la dernière scène est inspirée de ce passage... un de mes passages préférés dans M7, cherchez pas pourquoi .. lol... surtout les deux dernières..

tes avatars (superbes, par ailleurs) vont magnifiquement bien avec ta dernière scène
Vin qui joue les entremetteurs, malgré:

Chris à vos faveurs à notre grand regret d’ailleurs » dit Vin

C'est vrai qu'il y a quelques scènes dans la série entre Vin et Mary qui pourraient nous faire croire que...
C'est bien que Chris s'ouvre enfin un peu, et je suis sûre qu'il ne va plus tarder à avouer les sentiments qu'il a pour le petit Martin et pour Mary!

on arrive à la fin...

La joie de voir que tu avais mis si vite une suite est gâchée par cette phrase
En espérant déjà que tu te remettras vite à écrire... ou à refaire des avatars... ou même les deux!

clairounett a écrit:Je connaissais pas cette expression... et toujours cette histoire de le foutre à poil.. rooo les filles..

C'est à cause de ma déformation de JAG...j'ai une consommation excessive de la série...

Pour en revenir à cette suite qui annonce la fin ( ) je suis toute... D'abord, Chris fait des excuses à Vin...Mais surtout tu fais référence à un épisode de M7 qui m'avaient mises en transe...

Bref, comme Mouchette, j epnse que Vin est quelque part un peu amoureux de Mary mais il sait qu'il n'a aucune chance ( tiens, ça me rappellerait presque quelqu'un d'autre qui a son homonyme dans ta fic... )

Chris semble reprendre le dessus et j'espère qu'il va pas faire sa mauvaise tête et écouter Mary...

SVP, ôte nous la frustration que la fin de la série nous a infligée en ne concrétisant pas la relation Mary/Chris...

Mouchette a écrit:tes avatars (superbes, par ailleurs) vont magnifiquement bien avec ta dernière scène
Vin qui joue les entremetteurs, malgré:

Chris à vos faveurs à notre grand regret d’ailleurs » dit Vin

C'est vrai qu'il y a quelques scènes dans la série entre Vin et Mary qui pourraient nous faire croire que...
C'est bien que Chris s'ouvre enfin un peu, et je suis sûre qu'il ne va plus tarder à avouer les sentiments qu'il a pour le petit Martin et pour Mary!

on arrive à la fin...

La joie de voir que tu avais mis si vite une suite est gâchée par cette phrase
En espérant déjà que tu te remettras vite à écrire... ou à refaire des avatars... ou même les deux!

Merci Mouchette... et désolée d'avoir gaché ta soirée... M'enfin il reste une suite, que je mettrai sans doute demain.. qui sera la fin... et si vous êtes sages, un épilogue jeudi ou vendredi... si j'ai le temps...
Pour ce qui est d'une nouvelle fic, oulah c'est pas gagné.. mais bon ça reviendra peut-être une fois que j'aurai vu la fin de la saison 6 et la saison 7.. enfin ça reste à voir, vu ce que j'entends sur la suite de la série..

Mimi a écrit:
Pour en revenir à cette suite qui annonce la fin ( pascontent ) je suis toute... 2love2 D'abord, Chris fait des excuses à Vin...Mais surtout tu fais référence à un épisode de M7 qui m'avaient mises en transe... Laughing

Bref, comme Mouchette, j epnse que Vin est quelque part un peu amoureux de Mary mais il sait qu'il n'a aucune chance ( tiens, ça me rappellerait presque quelqu'un d'autre qui a son homonyme dans ta fic... Razz )

Chris semble reprendre le dessus et j'espère qu'il va pas faire sa mauvaise tête et écouter Mary...

SVP, ôte nous la frustration que la fin de la série nous a infligée en ne concrétisant pas la relation Mary/Chris... respect

Rooo ben si je t'ai fait repenser à un épisode qui t'a mise en transe..
.. Et la reflexion sur les amours ratés de Vin/Martin..

Bon alors si je comprends bien, il faut que je change la fin de ma fic pour que vos voeux soient exaucés.. Je charie, alors ensemble ou pas à la fin ?? That is the question.. En tout cas, même si je devais vous décevoir, je ne changerai pas ma fin, car elle est écrite depuis trèèèès longtemps et qu'elle me satisfait..
Allez courage, plus que quelques jours à attendre...

En tout cas merci pour vos commentaires..

En tout cas, même si je devais vous décevoir, je ne changerai pas ma fin, car elle est écrite depuis trèèèès longtemps et qu'elle me satisfait..

Oh mais je ne demanderai jamais à quelqu'un de changer la fin d'une fic, ne t'en fais pas. Même pas pour une certaine fic (qui me fait encore pleurer) écrite par une certaine clairounett

depuis le temps, la pilule n'est toujours pas avalée ???

Bon, petite info pour ma fin, je ne tue pas toujours mes personnages... Contrairement à ce que semble dire Mouchette.. Donc, je vous annonce qu'il n'y aura peut-être pas de sang ...