Lola ( complète)

Géniale cette suite! Bravo!
Moi j'attends de savoir comment jack va comprendre ce que ce ...... de Reynolds a fait à Lola et à Danny et ce qui va bien pouvoir en résulter...

Un peu de courage, mon garçon

Maman Vivi a parlé !

Danny est un électron libre.

Victor Fitzgerald avait dit ça de Jack je m'en souviens, j'adore cette expression !

En tout cas c'est une super suite et j'en redemande !
Je veux savoir ce qui s'est passé dans le passé ( ) pour Danny et Lola !

La suite !!!!

ben alors, je t'ai vu sur le fofo ya pas la suite

Oh! Il n'y a pas encore de suite?

une longue suite pour ce matin
Bonjour à tous ceux qui se lèvent

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« Jack était déjà en salle d’interrogatoire avec Monsieur Reynols.

Il le questionnait sur ses déplacements le soir de la disparition de Melle Caravella.

« Je pense que vous avez omis quelques détail sur Lola »
Quand est-ce la dernière fois que vous l’avez revu, monsieur Caravella ? »

« Je vous l’ai déjà dit, agent Malone, elle avait 18 ans quand elle a quitté le domicile familial et je n’ai plus eu de ses nouvelles depuis »

« En êtes vous bien sur, vous savez, mentir à un agent fédéral ou faire obstruction à une enquête peut coûter cher, très cher ! »

Jack restait impassible. Son regard froid et accusateur ne pouvait que déstabiliser l’homme en face de lui.

« Vous mettez en doute ma parole, c’est bien cela ? »

« Non bien sûr que non, mais nous avons un témoin qui est persuadé de vous avoir vu dans la rue jouxtant l’appartement de Lola ».

Jack savait que ce demi-mensonge ferait réagir Monsieur Reynols.

« Mais c’est absurde, Monsieur Malone ! »

Jack le fixait. Il voulait être certain de la bonne foi de cet homme mais les sueurs qui perlaient sur son front, cette voix hésitante, Jack ne connaissait cela que trop bien : la peur, le doute…

« Ne jouez surtout pas avec moi, Monsieur Reynols, où étiez vous le mardi soir, soir où notre témoin dit vous avoir vu vous disputez avec Lola ? »

« Je…Je ne comprends pas, je… »
Reynols sentait bien que la situation devenait délicate, les murs allaient s’écrouler.

Et cet agent qui le dévisageait avec tant de rudesse ne lui laissait pas le temps de réfléchir.

« Oui, c’est vrai j’ai menti j’ai bien repris contact avec Lola ce soir là »

Jack souria.

« Mais je vous jure je ne lui ai fait aucun mal. Cela faisait des années, Monsieur Malone, je le devais pour mon épouse, que je la cherchais. Des années à arpenter les rues de New-York , à récolter le moindre indice sur sa présence, à vivre sans espoir de la revoir un jour,
Je voulais juste qu’elle revienne à la maison, qu’elle cesse cette vie sans but…
Jamais je n’aurai pu lui faire du mal, jamais.
Lorsque vous m’avez convoqué pour sa disparition, j’ai été tellement choqué.
Je l’avais vu la veille et là elle avait encore repartie de ma vie,…
Vous m’auriez accusé à tord de sa disparition, ce que d’ailleurs vous faîtes n’est ce pas ?

« Je pourrais, oui, mais nous sommes d’accord tous les deux. Aucune preuve ne peut me permettre une telle accusation »

Monsieur Reynols acquiesca avec un petit sourire.

Van Doran lui avait autorisé ce second interrogatoire. Jack devait ne faire aucune erreur.

« Pendant que nous discutons, j’ai demandé un mandat pour perquisitionner chez vous. En ce moment même, une équipe est déjà sur place.
Je pense que vous n’y voyez aucun inconvénient ? »

« Je vous clame mon innocence, Monsieur Malone.
Comment pouvez vous croire que je pourrai faire du mal à Lola. Elle a fait son choix de vie et je me dois de le respecter, j’ai compris ce soir là que je la verrai pour la dernière fois…

Il se prit le front entre les mains et fixa Jack.

« Vous avez des enfants, Monsieur Malone ? »

Jack ne répondit rien et continua à fixer silencieusement l’homme.

« De quelle couleur est votre voiture, Monsieur Reynols »

« Rouge, pourquoi ? »

Jack savait bien qu’il ne pourrait le retenir encore longtemps dans ses murs. Il devrait le lâcher dans moins d’une heure.

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Danny avait le front appuyé derrière la vitre de la salle d’interrogatoire, les poings serrés au sang. Jack n’avait pas connaissance de sa présence et s’était mieux ainsi. Il écoutait cet homme, le regardait affronter son patron.

« Vous m’appartiendrez pour toujours »

Cette phrase lui donnait encore des frissons.


Il voulait rentrer, lui hurler que lui savait de quoi il était capable.
Mais il restait là à le regarder mentir. Ce sentiment de puissance, rien ne le ferait craquer mais Danny en était persuadé cet homme savait où était Lola.

Cette nausée ne le quittait pas.
Sa haine, sa haine pour cet homme le rongeait. Il avait envie de boire, juste un peu, un tout petit verre pour avoir ce courage d’entrer dans cette pièce.
Et quoi faire ?
Jack s’interposerait, sans comprendre pourquoi cette soudaine envie de tuer, de lui arracher le cœur. Il faudrait tout lui expliquer, affronter les questions, les pourquoi, se dévoiler à Jack, affronter ses démons, non il ne pouvait pas.

Ce serait pourtant si simple, il suffisait d’entrer, lui mettre une balle en pleine tête et tout serait réglé.

Mais Lola , Lola serait toujours absente et le doute resterait entier.

Il avait promis de protéger Lola mais il n’avait su que partager ses larmes, ses angoisses et ses douleurs.

Il se rappelait cette armoire dans le salon. Son échappatoire, sa bouée de sauvetage.
Ce petit verre d’alcool pris en cachette lui avait permis d’oublier ce souffle indécent collé à sa peau, ces paroles obscènes, ces mains impudiques et cette douleur insoutenable qui annonçait que la nuit se terminait. Il avait fini par accepter, accepter l’amour de cet homme, accepter de se taire, se taire à jamais, pour Lola, pour lui… accepter que son grand frère ne viendrait jamais le chercher.

Il avait suffit de cette bouteille volée dans un magasin pour que le cauchemar cesse.

Quelle ironie du sort ! Ce contre quoi il luttait chaque jour lui avait sauvé la vie à 13 ans.

Les services sociaux ne s’étaient pas trop posés de questions. Après tout, son frère était bien un junkie. On l’avait retiré de cette famille, si chaleureuse, si accueillante et placé à St Baptiste (je ne sais plus le nom!).

Il avait abandonné Lola à cet homme et enfoui au plus profond de sa mémoire cet épisode sordide.

Il attendait cet appel qui annoncerait que Lola n’était pas chez ce pauvre Monsieur Reynols accusé peut-être à tord.

Jack le raccompagnerai alors à l’ascenseur, lui serrerait cette main ignoble, sans toutefois s’excuser. Il n’aurait fait que son boulot.

Dès que Jack aurait sa réponse, Danny saurait quoi faire.

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« Danny, ça ne va pas ? »

Viviane tenait dans sa main le dossier qu’elle s’apprêtait à amener à Jack.

« Jack est toujours avec Monsieur Reynols ? Bon, les services de l’enfance ont enfin trouvé son dossier »

Son dossier…Non, ce n’était pas possible.

« Je peux jeter un coup d’oeil ? » Viviane savait que Jack n’apprécierait pas que ce dossier soit ouvert mais elle ne voulait pas le brusquer. Après tout ce qui venait de se passer dans la journée…

Il le prit nerveusement dans les mains et l’ouvrit.
Son nom était là « ALVAREZ ». Le seul et unique autre enfant que Monsieur Reynols avait accepté de prendre à charge.
Tout y était, ses fugues, son comportement agressif, et puis son problème avec l’alcool.
Tout ce que Monsieur et Madame Reynols avaient dû enduré pendant 1 an.
Tissu de mensonge...

Jack allait le convoquer, il serait furieux et ne le lâcherai plus.
Pourquoi, pourquoi tout devait être si compliqué dans sa vie ?

« Danny, je dois lui donner. Les recherches chez Monsieur Reynols n’ont pas abouti. Il doit le relâcher et veut absolument vérifier son dossier avant le départ de cet homme »

« Danny, donnes moi ce dossier immédiatement »

Ses mains tremblaient, les doigts crispés sur le document. Il remit le dossier à Viviane et partit en direction de l’ascenseur.

Jack ne lui pardonnerait pas cette fuite mais il ne pouvait pas l’affronter. Oui, il fuyait, comme toujours...Il savait bien qu’un moment ou un autre, il lui faudrait faire face à son patron mais pour le moment, il avait très peu de temps devant lui.

Sa décision était déjà prise. Il espérait ne pas tout gâcher mais il devait en avoir le cœur net.

Alors là je dis Chapeau bas madame

Je sais pas si c'est l'écran mais j'ai les yeux qui piquent .

Le pauvre tit Danny . Et où il va allez comme ça hein? ...Je suis sure que Jack est capable de comprendre

Vivement la suite

génialissime et émouvant à souhait

ecnore un bout ???

Comme mes consoeurs!

Quelle enflure ce Reynolds de m*** !
Et pauvre Dannymimi j'en ai la gorge serrée je te jure !
quand Jack découvrira la verité j'éspère qu'il lui pètera la gueule à ce fumier !!!!

La suite please !!!!

une tout petite suite en attendant l'autre


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Jack restait sans voix.
Il avait tourné et retourné les pages de ce dossier, ce qu’il y lisait ne lui plaisait vraiment pas.

Famille d’accueil modèle, bon bien sûr juste 2 enfants ne faisait pas d’eux le modèle idéal de placement familial.

Les rapports ne tarissaient pas d’éloges sur Monsieur et Madame Reynolds.
Lola semblait grandir dans un environnement stable, la petite fille avait un parcours scolaire très satisfaisant, elle grandissait sans souci particulier de comportement….
Le juge des placements, au vu de l’état de santé physique et psychique de Lola, avait même envisagée la garde exclusive.


Peut-être le seul bémol dans cette histoire avait été l’arrivée pendant un an de ce jeune garçon.

Grosse difficulté d’adaptation, enfant turbulent, violent…Les quelques familles qui l’avaient accueillis auparavant n’avait pas réussi à s’attacher à cet enfant si distant, devant faire face à chaque instant à ses fugues, ses crises de colère, son détachement total à l’amour et la confiance que certains essayaient de lui donner.

Les services sociaux avaient bien sûr fait toute confiance à ce couple pour l’aider à surmonter ce passage difficile. Monsieur Reynols en particulier avait réussi à canaliser cette agressivité, en 1 an de temps l’enfant s’était un peu assagi. Les fugues avaient été moins fréquentes et ses résultats scolaires excellents.

L’alcool était venu assombrir ce tableau idéal.
Le rapport mentionnait que le couple avait insisté tout de même pour obtenir la garde mais les services judiciaires en avaient décidé autrement. Il était un délinquant et la justice ne faisait pas de sentiment.

Jack relisait et relisait ce passage. E tout premier, il n’avait pas réagi au nom de l’enfant. Il trouvait que l’investissement de Monsieur et Madame Reynols auprès de ces enfants était exceptionnel. Peu de famille y arrivait.

Et puis, tout doucement ce mot unique « ALVAREZ Daniel » lui avait coupé le souffle.
Ce n’était pas possible, Danny. Danny avait été confié à cette famille. Il avait reparcourut du doigt le nom de son agent et regardé la photo de l’enfant. Ces yeux, ce visage sans sourire…

« Malone, vous devez relâcher immédiatement Monsieur Reynols. C’est un ordre ! Non pas d’autres questions à son égard » Van Doran ne lui laissait auncune opportunité d'en savoir un peu plus.
Jack avait raccroché. Aucune charge ne pouvait être retenu contre lui.

Il raccompagna sans un mot Monsieur Reynols à l’ascenseur et lui serra la main.
Bien sûr, il ne s’excusa pas de ce dérangement. Il n’avait fait que son boulot.

et maintenant que va faire Jack ??????


la suite !!!!!!

Ben oui il va faire quoi Jacko ?

Oui, que va t-il faire? enfin dès qu'il aura réussi à retrouver Danny...

Danny enfant, le portrait est disons...triste

Mais j'ai confiance en Jack, il va être gentil hein?

Il raccompagna sans un mot Monsieur Reynols à l’ascenseur et lui serra la main.
Bien sûr, il ne s’excusa pas de ce dérangement. Il n’avait fait que son boulot.

Mais Jack avait déjà l’esprit ailleurs.

Il fonça en direction des toilettes, personne, regarda brièvement dans l’open space, pas là non plus. Nom d’un chien, où pouvait-il bien se cacher ?

Plus il cherchait Danny, plus il sentait l’énervement le gagner.
Ses maux de tête le reprenaient. Ce gamin le tuerait.

Il retourna voir ses collègues.

« Où est Danny ? » Sa voix trahissait sa colère.

Martin et Sam haussèrent les épaules.

Il se tourna vers Viviane.

« Je l’ai aperçu il y a 20 minutes à peine. D’ailleurs, il semblait très en colère. Je me suis dit qu’heureusement tu ne l’avais pas pris avec toi pour cet interrogatoire »

« Il a assisté à l’interrogatoire ? »

« Oui, il a même voulu regarder un peu le dossier que je t’ai apporté. Je suis désolé… Il me semblait tellement impliqué que je n’ai pas osé lui refuser »

Jack se passa la main dans les cheveux.

« Bon, Sam, tu me l’appelles sur le portable »

Samantha et Vivane échangèrent un bref regard.Heureusement que celui-ci avait été réparé le matin même.

Après confirmation que sa voiture n’était plus garée au parking, Jack retourna dans son bureau et appela son domicile.

« Danny, si tu es rentré chez toi, radine tes fesses au bureau le plus rapidement possible ! »

Il reposa le combiné avec violence et retenta de nouveau le portable, sans résultats.

« Danny, j’ai besoin de toi au bureau immédiatement. Je te jure que tu vas entendre de mes nouvelles si tu n’es pas là dans l’heure qui suit »

Il n’arrivait pas à se calmer.

Ce dossier,ce Monsieur Reynols, le départ précipité de Danny, tout cela ne lui disait rien de bon.

Il était en fait plus inquiet qu'en colère.

Il espérait que tout ce passé qui ressurgissait comme cela dans sa vie ne l’avait pas encore entraîné dans une spirale infernale.

Cette situation le laissait désemparé.

La discussion qu'il envisageait au retour de son jeune agent l’angoissait bien plus qu’il ne le voulait.

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Danny avait mis du temps à touver à la maison. Il était déjà tard. Le jour n’allait pas tarder à tomber.

Il devait faire vite avant le retour de Monsieur Reynols.

Ses souvenirs étaient encore diffus mais il ne se trompa pas quand il la vit. Il avança presque malgré lui le long de l’allée.

La porte d’entrée ne résista pas à ses mains expertes.

Il respira un grand coup et pénétra dans la demeure.

Bien refermer la porte, ne pas allumer la lumière, ne pas faire de bruit…

Si jack apprenait ce qu’il était en train de faire, il le tuerait sur le champ.

Ses pensées allaient vers son patron. Il l’avait toujours admiré. Cet homme était extraordinaire, il savait toujours trouver les mots justes quand tout semblait impossible.

Il n’aurait pas du lui mentir et tout lui avouer. Peut-être les choses auraient été plus simples.
Mais Danny n’avait pas l’habitude de se confier, et encore moins sur un sujet si délicat.

Il aurait dû juste lui soumettre les doutes qu’il avait à l’égard de Monsieur Reynols.

Mais quelle honte si Jack avait cherché à en savoir plus.
Il aurait craqué.
Il ne voulait plus pleurer, trop de larmes avait déjà endeuillé sa vie.

Il devait régler cette affaire tout seul et au plus vite.

Il vérifia que personne ne se trouvait à l’intérieur de la demeure.

Ce salon, l’armoire était toujours à la même place, la fenêtre de l’entrée où Danny attendait chaque jour que son frère vienne le chercher…

Il ferma les yeux.
Il savait où il se rendait.
Ne pas ouvrir les paupières, passer à côté de l’escalier qui montait aux chambres
Souffler, souffler, ne pas trembler, ne pas ressentir de peur
Longer le couloir qui menait vers la cuisine
Ne surtout pas ouvrir les yeux,

Il comptait chaque pas, il connaissait la distance exacte entre l’escalier et cette porte.

Il était arrivé.
Il posa la main sur la poignée et ouvrit les yeux.
Maintenant, maintenant il devait rassembler son courage.

Danny Taylor n’était plus ce petit garçon apeuré, qui pleurait en cachette sous son oreiller en espérant que sa mère viendrait lui déposer un baiser sur le front. Il n’était plus ce petit garçon qui se protégeait des coups, qui se protégeait des mots, des sentiments.

Non , désormais sa haine , sa haine l’aidait à avancer.

Il sentait les sueurs lui couler le long du dos.
Allumer la lumière,
Il lui fallut quelques minutes pour s’adapter à la luminosité de la pièce.

Cette envie de vomir le reprenait.

Tout était comme avant, rien n’avait changé
Toujours une cave sordide et ce grand placard…

Tout alla très vite. Il poussa le placard sur le côté et mit à jour une ouverture vers une autre pièce. Il se dirigea vers l‘interrupteur et alluma.

Son téléphone portable sonna pour la seconde fois.

J'attends qu'une chose, c'est la suite...

Bah moi aussi... Ca ma fait mal au coeur pour le petit chou...

moi tout pareil


et en plus je veux la suite !!!!

Plus il cherchait Danny, plus il sentait l’énervement le gagner.
Ses maux de tête le reprenaient. Ce gamin le tuerait.

pauvre Jack !

Une suite bien tristouille quand même et je veux la suite pour voir ce qu'il y a dans cette mystérieuse pièce !!!

Ce gamin le tuerait

J'adore La complicité père/fils entre Danny et Jack Tu es un géni pour l'exprimer comme cela

Par contre je sens qu'il va lui passer un savon, Jack .

Mais tout de même pauvre petit Danny Et en plus l'autre tordu de Reynols va rappliquer

Cette suite était un amour de suite, comme les autres tu me diras

Vivement une prochaine suite

Moi aussi je demande la suite!

bon une petite suite
Mais avant merci pour vos petits messages
Je suis contente que ma fic vous plaise bien malgré la difficulté à mettre en page les idées
M'enfin ça fait rien , on s'éclate comme même

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Tout alla très vite. Il poussa le placard sur le côté et mit à jour l’ouverture vers une autre pièce. Il se dirigea vers l‘interrupteur et alluma.

Son téléphone portable sonna pour la seconde fois.

……

« Bon dieu, Danny, réponds-moi. Tu te doutes bien de quoi je veux te parler alors fais pas l’idiot. Tu peux avoir confiance en moi, je suis là aussi pour t’écouter, quoi qu’il se soit passé dans cette famille. Je ne tiens absolument pas rigueur d’être partit ainsi.
Réponds-moi bordel !
Si tu veux que cette histoire reste entre nous deux, je te conseille de me rappeler dans l’heure. »

Jack n’aimait pas cette situation. Il se sentait partager entre son rôle de patron et son rôle de confident. Il savait Danny sensible et fragile dès que quelque chose pouvait le toucher personnellement et le fait de ne pas l’avoir sous la main pour surveiller un peu ses actions le rendait nerveux.

Il reprit les dossiers sur lesquels il travaillait. Il attendrait encore une petite heure et demanderait à son équipe de chercher où cette andouille avait pu se réfugier.
Peut-être avait-il seulement eu besoin de prendre un peu l’air.

Malgré ses efforts, il ne pût se concentrer sur les affaires en cours.
Il jeta un petit coup d’œil sur son équipe, sa petite famille…

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Danny pénétra à travers la petite ouverture.

La pièce sentait le renfermé, cette odeur le saisit immédiatement, une odeur qu’il ne connaissait que trop bien, opprimante.

…Ses murs sombres où il avait dû tant de fois s’appuyer en attendant son tour…

Le silence qui entourait ce lieu l’angoissait. Tout lui revenait en mémoire…

Une petite table se trouvait le long du mur et tout au fond de la pièce, le lit. Ce grand lit sans drap, juste un matelas posé sur le sommier.

Jack, il devait appeler Jack.
Il respirait de plus en plus mal, sa vue se brouillait…

Il s’appuya le long du mur et composa le numéro de son patron.

« Jack,…c’est Danny. Je t’en prie, ne cries pas, écoutes moi. Jack…Oui je vais bien ! Non, je ne peux pas revenir pour le moment, Jack, écoutes-moi s’il te plait. »
« Jack, J’ai trouvé Lola…. »

Danny n’eut pas le temps de parler plus longtemps à son patron. Un bruit derrière lui détourna son attention.

« Jack, je dois raccrocher. Je te demande pardon.»

Tu viens de poster ta suite... mais j'attends la prochaine avec impatience....
Encore un danny comme on l'aime !!

tu nous fais quoi là ?!
Faut la suite !!!! Lola est pas morte et Danny va pas se retrouver nezà nez avec Reynolds hein hein hein ?

Ca sent le roussi tout ça!
Faut une suite, parce que là... Je le sens pas bien du tout toute cette histoire...

Une suitttteee!