Brothers in arms (complète) (PG13)
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Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Roooo, les filles, vous me stressez, là! J'ai écrit la fin, je peux rien changer, et puis j'ai un peu de mal à me pousser à la poster, je sais pas, j'ai pas trop confiance en moi sur cette fin...
Comment ça t'as pas confiance en toi!! Avec ce que tu nous a pondu jusqu'a present, moi j'ai aucun doute!! Suis sur que ça va être du bon!!
Ben j'attends avec impatience!!
nady- Agent spécial
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Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
nady a écrit:Roooo, les filles, vous me stressez, là! J'ai écrit la fin, je peux rien changer, et puis j'ai un peu de mal à me pousser à la poster, je sais pas, j'ai pas trop confiance en moi sur cette fin...
Comment ça t'as pas confiance en toi!! Avec ce que tu nous a pondu jusqu'a present, moi j'ai aucun doute!! Suis sur que ça va être du bon!!
Ben j'attends avec impatience!!
Mais c'est ça, mets-moi aussi la pression, toi, pendant que tu y es!
Merci quand même pour le comm'!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
...eh ben je pensais qu'il y avait la suite ...
Bah, de rien!!
Merci quand même pour le comm'! sunny Wink
Bah, de rien!!
nady- Agent spécial
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Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
ben oui elle est où la suite
et sais pas si ta vu mais certaine réclame du chuppa
allez hop hop hop, la suite !!!!!!!!!!!!!
et sais pas si ta vu mais certaine réclame du chuppa
allez hop hop hop, la suite !!!!!!!!!!!!!
Théana- Président des USA
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Ok, ok, je prends une grande respiration et je me lance: voilà la dernière suite...
Merci à vous pour me lire et surtout pour vos commentaires.
Et merci à celle qui me souhaite un bon anniversaire en avance soi-disant pour me faire mettre une suite... Je ne citerai pas de nom, hein, nady?
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C’était à son tour. Il avait tout fait pour retarder cela le plus longtemps possible, mais maintenant, c’était son tour. Danny respira un bon coup, et entra dans la chambre. Il détestait les hôpitaux : trop de mauvais souvenirs. Et voir ainsi quelqu’un de proche, étendu sur le lit, avec tous ces fils, et ses machines autour de lui, c’était presque plus qu’il ne pouvait supporter. Il jeta un coup d’œil vers le visage de Martin, et détourna aussitôt les yeux. N’étaient les marques de coups qu’il portait, ce visage était aussi blanc que les draps du lit. Danny préféra porter son regard sur Vivian, qui s’était levée à son arrivée, étirant son corps ankylosé après plusieurs passées sur une chaise peu confortable.
-Son état n’a pas changé, Danny, souffla gentiment Vivian.
Ce qui ne rassura pas Danny. Sam lui avait dit que Martin gisait la plupart du temps entre le sommeil et l’inconscience, et les quelques fois où il se réveillait, il était désorienté, confus et effrayé. Les personnes présentes à ces moments-là essayaient de lui faire comprendre qu’il se trouvait à l’hôpital, qu’il n’avait plus rien à craindre, mais Martin ne semblait pas les entendre, et il se mettait à bouger, à se débattre, réveillant ses douleurs. Les médecins devaient alors lui administrer une nouvelle dose de calmants, pour éviter que ses blessures ne s’aggravent et qu’il ne se blesse lui-même. Martin sombrait alors à nouveau dans l’inconscience, sans que personne n’ait réussi à lui faire comprendre qu’il était sauf. Et Danny avait une peur bleue de devoir faire face à cette situation. Il ne se sentait pas capable de supporter ça. Mais il ne voulait pas l’avouer à ses collègues, et Martin avait besoin de quelqu’un avec lui. Jack, Sam et Vivian avaient déjà pris leur tour de garde. Maintenant, c’était à son tour.
Vivian effleura doucement la joue de Martin, en souriant doucement, puis serra gentiment le bras de Danny en signe d’encouragement, et partit se reposer. Danny s’assit sur la chaise, cherchant une position plus ou moins confortable, et évitant de regarder son collègue. Finalement, il se remit debout, et se posta à la fenêtre. Il avait vue sur l’entrée de l’hôpital, et il reconnut Marcus, qui attendait sa femme. Vivian arriva quelques minutes plus tard, et se serra un long moment dans les bras de son mari. Danny sourit, se disant que sa collègue avait de la chance, elle avait quelqu’un à qui parler, ou simplement dans les bras de qui rester tranquillement, afin de trouver un peu de réconfort. Danny, lui, n’avait personne d’autres que ses collègues. Il avait toute confiance en eux, il pouvait leur parler de beaucoup de choses, mais parfois, il avait envie de quelqu’un de plus intime, quelqu’un faisant partie de sa famille. Danny tourna alors ses pensées vers Martin et sa famille. Danny retint un ricanement. Pouvait-on vraiment parler de famille ? Martin n’était-il finalement pas aussi seul que lui ? Son père et sa mère étaient arrivés à l’hôpital alors qu’ils attendaient encore des nouvelles des médecins. Victor avait presque fait un scandale en disant que cela n’était pas normal de ne rien savoir, que les médecins se fichaient du monde. Puis, le médecin était venu leur décrire l’état de Martin, et Victor et sa femme Elisabeth avaient pu aller le voir dans une chambre des soins intensifs. Ils étaient restés 15 minutes. Quinze petites minutes. Quinze minutes pour dire tout ce que tu ressens pour ton fils, pour le réconforter ? Danny secoua la tête. Il les avaient regarder partir, sur un sec « C’est un Fitzgerald, il s’en sortira. Il n’a plus besoin de nous. ». Ils devaient participer à une réunion, plus importante que la santé de leur fils ! Danny les avait regardés partir, bouche bée. Il avait jeté un coup d’œil à ses collègues, et vu le même air surpris et choqué chez Sam et Vivian ; Jack, lui, était triste, mais pas surpris. C’est ainsi qu’ils avaient décidé de prendre à tour de rôle la garde auprès de Martin. Danny se décida enfin à se retourner vers son collègue, et s’obligea à l’observer attentivement. Martin avait des marques de coups et des brûlures sur tout le corps. Il souffrait de fractures de plusieurs os. Une commotion cérébrale sévère. Mais ce qui était le plus effrayant, c’était l’état de sa gorge. Il avait été étranglé deux fois jusqu’à perte de conscience, et il avait respiré de la fumée, preuve qu’il n’avait pu s’enfuir de l’entrepôt qu’au dernier moment. Les médecins avaient eu du mal à l’intuber, à cause des dégâts occasionnés par l’étranglement et la fumée. Et maintenant, il gisait dans ce lit d’hôpital, relié à des fils et des tubes, avec pour seule compagnie le son des machines. Danny s’assit sur la chaise, et posa gentiment sa main sur celle de Martin. Puis il se décida à parler, à vider son cœur. Martin méritait son attention, et il méritait de savoir qu’il y avait quelqu’un avec lui.
-Martin, je…
Dieu que c’était difficile. Il n’avait jamais su exprimer ses sentiments.
-Martin, je vais t’expliquer les raisons qui m’ont poussé à agir ainsi avec toi, depuis ton arrivée dans l’équipe. Je sais que ce ne sont pas de bonnes raisons, et je ne recherche pas ton pardon. Je veux juste que tu saches que tu n’es pas responsable de la situation. Et je veux que tu saches que je suis désolé. Tellement désolé.
-Danny… Oui, je crois que cette voix appartient à Danny. Je voudrais tellement lui dire que je suis désolé. Peut-être que si je le pense très fort, il m’entendra.
-Je ne sais pas pourquoi il faut toujours que je comprenne les gens, que je comprenne la raison de mes mauvais sentiments envers eux, quand il est trop tard. En fait, si, je sais, c’est parce que je suis horriblement têtu.
Danny se permit un petit rire. Têtu, c’était peu dire.
-Je suis désolé, la situation dans laquelle on s’est retrouvé tous les deux, depuis mon arrivée, est de ma faute. J’ai senti ta réticence à ma venue, et au lieu de m’expliquer avec toi, calmement, j’ai préféré te montrer de quoi j’étais capable, tout en ayant une attitude qui peut faire penser que je suis hautain et arrogant. J’utilise cette attitude pour me protéger des préjugés des autres, pour me protéger de l’influence que mon nom a sur les gens, mais cela m’éloigne d’eux. Je ne sais pas comment faire autrement, car j’agis ainsi depuis si longtemps. Mais avec toi, j’ai tout de suite deviné que ce n’était pas la bonne solution, tu es trop entier, trop honnête pour accepter cela. Mais je ne savais pas comment faire autrement.
-J’ai eu peur de toi. Ou plutôt, pour être honnête, peur de ce que tu représentes. De ce que ton nom représente, pour être plus précis. J’ai tellement vu de gens qui ont eu du travail, des amis, la confiance des autres sans devoir lever le petit doigt, simplement parce qu’ils étaient d’une famille importante. La plupart ne méritait pas tout ça, c’était des frimeurs, des vendus, des personnes sans respects pour les gens, mais qui exigeaient le respect de ces mêmes gens. J’ai souffert de nombreuses fois de ces personnes, j’ai dû me battre un nombre incalculable de fois contre elles, et j’ai à chaque fois perdu. Moi, un petit émigré cubain, alcoolique, sans famille, face à eux, je n’avais aucune chance. Peut-être que ce que je te dis te semble égoïste, frustré, je ne sais pas. Peut-être.
-En fait, je crève d’envie que tu sois fier de moi, que tu aies confiance en moi. J’ai trouvé en toi, et en Jack, Sam et Vivian, une vraie famille. J’ai tout de suite vu comment vous vous faites confiance, comment vous pouvez vous parler, vous comprendre. Et je voulais tellement faire partie de votre famille. Mais à nouveau, toute mon éducation, ainsi que mes efforts pour la rejeter, m’ont empêché de vous exprimer mes sentiments. Et plus le temps passait, plus il était difficile pour moi de laisser tomber mon schéma de conduite habituelle.
-Jack a été le premier à me faire confiance. J’avais enfin trouvé quelqu’un qui croyait en mes possibilités. Et ça m’a redonné une telle confiance en moi ! Et puis, quand tu es arrivé, j’ai cru que tout allait recommencer. Pour moi, ton père avait imposé à Jack ta présence. Et j’ai cru que j’allais à nouveau être mis de côté, que tu allais me rejeter, et que le reste de l’équipe te suivrait. À nouveau, j’avais perdu confiance en moi… Et le pire de tout, c’est que j’avais perdu confiance en Jack, Vivian et Sam. Et je t’en ai voulu pour ça.
-Tu es tellement doué pour ton boulot, tu sais parler aux témoins, aux familles, tu les comprends. Je suis fier d’avoir pu travailler avec toi. Je suis moins fier de nos disputes, et j’espère que tu pourras oublier certaines choses que je t’ai dites.
-Et puis, tu as disparu. On a craint un moment que tu te sois… fait du mal. Avec cette lettre sur ton ordinateur. Mais je sais maintenant que tu ne pourrais pas faire ça. Tu es fort Martin, et courageux. Tu as eu le courage de t’effacer pour moi ; de quitter l’équipe, de peur de la détruire si tu restais. Et je voulais te dire merci pour ça. Et puis…
Danny sentit une boule se former dans sa gorge. Il devait pourtant continuer.
Through these fields of destruction
Baptisms of fire
I’ve watched all your suffering
As the battles ragged higher
-Quand j’ai vu ce que Fletcher t’a fait subir, ça m’a obligé à réfléchir à tout ça, à toi et à tes qualités, et j’ai compris que je ne pourrais pas avoir de meilleur équipier que toi. Et c’est là que j’ai décidé que je te rechercherais jusqu’au bout, et que je t’expliquerais tout. Et surtout, je me suis juré que tu resterais dans cette équipe. Tu le mérites.
And though they did hurt me so bad
In the fear and alarm
You did not desert me
My brothers in arms
-Quand j’étais retenu par Fletcher, quand il me battait ou me parlait, j’ai toujours su au fond de moi que vous me recherchiez désespérément. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber. Pas parce que votre fierté était en jeu, comme Fletcher essayait de me le faire croire, mais parce que vous tenez à moi. Et cela m’a aidé, Danny. C’est cela qui m’a fait tenir, dans les pires moments. J’ai tenu afin de pouvoir vous dire ma fierté, et ma joie de vous avoir connus. J’ai tenu afin de pouvoir te dire que je suis désolé de t’avoir rendu la vie impossible ; désolé de ne pas avoir su te parler, de t’avoir pu laisser croire que je ne t’estimais pas.
There’s so many different worlds
So many different suns
And we have just one world
But we live in different ones
-C’est difficile pour moi de faire confiance aux autres, principalement parce que j’ai dû mal à avoir confiance en moi. J’ai parfois l’impression d’être dans un autre monde que la plupart des gens, et que ces derniers me regardent sans me comprendre, me juge sans me connaître. J’ai cru que tu faisais partie de ces gens-là.
-J’ai vécu dans une famille qui sépare le monde en deux catégories : les puissants et les autres. Ceux qui ont l’argent, le pouvoir et la gloire, et les autres. Je n’adhère pas à cette vision, je la rejette de toutes mes forces, mais j’ai dû vivre si longtemps en faisant croire à mon père que je le suivais bien gentiment, que mon comportement peut faire croire aux gens que je me crois sur une planète supérieure à la leur.
Now the sun’s gone to hell
And the moon rising high
Let me bid you farewell
Every man has to die
But it’s written in the starlight
And every line on your palm
We’re fools to make war
On our brothers in arms
-Je ne sais pas si tu sauras jamais ce que je t’ai dit alors que je gis sur ce lit, mais j’espère de tout mon cœur que tu ne te sentiras pas responsable de quoi que ce soit. Et j’espère que tu continueras de croire en toi et en l’équipe. Pour moi. Pour toi.
Danny essuya une larme. Il n’aurait pas cru pouvoir se livrer ainsi. Même si Martin ne l’entendait sûrement pas, énoncer à voix haute ses sentiments étaient quelque chose de difficile, terrifiant même. Il regarda intensément le visage de Martin. Il sentait quelque chose dans son cœur, comme si son collègue essayait de lui dire quelque chose. Comme… un au revoir.
Les bips bips affolés de la machine le firent sursauter. Il se leva d’un bon de sa chaise, jetant des regards frénétiques sur la ligne plate du cardiogramme, sur le visage de Martin, en direction de la porte. Non ! Quelqu’un ! Que quelqu’un vienne aider Martin ! La porte de la chambre s’ouvrit brusquement, une nuée d’infirmières et de médecins se précipitèrent au chevet de Martin, bousculant Danny. Ce dernier recula lentement vers la porte, sans lâcher du regard la frénésie autour de son collègue. Il vit le corps de Martin se soulever suite au choc électrique, et se détourna enfin, le visage ruisselant de larmes. Il fit trois pas dans le couloir, les jambes flageolantes, et se laissa glisser le long du mur.
Il ne savait pas combien de temps avait passé, quand un médecin s’adressa à lui. Il ne savait même pas depuis combien de temps cet homme essayait de lui parler. Peu à peu, les mots prirent consistance dans sa tête, ils commencèrent enfin à former quelque chose d’intelligible.
-Vous… vous voulez que je rentre dans cette chambre ?
-Il faut que quelqu’un qu’il connaisse lui parle, essaye de le calmer. Nous ne pouvons plus lui injecter de calmants, il a eu trop de doses en trop peu de temps. Son cœur n’a pas supporté, et a fait un arrêt. Nous avons pu le ramener, il est maintenant conscient, mais désorienté, il ne sait pas où il est, il ne reconnaît personne, il est effrayé. Il doit se calmer, ou il se fera encore plus de mal. Si vous ne voulez pas tenter le coup, nous devrons utiliser les contentions, et après ce qu’il a vécu, cela va sans dire qu’il aura du mal à les supporter.
-Des contentions !? Vous ne pouvez pas faire ça !
-Nous y serons obligés s’il ne se calme pas. Vous êtes ici le seul à pouvoir empêcher ça.
-Mais… mais je ne peux pas ! Il ne peut pas me faire confiance ! J’ai été odieux avec lui juste avant qu’il ne disparaisse. Et puis, son cœur s’est arrêté de battre quand je lui parlais, je ne peux pas le…
-On m’a dit que quand on l’a retrouvé, c’est votre voix qui l’a calmé.
-Non, c’est l’injection faite par l’ambulancier !
-Ce n’est pas ce qu’on m’a dit. Mais si vous ne voulez pas essayer…
Le médecin se dirigea vers la chambre de Martin, sans se retourner.
-Attendez !
Danny se leva précipitamment, et retint le médecin par le bras sur le seuil de la chambre.
-Je… je vais essayer.
Le médecin hocha la tête, et fit sortir les infirmières qui essayaient de calmer Martin. Danny vit son collègue complètement paniqué, les yeux exorbités par la peur. Il se précipita vers lui, lui parlant d’une voix rendue râpe par l’angoisse et la tristesse. Il posa doucement ses mains sur les épaules de Martin, sans pression, juste pour lui faire comprendre qu’il était là. Peu à peu, il le sentit se relaxer, il réussit à fixer son regard dans le sien, et il comprit que Martin le reconnaissait, et lui faisait confiance. Danny sentit son cœur se réchauffer. Il comprit qu’ils avaient enfin trouvé ce qu’ils cherchaient tous les deux : plus qu’un ami, un frère.
FIN
Merci à vous pour me lire et surtout pour vos commentaires.
Et merci à celle qui me souhaite un bon anniversaire en avance soi-disant pour me faire mettre une suite... Je ne citerai pas de nom, hein, nady?
Je laisse le chuppa aux Masters du genre. Elles sont tellement douées, que je n'oserais pas me risquer à tenter d'empiéter sur leur territoire...et sais pas si ta vu mais certaine réclame du chuppa
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C’était à son tour. Il avait tout fait pour retarder cela le plus longtemps possible, mais maintenant, c’était son tour. Danny respira un bon coup, et entra dans la chambre. Il détestait les hôpitaux : trop de mauvais souvenirs. Et voir ainsi quelqu’un de proche, étendu sur le lit, avec tous ces fils, et ses machines autour de lui, c’était presque plus qu’il ne pouvait supporter. Il jeta un coup d’œil vers le visage de Martin, et détourna aussitôt les yeux. N’étaient les marques de coups qu’il portait, ce visage était aussi blanc que les draps du lit. Danny préféra porter son regard sur Vivian, qui s’était levée à son arrivée, étirant son corps ankylosé après plusieurs passées sur une chaise peu confortable.
-Son état n’a pas changé, Danny, souffla gentiment Vivian.
Ce qui ne rassura pas Danny. Sam lui avait dit que Martin gisait la plupart du temps entre le sommeil et l’inconscience, et les quelques fois où il se réveillait, il était désorienté, confus et effrayé. Les personnes présentes à ces moments-là essayaient de lui faire comprendre qu’il se trouvait à l’hôpital, qu’il n’avait plus rien à craindre, mais Martin ne semblait pas les entendre, et il se mettait à bouger, à se débattre, réveillant ses douleurs. Les médecins devaient alors lui administrer une nouvelle dose de calmants, pour éviter que ses blessures ne s’aggravent et qu’il ne se blesse lui-même. Martin sombrait alors à nouveau dans l’inconscience, sans que personne n’ait réussi à lui faire comprendre qu’il était sauf. Et Danny avait une peur bleue de devoir faire face à cette situation. Il ne se sentait pas capable de supporter ça. Mais il ne voulait pas l’avouer à ses collègues, et Martin avait besoin de quelqu’un avec lui. Jack, Sam et Vivian avaient déjà pris leur tour de garde. Maintenant, c’était à son tour.
Vivian effleura doucement la joue de Martin, en souriant doucement, puis serra gentiment le bras de Danny en signe d’encouragement, et partit se reposer. Danny s’assit sur la chaise, cherchant une position plus ou moins confortable, et évitant de regarder son collègue. Finalement, il se remit debout, et se posta à la fenêtre. Il avait vue sur l’entrée de l’hôpital, et il reconnut Marcus, qui attendait sa femme. Vivian arriva quelques minutes plus tard, et se serra un long moment dans les bras de son mari. Danny sourit, se disant que sa collègue avait de la chance, elle avait quelqu’un à qui parler, ou simplement dans les bras de qui rester tranquillement, afin de trouver un peu de réconfort. Danny, lui, n’avait personne d’autres que ses collègues. Il avait toute confiance en eux, il pouvait leur parler de beaucoup de choses, mais parfois, il avait envie de quelqu’un de plus intime, quelqu’un faisant partie de sa famille. Danny tourna alors ses pensées vers Martin et sa famille. Danny retint un ricanement. Pouvait-on vraiment parler de famille ? Martin n’était-il finalement pas aussi seul que lui ? Son père et sa mère étaient arrivés à l’hôpital alors qu’ils attendaient encore des nouvelles des médecins. Victor avait presque fait un scandale en disant que cela n’était pas normal de ne rien savoir, que les médecins se fichaient du monde. Puis, le médecin était venu leur décrire l’état de Martin, et Victor et sa femme Elisabeth avaient pu aller le voir dans une chambre des soins intensifs. Ils étaient restés 15 minutes. Quinze petites minutes. Quinze minutes pour dire tout ce que tu ressens pour ton fils, pour le réconforter ? Danny secoua la tête. Il les avaient regarder partir, sur un sec « C’est un Fitzgerald, il s’en sortira. Il n’a plus besoin de nous. ». Ils devaient participer à une réunion, plus importante que la santé de leur fils ! Danny les avait regardés partir, bouche bée. Il avait jeté un coup d’œil à ses collègues, et vu le même air surpris et choqué chez Sam et Vivian ; Jack, lui, était triste, mais pas surpris. C’est ainsi qu’ils avaient décidé de prendre à tour de rôle la garde auprès de Martin. Danny se décida enfin à se retourner vers son collègue, et s’obligea à l’observer attentivement. Martin avait des marques de coups et des brûlures sur tout le corps. Il souffrait de fractures de plusieurs os. Une commotion cérébrale sévère. Mais ce qui était le plus effrayant, c’était l’état de sa gorge. Il avait été étranglé deux fois jusqu’à perte de conscience, et il avait respiré de la fumée, preuve qu’il n’avait pu s’enfuir de l’entrepôt qu’au dernier moment. Les médecins avaient eu du mal à l’intuber, à cause des dégâts occasionnés par l’étranglement et la fumée. Et maintenant, il gisait dans ce lit d’hôpital, relié à des fils et des tubes, avec pour seule compagnie le son des machines. Danny s’assit sur la chaise, et posa gentiment sa main sur celle de Martin. Puis il se décida à parler, à vider son cœur. Martin méritait son attention, et il méritait de savoir qu’il y avait quelqu’un avec lui.
-Martin, je…
Dieu que c’était difficile. Il n’avait jamais su exprimer ses sentiments.
-Martin, je vais t’expliquer les raisons qui m’ont poussé à agir ainsi avec toi, depuis ton arrivée dans l’équipe. Je sais que ce ne sont pas de bonnes raisons, et je ne recherche pas ton pardon. Je veux juste que tu saches que tu n’es pas responsable de la situation. Et je veux que tu saches que je suis désolé. Tellement désolé.
-Danny… Oui, je crois que cette voix appartient à Danny. Je voudrais tellement lui dire que je suis désolé. Peut-être que si je le pense très fort, il m’entendra.
-Je ne sais pas pourquoi il faut toujours que je comprenne les gens, que je comprenne la raison de mes mauvais sentiments envers eux, quand il est trop tard. En fait, si, je sais, c’est parce que je suis horriblement têtu.
Danny se permit un petit rire. Têtu, c’était peu dire.
-Je suis désolé, la situation dans laquelle on s’est retrouvé tous les deux, depuis mon arrivée, est de ma faute. J’ai senti ta réticence à ma venue, et au lieu de m’expliquer avec toi, calmement, j’ai préféré te montrer de quoi j’étais capable, tout en ayant une attitude qui peut faire penser que je suis hautain et arrogant. J’utilise cette attitude pour me protéger des préjugés des autres, pour me protéger de l’influence que mon nom a sur les gens, mais cela m’éloigne d’eux. Je ne sais pas comment faire autrement, car j’agis ainsi depuis si longtemps. Mais avec toi, j’ai tout de suite deviné que ce n’était pas la bonne solution, tu es trop entier, trop honnête pour accepter cela. Mais je ne savais pas comment faire autrement.
-J’ai eu peur de toi. Ou plutôt, pour être honnête, peur de ce que tu représentes. De ce que ton nom représente, pour être plus précis. J’ai tellement vu de gens qui ont eu du travail, des amis, la confiance des autres sans devoir lever le petit doigt, simplement parce qu’ils étaient d’une famille importante. La plupart ne méritait pas tout ça, c’était des frimeurs, des vendus, des personnes sans respects pour les gens, mais qui exigeaient le respect de ces mêmes gens. J’ai souffert de nombreuses fois de ces personnes, j’ai dû me battre un nombre incalculable de fois contre elles, et j’ai à chaque fois perdu. Moi, un petit émigré cubain, alcoolique, sans famille, face à eux, je n’avais aucune chance. Peut-être que ce que je te dis te semble égoïste, frustré, je ne sais pas. Peut-être.
-En fait, je crève d’envie que tu sois fier de moi, que tu aies confiance en moi. J’ai trouvé en toi, et en Jack, Sam et Vivian, une vraie famille. J’ai tout de suite vu comment vous vous faites confiance, comment vous pouvez vous parler, vous comprendre. Et je voulais tellement faire partie de votre famille. Mais à nouveau, toute mon éducation, ainsi que mes efforts pour la rejeter, m’ont empêché de vous exprimer mes sentiments. Et plus le temps passait, plus il était difficile pour moi de laisser tomber mon schéma de conduite habituelle.
-Jack a été le premier à me faire confiance. J’avais enfin trouvé quelqu’un qui croyait en mes possibilités. Et ça m’a redonné une telle confiance en moi ! Et puis, quand tu es arrivé, j’ai cru que tout allait recommencer. Pour moi, ton père avait imposé à Jack ta présence. Et j’ai cru que j’allais à nouveau être mis de côté, que tu allais me rejeter, et que le reste de l’équipe te suivrait. À nouveau, j’avais perdu confiance en moi… Et le pire de tout, c’est que j’avais perdu confiance en Jack, Vivian et Sam. Et je t’en ai voulu pour ça.
-Tu es tellement doué pour ton boulot, tu sais parler aux témoins, aux familles, tu les comprends. Je suis fier d’avoir pu travailler avec toi. Je suis moins fier de nos disputes, et j’espère que tu pourras oublier certaines choses que je t’ai dites.
-Et puis, tu as disparu. On a craint un moment que tu te sois… fait du mal. Avec cette lettre sur ton ordinateur. Mais je sais maintenant que tu ne pourrais pas faire ça. Tu es fort Martin, et courageux. Tu as eu le courage de t’effacer pour moi ; de quitter l’équipe, de peur de la détruire si tu restais. Et je voulais te dire merci pour ça. Et puis…
Danny sentit une boule se former dans sa gorge. Il devait pourtant continuer.
Through these fields of destruction
Baptisms of fire
I’ve watched all your suffering
As the battles ragged higher
-Quand j’ai vu ce que Fletcher t’a fait subir, ça m’a obligé à réfléchir à tout ça, à toi et à tes qualités, et j’ai compris que je ne pourrais pas avoir de meilleur équipier que toi. Et c’est là que j’ai décidé que je te rechercherais jusqu’au bout, et que je t’expliquerais tout. Et surtout, je me suis juré que tu resterais dans cette équipe. Tu le mérites.
And though they did hurt me so bad
In the fear and alarm
You did not desert me
My brothers in arms
-Quand j’étais retenu par Fletcher, quand il me battait ou me parlait, j’ai toujours su au fond de moi que vous me recherchiez désespérément. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber. Pas parce que votre fierté était en jeu, comme Fletcher essayait de me le faire croire, mais parce que vous tenez à moi. Et cela m’a aidé, Danny. C’est cela qui m’a fait tenir, dans les pires moments. J’ai tenu afin de pouvoir vous dire ma fierté, et ma joie de vous avoir connus. J’ai tenu afin de pouvoir te dire que je suis désolé de t’avoir rendu la vie impossible ; désolé de ne pas avoir su te parler, de t’avoir pu laisser croire que je ne t’estimais pas.
There’s so many different worlds
So many different suns
And we have just one world
But we live in different ones
-C’est difficile pour moi de faire confiance aux autres, principalement parce que j’ai dû mal à avoir confiance en moi. J’ai parfois l’impression d’être dans un autre monde que la plupart des gens, et que ces derniers me regardent sans me comprendre, me juge sans me connaître. J’ai cru que tu faisais partie de ces gens-là.
-J’ai vécu dans une famille qui sépare le monde en deux catégories : les puissants et les autres. Ceux qui ont l’argent, le pouvoir et la gloire, et les autres. Je n’adhère pas à cette vision, je la rejette de toutes mes forces, mais j’ai dû vivre si longtemps en faisant croire à mon père que je le suivais bien gentiment, que mon comportement peut faire croire aux gens que je me crois sur une planète supérieure à la leur.
Now the sun’s gone to hell
And the moon rising high
Let me bid you farewell
Every man has to die
But it’s written in the starlight
And every line on your palm
We’re fools to make war
On our brothers in arms
-Je ne sais pas si tu sauras jamais ce que je t’ai dit alors que je gis sur ce lit, mais j’espère de tout mon cœur que tu ne te sentiras pas responsable de quoi que ce soit. Et j’espère que tu continueras de croire en toi et en l’équipe. Pour moi. Pour toi.
Danny essuya une larme. Il n’aurait pas cru pouvoir se livrer ainsi. Même si Martin ne l’entendait sûrement pas, énoncer à voix haute ses sentiments étaient quelque chose de difficile, terrifiant même. Il regarda intensément le visage de Martin. Il sentait quelque chose dans son cœur, comme si son collègue essayait de lui dire quelque chose. Comme… un au revoir.
Les bips bips affolés de la machine le firent sursauter. Il se leva d’un bon de sa chaise, jetant des regards frénétiques sur la ligne plate du cardiogramme, sur le visage de Martin, en direction de la porte. Non ! Quelqu’un ! Que quelqu’un vienne aider Martin ! La porte de la chambre s’ouvrit brusquement, une nuée d’infirmières et de médecins se précipitèrent au chevet de Martin, bousculant Danny. Ce dernier recula lentement vers la porte, sans lâcher du regard la frénésie autour de son collègue. Il vit le corps de Martin se soulever suite au choc électrique, et se détourna enfin, le visage ruisselant de larmes. Il fit trois pas dans le couloir, les jambes flageolantes, et se laissa glisser le long du mur.
Il ne savait pas combien de temps avait passé, quand un médecin s’adressa à lui. Il ne savait même pas depuis combien de temps cet homme essayait de lui parler. Peu à peu, les mots prirent consistance dans sa tête, ils commencèrent enfin à former quelque chose d’intelligible.
-Vous… vous voulez que je rentre dans cette chambre ?
-Il faut que quelqu’un qu’il connaisse lui parle, essaye de le calmer. Nous ne pouvons plus lui injecter de calmants, il a eu trop de doses en trop peu de temps. Son cœur n’a pas supporté, et a fait un arrêt. Nous avons pu le ramener, il est maintenant conscient, mais désorienté, il ne sait pas où il est, il ne reconnaît personne, il est effrayé. Il doit se calmer, ou il se fera encore plus de mal. Si vous ne voulez pas tenter le coup, nous devrons utiliser les contentions, et après ce qu’il a vécu, cela va sans dire qu’il aura du mal à les supporter.
-Des contentions !? Vous ne pouvez pas faire ça !
-Nous y serons obligés s’il ne se calme pas. Vous êtes ici le seul à pouvoir empêcher ça.
-Mais… mais je ne peux pas ! Il ne peut pas me faire confiance ! J’ai été odieux avec lui juste avant qu’il ne disparaisse. Et puis, son cœur s’est arrêté de battre quand je lui parlais, je ne peux pas le…
-On m’a dit que quand on l’a retrouvé, c’est votre voix qui l’a calmé.
-Non, c’est l’injection faite par l’ambulancier !
-Ce n’est pas ce qu’on m’a dit. Mais si vous ne voulez pas essayer…
Le médecin se dirigea vers la chambre de Martin, sans se retourner.
-Attendez !
Danny se leva précipitamment, et retint le médecin par le bras sur le seuil de la chambre.
-Je… je vais essayer.
Le médecin hocha la tête, et fit sortir les infirmières qui essayaient de calmer Martin. Danny vit son collègue complètement paniqué, les yeux exorbités par la peur. Il se précipita vers lui, lui parlant d’une voix rendue râpe par l’angoisse et la tristesse. Il posa doucement ses mains sur les épaules de Martin, sans pression, juste pour lui faire comprendre qu’il était là. Peu à peu, il le sentit se relaxer, il réussit à fixer son regard dans le sien, et il comprit que Martin le reconnaissait, et lui faisait confiance. Danny sentit son cœur se réchauffer. Il comprit qu’ils avaient enfin trouvé ce qu’ils cherchaient tous les deux : plus qu’un ami, un frère.
FIN
Mouchette- Directeur Adjoint
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Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
comment ça c'et déjà la fin
mais je veux pas moi que ce soit déjà la fin !!!!!!!!
et en plus on sait pas comment il s'en sort, alors tu vois qu'il faut encore plein de suite !!!!
Ce bout était tout émotionnant, cette conversation métaphysique entre les deux sublimes.
Moi j'ai adoré ta fic et je suis tout triste qu'elle soit finie
en tout cas si tu te décides pas à continuer j'ai plus qu'à te dire BRAVO LA MISS !!!
:bravobom :bravobom :bravobom :bravobom :bravobom
mais je veux pas moi que ce soit déjà la fin !!!!!!!!
et en plus on sait pas comment il s'en sort, alors tu vois qu'il faut encore plein de suite !!!!
Ce bout était tout émotionnant, cette conversation métaphysique entre les deux sublimes.
Moi j'ai adoré ta fic et je suis tout triste qu'elle soit finie
en tout cas si tu te décides pas à continuer j'ai plus qu'à te dire BRAVO LA MISS !!!
:bravobom :bravobom :bravobom :bravobom :bravobom
Théana- Président des USA
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Et merci à celle qui me souhaite un bon anniversaire en avance soi-disant pour me faire mettre une suite... Je ne citerai pas de nom, hein, nady? Laughing Wink
ben moi pas avoir fais expres, moi avoir confondu... on va dire que c'est la fatigue, c'est dur les vacances
En tout cas felicitation pour cette fic de qualité!! Et on a pas envie qu'elle se termine quand on prend autant de plaisir a la lire!!
C'etait tres agreable a lire!!
Et je confirme, cette fin etait superbe et comme dirait Théana c'etait tres emotionnant!!
Et tu pourrais y faire une suite nan?
Sinon ben on espere te relire tres vite quand même!
nady- Agent spécial
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Age : 45
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 13/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Cette fin est géantissime.....
Mais c'est vrai que c'est tôt
J'ai adoré cette fic de bout en bout...le pauvre Martin tu ne lui as pas fait de cadeau
Alors là j'ai mouru....
Mais je suis d'accord avec Théana...il s'en sort ou pas?
Merci, merci, merci pour cette fic et vivement qu'on puisse te relire
Mais c'est vrai que c'est tôt
J'ai adoré cette fic de bout en bout...le pauvre Martin tu ne lui as pas fait de cadeau
Il comprit qu’ils avaient enfin trouvé ce qu’ils cherchaient tous les deux : plus qu’un ami, un frère.
Alors là j'ai mouru....
Mais je suis d'accord avec Théana...il s'en sort ou pas?
Merci, merci, merci pour cette fic et vivement qu'on puisse te relire
clara- Président des USA
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Age : 44
Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Comment as-tu pu douter autant de toi ?
Cette fin est magnifique, et elle finit très bien....
Un petit bémol quand même, comme dit Théana, on aimerait bien savoir ce qui se passe ensuite, et j'aurai bien aimé en savoir plus sur sa captivité (gnééééé sadique... !!).
Mais ça a été ton choix d'arrêter ta fic ici, donc on le respecte... même si j'avoue être un peu déçue, on aurait aimé en avoir plus, je pense que ta fic méritait que tu t'y penches un peu plus sur la fin...
Mais cette fic était superbe comme à chaque fois que tu en écris une... centrée sur notre Marty en plus donc ça c'est bonheur....
J'espère que tu en écriras d'autres prochainement...
Cette fin est magnifique, et elle finit très bien....
Un petit bémol quand même, comme dit Théana, on aimerait bien savoir ce qui se passe ensuite, et j'aurai bien aimé en savoir plus sur sa captivité (gnééééé sadique... !!).
Mais ça a été ton choix d'arrêter ta fic ici, donc on le respecte... même si j'avoue être un peu déçue, on aurait aimé en avoir plus, je pense que ta fic méritait que tu t'y penches un peu plus sur la fin...
Mais cette fic était superbe comme à chaque fois que tu en écris une... centrée sur notre Marty en plus donc ça c'est bonheur....
J'espère que tu en écriras d'autres prochainement...
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Merci merci à vous!! Je suis contente que cette fic vous a plu. C'est pas toujours facile de garder confiance en soi quand on voit le niveau qu'il y a sur ce forum, mais vos encouragements sont précieux.
Cette fic prend vraiment fin ici, mais c'est vrai qu'il y a toujours la possibilité d'en faire une nouvelle, en lien avec ce qu'il s'est passé dans celle-ci, une sorte de "Brothers in arms 2 le retour"... Si vous êtes vraiment intéressées, je pense que je pourrais sérieusement y songer (j'ai pas envie de vous laisser frustrées, non plus).
Et encore merci pour cette fic, et pour vos commentaires!!!!
Cette fic prend vraiment fin ici, mais c'est vrai qu'il y a toujours la possibilité d'en faire une nouvelle, en lien avec ce qu'il s'est passé dans celle-ci, une sorte de "Brothers in arms 2 le retour"... Si vous êtes vraiment intéressées, je pense que je pourrais sérieusement y songer (j'ai pas envie de vous laisser frustrées, non plus).
Et encore merci pour cette fic, et pour vos commentaires!!!!
Mouchette- Directeur Adjoint
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Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
moi je vote pour un "Brothers in arms 2"
Oh, vi, oh, vi
Oh, vi, oh, vi
clara- Président des USA
- Nombre de messages : 8775
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Localisation : sous la douche!
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
moi aussi !!!!
le 2, le 3 et même le 4
le 2, le 3 et même le 4
Théana- Président des USA
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Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
moi aussi !!!!!!!!!!
C'est cool si tu as dans l'idée de la "continuer" finalement cette fic...
Y'a plein de choses que je veux savoir !!!!
Et puis te lire surtout ....
C'est cool si tu as dans l'idée de la "continuer" finalement cette fic...
Y'a plein de choses que je veux savoir !!!!
Et puis te lire surtout ....
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
quelle magnifique fic...vraiment felicitation
je vote comme tout le monde pour la suite...Martin en personnage central c'est absolument
je vote comme tout le monde pour la suite...Martin en personnage central c'est absolument
manon- Stagiaire au FBI
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Age : 35
Localisation : st etienne
Date d'inscription : 30/08/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
J'arrive après tout le monde mais pour dire la même chose, c'était une superbe fic bravo et j'espère qu'on aura une suite, on ne se lasse jamais de Martin
emimartin- Elève à Quantico
- Nombre de messages : 493
Age : 42
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 20/05/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Merci manon et emimartin pour vos comm'!
Bon, puisque cela semble intéresser certaines personnes d'avoir une suite, je vais gentiment me mettre à la tâche.
Bon, puisque cela semble intéresser certaines personnes d'avoir une suite, je vais gentiment me mettre à la tâche.
Mouchette- Directeur Adjoint
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Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Chouette, tu post aujourdh'ui ?????
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Non!!!!!!!!!!! J'ai dit que je m'y mettais geeeeentiiiiiiiiment, donc, il faudra attendre, disons, un mois?
Bon, si tu veux, je peux poster la 1e phrase, mais ça ne t'avancera pas plus...
Bon, si tu veux, je peux poster la 1e phrase, mais ça ne t'avancera pas plus...
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
UN MOIS ?????????
à mais non, mais non, mais non
ça va pas du tout ça
bon la ce soir, c'est peut être un peu juste mais demain sera parfait, une page par jour, ça va vite
à mais non, mais non, mais non
ça va pas du tout ça
bon la ce soir, c'est peut être un peu juste mais demain sera parfait, une page par jour, ça va vite
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Une page par jour?! Vue que je suis hors de chez moi plus de 12h chaque jour de la semaine, je mange et dors quand, si je dois pondre UNE PAGE PAR JOUR!!
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
je pars le matin vers 7h00 - 7h30 selon les jours et je rentre pas avant 19h00..... et il m'arrive de travailler une fois par semaine en soirée.......
donc je partage ton triste sort mais c'est faisable voyons !!!!! ça va vite une page, il faut 1/2 demi-heure - 3/4 d'heure au plus !!!!!
allez haut les coeurs !!!!!
donc je partage ton triste sort mais c'est faisable voyons !!!!! ça va vite une page, il faut 1/2 demi-heure - 3/4 d'heure au plus !!!!!
allez haut les coeurs !!!!!
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
D'accord on est dans le même cas question temps. Mais question écriture, je pense (je sais!) que tu asdonc je partage ton triste sort mais c'est faisable voyons !!!!!
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
D'accord on est dans le même cas question temps. Mais question écriture, je pense (je sais!) que tu as légèrementbeaucoup plus de facilité que moi. Je me demande même si tu n'écris pas en dormant!
non je te rassures !!! c'est juste que l'histoire se conçoit dans ma tête quand je ne suis pas occupée (en voiture, quand je fais du ménage, dans les transports, lors d'une réunion inutile qui me gonfle). Après je n'ai plus qu'à taper comme si je recopiait quelque chose, ça va vite.
Théana- Président des USA
- Nombre de messages : 9841
Localisation : sous la couette, de préférence ...
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
Ca va vite et c'est toujours super bien!
Mais fais gaffe quand même en voiture! Et en réunion, on t'a jamais posé une question quand tu étais en pleine création, donc totalement ailleurs?
Mais fais gaffe quand même en voiture! Et en réunion, on t'a jamais posé une question quand tu étais en pleine création, donc totalement ailleurs?
Mouchette- Directeur Adjoint
- Nombre de messages : 3584
Age : 43
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 15/09/2006
Re: Brothers in arms (complète) (PG13)
vous etes grave les filles!!!!!!!!
Mouchette j'attends avec impatience ta fic mais oublie quand meme pas de vivre pour l'ecrire
non personne ne te mets la pression....
manon- Stagiaire au FBI
- Nombre de messages : 799
Age : 35
Localisation : st etienne
Date d'inscription : 30/08/2006
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