Brothers in arms (complète) (PG13)

Moi aussi je demande une suite...
C'est vrai que là on n'a pas eu de nouvelles de Martin....

Alors dès que tu peux Mouchette ce sera avec grand plaisir que je lirai ta suite...

cette interrogatoire était un délice

Un Jack toujours calme et serein et Danny qui s'énerve

Je me serais cru devant ma TV

vivement la suite Pour avoir des nouvelles de Martin

Merci
Pour avoir des nouvelles de Martin, je suis pas sûre que vous soyez psychologiquement prêtes, donc, pas encore de suite!

ben je me suis préparée psychologiquement alors tu peux la mettre la suite si tu veux !!!

veux plus attendre moi !!

ben, elle est ou la suite ????

Aïe aïe aïe! Faut que je trouve une autre excuse... En fait, je pourrais vous mettre la suite, mais après je n'ai plus du tout d'avance, et je n'aime pas ça car je dois souvent reprendre pour changer, pour ne pas avoir d'incohérences. Et ces temps, j'ai pas trop le temps d'écrire... J'espère pouvoir finir la fic pendant ma toute petite semaine de vacances (qui se situe dans 1 semaine et demi). Patience, donc... Mais promis, je mettrai quand même un bout au plus tard ce week-end!

Pas avant....bon Ok, soyons patients

Bon, voila un petit bout rien que pour vous!

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Martin grelottait, il avait faim, et sa dernière bouteille d’eau était presque vide. Le soir commençait à tomber, cela devait faire plusieurs heures que son kidnappeur l’avait laissé seul dans la pièce. Martin avait eu le temps de tourner et retourner dans sa tête toutes les raisons possibles pour que l’homme agisse ainsi, mais il ne trouvait rien de concret. L’homme connaissait son nom, alors qu’il était parti courir sans papiers d’identité, donc il n’avait pas été choisi au hasard. Ou en tout cas, l’homme n’avait pas agi sur un coup de tête. Martin était sûr de l’avoir déjà vu quelque part, mais il ne savait toujours pas où, ni quand. L’homme semblait connaître les problèmes qu’il avait avec ses collègues, car pourquoi sinon aurait-il mentionné leur ENVIE de le retrouver ? Il avait aussi dit qu’il doutait des capacités de l’équipe. Et qu’il n’était plus ce qu’il semblait être… depuis longtemps. Ce pouvait-il que cet homme ait eu des problèmes avec l’équipe des portés disparus ? Avant sa venue à NY ? Mais alors, pourquoi s’en prendre à lui ? Et pourquoi son visage lui semblait-il familier ? Non, il ne trouvait rien de concluant dans ces maigres indices, et la faiblesse qu’il ressentait l’empêchait de mieux se concentrer.

Martin tourna la tête quand il entendit la porte s’ouvrir. Son agresseur entra, une chaise à la main, qu’il déposa au centre de la pièce. Il se dirigea vers Martin, lui défit rapidement ses liens aux chevilles, le mit debout et le força à s’asseoir sur la chaise. Il lui défit les liens de ses poignets, et lui attacha les bras au dossier de la chaise. Il avait agi rapidement, sans laisser à Martin le temps de se reprendre et de réagir. Martin comprit qu’il avait manqué sa chance. Il jura intérieurement, secoua la tête pour s’éclaircir les idées. Il se promit de ne pas laisser passer une deuxième chance pareille, si l’occasion lui en était donnée.

L’homme se mit devant lui, et avant que Martin ait pu imaginer quoi que ce soit, il le gifla violemment, deux fois de suite, sur la joue gauche. Martin sentit sa lèvre inférieure éclater sous la force des coups. Il eut à peine le temps d’apercevoir son agresseur relever le bras qu’un violent coup de poing atterrit sur sa pommette gauche. La douleur lui arracha un grognement, il sentit la peau sous son œil se gonfler instantanément. Il réussit malgré tout à fixer son regard sur son agresseur, tentant de lire dans ses yeux. Il n’y vit aucun plaisir, aucune jubilation à lui faire subir cela. Cela lui fit presque peur : il aurait put cerner cet homme s’il y avait pris du plaisir, il aurait su comment agir avec lui. S’il ne prenait pas de plaisir, il ne semblait pourtant pas dégoûté, ni honteux ou gêné. Là encore, Martin en fut déstabilisé : si l’homme avait exprimé ces sentiments-là, il aurait peut-être pu le convaincre d’arrêter, de le laisser en paix. Mais l’homme ne montrait pas plus de plaisir ou de culpabilité que s’il avait été en train de manger une pomme. C’était angoissant pour Martin, qui ne comprenait pas, et qui sentait que la situation était totalement hors de son contrôle.

Martin ferma les yeux quand un violent éclair de lumière blessa ses yeux douloureux. L’homme venait de le prendre en photo.

-Je vais envoyer cette photo à votre équipe, je reviens ensuite.

La voix de l’homme n’avait pas changée, elle était toujours aussi douce. Martin tenta de garder les idées claires, mais il avait l’impression que son cerveau cognait violemment contre son crâne.

L’homme revint :

-Nous allons déménager, agent Fitzgerald. Vos collègues ne devraient pas trop tarder à trouver où a été prise cette photo. Et je ne voudrais pas vous voir me quitter si rapidement.

Martin tenta de réunir ses forces. S’ils devaient partir d’ici, l’homme devrait le détacher, au moins un moment. C’était une occasion qu’il ne devait pas manquer. Il devait tenter de s’enfuir d’ici, ou au moins de retarder aussi longtemps que possible son agresseur afin que l’équipe ait le temps de le retrouver. L’homme était passé derrière lui, Martin tendit ses muscles, prêt à bondir. La désillusion fut cruelle, la peur et la douleur d’autant plus forte : Martin sentit avec horreur un cordon passer autour de son cou, il le sentit s’enfoncer dans sa peau déjà blessée, il sentit le passage de l’air diminuer de plus en plus, jusqu’à ce que plus rien ne passe. La panique explosa dans son cerveau, il se tortilla sur la chaise, il happa le vide de sa bouche, et accueillit avec soulagement les ténèbres.

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La suite, euh, ben, ce sera pour plus tard. Dans quelques jours.

Youki Youki Youki Youki Youki Youki Youki !!!!!!!!!!!!!!!
Enfin une suite !!!!!
Bon c'était court, mais intense !!!!!!!!!! Et on a des news de Martin.... mais bon elles sont pas vraiment rassurantes
Vivement "dans quelques jours" tiens...... qu'on ait la suite !!!!!!!!!!!!!!!

sadikkkkkkkkkk !!!!!!!!!!

tu fais quoi à ce pauvre fitzy ??????????


la suite !!!!!!!!!!!!!

Bon, "quelques jours" sont passés, donc voilà une suite comme promis.


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Jack, Vivian et Sam étudiaient toujours les anciens dossiers de Martin quand Danny revint leur apprendre que tous les alibis de Clearwater étaient corrects. Le jeune agent s’assit lourdement sur sa chaise, n’osant demander à ses collègues s’ils avaient quelque chose de nouveau. À voir leurs têtes, il se doutait bien que ce n’était pas le cas. Jack le lui confirma : ils n’avaient rien.

Danny se perdit dans ses pensées. Il essayait de comprendre pourquoi il avait été si difficile avec son nouveau collègue, pourquoi il ne l’avait pas laissé faire ses preuves et pourquoi, quand Martin avait démontré ses qualités, il ne les avaient pas acceptées. Il avait beau réfléchir, il ne voyait qu’une seule et même réponse à ces questions : le nom de famille de Martin. Fitzgerald. Pour Danny, ce nom représentait la facilité, le pistonnage, et la protection politique. Tout ce qu’il détestait. Et voir ainsi arriver le fils de Victor Fitzgerald lui avait fait craindre pour l’ambiance de l’équipe, et peut-être même pour son poste. Bref, il avait repoussé Martin, afin de le pousser à partir. Il se disait que lui mener la vie dure le ferait lâcher prise, il ne pensait pas Martin capable de se battre contre ça. Il avait eu tort, il le savait bien maintenant. Il le savait depuis longtemps, en fait, mais il était déjà aller trop loin pour faire machine arrière : sa fierté et son entêtement ne lui avaient pas autorisé à formuler un traité de paix. Danny secoua la tête, il ne servait à rien pour l’instant de ruminer, il devait se concentrer sur l’enquête. Il tourna et retourna dans sa tête les pauvres données qu’ils avaient, tapotant pensivement sur son clavier d’ordinateur, allumant ainsi l’écran. Un message lui signala qu’un nouveau message venait d’arriver dans sa boîte professionnelle. Distraitement, il l’ouvrit. Il reçut un tel choc qu’il ne put rien dire durant plusieurs secondes. Ses trois collègues, plongés dans les dossiers, n’avaient rien remarqué. Il respira profondément, et les appela, tentant de maîtriser sa voix. Apparemment, il n’avait pas réussi à cacher son angoisse, car ils tournèrent vivement la tête vers lui, n’osant pas faire un geste.

-Je crois que vous devriez venir voir ça.

Jack, puis Sam et enfin Vivian se levèrent, lentement, craignant de voir quelque chose d’encore pire que la vidéo de l’agression de Martin. Ils s’approchèrent de l’écran, et plongèrent leurs regards dans les yeux bleus de leur collègue disparu. Puis les hématomes sur son visage leur frappèrent les yeux, puis la marque de strangulation sur son cou. Martin était vivant, mais qu’était-il en train de subir ? Combien de temps allait-il être torturé, et combien de temps avaient-ils pour le retrouver, avant qu’il ne soit trop tard ? Pour la troisième fois de la journée, ils étaient tétanisés. Jack se secoua, il ne pouvait pas permettre cela, ou il devrait décider de laisser l’enquête à une autre équipe, moins impliquée émotionnellement. Et la dernière chose qu’il voulait, c’était de laisser tomber cette enquête, c’était à eux de ramener Martin à la maison. Jack savait que ses trois agents pensaient la même chose, alors il se força à prendre professionnellement les choses en main.

-Au moins, on sait qu’il est vivant. Danny, tu transfères immédiatement cette photo au service d’analyse. Je veux qu’ils me trouvent où cette photo à été prise. On voit une fenêtre derrière Martin, qu’ils se débrouillent avec ça !

Le ton énergique de Jack réveilla tout le monde, et ils se remirent tous à réfléchir énergiquement.

-Vois-tu la raison pour laquelle on t’a envoyé cette photo, Danny ? Pourquoi à toi ?

-Non, j’en sais rien. Peut-être… Je ne sais pas, beaucoup de monde sait qu’on ne s’entend pas bien… Peut-être est-ce une sorte de… punition ?

Sam, qui s’était dirigée vers son bureau, poussa un cri. Ils se tournèrent tous vers elle.

-Je… J’ai aussi reçu cette photo !

Vivian et Jack vérifièrent, et ils trouvèrent aussi la photo de Martin sur leurs boîtes. Jack ordonna à tous leurs techniciens de travailler sur la photo, afin de déterminer où elle avait été prise, ainsi que sur le message, pour savoir d’où il avait été envoyé. Dans l’attente de résultats, les quatre agents essayèrent d’analyser le pourquoi de cet envoi. Peu à peu, un doute se fit dans leurs têtes : ce pouvait-il que Martin ne soit pas personnellement visé dans cette affaire ? Ce pouvait-il que ce soit l’équipe en elle-même qui soit visée ? Jusqu’à présent, ils n’avaient rien trouvé dans les dossiers de leur collègue qui aurait pu les mettre sur une piste sérieuse. C’était peut-être parce qu’il n’y avait rien dans ces dossiers. Peut-être devraient-ils vérifier dans les dossiers du reste de l’équipe ?

-Agent Malone !

Le principal technicien arrivait en courant dans l’open space. Les quatre agents se levèrent d’un seul mouvement, prêts à agir.

-Agent Malone, on sait d’où a été envoyé le message. Et ça concorde avec l’endroit où a été prise la photo. En tout cas, c’est dans le même quartier.

-Même quartier, mais on ne peut pas savoir si c’est le même bâtiment ?

-Ça, on ne peut pas le dire. Pour le message, on a l’adresse exacte. Pour la photo, on a pu déterminer le quartier grâce à ce que l’on voit depuis la fenêtre, mais il y a trop peu d’indices pour donner la localisation précise, je suis désolé.

-La personne qui a envoyé le message n’a pas tenté de masquer l’adresse ? intervint Vivian.

-Non, absolument rien n’a été tenté pour cacher l’adresse.

-Est-ce que la personne en est incapable, ou… commença Sam.

-Où elle veut qu’on trouve d’où le message a été envoyé, compléta Danny d’une voix blanche.

Les agents se regardèrent, imaginant bien malgré eux la seule raison qui leur paraissait valable pour agir ainsi : l’agresseur de Martin voulait les attirer là-bas. Et ils craignaient tous ce qu’ils pourraient y trouver.

-Très bien, il nous faut plusieurs équipes et unités de SWAT. Nous nous occuperons du bâtiment d’où est parti le message, tandis que les autres équipes d’intervention se tiendront prêtes à agir dans les autres maisons, au cas où nous ne serions pas dans le bon bâtiment.

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euh, ça me rassure pas du tout ta suite


mais pas du tout du tout .......


encore un bout ????

Très belle suite mais c'est vrai que c'est un peu stressant! Alors n'attends pas trop pour nous donner une suite stp

moi j'aime toujours autant, c'est passionnnant....

par contre....le pauvre Martin

C'est qui ce type bizaroïde?

Il faut sauver Martyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy

Encore, encore

Tiens, clara, rentrée de vacances? J'espère que tu as bien profité...

Voici une petite suite pour toutes celles qui l'attendent.

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Le quartier était bouclé, toutes les forces de police étaient sur les dents. Tout le monde était toujours plus nerveux quand il s’agissait de l’un des leurs. S’attaquer à un policier ou un agent du FBI n’était pas une bonne idée : la rancune, presque la haine de toutes les forces de l’ordre vous poursuivait jusqu’au bout, aucune cachette ne serait jamais sûre pour l’agresseur, et se faire arrêter était plus rare que de se faire tuer.

Quand Jack et Danny arrivèrent sur les lieux, ils furent frappés de stupeur : ils connaissaient cette rue, ils connaissaient la maison ! Ils se regardèrent, sentant un mélange de peur, de rage et de frustration les saisir. Sam et Vivian, assises sur les sièges arrière de la voiture, remarquèrent l’expression stupéfaite de leurs deux collègues.

-Jack, que ce passe-t-il ?

-Je… Danny et moi sommes déjà venus dans cette maison. Lors d’une ancienne enquête.

-Quoi ?!

-Vous vous souvenez de l’enquête sur Elsa Fletcher ?

-Oui. Celle où l’on a longtemps soupçonné son mari. Puis on a trouvé une autre piste. Trois jours après sa disparition, on a retrouvé Elsa Fletcher. Morte.

-C’est Danny et moi qui nous sommes occupés de la maison et du mari d’Elsa Fletcher. Ils habitaient ici.

Vivian et Sam se regardèrent, commençant à saisir où tout cela les menait. Danny serrait et desserrait les poings. L’affaire Fletcher. La femme du sergent Fletcher. Jack lança un coup d’œil à son jeune agent, et reprit :

-Le sergent Fletcher était dans nos locaux ce matin.

-Quoi ?!

À nouveau, Vivian et Sam laissaient s’exprimer leur incrédulité. Danny intervint, tentant de contenir sa colère :

-Ce salaud a décidé de se venger de la mort de sa femme en s’en prenant à toute l’équipe. Et il a encore eu le culot de venir nous narguer dans nos locaux. Il ne perd rien pour attendre.

-Mais, pourquoi s’en prendre à Martin ? C’était un an avant son arrivée dans l’équipe.

-On ne sait pas ce qu’il peut se passer dans l’esprit de ces dérangés. Peut-être fait-il ça pour nous faire souffrir tous les quatre de la même manière qu’il a souffert lui.

-Tu veux dire… commença Sam d’une voix blanche. Tu veux dire qu’il a enlevé Martin pour nous faire souffrir ? Et qu’il va le…

Le silence se fit dans la voiture. Ils savaient tous ce qu’avait subi Elsa Fletcher, et comment elle était morte. Et si Fletcher décidait d’infliger cela à Martin…

-Elsa Fletcher est morte trois jours après son enlèvement. S’il applique le même schéma avec Martin, nous ne trouverons rien dans cette maison.

Les quatre agents se regardèrent, ne sachant pas s’ils devaient être soulagés ou non. Mais ils avaient un boulot à faire, ils avaient un collègue à sauver, ils sortirent donc de la voiture, prêts à tout.


****************
oui, je sais, c'est une toute toute petite suite... (mais j'avance pas dans l'écriture...)

cool une suite!!

L'histoire commence a se decanter , on commence a en savoir un peu plus!! c' est tres bien tout ça!!

En cas si tu n'est pas inspirée pour ecrire, ben ça ne se voit pas parce que ce passage etait tres bien ecrit!!

J'espere que tu auras du courage pour ecrire la suite?...bientôt ?

Moi aussi j'ai adoré cette suite, et puis on en apprend un peu mais là je crois que ça fait encore plus peur pour le pauvre Martin

Dans quelle galère tu nous l'a mis

Mais cette histoire avec Fletcher m'a mise l'eau à la bouche j'en veux encore.

Et ne doute pas de toi, cette histoire est super

Tiens, clara, rentrée de vacances? J'espère que tu as bien profité...

Vi je suis de retour, oh oui, merci j'en ai bien profité...trop court c'est tout, comme toujours quand il s'agit de vacances

nady a écrit: cool une suite!!

L'histoire commence a se decanter , on commence a en savoir un peu plus!! c' est tres bien tout ça!!

En cas si tu n'est pas inspirée pour ecrire, ben ça ne se voit pas parce que ce passage etait tres bien ecrit!!

J'espere que tu auras du courage pour ecrire la suite?...bientôt ?

Ouais et mes f..... que t'es pas inspirée oui !!!

Alors, et bien comme d'hab c'est trop bien... mais notre pauvre Martin ce serait bien qu'on ait des news de lui.. mais je sens que tu vas la jouer sadique.... vu la tête que les agents font lorsqu'ils évoque le calvaire qu'a vécu la jeune femme (en même temps c'est trop bon si tu la joues sadique )

Alors, même si je suis pas beaucoup là en ce moment, j'attends ta suite avec grande impatience...

Je t'aime Mouchette, tu n'oublies pas !!!!

C'est pas que je suis pas inspirée, c'est que je ne trouve pas le temps d'écrire (tout) ce que j'ai en tête. Et puis, tous les passages que je vous mets, ça fait déjà depuis au moins 1 mois qu'ils sont écrits...

Encore une toute petite suite pour vous faire patienter (bien que ça ne fasse pas avancer le schmilblick, comme on dit)

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-Libre !

-Libre ! Personne ici non plus.

-Jack ! Ici !

Jack rejoignit Sam, suivi par Vivian et Danny. Sam se trouvait dans une petite pièce, vide de tout mobilier à part une chaise, par terre. Elle était accroupie près de la chaise.

-Il y a quelques taches de sang. D’après la quantité, elles pourraient très bien provenir des coups que Martin a reçus au visage.

-J’appelle l’équipe scientifique.

Mais avant que Jack n’ait pu composer le numéro, son téléphone sonna.

-Malone !

-Alors, agent Malone, vous avez enfin fait quelques pas dans la bonne direction ?

-Fletcher !

Danny réagit immédiatement, et ordonna par téléphone que les techniciens retracent l’appel reçu par Jack.

-Fletcher, je croyais que vous alliez mieux ! Que vous aviez accepté

Un rire léger interrompit Jack.

-Agent Malone, je pense à ma femme tous les jours. Je pense tous les jours au temps perdu à cause de l’incapacité de votre équipe. Il fallait bien qu’un jour vous payiez pour cela.

-Alors pourquoi s’en prendre à Martin ? Il n’y est pour rien, il n’était pas là.

-C’est ça qui est important. Il n’y est pour rien, comme Elsa. Il s’est trouvé dans la mauvaise équipe au mauvais moment, comme Elsa s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Et vous souffrirez tous les quatre comme j’ai souffert.

Jack était médusé par le ton calme et presque serein du sergent. Il comprit que Fletcher avait complètement perdu la raison, ce qui le rendait imprévisible, et extrêmement dangereux. Dire qu’il lui avait serré la main ce matin-même ! Et qu’il n’avait rien vu, rien senti.

-L’homme qui a fait subir ça à Elsa a été jugé et condamné. C’est lui le seul et l’unique responsable. Vous ne ferez pas revenir votre femme en agissant ainsi. Vous salissez sa mémoire.

Un nouveau petit rire retentit.

-Agent Malone, vous ne devriez pas m’énerver avec vos insanités. Votre jeune agent pourrait en subir les conséquences.

-Qu’est-ce que vous voulez, alors ? Pourquoi m’appelez-vous ?

-Pour vous aider. Ou pour vous perdre.

Et Fletcher raccrocha. Jack regarda Danny, qui était toujours au téléphone avec les techniciens.

-Il est tout près ! Il a raccroché trop vite pour le localiser précisément, mais il est dans le quartier !



Les voitures de patrouille tournaient et tournaient dans le quartier, mais il ne faisait aucun doute que Fletcher était loin depuis longtemps, il ne les avait pas attendus. Fletcher était allé se cacher ailleurs, avec Martin. Et ils n’avaient aucune idée de l’endroit où cela pouvait être. Ils avaient vérifié les lieux où Elsa Fletcher avait été retenue et tuée, et même les endroits où ils l’avaient cherchée en vain durant l’enquête, mais aucun de ces endroits ne contenait la présence de Fletcher ou de Martin. Le sang trouvé sur le sol de l’ancienne maison de Fletcher appartenait bien à Martin. Il y avait partout les empreintes de Fletcher, celles de Martin ne se trouvaient que dans la petite pièce.

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j'ai rattrapé mon retard, ça a été vite, deux suites.......


ça me laisse sur ma faim alors la suite ?????????

Tu ne fais qu'augmenter l'angoisse là

Alors c'est bien Fletcher

Tu vas dire que je suis bizarre,k mais j'adore ce genre d'histoire où il y a vengeance C'est toujours trés cruelle et injuste...oui je sais

Enfin ce que je veux dire, c'est que c'est dans ce genre de situation que la psychologie dees être humains est mis en avant...et tu le fais trés bien alors j'en redemande

Encore encore...avec des nouvelles de Martin

clara a écrit:Tu vas dire que je suis bizarre,k mais j'adore ce genre d'histoire où il y a vengeance C'est toujours trés cruelle et injuste...oui je sais

Je ne peux pas dire que tu es bizarre, parce que sinon,vu que j'écris ce genre d'histoire, je dois encore être plus bizarre

Enfin ce que je veux dire, c'est que c'est dans ce genre de situation que la psychologie dees être humains est mis en avant...et tu le fais trés bien alors j'en redemande

eh bien, merci pour ce compliment, d'autant plus précieux que je me pose toujours la question si je ne reste pas trop superficielle... (l'angoisse de celle qui n'a pas trop confiance en soi, quoi )

Encore encore...avec des nouvelles de Martin

ça me laisse sur ma faim alors la suite ?????????

Voilà voilà, il suffit de demander... Et c'est même plus long que les 2 suites précédentes.

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Il étouffe. Quelque chose enserre sa gorge, il essaye de l’enlever, mais il est trop faible, la chose le serre encore plus fort. Il entend une voix douce qui semble vouloir le calmer, mais quand il essaye de comprendre les paroles, cette voix se transforme en un rire sardonique. Danny est là ! Il s’approche de lui, lui parle gentiment. Martin lui demande de l’aider, et Danny se met à rire, à rire. Et il lui crie de se laisser emporter, que personne ne le regrettera, et il les voit tous faire la fête, et lui étouffe, et ils boivent à sa santé, ils boivent à sa mort !

Martin réussit à ouvrir les yeux, il entendit sa respiration sifflante. Il respirait mal, mais il respirait ! Il était perdu dans un cauchemar, Danny n’était pas ici, il ne riait pas de lui. Mais finalement, la réalité n’était sûrement pas mieux que le cauchemar. Sa gorge et ses poumons lui semblaient être en feu, sa face le lançait douloureusement, son cerveau semblait cogner contre ses tempes, et son estomac semblait vouloir se retourner. Il ne comprenait pas pourquoi il se trouvait si mal. Il fixait le plafond, et n’arrivait pas à deviner où il pouvait être. Il tourna précautionneusement la tête, afin de voir autour de lui. Il lui sembla être dans un petit entrepôt, rempli de caisses en bois. Il était couché sur le sol en béton, froid. Il n’arrivait pas à s’éclaircir la tête. Prudemment, il se mit assis, et s’appuya contre le mur derrière lui. Ce simple mouvement le laissa pantelant, sa respiration se faisant encore plus erratique, tout dansant devant ses yeux. Peu à peu, il réussit à se calmer, et les événements lui revinrent en mémoire. Etranglé ! Il avait à nouveau été étranglé, jusqu’à perdre connaissance ! Cette lutte terrible pour trouver de l’air, cette sensation que la mort était là, tout près, à l’attendre : ces souvenirs firent se retourner son estomac, il sentit les premières saccades annonçant les vomissements ; mais cela faisait longtemps qu’il n’avait plus rien dans l’estomac, seule de la bile sortit, lui brûlant encore plus la gorge. Quand il retrouva un peu de souffle et de calme, il décida qu’il devait tout tenter pour sortir d’ici. Même si cela lui coûtait la vie. Il ne pourrait pas supporter d’être à nouveau étranglé, il deviendrait fou, il le savait. Martin se mit lentement debout. Il fit quelques pas, chancelant, et sursauta quand la porte s’ouvrit.

-Agent Fitzgerald, vous vous remettez plus vite que je ne le pensais.

Martin ne répondit rien, mais fixa son agresseur d’un air qu’il espérait farouche. Pour une fois, il se sentait un peu moins menacé face à lui, malgré sa faiblesse, car il était enfin debout.

-Je pense que vous devriez vous rasseoir, agent Fitzgerald, vous tenez à peine sur vos jambes.

-Je crois que vous devriez me laisser partir.

Un petit rire, doux. Martin aurait pu se croire être face à la personne la plus polie au monde, une personne à qui l’on peut faire toute confiance, à qui l’on peut demander de l’aide. Mais ce n’était absolument pas le cas. Cet homme était dangereux, et il comprit, malgré toute la douceur qui se reflétait dans ses yeux, qu’il ne le laisserait jamais partir vivant. L’homme s’approcha de lui, Martin recula. La tension était palpable.

-Vous devriez vous laisser faire, agent Fitzgerald. Cela serait plus simple.

-Dites-moi pourquoi vous faites ça.

-Pour que tous les coupables de la mort de ma femme paient.

-Et qu’est-ce que j’ai à voir avec ça ?

-Vous faites simplement partie de la mauvaise équipe au mauvais moment.

-Vous voulez dire que… que vous voulez vous venger de l’équipe des personnes disparues ?!

-S’ils avaient fait leur boulot correctement, ils l’auraient retrouvée à temps.

-Et vous pensez que ma disparition va les toucher ? Pourtant, c’est vous qui me disiez de douter de leur envie de me retrouver.

-Je pense que vous n’êtes pas aimé, et que, dans le fond, votre disparition va plutôt les soulager ; un problème de résolu pour eux. Mais leur fierté va en reprendre un sacré coup : qu’on puisse s’en prendre à l’un des leurs, et qu’ils ne puissent pas le retrouver à temps, cela va enfin leur faire comprendre qu’ils ne sont pas les meilleurs.

-Je ne comprends toujours pas pourquoi vous vous en êtes pris à moi.

-Je ne savais pas lequel des agents j’allais choisir. Je voulais qu’ils souffrent tous de la même manière, et tous comme j’ai souffert. Et puis vous êtes arrivé, sans aucun lien avec mon affaire. Vous êtes devenu ma cible parfaite. De plus, le fait que vous ne vous entendiez pas avec l’agent Taylor vous fragilisait. Comme je l’étais lors de l’enquête pour ma femme. J’ai fait en sorte que votre fragilité soit accentuée.

Ce fut comme un coup dans le ventre de Martin. Le meurtre d’Annie Jones. Il parlait du meurtre d’Annie Jones !

-Vous… vous avez tué Annie Jones ?

-Non. Enfin, pas directement. J’ai simplement appris pour le saccage de votre appartement à Seattle, et je l’ai reproduit à NY. La seule différence est que j’ai volé votre arme. Que j’ai revendu à quelqu’un qui, disons, avait de grandes probabilités de s’en servir.

-Vous… Je… Vous avez vendu mon arme afin que… que…

Martin n’arrivait pas à formuler l’horrible pensée qui avait pris forme dans sa tête, suite aux explications de son agresseur. Il comprenait très bien tout ce que cet homme lui disait, mais c’était comme si son intelligence refusait d’accepter quelque chose d’aussi monstrueux. Il regarda intensément l’homme en face de lui, cherchant en lui une étincelle, une petite lueur d’humanité. Mais il comprit très vite que cet homme avait renié tout ce qu’il avait été avant le meurtre de sa femme, et était devenu un monstre froid, qui se cachait derrière une attitude de politesse et de gentillesse. Cet homme était… faux. Et dangereux. Et lui, Martin, allait mourir.

-Je voulais que les services internes vous bousculent un peu, reprit l’homme d’une voix incroyablement douce. Vous savez comme ils sont. Ils aiment bien bousculer ceux qui ont affaire à eux, ils aiment inspirer la peur. Ma chance a été que ce soit une jeune fille, de surcroît enceinte, qui soit tuée avec votre arme.

-Votre chance !

-Quoi de plus terrible pour vous ? Et vous pouvez vous sentir heureux, ils n’ont pas beaucoup insisté. Moi, j’ai dû subir les interrogatoires sans fin de vos collègues, leurs regards dégoûtés, tellement ils étaient sûrs que j’étais coupable de la disparition de ma femme ! Ils se sont acharnés sur moi !

-Alors… En fait, vous voulez vous venger pour ce que vous avez subi, pas pour ce qu’a subi votre femme, n’est-ce pas ?

Martin n’avait pas pu se retenir. Il avait envie de blesser cet homme, le faire sortir de ses gonds. Sa voix douce le dégoûtait et lui faisait peur, mais sa rage contre ce fou était plus forte que tout. Martin voulait que les choses dérapent, afin de se libérer de ce sentiment d’étouffement mental qui le submergeait depuis que l’homme s’expliquait. Et peut-être, tout au fond de lui, espérait-il ainsi trouver une occasion de s’échapper. Peut-être, si l’homme perdait le contrôle de lui-même. Martin avait touché juste. Il vit l’homme perdre son masque de tranquillité, il vit enfin la haine qui devait bouillonner en lui depuis une année prendre la place de ce masque. Martin poussa son avantage :

-Vous vous êtes senti humilié durant l’enquête, vous avez senti vos amis douter de vous, et vous ne l’avez pas supporté, n’est-ce pas? Alors, votre fierté s’est révoltée, vous avez oublié votre femme pour ne penser qu’à votre vengeance !

L’homme poussa un hurlement et se précipita sur Martin. Le jeune agent réussit à se mettre légèrement de côté de la trajectoire de son agresseur, lui évitant de le prendre de plein fouet. Mais il était si faible qu’il ne réussit pas à rester sur ses jambes, et ils roulèrent tous les deux au sol. Les coups commencèrent à pleuvoir, violents et furieux d’un côté, faibles mais déterminés de l’autre. Martin entendait son adversaire hurler, lui gardait son souffle. Un violent coup l’atteignit soudain sur sa pommette gauche, déjà douloureuse : il en resta une fraction de seconde étourdit. L’homme en profita pour se relever. Dominant ainsi son prisonnier, il commença à le rouer de coups de pieds, tenaillé par sa haine. Cet agent n’avait pas à lui parler ainsi, il méritait une correction qui lui apprendrait à le respecter ! Puis, il songea que ce qu’il était en train de faire allait modifier tout son plan. L’homme s’arrêta soudain, le souffle court. Il fut surpris : l’agent Fitzgerald réussit à le surprendre dans ses défenses pour la deuxième fois en quelques minutes. Martin appliqua un mouvement de cisaille à ses jambes, afin de faucher son tortionnaire. L’homme tomba violemment sur le sol dur, Martin se traîna le plus vite qu’il put vers la sortie. Mais ce n’était pas assez vite. Au moment où une terrible douleur le rattrapa, il se souvint enfin qui était son agresseur. Un sergent. De la police de NY.

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Vous avez enfin des nouvelles de Martin. Alors, rassurées?

Mouchette a écrit:

Vous avez enfin des nouvelles de Martin. Alors, rassurées?

Euh bah non pas du tout.... mais pas du tout rassurée quant à l'avenir de notre Marty...

C'est trop bien comme toujours et j'ai qu'une hâte c'est d'avoir la suite de l'histoire...


Je t'aime Mouchette

Vous avez enfin des nouvelles de Martin. Alors, rassurées

Je sais pas trop si on peut être rassuré de savoir Martin avec un gars comme celui là

Ce passage était encore une fois super

On plus comme tu le dis il était long et là j'étais totalement dedans....

Comme Clairounett, j'ai hate de savoir ce que tu vas réserver à notre Martin

Encore, encore

moi aussi j'étais à fond dedans tellement c'était génial !!!



la suite !!!!